d’imprimer de la monnaie pour apporter aux drames qu’ils représentent une réponse adaptée. La gestion du risque est nécessaire, non seulement dans les cas emblématiques comme la guerre, mais dans ces cas improbables comme la chute d’une météorite ou un orage solaire magnétique de grande dimension. Un risk manager ne pourrait tout faire, mais tout pas dans la bonne direction serait un progrès humain et la gestion globale des risques permettrait d’en attendre une économie justifiant largement son coût.
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Jean-Claude Seys Président de l’Institut Diderot