Portfolio 2013

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Portfolio Julia Tournaire


Projets personnels (2009-2013)


Chacun de mes projets est avant tout animé par la définition d’une posture personnelle et la constitution d’un discours redonnant à l’architecture sa propension critique. La précision d’un véritable projet en soi, nourri de références, de collaborations, de développement de projets personnels, et d’observation attentive des paysages et pratiques contemporaines (notamment à travers la photographie) est l’objectif à terme. Il s’agit avant tout de trouver des alternatives à la manière dont on fait ‘ville’, entendue à la fois comme conception et production de notre environnement bâti, mais également comme gestion de l’espace-qui-est-entre ses habitants afin de les amener à cohabiter. Plus précisément, comment substituer à un urbanisme souvent arrogant qui se veut omnipotent ou thérapeutique, un urbanisme fondé sur des pratiques existantes ou latentes dont la finalité est le vivre ensemble plutôt que la gestion des fluxs? Les notions avec lesquelles nous décrivons et concevons nos milieux de vie sont souvent désuettes eu égards des pratiques contemporaines. Il convient donc de les redéfinir à l’occasion de chaque projet par le croisement entre l’analyse sensible du site et une réflexion plus générale sur les nouveaux espaces à créer. La thématique des échelles, qu’il s’agisse des échelles métriques (petit, grand) ou des échelles de pratique (individuel, commun, métropolitain) ressort comme une notion centrale à ma pratique. Elle est selon moi pertinente dans la mesure où nous sommes dans une société où chaque individu est maintenant le propre gestionnaire de son espace, que ses choix de parcours sont multiples et que ceux-ci s’étendent à l’ensemble du territoire mondial. La définition et l’articulation de l’échelle de l’individu, de sa cellule ‘privée’ à celle du territoire de la métropole sont des questions essentielles et génératrices d’architecture. Ainsi, quels sont les besoins contemporains en espaces d’habitat, de vie et de travail? Comment faire ‘ville’ avec ces pratiques quotidiennes individuelles souvent instables? La question des échelles atténue le cloisonnage entre les différentes disciplines qui touchent à la conception de nos environnements, architecture, paysage, urbanisme ou sociologie. Elle permet de repenser la capacité de l’architecture à créer de l’urbain. Il n’est cependant pas nécessaire pour cela d’imaginer des architectures ‘monumentales’. Un petit dispositif est tout aussi susceptible de faire ‘ville’. Le suburbain est le territoire où s’expriment et cohabitent de manière la plus évidente ces extrêmes d’échelles. Il est donc le lieu où mon projet général d’architecture s’est majoritairement précisé, comme le montre le projet ‘Territorial unit’. C’est un territoire qui m’intéresse particulièrement, aussi pour son caractère générique. Je cherche également à me positionner entre l’établissement d’un langage architectural commun, la recherche de nouvelles formes urbaines et de nouvelles typologies, et le dessin précis et recherché de chaque espace crée. Ce n’est selon moi qu’à cette condition que l’architecture peut retrouver un rôle à jouer et ne plus être soit qu’un objet iconique soit qu’un conteneur de second plan. Je perçois ici le potentiel d’un rapport interdépendant entre recherche théorique et pratique concrête de notre discipline, bien que cet équilibre soit difficile à mettre en place. Territorial Unit, Nouvelles échelles et formes urbaines pour la métropole

p. 4-13

Drive-in library (Territorial Unit II), diplôme de fin d’études,

p. 14-23

multiscalaire, agglomération Lyonnaise. Diplôme de fin d’études (avec Marie-Charlotte Dalin), ENSAL, 2010 ENSAL, 2010

Urban Blocks, catalogue d’ilôts de grande échelle, 2012 3

p. 24-27


Territorial Unit I L’est Lyonnais est représentatif des développements récents des métropoles européennes. La juxtaposition de pans individués et de capsules monofonctionnelles qui s’ignorent compose ce suburbain, territoire générique que le diplôme de fin d’études se propose de considérer comme terrain d’expérimentation d’une nouvelle façon de faire de l’urbain. Son exploration vise à en dévoiler le potentiel inhérent et l’intervention proposée à le rendre identifiable et à l’intensifier. Dans un système urbain où il n’y a plus d’intermédiaire entre l’individu et la métapole, ou par exemple entre la maison et la zone commerciale,

le ‘bassin d’habité’ offre une nouvelle échelle de regard, de gestion et de pratiques. La richesse d’échelles qu’il met en coprésence le rend spécifique et assure l’urbanité du suburbain. Cette diversité est illustrée par l’échantillonnage et la classification des entités architecturales et urbaines qui le composent puisque ce sont elles qui prennent en charge cette urbanité. Afin de révéler son urbanité, les échelles de pratique propres à ce territoire sont intensifiées, réintroduites et entrelacées sous la forme des ‘Territorial unit’, dispositifs architecturaux multiscalaires. Cette approche transversale permet de penser conjointement différentes réalités et de pallier au morcellement des métapoles contemporaines. 4


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dalle périphérique

cimetière

mini mall

g y mn a s e terrain sport

école

industrie

jardins ouvriers

logement collectif station essence

péri phé ri que dalle

grands ensembles

garages

arrêt de bus maison terrain tennis

parking

fast food mall drive

lotissement

c h a mp s

zone d’activité

zone agricole

golf

eurexpo

aéroport

Vaulx-en-velin

Meyzieu

Bron

Chassieu

Situé à la jonction de 4 communes, le ‘bassin d’habité’ des 7 chemins est caractérisé par la présence de différents types de logements et de nombreuses activités commerciales et de loisir. Cette diversité est analysée à travers l’échantillonnage et le classement des typologies qui le constitue. 6


REGION A G G L O M E R AT I O N COMMUNE QUARTIER VOISINAGE LOGEMENT

TERRITOIRE

BASSIN D’HABITĒ

MAISON

Le model d’emboîtement des échelles proposé par le découpage administratif n’est plus entièrement adapté aux pratiques contemporaines. Le ‘bassin d’habité’ au contraire gère l’entrelacement des échelles extrêmes qui constituent nos métropoles. 7


16.square 1.mini-mall

9.garages

PIETON MEDIUM META 1 (ARCHI)

VOITURE SMALL META 0 (ARCHI)

PIETON SMALL META 1 (URBAIN)

2.petit commerce

10.station service

17.drive

PIETON MEDIUM META 1 (ARCHI)

VOITURE SMALL META 2 (TERRITORIAL)

VOITURE SMALL META 2 (ARCHI)

3.terrain tennis

11.logement collectif

PIETON MEDIUM META 1 (TERRITORIAL)

PIETON LARGE META O (ARCHI)

12.gymnase 4.mall

PIETON MEDIUM META 1 (ARCHI)

PIETON LARGE META 2 (ARCHI)

5.lotissement VOITURE MEDIUM META 0 (URBAIN)

13.dalle périphérique PIETON MEDIUM META 1 (TERRITORIAL)

18.place du marché PIETON MEDIUM META 2 (URBAIN)

19.usine PIETON MEDIUM META 0 (ARCHI)

20.dalle PIETON MEDIUM META 1 (URBAIN)

14.arrêt de bus PIETON SMALL META 1 (TERRITORIAL)

6.périphérique

21.grand ensemble

VOITURE X-LARGE META 2 (TERRITORIAL)

PIETON/VOITURE LARGE META 1 (URBAIN)

15.maison individuelle PIETON SMALL META 0 (ARCHI)

7.terrain foot PIETON LARGE META 1 (TERRITORIAL)

22.cimetière PIETON LARGE META 1 (TERRITORIAL)

8.zone commerciale

23.école

VOITURE X-LARGE META 2 (URBAIN)

PIETON MEDIUM META 1 (ARCHI)

8


24.parking VOITURE MEDIUM META 2 (TERRITORIAL)

25.jardins ouvriers PIETON SMALL META 0 (TERRITORIAL)

27.zone agricole PIETON/VOITURE X-LARGE META 1 (TERRITORIAL)

26.zone d’activité VOITURE X-LARGE META 0 (URBAIN)

28.golf PIETON/VOITURE X-LARGE META 2 (TERRITORIAL)

29.eurexpo PIETON X-LARGE META 2 (ARCHI)

30.aéroport PIETON/VOITURE X-LARGE META 2 (TERRITORIAL)

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PRODUIRE

MOBILITE

CONSOMMER

SE DIVERTIR

S’EDUQUER

MEDIUM LARGE MEDIUM LARGE MEDIUM LARGE MEDIUM LARGE MEDIUM LARGE MEDIUM LARGE X-LARGE

VOITURE

SMALL

M Ē TA 2

X-LARGE

PIĒTON

SMALL

X-LARGE

VOITURE

SMALL

M Ē TA 1

X-LARGE

PIĒTON

SMALL

X-LARGE

VOITURE

SMALL

M Ē TA 0

X-LARGE

PIĒTON

SMALL

SE LOGER

Les typologies iconographiques qui composent la métropole sont analysées et classées au regard de nouveaux critères d’urbanité. L’expression des différentes activités à certaines “échelles de pratique” (échelles d’impact programmatique, échelles spatiales, échelles métriques) rend compte de la diversité du territoire et évite l’écueil d’une vision fonctionnaliste. 10


Au lieu d’appliquer un urbanisme thérapeutique visant à palier un manque ou à homogéneiser l’offre du territoire, la stratégie globale repose sur l’intensification des échelles de pratique là où les situations en sont déjà très riches. 11


Le ‘bassin d’habité’ défini par la mise en coprésence au sein d’un territoire réduit d’une grande diversité d’échelles de pratiques est révélé et intensifié par la mise en place de 7 dispositifs architecturaux nommés ‘Territorial unit” eux-mêmes multiscalaires. Ces unités offrent un nouvel entrelacement et agence12


ment spatial des échelles déjà présentes tout en proposant des activités à de nouvelles échelles. Bien que ponctuelles et indépendantes, elle ne sont pas des systèmes intériorisés mais se superposent au contraire à l’environnement. Elles sont ainsi à la fois architecturales et urbaines, métropolitaines et de proximité. 13


Drive-in library Le ‘drive-in library’ est une des 7 ‘Territorial unit’ mises en place au sein du ‘bassin d’habité’ des 7 chemins. Ce nouvel équipement se positionne à la confrontation non gérée d’un Mac drive, petite entité architecturale métapolitaine pratiquée en voiture et d’un large espace vert où le passage piéton pour rejoindre le supermarché attenant est récurrent. Il se propose d’entrelacer ces échelles tout en apportant à l’activité de travailler incarnée par la bibliothèque une nouvelle dimension. Il utilise le potentiel de diversité d’échelles pour repenser la manière non seulement dont on fait la ville mais dont on la pratique. La bibliothèque envisagée comme un drive ne cherche pas à faire l’apologie de la voiture mais est l’occasion de considérer davantage cet équipement comme une offre variée d’espaces de travail et de repos plutôt que de documents. Dans une société contemporaine dont

l’économie est basée sur la production de connaissance et de savoir, l’information est accessible facilement tandis que les espaces de travail mis à disposition ne correspondent plus à cette réalité. A pied ou en voiture, les livres sont retirés aux nombreux distributeurs répartis tout autour de la bibliothèque puis consommés en dehors ou sur place dans les espaces proposés. Des unités ‘types’, individuelles, fermées et autonomes délimitent un large espace commun ouvert à tous, y compris aux usagers du supermarché ou de l’arrêt de bus, et appropriable de différentes façons. Ce nouvel équipement cherche également à mettre en commun au sein d’un même dispositif spatial l’ensemble des pratiques individuelles aujourd’hui majoritaires dans nos villes, qu’elles soient piétonnes ou motorisées. En d’autres termes, comment fait-on ville ou urbanité à partir d’une multitude d’aspirations et de parcours singuliers? 14


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La bibliothèque est pensée à partir d’une cellule individuelle type, d’une ‘pièce” dont l’appropriation est multiple. Cette cellule est pensée comme indépendante et autonome. Elle est une ‘drive-in library’ en soi en assurant à la fois le drive piéton et voiture par l’extérieur et en accomodant des espaces de travail et 16


de vie pour une ou deux personnes, ou un groupe si on en assemble plusieurs. Elle est louĂŠe temporairement par un individu ou une petite entreprise pour travailler, se reposer, vivre ou jouer. Sol Lewitt, large modular cube, outdoor structures, 1969 (en haut) 17


Les cellules indépendantes et accessibles seulement par les utilisateurs de la bibliothèque délimitent un large monospace totalement traversant et ouvert à plusieurs endroits. Cet espace est libre d’appropriation et peut servir comme espace de réunion, d’exposition, d’évènements temporaires. 18


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La ‘drive-in library’ superpose les échelles de pratique qu’elle contient aux pratiques existantes, créant ainsi un milieu cohérent à la fois architectural et urbain. Elle met ainsi en place une nouvelle proximité. 20


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L’horizontalité du dispositif et sa matérialité assurent la contiguité maximale entre ses différents éléments, qu’elle soit physique, visuelle ou structurelle, et la coprésence des différents usagers de la bibliothèque, du drive, du mc drive, les ‘passer-by’ allant au supermarché ou les usagers du bus. 22


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Urban blocks Il existe au sein de nos territoires des tentatives isolées de concevoir différemment la ville, notamment à partir d’architecture à grande échelle. Ces îles d’expérimentations ont été développées à différentes périodes et dans divers pays voir continents mais ont toutes en commun le regroupement d’un nombre important de logements au sein d’une forme urbaine particulière. Le catalogue ‘urban blocks’ représente une façon de les collecter et de les redessiner pour en comprendre les potentiels. Il est notamment intéressant d’observer la manière dont ces projets proposent un regard transversal à plusieurs domaines généralement envisagés séparemment. Projet urbain, architecture et infrastructure sont pensés conjointement et sans hiérarchie tout comme le logement, les services publics et commerciaux. L’intégrité de la ville est retrouvée, non pas par la création d’un tissu à la manière des villes denses mais en un point, préférablement connecté aux réseaux de transport. Cet environnement cohérent peut prendre la forme d’une répétition organisée en ilôts d’un même élément architectural (block), d’un seul ilôt à grande échelle (superblock), ou d’un ensemble d’éléments mis en tension par le vide qui les sépare (group design). La configuration particulière et l’échelle de ces archétypes cadrent et incorporent l’espace public et ‘naturel’ au sein même de leur fonctionnement.

1 Amsterdam south, Amsterdam, 1929 1336 hab. (block) 2 Superquadra, Brazilia, 1957 2970 hab/superquadra (block) 3 Mullerstrasse, Berlin, 1925-27 (Superblock) 4 Engelshof, Wien, 1930 5868 hab. (superblock) 5 Immeuble-villas, Paris, 1925 (superblock) 6 Friedrichstadt, Berlin, 1981 (groupdesign) 7 Brunswick center, London, 1966-71 1644 hab. (superblock) 8 Spaarndammerbuurt, Amsterdam, 1919 1808 hab. (block) 9 Spangen housing, Rotterdam, 1918 1056 hab. (superblock) 10 Ritterstrasse, Berlin, 1980 (Superblock) 24

11 Barbican center, London, 1969 4000 hab. (group design) 12 Codan block 2, Tokyo, 2009 1333 hab. (block) 13 Schots 1+2, Groningen, 2002 600 hab. (block) 14 Landtong, Rotterdam, 1998 243 hab/îlot (block) 15 Buitenveldert, Amsterdam, 1960 264 hab/angle (block) 16 Pendrecht, Rotterdam, 1950 432 hab/îlot (block) 17 Karl Marx Hof, Wien, 1930 5000 hab. (superblock) 18 Trabrenngrunde, Wien, 1973 9700 hab. (superblock) 19 Washingtonhof, Wien, 1930 4120 hab. (superblock) 20 Lafayette Park, Detroit, 1965 4500 hab. (group design)


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450 420

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380

Barbican center, London (en haut) Trabrenngrunde, Wien (en bas) 26


1000

600

Lafayette Park, Detroit 27


Collaboration: Dogma (2011-2013)


L’essentiel de ma contribution au travail de l’agence Dogma au sein de laquelle j’ai évolué pendant deux années à Rotterdam au Berlage Institute puis à Bruxelles, se résume au développement de projets urbains principalement à grande échelle. Pourtant, que ce soient des projets à très grande échelle tels que la création d’une nouvelle ville mêlant logements, laboratoires et pôles de recherche à Osong en Corée ou le développement d’une nouvelle vision pour la ville de Neuchâtel en Suisse, des projets urbains à plus petite échelle comme le développement d’un nouveau quartier de 550 logements à Genève, à Berlin ou à Aalst en Belgique, ou enfin des projets de paysage comme le design du parc de 70 hectares à Taichung (Taiwan) ou de Puurs en Belgique, l’échelle d’intervention est toujours celle de l’architecture. C’est ici sa propension à faire ville qui est testée.

Gardens, Fields and Workshops, développement d’une technopole à

p.30-31

Garden(s), redéveloppement du quartier de la gare de Diyarbakir

p.32-33

Ladders, nouveau quartier de ...logements à Aalst (Belgique).

p.34-45

Venus, concours international pour le redéveloppement du quartier

p.36-37

Weisse stadt, projet urbain à Oranienburg (Allemagne), 2013 Ramones, projet du Gateway Park à Taichung (Taiwan).

p.37-38

Cattulus, concours international pour la bibliothèque d’Helsinki, 2012 Mc Cormick (Welfare) Hotel, concours pour la réhabilitation du Mc-

p.41-42

A field of Walls, réinterprétation du plan de Piranesi pour Rome.

p.46

11 projects, publication et exposition commissionnée par la AA school,

p.47

Osong (Corée). Concours international, mention, 2011 (Turquie). Commission. 2011-2012 Concours invité, mention. 2011

Vieussieux-Villars à Genève (Suisse), 2013

Concours international, 4ème prix, avec Andrea Branzi, 2011

cormick center à Chicago. Burnham prize, 2011

Projet de recherche développé dans le cadre de la biennale de Venise, avec Peter Eisenman, 2012 Londres, 2012-2013

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p.39-40

p.43-44


Gardens, Fields and Workshops

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Garden(s)

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Ladders

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Venus

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Weisse stadt

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1. Villa urbaine 2.logement collectif 3.Patio villa

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Ramones

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Cattulus

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Mc Cormick (Welfare) Palace Hotel

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A field of walls

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11 projects

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CV Julia Tournaire Né le 2 Juillet 1987 à Clermont-fd 13 avenue Edouard Herriot 63800 Cournon France julia.tournaire@gmail.com +33 6 76 76 72 80


Diplômes et Education Septembre 2011 Obtention du diplôme d’architecte avec les félicitations du jury Juin 2010 Soutenance de projet de fin d’études « Territorial Unit. Nouvelles échelles et formes urbaines pour la métropole multiscalaire. » Septembre 2008-Juin 2010 Master d’architecture à l’ENSAL, Ecole Nationale d’architecture de Lyon Septembre 2007-Juin 2009 Double cursus architecte-ingénieur à l’ECL, école Centrale de Lyon Septembre 2005-Juin 2008 Licence d’architecture à l’ENSAL, Ecole Nationale d’architecture de Lyon Juin 2005 Baccalauréat scientifique obtenu avec les félicitations du jury, option européenne anglais

Expérience professionnelle Aout 2011-Mars 2013 Architecte junior au sein de l’agence DOGMA (Rotterdam, Bruxelles)

-‘Weisse Stadt, concours à procédure fermée pour un nouveau quartier de logements à Orienanburg (A) -‘Venus’, concours international pour le redéveloppement du quartier Vieussieux-Villars à Genève (S) -‘Field of Walls’, réinterprétation du Campo Marzio de Piranesi, 11ème Biennale d’architecture de Venise, en collaboration avec Peter Eisenman -‘Catullus’, concours international pour la bibliothèque d’Helsinki -‘Citizens’, concours ‘open oproep’ pour un nouveau parc à Puurs (Be), mention -‘Temenos’, concours international pour un nouveau plan urbain à Neuchâtel, Suisse. 5ème prix -‘Gardens’, projet de développement du quartier de la gare de Diyarbakir, Turquie -‘Frame(s)’, concours ‘open oproep’ pour la construction de 44 logements sociaux à Westerlo, Belgique -‘Fields, Gardens and Workshops’, concours international pour la planification de Osong, mention -‘Ramones’, projet pour le ‘Taichung Gateway Park’ à Taichung, Taiwan, En collaboration avec Andrea Branzi. Concours international phases 1 et 2, 4ème prix -‘Ladders’, Etude urbaine à Aalst (Be) dans le cadre du concours ‘open oproep’, mention

Février 2011-Juillet 2011 Stage de 5ème année au sein du Berlage Institute, Rotterdam En collaboration avec l’agence d’architecture DOGMA (Pier Vittorio Aureli & Martino Tattara) -‘A simple Heart’, Etude sur les répercussions spatiales du processus de Bologne -‘Mc Cormick (welfare) Hotel’, proposition pour le prix Burnham 2011

Mars 2011 Aménagement d’un bar à croque monsieur à Lyon Juillet 2008-Aout 2008 Stage au sein de l’agence d’architecture Fabre-Speller à Clermont-fd Juillet 2006 Stage au sein de l’entreprise de gros-œuvre Léon Grosse à Clermont-Fd

Expositions, Workshops et Publications Octobre 2012-Février 2013 Exposition des travaux de l’agence Dogma à la AA school à Londres et développement conceptuel et graphique de la publication associée ’11 projects’

Aout 2012 ‘Field of walls’ à la Biennale d’architecture de Venise ‘Common Ground’ (avec Dogma) Avril 2012 ‘Garden(s)’ à la 5e IABR-Biennale d’architecture de Rotterdam (avec Dogma) Octobre 2011 Workshop autour de l’aire urbaine de la gare à Diyarbakir, Turquie (avec Dogma) Septembre-Novembre 2010 Scénographie de l’exposition ‘100 regards sur la ville’ à Genève Novembre 2009 Workshop, Madrid. Recherche sur la potentialité des aires suburbaines europèennes Avril 2009 Workshop, Côme. Etude des pratiques spatiales de la ville

Logiciels Autocad +++, Suite Adobe +++, Vectorworks ++, 3dsmax ++, Rhinoceros ++, Sketchup +++ Mac ou Pc

Langues Français (langue maternelle), Anglais (parlé et écrit couramment: First Certificate of Cambridge (2004), CLES Certificat en langues de l’enseignement supérieur (2010)), Allemand (niveau scolaire)

Centres d’intérêt Voyages (Europe, Canada, New-York, Taiwan), Photographie (Argentique), Musique (Violoncelle) 49


julia.tournaire@gmail.com +33 6 76 76 72 80

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