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Épernay et Aÿ se mobilisent aussi
Solidarité Épernay et Aÿ se mobilisent pour l'Ukraine
La municipalité d'Épernay a annoncé, mardi soir, la mise en place d'une collecte pour aider les Ukrainiens touchés par la guerre avec la Russie. Les dons sont à déposer au palais des fêtes, ces vendredi 4 mars, de 10 h à 19 h, et samedi 5 mars, de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h. Trois types de dons seront collectés : logistique (lits de camp, sacs de couchage, couvertures de survie, vêtements, matériel Manifestation contre l'invasion de l'Ukraine par la Russie, devant électrique tel que rallonges, le Capitole de Toulouse. © Raphael Isla projecteurs, générateurs), d'hygiène (savons, dentifrices, brosses à dents, couches et lait maternisé, médicaments, rasoirs et mousses à raser, serviettes hygiéniques…) et de secours (gants à usage unique, masques chirurgicaux, matériel de suture, blouses médicales, bandages élastiques, garrots, pansements, solutions antiseptiques, lecteurs de glycémie). Chez sa voisine Aÿ-Champagne, on se mobilise également. La ville a annoncé que les habitants pouvaient déposer des dons similaires en mairie (1, place Henri-Martin), aux horaires d’ouverture (du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 18 h). Ces deux opérations, qui serviront à apporter un appui logistique et une réponse immédiate aux besoins des populations déplacées en acheminant du matériel de première nécessité et de secours, est menée en partenariat avec l’Association des maires de France et la Protection civile. Cette dernière, présente en temps de paix comme en temps de crise partout où la protection des populations nationales comme internationales est menacée, peut également être soutenue en ligne (don.protection-civile.org/soutenir).
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S.K
4 Infos : 03 26 53 36 00 pour Épernay, 03 26 56 92 10 pour Aÿ
ENBREF
Des trains supprimés entre Reims et Epernay à cause de travaux
En raison de travaux d'entretien des voies, la circulation des trains sur la ligne Reims-Epernay est modifiée du lundi 7 au vendredi 11 mars inclus. Dans le sens Reims-Epernay, les TER de 9 h 48, 10 h 48, 11 h 48 et 12 h 48 sont supprimés et remplacés par des cars. Même chose dans le sens Epernay-Reims pour les trains de 10 h 02, 11 h 02, 12 h 02 et 13 h 01. A noter que les arrêts Maison Blanche et Franchet d'Esperey ne sont pas desservis par les cars de substitutions. La SNCF invite donc les clients de ses arrêts à rejoindre la gare de Reims Centre via le réseau des transports urbains. Infos sur le site TER Grand Est (rubrique « travaux »).
Collecte de sang à Épernay
L’Établissement français du sang organise une collecte le mardi 8 mars, de 10 h 30 à 13 h et de 14 h 30 à 18 h 30, au hall des sports Pierre-Gaspard (parc Roger-Menu). Pour faire un don, il est nécessaire de ne pas venir à jeun, d’être en bonne santé, âgé de 18 à 70 ans, de peser au moins 50 kg, de ne pas avoir été en contact étroit avec un cas confirmé de covid-19 au cours des 15 jours précédant la collecte et d’attendre 14 jours après l’arrêt des symptômes en cas de contamination. Le pass vaccinal n'est pas obligatoire et le don est possible avant et après un vaccin. Infos et prise de rendez-vous : dondesang.efs.sante.fr
Nombreux choix de cadeaux
Cela fait partie des initiatives locales qui permettent de valoriser le tourisme en Champagne. Et cela fait plus de dix ans que ça dure ! Jeunes talents TV et l’Agence de développement touristique de la Marne organisent le concours des Jeunes talents du tourisme qui a pour objectif de valoriser les démarches innovantes des prestataires touristiques qui s’investissent et s’impliquent dans notre département. On parle ici de « Jeunes talents », car ce concours récompense des professionnels qui exercent depuis moins de 10 ans. À l’occasion de cette 10e édition, les neuf finalistes seront accueillis à l’office de tourisme d’Épernay, le vendredi 4 mars, de 14 h à 17 h, et le samedi 5 mars, de 10 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 17 h, afin de présenter leurs activités au public. Ce dernier sera invité, du vendredi 4 mars au dimanche 20 mars, à voter en ligne pour le Prix du public. Portraits, reportages et votes sont à retrouver sur le site internet de l'organisateur. Le 23 mars, un jury de professionnels départagera les finalistes et remettra ses prix au centre vinicole Nicolas Feuillatte, à Chouilly.
Les finalistes des Jeunes talents du tourisme. © DR
4 À la rencontre des Jeunes talents du tourisme
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Depuis peu, une dizaine de vidéos traduites en langue des signes française (LSF) et consultables sur YouTube content l'histoire du champagne De Sousa, implanté à Avize, son savoir-faire en matière de vinification, son approche bio et ses différentes cuvées. C'est en mai 2021 que Charlotte De Sousa, troisième génération de la famille, s'est rapprochée de l'entreprise adaptée Léa de Champagne pour se former à cette langue. « Je m'étais documentée sur la communication positive et les échanges par les signes pour mon deuxième enfant, explique-t-elle. Cette alternative favorise l'apprentissage et évite les frustrations des plus petits, lorsqu'ils n'ont pas encore la parole. Puis j'ai eu envie d'aller plus loin pour mieux accueillir les personnes sourdes ou malentendantes. » Au-delà des bases, il a fallu s'approprier l'interprétation d'un vocabulaire très technique, spécifique au champagne, de son élaboration à sa commercialisation. Très vite, d'autres membres de l'équipe, dont la sœur de Charlotte, se sont également lancés dans cette démarche inclusive. « Comme toutes les langues, plus on la pratique, plus on progresse et plus on gagne en fluidité. Mais elle demande beaucoup de mémoire, car chaque mot est associé à un geste, un peu à l'image d'une chorégraphie. C'est aussi très logique et ludique. » Fin juin, à l'occasion du 10e anniversaire du festival rémois Clin d'œil, dédié aux arts en langue des signes, la maison De Sousa organisera des visites adaptées, traduites directement par l'équipe. Une formule qu'elle entend ensuite pérenniser tout au long de l'année.
Charlotte De Sousa s'est formée à la langue des signes pour mieux accueillir les personnes sourdes, malentendantes et muettes. © Champagne De Sousa
S.L
Stationnement Trois nouveaux arrêts minute dans le centre d'Aÿ
Dans la commune d'Aÿ, sont matérialisées depuis le 23 février, trois places de stationnement de type arrêt minute, devant le 32, rue Roger-Sondag. Dans cette rue fréquentée du centreville soumise au stationnement en zone bleue (à disque), la municipalité a répondu à la demande des commerçants qui réclamaient des places réservées à des arrêts courts. C'est désormais chose faite, après le croisement des rues LéonBourgeois et Chanzy, juste La rue Roger‐Sondag est une rue passante du centre‐ville d'Aÿ. après le mini-giratoire fran© l'Hebdo du Vendredi chissable. Ces zones de stationnement sont habituellement destinées à déposer et récupérer des passagers ou à s’arrêter durant un temps limité (15 minutes maximum) pour faire des courses rapides. Cet aménagement est donc présenté comme un coup de pouce pour les clients, et donc pour les commerces du centre-ville, mais certains riverains ont exprimé leurs difficultés à se garer et craignent que ces arrêts minute amplifient le phénomène. À noter qu’à quelques encablures du centre-ville, la commune dispose d’un parking gratuit le long du canal. Sans compter le stationnement autour de l’église Saint-Brice.
Artisanat Le boulanger Patrick Baillet récompensé
La finale Grand Est du concours de la meilleure baguette de tradition française, qui s'est tenue le lundi 28 février, dans le cadre du salon professionnel des métiers de bouche à Strasbourg, a consacré un Marnais, le boulanger d'Aÿ Patrick Baillet (au centre de la photo). Fils et petitfils de boulanger-pâtissier, l’artisan est bien connu du territoire, fort de plus de 20 années à la tête de l’entreprise familiale agéenne. Il est également l’organisateur d’un rendezvous gourmand apprécié du territoire, la Fête du chocolat, organisée d'abord dans la salle des fêtes de la ville, puis dans L’Atelier, la chocolaterie qu’il a ouverte en 2014. Avec désormais ce premier prix de la meilleure baguette de tradition française en poche, Patrick Baillet représentera le Grand Est à la finale nationale du concours, en mai prochain, à Paris.
ENBREF
Inscriptions dans les écoles agéennes
Afin d'inscrire ses enfants dans les écoles maternelles et élémentaires des communes d'Aÿ et de Mareuil-sur-Aÿ (dont le passage des grandes sections vers les CP) pour la rentrée de septembre 2022, il convient de se rendre en mairie d'Aÿ, du 7 au 18 mars. Il est nécessaire de se présenter avec son livret de famille et un justificatif de domicile.
Ramassage des encombrants à Aÿ
La commune d'Aÿ-Champagne informe ses habitants qu'un ramassage des encombrants aura lieu au cours du mois. Cela concernera les habitants d'Aÿ les lundi 21 et mardi 22 mars, ceux de Mareuil-sur-Aÿ le mercredi 23 mars et ceux de Bisseuil le mercredi 30 mars. Ces encombrants devront être déposés sur le trottoir, devant la propriété, la veille du ramassage. Il est demandé aux riverains de s'assurer de ne pas gêner le passage des piétons.
Interview - Nathalie Arthaud « Contre Poutine, je ne marche pas dans l’union sacrée »
Candidate pour la troisième fois à l’élection présidentielle, Nathalie Arthaud sera en meeting à Reims, ce vendredi 4 mars. La porte-parole de Lutte ouvrière assume de ne choisir aucun camp dans la guerre en Ukraine.
Entre la crise sanitaire et la guerre en Ukraine, est-ce compliqué de faire campagne ?
C’est vrai que le débat est difficile et en même temps, la situation montre l’urgence qu’il y a pour les travailleurs et ceux qui subissent cette situation de se mêler absolument de politique. Si nous laissons nos dirigeants faire ce qu’ils veulent, nous avons droit à la guerre, la crise économique, la flambée des prix, les salaires de misère. Le monde du travail et tous ceux qui n’ont jamais leur voix au chapitre doivent s’exprimer aussi sur la marche de la société.
Nathalie Arthaud, ici lors de sa venue à Reims en 2017, donnera un meeting vendredi. © l'Hebdo du Vendredi
Comment se déroule votre campagne par rapport à 2017 ?
Elle n’est pas forcément différente, car nous menons avant tout une campagne militante de terrain, avec beaucoup de rencontres, de réunions publiques, de meetings, relayée par mes camarades dans les entreprises. Avec la guerre en Ukraine, l’inflation va encore bondir. Il va falloir se battre pour l’augmentation des salaires, des minima sociaux et des retraites, afin qu’ils soient indexés sur l’inflation. C’est une revendication qu’il faut avoir en tête sinon, on est condamné à s’appauvrir.
Votre discours trouve-t-il de l'écho ?
Ce que je vois, c’est qu’il y a des grèves dans beaucoup d’entreprises pour réclamer des augmentations de salaire. C’est encore localisé, il y a des négociations, c’est ce qui fait qu’il n’y a pas un rapport de force d’ampleur qui s’installe, mais ça montre que se battre pour les salaires est une nécessité. Car c’est un problème du quotidien, dès qu’on fait son plein d’essence, qu’on reçoit sa facture d’électricité, qu’on fait ses courses. Même s’il y a le bruit des bottes et que la menace de la guerre nous angoisse, ces problèmes-là sont aussi des situations d’urgence.
Quelle est votre position sur la guerre en Ukraine ?
Je condamne évidemment l’invasion de l’Ukraine par Poutine. Mais je ne fais pas partie de ceux qui disent que l’OTAN et l’impérialisme représentent la blanche colombe, qu’ils n'y sont pour rien dans cette guerre et qu’ils seraient une force de paix. Contre Poutine, je ne marche pas dans l’union sacrée derrière l’Europe, Macron ou Biden. Aujourd’hui, tous les va-t-en-guerre nous expliquent sur les plateaux télé qu’il faut livrer des armes aux Ukrainiens, mais qu’est-ce qu’ils disent au fond ? Battez-vous, allez mourir. Ils les mènent au bain de sang et pour quoi ? Pour que l’Ukraine bascule dans le giron des puissances impérialistes. On veut nous embrigader dans un camp pour soutenir une politique belliqueuse.
Vous ne faites donc pas de différence entre l'Occident et la Russie ?
Je ne me range ni dans un camp ni dans l’autre. Je condamne la bureaucratie russe qui est criminelle et persécute son peuple. Nous sommes trotskistes, nous avons toujours combattu le stalinisme, dont Poutine est l’héritier revendiqué. Nous n’avons aucune espèce de sympathie pour ce régime. Mais de l’autre côté, qu’est-ce que nous propose le camp impérialiste ? Des trusts capitalistes qui dominent le monde et qui affament les peuples. Si on veut en finir avec les guerres, il faut renverser cet ordre capitaliste mondial.
Pourquoi avez-vous refusé de rencontrer le Premier ministre pour échanger sur la guerre en Ukraine ?
C’était inutile. Je ne veux pas laisser croire une seconde qu’une quelconque solution peut venir du gouvernement français, de l’Europe ou des ÉtatsUnis. La solution viendra des peuples eux-mêmes. Des Russes qui sont prisonniers des décisions de Poutine et des Ukrainiens qui auront conscience que c’est une guerre fratricide dans laquelle Poutine et leur gouvernement veulent les faire s’entretuer. L’intérêt du chômeur, du travailleur, du retraité ukrainien, c'est que les armes se taisent. Ils ne doivent pas marcher dans la guerre, car c’est à l’opposé de leurs intérêts.
Propos recueillis par Simon Ksiazenicki
4 Réunion publique de Nathalie Arthaud, vendredi 4 mars, 20 h, Centre des congrès, Reims. Entrée libre.
ENBREF
Débat à Reims avec le député européen écologiste Benoît Biteau
Spécialiste des questions agricoles, Benoît Biteau est l'invité de la conférencedébat organisé par Le Pôle écologiste marnais avec Yannick Jadot, samedi 5 mars, à partir de 14 h 15, au bar Les Trois Brasseurs (place d'Erlon). Cette rencontre s'articulera autour de deux questions : « Comment accélérer la transition agricole ? » et « Comment concilier la préservation des espaces agricoles et naturels avec le déploiement des méthaniseurs et l’agri(photo)voltaïsme ? ». Entrée libre.
Le local départemental des Républicains vandalisé
Les faits se sont produits le vendredi 25 février. Le siège marnais du parti Les Républicains, situé à Châlons, s'est vu vandaliser et recouvrir d'inscriptions peu flatteuses, telles que « racistes », « homophobes » et « sexistes ». Ce jour-là, le comité de soutien à Valérie Pécresse, candidate à l'élection présidentielle, devait organiser une visioconférence de presse. L'événement a finalement été annulé au regard du conflit en Ukraine, déclaré la veille.
Littérature - Bezannes Le « Numéro deux » d'Harry Potter, selon David Foenkinos
L'écrivain David Foenkinos est le prochain invité des Rencontres de Bezannes, jeudi 10 mars. Dans son dernier livre « Numéro deux », l'auteur a imaginé la vie de celui qui fut presque choisi pour incarner Harry Potter, mais qui fut au final le dernier recalé à la sélection. « David Foenkinos est parti du principe que pour choisir l'acteur devant jouer le rôle d'Harry Potter, un grand casting a été organisé avec des centaines de postulants et qu'à la fin, il n'en restait plus que deux, explique le philosophe Gérard Lemarié. Il a alors eu l'idée géniale de se demander ce qu'était devenu celui qui ne fut pas choisi, le numéro 2 ». David Foenkinos sera donc présent pour évoquer cette histoire de reconstruction et échanger avec le public sur « quel numéro 2 nous sommes et quel numéro un nous aurions pu être. » Une rencontre qui promet d'être riche, comme les prochaines, dont les invités sont déjà connus. Ainsi, au romanL'écrivain David Foenkino.© Francesca Mantovani ‐ Editions Gallimard cier succèdera le 14 avril Isabelle Carré. L'actrice viendra ici en qualité d'écrivaine à l’occasion de la sortie de son livre « Le jeu des si... ». « C'est un roman qui s'inscrit un peu dans la même veine que celui de David Foenkinos, détaille Gérard Lemarié. Il raconte la vie d'un personnage qui à la sortie d'un train ne voit pas venir la personne censée le récupérer et décide alors de suivre quelqu'un d'autre ». Puis c'est un autre auteur qui suivra, le 28 avril, en la personne d'Eric Emmanuel Schmidt qui vient de publier « La traversée des temps ». Enfin, cette première saison des Rencontres de Bezannes se terminera avec Christophe André, le 23 juin. Le médecin psychiatre, spécialiste français de la psychologie des émotions, viendra discuter sur le thème universel de la consolation, après une rupture ou la perte d'un être cher.
J.D
4 Rencontres de Bezannes, avec David Foenkinos, jeudi 10 mars, à 19 h, salle Galaxie. Tarif : 10 €. Réservations au 06 52 67 89 34. Places gratuites réservées aux habitants de Bezannes : se présenter en mairie avec un justificatif de domicile.
Art Un répertoire en ligne sur le street art à Reims
Mis en place par la ville de Reims, Reims Street Art est un répertoire numérique qui est accessible en ligne via le site reims.fr depuis le mercredi 2 mars. Cet annuaire virtuel recense les artistes et les collectifs qui proposent des œuvres d’art urbain et s’alimente sur la base du volontariat. Tout artiste ou collectif professionnel, résidant sur le territoire du Grand Reims et qui a déjà réalisé une œuvre d’art urbain, peut remplir un formulaire afin d’apparaître dans ce répertoire rémois. Ainsi, la ville met à la disposition de tous les contacts des artistes d’art urbain qui souhaitent faire connaître leur travail, sans distinction de style ou de mode d’expression. Les particuliers, les associations, mais aussi les entreprises qui souhaitent travailler avec des artistes d’art urbain bénéficient d'une première vision des choix possibles sur notre territoire.
Vélo Reims Vélotour 2022 : la billetterie est ouverte
Grand événement cyclo-ludique, le Vélotour a fait étape pour la première fois dans la cité des sacres en août dernier. Il a emmené près de 3 000 cyclistes de tout âge le long d'un parcours d'une quinzaine de kilomètres, au cours duquel les participants ont ainsi littéralement traversé le Palais du Tau, le parking Cathédrale ou encore le lycée Clemenceau. Fort de ce succès, une seconde édition est prévue le dimanche 28 août prochain au travers de nombreux sites emblématiques de la ville. Si le nouveau circuit n'a d'ailleurs pas été dévoilé, il y a de fortes chances que l'Arena ou encore le stade Delaune fassent partie des lieux visités. En attendant d'en savoir davantage sur l'itinéraire rémois, la billetterie ouvre ce mercredi 2 mars, à partir de 12 h, dans la limite de 5 000 participants maximum. 4 Infos : velotour.fr/reims
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Méthode de pédagogie active et parcours personnalisé, CESI, établissement d’enseignement supérieur technique privé, cultive ses valeurs en faveur de l’excellence de chacun. Ainsi en 2020, pas moins de 26 000 apprenants, dont près de 12 000 en apprentissage, ont été formés aux métiers et compétences de demain dans toute la France.
Présent sur tout le territoire avec ses 25 campus et formant dans de nombreux domaines d’activités professionnelles, CESI, campus d’enseignement supérieur et de formation professionnelle, est installé à Reims depuis 1991. S’adaptant à tous les publics d’étudiants, d’alternants et de salariés en reconversion, l’établissement rémois gère aujourd’hui 3 écoles : CESI Ecole Supérieure de l’Alternance, CESI Ecole de Formation des Managers et CESI Ecole d’Ingénieurs. CESI Ecole d’Ingénieurs Reims assure 100 % d’embauches à l’issue du parcours de cinq ans dans les différentes filières (Informatique, BTP, Systèmes Électriques et Électroniques Embarqués). L’efficacité de la méthode pédagogique repose sur l’implication totale des étudiants grâce à des résolutions de problèmes très concrets. Accompagnés d’un tuteur, les groupes d’élèves sont amenés à travailler en équipe avec des rôles définis et à chercher des informations par eux-mêmes. Cette émulation constante, cette coopération et ses compétences transverses issues de ces mises en situation ont pour objectif de répondre à des problématiques prévues par l’encadrement pour comprendre et intégrer durablement chaque notion. Actifs dans leur enseignement les étudiants acquièrent confiance, motivation et rigueur naturellement, ce qui les rend immédiatement aptes à intégrer le monde professionnel. Preuve de l’excellence en tant qu’École d’Ingénieurs, la Commission des Titres d’Ingénieurs (CTI) a accordé au Campus CESI Reims l’accréditation pour l’ouverture de la formation Ingénieur Spécialité Informatique par Apprentissage à partir de la rentrée 2022. Il sera donc désormais possible de rejoindre le Cycle Ingénieur Informatique après un Bac+2 et d’intégrer une entreprise durant les 3 années du parcours. L’élève-ingénieur sera ainsi salarié en contrat d’apprentissage, et la formation sera financée par l’entreprise d’accueil. Le rythme de l’alternance école/ entreprise est modulée dans le temps : court au début, il s’allonge au fur et à mesure de la prise de responsabilités dans les projets pour devenir essentiellement professionnelle en dernière année.
Pour plus d’informations et afin d’échanger avec des apprenants et les équipes pédagogiques du campus, rendez-vous à notre Journée Portes Ouvertes, Samedi 12 Mars prochain dès 10 h.
CESI Ecole d’Ingénieurs vous permet de devenir acteurs de votre formation !
✔ CESI Reims, 7 bis Av. Robert Schuman, Reims.
