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Sport
Du 18 au 24 février 2022 >> www.lh ebdoduve ndre di. c o m
Événement
Le MMA, plus qu'un sport de combat Les arts martiaux mixtes débarquent à Reims, le 26 février, à l'occasion d'une soirée qui marquera les grands débuts de l'Arena, la nouvelle salle événementielle rémoise. Mais c'est quoi, le MMA ?
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ouverture exceptionnelle, spectacle exceptionnel. Le premier événement de la nouvelle salle événementielle rémoise, programmé le 26 février, sera également l’occasion pour la cité des sacres d’accueillir son tout premier gala d’arts martiaux mixtes (MMA), l’Hexagone MMA 3. Après La Défense Arena et le Zénith de Paris, c’est donc Reims qui aura les faveurs de cette discipline nouvelle dans nos contrées. Mélange d’arts martiaux, de boxe et de lutte (pour faire simple, mais imprécis), le MMA n’a été légalisé en France qu’en février 2020. « C’est un sport moderne et contemporain, c’est pour ça qu’il est assez méconnu », explique Jérôme Pourrut, président d'Hexagone MMA, promoteur de la discipline professionnelle en France. Le MMA est une synthèse de l’ensemble des sports de combat. Pendant trois rounds de 5 minutes, au cœur d’un ring en forme d’octogone grillagé (une cage), les deux combattants peuvent
Parmi les huit combats programmés à la Reims Arena, une joute mettra aux prises deux combat‐ tantes. © Laëtitia Blot
jitsu… Les combattants de MMA empruntent à utiliser de nombreuses techniques pour appréhender les trois phases traditionnelles d’une joute : beaucoup de disciplines. « C’est un sport complet le combat debout, le où aucun combat ne se corps-à-corps et la lutte Légal depuis seulement ressemble », s’enthousiasme Jérôme Pourrut. au sol. Le vainqueur est 2 ans en France Si les coups de pied, de celui qui met son adversaire KO, réalise une poing, de genou et de soumission ou est déclaré ainsi par les juges. coude, mais aussi les techniques de corps-à-corps Boxe, kickboxing, lutte, judo, muay-thaï, ju- debout, de projections, de soumission et de per-
Football L1 (25e j.) : Reims (14e) - Brest (12e)
L
e festival face à Bordeaux n’aura donc été qu’une petite éclaircie. Sept jours après ce carton à domicile (5-0), le Stade de Reims a rechuté sur la pelouse de Nantes (0-1), rapidement réduit à dix après l’exclusion de son capitaine, Yunis Abdelhamid. Ce carton rouge précoce (14e) et le but sur coup-franc qui suivit rendent délicate l’analyse de cette rencontre à la Beaujoire, mais il pointe une nouvelle fois les difficultés auxquelles est Face à Brest, Reims sera sans son capitaine confronté Oscar Garcia YunisAbdelhamid, suspendu. © l'Hebdo du Vendredi avec son jeune groupe. C’est en effet la passe en retrait ratée du jeune Bradley Locko (19 ans) qui a contraint l’international marocain à la faute. Bien qu’involontaire, le geste d'Abdelhamid a fait du dégât sur le Nantais Fabio, obligé de quitter le terrain. Le carton rouge était alors logique et le Rémois a lucidement reconnu son erreur, après la partie : « Je lui marche dessus en finissant mon élan, c’est mérité. Je n’ai pas contesté, car je sais que je lui fais très mal. La seule chose que je pouvais faire, c’est m’excuser. » Le Brésilien, pourtant gravement blessé, a dédouané le Rémois sur Twitter : « Je sais que ce n’était pas (fait) exprès, j’espère qu’il prendra juste un match. » Malgré cette plaidoirie, le capitaine rémois a écopé de trois rencontres de suspension, dont une avec sursis. Il manquera la réception de Brest, ce week-end, et le déplacement à Monaco, le 27 février. Un casse-tête supplémentaire pour Garcia qui devra faire sans trois titulaires habituels en défense (Abdelhamid, Foket et Gravillon). Face à un adversaire direct, dimanche, il faudra limiter la casse.
S.K et sur Prime Video.
Simon Ksiazenicki 4 Infos : hexagonemma.fr
Basket-ball - Betclic Elite
Retour à la normale
4 Reims - Brest, dimanche 20 février, à 15 h, au stade Auguste-Delaune
cussion au sol sont autorisés, beaucoup de gestes sont interdits : coups portés à la nuque, à la gorge, à la colonne, aux reins, aux parties génitales… « C’est un sport très codifié, avec énormément de règles, qui s'est construit de manière originale, explique le promoteur tricolore. Il y a d’abord eu une ligue professionnelle, l’UFC, créée en 1993 au Canada, et c'est ensuite le monde amateur qui s'est imposé. » En France, on estime déjà le contingent de pratiquants à 40 000. Ils pourraient être encore un peu plus nombreux grâce à des événements comme l'Hexagone MMA 3 qui mettra aux prises des combattants d’un très haut niveau. Le show sera d'ailleurs en direct sur RMC Sport. « On a conscience de la responsabilité qui est la nôtre en tant que premier spectacle de la nouvelle Arena de Reims, livre Jérôme Pourrut. Notre objectif est de présenter le MMA dans de belles salles de spectacle, avec des sportifs de haut niveau pour que les gens comprennent que c'est une vraie compétition sportive, assurée par des combattants professionnels. » Rendez-vous dans une semaine pour cette inauguration en fanfare.
Mbida s'en va, Dally arrive
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as de journée de championnat ce week-end pour Cédric Heitz et ses joueurs (16e de Betclic Elite) qui ne retrouveront les parquets que le vendredi 25 février, pour une partie amicale face au Sluc Nancy (Pro B), à Saint-Dizier. En attendant, le staff poursuit la reconstruction de l'effectif. C'est au tour de Junior Mbida (32 ans, 2,06 m) de faire ses valises pour Orléans (Betclic Elite), après 18 mois dans la Marne. Le club explique que le joueur « n'pas répondu aux attentes ». Cette saison, l'intérieur jouait 15 minutes en moyenne par match et affichait 4,1 points et 3,2 rebonds pour 5 d'évaluation, contre 6 points et 4,1 rebonds pour 8,3 d'évaluation l'an dernier, avec le même temps de jeu. Son remplaçant se nomme Jean-Philippe Dally (25 ans, 2 m) et arrive Après 18 mois en Champagne, d'Orléans où il tournait à 4,2 points et 2,4 rebonds pour une évaluation Junior Mbida rejoint Orléans. de 4,1 en un peu plus de 14 minutes. Capable d'évoluer sur les postes 3 © l'Hebdo du Vendredi et 4, ce joueur est décrit par le staff champenois comme « athlétique, solide défenseur et adroit au shoot ».
J.D
Basket-ball LF2 (17e j.)
Les pétillantes à la recherche d'un second souffle
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u soir de sa victoire sur le parquet de Graffenstaden, le 15 janvier dernier, le Champagne Basket Féminin avait les cartes en main pour prendre l'avantage sur le championnat de LF2. Hélas, depuis ce succès, Julien Pincemin et ses joueuses ont perdu de leur efficacité, s'inclinant quatre fois de rang : une fois à l'extérieur, à Chartres (63-60) et trois fois à la maison, face à Nantes (66-71), Aulnoye (62-74) et Montbrison (57-65). Cette très mauvaise série fait tache pour une équipe champenoise qui vise une place dans le top 4. A six journées de la fin de la Alexa Middleton et les Pétillantes saison régulière, le Champagne Basket est encore dans les clous, mais sa restent sur une série de quatre 4e place semble très fragile, car convoitée par un groupe de quatre défaites de rang. © l'Hebdo du Vendredi équipes, dont trois ont un match en retard à jouer. Dans ces conditions, tout faux pas est interdit à l'occasion du déplacement programmé ce samedi 19 février à la Tranche-Meylan (7e du classement), une équipe actuellement 7e du classement, mais qui a battu le Champagne Basket féminin à Reims lors de la phase aller (58-61).
J.D
