Derrière le rideau L'Esthétique Photomaton

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dossier pédagogique exposition

. u a e id r e l e r iè r r e d l’esthétique photomaton 13.06 – 19.08.12

y Sherman d in C à s te s li a é rr u s Des en passant par Andy Warhol Rue Royale 236 Koningsstraat • Bruxelles 1210 Brussel 02.218.37.32—www.botanique.be Une exposition du Musée de l’Elysée, Lausanne

Editeur Responsable | Verantwoordelijke Uitgever: A. Valentini, Rue Royale | Koningsstraat 236 _ 1210 Bruxelles | Brussel Dick Jewell, Found Photos [Photos trouvées], pages intérieures et couverture (recto-verso), livre d’artiste, édition originale de 1978. © Rachmaninoff’s Smith/Arnatt, London and the artist / collection Christoph Schifferli


Tables des matières

I.

DERRIERE LE RIDEAU. L’ESTHETIQUE PHOTOMATON

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1.

HISTOIRE DU PHOTOMATON.

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2.

PRESENTATION DE L’EXPOSITION

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2.1. 2.2. 2.3. 2.4. 2.5. 2.6.

La cabine L’automatisme La bande Qui suis-je ? Qui es-tu ? Qui sommes-nous ?

6 7 8 8 9 11

3.

REPERES CHRONOLOGIOQUES

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II.

ACTIVITES ANNEXES

1. 2. 3.

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ATELIER VISITE GUIDEE DIMANCHE INTERACTIF

13 13 14

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I. DERRIERE LE RIDEAU. L’ESTHETIQUE PHOTOMATON

1.

L’HISTOIRE DU PHOTOMATON

A la fin du XIXe siècle, les photographes cherchent à automatiser la production des images.

Ernest Enjalbert, présente à l’Exposition universelle de 1889 un procédé de photographie automatique grâce à un appareil qui, avec une petite pièce et une pose de trois à six secondes, permet de tirer des portraits au bout de cinq minutes. Les premiers appareils de ce type furent installés dans le Jardin d’Acclimatation à Paris. Leur but était surtout le divertissement et le loisir. Cependant, les photos de ces premiers prototypes sont de médiocre qualité et l’invention d’Enjalbert disparait rapidement. Appareil de photographies automatique de M. Enjalbert, dessin de Louis Poyet, image de l’article de Albert Londe, La photographie automatique, dans La Nature, 1889.

Dans les années qui suivent, différents brevets sont déposés.

Parmi eux, citons l’automate Bosco (d’après le nom d’un magicien célèbre de l’époque) de Conrad Bernitt et l’appareil photographique de Asthon-Wolff. Ces automates fonctionnent sur le même principe : le client introduit une pièce de monnaie dans une ouverture ad hoc provoquant un contact électrique qui déclenche la prise de vue. Après trois à quatre minutes, il se voit remettre un portrait par l’appareil. Ces automates partent d’un procédé appelé ferrotypie. Il s’agit d’une technique qui permet d’obtenir une épreuve positive sur une plaque métallique recouverte d’un vernis noir. Ces appareils rencontrent un large succès dans les fêtes foraines et les parcs

Automate Bosco © La Joyeuse de Photographie

d’attractions. Un dernier brevet mérite d’être cité : Spiridione Grossi se fait remarquer, en 1911, par sa cabine qui conçoit six photographies sur une seule bande dont le dos, une fois humidifié, se colle à toutes superficies. D’où son nom de Sticky Backs. C’est un procédé manuel et 3


l’intervention du photographe est nécessaire, cependant on peut considérer le Studio Grossi comme précurseur des bandes photomaton.

Sticky Backs de Abraham Dudkin et de son fils, vers 1913 © Courtesy of Jonathan & Bettina Walker

Cependant, ce n’est qu’en 1924 qu’est inventée la machine Photomaton qui va conquérir le monde. Son inventeur est Anatol Josepho. Cet immigrant d’origine russe s’installe à New-York. Après avoir longuement étudié les techniques de photographie automatique, il dépose le brevet d’un appareil photographique automatique en 1925. Ce dernier est bien plus fonctionnel que les précédents. En moins de dix minutes et pour 25 cents, grâce à un dispositif qui ne requiert pas la présence d’un photographe, on obtient une bande de huit photos de qualité respectable. La même année, Anatol Josepho ouvre un magasin de photographie sur Broadway où il installe sa cabine photographique. Celle-ci remporte immédiatement un franc succès. Pour un prix très abordable, la cabine photographique peut délivrer des photographies dont la rapidité d’obtention, le format et la qualité permet de Photomaton de Anatol Josepho, image de l’article de Orville H. Kneen, Penniless INVENTOR Gets Million for Photo Machin, dans Modern Mechanics and Inventions, novembre 1928.

nombreuses applications : contrat de travail, carte d’identité, permis de conduire, passeport, carte de vœux ou encore carte d’anniversaire.

En 1927, Henry Morgenthau, un homme d’affaire new-yorkais, acquiert les droits de la cabine d’Anatol Josepho pour un million de dollars de l’époque après avoir regroupé plusieurs investisseurs. Ce consortium nommé Photomaton Inc. installe les cabines dans les lieux publics tels que les halls de gare, les stations de métro et les salles de jeux pour une exploitation commerciale à grande échelle. En 1928, l’on compte 120 machines installées aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Afrique du Sud ainsi qu’en Chine.

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Les premières améliorations marquantes du mécanisme du photomaton sont faites en 1941 par Phillip S. Allen. Il s’agit toujours de photographie argentique (le papier doit transiter par différents bains de développement créant une réaction chimique afin d’obtenir la photo), mais Phillip S. Allen crée un nouveau dispositif interne permettant à ce papier de passer plus rapidement par les différentes étapes. Le temps d’attente entre la pose et la réception des photos est alors réduit à quatre minutes. En 1942, apparaissent les premiers appareils photos en couleurs permettant des tirages sur papier, mais il faudra attendre 1970 pour que ce procédé soit appliqué aux photomatons. A partir de 1993, le mécanisme des photomatons va progressivement être remplacé par le procédé de photographie numérique. Ici, on n’obtient plus la photo grâce à une réaction chimique, mais des capteurs électroniques traduisent l’image en une version numérique que l’on peut ensuite imprimer. Raccourcissant encore le temps d’attente, le numérique permet également au photographié de voir le résultat avant l’impression et ainsi de recommencer la pose s’il n’est pas satisfait. Cependant, ce sont des photos toutes identiques que lui remet l’appareil, il n’est plus possible d’avoir, sur la même bande, des photos différentes qui correspondent aux multiples poses prises derrière le rideau. Aujourd’hui, le photomaton continue de s’adapter à la société et aux évolutions techniques. En 2011, la société Photomaton collabore avec le designer Philippe Starck pour moderniser ses cabines. Outre une nouvelle forme plus élégante, celles-ci sont désormais équipées d’écrans tactiles, de capteurs intelligents pour s’adapter à la pose et à la distance du photographié,

ainsi que d’une connexion

internet permettant d’envoyer les photos par email où de les mettre directement sur des sites tels que Facebook ou Picasa. L’utilisateur peut également choisir une ambiance particulière à donner à ses photos grâce à une sélection d’ajouts graphiques (photo façon pop’art ou carte postale, sur fond d’un monument célèbre ou d’un paysage…).

Photomaton by Starck © Photomaton, Groupe Photo Me

De nos jours, il n’existe plus dans les gares, les centres commerciaux et autres lieux publics de cabines photomatons argentiques. Cependant, divers groupes, fans de photomatons, s’efforcent de sauver et de faire revivre les derniers modèles de ces appareils. En effet, à l’ère de la mode vintage, les cabines argentiques et les possibilités qu’elles permettent fascinent. D’ailleurs, une telle cabine sera présente dans l’exposition du Botanique. 5


2.

PRESENTATION DE L’EXPOSITION

Derrière le rideau - L’Esthétique Photomaton est la première étude consacrée à l’esthétique du photomaton. En réunissant plus de 600 œuvres réalisées sur différents médias (photographies, huiles sur toile, lithographies et vidéos) par une soixantaine d’artistes internationaux, l’exposition révèle l’influence du photomaton au sein du milieu artistique, depuis sa création jusqu’à nos jours. En effet, l’appareil Photomaton n’est pas une simple invention technique facilitant l’accès à l’image de soi. Le rôle qu’il a joué dépasse l’Histoire de la photographie. Dès sa création, cet appareil intéresse des artistes de tout horizon. Qu’ils soient peintres, poètes ou cinéastes, le Dick Jewell, Found Photos, page intérieure, livre d’artiste, édition originale de 1978, 15,5 x 12,4 cm © Courtesy Rachmaninoff’s

photomaton a exercé sur eux une véritable fascination. Celle-ci perdure et se renouvelle par l’intérêt que

vouent certains artistes contemporains à cette machine comme outil de création et comme source d’inspiration. L’exposition a donc pour ambition d’interroger l’esthétique du photomaton et cela, à travers six grandes sections thématiques. Chaque thématique sera ici illustrée par le travail d’un artiste présenté dans l’exposition.

2.1.

La Cabine

La cabine Photomaton est généralement située dans un espace public ; un endroit de passage tels qu’une station de métro, un grand magasin ou encore une gare. Pourtant, durant la prise de vue, elle offre également la possibilité de se cloisonner dans un espace privé. A l’abri des regards, cachés derrière le rideau, les usagers de la cabine jouissent d’une certaine intimité. C’est un monde intermédiaire entre l’intime et le public, l’intérieur et l’extérieur.

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Svetlana Khachaturova

Cette artiste russe vit et travaille à Paris. Depuis une dizaine d’années, elle poursuit une œuvre sur la représentation de l’espace. Dans les séries présentées dans l’exposition, intitulées Tessera et Fermata, elle utilise le photomaton pour exprimer l’idée d’intérieur et d’extérieur. Se tenant à l’intérieur de la cabine, elle utilise les reflets d’un miroir afin d’amener des images extérieures à l’intérieur de l’automate. Il s’agit Svetlana Khachaturova, série Fermata, 2007-2008, épreuves chromogènes, 5x15 cm © Svetlana Khachaturova / Collection particulière, Paris

d’une sorte d’autoportrait dans lequel l’image capturée renvoie à l’état intérieur de l’artiste.

2.2.

L’automatisme

Le photomaton fascine par son automatisme depuis les surréalistes jusqu’aux artistes contemporains. En effet, l’appareil fabrique une image sans qu’aucune intervention humaine ne soit nécessaire à la prise de vue. Il y a, cependant, une nuance à apporter à cette affirmation puisqu’il s’agit aussi d’un transfert de créativité du photographe au photographié. Le modèle peut maintenant construire sa propre image en jouant avec les contraintes du dispositif.

Les surréalistes

C’est en 1928, lorsque les premiers photomatons sont installés à Paris, qu’André Breton, chef de file du groupe des surréalistes, teste l’appareil. Il est conquis par cette machine qui lui offre une expérience proche de l’écriture automatique en littérature. Pour Breton et les surréalistes, le photomaton vient s’ajouter à la liste des procédés, jusqu’ici artisanaux, qui permettent de créer des images sans faire appel au conscient : le dessin automatique, le cadavre exquis, le grattage et le frottage. Ils se photographieront très souvent avec les yeux fermés, ce qui rend le portrait photomaton encore plus automatique, excluant tout contrôle visuel de l’expression du visage. Les yeux fermés symbolisent également l’importance qu’ils confèrent au subconscient.

Yves Tanguy, Autoportrait dans un Photomaton, ca. 1929, épreuve gélatino argentique, 20,5 x 3,8 cm © Collection Musée de l’Elysée, Lausanne

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2.3.

La bande

Parce qu’il est constitué d’une série d’images qui se succèdent, le photomaton suggère la séquence. Il y a une continuité spatiale et temporelle entre les prises de vue : l’image d’à côté est l’image d’après. Par cette succession de clichés, le photomaton contient le principe du cinéma. Cette spécificité établit un rapport immédiat avec la narration : mettre une image à côté d’une autre, c’est aussi raconter une histoire.

Roland Topor

Cet artiste français aux multiples talents (écrivain, scénariste, dessinateur, metteur en scène et acteur) a utilisé le photomaton pour mettre en image son quotidien. Il a en effet réalisé une série de petits scénarios immortalisés par le photomaton dans lesquels il développe des histoires en quatre actes. Ces photomatons ressemblent dès lors à de petits films muets accompagnés de leur légende. Les Topor-maton ont été réalisés entre 1967 et 1969.

Roland Topor, Topor-maton, 1967-1969, collages de photomatons avec légendes typographiques, épreuves gélatino-argentiques © Nicolas Topor

2.4. Qui suis- je ?

Pour un prix abordable, toute personne peut obtenir son image. Dès lors, le photomaton devient un outil idéal d’introspection. En effet, s’il permet la fabrication de photographies standardisées à destination des documents d’identité, le dispositif encourage par ailleurs le photographié à se mettre en scène face à l’objectif. On peut donc explorer sa propre image. On peut chercher à atteindre l’objectivité ou, à l’inverse, transformer sa propre image par la grimace et le travestissement.

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Alain Baczynski

De 1979 à 1981, cet artiste israélien d’origine belge poursuit une psychanalyse. Au cours de cette dernière et à l’issue de chaque séance, il ressent le besoin de faire son autoportrait. Il se rend donc systématiquement dans un photomaton et y rejoue les moments importants vécus au cours de son analyse. Il consigne ensuite ses commentaires au dos du photomaton. Cette collection de 242 photomatons constitue une véritable psychanalyse par l’image.

Alain Baczynsky, Regardez, il va peut-être se passer quelque chose…, 1979-1981, extrait d’un ensemble de 50 portraits photomatons annotés à l’encre, épreuve chromogène © droits réservés / collection Centre Pompidou, dist. RMN / image Centre Pompidou

2.5. Qui es- tu ?

Le photomaton permet également d’interroger l’image de l’autre. C’est l’utilisation fréquente du photomaton comme outil de production de photographies pour les documents officiels qui est ici épinglée.

L’identité légale

Le photomaton sert dans ce cas à fixer l’identité légale normalisée selon des paramètres chaque fois identiques : la frontalité de la pose, la lumière neutre et le cadrage. Ce dispositif ainsi que l’automatisation de la prise de vue confère à la photographie vérité et objectivité. Or, cette image supposée refléter automatiquement l’identité d’un individu peut poser question.

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Mathieu Pernot

De 1995 à 1997, Mathieu Pernot travaille sur une série qui tente de questionner le système de papiers d’identité pour les étrangers. Il s’intéresse plus particulièrement aux tsiganes qui subissent ce système de normalisation par la photographie depuis plus d’un siècle. Dans cette série, il met à mal le dispositif systématique et soi-disant rigoriste du photomaton en offrant, à un groupe d’enfants, une cabine comme terrain de jeu. Ces séances donnent lieu à des portraits spontanés où surgit avant tout la personnalité des photographiés.

Mathieu Pernot, Jonathan, Mickael, Priscilla, 1996, trois épreuves gélatino-argentiques © Mathieu Pernot

La quête de l’autre

Nombreux sont ceux qui se sont adonnés à la collection des photomatons anonymes abandonnés par leur propriétaire.

Dick Jewell

En 1978, cet artiste britannique publie un livre intitulé Found Photos où il rassemble sa collection de photomatons qu’il glane depuis 1968. Cet ouvrage constitue un véritable témoignage

historique

de

cette

pratique

sociale

et

rencontrera un véritable succès.

Dick Jewell, Found Photos, page intérieure, livre d’artiste, édition originale de 1978, 15,5 x 12,4 cm © Courtesy Rachmaninoff ’s

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2.6. Qui sommes-nous ?

Outre l’identité propre et celle d’autrui, le photomaton permet également une réflexion sur ce qu’est le couple ou le groupe. Face à l’automate, certains posent à deux ou en bande pour immortaliser leur appartenance à une entité sociale. Dès lors, le photomaton révèle aussi l’identité collective de ses utilisateurs.

Lorna Simpson

En 2008, cette artiste américaine commence une série d’installations constituées de photomatons qui abordent les thématiques sur lesquelles elle travaille depuis les années 80 : la notion de race, de culture, de genre et plus spécifiquement le statut de la femme noire américaine au sein de la société contemporaine. Lorna Simpson, Gather, 2008, installation de 22 portraits photomaton anonymes et de 15 dessins à l’encre sur papier © Lorna Simpson. Courtesy Salon 94, New York / Collection Isabelle et Charles Berkovic, Bruxelles

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3.

REPERES CHRONOLOGIQUES 1889

Ernest Enjalbert présente à l’Exposition universelle son procédé de photographie automatique.

1893 Présentation de l’automate Bosco par le photographe allemand Conrad Bernitt.

1911 Appareil photographique automatique d’Ashton Wolff. Spiridione Grossi invente un appareil capable de tirer une bande de six photographies.

1925 Anatol Josepho dépose le brevet de la cabine photomaton et installe le premier appareil dans son magasin à New-York.

1927 Anatol Josepho cède les droits de son procédé au consortium Photomaton Inc.

1941

1928 André Breton fait ses premiers clichés à partir du photomaton.

Phillip S. Allen crée un nouveau mécanisme interne réduisant le temps d’attente pour recevoir les photos à quatre minutes.

1967–1969 1970

Roland Topor réalise les Topor-maton.

Apparition des premiers photomatons en couleurs.

1978 Dick Jewell publie son livre Found Photos.

1979-1981 Alain Baczynski tire son autoportrait dans un photomaton à l’issue de chaque séance chez son psychanalyste.

1993 Les photomatons passent progressivement au numérique.

1995-1997 Mathieu Pernot travaille sur une série qui tente de questionner le système de papiers d’identité avec photographie pour les étrangers.

2007-2008 Svetlana Khachaturova réalise les séries Tessera et Fermata.

2008 2011

Lorna Simpson commence une série d’installations constituées de photomatons.

La société Photomaton s’associe à Philippe Starck pour moderniser ses cabines.

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II. Activités annexes En marge de l’exposition Derrière le rideau. L’esthétique Photomaton, le Botanique propose plusieurs activités.

Pour toutes les activités : informations et réservations indispensables auprès de Lucie Duckerts-Antoine, du lundi au vendredi, au 02/226.12.18 ou à l’adresse lucie.duckerts@ botanique.be

1.

Atelier : Qui suis-je ?

Durée : 1h30

Comme espace de mise en scène de soi, le Photomaton est un outil idéal

10 participants min.

De 6 à 18 ans

Langue : Fr.

d’introspection. Vous êtes attentif ou plutôt rêveur ? Timide ou au contraire audacieux ? Cet atelier vous invite à exprimer votre personnalité en quatre temps et au départ d’un photomaton original. Après une visite interactive de l’exposition, nos animateurs vous inviteront pour une séance de pose des plus expressives dans notre cabine vintage. Vous vous attellerez ensuite à combiner attitude corporelle et traits de caractère par un habile jeu de collage. De surprenants résultats seront au rendez-vous ! Tarif : Groupe jeune (-26 ans) : 8¤ / pers. (entrée à l’exposition comprise).

2.

Visite guidée

Durée 1h30

20 personnes maximum

Langue : Fr / Nl.

Suivez nos guides et découvrez ce que révèle un siècle de photomaton. Nos visites sont adaptées à l’âge et aux acquis des participants. Tarif : Forfait groupe jeune (-26ans) : 55¤ + droit d’entrée à l’exposition

Forfait groupe adulte : 65¤ + droit d’entrée à l’exposition

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3.

Dimanches interactifs

Certains dimanches, dans le cadre de l’exposition Derrière le rideau. L’esthétique Photomaton, le Botanique vous propose de participer en famille, entre amis ou individuellement aux visites et ateliers organisés au sein du Museum en compagnie de nos guides et animateurs.

1) Le dimanche 8 juillet à 15h : Visite guidée de l’exposition (Fr).

Durée : 1h30

2) Le dimanche 5 août à 15h : Atelier. Qui suis-je ?

Durée 1h30

20 personnes maximum

15 personnes maximum

Tarif individuel : 5¤ + droit d’entrée à l’exposition

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