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Sommaire Introduction I - L’auteur et le collectionneur : Christian Bulleux II - L’exposition : Trésors d’orient – Trésors d’argent - Objets d’art - Photographies anciennes - Conclusion - Logistique - Contacts



Introduction Depuis de nombreuses années, les arts généraux de l’Islam et de son aire d’influence ont suscité un intérêt croissant du public pour les arts nomades et ruraux ornementaux de l’Orient et du Maghreb . Cette exposition qui regroupe une sélection de ma collection personnelle de plus de 160 objets usuels et bijoux d’orfèvrerie traditionnels des peuples du mouvement et du voyage, se veut un témoignage d’un art populaire nomade peu connu et aujourd’hui sur le point de s’éteindre, mais dont la qualité esthétique présente une parfaite maîtrise de la symbolique héréditaire, de l’ouvrage de la pierre et du métal précieux qu’est l’argent. Si le bijou tribal d’argent est privilégié ici, je n’ai cependant pas écarté les oeuvres de broderies, du cuir et de la céramique. J’ai réuni cette collection avec patience et amour tout au long de quarante années d´une carrière de grand voyageur et de photographe, passées à partager mon existence avec celles des populations du lointain qui ont bien voulu m’accepter parmi elles. Patience, car de longues périodes s’écouleront avant que ne se déclenche l’évènement qui fera de moi l’heureux gardien d’un objet familial ou tribal. Amour, car dès lors que l’objet ou bijou était entre mes mains, il devenait le sceau garant d’un lien indissociable entre son propriétaire et moi, suite à un évènement important qui nous unissait. Aujourd’hui, à contempler l’objet exposé hors de son contexte familial et culturel, les instants forts et pourtant lointains sont vivaces à ma mémoire ….et l’émotion est également dense et intacte. Je ne suis ni ethnologue, ni sociologue ou scientifique, seulement un amant de l’Aventure et un passionné de l’objet d’art. Je n’ai donc pas cherché à construire un travail scientifique bien souvent d’ailleurs destiné qu’aux seuls initiés, ni à emprunter les chemins d’autres



expositions dont les organisateurs s’efforceront de réunir et j’en comprends la légitimité, les plus belles pièces où la splendeur rivalise avec le prestige du titre, où l’aristocrate ou monarque mesure sa puissance à celle du grand militaire, négligeant toutefois et je le regrette, les grands artistes anonymes du quotidien, ceux qui transmettaient leur savoir et art à leur fils dans la lueur du feu de leur chaumière de torchis, de la yourte Mongole ou à l’ombre de la tente Berbère. L’exposition « TRESORS D’ORIENT - TRESORS D’ARGENT » est oeuvre des gens ordinaires, qui menaient une existence ordinaire, guidant leurs chameaux sur les pistes du toit du monde, pour déballer ensuite leurs trésors dans les caravansérails de l’Asie Centrale ou les marchés de Tombouctou. De ces longues traversées nomades s´engendreront les mariages, les naissances, les alliances de clans, dont le bijou tribal naîtra sous les doigts agiles du maître du feu clôturant ainsi l’allégresse de la jeune fille parée de son diadème aux mille reflets flamboyants. L’art de la parure est épuré, sobre, les motifs et incrustations se parlent, se définissent pour se reconnaître en une seule origine : celle du mouvement du Temps . Les bijoux martiaux des hommes, sabres ou poignards sont ceux des cavaliers de steppes ou des méharistes des sables, fiers et pourquoi pas, arrogants sur leur monture. L’arme a été façonnée par le forgeron au 18ème, 19ème siècle et la plupart du temps a participé à de grandes campagnes contre les envahisseurs. Réparée, embellie par les fils et petits fils, elle est devenue symbole de gloire de la famille . Bon nombre de ces objets, transmis de générations en générations, s’anoblissent de réparations indigènes, je n’ai pas cherché à en modifier les contours à travers une restauration civilisée, pour en flatter l’aspect . Enfin, j’ai cru bon d’encadrer et d’animer l’œuvre de photographies d’époque dont je suis l’auteur avec mon père, qui avant moi, dans les années 30, alors major méhariste dans les Compagnies Sahariennes, a su immortaliser avec l’objectif de l’appareil photo la fin de la conquête Française au Sahara. Cette superbe présentation iconographique a l’avantage de situer les objets exposés dans leur espace géographique, humain et culturel .



J´ai choisi d´illustrer mon catalogue avec quelques images de l´Alhambra de Grenade afin de transporter le lecteur, l´espace d´un court instant dans le charme et l´ éloquence des Temps Forteresse imprenable de l´extérieur, l´Alhambra dévoile son âme en un décor réalisé par les hommes de l´art, dont les ancêtres perpétuaient le savoir tout au long des cheminements des caravanes sur les pistes du Maghreb profond et de la lointaine Arabie. Maîtres d´oeuvres, ils savaient jouer des stucs, des céramiques ajourées, des voûtes à stalactites, des eaux rendues abondantes et domestiquées, afin d´offrir une image de l´Eden promis aux Elus des Sourates du Coran. Le Paradis Terrestre est en effet ici, j´en suis moi-même convaincu pour avoir passé de longs moments à méditer dans les palais Nasrides. L´Alhambra est oeuvre des bâtisseurs-joailliers et a su plus que toute autre architecture, conjuguer les traditions des peuples nomades, héritiers du Livre, permettant au monde de découvrir et apprécier un nouvel art de vivre. Finalement, dans cette exposition « TRESORS D’ORIENT-TRESORS D’ARGENT » je n’ai d’autre désir que de vous offrir une sélection, peut-être modeste, mais complice et vivifiante des arts coutumiers des peuples du très lointain, que j’ai eu le privilège de furtivement apercevoir et qui ont cru voir en moi un dépositaire sincère et loyal de leurs traditions millénaires de gens du voyage . Je souhaite aujourd’hui ne rien transgresser de leur réel afin d’être fidèle à la mémoire de ceux qui les ont forgés, portés et me les ont confiés . Que cette exposition serve à comprendre plus aisément les mœurs et coutumes des hommes et femmes attachés à leur univers .

Christian BULLEUX – Granada - 20 août 2007



L’auteur et le collectionneur : Christian Bulleux

Dès son plus jeune âge, Christian BULLEUX rêve. Il rêve de voyages devant les photographies de son père au Sahara, ou les récits de sa mère d’origine pied noire. Il rêve aussi devant l’objet. L ’objet peu commun pour lui alors, une selle de dromadaire avec une grande croix, dans un coin du salon, près de la cheminée. 20 Avril 1952 . Son huitième anniversaire. Pour fêter l’événement, son père lui offre un oeuf d’autruche, lointain cadeau d’une femme Touarègue lorsqu’il était en mission aux AJJERS. L’objet échappe des mains de l’enfant, s’écrase sur le sol. Gifle retentissante du père. Le gamin ne bronche pas. Dix sept ans plus tard, Christian traverse le SAHARA, remonte la vallée du NIGER, du TENERE à MOPTI où le grand marabout, sensible à son récit lui montre du doigt les oeufs d’autruche placés au sommet du minaret de l’édifice religieux, à quelques trente mètres du sol : vas-y, dit -il au jeune homme, tu peux en prendre deux ….bien sûr, si tu arrives a monter et descendre par l’extérieur. Christian BULLEUX ramène les précieux trophées à PARIS, dont un qu’il glisse dans la garniture d’origine en peau de gazelle sculptée, conservée pendant tout ce temps : Nous pouvons aujourd’hui admirer ce bel objet dans l’exposition : TRESORS D’ORIENT TRESORS D ‘ ARGENT . Ainsi, cette gifle magistrale et mémorable favorisera le début d’une longue carrière de grand voyageur – découvreur et de collectionneur. Quarante années d´une carrière peu commune, qu´il s´acharnera de sculpter à la hauteur de son personnage, exigeant avec lui-même et rigoureux dans le choix des rencontres dans une vie où chaque jour l´aventure a sa place. La magnifique collection réunie sous nos yeux, couronne certes cet acharnement, mais prend vie avec son talent exceptionnel de conteur,


nous entraînant avec lui loin de toute préoccupation et démagogie sur les pistes reculées des déserts, les chemins escarpés des montagnes et ombragés des forêts tropicales. Avec lui, faisons nôtre ce dicton touareg : « la demeure de l´homme, c´est l´horizon ».



L’exposition : Trésors d’Orient-Trésors d’Argent La production et fabrication des bijoux d’argent chez les nomades d’Asie Centrale et du Maghreb. La quasi totalité des bijoux de bonne facture existants aujourd’hui (1960-1975) en Asie Centrale lorsque je séjournais chez les nomades Turkmènes Tekké, Yommud et Ersari ont été fabriqués pendant la période s’étendant du début de l’occupation des troupes du Tsar de Russie, dans la seconde moitié du 19ème siècle jusqu’à la reconquête soviétique au début des années 1920. La matière première, c´est à dire l´argent s´obtenait à partir d´anciens bijoux ou d´objets d´argent, auxquels s’ajoutaient, plus rarement, d’anciennes pièces de monnaie issues de Bukhara, généralement utilisées pour orner les diadèmes ou pectoraux, le tout refondu en plaques et martelé ou quelquefois coulé en moules. Les bijoux Tékké étaient en général partiellement recouverts de dorure à chaud et utilisaient en grande quantité des cornalines, autres pierres semi-précieuses ainsi que diverses perles de verre. Les bijoux Ersari, très dépouillés, se reconnaissaient par leur élégance et l’absence de dorure. Les bijoux Yommud , finement ciselés et filigranés s’ornaient souvent de motifs géométriques à l’or. Je me souviens qu’en 1967, les Hazaras se rendaient au grand bazar de Kaboul pour y acheter au poids les anciennes monnaies d’Afghanistan, les afghanis (ou roupies afghanes) pour produire leur parures. J’oserai m’exprimer ainsi en disant qu’il était « monnaie courante » de contempler les bijoux Hazaras (pectoraux, diadèmes, colliers ,etc) briller sous les rayons du soleil au cou des dames ou sur leur abondante chevelure de leur mille piécettes d’alliage d’argent soigneusement astiquées. Chez les populations nomades et rurales du nord de l’Afrique bordant le Sahara, les bijoux étaient toujours en argent, plus exceptionnellement en or, ainsi que le veut la tradition. Les centres de fabrication se situaient en Kabylie, régions du Draâ , du Djebel Bani, du Souss, du Rif, Haut et Moyen Atlas. Chaque région abritait ses artisans, qui perpétuaient le « style de groupe ». On pouvait ainsi identifier la tribu à laquelle appartenait la femme qui les portait. Parmi les hommes de l’art, les israélites étaient particulièrement nombreux et créateurs dans


cet art. Il existait deux manières de préparer l’argent pour obtenir la forme définitive du bijou . Le métal était soit fondu et coulé dans des moules bivalves de sable humide, soit chauffé et découpé. La matière première (l’argent), s’obtenait là aussi, ainsi que j’ai pu l’observer un peu partout dans les pays du Croissant, à partir d’anciens bijoux refondus ou de certaines pièces de monnaies, celles-ci étant surtout utilisées abondamment pour orner diadèmes, pectoraux et colliers. Bien entendu, l’émaillage, le niellage, le filigrane et cloisonnage seront les embellissements de base de l’objet. Je ne peux omettre de citer ici la parure masculine, constituée des boucles de ceinturons, harnachements de chevaux, poudrières à fusils et surtout du bijou martial ( l’arme blanche ) , composée quelquefois du fourreau de la garde en argent niellé et travaillé, le tout personnalisé par l’orfèvre le plus réputé de la région . Les bijoux nomades au-delà même du prestige économique et sécuritaire qu’ils procuraient à la femme qui les possédait, étaient l’essence même de la sensibilité et de la coquetterie féminine, qu’elle soit Turkmène, Pachtoune, Touaregue ou Berbère. Finalement, je garde un immense plaisir de leur présence gracieuse, vestimentaire et musicale, témoignage d’un passé aujourd’hui révolu où le port des bijoux était réglementé par des coutumes ancestrales où leur disposition sur le corps obéissait à des rites les plus complexes. Mais surtout et avant tout, le bijou attestait du savoir-faire de l’homme avec le métal sacré et le feu ,source de toute évolution.



Extrait de mon carnet de route

Afghanistan – Sebergan – 15 Avril 1974 . 4 heures du matin. La nuit fut froide. La lune jette des reflets brillants sur les sommets enneigés de l’HINDU KUCH. Après avoir avalé le thé noir brûlant préparé par AHMAD, nous nous mettons en route en direction de SAR-E-POL, situé à environ 100 km plus au sud . Une mauvaise piste. Mais une belle journée nous attend car nous allons assister au mariage d’une cousine d’un parent d’AHMAD, d’origine TURKMENE et du groupe TEKKE. A l’arrivée, l ´ensemble harmonieux des nomades dans leur milieu naturel qui s’offre à mes yeux me laisse sans voix. Le spectacle est splendide. Les yourtes, de grandes tailles sont éparses dans la steppe. Les chameaux semblent se satisfaire de la maigre nourriture que leur offre le sol. Le cheptel composé de chèvres et moutons à laine noire est aussi à l’écart, rigoureusement surveillé par d’immenses chiens de garde à la queue et aux oreilles coupées. Les femmes, séparées des hommes parlent et rient entre elles Elles sont vêtues de longues robes rouges au plastron finement brodé, elles portent une haute coiffe de soie rouge ornée de lourds diadèmes d’argent et or ou de parures faites de plaques d’argent articulé. Sur leur poitrines brillent au soleil de lourdes plaques d’argent d’or et cornalines que je saurais plus tard se nommer “GUKAV”. Dans le dos est suspendu un cœur d’argent, d’or et de cornalines. Leurs bras sont ornés de pesants et longs bracelets d’argent et d’or également sertis de cornalines. AHMAD m’explique que les TURKMENES, principalement nomades, faisaient confectionner leurs bijoux par des orfèvres travaillant sous leur yourtes, bien souvent à partir de vieilles monnaies d’argent issues de BUKHARA et transféraient une part de leur richesse en bijoux d’argent qui formait une composante non négligeable de la dot des femmes.


Le jour du mariage, une TURKMENE de famille aisée pouvait porter jusqu’à 18 kg de bijoux d’argent incrusté d’or et pierres semiprécieuses qui la couvraient de la tête aux pieds. Pour l’heure, l’instant était magique . En 1970, lors de ma première traversée du SAHARA, je notais à propos des Berbères AIT ATTA, de la vallée du DRAA que, lors des discussions précédent le mariage, le futur époux négociait la dot avec le père de la fiancée. Cette dot consistait généralement en un certain nombre de moutons, chèvres et bovidés auxquels s’ajoutait une somme d’argent et des bijoux . Diadèmes d’argent niellé ou de cuir sertis de bijoux ou médaillons d’argent émaillés et de pierres semi – précieuses, lourds bracelets d’argent coulé et fibules d’argent niellé réunies par de lourdes chaînes également d’argent, étaient particulièrement appréciés pour leur sobriété et valeur . Par la suite, même en cas de divorce ou de décès du mari, ces bijoux formaient le patrimoine personnel de la femme lui assurant ainsi sa sécurité matérielle .



Exposition : Objets d’art Présentation des œuvres

















Photographies






CONCLUSION Aujourd’hui, alors que ma plume se laisse guider par mes souvenirs, je ressens un orgueil légitime pour avoir partagé au cours de ces quelques décennies, les derniers instants de liberté, mêlés de l’ angoisse du futur de ces peuples libres du lointain horizon. Que leur conscience était grande ! conscients qu’ils ne communiqueraient pas à leurs descendants la continuité de leur histoire millénaire, en somme un choix de l’existence où se mesuraient les diversités des arts et des coutumes, échappant au contrôle des pouvoirs planifiés. Tout devait s’arrêter là, entre les années 60 et 2000, face à une mondialisation en marche feutrée depuis la fin de la seconde guerre mondiale, une mondialisation qui n’épargnerait personne. J’en eus une triste démonstration lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro en juin 1992 dont ma présence avait été sollicitée comme observateur au nom de ma fondation. Les tribus de la planète et leurs représentants essuyèrent le mépris que ressentaient pour eux les grands de ce monde, politiques, multinationales et banquiers. Un juste ressentiment s’emparait de chacun de ces peuples, présentés comme marginaux, considérant une trahison l’attitude des responsables des pays du Nord, dont ils avaient naïvement, durant des siècles, produit et entretenu la richesse leur permettant l’arrogance d’une puissance mal acquise, qui tout au long de l´histoire s´est retournée contre eux. Qu´ils acceptent notre reconnaissance. Je me souviens de la sœur de mon ami Ahmad, à Kunduz, en Afghanistan, offrant à ma compagne son costume de fête et la totalité de ses bijoux, toutes deux avaient le même âge, à peine vingt ans ! Elle lui dit « raconte, dans ton pays, l’histoire de notre tribu, je sais que nous allons vivre des moments difficiles, ces bijoux seront plus à l’abri avec toi », c’était en 1977 à mon retour de Bornéo. En décembre 1979, l’armée soviétique envahissait l’Afghanistan. Bien longtemps après, j’appris qu’Ahmad et sa famille avaient disparus dans un bombardement . En 1976, alors que j’étais à Bornéo, dans le Sarawak pour réaliser des photos sur la culture Dayak, je passais ma dernière nuit dans la


grande maison du vénérable Penghulu Kilat. Cet excellent homme m’avait fait l’honneur de me recevoir parmi les membres de sa tribu pendant plusieurs mois pour m’éclairer avec patience sur les usages coutumiers de ses ancêtres chasseurs de têtes et guerriers de l’époque du Rajah Blanc ( James Brook). Le jour de mon départ, vers cinq heures du matin, quelle ne fut ma surprise de voir le vieux chef assis à mon chevet. Il m’avoua avoir veillé sur moi toute la nuit. Je crus même discerner une larme au coin de son oeil, illusion peut-être ! Derrière lui se tenaient ses trois fils, également assis. Le fils aîné tenait la cuirasse de peau de rhinocéros de son père. Penghulu Kilat me tendit son parang (sabre) et me dit : « nous n’en aurons plus jamais besoin, prends ce présent et transmets le plus tard à ton fils selon notre tradition » Je me rappelais alors, non sans honte, lui avoir confié un jour mon souhait de créer un musée dans mon pays. Il tenait ce parang de son père qui le tenait de ses aïeux. Achever ce petit chapitre sur mes vingt années passées en Amazonie au côté des indiens Jivaros me semble approprié, sachant que notre vocabulaire ne possède suffisamment de mots assez forts pour décrire le détresse des indiens face à l’anéantissement du plus beau joyau de la planète : la Forêt d’Emeraude. Enfin, je conclurai en remerciant humblement le lecteur de me pardonner cette dérobade au thème fondamental présenté ici, mais sincèrement, il me paraît propice à propos de l’exposition « TRESORS D’ORIENT–TRESORS D’ARGENT » de rappeler que ces trésors nous ont été transmis par des hommes et des femmes éloignés de notre culture et vivant en des lieux différents de notre espace quotidien, nous gratifiant ainsi d’une source sans fin d’émerveillement et de rêve, sans lesquels il serait astreignant de vivre.


Logistique de l´exposition : « Trésors d´Orient- Trésors d´Argent »

Il est souhaité une surface d’accueil variant de 600 m2 à 800 m2. Nous prenons à notre charge :

- Le transport de l’exposition aller et retour. - L’installation et démontage de l’exposition . - L’animation de l’exposition (à définir d’organisation)

avec

le

comité

Sur 160 objets d’art , 60 représentent des bijoux d’argent . Les pièces et bijoux sont montés sur leurs socles de présentation, (à l’exception de colonnes d’exposition) 100 photographies format 30 x 40 sont sous cadres bois et verre. (La quantité des photographies n’est pas exhaustive) A la charge de l´organisateur : La salle d’exposition sécurisée . Le mobilier de support ( colonnes d’exposition, vitrines ,etc..) Matériel de sonorisation ( micros , haut parleurs, vidéo projecteur ). Contexte médiatique, (relation publique, presse ,etc). Accès facilité pour notre véhicule. Personnel de surveillance ou liaison à une centrale . CONCLUSION . Un contrat mentionnant les conditions particulières et financières est signé entre les deux parties pour la durée de la manifestation .



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