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Mensuel n°19_Juin 2013

JDR

-Page Cinéma Page High Tech : Les imprimantes 3D Page BD/Livres Et bien d’autres …

JDR MAG - Juin 2013

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3 Page High-Tech

: Les imprimantes 3D

4 Page BD, livres et DVD 6 Infos du mois 7

Les pirates d’hier et d’aujourd’hui

10 Interview : Yves Grevet 12

Idées ciné

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Blagues

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ExPRESSo, le récit d’une aventure

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L’imprimante tridimensionnelle, ou plus couramment appelée imprimante 3D est, après de longues années durant lesquelles elle n’était réservée qu’aux entreprises, est enfin arrivée dans nos foyers. Mais comment fonctionne-t-elle ? Quels types d’objets peut-on créer ?

Le début : C’est en 1960 que l’on entend parler pour la première fois d’une « machine à répliquer ». Arthur C. Clarke parle en effet d’une machine capable de copier les objets comme il est possible de copier un livre. Mais c'est en 1972 qu’apparaitra la première imprimante 3D sur les écrans, dans les dessins animés de Tintin et le lac aux requins.

limètres, en sort. Ce fil est déposé en ligne et vient se coller par refusions sur ce qui a été déposé au préalable.

On peut distinguer plusieurs technologies telles que :

FTI : un film transparent recouvert d’une couche de résine photopolymère est placé devant le vidéo projecteur intégré à la machine, l’image de la coupe 2D projetée dessus va faire durcir la résine. Le plateau de production est remonté d’une épaisseur tandis que le film transparent fait un aller-retour dans la cartouche afin de recevoir une nouvelle couche de résine liquide, l’image de la coupe 2D suivante est projetée dessus et ainsi de suite. La pièce est ainsi reconstituée couche par couche.

FDM : cette technique consiste à faire fondre une résine à travers une buse chauffée à haute température. Un petit fil de plastique en fusion, d’un diamètre de l’ordre du 10e de mil-

SLA : Cette technique utilise en général une résine spéciale sensible au traitement UV . A la fin de chaque couche 2D, une lampe à ultraviolets traite la résine qui durcit.

Le fonctionnement : On peut distinguer plusieurs catégories d’imprimante 3D mais toutes sont basées sur la découpe de l’objet 3D en petites lamelles 2D. Ces fines lamelles sont déposées une par une sur les précédentes.

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Actuellement, on sait gérer facilement des matériaux isolants et conducteurs électriques, transparents, translucides ou opaques, rigides ou souples, élastiques ou cassants et colorés. Utilisations : L’impression 3D peut avoir un grand nombre d’utilisations différentes telles que des utilisations privées comme le propose la société Sculpteo ou encore des utilisations plus officielles comme prévoit de le faire les commandements des opérations spéciales de l’armée américaine. D’autres tel que l’étudiant texan Cody Wilson préfère fabrique des armes (le canon et la crosse reste tout de fois en métal) mais pour l’instant les armes crées par cette imprimante ne dureraient pas très longtemps . abonnement-journal.jdr@hotmail.fr


Crime-city de Gudule

Passeuse de rêves de Lois Lowry Petite est toute nouvelle, niais elle est très douée. Quand elle effleure de ses doigts translucides le bouton d'un pull, elle capte l'histoire de ce bouton : un pique-nique sur une colline, une nuit d'hiver au coin du feu, et même la fois où on lui a renversé dessus un peu de thé... Bientôt, Petite sera capable de combiner ces fragments d'histoires avec d'autres souvenirs collectés à partir d'une photo, d'une assiette ou d'un tapis afin d'en faire des rêves très doux pour les humains. Chaque nuit, elle s'entraîne à devenir passeuse de rêves dans la maison où vivent une vieille femme et son chien. Mais la formation s'accélère brutalement lorsque la vieille femme se voit confier par les services sociaux un jeune garçon. Il s'appelle John et il est très en colère. Une colère si profonde que les Saboteurs, maîtres des cauchemars, risquent de le repérer. Petite sera-t-elle suffisamment forte pour leur résister ?

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Et Eugène inventa la poubelle de Dimitri Delmas En 1765, parce qu'il ne voulait pas interrompre sa partie de cartes, le comte de Sandwich se fit apporter un encas entre deux tranches de pain : le célèbre repas sur le pouce était né ! En 1829, le jeune aveugle Louis Braille conçoit un alphabet composé de points en relief pour permettre aux aveugles de lire et de communiquer... Qu'ils soient ingénieurs, militaires, artistes ou savants, chacun de ces hommes et de ces femmes ont un jour imaginé un objet, un mets, un langage, un engin, un système, qui s'est inscrit dans notre quotidien s o u s l e u r n o m . De la clémentine à la poubelle, cet ouvrage raconte l'histoire de vingt-deux noms propres devenus des noms communs. Les images très graphiques de Dimitri Delmas, qui jouent avec les silhouettes et les formes des objets, servent avec une élégante fantaisie le propos insolite.

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L’auteur explore les fauxsemblants d’un jeu de simulation faisant vivre la famille idéale des Lovely dans la parfaite petite ville de Cream-City. Enfin, pas si idéale que cela. C’est ce que Théo, un adolescent mal dans sa peau découvrira à ses dépens car ce monde virtuel est régi par des lois qui ne supportent aucune dérogation. En voulant les contourner, avec une puce pirate, le garçon se retrouve aspiré au cœur de la simulation et ce qui lui apparaissait comme le Paradis va se transformer en véritable Enfer… Une formidable démonstration, destinée aux enfants, sur les mécanismes du fascisme.

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Wings , tome 1 , de Aprilynne Pike Laurel ne ressemble pas aux adolescentes de son âge. Elle ne supporte pas le soleil, n'a jamais froid et a toujours besoin d'être en plein air. Un jour, une énorme fleur avec de grands pétales en forme d'ailes pousse dans son dos. Inquiète et horriblement gênée, Laurel cache cette apparition à son entourage. Seul David, son meilleur ami, est dans la confidence. Il observe l'étonnante fleur pour comprendre son origine. Sa découverte dépasse tout ce qu"il aurait pu imaginer : les cellules de Laurel seraient végétales...

J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir de Christine Arnothy Dans le conflit mondial qui ravage le continent européen de 1939 à 1945, la Hongrie est restée longtemps hors des atteintes de la guerre. Et puis, à son tour, elle est en feu. Les allemands qui y sont entrés en maîtres se sont retranchés dans Budapest et entendent défendre la ville qu'assiègent les russes. C'est ce siège de deux mois, vécu dans la cave de leur immeuble, pris, au bord du Danube sous les feux croisés des belligérants, que raconte Christine Arnothy. Ils sont là une douzaine à attendre l'avance russe avec l'espoir qu'elle marquera la fin de l’oppression et de l'horreur. Mais bientôt les parents de Christine décident de quitter le pays. Ils aboutissent dans un camp de réfugiés en Autriche d'où Christine veut s'arracher à tout prix. Cette existence recommencée est le thème de "Il n'est pas si facile de vivre" qui fait suite à "J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir". Et sa sobriété même rend le témoignage d'autant plus poignant sur ce qui fut le sort de tant de gens, de trop de gens, pendant et après la seconde guerre mondiale. JDR MAG - Juin 2013

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Samedi 01juin / Dimanche 02 juin Exposition des travaux des élèves à la salle GOUDAILLER à Magny le Hongre. Mardi 04 juin Visite au centre Passeraile d'un groupe de 5ème Edimbourg / 5 me Oslo / 5 ème Stochkolm pour clore le projet sur le handicap.

Production d’histoire des arts de Antoine.C

Semaine du 03 au 07 juin Début des conseils de classe de 3ème . 11 juin Passage du CFG (certificat de formation générale) pour certains élèves de 3ème.

Production d’histoire des arts de Marion.B

Réunion avec les délégués de 3ème en vue de la préparation du «bal de fin d'année».

13 juin

20h30

Soirée chorale à la salle File 7 à Magny le Hongre.

Samedi 22 juin Inscriptions des futurs élèves de 6 me . Production d’histoire des arts de Lucas.D

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Depuis l’invention des bateaux, les pirates hantent les mers du Globe. Peut-être pensezvous que le temps des abordages est révolu… détrompez-vous ! Mais qui sont donc ces pirates modernes et comment travaillent-ils ? Tout sur ces criminels de tout âges. Qu’est ce qu’un pirate ? Les pirates étaient parfois des voleurs, parfois des criminels, souvent seuls et menacés de mort par leurs nombreux ennemis et les autorités, ils parcouraient les mers du Globe à la recherche de mystérieux trésors. De nos jours, avec leurs bateaux rapides, les pirates modernes abordent cargos, pétroliers et navires de plaisance notamment dans certains lieux. Enfin, d’un point de vue étymologique, pirate signifie en Grec « tenter sa chance dans l’aventure » (peirao). « L’âge d’or » de la piraterie Aux XVII et XVIIIèmes siècles, alors que les navires marchands européens revenaient d’Inde et d’Amérique les cales pleines d’or, d’épices et de marchandises rares, les équipages de boucaniers bien organisés les attendaient au détours des Caraïbes ou de Madagascar et leur tendaient des pièges. Ces filous sont bien ceux que vous connaissez et en voici quelques-uns des plus célèbres : Barbe Noire fit trembler les Caraïbes pendant seulement deux ans, de 1616 à 1618, mais son nom resta gravé dans les mémoires de tous. En effet, ce colosse Anglais de 100kg, aux cheveux et à la barbe tressés et à la tête d’une flotte de 300 hommes semblait indestructible. Il fut finalement tué au cours d’un abordage mais on dit qu’après avoir été décapité, il aurait encore fait deux fois le tour de son bateau à la nage, enfin ce n’est qu’une légende ! Eric Cobham pilla pendant 20 ans

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une quantité incalculable de bateaux en compagnie de sa femme Maria, aux alentours du Canada. Pourquoi ne fut-il pas recherché par les autorités ? Parce que ce pirate sanglant tuait tous les membres des équipages et coulait tous leurs navires, après les avoir pillés. Il paraît même qu’il se servait de certains de ses otages vivants pour s’entraîner au tir, si j’avais vécu entre 1720 et 1740, je n’aurai pas aimé croiser sa route ! Le couple déménagea par la suite en Bretagne et Eric fut nommé… magistrat ! Philip Lyne, après avoir été traqué pendant plusieurs années dans la mer de Caraïbes, il fut capturé en 1725 et avoua avoir tué 37 commandants de bord et plus de 100 membres d’équipage. Avec un tel Palmarès, le châtiment fût rapide : il fut pendu !

qui n’avaient pas encore coulés et devint la terreur des Antilles au XVIIème siècle. Célèbre aussi pour son éloquence extraordinaire, il savait motiver ses troupes avant un abordage ! Dans un genre similaire au précédent, Bartholomew Roberts était presque un gentleman : toujours bien habillé et très croyant, le noble capitaine Anglais aimait la musique et on raconte que, pour éviter les ennuis à bord de son bateau, il avait créé un règlement de vie à bord. On dit aussi que quand il mourut au large du Gabon tout son tout son équipage pleura. Il n’était pourtant pas aussi gentil qu’il n’en avait l’air: en trois années, on compte plusieurs centaines de vaisseaux à son tableau de chasse et de nombreux massacres !

Madame Ching : A la mort de son mari, cette chinoise hérita de plus de Surnommé « le prince des Pirates » en raison de sa gentillesse et de son 200 jonques et poursuivit l’empire pirate de celui-ci. Pour commander élégance envers son équipage et même ses prisonniers, Samuel Bella- des dizaines de milliers d’hommes et de femmes, elle rédigea un règlemy commença sa vie de marin en ment très sévère : si l’un des pirates cherchant des épaves, puis estima plus facile de s’attaquer aux navires osait aller à terre sans permission, … radical ! 7

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ses oreilles étaient coupées, à la deuxième tentative, c’était sa tête…radical ! Edward Low, qui avait une passion pour la cuisine fit un jour manger ses oreilles salées et pivrées à l’un de ses prisonniers et fit découper les lèvres d’un capitaine Portugais avant de les lui faire avaler avec des épices. François l’olonnais s’amusait à faire souffrir ses prisonniers et les mutilait atrocement avant de les achever… Je n’entrerais pas plus dans le détail vous m’aurez comprise, toujours est il qu’il finit rôti et mangé par des indigènes. Roche Braziliano tirait sur ceux qui refusaient de boire avec lui et fit un jour rôtir vivant des paysans ayant refusé lui offrir un cochon, l’alcool décuplait sa cruauté et ses soirées finissaient souvent bien arrosées… de sang ! Ces cruels criminels étaient redoutés et respectés (ils en étaient bien obligés).

Pavillons et bateaux, les emblèmes des pirates : Le plus souvent noirs, avec la fameuse tête de mort et les deux fémurs croisés en arrière plan, de nombreux pirates choisirent de personnaliser leurs drapeaux en y mettant par exemple leurs attributs, parfois colorés avec une pointe de rouge, des sabliers et des sabres, certains représentè-

rent même la Mort ou des squelettes entiers. On voyait aussi quelques fois un cœur, transpercé ou du sang. Dans tous les cas, ce drapeau était leur emblème et chacun avait la sienne, le but étant toujours le même, avertir l’ennemi du danger qui arrivait pour bien l’effrayer et ensuite le vaincre. Cependant, il paraît que certains, à l’approche des ports, sortaient un drapeaux blancs pour ne pas inquiéter les habitants et raser des villes entières en toute sérénité ! On retrouve deux navires très célèbres dans le film Pirates des Caraïbes : le « Hollandais volant », qui fut condamné à errer sans fin, depuis que son capitaine avait défié Dieu de franchir le cap BonneEspérance en pleine tempête et avait refusé de faire demi-tour (malheur à ceux qui croisaient ce légendaire navire, peuplé de damnés sanguinaires) et le « Black Pearl », célèbre bateau de Jack Sparrow, se reconnaissant facilement à ses voiles noires, trouées par des boulets de canons. Ce vaisseau étant à l’origine un navire marchand ayant été coulé au fond de la mer, celui-ci aurait demandé l’aide du diabolique Davy Jones, un capitaine maudit. En échange, il lui aurait promis son âme…

Les plus célèbres « chasseurs de pirates » : Robert Maynard : A la tête de deux navires de la Navy, ce lieutenant Anglais trouve le bateau de Barbe Noire près d’un îlot au large de l’Amérique. Pour ne pas faire fuir le bandit qu’il poursuivait depuis plusieurs mois, il cache ses hommes dans la cale du Queen’s Anne Revenge (le bateau de Barbe Noire) et s’approche doucement. L’abordage donne lieu à une terrible bataille. Le lieutenant affronte le colosse ivre de Rhum et lui inflige de nombreuses blessures. Pompée : En 67 av.J.C, ce général romain est désigné par le Sénat pour chasser les pirates de la Méditérannée. Il part avec 500 navires, 120 000 soldats et de nombreux chevaux, et en trois mois, la mission est remplie. Sa victoire extraordinaire permet de pacifier la «Mare Nostrum » pendant environ 400 ans et il revient couvert de gloire. Cependant, son destin va lui jouer un tour car son propre fils, Sextus Pompée deviendra pirate ! Je pourrai aussi vous parler de Jules César, qui après sa capture par des pirates se vengea de ses ravisseurs et les fit tous exécuter, du capitaine Kidd, qui retourna sa veste de chasseur de pirate après avoir tué l’un de ses membre d’é-

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quipage et devint le chasseur chassé, ou encore d’Andrea Doria, le cauchemar des frères Barberousse… Il furent presque aussi nombreux que leurs cibles !

De nos jours La piraterie se fait toujours en mer mais elle à aussi commencé depuis l’invention d’internet à sévir sur la toile et dans le domaine de l’informatique, mais quel est donc ce nouveau mode de piraterie et comment fonctionne-t-il ?

Les hackers : Dans son sens général, un hacker est une personne qui cherche à comprendre comment fonctionne quelque chose et le détourne ensuite de son fonctionnement d’origine. Spécialiste de l’informatique, un hacker sait où et quand trafiquer un programme ou un matériel informatique pour modifier l’utilité que ses concepteurs lui avaient prévue. A chacun sa spécialité ! Certains hackent le web, certains piratent juste pour se faire remarquer, gagner de l’argent ou escroquer des visiteurs. On distingue cependant deux grandes catégories de hackers : Les pirates informatiques, hors-la-loi ou illégaux, parfois ils ne cherchent qu’à nuire, extérioriser leur haine, et les hackers « légaux » ou « White hats » (chapeaux blancs) qui sont des professionnels en sécurité, car il faut savoir que

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c’est parce qu’ils connaissent si bien la sécurité informatique et ses failles que les hackers sont si entre 1 et 3 heures du matin dans forts ! des zones dites « à risque » (Asie du Sud-Est, détroit de Malacca, sud de Qui sont les anonymous ?! la mer Rouge, golfe d'Aden, côtes de C’est une idéologie qui se ma- Somalie, golfe de Guinée…) en nifeste notamment sur Internet, le haute mer ou dans des zones de plus souvent pour défendre la li- mouillage (zones d’abri sûr pour un berté de la presse. Mais comme ils navire –enfin, c’est la définition ! - ). le font certaines fois de manière Seule une veille attentive ainsi assez violente et défilent souvent qu'une réaction rapide, une manœumasqués dans des rues, ils sont vre le déclenchement de l'alarme considérés comme des gêneurs. Ils générale peuvent éventuellement attaquent des sociétés à coup de dissuader les pirates de poursuivre « bidouillages » informatiques et leur action. certains, une fois démasqués, sont De plus, depuis 2006, les navires passés en justice. Mais ce n’est cargos possèdent tous un système « pas une organisation véritable et il d'alarme silencieuse » par satellite n’y a pas de démarche particulière à faire pour y entrer, ce serait plu- pour lutter contre le développement tôt un groupe de particuliers ré- de la piraterie. Ce système d'alarme, activé manuellement à bord de deux unis autour des mêmes objectifs. endroits gardés secrets, ne se manifeste pas sous forme d’alarme sur le navire mais envoie des données par Retour en mer : communication satellitaire. Les actes de pirateries sont classés en fonction de leur importance : on Pendant ce temps, les attaques distingue les petites bandes qui effectuent des vols de moindre importance des groupes de terroristes et des mafias, dirigées par de puissants hommes d’affaires, et qui prévoient tous leurs coups à l’avance. En 2007, on recence 263 attaques, mais en 2010, le nombre a considérablement augmenté et on en compte 445 ainsi que 29 détournements réussis.

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Ce mois-ci, certains élèves du collège ont rencontré un auteur de romans jeunesse, Yves Grevet. mon roman. J M : Où trouvez-vous votre inspiration ?

JDR Mag : D’où vous vient votre envie d’écrire, qu’est ce qui vous a poussé à commencer votre premier roman ? Yves Grevet :Je pense que j’avais envie d’écrire depuis toujours, car dès mon plus jeune âge j’ai commencé à écrire de courtes histoires… Les premières dont je me rappelle doivent dater de quand j’étais en CE1-CE2 ! Puis, j’ai commencé à avoir des idées et, petit à petit, elles se sont élaborées et l’idée très réaliste d’une première scène m’est venue, comme un film, et c’est là qu’à commencé la réalisation de JDR MAG - Juin 2013

Y-G : Elle me vient de ma mémoire, de mon vécu, de certains évènements marquants de ma vie mais la plupart du temps c’est inconscient. Certaines fois j’écris quelque chose qui me semble bien et plus tard, je m’aperçois que je l’ai déjà vu, vécu, ou que c’est déjà arrivé à l’un des membres de ma famille ! Les personnages de mes livres aussi me viennent inconsciemment, n’importe où et à n’importe quel moment. Dès que j’ai une idée je me plonge dans un livre. Bien sûr, il y a des moments où je bloque, où je me dis que cela ne peut fonctionner ainsi, alors je fais une pause, pour mieux repartir après, c’est pour cela que la durée de création de mes livres est très variable et que j’ai souvent besoin de beaucoup de temps pour achever un texte, mais ce n’est pas le cas de tous les auteurs !

j’essaye souvent de faire des phrases courtes, je me base sur la simplicité, le direct pour rendre mes histoires plus « vivantes » aux yeux des lecteurs. L’univers de mes livres est varié : on voit aussi bien de la fiction que du réalisme (mais il est rarement dans le futur). Moi, je lis plutôt des romans d’espionnage, du policier et de l’historique. J’écris toujours à la première personne et de cette manière, même si le personnage ne me ressemble pas du tout, j’arrive à m’identifier à lui. Je dirais enfin que je ne pars jamais dans l’idée de faire passer un message aux lecteurs, même si, au fond, on peut en trouver un dans n’importe quel livre. JM : Comment est planifiée l’une de vos journées type ?

J M : Comment définiriezvous votre style ? Y-G : Je ne sais pas vraiment, 10

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Y-G : Il est difficile de répondre à cette question car mes journées ne sont pas fixes, je n’obéis que très rarement à un véritable emploi du temps ! Je vais donc vous décrire une journée où j’ai de l’inspiration : Vers 8h 30, je m’installe, relis les pages précédentes sur mon ordinateur puis continue (si je n’ai pas d’idées je fais autre chose), puis je travaille sur mes cahiers pour rendre le contexte plus clair dans ma tête ou chercher des pistes, et je finis en général à 22h. Evidemment, quand je travaillais comme professeur de primaire cela n’étais pas pareil ! JM : Quels sont vos mots d’ordre quand vous travaillez, un message à ceux qui cherchent à devenir écrivains ? Y-G : Je n’ai jamais eu à craindre la page blanche car

je réfléchis souvent beaucoup avant de me lancer (par exemple, j’ai passé 4 ans à travailler sur l’univers de Méto, à la fois pour inventer les codes secrets, dessiner les personnages principaux pour mieux les cerner et pour me questionner). Le plus dur je trouve que ce n’est pas cela, pour moi c’est le fait de ne jamais savoir précisément où je vais et ce qui va suivre que je crains ! Je trouve qu’il faut accepter aussi le fait de parfois « écrire pour rien » et « jeter » les mauvaises idées même si vous y avez passé du temps. Bien évidemment, c’est aussi dur de trouver un éditeur au début, mais je ne me suis pas mis la pression, il fallait que cela reste pour moi un plaisir ! D’ailleurs, je n’en ai jamais fait mon gagnepain (je gagne à peu près 7 à 8% des bénéfices de mes livres, soit environ 1 euro par tome de Méto vendu). Je n’ai pas de préférence pour l’un de mes livre car que je passe 4 ans ou 2 jours dessus, ils sont tous réussis. L’essentiel, c’est que je me donne du temps et que je modifie parfois jusqu’à l’édition ( !), mais avant tout, je ne reste pas bloqué sur un livre une fois finis, j’essaye de décrocher et d’aller de l’avant, même si parfois, l’histoire reste attachée à moi !

JM : Avez-vous des passions en dehors de l’écriture ? Y-G : Oh, oui ! Elles sont nombreuses : j’aime le dessin, la mosaïque, l’art et les travaux manuels, j’adore aller voir des Musées, des expositions… Mais par dessus tout, j’aime le cinéma (j’y vais environ 1 à 2 fois par semaine) ! Je suis aussi fasciné par le Latin et l’Antiquité et m’en inspire parfois pour mes livres ainsi que de faits d’actualités (un nuage de pollution planant au dessus de Pékin à entraîner la création de Nox par exemple).

Si vous avez envie de lire l’un de ses livres, voici trois titres de différents styles qu’il a écrit : la trilogie Méto , Seul dans la ville et les deux volumes de Nox.

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Gatsby le magnifique :

Iron Man 3 : «Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?

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Printemps 1922. L'époque est propice au relâchement des mœurs, à l'essor du jazz et à l'enrichissement des contrebandiers d'alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du MiddleWest pour s'installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d'un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s'étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble. C'est ainsi que Nick se retrouve au cœur du monde fascinant des milliardaires, de leurs illusions, de leurs amours et de leurs mensonges. Témoin privilégié de son temps, il se met à écrire une histoire où se mêlent des amours impossibles, des rêves d'absolu et des tragédies ravageuses et, chemin faisant, nous tend un miroir où se reflètent notre époque moderne

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Les Croods: Les Croods est l’histoire de la première famille moderne du monde. Elle se déroule à une époque jusqu’à présent inconnue, l’ère Croodéolithique – lorsque Mère Nature en était aux premières étapes de ses expériences, dont le résultat était une flore et une faune incroyablement bizarres. C’est dans ce monde à la fois comique et dangereux que la famille Crood doit s’aventurer pas un problème suffisant, le père, Grug, tombe rapidement sur quelqu’un de beaucoup plus fort que lui – un jeune nomade plein d’imagination, Guy, qui en pince pour Eep, la fille de Grug. Les Croods sont contraints d’évoluer, de conquérir leur peur du monde extérieur et de découvrir que la seule chose vraiment nécessaire pour survivre, c’est de pouvoir compter les uns sur les autres.

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Fast and furious 6: Dom, Brian et toute leur équipe, après le casse de Rio, ayant fait tomber un empire en empochant 100 millions de dollars, se sont dispersés aux quatre coins du globe. Mais l’incapacité de rentrer chez eux, et l’obligation de vivre en cavale permanente, laissent à leur vie le goût amer de l’inaccomplissement. Pendant ce temps Hobbs traque aux quatre coins du monde un groupe de chauffeurs mercenaires aux talents redoutables, dont le meneur, Shaw est secondé d’une de main de fer par l’amour que Dom croyait avoir perdu pour toujours : Letty. La seule façon d’arrêter leurs agissements est de les détrôner en surpassant leur réputation. Hobbs demande donc à Dom de rassembler son équipe de choc à Londres. En retour ? Ils seront tous graciés et pourront retourner auprès des leurs, afin de vivre une vie normale.

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Un grand mariage Don et Ellie ont divorcé depuis longtemps, mais pour le mariage de leur fils adoptif, et pour le bien de sa mère biologique, les voilà obligés de sauver les apparences en faisant semblant de former un couple uni et heureux comme au premier jour… Au milieu de la famille et de tous leurs amis réunis, leur mensonge va rapidement provoquer des choses qu’ils n’avaient pas imaginées… Entre secrets et faux-semblants, entre hypocrisie et vieilles rancoeurs, rien ne sera épargné aux convives, qui ne vont pas tarder à se jeter dans la bataille. La fête s’annonce saignante et réjouissante…

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C'est un docteur qui dit à un fou : - Alors pour qui vous prenez vous aujourd' hui ? - Dieu m'a dit que j'étais le pape. A ce moment-la passe un autre fou , qui s'écrie : - Ce n'est pas vrai , je ne lui ai jamais rien dit .

Le professeur de chimie inscrit la formule HN03 sur le tableau. Il interroge ensuite un élève : - Que signifie cette formule ? - Heu, je l'ai sur le bout de la langue, monsieur ! - Crachez-la tout de suite, c'est de l'acide nitrique !

La maîtresse demande à Nicolas : - Conjugue-moi le verbe savoir à tous les temps. - Je sais qu'il pleut, je sais qu'il fera beau, je sais qu'il neige.

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Deux fous se promènent. Soudain ils lèvent la tête pour regarder un avion. - Ah, je le reconnais dit l'un, c'est l'avion du Président. - T'es fou, on aurait vu passer les motard.

Deux fous sont dans une auto. Le fou qui conduit dit à l'autre: - Les freins ne marchent plus ! L'autre lui répond: - Ce n'est pas grave ! Le premier fou dit : - Mais nous sommes dans une pente ! L'autre reprend : - La voiture va s'arrêter. Regarde, il y a un stop en bas de la rue !

Dans un asile, un fou se promène avec une laisse avec accrochée au bout une brosse à dent, un gardien de prison, sachant qu'il est fou, lui dit : - Il est beau votre chien Le fou le regarde bizarrement et lui dit : - De quoi parler vous ? ce n'est pas un chien, mais une brosse à dents ! Le gardien, un peu confondu, décide de s'en aller, le fou regarde sa brosse à dents et lui dit : - On l'a bien eu, hein Rex ?

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Un petit garçon rentre de l'école avec son bulletin de note et va voir son père : - Papa c'est vrai que tes lunettes grossisse tout ? lui demande-t-il. - Bien-sûr pourquoi ? - Alors mets-les avant de regarder mon bulletin de note !

Dans le train, le contrôleur dit à une vieille dame : - Votre billet est pour Bordeaux. Or ce train va à Nantes. - Ca c'est ennuyeux, rumine la voyageuse. Et ça arrive souvent au chauffeur de se tromper comme ça ?

C'est un gars énorme qui frappe à la porte du chef du personnel d'une entreprise de bûcherons au Canada, car il cherche du travail - Vous avez l'air costaud. Vous avez des références ? - Ouais! J'ai travaillé au Sahara! - Vous vous moquez de moi ? Il n'y a pas d'arbres au Sahara ! - Il n'y a PLUS d'arbres !!!

- Docteur, ça ne va pas du tout. Lorsque j'appuie sur mon cœur, ça me fait mal. Quand je tâte mon foie, la douleur est intense, et quand je touche mon ventre, ça me fait très mal aussi. Vous avez une idée de ce que j'ai ? - Oui, monsieur, le doigt cassé.

Un homme entre dans une papeterie : - J'aimerais offrir un beau stylo à ma femme : c'est son anniversaire ! - Oh, c'est bien, dit la vendeuse, vous voulez lui faire une petite surprise ? - Oh que oui, ce sera même une très grosse surprise : elle s'attend à avoir une BMW...

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Docteur, j'ai besoin de lunettes. - Oui certainement, ici c'est une banque !

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Nous voilà plongés dans l'étrange aventure qu'est l'aventure exPRESSo. Vous êtes autorisés à vous posez toute sorte de questions : « Sont-ils fous ? », « Sont-ils à la hauteur ? ». Eh bien gardez les, car vous allez découvrir les réponses à vos questions dans CE dossier !

ExPRESSo, c'est quoi au juste ? :

dure une heure et demie. ExPRESSo en chiffres :

ExPRESSO, c'est LA rencontre annuelle des journalistes jeunes en France organisée par l'association Jets d'Encre (association nationale pour la promotion et la défense de la presse d'initiative jeune) et la mairie de Paris. Cette année, le festival a regroupé 260 journalistes jeunes de 30 rédactions de toute la France, du nord au sud, d'est en ouest regroupés dans un salle de rédaction géante et survoltée comprenant un stand par rédaction, chacune d'entre elles peut organiser des happenings (animation humoristique lancée par surprise) Il s'organise en deux parties majeures : le contre-le-montre, éprouvante épreuve de 15 heures commençant le samedi soir à 16h00 pour se terminer le dimanche matin à 7h00, impose la rédaction de 10 sujets imposés en un numéro spécial de notre journal de 10 pages maximum. Le concours de unes géantes, le dimanche matin, juste après le contre-la-montre. Il JDR MAG - Juin 2013

300 → c'est le poids en kilos estimé de matériel que nous avons apporté 260 → c'est le nombre de journalistes jeunes présents sur le festival 80 → c'est le nombre de magazines et journaux que nous avions apporté 50 → c'est le nombre de membre de l'équipe d'organisation 25 → c'est le nombre de cafés bus par l'équipe de rédaction tout au long du contre-la-montre 20 → c'est le nombre de stylos présents sur notre stand 9 → c'est le nombre de pages que faisait notre journal une fois rendu 7 → c'est le nombre de membre de notre équipe spéciale ExPRESSo. 3 → c'est le nombre de râteaux que Théo s'est pris tout au long du festival 1 → c'est le nombre de visite à l'hôpital pour notre équipe (rien de grave au passage)

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Le journal de bord du JDR MAG : 11h00 → L'équipe est au complet devant le collège, prête à partir pour Paris. 11h45 → Nous arrivons à Porte de Bagnolet, nous partons pique-niquer dans un square aux alentours. 12h50 → Nous remontons en voiture, direction la destination finale, le centre sportif Louis Lumière. 13h05 → Nous voilà arrivés devant le centre Louis Lumière, nous attendons l'ouverture des portes 13h20 → « C'est des fous ici » nous sommes nous exclamés en voyant et en entendant les autres équipes, munis de leurs déguisements parfois étranges, et criant tel des vendeurs de fruits et légumes au marché. abonnement-journal.jdr@hotmail.fr


13h45 → C'est avec quarante minutes de retard que nous rentrons, l'orga nous fait sa « Ola » JDR MAG, nous récupérons les badges ainsi que notre stand. La déco commence. 14h45 → La déco est presque terminée, les affaires sont rangées sous les tables, le matériel est en train d'être installé sur nos tables.

cahu-sac ». La course commence, Célestine et Doriane s'y collent, Georgia et Marianne terminent l'installation du stand, pendant que Lorine commence la maquette de la couverture à partir de divers couvertures de magazines apportés. 17h14 → Le deuxième sujet est lancé, et ce sera « Notredame-des-Landes, Veni, Vidi, Vinci ? ». Marianne s'y met, on part sur un dessin.

15h30 → La dernière équipe arrive, la cérémonie d'ouverture approche.

17h52 → La maquette de la couverture est terminée

16h00 → La cérémonie d'ouverture commence, nous découvrons le jingle (Surfin'bird – The Trash Men) ainsi que l'équipe d'animation et le programme.

18h14 → Théo et Georgia partent en conférence-débat sur l'année européenne de la citoyenneté, support de l'un des sujets du contre-lamontre.

16h30 → Le premier sujet est lancé (c'est le cas de le dire) il porte sur « Fraude fiscale, pris la main dans le

18h16 → Monsieur Meunier passe nous voir, nous lui présentons la maquette de la couverture ainsi que les su-

jets déjà mis en page. Il nous offre des caramels qui nous encouragerons toute la nuit. Encore merci à lui, nous ne pensons pas que tous les principaux feraient cela pour leurs élèves… 18h30 → Le 3e sujet est lancé, ce sera « la scoop est pleine », sujet a traiter en édito par le rédacteur en chef. Nous choisissons de le positionner dans la seconde oreille de Mickey. 19h00 → Heure creuse, tous les sujets sont finis, on en profite pour se reposer, aller chercher les paniers repas, participer aux happenings... Se détendre un peu quoi ! 20h00 → Georgia et Théo sont de retour, après cette longue conférence comme l'a résumé Théo dans le journal de bord : «La conférence a été longue. La première partie fut intéressante mais à la fin, ça commençait à faire long sur le même sujet... Nous avons parlé de l'Union Euro-

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péenne, et avons constaté que très peu de personnes n'ont pas connaissance de l'élection des députés européens. La plupart des journalistes jeunes ne se sentent pas européens et trouvent que les études sont trop concentrées sur la France et son histoire ». Dans le foulée, le sujet portant sur la conférence est lancé, Georgia et Théo se mettent au boulot et Marianne et Célestine partent pour la seconde conférence sur l'indépendance des médias. 20h30 → Le cinquième sujet est lancé « Quatar, émir et image ? ». Théo, notre spécialiste football et Quatar se lance. 21h45 → Pas d'autre sujet lancé depuis 20h30, nous en avons profité pour manger, avancer la maquette et la relecture, terminer les sujets commencés sans stress dû aux nouveaux sujets et se détendre autour de nos boîtes de bonbons… 22h00 → Marianne et Célestine reviennent de la conférence-débat sur l'indépendance des médias, donc, dans la foulée, le sujet portant sur la conférence est lancé. On repart sur un dessin. 0h00 → …et toujours debout… 0h30 → Petit expérience méga drôle dans la salle de repos JDR MAG - Juin 2013

racontée par Théo : « J'étais avec Clément, on allait au dojo pour se reposer et être en forme pour la nuit. Nous arrivons devant, enlevons nos chaussures et entrons à l'intérieur. Il faisait noir, très noir. Clément se dirige vers la gauche de la salle et marche jusqu'au fond et là, alors qu'il s'apprêtait à s'asseoir, il réalisa qu'il était sur le point de s'installer sur une jeune fille qui dormait. Bien entendu, il la réveilla, et elle s'exclama doucement : « Désolée, c'est occupé ». Dans la foulée, Clément s'excusa et nous nous sommes donc dirigés de l'autre côté ». 0h20 → Le rédacteur en chef commence à râler, le sujet lancé à 22h00 n'est toujours pas terminé, on avait dit pas plus de 1h45 par sujet les filles !!! 0h45 → Le 6e sujet du contre-la-montre est lancé, « François : Anonymous papam » est pour Georgia. 1h15 → Théo est invité à danser lors du happening de l'orga par une très mignonne jeune fille de la Mouette Baillônée nommée Alice. 2h00 → Les premiers signes de fatigue sont ressentis dans la rédaction, le rédacteur en chef demande à Lorine, la maquettiste qui est sur l'ordinateur depuis 17h00 18

de repos, comme convenu auparavant. Mais l'orga, elle, elle s'en fiche de nos coups de fatigue, et c'est pour ça qu'elle lance le 6e sujet de ce frénétique contre-la-montre ! « Thatcher, mort de la dame de fer ». On décide de l'écrire en anglais et devinez qui s'en charge... ; Georgia ! 2h30 → c'est l'heure de tous les happenings : ceux des rézos IDF et Rhône-Alpes, le second de l'orga et tous ceux des rédactions présentes. L'ambiance était au plus haut à cette heure-ci ! 4h30 → Voilà, après une très longue pause offerte par l'orga, voici le neuvième sujet « Eurovision : l'euroculture en bonne voix ? ». Je pense que vous pourrez encore devinez qui rédigera ce sujet… 5h00 → Le soleil commence à se lever sur Paris. Personne n'a encore réellement dormi, les filles partent tout de même pour un petit peu de repos.

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6h00 → Rien ne va plus, le rédacteur en chef est au bord du malaise, il est évacué à l'hôpital. L'équipe devra se débrouiller seule pour la fin.

10h00 → La une est rendue, c'est l'heure des délibérations pour le jury alors que notre rédacteur en chef est de retour de l'hôpital.. et il est en forme !

6h30 → Alors que le rédacteur en chef attend toujours l'ambulance, le dernier sujet est lancé « Mariage pour tous, un débat barjot ? », et, toujours la même chose, Georgia s'en charge.

10h30 → Il ne reste plus qu'a attendre les résultats donnés vers 15h00, le temps pour nous de vous expliquer en détail notre organisation

7h15 → Le journal est imprimé puis photocopié avant d'être remis au jury.

12h30 -> Le repas est servi, ce fut immonde... On vous détaille pas ce qu'il y avait dans nos assiettes, nous non plus on ne savait pas !

8h00 → L'épreuve de unes géantes est lancée « J'ai l'étalon dans l'estomac » sera la thème de cette création.

stressés de savoir si nous avons un prix… 16h10 -> Rien de rien. Nous n'avons rien gagné pour cette année mais avons tout de même eu une mention spéciale du jury pour notre courage malgré notre âge. Nous avons d'ors et déjà pris rendez-vous pour l'année prochaine !!

15h30 -> C'est l'heure des résultats, le jingle a retenti, nous courrons vers la scène,

Et comme les mots ne peuvent pas remplacer les images , voici quelques images expliquant notre organisation

Voici notre planning des articles : au lancement de chaque article, les journalistes chargés de l'écrire inscrivaient leur nom dans les cases bleues et le nom de l'article dans la case grise en n'oubliant pas de rajouter l'heure de lancement en dessous.

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pour u n en béton o ti a is n a Une org journal

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Comité de rédaction : Directeur de publication : M.MEUNIER Rédacteur en chef : C.BOISSELIER Rédactrice en chef adjointe : L. GEBUHRER Secrétariat de rédaction : M.BOISSELIER Mise en page : L. GARRIDO et I. OZIERI Chef pôle journalisme : S. TORRENT Dossier : C.BOISSELIER Reportage : L. GEBUHRER

Reportage : Les dessous de vos départs en vacances

Interview : L. GEBUHRER Page BD, livres et DVD : G. BJARSTAL Page cinéma : R. GUSCHING Page High-Tech : L. GARRIDO Blagues : S. TORRENT Informations : Mme LE CAM, C.PHILIBERT et S. SPALDING Remerciements :

Sport : Bienvenue à Roland Garros

M. MEUNIER Mme LE CAM Mme RAUFASTE Mme FOUQUET M. JACQUEMIN

Imprimerie spéciale. Publication gratuite dans le cadre de l'établissement scolaire. Tous droits réservés JDR MAG Collège J. De Romilly 65 rue des Labours JDR MAG - Juin 2013

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