Curriculum Vitae Justine Cassaigneau NĂŠe le 19/03/1992 Anglais, Espagnol ( B2, niveau moyen)
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Formation 2010 / 2016 ENSA Montpellier
Juin 2016 - Diplomée de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier 2014/2016 - Master Architecture & Milieux 2010/2014 - Licence en architecture
2007/2010 - BAC STI Arts Appliqués ( Lycée des Arènes, Toulouse)
Outils Autocad Vectorworks
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Sketchup
Dial +
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Indesign
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Archiwizzard
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Photoshop
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Grasshopper
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Artlantis
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Expérience professionnelle Maguelone Vidal Architecture
Tognella Architectes
2014 - Stage 1 mois - Montpellier
2016 - CDD 4 mois - Narbonne/Montpellier
- Esquisse / Concours (restaurant scolaire, hôpital) - Permis de construire ( EHPAD, extension d’école) - Plans de repérages, métrés DCE (école, pôle médical) - Opération préalable à la réception (IME)
- Documents graphique APS/APD (logements individuels) - Modélisation (logements individuel, extension commerce) - Design d’intérieur (mobilier, escalier)
Nicolas Laisné Associés*
2013 - Stage 1 mois - Montpellier
Calder Ingénierie
2015 - Stage 3 mois - Montreuil - Maquette (bureaux) - Permis de construire (logements individuels groupés) - Plans de vente (logements collectifs) - Conception, esquisse, modélisation (logements étudiants)
-Participation aux réunions de chantier (salle de spectacle) - Modélisation et document graphiques (hôpital) - Quantitatif pierre / Catalogue maison bois
Coordonnées 23 rue Jacques Brives - Résidence le Domitien Batiment A, Appartement n°2 34 090 MONTPELLIER justine.cassaigneau@hotmail.fr 06.37.33.69.72 https://justinecassaigneau.wordpress.com
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Sommaire 4
Couverture des voies Gare St Roch, Montpellier Workshop «Architecture du sol» - P. Buffard Maison individuelle Lac éphémère des Rives, Larzac Licence 2 - Studio G. Jourdan Passerelle Pirouette Cacahuète Les Grand Ateliers, l’Isle d’Abeau Workshop «Franchir et s’installer» - V. Raducanu 11 logements collectifs Boulevard Vieussens, Montpellier Licence 3 - Studio P. Perris Studio de danse Collège des Ecossais, Montpellier Licence 3 - Studio F. St Cricq Carmin#31 Exposition Buzz#5, Galerie APERTO Licence 3 - M. Devillers Parcours et Belvédère Lac du Salagou, Clermont-l’Hérault Master 2 - Studio G. Cusy Habitats groupés Hameau agricole Part.1, Clermont l’Hérault Master 1 - Studio C. Bailly Habitats groupés Hameau agricole Part.2, Clermont l’Hérault Master 1 - Studio M. Rouaud
DIPLÔME DE FIN D’ÉTUDES - MASTER 2 - Architecture et Milieux Hyper-Ruralité La double identité de Clermont-l’Hérault, entre ruralité et urbanité Projet de Fin d’Études - Sous la direction de C. Bailly Le Genius Loci et l’outil numérique L’architecture en tant que support du virtuel Mémoire de fin d’études - Sous la direction de C. Bailly
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Couverture des voies Gare St Roch, Montpellier Workshop ÂŤArchitecture du solÂť
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Comment combler la fracture urbaine ? Alors que les gares sont des lieux de diffusion et de rassemblement ou la question de la fluidité des déplacements est primordiale, la gare de Montpellier marque pourtant une fracture au sein de la ville. Malgré qu’elle soit située à l’extrémité d’un axe piéton majeur de la ville ponctué d’espaces publics emblématique, cette percée meurt en rencontrant la façade de la gare, créant une véritable barrière avec la ville de l’autre coté.
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Cet espace vide au dessus des rails a donc été pensé comme un espace public, attenant à la gare en tant que parvis, mais également connecté à sa ville afin d’en faciliter la traversée. La place est travaillée en trois plateaux, l’un très minéral, en liaison directe avec la gare et deux autres plus bas, connectés à la ville et proposant des espaces ombragés redonnant de l’espace aux pieds de façades.
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Maison individuelle Lac éphémère des Rives, Larzac
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Que faut-il pour bien vivre ? Selon moi, sur ce site, l’essentiel était de communiquer avec l’extérieur : voir le paysage de n’importe quel endroit de la maison, à n’importe quel moment de la journée. Mais c’est aussi respecter le site en s’y installant de la manière la plus douce possible. Cette maison en bois s’inspire des formes organiques, rocheuses et accidentées du terrain. Composée par strates, la façade évoque les noeuds du bois et, agissant comme des persiennes, elle permet une ouverture complète sur l’environnement. Lors de l’apparition du lac, la maison est à fleur d’eau, semblant flotter, non submergée, comme les roches les plus hautes.
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Passerelle Pirouette Cacahuète Les Grand Ateliers, l’Isle d’Abeau Workshop «Franchir et s’installer»
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La maison est en carton, les escaliers sont en papier Réaliser une passerelle de dix mètres en carton c’est à la fois : des qualités sensorielles, des performances fonctionnelles, des procédés de fabrication et d’assemblages inédits. L’esquisse de projet retenue a été transformée afin de décomposer la passerelle en 5 segments pour faciliter la réalisation et permettre la mise en place de solutions d’assemblage tels que des systèmes d’emboîtement type puzzle, le tout sans emploi de colles spécifiques aux matériaux mis en oeuvres (cartons nid-d’abeille, carton alvéolaire et kraft ).
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11 logements collectifs Boulevard Vieussens, Montpellier
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Comment habiter ensemble ? Pour ce projet, les persiennes m’ont semblées être une solution idéale, permettant l’ajustement du flux lumineux, gérant les vis-à-vis, découpant les espaces ou permettant de les clore. Offrir une même qualité de vie à chacun des logements, c’est à la fois répondre à des besoins d’ensoleillement, offrir une vue et des espaces extérieurs, respecter des notions d’intimité et d’accessibilité...
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Destiner les rez-de-chaussée donnant sur le boulevard à l’accueil des locaux commerciaux à permis de les ouvrir généreusement afin de créer des porosités entre la rue et l’îlot. La circulation centrale, sous forme de plateaux ouverts, permet également le dialogue entre distribution et habitat, en y installant des loggias rendues privatives grâce au système de persienne décliné sur l’ensemble du projet.
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Studio de danse Collège des Ecossais, Montpellier
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Le paysage comme scène Proposer un bâtiment qui s’intègre dans son environnement, répondre de la manière la plus fidèle aux besoins de chaque utilisateur et respecter le programme constructif : tels étaient les enjeux de ce projet. Notre volonté a été de proposer une architecture forte, venant créer un repère dans le paysage. Le travail essentiellement en maquette a permis d’affiner progressivement les détails aussi bien formels que techniques comme la lumière ou la matière, tout en intégrant progressivement les enjeux thermiques et acoustiques.
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Une attention particulière a été portée au traitement acoustique des matériaux et à l’ambiance lumineuse de chaque séquence spatiale. Hormis la salle de danse, l’ensemble du parcours est éclairé par une faille lumineuse venant affleurer les murs en béton, souligner leur matérialité. Au fur et à mesure de l’avancée dans le bâtiment, les parois sont traitées afin d’absorber le son, donnant une sensation de compression de l’espace pour retrouver une dilatation dans la salle de danse.
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Carmin#31 Exposition Buzz#5, Galerie APERTO
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Comment collectionner les bâtiments ? Quelle portion sélectionner ? Pour ce travail a été réalisé en collaboration avec Valeriane Amieux, notre choix s’est orienté vers un extrait de façade du n°31 rue St Guilhem à Montpellier, en plein coeur du centre historique. L’échantillon choisi, mesurant 2,10m de haut pour 1,05m de large a été reproduit en taille réelle et à l’identique en carton, tel une enveloppe de surface, laissant découvrir le négatif du bâtit. Teintée en rouge carmin et positionnée à l’horizontale, cette maquette prend une autre dimension : un objet de design rendant le bâtiment immatériel.
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Parcours et Belvédère Lac du Salagou, Clermont-l’Hérault
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Comprendre et découvrir le lac du Salagou Le lac du Salagou est un lac artificiel crée en 1969 dans le but de créer une réserve d’eau qui favoriserait une diversification des cultures. Un an après la mise en eau, la vocation agricole du lac n’a pas abouti, en revanche le lac s’intègre superbement au paysage et attire un grand nombre de touristes curieux venant de partout en Europe. Il en découlera plus tard de classement du site et de la vallée. Cette histoire pourtant, peu de touriste la connaissent et nombreux sont ceux qui ne soupçonnent pas l’existence du barrage. Ce projet à vocation à retracer cette histoire, en accompagnant le visiteur depuis la plage de Clermont-l’Hérault jusqu’au sommet du mont Redon, lui offrant ainsi un point de vue panoramique sur le site et le barrage.
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Parcourir un site, l’expérimenter, le découvrir et le ressentir. Savoir s’y orienter mais pouvoir s’y perdre. S’y installer mais vouloir le respecter, trouver un équilibre. Créer une ligne dans le paysage, l’appuyer, l’interrompre. Suivre la ligne, la traverser, l’habiter, la laisser nous enrouler. Pouvoir aussi s’en détourner pour un parcours aléatoire. Suivre la ligne pour aller plus loin que d’ordinaire, Pour accéder à de nouveaux points de vue. Suivre la ligne pour avancer sur l’horizon. Lui donner une matérialité, une identité, une rugosité.
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Ressentir la ligne sous notre main, Comme on ressent le sol sous nos pieds. Entrer en contraste avec l’environnement. Mais s’inscrire dans le paysage, accrocher le regard. Avoir du caractère, une pesanteur, une présence. Sentir le vent, entendre le son. Passer de la chaleur à la fraîcheur. Être enveloppé par l’ombre et aller vers la lumière. Observer ce qui nous entoure même dans l’effort. Comprendre le site, découvrir son étendue. S’arrêter un moment, s’asseoir sur un banc.
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Habitats groupés Hameau agricole, Clermont l’Hérault Partie 1 : Stratégie urbaine
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Un mode de vie alternatif au pavillonnaire L’enjeu majeur de ce projet était de proposer un paysage de fin de ville dans une zone pavillonnaire sans cohérence. Le second enjeu était de proposer un nouveau mode d’habiter au sein de ces lotissements. La solution d’un quartier agricole a permis de répondre à ces deux objectifs. En effet, en venant associer une densité d’habitation plus importante que celle des lotissements et en destinant des surfaces d’agriculture et d’arboriculture aux habitants nous répondons au problème de l’étalement urbain incontrôlé amenant à la réduction des surfaces agricoles.
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L’ensemble du quartier est réfléchi selon des principes bioclimatiques afin de limiter l’impact sur l’environnement : noues paysagères, surfaces imperméabilisées minimales, logements traversants favorisant la ventilation naturelle et une orientation solaire optimale, récupération des eaux pour l’arrosage, production d’énergie collectives... Les surfaces agricoles et maraîchères permettent de créer une transition à la grande agriculture et ramènent une biodiversité paysagère.
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Habitats groupés Hameau agricole, Clermont l’Hérault Partie 2 : Projet architectural
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La serre et le pisé comme élément structurants Notre objectif est de concevoir un hameau agricole mixant logement groupés, serres et hangars, activité résidentielle et activité agricole. Afin de garantir la viabilité de ce projet, nous avons cherché à correspondre à l’activité et la demande locale (en matière agricole et résidentielle), ainsi qu’aux pratiques adaptées au terrain où nous nous situions et au caractère participatif de notre programme. Une attention particulière a été portée à la gestion des proximité entre les logements, afin d’offrir des espace extérieurs privatifs de qualité tout en apportant une densité construite plus importante.
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Temporisation thermique
Régulation hygrométrique
Absorption acoustique
Les logements sont articulés autour d’une serre, élément de transition entre l’espace extérieur public et l’espace intérieur privé. Cet espace permet également d’apporter un confort bioclimatique, couplé à la présence d’un mur en pisé, véritable tampon régulateur de la maison. Malgré des typologie de logements identiques, chaque serre donne à voir une appropriation différente par habitants et offre ainsi des façades uniques.
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Hyper-Ruralité La double identité de Clermont-L’Hérault Entre ruralité et urbanité Projet de fin d’étude
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LIMITES TERRITORIALES
COMMUNICATION
RAPPORT AU LIEU
SOCIO CULTUREL
Une multi-échelle spatiale et temporelle La ville de Clermont l’Hérault se trouve dans une situation d’entre deux, entre rural et périurbain, possédant à la fois une identité forte dans sa partie la plus ancienne mais se dirigeant progressivement vers une perte d’identité complète de toute la partie Ouest de la ville. Ce projet s’est attaché à renforcer l’identité rurale de la ville, autour de valeurs communes et ancrées, aussi bien historiques que géographiques, culturelles, sociales ou économique afin de penser la ville à l’échelle locale mais également penser à concevoir son aménagement dans un territoire plus global, en articulant le rapport aux villes centre de manière plus réfléchie. Il vient ainsi s’inscrire dans une multi-échelle spatiale, en venant se confronter à la fois au territoire, à la ville, au paysage et au site. Il prend également en compte une dimension temporelle elle aussi multiple au travers de la mutualisation mise en place.
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A partir des différentes problématiques soulevées lors de l’analyse, une série de chronotopes hebdomadaires et saisonniers à été réalisée afin de mettre en évidence le potentiel de mutualisation et la dimension temporelle qu’il nécessite. Chacun des chronotopes est basé sur 24h et différentes séries ont été réalisés pour voir les variations au cours de l’année. Ils donnent à voir un potentiel d’occupation établis selon les temps et le type d’occupation et flux d’occupants. Leur analyse a ensuite permis d’identifier de potentielles complémentarités entre les espaces ou au contraire des incompatibilités. Cela a également permis de définir les types d’espaces nécessaires ainsi que la nécessité d’une éventuelle flexibilité afin de permettre cette mutualisation.
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A partir des chronotopes, un schéma plus précis du programme et de chacune de ses composantes ainsi que de leur redécoupage à pu être établi, identifiant clairement les entités mutualisées, celles fonctionnant individuellement, les accès et les surfaces nécéssaire. Le type de mutualisation mis en place s’articule autour des espaces techniques ( vestiaires, stockage), des espaces de détente (terrasses, cuisines) et des salles de travail ( bureaux, salles de répétition).
« Allez au travail, à l’université, faire ses courses accéder aux loisirs et aux services de santé se fait à une échelle qui dépasse très largement la commune, certes, mais aussi la communauté de communes. On «habite» à des échelles très différentes, selon l’activité ou les mouvements que l’on évoque.» BONNET Frédéric, «Aménager les territoires ruraux et périurbains», rapport remis à Sylvia PINEL, ministre du Logement, de l’Égalité des territoires et de la Ruralité, 7 Janvier 2016
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Espaces de représentation : des espaces techniques mutualisés
Un intérêt particulier à été porté au respect de la topographie naturelle du site. Conserver ces différentes altimétries et travaillant judicieusement avec les hauteurs sous plafond particulière que nécessitait certain volumes à été le moyen de venir dégager différents types d’espace offrant plusieurs rapport au paysage. C’est notamment le cas du volume accueillant l’amphithéâtre, d’une hauteur de 11m sous plafond mais qui par son intégration dans la pente garde une hauteur similaire aux autres volumes.
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Ce volume bâti est le plus grand, il abrite les espaces de représentation nécessitant l’accueil d’un public plus important. Il permet ainsi de mutualiser un certain nombre d’espaces comme les vestiaires, les loges, les salles de répétitions et les espace de stockage. L’amphithéâtre est également utilisé par plusieurs usagers : conférences pour les coworkeurs, association de théâtre, représentation associatives, événements touristiques, activité extra-scolaire et péri-scolaires... Cet espace permet de proposer un second espace scénique, puisque le cinéma Alain Resnais, situé en centre ville, accueille déjà un grand nombre d’événements. Un espace de scène extérieure est également dégagé, offrant un décor scénique sur le Rhônel.
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Espaces associatifs et touristiques : une articulation autour d’espaces extérieurs communs
Placer l’office du tourisme sur la route du Salagou permet de donner d’avantage de visibilité à cet espace. Malgré tout, la route étant assez passante, proposer un espace en retrait permet d’offrir la possibilité de développer des événements touristiques. 6 stands sont mis en place dans cet espace, permettant d’accueillir différentes fonctions : distribution hebdomadaire de l’AMAP, prestataires touristiques en période estivale (guides, location de matériel), espace de vente pour les événements de type marché... Des espaces de stockage viennent rentabiliser les espaces enterrés et permettent des rotations entre les utilisateurs.
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Logements étudiants et touristiques : une articulation autour d’espaces extérieurs communs
Les logements sont des appartement meublés, à destination des étudiants intégrant le BTS GPN. Hors période scolaire, les logements peuvent permettre l’hébergement de touristes. Le logements fonctionnant en collocation, divisé en 3 entités, peut alors être utilisé comme un unique appartement permettant d’accueillir des familles plus nombreuses
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Les autres typologies d’appartements sont fixes mais bénéficient des volumes plus importants. Les logements ne bénéficient pas de balcon privatisé mais partagent des espaces extérieurs généreux avec deux ambiances, l’une plus dynamique, au dessus de l’espace public, la seconde, plus ombragée et en retrait.
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Restaurant et espaces de travail : des espaces tournés vers le Rhônel
Les espaces de travail sont dédiés aux classes du BTS et aux coworkeurs, cependant leurs volumes dégagés permettent également d’accueillir, sur des créneaux libres, des salles d’études à destination des élèves de Clermont, ainsi que des événements en soirée. Les passerelles étant ouvertes au public, le confort des utilisateurs est géré grâce à la surélévation des espaces de travail par rapport aux cheminements. De larges espaces extérieurs sont mis à la disposition des usagers. Ici encore, l’analyse des chronotopes à permis de mettre en évidence la possibilités de mutualiser certains espaces comme les salles informatiques ou les espaces de détente.
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Le Genius Loci et l’outil numérique L’architecture en tant que support du virtuel Mémoire de fin d’étude
Nous sommes aujourd’hui dans une société où les notions de distance, d’ici et d’ailleurs, sont amplifiées par l’avancée considérable des technologies et des moyens de déplacements, nous amenant à ré-interroger notre rapport au lieu physique. Le territoire est composé de limites physiques et géographiques, nous donnant des repères fixes dans l’espace. Au fur et à mesure de notre avancée dans le temps, de l’évolution des civilisations, des contextes socioculturels, des avancées techniques, ces limites se sont étendues, modifiant de manière non négligeable notre rapport à l’espace, dans toutes ses dimensions. De nos jours, cette désagrégation des limites se voit accentuée par le développement rapide des outils numériques et du cyberespace, qui nous offrent un monde virtuel toujours plus vaste et dont au sein duquel les distances entre utilisateurs s’effacent de jours en jours. Pour habiter, l’homme doit savoir se constituer une « image du milieu ». Cette image, c’est le genius loci, l’esprit gardien du lieu, qui définit son caractère et avec qui il faut savoir fraterniser afin de vivre avec le lieu. En comprenant le caractère du lieu, on comprend ses formes, ses couleurs, sa structure, sa spatialité , autrement dit, on s’y oriente. Aujourd’hui, le cyberespace poursuit sa croissance alors que le lieu s’efface petit à petit, englouti par le cosmos et les flux d’informations qui nous parviennent. Mais alors, les outils numériques changent-ils, au travers de la notion de genius loci, notre rapport au lieu ? Si le virtuel est désormais devenu intelligible, grâce notamment à des facteurs socioculturels ayant complètement intégré les notions d’immatérialité, en quoi l’architecture peut-elle se faire le support de l’actualisation d’une réalité virtuelle, permettant ainsi de révéler un lieu ? En développant les outils nécessaires à la compréhension des structures constituante du Genius Loci, nous réaliserons à partir de trois cas d’études un état des lieux de notre rapport à l’espace afin d’en comprendre les nouvelles composantes. Si on peut mettre en évidence que notre rapport à l’espace donne désormais autant de valeur à l’actuel qu’au virtuel, composants à eux deux le Réel, et que les outils numériques nous permettent désormais à la fois de lire et d’écrire l’espace et l’architecture dans toute leur complexité, la référence du topos établie par Aristote et à partir de laquelle s’établie notre rapport à l’espace semble en revanche bel et bien remise en question.
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Merci Justine Cassaigneau Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier Recherche emploi d’architecte HMONP ou DE
Justine Cassaigneau 23 rue Jacques Brives - Résidence le Domitien - Bat A Appt 2 - 34 090 MONTPELLIER 06.37.33.69.72 - justine.cassaigneau@hotmail.fr