CMBV - Saison 08/09

centre de musique baroque de versailles saison 2008-2009

Valoriser le patrimoine musical français baroque et classique.

Cette mission nationale, confiée au Centre de Musique Baroque de Versailles, se décline dans les champs de la recherche, de la documentation, de l’édition, de la formation d’interprètes et de la production de concerts sur instruments d’époque, au château de Versailles.

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Le Centre de Musique Baroque de Versailles, organisme associé à l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles, est subventionné par : • le Ministère de la culture et de la communication direction de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles • l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles • le Sénat • le Conseil Régional d’Ile-de-France • le Conseil Général des Yvelines • la Ville de Versailles Son département Recherche est une Unité Mixte du CNRS

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Depuis maintenant plusieurs décennies, nous assistons à une éclosion de festivals de musique baroque en France. Ces manifestations, qui témoignent de la vitalité et de la créativité des artistes qui se consacrent à ce répertoire, rencontrent la faveur sans cesse croissante du public.

Le festival programmé chaque année, à l’automne, dans le Château et dans la Ville de Versailles n’est cependant pas un festival tout à fait comme les autres. Conçu par le Centre de Musique Baroque de Versailles, dont la mission est de redécouvrir, d’éditer et de faire connaître des œuvres du patrimoine français des XVIIe et XVIIIe siècles, ce festival se consacre essentiellement, pour ne pas dire exclusivement, à ce répertoire et cela dans un cadre qui très souvent a été celui de la création des œuvres présentées.

C’est ainsi, que d’année en année, les « Grandes Journées » permettent de redécouvrir des œuvres inédites et toute la variété de la personnalité artistique des compositeurs qui les ont créées. « Les Grandes Journées Lully » ne feront pas exception à la règle puisqu’elles s’attacheront à l’œuvre de ce florentin qui sut le mieux, parmi les musiciens de son temps, donner corps au grand style français.

Cette programmation – et c’est une autre singularité de notre festival – s’appuie par ailleurs sur le considérable travail scientifique qu’illustre plus particulièrement l’édition des partitions des œuvres programmées. Cette rigueur n’exclut pas le choix de susciter des événements exceptionnels comme la re-création de l’orchestre des Vingt-quatre Violons du Roi qui jouera dans la Galerie des Glaces sur des instruments spécialement recréés pour cette occasion.

Le Centre de Musique Baroque de Versailles occupe dans le paysage culturel et musical de notre pays une place singulière, nécessaire et irremplaçable. Associé au destin culturel de l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles, il contribue à son rayonnement et à l’accomplissement de ses missions. J’en suis infiniment heureux.

Jean-Jacques Aillagon Ancien ministre Président de l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles

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Après 20 ans d’existence – dignement fêtés lors des Grandes Journées Anniversaire de l’automne 2007 – le Centre de Musique Baroque de Versailles souhaitait célébrer à nouveau le compositeur le plus emblématique du style français : Jean-Baptiste Lully. C’est avec des Grandes Journées Lully que le Centre fut créé en 1987, c’est avec de nouvelles Grandes Journées Lully qu’il aborde donc la décennie qui s’ouvre devant lui.

Ce choix de programmation ne se résume toutefois pas à un simple clin d’œil au passé. Les Grandes Journées Lully 2008 entendent apporter un éclairage original sur une période moins connue de la vie du célèbre compositeur : celle de sa jeunesse, de son arrivée en France à la fin des années 1640 jusqu’à la création de son premier opéra en 1673. Période mal connue mais pourtant essentielle, car c’est elle qui vit naître la plupart des genres qui feront toute la singularité de la musique française pendant un siècle et demi : le ballet de cour, la comédie-ballet, la tragédie en musique, la suite d’orchestre, les ordres de clavecin, l’air sérieux et à boire, le grand et le petit motet… Telle est l’ambition des Grandes Journées Lully, Naissance d’un Roi. Avant ces Grandes Journées, le Centre vous convie, le dernier week-end de septembre, à de nouvelles Fêtes Baroques : quatre concerts et spectacles programmés dans la ville et au château de Versailles.

Enfin, vous retrouverez tout au long de la saison les Jeudis Musicaux de la Chapelle royale, auditions des Pages & des Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles et des organistes du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, de même que les Rencontres des Menus Plaisirs, conférences et débats animés deux mardis par mois par des musicologues et des interprètes.

Comme chaque année, les artistes les plus talentueux s’associent aux thématiques et programmations du Centre : Hervé Niquet et son Concert Spirituel, le chœur Arsys Bourgogne et l’Harmonie Universelle sous la direction de Pierre Cao, les Menus Plaisirs du Roy de Jean-Luc Impe, le Quatuor Mosaïques, la compagnie l’Éventail de Marie-Geneviève Massé et la Simphonie du Marais dirigée par Hugo Reyne, Skip Sempé et son Capriccio Stravagante, Le Poème Harmonique et Vincent Dumestre, l’Ensemble Spirale de Marianne Müller, Ausonia dirigé par Frédéric Haas et Mira Glodeanu, Fabio Bonizzoni et la Risonanza, Patrick Cohën-Akenine et les Folies françoises, les Pages & les Chantres du CMBV associés à Musica Florea sous la direction d’Olivier Schnebeeli, Marco Horvat et l’ensemble Faenza, Louis Castelain et son Parnasse Français, Claire Antonini au luth, Benjamin Alard au clavecin…

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Nous remercions tous ceux qui, autour du Ministère de la Culture et de la Communication, contribuent activement au financement du Centre et particulièrement de sa saison : le Château de Versailles et son président Jean-Jacques Aillagon, le Sénat, le Conseil régional d’Ile-de-France, le Conseil général des Yvelines, la Ville de Versailles, le CNRS et l’ensemble des entreprises et mécènes qui nous renouvellent, avec tant d’enthousiasme, leur confiance. À tous, nous vous souhaitons de profiter pleinement des Fêtes Baroques et des Grandes Journées Lully !

Bertrand Dufourcq Ambassadeur de France Président du Conseil d’Administration Hervé Burckel de Tell Directeur Général

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Quel lieu plus que Versailles entretient avec la musique une union si évidente, si étroite et si nécessaire ? L’Histoire parle d’elle-même…

Dès l’époque de Louis XIII, airs de cour, motets et messes y sont joués, alors que Versailles n’est qu’un modeste pavillon de chasse.

Trente ans plus tard, l’engouement de Louis XIV pour le domaine de son père se concrétise – en musique – avec les célèbres Plaisirs de l’Isle enchantée, orchestrés par Lully qui devient très vite la figure incontournable des spectacles de la Cour. Fédérant les talents, suscitant une émulation intellectuelle sans précédent, il crée tous les genres marquants de Versailles : ballet, grand motet, comédie-ballet et tragédie lyrique. Sous sa direction, les différents corps de musique de la Cour acquièrent leurs lettres de noblesse : la Chambre, la Chapelle, l’Écurie. La musique du Roi Soleil est alors le modèle incontesté de toute l’Europe.

Après les années de Régence, le jeune Louis XV rend au château sa splendeur grâce à toute une nouvelle génération d’artistes.

Campra, Mondonville ou Rameau connaissent alors leur heure de gloire dans un Versailles raffiné. Le court règne de Louis XVI amorce quant à lui une ouverture sur l’Europe. Profitant avantageusement du grand Opéra royal et du Petit Théâtre nouvellement construit à Trianon, Grétry, Gluck, Piccinni ou Sacchini – appuyés par MarieAntoinette – donnent à la musique française un nouvel élan.

Avec la Révolution, un silence inconnu s’intalle à Versailles.

Napoléon, Louis XVIII et Charles X y effectuent bien quelques séjours mais c’est Louis-Philippe qui, en 1837, décide d’en faire un monument dédié « à toutes les gloires de la France ». Désormais Versailles n’est plus la scène où s’exerce le pouvoir, mais celle où se raconte l’histoire. Le mythe se construit. Dès l’inauguration du Musée de l’Histoire de France, un étonnant ballet évoque la splendeur passée du règne de Louis XIV. À la fin du XIXe siècle, Couperin, Lully, Rameau et Lalande sont défendus avec passion par la jeune génération des César Franck, Camille Saint-Saëns, Vincent d’Indy, Ernest Chausson et Claude Debussy, qui mettent la première main à l’édition monumentale de l’œuvre de leurs aînés.

Bien plus tard est esquissée, en 1937, l’idée d’un « festival de musique ancienne » destiné à rendre sa musique à Versailles.

Mais il faudra attendre encore cinquante ans pour qu’une action de fond voie le jour au château, confiée au Centre de Musique Baroque de Versailles qui, depuis lors, n’a cessé de révéler au public les grandes pages du répertoire baroque.

Aujourd’hui plus que jamais, Versailles peut être fier d’un patrimoine musical érigé tour à tour en modèle puis en mythe.

Benoît Dratwicki Directeur Artistique

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Le Centre de Musique Baroque de Versailles et Château Versailles Spectacles coréalisent les Fêtes Baroques et les Grandes Journées Lully

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fêtes baroques grandes journées lully

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Naissance d’un Roi cadmus & hermione - le film le ballet des arts l’orchestre du roi-soleil la nouvelle chapelle royale au temps de louis xiv l’origine du spectacle d’opéra versailles musique versailles insolite un dimanche à trianon

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et toujours

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Les rendez-vous à Versailles

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journées du patrimoine rencontres des menus plaisirs jeudis musicaux

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Index Compositeurs, interprètes, lieux de concerts

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Calendrier

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Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires

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Informations pratiques Plans, réservations, tarifs

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Inaugurées en 2006, les Fêtes Baroques sont l’occasion de faire entendre, dans la ville et au château de Versailles, les grandes pages des compositeurs français de l’époque baroque. Voyager à travers les époques, à travers les styles, parfois au-delà des frontières françaises de l’Ancien régime, tel est le programme de l’édition 2008.

Extraits d’opéras, motets et cantates, musiques d’orchestre et pièces instrumentales s’épanouissent au gré des architectures : sous les voûtes chamarrées de la Chapelle royale, dans la salle historique du théâtre de Melle Montansier, parmi les dorures de la salle des Fêtes de l’Hôtel de ville ou dans le vaste manège de la Grande Écurie.

Les Fêtes Baroques bénéficient du soutien de la Ville de Versailles

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samedi 27 et dimanche 28 septembre

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samedi 27 septembre à 17h30

Manège de la Grande Écurie

tarif A placement numéroté

avenue Rockfeller parking dans la ville

versailles opéra François Francœur Symphonies pour le Festin royal du comte d’Artois Jean-Baptiste Lully Atys et Persée (extraits) André Cardinal Destouches Callirhoé (extraits) Jean-Philippe Rameau Hippolyte & Aricie (extraits) L’histoire de Versailles et celle de l’opéra français restèrent indissociablement liées jusqu’à la Révolution française. Les airs de Lully, de Destouches ou de Rameau, minutieux travaux d’orfèvrerie musicale et théâtrale, résonnèrent dans tout le château, des salons et galeries jusques aux cours où furent édifiés tant de théâtres éphémères.

Suites d’orchestre et symphonies festives ponctuaient quant à elles la vie quotidienne, accompagnant les soupers ordinaires du roi et les plus extraordinaires festins royaux.

Anna Maria Panzarella, dessus

Le Concert Spirituel Hervé Niquet, direction

Avec la collaboration de l’Académie du Spectacle équestre Partition de Destouches réalisée par le CMBV Concert enregistré par France Musique

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samedi 27 septembre à 21h

Chapelle royale

tarif A

accès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

placement numéroté

piété à la française Jean-Sébastien Bach Cantate BWV 78 : Jesu der du meine Seele Georg Philipp Telemann Deus judicium tuum Jean-Philippe Rameau In convertendo Maître de l’opéra au temps des Lumières, Rameau avait signé dans sa jeunesse des grands motets d’une extraordinaire richesse, qui furent joués à Paris tout au long du XVIIIe siècle. Admirateur inconditionnel du style français, Jean-Sébastien Bach composa à la même époque nombre de cantates et de pièces instrumentales directement imitées de l’art de Lully, Couperin ou Marchand. Tout autant fasciné par l’art français, Telemann concrétisa son rêve de s’installer à Paris au milieu des années 1730, et écrivit notamment un grand motet destiné au Concert Spirituel. Les trois œuvres réunies dans ce programme illustrent à elles seules la perfection du goût français à l’aube du siècle des Lumières, et son assimilation par les plus grands génies du temps.

Stéphanie Revidat, Ingrid Perruche, sopranos Britta Schwarz, alto Markus Schäfer, ténor Alain Buet, Stephan MacLeod, basses

Chœur Arsys Bourgogne L’Harmonie universelle Pierre Cao, direction

Partition de Rameau réalisée par le CMBV Concert enregistré par France Musique

fêtes baroques

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dimanche 28 septembre à 15h30

Salle des Fêtes de la Mairie

tarif C placement numéroté

4, avenue de Paris parking dans la ville

quatuors d’un nouveau genre Rodolphe Kreutzer Quatuor en sol majeur n°2 Hyacinthe Jadin Quatuor en ut majeur opus 3 n°1 Alexandre Boëly Quatuor en la mineur opus 27 n°1 Trois compositeurs natifs de Versailles, Hyacinthe Jadin, Alexandre Boëly et Rodolphe Kreutzer, témoignent de l’essor des genres instrumentaux à la fin du XVIIIe siècle. Plus que tous les autres, le quatuor à cordes s’affirma comme le lieu de toutes les modernités où s’épanouirent mélodies expressives, accents passionnés et développements ambitieux annonciateurs du premier romantisme.

Tourmenté sous la plume de Jadin, savant sous celle de Boëly ou virtuose entre les mains de Kreutzer, le quatuor fait miroiter les aspirations esthétiques et philosophiques d’une génération formée à l’ombre de la cour de Louis XVI et exaltée par les événements révolutionnaires.

Quatuor Mosaïques Erich Höbarth, violon Andrea Bischof, violon Anita Mitterer, alto Christophe Coin, violoncelle

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dimanche 28 septembre à 17h30

Théâtre Montansier

tarif B

13, rue des Réservoirs parking dans la ville

placement numéroté

pierrot cadmus Parodie de Cadmus & Hermione Écho festif du Cadmus & Hermione de Lully représenté en janvier 2008 à l’Opéra Comique, Pierrot Cadmus en est une parodie burlesque et satyrique, créée en 1737 sur les théâtres de foire de Paris alors que l’Académie royale de Musique redonnait le grandiloquent ouvrage consacré à la gloire de Louis XIV. Différents niveaux de lecture – politiques, sociaux, esthétiques ou philosophiques – donnent une saveur piquante toujours d’actualité à un divertissement où se côtoient musiciens, acteurs, chanteurs et marionnettes pour la plus grande joie des adultes et des enfants.

Les Menus Plaisirs du Roy Jean-Luc Impe, direction

Avec la collaboration du Théâtre Montansier

fêtes baroques

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Les Grandes Journées Lully 2008 – naissance d’un Roi – ont été conçues comme une exposition au cours de laquelle le visiteur (en l’occurrence l’auditeur) découvre, salle après salle, des œuvres lui permettant de mieux comprendre l’émergence d’une nouvelle société et d’un nouveau goût à l’aube du règne de Louis XIV. Trente ans (1650-1680) qui virent la France s’ériger en première nation du monde : le Roi-Soleil construit sa gloire, Versailles s’élève pierre après pierre, Lully imagine une musique « française ». Autant de modèles politiques, architecturaux et musicaux dont l’Europe du Grand Siècle saura tirer profit.

Huit grandes étapes jalonnent cette exposition de musique : à l’orangerie, la recréation – pour la première fois à Versailles depuis trois cents ans – d’un ballet de cour. à la galerie des glaces, la restitution des Vingt-quatre Violons du Roi. à la chapelle royale, des grands motets de Du Mont, Robert et Lully. à la galerie des batailles, les musiques du Bourgeois gentilhomme et de Cadmus & Hermione. toujours à la galerie des batailles, une évocation musicale des premières fêtes de Versailles, dans une formule d’accès « Versailles musique » conciliant visite du château et concert. dans les salons des gardes de la reine et des gardes du roi, des concerts de musique de chambre ; un « Versailles insolite ». au grand trianon, à l’occasion du désormais traditionnel Dimanche à Trianon, un florilège de musiques de Lully et de ses contemporains, agrémenté d’un déjeuner pique-nique. L’exposition ne serait pas complète sans le genre scénique que Lully créa de toutes pièces : la tragédie en musique.

Cadmus & Hermione, premier opéra français créé en 1673, a été représenté en janvier dernier au théâtre national de l’Opéra Comique en coproduction avec le Centre de Musique Baroque de Versailles. Pour ceux qui n’auraient pu assister à l’une de ces inoubliables représentations, le Centre est heureux de vous en présenter le film en avant-première dans le cadre de ces Grandes Journées.

Enfin une série de conférences s’adressent à ceux qui souhaitent enrichir leur connaissance du jeune Lully.

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du 29 septembre au 29 novembre

grandes journÊes lully Naisssance d’un Roi

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grandes journĂŠes lully

cadmus & hermione Le film

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lundi 29 septembre à 21h

Manège de la Grande Écurie avenue Rockfeller parking dans la ville

sur invitation à retirer au CMBV dans la limite des places disponibles placement numéroté

cadmus & hermione Le film

Tragédie mise en musique en un prologue et cinq actes de Jean-Baptiste Lully. Poème de Quinault d’après « Les métamorphoses » d’Ovide. Créée à Paris le 27 février 1673. Donnée du 21 au 27 janvier 2008 à l’Opéra Comique, à Paris.

Solistes, danseurs, chœur et orchestre du Poème Harmonique André Morsch, Cadmus Claire Lefilliâtre, Hermione Arnaud Marzorati, Arbas – Pan Isabelle Druet, Charité – Mélisse Camille Poul, Amour – Palès Jean-François Lombard, La Nourisse – Echion Vincent Dumestre, direction musicale Benjamin Lazar, mise en scène Louise Moaty, collaboration à la mise en scène Gudrun Skamletz, chorégraphie Adeline Caron, scénographie Alain Blanchot, costumes Christophe Naillet, lumières Mathilde Benmoussa, maquillage Antoine Fontaine, réalisation des toiles peintes

Avec la collaboration de l’Académie du Spectacle équestre Décors financés par « Musiques du Baroque Français », mécène principal du CMBV Partition réalisée par le CMBV Coréalisation Centre de Musique Baroque de Versailles/Opéra Comique Coproduction Centre de Musique Baroque de Versailles/ Opéra Comique/Fondation Royaumont/ Théâtre de Caen/Opéra de Rouen-Haute Normandie/Poème Harmonique

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Le succès de la recréation de Cadmus & Hermione de Lully à l’Opéra Comique, en janvier 2008, a consacré le travail d’expérimentation et le regard neuf porté sur ce répertoire par l’équipe dynamique du Poème Harmonique, de Vincent Dumestre et de Benjamin Lazar. Il a aussi révélé le génie et l’inventivité de Lully et Quinault qui, dès leur premier opéra, réalisèrent un chef-d’œuvre incontestable.

Le Centre de Musique Baroque de Versailles était coproducteur de Cadmus & Hermione en prenant en charge la restitution de décors plantés, inspirés de Bérain, destinés à enrichir le fond de décors de l’Opéra royal. C’est en avant-première de la sortie du DVD de Cadmus & Hermione que vous est proposée la projection du film réalisé lors des représentations.

Réalisation Martin Fraudreau. Filmé à l’Opéra Comique en janvier 2008. Une coproduction Amiral LDA - Alpha avec le soutien de France 2 et du CNC. Sortie nationale du DVD le 16 octobre 2008 (distribution Harmonia Mundi). Informations : www.cadmus.fr

Rencontres des Menus Plaisirs 23 sept

17h30 Philippe Beaussant

Lully ou la naissance du genre français

25 nov

17h30 Georgie Durosoir

Molière et Lully, l’alliance de deux génies au service d’un genre nouveau : la Comédie-ballet

chercheur associé au CMBV

2 déc

17h30 Buford Norman chercheur associé au CMBV

Le poète des grâces : Quinault, librettiste de Lully

grandes journées lully | cadmus & hermione - Le film

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le ballet des Recréation arts d’un ballet de cour à Versailles

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jeudi 2 octobre vendredi 3 octobre à 21h

Orangerie

tarif A

accès par la Cour des Princes parking Cour d’honneur

placement numéroté

le ballet des arts d’Isaac de Benserade et Jean-Baptiste Lully Pendant plus de vingt ans, le ballet fut le genre le plus représenté dans la production du jeune Lully. Au sein de ce corpus, Le Ballet des Arts occupe une place stratégique : monté au Palais royal en janvier 1663, il est le premier grand ballet de cour entièrement sorti de la plume du compositeur.

Un ton noble, digne et galant caractérise toutes les pages musicales de ce ballet et évoque l’efflorescence des arts sous le règne du jeune Louis XIV. L’Agriculture, la Navigation, l’Orfèvrerie, la Peinture, la Chasse, la Chirurgie et la Guerre viennent tour à tour rendre hommage au monarque, travesti par la plume de Benserade en Apollon.

Anouschka Lara, dessus Mélodie Ruvio, bas-dessus Romain Champion, haute-contre Arnaud Richard, basse-taille

Compagnie l’Éventail Marie-Geneviève Massé, direction artistique Marc Barret, Bruno Benne, David Berring, Bérengère Bodénan, Olivier Collin, Irène Ginger, Adeline Lerme, Enora Mantel, Anne-Sophie Ott, danseurs Volodia Lesluin et Cyrille Musi, acrobates

La Simphonie du Marais Hugo Reyne, direction Marie-Geneviève Massé, conception et chorégraphie Vincent Tavernier, conception et mise en scène Olivier Bériot, costumes Claire Niquet, scénographie Carlos Perez, lumières

Coproduction Centre de Musique Baroque de Versailles, Festival Musiques à la Chabotterie (Conseil Général de la Vendée), Scène conventionnée de Sablé, La Simphonie du Marais et la compagnie de danse l’Éventail.

Enregistrement pour Accord-Universal.

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Pendant plus d’un siècle, le ballet de cour fut le genre le plus brillant des spectacles donnés à la cour de France. Confiés aux meilleurs artistes et artisans de l’époque, chaque œuvre déployait un luxe aujourd’hui difficilement imaginable, combinant à l’ampleur des effectifs toute la richesse de machines et de costumes dictée par une imagination résolument « baroque ».

Des sujets politiques, héroïques et galants voisinaient avec des thèmes plus loufoques regorgeant d’effets comiques débridés. Aux artistes de la Cour – danseurs, chanteurs et musiciens – se mêlaient les dames et les seigneurs, imités par le Roi lui-même entouré de la famille royale. La danse, comme la chasse ou l’équitation, avait alors une fonction sociale et politique. Plus encore que son père ou son grand-père, Louis XIV su faire du ballet une mise en scène intelligente et efficace du pouvoir : jusqu’au Triomphe de l’Amour (1681), près d’une trentaine d’ouvrages de ce genre saluèrent ses hauts faits militaires et diplomatiques.

Bien plus encore que l’opéra, le ballet de cour est un spectacle emblématique de la jeunesse de Louis XIV : la recréation, à Versailles, du Ballet des Arts s’imposait donc pour évoquer la splendeur des premières années du règne.

Rencontres des Menus Plaisirs 23 sept

17h30 Philippe Beaussant

Lully ou la naissance du genre français

25 sept

17h30 Marie-Geneviève Massé

Le ballet de Cour à l’époque de Lully : exemple du Ballet des Arts (1663)

chorégraphe

grandes journées lully | le ballet des arts

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grandes journĂŠes lully

l’orchestre du roi-soleil Reconstitution des Vingt-quatre Violons du Roi

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mercredi 15 octobre jeudi 16 octobre à 21h

Galerie des Glaces

tarif Prestige

accès par la Grille royale puis par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

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de l’orfeo de rossi à psyché de lully Dialogue entre la musique française et italienne Luigi Rossi Orfeo (extraits) Jean-Baptiste Lully Le Ballet royal de la Naissance de Vénus Le Ballet des Muses Le Ballet royal de la Raillerie Les Jeux Pithiens (extraits) Psyché (Intermèdes musicaux de la tragicomédie) Les auteurs français et étrangers qui eurent le privilège de composer des divertissements, des ballets ou des opéras pour la cour du jeune Louis XIV s’employèrent tous à mettre en valeur le formidable orchestre des Vingt-quatre Violons du Roi. Si Rossi dans son Orfeo (1647) conserve une écriture à deux, trois ou quatre parties, tous les ballets, intermèdes ou tragédies lyriques joués à la Cour feront désormais appel, jusqu’à la fin du siècle, à l’écriture en cinq parties dont l’ampleur et la grave solennité étaient tout aussi propres à accompagner le jeu des machines, que les chants des acteurs ou les évolutions chorégraphiques.

Ana Quintans, dessus Céline Ricci, bas-dessus Mathias Vidal, haute-contre Jean-François Novelli, taille Aimery Lefèvre, basse-taille

Les Folies françoises Patrick Cohën-Akenine, violon et direction

Instruments réalisés par Antoine Laulhére et Giovanna Chittó da Brescia, luthiers Concerts enregistrés par France Musique

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Orchestre mythique de la Cour, les Vingt-quatre Violons avaient été institués par Louis XIII pour accompagner toutes les grandes heures de la vie du Roi. Confiés à Lully par le jeune Louis XIV, ils devinrent rapidement l’ensemble de référence dans une Europe éblouie par les fastes versaillais.

Copiés, mais jamais égalés, les Vingt-quatre Violons impressionnaient par leur virtuosité et leur discipline rigoureuse fort éloignée des pratiques du temps.

Regroupant toute la famille des violons (six dessus, quatre hautes-contre, quatre tailles, quatre quintes et six basses), l’ensemble permettait un parfait équilibre sonore, privilégiant les parties graves selon un idéal totalement différent de l’esthétique italienne (deux violons, alto et basse), qui devait pourtant le supplanter un siècle plus tard.

La haute-contre, la taille et la quinte disparurent au milieu du XVIIIe siècle, éclipsés par l’alto. En faisant reconstruire aujourd’hui douze instruments d’après des sources d’époque, le Centre de Musique Baroque de Versailles s’engage dans une quête passionnante : retrouver le son de l’orchestre du Roi-Soleil.

Rencontres des Menus Plaisirs 23 sept

17h30 Philippe Beaussant

Lully ou la naissance du genre français

15 oct

17h30 Jean Duron

Les timbres de l’orchestre de Lully

grandes journées lully | l’orchestre du roi-soleil

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grandes journĂŠes lully

la nouvelle chapelle royale au temps de louis xiv L’invention du grand motet versaillais

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samedi 18 octobre à 21h

Chapelle royale

tarif A

accès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

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l’invention d’un style Pierre Robert Nisi Dominus De Profundis Quare fremuerunt gentes Te decet hymnum Henry Du Mont Domine quid multiplicati sunt Avec des personnalités sensiblement différentes, Robert et Du Mont renouvelèrent le style musical en vigueur à la chapelle des rois de France. Alors que le premier imagine un ton déclamatoire et théâtral curieusement proche du futur opéra lullyste, le second s’imprègne de la « manière » italienne importée en France au temps de Mazarin par Rossi, Cavalli et toute une vague d’interprètes et de compositeurs venus de Florence, de Venise et de Rome. L’usage de la basse continue, l’affirmation d’un système « tonal » jusqu’alors inouï, l’emploi des violons ou l’opposition de plusieurs groupes vocaux sont autant de témoignages des fébriles expérimentations d’une génération d’artistes consciente de voir se lever l’aurore d’un règne amené à bouleverser plusieurs siècles de traditions.

Dagmar Saskova, dessus Damien Guillon, Robert Getchell, hautes-contre Jean-François Novelli, taille Alain Buet, basse taille Arnaud Richard, basse

Musica Florea Marek Stryncl, direction artistique

Les Pages et les Chantres du CMBV Olivier Schneebeli, direction Partitions réalisées par le CMBV Concert enregistré par France Musique

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Plus encore que les musiques d’appartement ou de théâtre, la musique sacrée soulignait avec emphase la gloire et la puissance royale. Louis XIV l’avait bien compris : dès le début de son règne, il s’employa à renouveler le style et les genres en vigueur jusqu’alors.

Une première génération d’artistes, dont Pierre Robert et Henry Du Mont restent les plus célèbres, réussit la synthèse harmonieuse d’un style vocal polyphonique complexe hérité de la Renaissance avec les audaces harmoniques et les recherches orchestrales du tout jeune courant « baroque ».

Joués au Louvre, à Saint-Germain-l’Auxerrois ou dans les chapelles des différentes résidences royales, ces ouvrages conservaient un caractère intime.

Rencontres des Menus Plaisirs 23 sept

17h30 Philippe Beaussant

Lully ou la naissance du genre français

14 oct

17h30 Thomas Leconte

Naissance d’un genre français : le grand motet de la première Chapelle de Louis XIV (1663-1683)

CMBV

grandes journées lully | la nouvelle chapelle royale au temps de louis xiv

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samedi 15 novembre à 21h

Chapelle royale

tarif A

accès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

placement numéroté

l’invention d’un genre Jean-Baptiste Lully Plaude lætare Gallia O lacrymae Te Deum Si Robert et Du Mont composèrent la majorité de leurs motets pour les messes « ordinaires » du souverain, Lully ne signa d’ouvrages sacrés que pour des grandes occasions : du Jubilate Deo (1660) au Te Deum (1677), tous ses grands motets furent interprétés par d’impressionnantes masses instrumentales et chorales dans les plus vastes églises de Paris. À la grandeur des lieux répondaient le nombre des exécutants, la pompe du cérémonial et surtout l’emphase du style.

Une fois installé à Versailles, Louis XIV privilégiera ce genre monumental imaginé par Lully, dont le Miserere, le Te Deum ou le De profundis resteront pour longtemps les modèles de la jeune génération des Charpentier, Desmarest, Colasse et Lalande.

Edwige Parat, Catherine Padaut, dessus Robert Getchell, haute-contre Romain Champion, taille Benoît Arnoult, basse-taille

Le Parnasse français Louis Castelain, direction

Concert enregistré par France Musique

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L’installation de la Cour à Versailles (1682) vit sonner le glas des carrières de Robert et Du Mont : si leurs motets – arrangés pour un effectif plus imposant – furent encore joués quelque temps, ils furent rapidement éclipsés par ceux de Lully puis de Lalande dont l’opulence et la majesté trouvèrent, dans la dernière Chapelle royale inaugurée en 1710, un écrin à leur mesure. Le grand motet versaillais devait désormais y régner pendant près d’un siècle sans presque plus changer de physionomie.

Rencontres des Menus Plaisirs 23 sept

17h30 Philippe Beaussant

Lully ou la naissance du genre français

14 oct

17h30 Thomas Leconte

Naissance d’un genre français : le grand motet de la première Chapelle de Louis XIV (1663-1683)

CMBV

grandes journées lully | la nouvelle chapelle royale au temps de louis xiv

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grandes journées lully

l’origine du spectacle d’opéra Les ultimes comédies-ballets de Molière et Lully

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samedi 29 novembre à 21h

Galerie des Batailles

tarif A

accès par la Cour des Princes parking Cour d’honneur

placement numéroté

du bourgeois gentilhomme à cadmus & hermione : l’invention de l’opéra Ballets, comédies-ballets et autres œuvres de jeunesse de Jean-Baptiste Lully Grâce à la musicalité de Lully, le génie de Molière devait s’épanouir plus que jamais dans ses dernières comédies-ballets. Grâce à la verve de Molière, Lully imagina – alors qu’il travaillait à ces derniers ouvrages – écrire par la suite un spectacle entièrement musical. Les intermèdes chantés ou dansés du Bourgeois gentilhomme et autres comédies-ballets ne sont plus de simples divertissements destinés à varier le spectacle théâtral : ils sont le cœur même de l’action, le nœud de l’argumentaire et la clé du récit. Leur importance dramaturgique est mise en relief par une musique visionnaire, résumant les scènes caractéristiques de la centaine d’opéras qui suivra : sommeils, entrées de masques, duos galants, fêtes bachiques, pantomimes burlesques…

Claire Lefilliâtre, dessus NN, bas-dessus Jean-François Lombard, haute-contre Serge Goubioud, taille Arnaud Marzorati, basse-taille André Morsch, basse

Le Poème Harmonique Vincent Dumestre, direction

Partitions de Cadmus & Hermione réalisée par le CMBV

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La création de la première tragédie lyrique de Lully et Quinault, Cadmus & Hermione, en 1673, inaugure trois siècles d’histoire pour l’opéra français.

Elle représente surtout l’aboutissement de plus d’un demi-siècle de questionnements et d’expériences visant à créer un « spectacle total » digne de la cour de France. Si le ballet de cour, l’opéra italien et les musiques de salon furent autant de creusets propres à l’épanouissement d’un véritable genre lyrique français, la comédie-ballet inventée au début des années 1660 par Molière et Lully, fut le terrain des recherches décisives en la matière. Avec un sens égal du théâtre et de la musique, les deux auteurs réussirent à combiner ingénieusement scènes déclamées et intermèdes chantés ou dansés. Le Bourgeois gentilhomme (1670) et Les Amants magnifiques (1670), leurs ultimes chefs-d’œuvre, restent aujourd’hui encore d’une efficacité dramaturgique inégalée, où le burlesque, le tendre et le spectaculaire voisinent avec un à propos éblouissant.

Rencontres des Menus Plaisirs 23 sept

17h30 Philippe Beaussant

Lully ou la naissance du genre français

25 nov

17h30 Georgie Durosoir

Molière et Lully, l’alliance de deux génies au service d’un genre nouveau : la Comédie-ballet

chercheur associé au CMBV

2 déc

17h30 Buford Norman chercheur associé au CMBV

Le poète des grâces : Quinault, librettiste de Lully

grandes journées lully | l’origine du spectacle d’opéra

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grandes journées lully

versailles musique Échos des fêtes de la Cour, des Plaisirs de l’Isle enchantée au Grand Divertissement royal

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samedi 11 octobre à 14h30 à 17h

Galerie des Batailles accès par la Cour des Princes parking dans la ville

tarif Versailles Musique - Lully visite du château + concert ou concert seul placement libre

échos des fêtes de la cour Scènes tirées des Plaisirs de l’Ile enchantée, de La Pastorale comique et du Grand Divertissement royal de Versailles… (extraits) de jean-baptiste lully Avant même de s’installer à Versailles, Louis XIV décida de faire de sa future résidence le théâtre des plus superbes fêtes que la royauté n’ait jamais organisées. Les Plaisirs de l’Isle enchantée (1664) et le Grand Divertissement royal (1668) ponctuèrent ainsi les premières années du règne et inaugurèrent les fastes de la vie de la Cour dans ce nouvel écrin d’or, de marbre et de verdure. Orchestrées par Lully, ces fêtes mêlèrent les plus grandes personnalités artistiques et politiques du temps, mises en scène dans des cavalcades, courses de bagues, ballets, comédies et feux d’artifice. Les musiques de George Dandin, de La Princesse d’Élide ou du Ballet d’Alcine comptent parmi les premiers chefs-d’œuvre lyriques de Lully.

Dorothée Leclair, dessus Benjamin Alunni, basse-taille Antoni Fajardo, basse

Capriccio Stravagante Skip Sempé, direction Sophie Gent, Tuomo Suni, violons Nick Milne, ténor de viole Julien Leonard, Josh Cheatham, basses de viole Julien Martin, Marine Sablonnière, flûtes à bec Diego Salamanca, théorbe Skip Sempe, clavecin

Concerts enregistrés par France Musique

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Redécouvrir Versailles au gré d’une visite de salles emblématiques et d’autres plus intimes, couronnées par un concert évoquant les fastes de la vie de cour.

Telle est la formule « Versailles Musique », permettant de combiner, avec un seul billet d’accès et pour un prix attractif, une visite du château et une heure de musique dans la Galerie des Batailles.

Rencontres des Menus Plaisirs 23 sept

17h30 Philippe Beaussant

Lully ou la naissance du genre français

30 sept

17h30 Raphaël Masson

La place de la musique dans les grandes fêtes de Versailles : effectifs et implantations

Centre de Recherche du Château

21 oct

17h30 Catherine Cessac CNRS – CMBV

Les Plaisirs de l’Ile enchantée : une alchimie des genres

grandes journées lully | versailles musique

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grandes journées lully

versailles insolite Dans l’intimité musicale de Louis XIV

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samedi 11 octobre à 21h

Grands Appartements

tarif B2 placement libre

samedi 18 octobre à 18h

dans l’intimité royale Deux concerts dans les appartements du Roi et de la Reine. Découvrir des pièces musicales dans les lieux mêmes où elles ont pu être créées. sam 11

21h

récital de clavecin

Salle des Gardes de la Reine

17h

en option : visite guidée thématique du château 28,10 € par personne (la visite sera confirmée si un groupe de 25 est constitué)

sam 18

18h

airs sérieux et à boire

Salle des Gardes du Roi

16h

en option : visite guidée thématique du château 28,10 € par personne (la visite sera confirmée si un groupe de 25 est constitué)

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Plonger au cœur de Versailles, dans les salons et les appartements privés qui accueillirent la vie quotidienne des souverains, où seuls quelques musiciens favoris avaient l’honneur de se produire devant un cercle de privilégiés. Telle est la formule « Versailles insolite » permettant de goûter dans les meilleures conditions la musique dans des lieux rares. Le concert est précédé, pour ceux qui le souhaitent, d’une visite guidée du château.

grandes journées lully | versailles insolite

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samedi 11 octobre à 21h

Salle des Gardes de la Reine

tarif B2 placement libre

accès par la Grille royale puis par l’escalier de la Reine parking Cour d’honneur

récital de clavecin Œuvres de Chambonnières, Froberger, Louis Couperin, d’Anglebert et Rossi.

Transcriptions de Lully C’est à la fin du XVIIe siècle que le clavecin acquit toutes ses lettres de noblesse, supplantant progressivement le luth qui avait connu jusqu’alors une vogue extraordinaire. Toute une génération de virtuoses jeta les bases de l’école française de clavecin dès le règne de Louis XIII : Jacques Champion de Chambonnières et, plus tard, Louis Couperin ou Jean-Henry d’Anglebert, en sont incontestablement les plus grands représentants. Mêlant le raffinement de mélodies ornementées aux rythmes séduisants des danses de cour, les préludes, pavanes, tombeaux et passacailles de tous ces auteurs magnifient à leur façon un art de vivre « à la française » que l’Europe entière admirait.

Benjamin Alard, clavecin

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samedi 18 octobre à 18h

Salle des Gardes du Roi

tarif B2

accès par la Grille royale puis par l’escalier de la Reine parking dans la ville

placement libre

le bel air airs sérieux, airs à boire Musiques de Michel Lambert, Honoré d’Ambruis, Charles Hurel, Joseph Chabanceau de la Barre, Sébastien Le Camus, Bénigne de Bacilly, Dubuisson, Anonymes.

Textes de Charles d’Assoucy, René Bary, Jean de La Fontaine, Michel Lambert, Jean Loret, Tallemant de Réaux, Charles de Vion Nouvel Orphée et chantre fameux, Michel Lambert incarne l’art du chant à la française tel qu’il rayonna dans le Paris des années 1650-1660. Dès son arrivée en France auprès de la Grande Mademoiselle, le tout jeune Lully a l’occasion de côtoyer ce grand artiste, que sa maîtresse pensionne. Naissent alors une amitié durable et un compagnonnage artistique fécond : Lully épouse la fille de Lambert et, avec ce dernier, il collabore activement aux divertissements royaux. Au Bel Air, le cabaret détenu par le beau-père de Lambert, les deux hommes retrouvaient les poètes Benserade et Vion d’Alibray, mais aussi la fille de l’hôte des lieux, Hilaire Dupuis, qui allait devenir une des grandes cantatrices de l’époque. Des airs de Lambert, de Bacilly, de D’Ambruis et de Chabanceau de La Barre permettront de se faire une idée de la musique que Lully aurait pu apprécier à la ville, loin des fastes de la cour.

Faenza Marco Horvat, direction Olga Pitarch, chant Marco Horvat, chant et théorbe Bruno Helstroffer, théorbe et guitare

grandes journées lully | versailles insolite

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grandes journées lully

un dimanche à trianon Des musiques de la Chambre aux Concerts d’Appartements

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dimanche 12 octobre de 11h à 17h

Galerie des Cotelle entrée du parc par la Grille de la Reine • entrée gratuite sur présentation du billet de concerts • parking place d’Armes du Grand Trianon

tarif Un dimanche à Trianon 4 concerts + pique-nique ou 4 concerts ou pique-nique placement numéroté

4 concerts et pique-nique Quatre concerts dans la Galerie des Cotelle, de 50 minutes chacun et un pique-nique pour le déjeuner, devant l’Orangerie de Jussieu.

Passer un dimanche complet de musique à Trianon ou goûter les plaisirs d’un seul concert. Au public de choisir.

11h

Récital de luth

Œuvres de Dufaut, Gautier et Dubut

12h30

Voix et violes

Œuvres de Guédron, Boesset, Bataille, Louis Couperin et Sainte-Colombe

13h30

Pique-nique

15h30

Les violons de la Chambre

Œuvres de Lully, d’Anglebert, Chambonnières, Louis Couperin, Matteis et Purcell

17h

Échos d’Italie

Scènes et airs italiens de Lully, Rossi et Cavalli

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C’est à Trianon, loin de la foule des courtisans et des curieux, que les monarques et la famille royale se réfugièrent toujours pour goûter des joies plus authentiques et moins protocolaires entre collations, promenades, concerts et jeux de société. Bien avant que Marie-Antoinette n’y fasse donner des comédies et des opéras sur son petit théâtre, Louis XIV appréciait de se retirer à Trianon avec quelques musiciens choisis qui lui donnaient à entendre des sonates, trios et extraits d’opéras. Un Dimanche à Trianon renoue avec cet art de vivre si raffiné : quatre concerts dans la Galerie des Cotelle, un pique-nique, une visite du domaine ou une promenade menant des jardins français au hameau de la Reine devraient satisfaire toutes les attentes.

grandes journées lully | un dimanche à trianon

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dimanche 12 octobre à 11h

Galerie des Cotelle

tarif C2

entrée du parc par la Grille de la Reine • entrée gratuite sur présentation du billet de concerts • parking place d’Armes du Grand Trianon

placement numéroté

récital de luth Œuvres de Dufaut, Gautier et Dubut Instrument roi du XVIIe siècle français, le luth triompha aussi bien dans les salons que dans les grands spectacles. S’il était idéal pour accompagner les voix, les flûtes ou les violes, il avait parallèlement acquis un statut d’instrument soliste au même titre que la guitare et le clavecin. Les Gautier, Dufaut ou Dubut, tous interprètes et compositeurs, imaginèrent pour lui des pages raffinées et inventives qui firent en leur temps les délices des virtuoses et des amateurs.

Claire Antonini, luth

Concert enregistré par France Musique

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dimanche 12 octobre à 12h30

Galerie des Cotelle

tarif B2

entrée du parc par la Grille de la Reine • entrée gratuite sur présentation du billet de concerts • parking place d’Armes du Grand Trianon

placement numéroté

voix et violes Œuvres de Guédron, Boesset, Bataille et Sainte-Colombe À l’heure où l’art du « beau chant » français s’épanouit sous la plume de Boesset, Bataille ou Lambert, la viole connaît ses premières heures de gloire. L’instrument, qu’on disait si proche de la voix humaine, se perfectionne et devient virtuose entre les mains de Sainte-Colombe et de ses contemporains, les premiers maîtres d’une école française dont Marais, Forqueray et Caix d’Hervelois seront d’autres brillants représentants.

Caroline Pelon, dessus

Ensemble Spirale Marianne Müller, direction artistique Marianne Müller, Guido Balestracci, violes Charles-Édouard Fantin, luth et théorbe

Concert enregistré par France Musique

grandes journées lully | un dimanche à trianon

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dimanche 12 octobre à 15h30

Galerie des Cotelle

tarif C2

entrée du parc par la Grille de la Reine • entrée gratuite sur présentation du billet de concerts • parking place d’Armes du Grand Trianon

placement numéroté

les violons de la chambre Œuvres de Lully, d’Anglebert, Chambonnières, Louis Couperin et Purcell Longtemps relégué au rang d’instrument « à faire danser », le violon supplanta pourtant peu à peu tous les autres instruments de la Chambre jusqu’à devenir, dans les années 1660, le premier d’entre eux : un son puissant et une virtuosité incomparable lui permettait de rivaliser avec les flûtes et les violes. Réunis en duos, trios, quatuors ou quintettes, les Petits Violons du Roi se faisaient entendre tout au long de la journée du souverain, accompagnant ses moindres faits et gestes du Lever au Coucher.

Ausonia Mira Glodeanu et Frédérick Haas, direction artistique Mira Glodeanu, Tami Troman, violon Deirdre Dowling, quinte de violon James Munro, basse de violon Frédérick Haas, clavecin

Concert enregistré par France Musique

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dimanche 12 octobre à 17h

Galerie des Cotelle

tarif B2

entrée du parc par la Grille de la Reine • entrée gratuite sur présentation du billet de concerts • parking place d’Armes du Grand Trianon

placement numéroté

échos d’italie Scènes et airs italiens de Lully, Rossi et Cavalli Arrivé en France très jeune, Lully n’avait que peu profité de l’essor de la cantate et de l’opéra dans sa Florence natale. À Paris en revanche, il eut tout loisir d’entendre les ouvrages de Rossi, Cavalli et d’autres maîtres italiens invités par Mazarin : c’est sans doute là qu’il faut chercher les modèles des nombreux airs italiens que Lully prit plaisir à insérer dans toutes ses œuvres de jeunesse, des premiers ballets à sa tragicomédie-ballet de Psyché. Le compositeur s’y montre particulièrement inventif, faisant preuve d’une inspiration mélodique et d’audaces harmoniques extraordinaires.

La Risonanza Fabio Bonizzoni, direction artistique Emanuela Galli, Yetzabel Arias Fernandez, dessus Leila Schayegh, Carlo Lazzaroni, violons Caterina Dell’Agnello, violoncelle Gabriele Palomba, théorbe Fabio Bonizzoni, clavecin Concert en hommage à Jean Lionnet (1935-1998) Cofondateur de l’Atelier d’études du CMBV Spécialiste de la musique à Rome et de la circulation de la musique en France aux XVIIe et XVIIIe siècles Partitions des Airs italiens de Lully réalisées par le CMBV Concert enregistré par France Musique

Rencontres des Menus Plaisirs 7 oct

17h30 Barbara Nestola CNRS – CMBV

Lully et la musique italienne : idylle ou mariage forcé ?

grandes journées lully | un dimanche à trianon

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Parallèlement aux Fêtes baroques et aux Grandes Journées Lully, le Centre de Musique Baroque de Versailles propose, tout au long de la saison 2008-2009, un certain nombre de rendez-vous maintenant bien connus des passionnés de musique et de patrimoine.

L’ouverture de l’Hôtel des Menus Plaisirs, siège du Centre de Musique Baroque de Versailles, lors des Journées du Patrimoine.

Les Rencontres des Menus Plaisirs.

Les Jeudis Musicaux de la Chapelle royale, auditions des Pages & des Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles et récitals d’orgue.

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de septembre 2008 Ă juin 2009

et toujours les rendez-vous Ă versailles

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samedi 13 septembre dimanche 14 septembre de 14h à 18h

Hôtel des Menus Plaisirs

entrée libre

22 avenue de Paris 78 000 Versailles

journées du patrimoine Construit au milieu du XVIIIe siècle, l’Hôtel des Menus Plaisirs, situé 22 avenue de Paris abritait l’administration des Menus Plaisirs du Roi et servait d’entrepôt pour les décors des spectacles du château. Ces grands espaces furent aménagés en 1789 pour accueillir les trois ordres du Royaume réunis en États Généraux. Sans affectation précise pendant près de deux siècles, l’Hôtel des Menus Plaisirs fut rendu à la musique en 1996 : à l’issue d’une réhabilitation complète, le Ministère de la Culture l’attribua au Centre de Musique Baroque de Versailles.

C’est à la découverte de l’histoire de ce lieu que le public est convié, lors des Journées du patrimoine, les 13 et 14 septembre.

Instruments de musique (orgues, clavecins) et costumes de scène sont exposés. Des visites-conférences sont organisées tout au long des après-midi afin de découvrir les bâtiments et les principales activités du Centre.

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de septembre à décembre 2008 à 17h30 séance de 60 minutes

23, 25, 30 septembre 7, 14, 15, 21 octobre 25 novembre 2 décembre

Hôtel des Menus Plaisirs 22 avenue de Paris 78 000 Versailles entrée libre sur réservation

rencontres des menus plaisirs dans le cadre des grandes journées Pour vous guider au long des Grandes Journées Lully, des conférences sont proposées dans le cadre des Rencontres des Menus Plaisirs. Au travers d’éclairages choisis, de nombreux spécialistes du répertoire baroque français vous feront découvrir la Grande Histoire et les petites histoires de la musique en France au début du règne de Louis XIV. Programmation disponible sur www.cmbv.fr Avec la participation des chercheurs et chercheurs associés du CMBV

23 sept

Philippe Beaussant

Lully ou la naissance du genre français

25 sept

Marie-Geneviève Massé

Le ballet de Cour à l’époque de Lully : exemple du Ballet des Arts (1663)

30 sept

Raphaël Masson

La place de la musique dans les grandes fêtes de Versailles : effectifs et implantations

Centre de Recherche du Château de Versailles

7 oct

Barbara Nestola CNRS – CMBV

14 oct

Thomas Leconte

Lully et la musique italienne : idylle ou mariage forcé ?

CMBV

Naissance d’un genre français : le grand motet de la première Chapelle de Louis XIV (1663-1683)

15 oct

Jean Duron

Les timbres de l’orchestre de Lully

21 oct

Catherine Cessac

Les Plaisirs de l’Ile enchantée : une alchimie des genres

CNRS – CMBV

25 nov

Georgie Durosoir chercheur associé au CMBV

2 déc

Buford Norman chercheur associé au CMBV

Molière et Lully, l’alliance de deux génies au service d’un genre nouveau : la Comédie-ballet Le poète des grâces : Quinault, librettiste de Lully

et toujours

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Les premiers et troisièmes mardis de chaque mois de janvier à juin 2009 hors vacances scolaires

à 17h30 séance de 60 minutes

6 et 20 janvier 3 février 3 et 17 mars 7 avril 5 et 19 mai 2, 9, 16 et 23 juin

Hôtel des Menus Plaisirs 22 avenue de Paris 78 000 Versailles entrée libre sur réservation

mois Molière

rencontres des menus plaisirs Afin que l’Hôtel des Menus Plaisirs soit aussi un lieu de transmission du savoir, d’échanges et de débats, le Centre accueille ceux qui, aujourd’hui, « font » la musique baroque, musicologues et interprètes spécialistes de ce répertoire. Les Rencontres des Menus Plaisirs éclairent certains pans de l’histoire de la musique en France aux XVIIe et XVIIIe siècles, et font le point sur l’actualité des spectacles, des concerts et des enregistrements discographiques parus ou à paraître.

Programmation disponible sur www.cmbv.fr Avec la participation des chercheurs et chercheurs associés du CMBV

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les jeudis du 6 novembre au 4 juin hors vacances scolaires

à 15h et 15h30 auditions d’orgue pour les visiteurs du château

à 17h30 récital d’orgue et audition du choeur (1h15 environ)

6, 13, 20, 27 novembre 4, 11, 18 décembre 8, 15, 22, 29 janvier 5, 12 février 5, 12, 19, 26 mars 2, 9, 30 avril 7, 14, 28 mai 4 juin

tarif Versailles Musique Jeudi Musical visite du château + Jeudi Musical ou Jeudi Musical placement libre

Chapelle royale accès par la cour de la Chapelle

jeudis musicaux de la chapelle royale Auditions hebdomadaires Jusqu’à la Révolution, la Chapelle royale résonnait de musique tout au long de l’année. Près d’une dizaine de messes y étaient données chaque jour, auxquelles s’ajoutaient d’autres offices et moments de prière. Au milieu des voix, des flûtes et des trompettes, le grand orgue de la tribune était l’instrument roi. Les Jeudis Musicaux de la Chapelle royale feront revivre pleinement, tout au long de l’année, ces circonstances musicales prestigieuses.

Ainsi, les Pages & les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles, dirigés par Olivier Schneebeli (accompagnement : Fabien Armengaud), regroupant une vingtaine d’enfants et autant d’adultes, restitueront cette structure originelle du chœur « à la françoise » (cinq voix réparties en dessus, hautes-contre, tailles, basses tailles et basses) qui lui confère une couleur sonore unique en Europe. Ils feront redécouvrir au public les trésors du répertoire musical français et européen des XVIIe et XVIIIe siècles, celui de la cour de France, mais aussi celui des grandes cathédrales et des collèges. Ces rendez-vous permettront aux Pages (enfants maîtrisiens scolarisés au collège Rameau en classes à horaires aménagés) et aux Chantres (chanteurs adultes en formation professionnelle supérieure) de présenter leur travail en musique de chambre, en formation réduite ou en chœur tutti, avec la collaboration régulière des départements de musique ancienne du CRR de Versailles et du CRD de la Vallée de Chevreuse.

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À plusieurs reprises au cours de la saison, la Maîtrise invitera également de jeunes ensembles constitués par ses anciens Chantres ou par les étudiants des plus grands conservatoires, afin de faire connaître au public leur nouvelle carrière artistique.

D’autre part, volet incontournable de ces Jeudis Musicaux, le grand orgue Cliquot, inauguré en 1711, remanié tout au long du XIXe siècle et restauré par Cattiaux et Boisseau en 1995, résonnera sous les doigts des étudiants de la classe d’orgue de Michel Bouvard et d’Olivier Latry, du Conservatoire de Paris (CNSMDP). Depuis le XVIIIe siècle en effet, les plus grands organistes se relayent pour y jouer le répertoire légué par Grigny, Lebègue, Marchand, Couperin, Clérambault et leurs successeurs. Parallèlement aux récitals donnés par Michel Chapuis, organiste principal, le Centre a souhaité multiplier les occasions de faire entendre aux visiteurs du château et aux mélomanes, ce plus bel exemple d’orgue français d’esthétique baroque.

Cette préoccupation a croisé la volonté du CNSMDP de donner à l’enseignement du répertoire d’orgue baroque français un instrument et un cadre adaptés à ses étudiants et de permettre au public d’entendre dès aujourd’hui les grands solistes de demain.

Programmation disponible sur www.cmbv.fr

Les Pages & les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles Olivier Schneebeli, direction

Les étudiants des classes d’orgue du CNSMD de Paris Coralie Amedjkane, Cindy Castillo, Ami Hoyano, Gaëtan Jarry, Yeon-Ju Kim, Shin-Young Lee, Gilles Oltz, Thomas Ospital, Yoann Tardivel, Martin Tembremande…

Les Pages du CMBV sont habillés par Agnès B Yokogawa France soutient les Jeudis Musicaux de la Chapelle royale.

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Index

65

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7/04/08 18:33:55

Compositeurs jean-henry d’anglebert (1628-1691) jean-sébastien bach (1685-1750) gabriel bataille (1575-1630) bénigne de bacilly (ca 1625-1690) alexandre boëly (1785-1858) antoine boesset (1587-1643) francesco cavalli (1602-1676) honoré d’ambruis (fl 2e moitié XVIIe siècle) jacques champion de chambonnières (1601-1672) joseph chabanceau de la barre (ca 1675 – 1745) louis couperin (1626-1661) andré cardinal destouches (1672-1749) dubuisson (fl 1615 – 1631) pierre dubut (fl 1636-ca 1680) françois dufaut (fl 1629-1669) henry du mont (1610-1684) françois francoeur (1698-1787) johann jakob froberger (1616-1667) pierre gautier (1706-1775) pierre guédron (1575-ca 1620) hurel (fl 1687-1692) hyacinthe jadin (1776-1800) rodolphe kreutzer (1766-1831) michel lambert (1610-1696)

48, 56 13 55 49 14 55 57 49

sébastien le camus (ca 1610-1677) jean-baptiste lully (1632-1687) henry purcell (1659-1695) jean-philippe rameau (1683-1764) pierre robert (entre 1611 et 1618-1699) luigi rossi (1598-1652) sainte-colombe (fl 1670-1700) georg philipp telemann (1681-1767)

49 12, 20, 24, 28, 34, 38, 42, 48, 56, 57 56 12, 13 32 28, 48, 57 55 13

48, 56 49 48, 56 12 49 54 54 32 12 48 54 55 49 14 14 49

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Interprètes Solistes chanteurs

Solistes instrumentaux

Benjamin Alunni

42

Benjamin Alard

48

Yetzabel Arias Fernandez

57

Coralie Amedjkane

64

34

Claire Antonini

Benoît Arnoult Alain Buet Romain Champion

13, 32 24, 34

Fabien Armengaud Guido Balestracci

54 32, 64 55

Isabelle Druet

20

Andrea Bischof

14

Antoni Fajardo

42

Fabio Bonizzoni

57

57

Cindy Castillo

64

Emanuela Galli Robert Getschell

32, 34

Serge Goubioud

Josh Cheatham

42

38

Patrick Cohën-Akenine

28

Damien Guillon

32

Christophe Coin

14

Marco Horvat

49

Caterina Dell’Agnelo

57

Anouschka Lara

24

Deirdre Dowling

56

Dorothée Leclair

42

Vincent Dumestre

38

Aimery Lefèvre

28

Charles-Edouard Fantin

55

Claire Lefilliâtre

20, 38

Sophie Gent

42

Jean-François Lombard

20, 38

Mira Glodeanu

56

13

Frédérick Haas

56 49

Stephane MacLeod Arnaud Marzorati

20, 38

Bruno Helstroffer

André Morsch

20, 38

Eric Höbarth

14

Jean-François Novelli

28, 32

Ami Hoyano

64

Catherine Padaut

34

Gaëtan Jarry

64

Anna Maria Panzarella

12

Yeon-Ju Kim

64

Edwige Parat

34

Carlo Lazzaroni

57

Caroline Pelon

55

Shin-Young Lee

64

13

Julien Leonard

42

Olga Pitarch

49

Julien Martin

42

Camille Poul

20

Nick Milne

42

Ingrid Perruche

Ana Quintans Stéphanie Revidat

28, 32 13

Anita Mitterer

14

Marianne Muller

55

Céline Ricci

28, 32

James Munro

56

Arnaud Richard

24, 32

Gilles Oltz

64 64

Dagmar Saskova

32

Thomas Ospital

Mélodie Rouvio

24

Gabriele Palomba

57

Markus Schäfer

13

Marine Sablonnière

42

Britta Schwarz

13

Diego Salamanca

42

Mathias Vidal

28

Leyla Schayeg

57

Skip Sempé

42

Marek Stryncl

32

Tuomo Suni

42

Index 67

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Yoann Tardivel

64

Hugo Reyne

Martin Tembremande

64

Olivier Schneebeli

Tami Troman

56

Skip Sempé

Danseurs et Acrobates

24 32, 64 42

Metteurs en scène et chorégraphes

Marc Barret

24

Jean-Luc Impe

15

Bruno Benne

24

Benjamin Lazar

20

David Berring

24

Marie-Geneviève Massé

24

Bérangère Bodénan

24

Vincent Tavernier

24

Olivier Collin

24

Irène Ginger

24

Adeline Lerme

24

Volodia Lesluin

24

Enora Mantel

24

Cyrille Musi

24

Anne-Sophie Ott

24

Compagnies de danse et troupe Compagnie L’Éventail

24

Menus Plaisirs du Roy

15

Danseurs du Poème Harmonique

20

Orchestres et ensembles instrumentaux Ausonia

56

Capriccio Stravagante

42

Concert Spirituel (le)

12

Ensemble Spirale

55

Faenza

49

Folies Françoises (les)

28

Harmonie Universelle (l’)

13

Musica Florea

32

Poème harmonique (le) Parnasse Français (le)

20, 38 34

Quatuor Mosaïques

14

Simphonie du Marais (la)

24

Risonanza (la)

57

Chœurs Chœur Arsys Bourgogne

13

Chœur du Poème Harmonique

20

Pages & les Chantres du CMBV (les)

32, 64

Chefs Pierre Cao

13

Louis Castelain

34

Patrick Cohën-Akenine Vincent Dumestre Hervé Niquet

28 20, 38 12

68

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Lieux de concerts Chapelle royale (544 places)

13, 32, 34

Achevée en 1710, la Chapelle royale présente des aspects à la fois gothiques (hauteur, verrières, toit pentu, gargouilles) et baroques (colonnes et balustrades, piliers sculptés, voûtes peintes et dallage de marbre de couleurs). Robert de Cotte dirigea les travaux de décoration, parmi lesquels la voûte peinte, représentative de l’école française. Une tribune située au même étage que les appartements royaux accueillait les monarques. C’est de là que Louis XIV, Louis XV et Louis XVI assistaient à la messe quotidienne. Face à eux, la Musique de la Chapelle garnissait les gradins autour de l’orgue.

Galerie des Batailles (504 places)

38, 42

Longue de 120 mètres, la Galerie des Batailles occupe toute la longueur du premier étage de l’aile du Midi et date de l’ouverture du Musée en 1837, sous le règne de Louis-Philippe. Elle abrite une collection impressionnante de tableaux représentant les événements militaires majeurs de l’histoire de France, depuis la bataille de Tolbiac livrée par Clovis en 496 jusqu’à celle de Wagram remportée par Napoléon en 1809.

Galerie des Cotelle (270 places)

54, 55, 56, 57

La Galerie des Cotelle occupe tout l’aile droite du Grand Trianon. Décorée vers 1690, elle porte le nom de l’auteur de la plupart des tableaux qui y figurent représentant des vues de certains bosquets de Versailles et de Trianon agrémentés de figures mythologiques Galerie des Glaces (540 places)

28

Construite par Jules Hardouin-Mansart entre 16781684, la Galerie des Glaces occupe l’espace de l’ancienne terrasse à l’italienne qui séparait les appartements du Roi de ceux de la Reine. 357 miroirs reflètent la lumière des nombreuses fenêtres donnant sur le parc et la grande perspective. Lieu de passage, de réception, de bal et de musique, la « Grande Galerie » fut symboliquement choisie pour souligner la solennité de certains événements (ambassades, mariages, réceptions, traités…)

Manège de la Grande Écurie (700 places)

12, 20

Conçues par Jules Hardouin-Mansart, les Écuries furent construites entre 1679 et 1682 pour abriter les quelques 600 chevaux du Roi, mais aussi les écuyers, les palefreniers, les musiciens et les pages.

Le vaste Manège des Grandes Écuries fut utilisé comme salle de spectacle dès le règne de Louis XIV (on y créa des ouvrages de Lully) et jusqu’en 1745 et 1747 pour les deux mariages du Dauphin, fils de Louis XV. Orangerie (704 places)

24

Construite par Jules Hardouin-Mansart entre 1684 et 1686,l’Orangerie se compose d’une galerie centrale de 155 mètres de long, et de deux galeries latérales situées sous les escaliers des Cent-Marches.

L’ensemble est éclairé par de grandes fenêtres cintrées. Destiné à accueillir les arbres exotiques du parc, ce vaste lieu servit régulièrement de salle de concert et de spectacle.

Salle des Gardes de la Reine (106 places)

48

Aménagée à l’emplacement des tribunes d’une ancienne chapelle en 1680, cette salle conserve aujourd’hui encore des peintures à la gloire de Jupiter. On y voit également la représentation de seigneurs et dames de la cour se penchant au dessus d’une balustrade feinte dans les angles, et admirant le passage du cortège de la Reine.

Salle des Gardes du Roi (144 places)

49

Situé en haut de l’Escalier de la Reine, la Salle des Gardes du Roi est la première pièce des Grands Appartements de Louis XIV. C’est là que sa garde personnelle était postée. À l’occasion des Grands Couverts, l’orchestre des Vingt-quatre Violons du Roi s’y regroupait pour jouer, tandis que le monarque dînait dans la salle attenante.

Théâtre Montansier (561 places)

15

Inauguré en novembre 1777, le théâtre Montansier doit son existence et son nom à Marguerite Brunet, alias Mademoiselle Montansier, femme de tête qui sut faire du spectacle une véritable entreprise nationale. Premier théâtre de France par sa fréquentation, le théâtre Montansier présenta toutes les oeuvres à la mode, et le public parisien s’y bousculait. Restauré en 1993, il est encore aujourd’hui très actif.

Index 69

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Calendrier

70

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7/04/08 18:33:56

septembre 2008 sam 13

14h30

journées du patrimoine

Hôtel des Menus Plaisirs

60

dim 14

14h30

journées du patrimoine

Hôtel des Menus Plaisirs

60

mar 23

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

61

jeu 25

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

61

sam 27

17h30

versailles opéra

Grande Écurie

12

sam 27

21 h

piété à la française

Chapelle royale

13

dim 28

15h30

quatuors d’un nouveau genre

Salle des Fêtes de la Mairie

14

dim 28

17h30

pierrot cadmus

Théâtre Montansier

15

lun 29

21h

cadmus & hermione - Le film

Grande Écurie

20

mar 30

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

61

octobre jeu 2

21 h

le ballet des arts

Orangerie

24

ven 3

21 h

le ballet des arts

Orangerie

24

mar 7

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

61

sam 11

14h30

échos des fêtes de la cour

Galerie des Batailles

42

sam 11

17h

échos des fêtes de la cour

Galerie des Batailles

42

sam 11

21h

récital de clavecin

Salle des Gardes de la Reine

48

dim 12

11h

récital de luth

Galerie des Cotelle

54

dim 12

12h30

voix et violes

Galerie des Cotelle

55

dim 12

13h30

pique-nique

Orangerie de Jussieu

52

dim 12

15h30

les violons de la chambre

Galerie des Cotelle

56

dim 12

17h

échos d’italie

Galerie des Cotelle

57

mar 14

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

61

mer 15

21h

musiques pour les 24 violons du roi

Galerie des Glaces

28

jeu 16

21h

musiques pour les 24 violons du roi

Galerie des Glaces

28

sam 18

18h

airs sérieux et à boire

Salle des Gardes du Roi

49

sam 18

2w

grands motets pour la chapelle du louvre

Chapelle royale

32

mar 21

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

61

Calendrier

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71

7/04/08 18:33:56

novembre jeu 6

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 13

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

sam 15

21 h

grands motets de lully

Chapelle royale

34

jeu 20

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

mar 25

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

61

jeu 27

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

sam 29

21 h

comédies-ballets

Galerie des Batailles

38

décembre mar 2

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

61

jeu 4

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 11

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 18

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

janvier 2009 mar 6

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

62

jeu 8

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 15

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

mar 20

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

62

jeu 22

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 29

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

février mar 3

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

62

jeu 5

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 12

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

mar 3

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

62

jeu 5

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 12

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

mar 17

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

62

jeu 19

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 26

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

mars

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avril jeu 2

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

mar 7

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

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jeu 9

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 30

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

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mar 5

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

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jeu 7

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

63

jeu 14

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

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mar 19

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

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jeu 28

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

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mar 2

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

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jeu 4

17h30

jeudis musicaux

Chapelle royale

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mar 9

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

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mar 16

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

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mar 23

17h30

rencontres des menus plaisirs

Hôtel des Menus Plaisirs

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mai

juin

Calendrier

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Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires

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Les mécènes de la saison

Musiques du Baroque Français (MBF) est un fidèle mécène du Centre de Musique Baroque de Versailles. Il s’est engagé à ses côtés pour la recréation d’une série de décors aux dimensions de l’Opéra royal.

Après les décors réalisés en 2006 pour les représentations des Petits Riens, ballet d’action de Wolfgang Amadeus Mozart, MBF finance les décors de Cadmus & Hermione de Jean-Baptiste Lully, dont les représentations ont eu lieu à l’Opéra Comique en janvier 2008.

Axys Consultants a décidé d’apporter son soutien aux missions du Centre de Musique Baroque de Versailles en devenant mécène et de contribuer ainsi à la réalisation de la saison de concerts au château de Versailles en 2008.

Conceptus apporte son soutien au Centre de Musique Baroque de Versailles et contribue à la réalisation de ses missions.

Suite à un premier soutien au Village Baroque devant le château de Versailles pendant les Grandes Journées Anniversaire du Centre en 2007, l’entreprise JCB Signalisation a renouvelé son action de mécénat en 2008-2009 avec une grande passion musicale.

Pour la troisième année consécutive, Yokogawa France est mécène des Jeudis Musicaux de la Chapelle royale.

Les vins de Graves et de Pessac Léognan offrent une dégustation de leurs meilleurs crus à l’occasion du pique nique à Trianon.

Le Château Clinet participe à l’organisation des dîners du Cercle des Amis du CMBV.

Les champagnes Deutz offrent certains de leurs meilleurs crus pour les manifestations organisées au CMBV

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Le Club d’entreprises Le Club d’entreprises du Centre de Musique Baroque de Versailles a été créé en 2005 par Alain Guillon, délégué au mécénat, et Sophie Tuffnell, responsable des partenariats.

Il réunit des entreprises soucieuses d’aider le Centre à réaliser tous les projets innovants qui s’ajoutent à sa mission de redécouverte et de promotion de la musique française des XVIIe et XVIIIe siècles.

Nous les en remercions très sincèrement : Association Française des Dirigeants d’Entreprises en Europe Monsieur Joseph de Souza, Président Atemation Monsieur Bernard Hagège, Président Cabinet Espace Immobilier Monsieur Jean Rouvière, Directeur

Restaurant La Petite Venise, Parc du château de Versailles Monsieur Tony Mellili, Directeur SwissLife Ile de France Monsieur Jean-Paul Minaire, Directeur Régional Adjoint Symphonie Florale - Versailles Vinci Park Monsieur François Levert, Directeur de la Communication Yokogawa France Monsieur Olivier Deslangle, Directeur général

Nous tenons également à remercier les réseaux partenaires du Club d’entreprises :

Cabinet Moutard Monsieur Arnaud de Saint Palais, Président Centre Régional de Formation Professionnelle des Avocats de Versailles Monsieur Christian Mercier, Président Club des Créateurs Madame Jeanine Meurin, Présidente

Agence Française des Investissements Internationaux Business’Net Chambre de Commerce et d’Industrie de Versailles Val d’Oise Yvelines Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Britannique

Groupe ISIPCA Madame Isabelle Dufour, directrice

Chambre de Commerce et d’Industrie Corée - France

IBM France Monsieur Daniel Chaffraix, Président

Fédération des Toutes Petites Entreprises des Yvelines

JCB Signalisation Madame Joëlle Broguet, Directrice

MEDEF Yvelines Sud

Lappara Orfèvre Argentier Monsieur Olivier Gaube du Gers, Directeur

Maison de l’Entreprise de Saint-Quentin-en-Yvelines

Musiques du Baroque Français Monsieur Albert Kfouri, Président

Versailles Club d’Affaires

NOVINOV Monsieur Arnaud de Saint Palais, Président PG table by design Monsieur Philippe Garcia Société Générale Ile de France Sud Monsieur Serge Cailly, Délégué général

Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires

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Le Cercle des Amis Les membres du Cercle des Amis, par leurs dons généreux, réalisent un mécénat collectif qui contribue directement au développement et au rayonnement des activités du Centre de Musique Baroque de Versailles : Madame Françoise Lafuge † Présidente d’honneur Comtesse Marie-Josette de Montgelas Présidente Monsieur Alain Guillon Délégué au mécénat M. Serge Amsellem Mme Marianne Aragon M. et Mme Bernard Arandel-Colin M. et Mme Bernard Aubineau M. Jean-Michel Aubrun M. Thierry Aubry Docteur Laurence Baucherel M. François Baudu M. Bruno Bedaride M. Juan Beistegui Mme Marcelle Benoît M. et Mme Bernard Blazy M. et Mme Yves Blondet Mme Arlette Boceno Mme Marie-Thérèse Bonnard Mme Herta Bourely M. Elward Bresett M. Stéphane Breyer M. Olivier Bricard Mme Marisa Bruni Tedeschi Borini M. David Bundy Mme Monique Caralli-Lefevre - BBM News M. et Mme Jacques Caumartin Mme Françoise Chibret M. Fréderic Choisselet Mme Carole Chombert M. et Mme Léon Cligman M. Henri Condé M. Daniel Corbin M. Thierry Daou Mme Sylvie Dauberville M. Louis Daurat

Princesse Laure de Beauvau M. et Mme René de Crevoisier d’Hurbache Mme Laurence de la Grange Sury M. et Mme Baudoin de La Villéon Comtesse Martine de Léséleuc de Kérouara Mme Geneviève de Morant Baron Gérard de Plinval M. Claude Debuire M. Alain Delcamp M. et Mme Alain Deloz M. Bastien Denis Mme Jeannine Depont M. Pierre du Bourg M. et Mme François Dufourcq M. Bertrand Dufourcq Mme Bernadette Dupont M. Romain Durand M. Philippe-Henri Dutheil Mme Françoise Duwat Mme Maha El-Khalil Chalabi Mme Edith Engelbrecht M. Nicolas Cafay-Kauffmann et M. Pierre-Yves Chupin M. Patrick de Brou de Laurière et Professeur Jean-Jacques Giraud M. Jean-Michel Eté M. et Mme Florence Fahlbusch M. et Mme Jacques Farges M. Vincent Favaudon M. Rémi Gérard M. Richard Steeve Giraud M. Lucien Goddet Mme Lise Graf M. Serge Guittard M. et Mme Gérald Harlin Maître Daniel Heck Docteur Jean-Claude Houdret et Mme Jacqueline Bete-Foë Maître Dominique Hugot Mme Anne Jagin Mme Monique Jalady M. et Mme Gérard Jamault M. et Mme Didier Jardinaud M. et Mme Gustave Johanet Mme Françoise Joulie M. et Mme Gérard Jusseaume

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Mme Claude Lalanne M. Claude Le Gouis M. Pierre Le Roux M. Jean-Pierre Lécuyer M. Francis Lemue Mme Marie Léonetti Mr Alan Lewis M. Göran Lindqvist M. Paul Maletras M. et Mme FrançoisMalglaive M. et Mme Jean Marcelis M. Christian Mathias M. Jacques Metivier M. Hervé Michel-Dansac M. Jean-Louis Milin M. Ilan-Charles Moloster Mme Nicole Muffat M. André Mustaki et M. Stephen Braddock M. et Mme Jean-Pierre Nerenhausen M. Thierry Nicolas M. et Mme Olivier Nosten M. et Mme Louis Ollivier M. René Pacaud Mme Monique Parmentier Maître Jean-François Pelfresne M. et Mme Maurice Périchon Mme Monique Périchon M. André Petit Mme Claudie Pierrelle Maître Eric Pillon M. et Mme Michel Pinget M. et Mme Patrick Poggia Mme Nicole Poisson - Genain M. François Poli M. et Mme Gérard Pouzoullic M. Daniel Reniéville Mme Annick Rivrain M. Xavier Robert-Mondin M. Serge Robin Mr Christian Rocheteau M. et Mme Joachim Roy Mme Colette Schlogel M. Louis Scotto M. et Mme Roger Serre M. et Mme Jean-Luc Sez-Pontieux M. Pierre Strumza

Docteur Jean-Claude Swimberge Mme Lucette Tassier Mme Martine Thoris M. et Mme Dominique Tourlière M. et Mme Jean-Christophe Tressel M. et Mme Jean Tricart Mme Gabrielle Vénot Baron Jean-Charles Veyron La Croix Mme Paule Viteaux (Assophie) M. Gérald-Henri Vuillien et M. Christophe Pilaire

Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires 79

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Devenir partenaire Les raisons du mécénat d’entreprise Associer votre image à une institution culturelle française dynamique, de notoriété internationale.

L’activité éditoriale : soutien à l’édition de partitions et de livres spécialisés ou destinés au grand public ; acquisition de collections des éditions du CMBV pour le compte d’une institution musicale française ou étrangère.

Faire participer votre personnel et vos partenaires en les invitant aux concerts et aux spectacles.

L’école maîtrisienne et les actions de formation : dotation de bourses d’études pour les jeunes adultes en formation professionnelle, aide à la création de costumes de scène, développement de la formation d’instrumentistes, danseurs, acteurs…

Être acteur de la redécouverte et de la promotion du patrimoine musical français des XVIIe et XVIIIe siècles en soutenant les actions de recherche, d’édition, de formation et de diffusion de concerts.

La production de spectacles : partenariat autour des saisons du Centre de Musique Baroque de Versailles ; association aux projets de tournées des Pages & des Chantres en France et à l’étranger ; participation à la production de disques.

Les différentes possibilités de soutien

Les contreparties

Réussir l’identification de votre action de mécénat en l’adaptant à vos objectifs de communication.

Le mécénat peut bénéficier à chacune de ces actions : L’aménagement de l’Hôtel des MenusPlaisirs : création d’un auditorium pour les activités pédagogiques et pour la production de concerts ; enrichissement du parc instrumental par l’acquisition d’un clavecin, d’un orgue...

Les actions de recherche : dotation de bourses pour l’accueil de jeunes chercheurs et d’étudiants français et étrangers ; accompagnement de colloques au château de Versailles ; développement de la base de données numérique.

La bibliothèque : enrichissement du fonds de la bibliothèque spécialisée dans la musique française des XVIIe et XVIIIe siècles ; mise en place d’un pôle multimédia.

Présence sur les supports de communication : affiches de la saison, bannières, brochures, livres programmes, dossier de presse et site Internet.

Places réservées aux concerts et spectacles.

Mise à disposition d’un lieu de cocktail au château de Versailles, à l’occasion du mécénat d’un concert de la saison.

Mise à disposition des salles de l’Hôtel des Menus-Plaisirs pour l’organisation de réunions, séminaires ou cocktails.

Possibilité d’assister aux auditions des Pages & des Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles à la Chapelle royale du château de Versailles.

Mention de l’entreprise sur un tableau calligraphié des noms des donateurs.

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Réductions fiscales au titre du mécénat Entreprises : la loi du 1er août 2003 en faveur du mécénat, des associations et des fondations, prévoit pour les entreprises une réduction de l’impôt sur les sociétés de 60 %, pour tous les dons affectés à des causes d’intérêt général. Cette réduction est plafonnée à 0,5 % du chiffre d’affaires, avec la possibilité de verser au-delà de ce seuil par report de l’excédent sur les 5 années suivantes et la possibilité de bénéficier de contreparties dans les limites prévues par la loi.

Particuliers : les particuliers bénéficient d’une réduction de l’impôt sur le revenu de 66 %. Cette réduction est plafonnée à 20 % du revenu imposable, avec la possibilité de verser au-delà de ce seuil par report de l’excédent sur les 5 années suivantes. Dans les limites prévues par la loi, les mécènes individuels ont également accès à des contreparties : invitation pour deux personnes à un concert du Centre de Musique Baroque de Versailles, priorité pour la réservation des places de concerts, visite privilégiée de l’Hôtel des Menus Plaisirs et informations régulières sur les activités du Centre.

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Contacts Alain Guillon Délégué au mécénat ag@cmbv.com T 01 39 20 78 10 Secrétariat eg@cmbv.com T 01 39 20 78 13

Voici un exemple qui illustre les avantages de la loi sur le mécénat : Entreprises -60%

Particuliers -66%

Montant de votre don

10 000 €

300 €

Réduction fiscale

6 000 €

198 €

Dépense réelle

4 000 €

102 €

Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires

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Retrouver le coffret

200 ans de musique à Un boîtier très chic pour les amoureux du baroque.

Les raretés font le prix de ce coffret. le monde

versailles voyage au cœur du baroque français

Un festin ! C’est Versailles ! diapason

20 cd, plus de 40 compositeurs de Louis XIII à Louis XVI, Opéras, motets et symphonies...

Lully, Charpentier, Campra, Rameau, Gretry...

Fruit d’un remarquable travail éditorial, c’est une superbe encyclopédie sonore. a nous paris Profitez des grands interprétations des meilleurs ensembles musicaux mêlant inédits et enregistrement de légende. direct soir

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Et voici déroulé un panorama inédits éblouissant de ces compositeurs qui théâtralisent l’image versaillaise,, des douceurs du baroque naissant sous Louis XIII aux feux derniers du règne de Louis XVI. Avec quelles couleurs et quelle passion ! figaro magazine Un véritable feu d’artifice musical ! figaro L’intérêt éditorial ne fait aucun doute car elle ne connaît pas d’équivalent. le monde de la musique Edition d’un fastueux coffret de 20 cd retraçant, en un audacieux survol, les quatre règnes des musiques qui ont marqué Versailles de Louis XIII à Louis XVI .

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Photo : RF/Christophe Abramowitz

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OT N DE V E OTIO R I M A É N E E OTR PART DE V E R I ENA PART

âtre, e thé l , o i la rad éma, , l’art... n i lle c ulture nse lé, le La té que, la da ctualité c a. l’a si éram la mu ez toute s Tél n a v d u i Retro mercred ue chaq

Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires

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L’équipe du Centre de Musique Baroque Bertrand Dufourcq président Hervé Burckel de Tell directeur général Jean Duron conseiller artistique Administration Karine Pellen secrétaire générale Ombline Join-Lambert adjointe au secrétariat général Claudie Penin comptable Michelle Josset responsable de la billetterie Alain Guillon délégué au mécénat Élisabeth Gagnat assistante de direction Christian Sassier informaticien (CNRS) Thierry Bonnet régisseur Albina Moreira personnel de service Patricia Bataille Florence Lemahieu accueil/standard

Artistique

Documentation

Benoît Dratwicki directeur artistique

Jérémy Crublet responsable des ressources numériques et informaticien

Communication Catherine Thépot déléguée aux relations publiques Production Jean-Paul Bouron administrateur délégué Anne Piffard chargée de production Bruno Giraud régisseur général Recherche Documentation Gravure Éditions Catherine Cessac directrice de la recherche Jean Duron directeur de l’édition Christophe Doinel administrateur délégué

Barbara Nestola ingénieur d’études (CNRS) Sylvie Lonchampt Technicienne de recherche (MRT) Viviane Niaux bibliothécaire de recherche Gravure Catie Hurel Marc Dormont Laurence Ardouin Agnès Delalondre graveurs Marie-Pascale de Carrara Technicienne de recherche (MRT) Éditions Julien Charbey administrateur délégué Camille Lardemer assistante commerciale

Recherche Yuriko Baba Catherine Cessac Anne-Madeleine Goulet chercheurs (CNRS) Jean-Paul Despax Jean Duron Gérard Geay Thomas Leconte chercheurs et responsables éditoriaux

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École maitrisienne Olivier Schneebeli directeur musical Denis Skrobala administrateur délégué Nathalie Bridier déléguée aux études Odile Quentin secrétaire Hélène Pétrossian chef de chœur assistante Fabien Armengaud professeur de clavecin et basse continue Véronique Dupuy-Patey professeur de formation musicale Michèle Penot bibliothécaire Équipe pédagogique des Chantres

Équipe pédagogique des Pages Caroline de Corbiac professeur de technique vocale Anne-Claire BlandeauFauchet assistante de technique vocale Sophie Siegler professeur de chant choral Isa Poncet professeur d’éveil musical et de la pré-maîtrise Audrey Jean-Bart Sylvie Eymard professeurs de piano Natacha Kacedan répétitrice Carole Josset assistante de troupe

Julie Hassler Viviane Durand professeurs de technique vocale Irène Assayag Mark Davies Hélène Intrieri-Dufour Benjamin Perrot Arnaud Pumir John Skippen chefs de chant Livia Lionnet (italien) Liselotte Tursi (allemand) professeurs de langue

Service de presse Valérie Weill Image Musique T 01 47 63 26 08 valerie.weill@ imagemusique.com

Françoise Denieau professeur de danse baroque

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Informations pratiques

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Réservations des adhérents à partir du 23 avril 2008

01 39 20 78 00 du 23 avril au 26 septembre 2008 du lundi au vendredi de 14h à 18h à partir du 30 septembre 2008 du mardi au vendredi de 14h à 18h

tarifs

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adhérent

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Correspondance à l’aide du bulletin de réservation ci-joint, au plus tard 8 jours avant le concert : Centre de Musique Baroque de Versailles 22 avenue de Paris – BP 353 78003 Versailles Cedex

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Vous êtes passionné par le renouveau de la musique baroque en France :

Un dimanche à Trianon 4 concerts + pique-nique

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Cette adhésion vous fera bénéficier : • d’une priorité de réservation • de 2 places à tarif adhérent par concert • de tarifs réduits sur les livres-programmes

pique-nique

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Cette adhésion vous fera aussi bénéficier : • d’une priorité de réservation aux conférences (Rencontres des Menus-Plaisirs) • de l’accès gratuit aux Jeudis Musicaux de la Chapelle Royale • d’une réduction sur les disques, les partitions et les livres édités par le CMBV

visite château + concert

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concert

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devenez adhérent pour une saison au Centre de Musique Baroque de Versailles.

Montant de l’adhésion : 50 € (tarif unique)

Règlement

Versailles Musique - Lully

Versailles Musique - Jeudi Musical visite château + Jeudi Musical

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Jeudi Musical

gratuit

gratuit

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par carte bancaire, chèque ou espèces (sur place) Rencontres des Menus-Plaisirs gratuit

N° de Licence d’entrepreneur de spectacles : catégorie 2 n°780997 et catégorie 3 n° 780998

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Réservations de l’ensemble du public à partir du 13 mai 2008

01 39 20 78 00 du 13 mai au 26 septembre 2008 du lundi au vendredi de 14h à 18h à partir du 30 septembre 2008 du mardi au vendredi de 14h à 18h

tarifs

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normal réduit*

-26 ans -16 ans

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Correspondance à l’aide du bulletin de réservation ci-joint, au plus tard 8 jours avant le concert : Centre de Musique Baroque de Versailles 22 avenue de Paris – BP 353 78003 Versailles Cedex

www.cmbv.fr

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24h/24 en bénéficiant d’un paiement totalement sécurisé

Sur les lieux de concerts Une heure avant (dans la limite des places disponibles)

Partenaires billetterie www.concertclassic.com Fnac, Carrefour, Géant : 0892 68 36 22 www.fnac.com

Règlement par carte bancaire, chèque ou espèces (sur place)

* Le tarif réduit est accordé, sur présentation de justificatif, aux personnes en recherche d’emploi et aux groupes de plus de 10 personnes

Les billets ne sont ni repris ni échangés.

Toute réservation est ferme et définitive.

Les places sont attribuées dans l’ordre d’arrivée des demandes. Toute réservation non payée et non retirée 30 minutes avant le début du concert est automatiquement annulée. Les portes des salles sont ouvertes une demi-heure avant le début de chaque concert. Le placement des retardataires n’est pas garanti. Les programmes, distributions et horaires sont susceptibles d’être modifiés en cours de saison.

Il est interdit de photographier, de filmer, d’enregistrer dans l’enceinte des lieux de concerts. Des places sont accessibles aux handicapés moteurs dans certaines salles, sur réservation.

Un dimanche à Trianon 4 concerts + pique-nique

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4 concerts

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pique-nique

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Versailles Musique - Lully visite château + concert

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Versailles Musique - Jeudi Musical visite château + Jeudi Musical

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gratuit

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Rencontres des Menus-Plaisirs gratuit

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Informations pratiques 93

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Notes

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Rédaction : Hervé Burckel de Tell, Benoît Dratwicki. Fabrication : Catherine Thépot.

Conception Polymago, Corinne Geney. Photogravure Open Graphic. Impressions Jaurès. ©photos • p10-11 : Allégorie à Louis XIV, protecteur des Arts et des Sciences, Garnier Jean (1632-1705), ©RMN/Daniel Arnaudet/Hervé Lewandowski • p16-17 : Portrait de Jean-Baptiste Lully (1632-1687), Mignard Nicolas (1606-1668), ©RMN/ Agence Bulloz • p18-19 : Cadmus & Hermione filmé à l’Opéra Comique en janvier 2008, ©Elisabeth Carecchio • p22-23 : Ballet «La nuit». Louis XIV en Apollon, Anonyme, ©RMN/Agence Bulloz • p26-27 : Ballet des Fées de la forêt de Saint Germain, «Musique servant de Grand ballet», Rabel Daniel (1578-1637), ©RMN/Jean-Gilles Berizzi/Thierry Le Mage • p30-31 : Décor de la chapelle royale de Versailles, exécuté entre 1708 et 1710 : chapelle de la Vierge, pendentif : «Stella Matutina» et «Rosa Mystica», Boullogne Louis (le Jeune) (1654-1733), ©RMN/Gérard Blot • p36-37 : Ballet des Fées de la forêt de Saint Germain, «Le Grand ballet», Rabel Daniel (1578-1637), ©RMN/Jean-Gilles Berizzi/Thierry Le Mage • p40-41 : Galerie des Glaces construite par Jules Hardouin-Mansart entre 1678-1684, château de Versailles, ©Jean-Claude N’Diaye • p44-45 : Cabinet intérieur de Madame Victoire, château de Versailles, ©RMN/droits réservés • p50-51 : Péristyle du Grand Trianon, château de Versailles, ©Jean-Baptiste Leroux • p58-59 : château de Versailles, ©Christian Milet • p89-90-91 : Plan du Domaine de Versailles, illustration Jean-François Peneau • couverture : Ballet des noces de Pelée et Thétis, Pêcheur de corail, ©RMN/Agence Bulloz • Trompettes romains / Timbalier et Trompette Indiens, Jacques 1er Bailly, François Chauveau, XVIIe siècle-1670, ©Bibliothèque municipale de Versailles • Feu d’artifice sur le canal de Versailles, Le Pautre Jean (1618-1682), ©RMN/Thierry Le Mage

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