Wawa magazine n°13

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Magazine

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wawa Le magazine du Brabant wallon

Février 2015 Numéro 013

Voyage aux confins de la Thaïlande


CONDITIONS BATIBOUW*

Edito

SUR NOS CUISINES, SALLES DE BAINS ET RANGEMENTS Tout doucement les journées rallongent… Les rayons du soleil se montrant timidement mais ce n’est toujours pas vraiment ça…

DU 26 FEVRIER AU 31 MARS 2015

Alors nous vous invitons à la découverte dans notre nouvelle rubrique voyage. Nous vous présenterons une destination dans chaque magazine, cette fois-ci, le pays du sourire, la Thaïlande ! Deux gazelles du Brabant wallon vous feront voyager à travers leur aventure dans le désert et vous pourrez découvrir plus loin un festival exceptionnel, Le Banff Mountain Film Festival à découvrir absolument à Braine l’Alleud ! De la décoration aussi, avec le Upcycling, nouvelle tendance à découvrir absolument à Jodoigne ! Encore du voyage, cette fois-ci avec Yves Vander Cruysen, cette encyclopédie vivante va vous en apprendre sur Waterloo, vous serez étonnés !

DES ESPACES POUR MIEUX VIVRE

Bonne lecture ! Jean-François de Lavareille info@wawamagazine.com www.wawamagazine.com 0479 96 60 91

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Voyage aux confins de la Thaïlande

Upcycling: le nouveau concept design en vogue !

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BANFF dans la tronche

Wawa Magazine Editeur responsable Jean-François de Lavareille Rue du Collège 114 - 1050 Bruxelles Rédaction Coralie Denis Pierre Chaudoir Photographe Jean-François de Lavareille

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Le globe-trotter de tous les Waterloo

Infographie Pica Mundo sprl Avertissement: • Nous déclinons toute responsabilité pour le contenu des publicités. • Le contenu des articles n’engage que les personnes interrogées. • Aucun article ne peut être reproduit même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction. • Ne pas jeter le magazine sur la voie publique



Entourée du Laos, vert et sauvage, du Cambodge à l’histoire douloureuse, de la Malaisie aux mille contrastes, et de la Birmanie envoutante, la Thaïlande combine les atouts de chaque pays de l’Asie du Sud Est ! Pour tous ceux qui rêvent de la chaleur et de la douceur de vivre de l’Asie du Sud Est, la Thaïlande est sans aucun doute un premier choix ! Savoureux mélange de rizières d’un vert flamboyant, de temples bouddhistes colorés, de plages et rocs jaillissant de la mer, de traditions imprégnées dans le quotidien, la Thaïlande propose ce que chacun de ses voisins a de plus beau et de plus alléchant. Une grande richesse culturelle, avec le style Thaï mais aussi Khmer, une nature omniprésente, des paysages de montagnes sublimes, une cuisine savoureuse … Décrié par les plus aventureux qui la jugeaient trop touristique, ce royaume a pourtant le grand avantage d’être accessible à tous, grâce au développement de


Voyage aux confins de la Tha誰lande


son tourisme justement qui l’a rendu plus accessible, en lui donnant des moyens de transports de qualité et des infrastructures hôtelières somptueuses à petits prix. Avec du personnel qui parle anglais et parfois même français ! Ca peut servir… Le pays des contrastes Même si les tours opérateurs organisant des circuits sont nombreux, il est très facile de partir en famille et d’improviser sur place. Une quantité incroyable de petites agences de voyage ont pignon sur rue, et il est facile de se déplacer en train, en bus, ou via des vols internes. Bangkok, la capitale trépidante et multiple, grouille de mille trésors et mérite quelques jours, au début et à la fin du séjour. Il faut s’y balader pour s’imprégner de ses odeurs, ses bruits, ses contrastes. Sukhumvit, le quartier des affaires, surprend avec ses centres commerciaux gigantesques et ses métros aériens surplombant de petits temples et jouxtant des rivières aux abords peuplés de baraquements. Les rues de ce quartier sont toutes appelées Soi, suivi d’un numéro. Attention, beaucoup de prostitution dans ce quartier. Pour retrouver vos repères et d’autres voyageurs, vous pouvez flâner dans le quartier de routards, à Khao San Road: même si c’est fort bruyant le soir, ce petit quartier a le mérite d’offrir de nombreux restaurants, une multitude de petites agences pour vos excursions, et des salons de massage corrects. Ne vous attendez pas à un moment de relaxation, ce type de massage est plutôt douloureux ! Les bienfaits se feront sentir après quelques jours seulement. En vous éloignant un peu, vous découvrirez dans les environs des ruelles plus authentiques.




Quelques temples à ne pas manquer dans la capitale : le Wat Phra Kaeo, temple du Bouddha d’émeraude, situé dans le très étendu Palais royal, reconnu pour sa flamboyance, et le Wat Pho, et son célébrissime bouddha couché. Petites expériences à ne pas manquer : Faire un tour en bateau sur le fleuve Chao Phraya pour voir la ville de l’extérieur ; vous arrêter dans le quartier chinois. Prendre un verre sur un rooftop d’un hôtel chic. Une vingtaine ont installé des bars et restaurants ouverts à tous sur leurs toits, parfois au 61ème étage comme au Banyan Tree. Frissons garantis ! Du Nord au Sud Vous pouvez passer quelques jours dans le Nord, en vous arrêtant pour commencer à Ayutthaya, riche des vestiges de l’époque khmer, disséminés dans la ville; on vous conseille de faire le tour à vélo ! De là, direction Sukhothai, ville historique classée au patrimoine mondial de l’humanité, que l’on visite à pied. Ensuite, rendez-vous à Chang Mai, ville protégée d’une enceinte, point de départ pour de nombreuses activités : trek, massage, balade à dos d’éléphant,... On vous conseille fortement d’aller jusque Pai, pe-

tit havre de paix perdu dans la nature, au bord d’une rivière, où l’on se pose pour profiter de la douceur de vivre, prendre des cours de cuisine, et explorer la région à moto ! Les plus téméraires iront plus au Nord, jusque Chiang Rai, pour voir son majestueux temple blanc, le Wat Rong Khun, puis Mae Song, pour son monastère bouddhiste de style birman, le Wat Chong Kham. Plus au Sud, dans la mer d’Andaman et le Golfe de Thaïlande, de nombreuses îles attirent la foule, motivée par des raisons diverses : plages de sable, cocotiers, mer chaude, bungalows, repos, snorkeling, fêtes… Le tout est de faire le bon choix selon vos attentes ! Pukhet, Ko Phi Phi et Ko Samui sont les festives, Ko Lanta est un peu plus calme et authentique, et Ko Chang, à l’est du Golfe, plus sauvage. Infos pratiques • Compagnies: Thai Airways propose un direct Bruxelles-Bangkok en 11h15. (sinon : Ethiad, Quatar Airways, Emirates, Air France, Jetairways,…) • Vols internes depuis l’aéroport Duon Mang, avec Air Asia • Décalage horaire : + 5h en été, + 6h en hiver


• Période : la saison idéale est de novembre à février, pour éviter les fortes moussons • Visa : n’oubliez pas votre passeport. Il doit être valable encore 6 mois après la date de retour. Visa sur place, pour des séjours de plus de 30 jours • Vaccin : aucun obligatoire. Vaccinations universelles (DTCP, hépatite A, B) et typhoïde conseillés. A faire et ne pas faire… Retirez vos chaussures, dans les temples bouddhistes et certains musées. Asseyez-vous avec les jambes repliées vers l’arrière, en tous cas pas avec les pieds en directions du bouddha Evitez aussi de regarder les moines dans les yeux et ne touchez pas aux offrandes Portez des tenues qui couvrent le corps: pas de jambes nues ni d’épaules dégagées pour les femmes Si vous voulez saluer quelqu’un, ne lui serrez pas la main: en Thaïlande on joint les deux mains à plat et on se penche légèrement en avant

Même si ils sont très mignons, ne touchez pas le crâne des enfants comme on aurait tendance à le faire ici ! Là-bas, cela ne se fait pas… vers les adultes non plus (sans surprise) car on considère que la tête est le siège de l’âme… Evitez de vous embrasser langoureusement en public ! Les Thaïlandais sont très pudiques De manière générale, on évite de s’énerver, c’est mal vu. Si vous avez à régler un problème avec quelqu’un, ne le faites pas en public pour éviter qu’il perde la face Respectez l’environnement ! On ne jette rien par terre, cela va de soi… Idem pour les mégots de cigarettes Une dernière chose: le roi est très respecté en Thaïlande. Il arrive d’ailleurs que l’hymne retentisse en rue. Tout le monde s’arrête de bouger quelques minutes, vous y compris !


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Upcycling: le nouveau concept design en vogue ! Des boites à biscuits métalliques qui se transforment en luminaires rétro hyper chic, des fourrures qui deviennent des coussins ultra doux, des talons de chaussures pour des porte-manteaux inattendus, des palettes brulées pour des étagères sombres exceptionnelles… c’est tout ça, l’upcycling ! Et bien plus encore.

Le principe de l’upcycling, ou surcyclage en français ? On transforme des objets et matériaux que l’on n’utilise plus en quelque chose d’autre, de mieux, de meilleure qualité, en détournant bien souvent l’objet de son usage premier. On le rend plus beau, plus original, d’où le UP, signifiant “plus”, qui montre l’amélioration. C’est en cela que l’upcycling se différencie du recyclage qui n’induit pas d’amélioration du produit. Il s’éloigne aussi de l’écodesign qui lui, tient compte lors de tout le cycle de production, de son impact sur l’environnement. Avec pour objectifs notamment de limiter la quantité d’eau utilisée et de déchets produits, de réduire la pollution liée au transport des marchandises, de diminuer la quantité de matières premières utilisées et d’emballages, etc. L’avantage ? Cela permet d’être plus créatif, cela donne des nouvelles opportunités : des objets originaux prennent vie, comme un siège à bascule réalisé à partir de vieilles cassettes vidéo ! Autre atout :

le côté unique. La customisation n’est en effet jamais bien loin dans ce processus. Bien souvent, les créateurs acceptent de réaliser pour leurs clients une version particulière de leur œuvre, dans telle couleur, tel format. Effet assuré ! Même si avant tout, c’est le résultat esthétique qui compte, la donnée éthique est bien présente elle aussi : faire de la récup’ et donner aux choses une deuxième vie permet de limiter le nombre de déchets sur la planète ! Cela vient d’où? Cette appellation est apparue il y a une vingtaine d’années aux Etats-Unis, en 1994 précisément, sous la plume de l’ingénieur Reiner Plitz. Mais en réalité, le phénomène existait déjà dans les pays en voie de développement, où la population bénéficie de moins de moyens pour avoir accès aux biens de consommation, et où les systèmes de collecte et traitement des déchets sont à leur balbutiement.



En Afrique, les bouteilles en plastique sont découpées en lamelles et tissées pour créer de la déco. En Asie, au Cambodge notamment, les sacs de riz sont devenus des collections de porte-monnaie et trousses de toilettes colorées, aux jolis idéogrammes. En Belgique, dans le même registre, on a vu des canettes de soda ouvertes, coupées et transformées en cendrier. Une nouvelle génération de designers Mis à part ces créations accessibles à tous, le secteur s’est professionnalisé et s’est développé ces dix dernières années : certains designers ont même fait de cette pratique leur spécialité, voyant l’immense potentiel et l’inspiration sans fin que pouvait susciter l’upcycling.

formes de papillon qu’elle attache autour d’une structure lumineuse. Nicolas Destino : ou la métamorphose de thermos en lampes de chevet improbables. Hophop studio : les vieux tiroirs deviennent de nouveaux meubles vintage. Zoé Morel: avec ses ampoules bulbes basse tension, les boites à biscuits ou vieux tiroirs métalliques se déguisent en lueurs poétiques. Auguste et Claire créent des lampes suspension réalisées avec de la vaisselle ancienne, tasse et sous tasse.

La Belgique peut se targuer de compter dans ses rangs quelques créateurs renommés : Géraldine Calbert, qui remanie vos tables en bois banales en autant d’œuvres d’art uniques et colorées.

Citons également quelques stylistes comme Eléonore de Lichtervelde, Valériane Tramasure, et d’autres designers comme Martin Levêque, RE store, Dustlab, Cactus & Charbon, Kaju design, Lucie Vanroy, parmi lesquels quelques français établis en Belgique.

Stéphanie Gosuin, qui enchante votre intérieur avec ses lampes papillons féériques. Elle découpe dans des magazines de tout type, féminins ou d’actu, toutes ces revues destinées à l’incinération, des

Pas forcément moins cher Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le fait qu’il s’agisse d’objets ou matériaux de seconde main ne rend pas le coût de l’article plus bas… au contraire !


Un gros travail de sélection de la matière et de recherche s’impose, avant de procéder à la réparation et à la préparation de la pièce dénichée. Ajoutons à cela le travail du créateur, tant de conception que de réalisation, bien souvent à la main, et sans économie d’échelle vu que chaque article est unique. Les prix s’alignent donc plus à ceux du design que de la seconde main, et ça le vaut bien ! A vous! De manière générale, la tendance au DYI (do it yourself) s’adapte à cette nouvelle mode et les idées de choses à faire soimême pullulent sur le web ! Des sites comme Pinterest constituent des sources d’inspiration inépuisables pour réaliser soi-même. Attention au plagiat néanmoins, faites-les pour votre usage personnel, mais pas de vente au voisin ou au marché de Noël du coin. Découvrir l’exposition Up !Design L’exposition poursuit la réflexion menée autour du design et du développement durable en présentant d’une part une par-

tie du résultat des ateliers et de l’autre, une sélection de créations d’une dizaine d’artistes éco-designers sélectionnés par le collectif Kalbut DSGNpour leur univers singulier et leur vision de l’upcycling. Informations pratiques : Du 23 février au 15 mars 2015 Ouvert les mercredis, samedis et dimanches de 13h à 17h, les jeudis de 11 h à 14 h. Sur rendez-vous pour les écoles et groupes. Lieu de l’évènement : Chapelle Notre-Dame du Marché Grand-Place,1 - 1370 Jodoigne Contact : 010 81 15 15 Contact général : a.rabineau@ccbw.be 010 62 10 47 Cette exposition a déjà circulé à : Waterloo, du 7 au 25 juin 2014. Tubize, du 27 septembre au 29 octobre 2014 Nivelles, du 14 au 26 novembre 2014 Ittre, du 17 janvier au 16 février 2015



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Chez Igor, Un univers d’inspiration pour votre intérieur. On ne présente plus IGOR home interior, la référence déco en Brabant wallon. « IGOR », c’est une histoire qui a commencé au Sablon en 1980. A l’époque, Damien Claeys y restaure des meubles chinés en Angleterre. Installé à Wavre depuis 30 ans, il propose aujourd’hui un mobilier contemporain sur-mesure ou non et une déco haut de gamme appréciée par les amateurs de belles matières, de lignes épurées et d’exclusivité. Il est rejoint il y a deux ans par son fils Benjamin, architecte-designer. Père et fils unissent leurs compétences dans une passion commune, l’amour du beau.


Mais qui est Igor ? Damien Claeys : « Au début de ma carrière, quand je me suis lancé comme graphiste, j’avais un perroquet dans le grenier où je restaurais les meubles ramenés d’Angleterre. Il s’appelait Igor. C’est pourquoi tout naturellement, lors de l’ouverture de mon premier magasin, le nom « Le Grenier d’Igor » m’est apparu comme une évidence. Au fil du temps et en référence à mes voyages, l’éléphant a remplacé le perroquet et le Grenier d’Igor est devenu IGOR. »


On ne vient pas chez Igor par hasard. Passez la porte, vous comprendrez. Déambuler dans les allées, passer d’un entresol à un autre, monter quelques marches et les descendre un peu plus loin… Vous n’imaginez pas quel voyage vous allez faire ! Damien Claeys vous fait partager son expérience des contrées lointaines et vous emmène au Rajasthan, en Thaïlande, en Indonésie. Il vous propose des antiquités qui s’égrainent ci et là dans le showroom et qui s’intègrent avec harmonie et équilibre aux meubles contemporains. Du « sur-mesure » à votre façon Chez Igor, voyager c’est aussi changer d’ambiance. Vous y trouverez de quoi vous inspirer et à coup sûr votre bonheur ! Vous avez envie d’un décor contemporain minimaliste, d’une atmosphère zen,

plus exotique ou originale, des dernières tendances qui marient bois et métal ? Au contraire vous souhaitez une touche plus chaleureuse, plus cottage ? Regardez à gauche, ou à droite, l’objet de vos désirs est là, sorti tout droit des plus grandes foires internationales ! Et s’il ne correspond pas tout à fait à ce que vous aviez imaginé, ne désespérez pas car Igor a tout prévu. Le « sur-mesure », il le connaît ! Et même très bien. Grâce à son propre atelier, il vous propose des meubles que vous allez moduler vousmême et personnaliser, sur base d’une ligne existante. Waouw, vous créez vousmême votre bibliothèque, votre garderobe ou votre vaisselier ! Vous choisissez un modèle qui vous plaît et vous ajoutez une porte, vous inversez deux éléments,


vous modifiez les dimensions, vous enlevez deux tiroirs … pour qu’il devienne Votre meuble. Et quand vous savez que de nouvelles lignes sont créées tous les six mois et que les anciennes sont conservées longtemps, vous avez compris que vous disposez d’un choix de base absolument énorme ! Les essences utilisées sont principalement le chêne et le pin et les prix sont tout à fait attractifs. Benjamin supervise toutes les étapes de la fabrication, depuis la commande jusqu’à la livraison. Le principe est le même pour les canapés. Un deux places devient un trois places, un canapé d’angle ou un pouf. Vous jouez sur la forme, les matières, les coutures. Mais chez Igor, on va encore plus loin et on vous propose des projets intégrés. Le meuble est fabriqué sur-mesure pour

s’intégrer parfaitement à votre espace. Un ébéniste vient chez vous et suit l’entièreté de votre projet. Un coach pour réussir sa déco sans stress Vous emménagez, vous avez envie d’un changement radical ou d’une pièce maîtresse qui donnera un cachet à votre maison ? Vous avez peur de vous tromper, vous êtes indécis, vous ne voulez pas vous débarrasser de tous vos meubles et craignez de ne pas trouver la bonne harmonie avec les nouveaux ? Arrêtez de stresser ! Acheter un meuble ou refaire sa déco, c’est important mais ça doit rester un plaisir. Pour cela faites appel à un pro. Igor vous offre un accompagnement personnalisé par un coach déco qui vous aidera à prendre les bonnes décisions et faire les bons choix, en respectant vos


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Et pour vos envies d’évasion, Damien ramène de petites merveilles chinées au cours de ses voyages, de quoi donner une petite touche exotique à votre intérieur. Last but not least, Igor habille aussi vos fenêtres et vous propose un large choix de tissus des meilleurs éditeurs. On citera Romo, Vano, Zimmer Rohde, Libeco et Puylaert. souhaits personnels et vos besoins. Igor s’occupe de tout jusqu’à la peinture, avec des équipes de collaborateurs professionnels. Si ça c’est pas magnifique ?! Ce service de coaching vous coûtera la modique somme de 250 €, qui sera déduite lors de votre commande. Petite décoration ? On sait ce qu’on entend par petite décoration, ce sont tous les objets qui vont enrichir les murs, les meubles, les sols, les tables. Mais chez Igor, rien n’est petit. Chaque objet est choisi avec soin, pour son raffinement, sa délicatesse, son originalité, sa classe ou son extravagance. De la bougie au cadre surdimensionné, du vase au luminaire, du tapis à la sculpture. D’ailleurs c’est avec un grand nom de la décoration qu’Igor travaille, POMAX, c’est tout dire !

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BANFF tronche BANFF dans tronche BANdans FF danlala s la tronche Le Banff Mountain Film Festival est considéré comme le plus grand et le plus prestigieux festival de films d’aventures et de montagne au monde. Le festival tient son nom du village dans lequel il est organisé, Banff. Ce village est situé dans le plus grand parc national du Canada au creux des magistrales Rocheuses canadiennes. Depuis 1976, le festival récompense chaque année les meilleurs films internationaux amateurs comme professionnels. Au départ, ils sont entre 350 et 400. Un jury professionnel retient environ 60 films parmi lesquels seront décernés les 13 légendaires « awards ». Au terme du Festival, les meilleurs films partent en tournée à travers le monde pour y être présentés dans 42 pays. Un périple qui attire sur l’ensemble des 750 soirées de projections quelques 600.000 spectateurs friands de grandes aventures.



Et, pour la 6ème année consécutive, le Banff refait sa tournée en Belgique et il s’arrête dans le Brabant Wallon le samedi 21 mars au Collège Cardinal Mercier. C’est une soirée qui bouleverse les horizons. Une vraie bouffée d’air frais et d’une très grande humanité. Quel bonheur de voir ces gens sortir de leur zone de confort. Celui qui a eu l’idée de nous amener ce feu d’artifice humain, c’est Patrick Toby. Un bon gars comme on dit du Brabant Wallon. Il envoie tout péter un jour pour se lancer seul dans l’aventure. Partager sa passion de l’aventure en diffusant sur écran géant les histoires fascinantes de ces aventuriers des montagnes. Rien que son discours d’accueil vaut le déplacement. Il est à la fois hilarant, chaleureux et formidablement émouvant. Le Festival est à son image. A celle de son sourire, de sa joie de vivre et surtout de son sens du partage. Il y a deux sortes de gens dans la vie. Ceux qui ont été au moins une fois au BANFF. Et ceux qui n’y ont pas encore été. Ne ratez pas l’occasion. Elle est rare. Si vous ne voulez pas rater l’occasion, ne traînez pas. Chaque année, c’est complet. Archi complet. Un BANFFeur averti en vaut deux. Pour le prix d’un plat du jour,



c’est le ciel qui vous tombe sur la tête. C’est une drogue le BANFF. C’est l’extase sur grand écran. Plus d’excuse avec toutes les infos. Et si jamais, vous ratez le coche au Collège Cardinal Mercier ou que vous avez envie de faire bis. Vous pouvez toucher aller à une autre date. Les 3, 4, 5 et 6 MARS au Wolubilis à Bruxelles, le 18 mars au Centre de Congrès à Mons, le 19 mars au Théâtre Royal de Namur, le 24 mars au Rock Hal à Esch sur Alzette ou le 24 avril à Libramont. Les places sont disponibles via le site www.banff.be.





Van Bruggen, créateur de couleurs

Avec sa multitude de coloris, son large choix de papiers peints, son étonnante gamme de revêtements de murs et de sols,…des conseils avisés, des yeux exercés, des collaborateurs qualifiés,…Van Bruggen est le grossiste de référence en peinture et décoration murale dans toute la Belgique. Fournisseur des plus grandes marques de peinture, Van Bruggen satisfait aussi bien les professionnels que les particuliers. Avec nos 20 années d’expérience, nous avons pu toucher un large public à la recherche constante de nouveaux défis, de nouvelles créations et couleurs pour embellir leur lieu de vie ! Van Bruggen : le bon goût et les couleurs ! Avec sept marques de peintures différentes et plus d’un million de coloris, et en vous offrant également la possibilité de créer de nouvelles teintes ou de reprendre la couleur de votre choix grâce à des machines à teinter très performantes, Van Bruggen vous offre plus d’un simple choix. Notre entreprise peut également réaliser gratuitement un avis coloristique à domi-

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Les étoiles de mer n’ont pas de cerveau.

Vous avez plus de chances d’être tué par un bouchon de champagne que par une araignée venimeuse.

Le poisson-chat a plus de 27 000 papilles gustatives, ce qui fait de lui l’animal qui a le plus de papilles gustatives.

Vos yeux sont de la même grosseur qu’à votre naissance, mais votre nez et vos oreilles ne cessent jamais d’augmenter.

Un escargot peut dormir durant 3 ans.

Les ours polaires sont gauchers. Seulement 1 personne sur 2 milliards vivra jusqu’à 116 ans ou plus. L’œil d’une autruche est plus gros que son cerveau.


En moyenne, les gens ont plus peur des araignées que de la mort. Les femmes clignent des yeux 2 fois plus souvent que les hommes.

Le muscle le plus puissant du corps humain est la langue

Les pieuvres ont trois coeurs.

Les américains mangent en moyenne 9 hectares de pizza par jour L’éléphant d’Asie mange en gros entre 100 et 300 kg de nourriture par jour. Plus de 1300 espèces animales sont actuellement en voie d’extinction.

© Franck Boston - Fotolia.com

Un cachalot peut aller jusqu’à 3 000 mètres de profondeur.



Vous avez un projet mais vous ne parvenez pas à le concrétiser, vous vous sentez mal au bureau, vous avez l’impression de tourner en rond dans la vie, la relation avec vos ados est difficile, les entretiens d’embauche vous effraient, vous n’arrivez pas à arrêter de fumer, … Des situations bien ennuyeuses qui pourraient très vite trouver une issue avec l’aide d’un ou d’une professionnelle. COACH, voilà un mot que l’on entend beaucoup aujourd’hui, sur les ondes, dans les magazines, dans les soirées. Mais plus qu’un mot à la mode, le coach est un spécialiste qui va compter de plus en plus dans notre quotidien. Nadège Lanniaux, une quadra bien dans ses baskets, ou devrait-on dire dans ses escarpins, a orienté sa carrière vers le coaching et elle a eu bien raison ! Elle a suivi la voie qui lui correspondait et qui lui permettrait d’apporter, par sa personnalité et son expérience, un vrai plus à l’excellente formation qu’elle a reçue. Rencontre avec une femme épanouie.

WaWa : Nadège Lanniaux, qu’est-ce qui vous a amené à cette pratique du coaching ? Nadège Lanniaux : Pendant mes études de droit, j’avais un job de commerciale pour un magazine et j’aimais déjà beaucoup le côté relationnel. Une fois diplômée, je me suis naturellement tournée vers le commercial. J’ai ensuite repris une licence en sciences-éco, plus en adéquation avec mon travail. J’ai exercé pendant 14 ans dans la vente et en 2008, j’ai eu l’opportunité de devenir coach au sein de mon entreprise ; mon rôle était de coacher les vendeurs, de les accompagner sur le terrain et de les faire évoluer. J’adorais ce travail. Malheureusement, suite à une restructuration, j’ai été licenciée. Ma première idée est alors de m’installer comme coach indépendante mais je me rends vite compte que les entreprises exigent un coach diplômé. Je me lance alors dans une formation (entretemps différentes écoles s’étaient créées) et je choisis, malgré les tarifs rébarbatifs, une

formation de qualité et certifiée (ICF, International Coach Fédération). Je prends alors conscience que c’est le coaching de vie, le life coaching, qui m’intéresse et que c’est vraiment ce que je veux faire. WaWa : Comment peut-on résumer le rôle d’un coach ? Nadège Lanniaux : Le coach accompagne une personne dans sa vie personnelle ou professionnelle et l’aide à atteindre un objectif, quel qu’il soit, du plus petit au plus grand. Il s’appuie sur les ressources du coaché afin de l’éclairer mais c’est ce dernier qui va trouver une nouvelle énergie, donner du sens à sa vie, se dessiner de nouvelles perspectives et ainsi, générer les résultats désirés. Le coaching va aider à transformer les limitations du passé, à lever les inhibitions et les freins, à remplacer les décisions contraignantes par des décisions délibérées. C’est la personne coachée qui « travaille », qui prend conscience de la réalité et qui trouve ses propres solutions, encadrée et soutenue



« C’est la personne coachée qui « travaille », qui prend conscience de la réalité et qui trouve ses propres solutions, encadrée et soutenue par son coach. »

par son coach. Ce mode de fonctionnement est évidemment bien expliqué lors de la première séance. Personnellement, j’utilise la méthode « Grow ». Dans un premier temps, le client définit un objectif, ensuite j’utilise le questionnement pour l’amener à une prise de conscience. De là, on va envisager les options, les moyens dont il dispose pour atteindre son objectif. Enfin, on définit les actions qui vont être mises en oeuvre. L’objectif peut être un objectif de séance s’il est nécessaire de le morceler en plusieurs objectifs plus « petits ». On avance de séance en séance, pas à pas. WaWa : Justement, combien de temps faut-il, en moyenne, pour arriver à un résultat ? Nadège Lanniaux : C’est difficile à dire, ça dépend du problème et bien sûr de la motivation et de la volonté de chacun. Les premières séances, idéalement, sont assez rapprochées, ensuite, on peut espacer. C’est clair que quelqu’un qui fait la démarche de pousser la porte d’un coach est très probablement motivé mais il se peut qu’il ne soit pas prêt à changer et ne mette pas les moyens en œuvre pour y arriver. Cela se détecte et j’en parle si j’estime que ça ne vaut pas la peine. C’est une question d’éthique. Je passe une sorte de contrat avec mon client, un contrat qu’il devra respecter, c’est dans son intérêt. Il aura de petites tâches à accomplir à domicile entre deux séances et si elles ne sont pas faites, je vais lui proposer de l’encadrer plus. Cela pour le pousser à évoluer vers son objectif. Une séance dure entre 1h15 et 1h30. On peut aussi envisager d’intégrer des séances de 30’ par Skype ou par téléphone, en réponse à des questionne-


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ments « intermédiaires » ou de moindre importance. WaWa : Quelles sont les qualités d’un bon coach ? Nadège Lanniaux : Etre à l’écoute et surtout avoir une écoute active, pouvoir rebondir sur certains détails qui semblent anodins et qui se révèleront importants, faire attention aux mots qui reviennent souvent, c’est à coup sûr un indice à côté duquel il ne faut pas passer. Il peut arriver que quelqu’un expose un problème et que ce problème en cache un autre, qui est le véritable élément perturbateur. Le coach doit le détecter. Les autres qualités essentielles sont l’objectivité, le coach n’a pas à juger, ni à induire. La confidentialité et l’éthique sont des attitudes indispensables. Le résultat compte, évidemment, c’est le but de la personne coachée et le mien. WaWa : Qui vient voir un coach ? Nadège Lanniaux : Le coaching a plutôt démarré en entreprise et dans les milieux sportifs mais aujourd’hui, ça s’adresse à tout le monde, à toute personne qui éprouve à un moment une difficulté dans son parcours. La vie que nous menons n’est pas simple, il y a beaucoup de stress, dans le privé et au travail. A côté de cela, il y a des gens qui veulent réorienter leur carrière, donner un autre sens à leur vie. Certains ont des problèmes de dépendance, de confiance, de burnout, d’estime de soi, de phobies, d’organisation, d’indécision … Tout cela relève de la personne elle-même et peut être différencié de ce qui s’apparente au relationnel. Par exemple, une mésentente avec une bellemère ou un collègue, ne jamais savoir dire non à son patron, des problèmes d’autorité d’une maman avec ses enfants….

« Il peut arriver que quelqu’un expose un problème et que ce problème en cache un autre, qui est le véritable élément perturbateur. Le coach doit le détecter. » WaWa : Pourquoi un coach et pas un psychologue ? Nadège Lanniaux : Le psy va amener son patient à retourner dans son passé et ça peut prendre beaucoup de temps avant de régler un problème ou atteindre un objectif. Le coach voit l’avenir et oriente l’objectif vers le futur. Plutôt que de creuser le problème, il va le contourner, pour aider son client à avancer. Cela dit, quand je ressens qu’il y a un traumatisme, quelque chose qui n’est pas de mon ressort, je dirige la personne vers un psychologue ou le thérapeute ad hoc. Ce qui différencie le coach du consultant, qui travaille surtout en entreprise, c’est qu’il ne va jamais conseiller. Le coach ne peut pas donner son avis, ni induire, ce n’est pas son rôle. Carine Cordier COACHING LANE Nadège Lanniaux Coach certifiée ICF 0485 447 477 www.coaching-lane.be Consultations à son bureau et à domicile



EXPO Monsieur Cattelain, expert fiscal international honoraire, Grand Prieur de l’Ordre Equestre du Saint Sauveur de Mont-Réal, Officier de l’Ordre de Léopold, et son épouse, ont ouvert leur maison de Grez- Doiceau au peintre Frédéric Wagemans.

Monsieur et Madame Cattelain ont accueilli Frédéric Wa g e m a n s dans leur résidence, pendant les six mois qui ont été nécessaires à la réalisation du portrait de l’épouse du Grand Prieur de l’Ordre Equestre. C’est un honneur dont le peintre ne se cache pas. WaWa : Qu’est-ce qui est important dans votre peinture ? Frédéric Wagemans : La lumière du jour est essentielle à ma peinture et cette magnifique maison du quartier du Bercuit a été un environnement de travail abso-

lument merveilleux. Dans l’élaboration d’un portrait, il y a d’abord les structures, l’échine graphique qui prévaut sur la couleur. Dans le deuxième temps, il y a le chromatisme. Je travaille en glacis, avec des couches très fines de couleurs transparentes qui par addition créent le velouté nécessaire à la représentation de la carnation ou des étoffes. La superbe robe de Madame Cattelain correspond à mon choix car ce travail qui consiste à rendre l’effet des matières et le côté aérien des voiles me plaît. Dans ma peinture, je dois donner le sentiment que je déjoue l’effort. Je veux faire passer l’impression de naturel, laisser penser qu’elle est évidente alors qu’elle est une conjonction de connaissances techniques, d’observation et de sensibilité. Ce qui doit s’en dégager, c’est avant tout la personnalité du modèle.


Travail à l’acrylique

WaWa : Monsieur Cattelain, qu’est-ce qui a motivé votre demande ? Monsieur Cattelain : Au départ, c’est un peu le hasard qui nous a fait rencontrer Frédéric lors d’un de ses vernissages. Nous avons été séduits. Je fais partie d’un groupe au sein duquel mon épouse est considérée comme la première dame de Belgique. J’ai eu l’idée de la faire représenter à l’ancienne, dans le cadre de sa fonction dans l’Ordre. La tâche du peintre était de faire son portrait mais aussi d’y ajouter ses touches personnelles en arrière-plan. On y trouve

donc des symboles et différentes histoires s’y rapportant, que notre groupe va s’atteler à traduire. Le titre du tableau est très spectaculaire puisqu’il s’intitule « La Joconde de Friedberg », en référence à la ville d’origine de mon épouse et bien sûr à la Joconde de Léonard de Vinci. Un vernissage aura lieu dans la propriété de Monsieur et Madame Cattelain, événement rehaussé par la présence du prince Laurent de Belgique.


Insolite spécial nature

Le blaireau passe 10 heures par jour à se nourrir en automne pour s’engraisser et se protéger du froid.

Le nombre d’espèces de champignons recensés aujourd’hui est d’environ 70.000.

Les entreprises de la transformation du bois emploient 300.000 personnes en France.

Le renard est capable d’entendre une souris à plus de 100 mètres.

La déforestation est à l’origine d’environ 20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

Un tiers de nos continents sont des forêts.

2/3 des espèces vivantes de la planète habitent en forêt.

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10 pays rassemblent à eux seul 2/3 du couvert forestier.


ESCAPADE à BRUXELLES

L’Orchidée blanche… On ne va pas vous mentir on avait déjà entendu parler de ce restaurant Vietnamien (et non pas Thaïlandais comme beaucoup le pensent). Plus d’un quart de siècle que l’Orchidée blanche régale les papilles des connaisseurs à Bruxelles, nous savions donc que nous ne mettions pas les pieds n’importe où… Une fois entré la décoration est assez sobre et fait la part belle aux matières naturelles, avec des lambris en chêne clair cérusé, qui sont parfaitement assortis à l’aspect plus « brut » de la pierre, un schiste foncé, tout comme à la délicatesse de la soie dorée. Simple et délicate. Le restaurant est bien sûr complet, pensez à réserver à l’avance… Notre élégante hôtesse nous installe et nous partons à la découverte du menu. Hyper complet grâce à de nombreuses variation sur base de poulet, canard, porc, boeuf et bien sûr fruits de mer… Nous laissons tenter par les spécialités,

l’Assiette «Orchidée Blanche » en entrée (5 délicieuses spécialités indochinoises (Wan-tan frit, Nem, Salade ananas, Tempura de scampis et brochette de poulet au daté)… et par le poulet et le canard en plat… Et c’est bien là que le voyage commence… Nous sommes transportés par les saveurs d’une cuisine à la fois fine et simple, qui fait mouche ! Le service, efficace et très sympathique ne contredira pas leur réputation. Un sens parfait de l’accueil par de charmantes demoiselles en habits traditionnels « Ao Dai », une souriante gentillesse. Comptez 30 euros sans les vins. Attention au parking, quartier pas évident. L’Orchidée Blanche 436, Chaussée de Boondael à 1050 Bruxelles Tél. : 02/647 56 21 www.orchidee-blanche.com Ouvert tous les jours sauf le samedi midi de 12h à 14h30 et de 19h à 23h.


Les Fils à Papa, à Uccle On dit toujours qu’il est plus difficile de se faire un prénom que de se faire un nom... Tous les deux cousins et fils de restaurateurs, Maxime et Sébastien ont décidé de faire mentir l’adage et, tant qu’à faire, d’en rire, en baptisant précisément leur établissement « Les Fils à Papa ». Le code couleur des lieux joue ici du noir et du turquoise. Ce dernier aussi élégant qu’inhabituel dans le monde de la restauration est distillé en quelques touches discrètes… L’escalier mène à un bel espace fumoir où, vautré dans de très beaux fauteuils « Chesterfield » étonnamment métallisés, les amateurs de tabac peuvent s’adonner confortablement à leurs penchants en toute légalité sans s’exposer aux intempéries.

». Sans oublier de jolies « tagliatelles au gorgonzola, roquette et croustillant de pancetta » mais encore d’excellents «rognons de veau à la dijonnaise, pommes grenailles au romarin ».

Côté carte On y retrouve de grands classiques bien maîtrisés, comme les « croquettes de petites grises de la mer du Nord », « l’américain préparé minute, et son cornet de frites à la belge », tous les deux « faits maison », côtoient sans complexe le « panier de dim sum aux scampis » tout aussi maison, ou encore le « wok de bœuf sauté au pousses de soja et basilic thaïe

Les Fils à Papa 1484, chaussée de Waterloo à 1180 Uccle Tél. : 02 374 41 44 GSM : 0475 975 975 (réservations également par SMS) Web: www.lesfilsapapa.be Ouvert tous les midis de 12h00 à 14h30, du lundi au vendredi et tous les soirs de 19h00 à 22h30, jusqu’à 23h00 le vendredi et samedi.

Rapport qualité prix Au quotidien, cette carte se double d’un beau plat du jour à 10 € et, pour les groupes d’au moins 10 personnes et sur commande, d’une série de formules « all in » allant de 29,50 € à 65 €. Ceci démontre qu’une visite aux « Fils à Papa » est tout sauf une expérience ruineuse, d’autant que la carte des vins fournit de belles suggestions plus abordables les unes que les autres et qui ont toutes pour point commun un très joli rapport qualité prix.



Waterloo

Le globe-trotter de tous les Waterloo Quand vous rencontrez Yves Vander Cruysen, vous avez l’impression de dialoguer avec une encyclopédie vivante. Il défend becs et ongles sa ville mais également la belgitude au travers. D’abord journaliste, il en a vite marre d’avaler et de régurgiter ce qu’il reçoit. Il veut créer. La politique le lui permet. Il s’engage et cela marche. Il vit dorénavant pour sa ville quasi 24 h sur 24. Ce célibataire est un stakhanoviste de la vie sociétale depuis 25 ans. Il est partout. Il vit ses mandats à 3.000 km/ heure.

l’Echevin en a visité 88 et il garde comme meilleurs souvenirs celle au Trinidad, dans l’Ontario au Canada ou bien encore dans la Sierra Leone. + Connaissiez-vous la répartition par commune des 1.000 hectares de la bataille ? 49 % sont à Lasne, 29 % à Waterloo et 22 % à Braine l’Alleud. + Saviez que la guéguerre entre Braine l’Alleud et Waterloo est très ancienne ? Elle remonte au 17ème siècle.

Pour briller dans vos dîners en ville, voici quelques informations que vous glanez chez cet homme de communication.

Il trouve quand même le temps d’écrire des livres. Il fait cela depuis qu’il a 18 ans. Son dernier édité aux Editions Jourdan parle de… Waterloo. Il démythifie les vieux poncifs autour de Waterloo.

+ Saviez-vous qu’il existe 124 villes de Waterloo dans le monde ? Et bien,

Il taille des croupières à des vieilles légendes comme, par exemple, l’origine


des mots de Cambronne, le fameux festin de fraises de Grouchy à Walhain, le bal interrompu de la duchesse de Richmond, les 300 morts que Victor Hugo aurait découvert dans le puits d’Hougoumont, le lion de Waterloo coulé dans le bronze des canons pris aux français, la prise de magot de Genappe, la construction de la butte par des botteresses liégeoises, l’origine waterlootoise de la fortune des Rothschild, la fameuse dotation de Wellington, … C’est 352 pages qui vous permettent de comprendre l’histoire. La vôtre finalement. Né à ‘Aterloo car en Wallonie, on ne

prononçait pas le « W » à l’époque, l’homme est très affable sur sa ville qui, en 30 ans, a vu sa population se grossir que de 4.000 habitants. C’est évidemment très peu. Quant à la circulation, il y a 2,8 véhicules par habitation. Ce qui est un record européen. Fatalement, cela a une incidence sur le trafic. Mais depuis la nuit temps, Waterloo a été encombrée par les carrioles qui transportaient la houille depuis le bassin charbonnier. Comme le trajet ne pouvait pas se faire en une journée et que les voyageurs craignaient la traversée de la forêt de Soignes très mal fréquentée, ils logeaient à Waterloo et


Waterloo ils s’y encanaillaient dans les cabarets. Si vous vous le voir dans un cadre agréable, vous devez aller manger à l’Opéra, la Cuisine au Vert, les 6 Colonnes ou la Pépinière et il adore le mélange de population réunie autour d’un bon beauf musical au In Vino Veritas. « Dans les 70 restaurants, vous pouvez tout manger sauf un marocain. Impossible de trouver un couscous à Waterloo » nous déclare-t-il. Appel aux candidats donc. « Mon prochain voyage m’emmènera à Hawaï, la terre d’accueil du père

Damien. Dans les îles Marquises pour partir sur les traces de Brel puis aussi à Tahiti et sur les Iles de Pâques découvertes par des belges. Dans un des mes livres, je rétablis aussi la vérité au sujet de Manhattan et de Pierre Minuit » insiste-t-il. Comme quoi, même ses vacances sont studieuses. Quand on vous dit qu’il est infatigable, il est infatigable. Quand vous le rencontrez, sachez qu’il est aussi intarissable. Intarissable mais pas fatiguant. Juste passionnant.


Mais où sont passées les gazelles ? Avant pour distraire les femmes, elles avaient droit à des soirées Chippendale. Maintenant et depuis 25 ans, il y a le Rallye des Gazelles. Uniquement réservé au sexe fort. C’est une épreuve où les hommes sont interdits. Nous ignorons si ces deux femmes portent la culotte dans le ménage mais une chose est certaine, c’est que leurs culottes, leurs hommes, ils devront les laver tout seul pendant 2 semaines. Elles se cassent pour une belle aventure.


« Fais de ta vie un rêve et d’un rêve une réalité ». Une citation de Saint-Exupéry qui a motivé Wivine Braun et Nadine de Halleux. Déterminées, vivant dans le Brabant Wallon, volontaires et mères de famille nombreuse car elles ont toutes les deux 5 enfants. Elles ont décidé de larguer les amarres pour participer ensemble à la 25ème édition du Rallye Aicha des Gazelles, ce raid unique, 100% féminin, qui se déroule du 18/03 au 04/04 dans les déserts du sud marocain et qui fait rêver tant de femmes. 1ère participation pour Wivine Werbrouck de son nom de mariée, pour qui les caps et boussoles n’ont pas de secret en raison de ses nombreuses navigations en mer et de sa traversée de l’Atlantique l’an dernier. 3ème expérience de rallye raid féminin pour Nadine, issue du cru van de Poele… C’est la femme d’Eric van de Poele, qui fût pilote en Formule 1 et recordman des victoires aux 24 hrs de Spa.

« Nadine m’a tellement fait rêver en racontant ses récits de Gazelles que je me suis mis en tête d’y participer ! » déclare Wivine. Pilote ou navigatrice ? Elles se partageront le volant à tour de rôle les cartes car il s’agit d’un rallye à l’ancienne, sans course de vitesse ni GPS. Elles représenteront la célèbre marque VW au volant d’un Amarok du team officiel VW. « Notre 1er objectif est de rallier la ligne d’arrivée à 3 en déployant notre drapeau belge sur la plage d’Essaouira ! Nous avons testé notre 4x4 lors d’une formation dans le sud de la France, cet Amarok est incroyable, il passe partout. On est impatientes de passer les dunes ! » déclarent-elles en chœur. Les Gazelles du « BéWé » sont d’autant plus motivées qu’elles emmèneront dans leur sillage un coquelicot, emblème de l’association qu’elles soutiennent et pour



laquelle elles récoltent des fonds : La Vie Là. Maison prodiguant bien-être et réconfort aux malades atteints d’un cancer. Pour financer leur aventure, elles se sont lancées dans le crowfunding via Kisskissbankbank avec un objectif de 1.500 euros. A l’heure de l’écriture de cet article, elles avaient déjà atteint 30 %. Un blog vous permet de les suivre par procuration ainsi qu’une page sur Facebook. Bref, les Mammys se modernisent et elles vont affronter le désert. Rendez-vous le 3/04 à Essaouira ! Et si l’année, prochaine. C’était vous. Retrouvez-les sur : http://www.kisskissbankbank.com/sous2-airs-de-gazelles-soutenons-la-vie-la https://2airsdegazelles.wordpress.com/ notre-parcours/ https://www.facebook.com/pages/2airsdegazelles/1385040458458717 http://www.lavielaottignies.org/





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