Retrouvons-nous au ON DE L SAL L’’HA à ChâlCh d3
DOSSIERSPÉCIAL
Retrouvons-nous au ON DE L SAL L’’HA à ChâlCh d3
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De la sortie du lycée jusqu'à la fin de sa carrière, la formation est la clé de la réussite professionnelle et donc d'une vie plus épanouie. Comment améliorer ses compétences ? Quels métiers recrutent ? Comment réussir sa reconversion ? Eléments de réponse dans notre dossier spécial. p. 7 à 25
PATRIMOINE
Dimanche, l'entrée au musée est gratuite p. 26
2 HUMEURS
Just Fontaine, légende du Stade de Reims, s'est éteint
L’ancien joueur du Stade de Reims, Just Fontaine (à droite sur la photo ), est décédé mercredi 1er mars, à Toulouse, à l’âge de 89 ans. Natif de Marrakech (alors protectorat français) où il a fait ses armes, c’est à Nice qu’il se fait connaître, puis au Stade de Reims. Il débarque en Champagne en 1956, avec la lourde tâche de faire oublier Raymond Kopa, parti pour le Real Madrid. Il remporte en 1958 le Championnat de France, dont il est de loin le meilleur buteur avec 34 buts, et la Coupe de France, au cours de laquelle il marque en finale contre Nîmes. Une année qui coïncide avec son chef-d'œuvre réalisé lors du Mondial en Suède : treize buts, dont un quadruplé lors du match pour la 3e place face à l’Allemagne (6-3), un record inégalé et sans doute inégalable. Un hommage d’envergure lui sera rendu ce dimanche, au stade Auguste-Delaune, lors de la réception d’Ajaccio.
La Foire de Châlons se dévoile au Salon de l’agriculture
César pour le documentaire « Retour à Reims »
Plus de 120 modèles anciens aux enchères au Musée de l’automobile
L’Hebdo du vendredi édité par la SARL BMDR Editions
Journal hebdomadaire gratuit d’information locale. Siège social : 195, rue du Barbâtre à Reims Tél. 03 26 36 50 13
Rédaction : redaction@lhebdoduvendredi.com Publicité : publicite@lhebdoduvendredi.com
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En tournage à Épernay, lundi, puis à Reims, le lendemain, pour son émission « Cuisine ouverte », le jeune chef étoilé raconte comment il promeut la cuisine française, revisitée au gré de ses influences et de ses goûts.
Ce matin-là, aux halles du Boulingrin, la température approche du 0° C. Sous la majestueuse parabole du marché couvert, l’équipe technique de « Cuisine ouverte », l’émission télé de France 3, s’affaire. Au centre du bâtiment et de l’attention des caméras, un ilot sur lequel trône une petite assiette. Dedans, un appétissant « Vitrail de langoustines marinées au verjus », hommage à la cathédrale de Reims et plat signature de Philippe Mille. C’est ce mets que Mory Sacko, jeune chef étoilé et animateur de l’émission, va réinterpréter en compagnie du Rémois, d'une vedette, en l'occurrence la chanteuse Adeline Toniutti, et d'un produit local, le champagne, évidemment.
« L’émission n’est pas montée comme un concours », s’amuse celui formé au Royal Monceau, au Shangri-La ou encore au Mandarin Oriental, puis révélé dans « Top Chef », en 2020. Il n’avait terminé qu’à la sixième place du
T RANSPORT
concours télévisé culinaire, mais sa personnalité, sa bonne humeur et son détachement lui avaient permis de gagner les faveurs du public. Et sans doute sa propre émission, quelques mois après la diffusion de la 11e saison. « Le principe de « Cuisine ouverte », c’est d’aller dans les terroirs pour découvrir des recettes, des produits et les gens qui font vivre ces traditions, toujours dans un joli cadre, emblématique de la région, explique Mory Sacko. Hier (lundi), on était à l’hôtel de ville d’Épernay, qui est vraiment magnifique, et aujourd’hui, on est dans ces belles halles en plein centre de Reims. »
Du 6 au 11 mars, des travaux d'entretien des voies vont être réalisés sur la ligne ferroviaire Reims-Epernay. En conséquence, du 6 au 10 mars, les trains reliant les deux villes, entre 10 h et 14 h dans le sens Reims-Epernay et entre 11 h et 15 h dans le sens Epernay-Reims, seront remplacés par des cars, faisant passer le temps de trajet d'un peu plus de 30 minutes à 1 h 30 environ. Le samedi 11 mars, seuls sont maintenus les trains de 7 h 18, 17 h 19 et 19 h 18 dans le sens Reims-Epernay (cars à 9 h 18, 11 h 18, 12 h 48 et 15 h 18), et de 6 h 42, 16 h 02, 18 h 02 et 20 h 12 dans le sens Epernay-Reims (cars à 7 h 14, 10 h 02, 11 h 59 et 14 h 02). A noter également que les cars de substitutions ne desserviront pas les arrêts Reims Maison-Blanche et Reims Franchet d'Esperey. Infos : ter.sncf.com/grand-est (rubrique « Se déplacer » puis « Infos travaux »).
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Laurence et son équipe vous accueillent du mercredi au samedi de
L’émission a récemment soufflé sa seconde bougie et c’est une réussite. Plus de 90 tournages ont été réalisés et chaque samedi soir, « Cuisine ouverte » séduit 1 200 000 téléspectateurs en moyenne. L'épisode marnais devrait être diffusé en mars. Celui qui ne s’imaginait pas devenir chef quand il était petit, et encore moins animateur télé, accueille ce succès avec légèreté. « Je l’anime à ma manière, avec beaucoup de calme et parfois, de distance », s’amuse le cuisinier de 30 ans, qui a ouvert, au sortir du confinement, son restaurant, baptisé MoSuke. Dans cet établissement du XIVe arrondissement de Paris, étoilé Mi-
chelin dès 2021, Mory Sacko y propose sa cuisine, à la croisée de la France où il est né, du Japon qu’il admire et de l’Afrique de l’Ouest d’où viennent ses parents. « L’émission n’était pas forcément dans mes plans, car je venais d’ouvrir mon restaurant, mais le covid m’a donné le temps de tourner ce programme, parce qu’on a dû fermer le restaurant. Ça devait être pour une année, le programme a bien fonctionné et on a continué. »
Selon Mory Sacko, en le choisissant, France Télévisions a fait preuve de « beaucoup de courage ». « Prendre sur France 3, la chaîne des régions et des terroirs, un chef qui avait 27 ans, qui n’était pas étoilé à l’époque, de surcroit parisien, avec les origines qui sont les miennes (sa mère est née en Côte d’Ivoire, a grandi au Sénégal et a rencontré son père au Mali), c'était très courageux. » Il ne s’enorgueillit pas pour autant de l’image qu’il représente : « Il y a une fierté de présenter mes influences, mais ce n’est jamais démonstratif. C'est la cuisine que j’aime. Je suis tout autant un chef français qu’un chef qui a ses origines et ses inspirations diverses. L’idée, c'est d’amener ces terroirs, ces produits, ces artisans dans mon univers, sans les dénaturer, ni leur manquer de respect. » Une recette qui marche.
Simon KsiazenickiOnagadori, la boutique manga d'Épernay, ouvre ce samedi
Il y a un petit nouveau dans la rue du Professeur-Langevin d'Épernay. En plein centre-ville, à deux pas de la médiathèque Simone-Veil, une enseigne consacrée à la culture manga, la première du genre dans la capitale du champagne, ouvre ses portes ce samedi 4 mars. Baptisée Onagadori, en référence à cette race de poule nippone antique et au coq français, l'échoppe propose principalement des BD japonaises, mais également des figurines, produits dérivés, vêtements et objets de déco dédiés à l'univers du manga et de l'animation japonaises.
Un village de l'égalité des sexes à la Ferme de l’hôpital
À la veille de la Journée internationale des droits des femmes, qui aura lieu le mercredi 8 mars, la ville d'Épernay organise, le mardi 7 mars, un Village de l'égalité femmes-hommes, à la Ferme de l'hôpital (137, rue de l'Hôpital Auban-Moët). Portée par le service cohésion sociale et l'association niçoise G-Addiction, créatrice de projets citoyens, cette action associera des acteurs investis dans ce domaine, autour d'ateliers ludiques et interactifs pour lutter contre le sexisme et favoriser l'égalité femmes-hommes.
À partir de 13 h, entrée libre. Infos : 03 26 53 30 71
Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités, et Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée chargée des personnes handicapées, se sont rendus à Epernay et Châlons ce lundi 27 février pour visiter plusieurs établissements spécialisés.
Après une première étape au foyer de vie Jacques-Paul Bru d'Epernay, le binôme que forment Jean-Christophe Combe et Geneviève Darrieussecq a découvert le gymnase interactif Daniel Royer à Châlons, premier équipement du genre en France. Plus de 450 enfants et adultes accompagnés par l'Association châlonnaise de parents et amis de personnes déficientes intellectuelles (ACPEI) s'entraînent sur place, dont une centaine de jeunes - de 6 à 20 ans – de l'institut médico-éducatif (IME) Le Tremplin. « Certains présentent des troubles du spectre autistique (TSA) et sont très sensibles aux informations qu'ils reçoivent, précise Damien Malval, leur professeur d'EPS. Les formes lumineuses au sol et le compte à rebours interactif à l'écran peuvent s'activer à la de -
mande. On leur donne un cadre, on les aide à se repérer dans l'espace et à gérer leur temps. » Un équipement novateur, à la fois ludique et sportif, que les deux ministres n'ont pas hésité à tester en se prêtant au jeu du lancer de ballons avec plusieurs élus marnais. Le département de la Marne est
l connaît bien les lieux pour y avoir plaidé dans son autre vie, lorsqu’il était un ténor du barreau. En visite au tribunal de Reims, lundi 27 février, Éric DupondMoretti y est revenu en qualité de garde des Sceaux afin de faire des annonces sur la justice de proximité. Lors d’une rapide visite des coursives du palais de justice rémois, le ministre a notamment pu aller à la rencontre de l'un des 2 100 contractuels recrutés en 2021, qu’il avait alors appelé des « sucres rapides », face à l’urgence de la situation. « Vous avez démontré à quel point vous étiez utiles. Il y a désormais la nécessité de vous institutionnaliser et de vous pérenniser », a-t-il dit à Reims. Tous se verront proposer un CDI, avec une nouvelle fonction à la clé, celle d’attaché de justice. Ils seront formés à l’École nationale de la magistrature et prêteront serment. Le garde des Sceaux estime que le travail de ces contractuels, notamment, a permis un déstockage massif des dossiers : le nombre d'affaires de justice civile en attente de jugement a ainsi baissé de 28 % en deux ans. « Le principal reproche qui est adressé à la justice, c’est sa lenteur. C’est la première fois qu'on « déstocke » des dossiers, ça veut dire que la justice est plus rapide. » Et ce n’est pas tout, en matière d'annonces. « Nous allons renforcer le recrutement du nombre de magistrats, 1 500 au total jusqu’en 2027, et autant de greffiers », a annoncé Éric Dupond-Moretti. Cela suffira-t-il à calmer les personnels qui étaient mobilisés le 22 novembre dernier pour dénoncer une justice « au rabais », malgré une augmentation, pour la troisième année consécutive, du budget de leur ministère ?
S.K
l'un des premiers à s'engager dans la démarche « territoires 100 % inclusif », comme l'a souligné Jean-Christophe Combe. « Voir des dirigeants associatifs se battre pour obtenir des outils de pointe comme celui-ci, c'est positif », ajoute-t-il. Toujours sous l'égide de l'ACPEI, le foyer
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de vie Pierre Devernay, où habitent une quarantaine d'adultes handicapés, dispose lui aussi d'espaces dédiés à la pratique sportive. L'athlète de haut niveau Sébastien Mengual s'y entraîne régulièrement en vue des championnats de France de cross et des jeux mondiaux de sport adapté. Dernières consécrations en date : champion du monde en 2021 puis d'Europe en 2022 sur le 3 000 mètres steeple. « Je travaille quasiment tous les jours le cardio et le mental », a-t-il expliqué lors de la visite ministérielle.
Comme lui, dans une moindre mesure, les résidents partagent un sacré programme d'activités physiques : randonnée, crosscountry, sarbacane, pétanque, tennis, etc.
« Notre établissement vient d'être reconnu « Maison sport-santé », dixit Marc Truffaut, directeur du foyer Devernay, également président de la Fédération française du sport adapté. Cela va nous permettre de valoriser encore plus le sport, tout en renforçant nos compétences avec un nutritionniste ou un kinésithérapeute par exemple, et en nous ouvrant vers l'extérieur. » Une étape de plus pour l'inclusion de ces publics.
Sonia LegendreAIprès une pause de près de trois semaines qui coïncidait avec la période des vacances scolaires, le mouvement entamé le 19 janvier contre le projet de réforme des retraites va connaître une sixième journée de mobilisation ce mardi 7 mars. Le rendezvous est fixé à 10 h, devant les maisons des syndicats de Reims et de Châlons et à 10 h 30, sur la place Carnot à Épernay. L’intersyndicale, composée de treize organisations syndicales et de jeunesse, avait appelé, dès le 11 février, « à durcir le mouvement en mettant la France à l’arrêt dans tous les secteurs le 7 mars prochain ». Si l’intersyndicale n'évoque pas de grève reconductible, certains secteurs, notamment la SNCF, la RATP ou les raffineries, prévoient un mouvement reconductible.
EN BREF
L’Établissement français du sang organise une collecte le mardi 7 mars, de 10 h 30 à 13 h et de 14 h 30 à 18 h 30, au hall des sports Pierre-Gaspard d'Épernay (parc Roger-Menu) et non plus au Palais des fêtes comme c'était le cas auparavant. Pour faire un don, il est nécessaire de se munir de sa pièce d'identité, de ne pas venir à jeun, d’être en bonne santé, âgé de 18 à 70 ans et reconnu apte au don lors de l’entretien préalable, de peser au moins 50 kg. Les différentes étapes durent entre 45 minutes et 1 heure, dont 10 minutes pour le prélèvement. Infos et prise de rendez-vous : dondesang.efs.sante.fr
Le foyer Devernay labellisé « Maison sport-santé »
La bijouterie-joaillerie Baulant accompagne depuis 120 ans tous les événements de la vie des sparnaciens. Commerce historique du centre-ville d’Epernay, il est le rendez-vous des personnes à la recherche d’une preuve d’amour durable…
Créée en 1902, la bijouterie-joaillerie Baulant porte le nom de son fondateur Alfred Baulant, à la tête de laquelle se sont succédés sa fille Jeanne et son mari, puis leur fils Jean-Claude Velu. Au détour de l’an 2002, c’est la famille Limongi qui reprend l’établissement et l’agrandit même en 2007 en ajoutant le magasin voisin à sa surface de vente pour proposer une gamme de bijoux tendance à côté de la joaillerie traditionnelle. Baulant passe ainsi le cap dièl idl’â
brations et événements de la vie du berceau sparnacien.
« Au-delà de la vente, on est là pour accompagner , sourit Élise Limongi-Desautels, responsable adjointe aux côtés de ses parents. On se doit de proposer le bon bijou, adapté à l’occasion et à la personne. ta l f On est encore présent quand i faau ajjuster ou réparer une pièce, même des années après. »
f La rigueur dont faait preuve toute l’équipe de la bijouterie-joaillerie Baulant est encore plus essentielle au moment de célébrer l’amour. La sympathique trentenaire poursuit : « f Lorsque des fuuturs mariés nous font confiance, nous les écoutons et les conseillons sans jamais oublier que les alliances qu’ils choisissent sont faites pour durer toute une vie. » La conscience de partager des événements intimes honore et engage ces professionnels qui travaillent dans le resdièdibl
Sur la place Hugues-Plomb, la grande façade de l’institution est une invitation à venir célébrer les jours heureux. De la création à la réparation, des baptêmes aux anniversaires, en passant bien sûr par les mariages, la bijouterie est au cœur des célé-
pect des matières et des sentiments nobles. Ainsi, la bijouterie familiale a décidé de consacrer le mois de mars aux mariages en proposant Le mois de l’alliance.
l’achat d’une paire d’allia toujours Elise. Matière, co volume, le choix est grand, fiidlé
nces , précise uleur, forme, d’autant que i
veautés. Et enfin, toutes ces alliances sont d’origine française. »
nous faisons aussi de la créat de pierres et de taille notamm limite, c’est l’imagination. D o proofifitons de cemoispourprop p
tion en termes ent. La seule e plus, nous oser desnou-
« Pendant toute cette période, vous trouverez toute une sélection d’alliances avec une offre de -15 % sur les alliances diamants et -30 % sur les alliances tout en or pour
soleil printanie
Baulant pour c
✔ T Teel. 03 26 55
er et de l’amour à la bijouterie hoisir l’alliance de vos rêves.
Un mois de mars placé sous le signe du liliidl’àlbiji du siècle nouveau sans signe de l’âge, un exemple de pérennité.
5 29 31 - Site : wwww..baulant.com
On commence à en avoir l’habitude, mais quand même, cette équipe du Stade de Reims continue de surprendre. La victoire face à Toulouse (3-0), dimanche dernier, dans un stade Auguste-Delaune encore clairsemé malgré ce 17e match consécutif sans défaite, a sans doute été l’une des rencontres les plus abouties de la saison, face à un adversaire qui avait battu les Rémois à deux reprises cette saison, en Ligue 1, puis en Coupe de France.
Buteur et double passeur décisif face à Toulouse, Junya
Ito a retrouvé la forme. © l'Hebdo du Vendredi
« Ça nous tenait à cœur de remettre les pendules à l’heure par rapport au match de Coupe qu’on avait raté làbas (défaite 3-1 le 8 février), où on avait manqué d’intensité, d’énergie, de qualité », a expliqué l’entraîneur rémois, Will Still. Tous ces ingrédients étaient cette fois-ci réunis, et ce, dès l’entame, avec deux buts inscrits en seulement sept minutes. « Tous les voyants sont au vert. Ça se voit sur le terrain, car presque tout nous réussit », savourait Yunis Abdelhamid, capitaine, buteur et tout jeune papa d’un petit garçon. Ce dimanche, chose rare dans une saison, les Champenois recevront à nouveau, Ajaccio (17e) cette fois, une équipe qui a réussi à sortir du marasme en battant récemment Angers (20e) et Troyes (19e), mais qui reste extrêmement fragile dès que le niveau s’élève, comme face à Nice (0-3) ou Lorient (0-3). À Reims de montrer qu’il boxe désormais dans la même catégorie que les Aiglons et les Merlus. S.K
4 Reims - Ajaccio, dimanche 5 mars, à 15 h, au stade Auguste-Delaune et sur Prime Video
Sèchement battues par le Paris FC en championnat (3-0), les joueuses du Stade de Reims (6es) auront à nouveau fort à faire, ce samedi 4 mars, à 13 h 45, en quart de finale de Coupe de France, puisqu’elles reçoivent l’Olympique lyonnais, sacré à neuf reprises dans la compétition et actuel leader de Division 1. Réservé aux abonnés, le match sera diffusé sur le site de la FFF.
Désormais au complet, le Champagne Basket semble enfin posséder tout ce qu'il faut en magasin pour grimper dans la hiérarchie et s'inviter dans la bataille pour le sommet de la Pro B. Encore faut-il que le club franchisse le gap qui le sépare des meilleurs de la division. Depuis le début de la saison, si l'Union marnaise a fait le boulot contre les formations supposées plus faibles, elle n'a en revanche que très rarement vaincu celles mieux classées qu'elle. Ainsi, face aux cinq équipes qui la devancent, son bilan est pour l'instant de cinq défaites, dont quatre subies à domicile. La dernière en date remonte au 27 janvier. Ce soir-là, Chalon-sur-Sâone était venu s'imposer à Coubertin d'un petit point (78-79), comme l'ont fait précédemment Lille (73-79), Saint-Quentin (64-73) et Vichy (81-89). En recevant Boulazac, actuel 3e du classement, ce vendredi 3 mars à Châlons, Thomas Andrieux et ses joueurs ont une nouvelle occasion de corriger le tir. Battu au match aller (91-87), le coach champenois sait qu'il joue gros face au club au sein duquel il a terminé sa carrière de joueur, en 2009, puis débuté celle d'entraîneur, un an plus tard, en N3, avant de rejoindre l'équipe première, d'abord en tant qu'adjoint de Claude Bergeaud en 2017, puis en tant que coach principal de 2018 à 2021. J.D 4 Champagne Basket - Boulazac, vendredi 3 mars, à 20 h à Châlons
Basket-ball (LF2) : match de gala pour les Pétillantes à René-Tys
Revenues avec la victoire de leur déplacement à Calais (80-66), les Pétillantes apparaissent enfin dans la première moitié du classement, à la 6e place et donc en ballottage favorable pour une participation en playoffs. Mais pour espérer faire bonne figure lors de la phase finale, le Champagne Basket féminin a tout intérêt à grimper encore un peu, idéalement jusqu'à la 4e position synonyme d'avantage du terrain en quart de finale. A six journées de la fin de la saison régulière et avec un succès de retard sur Monaco et La Tranche-Meylan, respectivement 4 et 5e de la division, l'objectif est réalisable, sachant qu'Aurélie Lopez et ses joueuses joueront ces deux formations, le 24 mars et le 1er avril. En attendant, les Pétillantes peuvent mettre un peu plus la pression sur leurs rivales à l'occasion de la réception, ce samedi 4 mars (20 h), de Feytiat, 3e du classement.
La formation continue offre la possibilité d'améliorer ses compétences ou d'en acquérir de nouvelles. Focus sur trois dispositifs qui s'adressent aussi bien aux salariés, qu'aux autres.
Validation des acquis de l’expérience La VAE (validation des acquis de l’expérience) permet à toute personne, qui justifie d’au moins un an d’expérience en rapport direct avec la certification visée, de faire reconnaître officiellement ses compétences (professionnelles, associatives, bénévoles, syndicales...) et d’obtenir un diplôme, un titre ou une certification sans avoir à suivre nécessairement une formation. Les diplômes vont du CAP au niveau master et ont la même valeur que s’ils avaient été obtenus par la voie de la formation. Cela permet de faire reconnaître ses compétences et de les transformer en un niveau de qualification permettant d’accéder à une formation d’un niveau supérieur ou de s’inscrire à un concours, dans le but de changer d’emploi ou d’évoluer professionnellement. Les personnes intéressées par la démarche VAE doivent prendre contact avec le Centre de conseil sur la validation des acquis de l’expérience, qui dispose de nombreux relais sur le territoire (Pôle emploi, Mission locale, Apec…). Ensuite, selon la certification, le
La formation continue permet de valider ou d'obtenir des compétences, afin d'évoluer professionnellement. © PxHere
demandeur de VAE présente son projet devant un jury qui prendra une décision de validation totale, partielle ou d’un refus de validation. De la définition du projet jusqu’aux épreuves de validation devant le jury, l’ensemble de la démarche dure entre huit et douze mois.
Infos : vae.gouv.fr
Compte personnel de formation
Le compte personnel de formation (CPF) est utilisable tout au long de la vie active et en période de chômage pour suivre une formation
@OzanamLyceeChalons
CAP
● ATMFC (Assistant Technique en Milieu Familial et Collectif)
● ÉLECTRICIEN en initiale et apprentissage
● IMTB (Intervention en Maintenance Technique des Bâtiments) en initiale et apprentissage
BAC PRO
● AGORA (Assistance à la Gestion des Organisations et de leurs Activités)
● AMATA (Artisanat et Métiers d’Art option Tapisserie d’Ameublement)
● ASSP (Accompagnement Soins Services à la Personne)
● MCV (Métiers du Commerce et de la Vente)
● MELEC (Métiers de l’Électricité et de ses Environnements Connectés) en initiale et apprentissage
● MS (Métiers de la Sécurité)
Technologies de la Santé et du Social)
● CI (Commerce International)
● SP3S (Services & Prestations des Secteurs Sanitaire et Social)
● SAM (Support à l’Action Managériale) en initiale et apprentissage
Filière Générale
De nombreuses spécialités sont proposées.
● Gestion des Etablissements Sanitaires, Sociaux et Médico Sociaux en partenariat avec le CNAM
● BTS MOS (Management Opérationnel de la Sécurité) en apprentissage
● CAP AEPE (Accompagnement Éducatif Petite Enfance) en apprentissage
Nous annonçons le partenariat avec l’IN&MA pour deux bachelors :
● BACHELOR : RAA (Responsable opérationnel Achats et Approvisionnement)
● BACHELOR : Chargé de Gestion Commerciale - Option marketing digital
qualifiante ou certifiante. Le CPF est alimenté automatiquement, en euros, au début de l'année qui suit l'année travaillée. Pour les salariés à temps plein et à mi-temps et les travailleurs indépendants dont la durée de travail a été supérieure à la moitié de la durée légale (1 607 heures), 500 € sont crédités pour chaque année de travail, jusqu'à 5 000 € maximum. Pour les salariés peu ou pas qualifiés, le montant annuel est majoré à 800 € et plafonné à 8 000 €. Les heures consacrées à la formation pendant le temps de travail donnent lieu au
maintien de la rémunération. Chaque personne dispose d’un espace personnel sécurisé lui permettant de consulter son crédit et de trouver une formation.
Infos : moncompteformation.gouv.fr
Projet de transition professionnelle
Le projet de transition professionnelle (PTP), anciennement connu sous le nom de congé individuel de formation (Cif), permet au salarié de s'absenter de son poste pour suivre une formation destinée à changer de métier ou de profession. Pour en bénéficier, le salarié doit justifier d'une activité d'au moins deux années, dont une dans la même entreprise. Le travailleur doit adresser une demande écrite d'autorisation d'absence à son employeur qui, en retour, ne peut pas s'opposer au départ en formation. En revanche, il peut différer la demande de 9 mois maximum, si celle-ci pourrait avoir des conséquences préjudiciables pour l'entreprise. L'employeur a 30 jours pour répondre au salarié, passé ce délai, l'autorisation est considérée comme accordée. Lorsque le PTP est réalisé sur le temps de travail, le salarié bénéficie d'un pourcentage de son salaire moyen de référence. Lorsqu'il est inférieur ou égal à 3 418,57 €, la rémunération est complète.
Simon KsiazenickiDotée de la gestion des politiques d’apprentissage et de formation professionnelle, la région Grand Est dispose d’un portail dédié à cette compétence (formation.grandest.fr). À l’échelle de tout le territoire, la plateforme recense actuellement plus de 49 000 offres de formation professionnelle proposées par 4 040 organismes, contrôlées et validées par les équipes du conseil régional. Afin de mener un projet de formation, les demandeurs d’emploi domiciliés dans le Grand Est et inscrits à Pôle emploi peuvent prétendre à l’aide régionale individuelle à la formation (Arif) qui peut aller jusqu'à 6 000 € . Pour toute information, contactez votre conseiller Pôle emploi, Mission locale ou CAP emploi.
Les enseignants-chercheurs de l'Université de Reims-Champagne organisent une conférence sur le thème « Le sens du travail : un luxe déjà perdu ou une lutte encore à gagner ? ». Elle aura lieu le lundi 6 mars, de 14 h à 17 h sur le campus Croix-Rouge à Reims (amphithé â tre 3) et sera animée par les économistes et chercheurs Coralie Perez et Thomas Coutrot, auteurs de l'ouvrage « Redonner du sens au travail. Une aspiration révolutionnaire », paru aux éditions du Seuil en 2022, et Anthony Smith, responsable syndical à l’Inspection du travail. Cette conférence se terminera par un échange avec la salle. Entrée libre.
Le Centre de recherche droit et territoire (CRDT) de l’Université de Reims Champagne-Ardenne organise, en collaboration avec la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI), un colloque consacré à la Douane, jeudi 9 et vendredi 10 mars, au campus Croix-Rouge de Reims. Cet événement scientifique vise principalement les étudiants et le monde de l’enseignement supérieur, mais aussi les opérateurs économiques et les partenaires institutionnels. Lors de ces deux jours, des experts viendront évoquer le positionnement et la capacité d’adaptation de l’administration des douanes dans un monde en mutation. Inscription : crdt@univ-reims.fr
Dans une étude publiée début février, l'Apec présente les métiers qui recrutent le plus de cadres. Les développeurs informatiques, les comptables et les chargés d'affaires sont les profils les plus recherchés.
Le marché de l'emploi en France ne manque pas seulement de serveurs, d'infirmiers ou de conducteurs de poids lourds. Les difficultés de recrutement touchent quasiment tous les secteurs d'activités et tous les métiers, y compris ceux les mieux payés. Pour s'en convaincre, il suffit de se référer au baromètre établi par l'Association pour l'emploi des cadres (Apec), dévoilé le 9 février dernier. Il confirme que les intentions d’embauche des cadres en 2023 restent à un niveau élevé, après une année 2022 déjà très positive. Par conséquent, l'Apec prévient que les tensions de recrutement vont rester importantes. Et pour certains secteurs d'activités, c'est encore plus compliqué. L'informatique est le premier concerné. Dans son classement des métiers « Poids lourds », c'est-à-dire ceux dont le nombre d'offres d'emploi dépasse la barre des 6 000 par an, la première place est ainsi occupée par celui de développeur informatique avec 31 258 postes proposés en 2022 (+ 5 % sur un an). Dans ce top, le secteur in-
formatique est également représenté par les métiers de chef de projet (10 988, + 17 %), ingénieur en études et développement (8 730, + 6 %) et ingénieurs système (6 308, + 15 %).
Le second métier offrant le plus de débouchés pour les cadres est celui de comptable, avec 22 927 offres publiées (+ 12 %), auxquelles il faut ajouter le profil de responsable comptable (6 323, + 17 %) et surtout celui de contrôleur de gestion (9 291, + 38 %). Si ces fonctions ne sont pas les plus sexy, elles demeurent donc indispensables, comme le sont les professionnels œuvrant dans les ressources humaines. Parmi ces derniers, les plus demandés sont les gestionnaires de paie
(6 548, + 5 %) et, en toute logique, les chargés de recrutement (6080, + 45 %).
Le troisième secteur offrant le plus de perspectives aux cadres demeure celui de la vente qui reste évidemment capital pour toutes les entreprises. Les commerciaux restent donc toujours très courtisés (11 445, + 6 %), les chargés d'affaires encore davantage (15 343, + 9 %), sans oublier les business developer (7 079, + 10 %), les responsables de magasin (6 913, + 25 %) et les technicocommerciaux (6453, + 8 %). Enfin, le métier de conducteur de travaux complète ce palmarès avec 10 052 postes proposés (+ 3 %).
J.D
Le baromètre de l'Apec propose aussi un classement « Formule 1 » qui rassemble les métiers dont les offres, bien que n'atteignant pas celles des « Poids lourds », sont supérieures à 1 000 et progressent le plus sur un an. Preuve que l'industrie demeure importante en France, le métier d'ingénieur industrialisation domine ce palmarès avec 1 278 offres, en hausse de 70 % ! L'acheteur industriel est aussi en vogue (1 774, + 60 %). Force est de constater que l'ingénieur est une valeur sûre : mécanique (3 711, + 50 %), procédés (1 372, + 50 %), efficacité énergétique (1 171, + 50 %), process (4 748, + 40 %) et qualité (3 838, + 40 %). Dans l'informatique, le métier de data analyst semble prometteur pour l'avenir (1 345, + 60 %), tout comme celui de business analyst (2 797, + 50 %). A noter que d'autres métiers, plus classiques, affichent aussi de belles dynamiques, tels qu'analyste financier (1 460, + 60 %), responsable de recrutement (1 798, + 50 %), conseiller clientèle en banque (1 153, + 50 %) ou encore psychologue (1 612, + 40 %).
L’ESIREIMS, Ecole nationale Supérieure d’Ingénieurs de REIMS.
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Créé en 2015, l'événement « You and me, les métiers d’excellence en tournée » revient pour une nouvelle tournée qui fait cette année étapes à Paris, Clichysous-Bois, Lyon et Reims. Dans la cité des sacres, le rendezvous est donné ce vendredi 3 mars, de 9 h à 17 h 30, à l'hôtel de ville. Organisé par le groupe français LVMH, leader mondial du luxe comptant environ 160 000 collaborateurs en France et à l'international, cet événement, ouvert à tous sur inscription, a pour objectif de faire connaître les métiers de la création, de l’artisanat et de la vente au plus grand nombre, en particulier les jeunes et les personnes en reconversion. Il s'agit d'une belle occasion pour les collégiens, étudiants, parents et demandeurs d’emploi de découvrir toutes les formations en alternance et stages du groupe LVMH, donnant accès à des métiers aussi variés que couturier, maroquinier, joaillier ou encore conseiller de vente. Tout au long de cette journée, les participants sont invités à assister à des démonstrations de jeunes apprentis et d’artisans, à prendre connaissance des formations proposées par l’Institut des métiers d'excellence (IME) et à suivre des séances de job coaching avec des personnels des ressources humaines du groupe LVMH. A noter que les candidats intéressés peuvent aussi trouver de nombreux contenus sur ces métiers via la plateforme youandme.lvmh.com et également accéder aux 3 500 postes (CDI, CDD, alternance, intérim et stage) à pourvoir tout au long de cette année au sein des différentes sociétés de LVMH.
4 You and me, les métiers d’excellence en tournée, vendredi 3 mars, de 9 h à 17 h 30, à l'hôtel de ville de Reims. Infos et inscription : youandme.lvmh.com.
Présenté comme le digne successeur de la Nuit de l'orientation, un rendez-vous imaginé par les CCI à l'époque et en stand-by depuis 2017, le premier forum de l'enseignement supérieur que coordonne Châlons
Agglo aura la même vocation : permettre aux jeunes et à leurs familles de se renseigner sur les formations du territoire local. Plusieurs établissements et organismes animeront l'événement : les lycées Talon, Oehmichen, Ozanam, de Somme-Vesle et de Somme-Suippe, l'IUT, les Arts et métiers, le Cnam, In&Ma, l'Inspe, l'École d'infirmiers et le CFA. Sur place, le Crous, la Maison de l'étudiant et le Centre d'information et d'orientation renseigneront les visiteurs en matière d'accès aux bourses, de logement, de santé, etc. Vendredi 3 mars de 16 h à 21 h, dans les locaux du Cnam (7 rue du Parlement, ex-IPI). Accès libre. Infos : chalons-agglo.fr.
Pour travailler à l’export, il est nécessaire de disposer de compétences spécifiques. La CCI International Grand Est propose de les acquérir à travers des formations payantes dédiées aux techniques du commerce international (fondamentaux, douane, logistique, stratégie, développement...). L'organisme met en place, jusqu’en décembre, une vingtaine de sessions dans toute l’ancienne région Champagne-Ardenne et à distance. Le prochain rendez-vous marnais, consacré à la réglementation et aux procédures douanières, aura lieu sur le site châlonnais de la CCI, le 13 avril. La liste complète est à retrouver en ligne.
Infos : 03 26 69 33 52 et cci-international-grandest.com.
L'ascensoriste installe, entretient, dépanne et modernise ascenseur, monte-charge, escalier mécanique. Un métier pérenne et non délocalisable qui s'apprend au lycée
George-Brière à Reims.
Parmi les métiers qui embauchent, celui d'ascensoriste n'est pas le plus médiatisé. Pourtant, avec un parc comptant 630 000 appareils en service pour 100 millions de trajets par jour en France, le secteur incarne une palette de métiers d'avenir à pourvoir sur tout le territoire. Ainsi, selon la Fédération des ascenseurs, créée il y a plus de 100 ans et qui regroupe 180 entreprises représentant 90 % de l’activité économique du secteur et environ 20 000 salariés, près d'un millier d'emplois sont à pourvoir dans ce secteur chaque année. Les titulaires d’un titre professionnel, d’une mention complémentaire de technicien ascensoriste (MCTA) ou de la nouvelle option du BTS Maintenance des systèmes, dédiée à la maintenance des ascenseurs et des élévateurs, sont ainsi très recherchés.
Le technicien ascensoriste installe, contrôle, entretient et dépanne l’ensemble des solutions de mobilité verticale
Le secteur des ascensoristes et des élévatoristes recrute plus de 1 000 salariés chaque année. © Fédération des ascenceurs
existant : ascenseur, monte-charge, escalier mécanique, trottoir roulant, siège monte-escalier ou plateforme verticale.
Ses terrains d’intervention sont multiples : immeubles d’habitation, bureaux, hôtels, hôpitaux, centres commerciaux, gares, etc.
L'apprentissage de ce métier, à la fois technique et de proximité, ne s'invente pas. Actuellement, deux CFA proposent le titre professionnel et 17 lycées professionnels proposent au moins l’une des deux formations MCTA ou BTS, avec plus de 200 places disponibles, et une moyenne d’une dizaine de places par session.
Dans la région, c'est au sein du lycée polyvalent Georges-Brière de Reims que le métier s'apprend. En effet, à partir de la
Ecole de commerce et de management en alternance lancée en septembre 2020 à Strasbourg par le Collège de Paris, Eucléa Business School a ouvert son troisième campus à Reims, à la rentrée dernière. Installé au sein de l'immeuble le Roosevelt, dans la rue du même nom, l’établissement y propose une offre de formations composée de deux bachelors et de deux masters, dont un programme dédié au Management de la gastronomie et de l’œnologie.
rentrée, l'établissement proposera le BTS Maintenance des systèmes, option maintenance des ascenseurs et des élévateurs. Ce cursus, à suivre avec un statut scolaire ou par apprentissage, aborde l’organisation et les techniques de la maintenance, la prévention et la sécurité, les sciences appliquées au métier, la culture générale et l’accompagnement personnalisé. Une journée portes ouvertes est organisée au sein du lycée rémois ce samedi 4 mars, de 9 h à 13 h, pour en savoir davantage sur ce métier et ce secteur qui recrute partout en France.
Julien Debant
Samedi 11 mars, les Compagnons du devoir organisent les portes ouvertes de leurs centres de formation partout en France, dont celui situé tout près de Reims, dans la commune de Muizon (42, rue de Reims). L'occasion pour les jeunes collégiens, lycéens, étudiants et personnes en reconversion, en quête d’une orientation professionnelle, ainsi que pour leurs familles, de découvrir la trentaine de métiers enseignés par l’association, allant du CAP (après la 3e) à la licence professionnelle, en passant par la formation continue. Les métiers des Compagnons du devoir sont répartis en quatre filières : bâtiment et aménagement, technologies de l’industrie, matériaux souples et métiers du goût. Leur liste évolue constamment : certains, comme celui de tailleur de pierre, existent depuis toujours, d’autres ont été accueillis plus récemment, comme les fromagers ou les charcutiers. Infos : www.formezvousautrement.fr
4 Infos : etreascensoriste.fr
Avize Viti Campus est une institution dans le paysage champenois. Lycée viticole fondé en 1919, il est devenu le plus grand centre d'apprentissage dédié à la viticulture de la région Champagne-Ardenne, formant chaque année près de 2 000 personnes aux profils variés. Parmi eux, les élèves de deuxième année du BTS technico-commercial option vins, bières et spiritueux, qui organisent, chaque année depuis 1995, les Vino’Folies. La 28e édition de ce salon des vins français et étrangers se tiendra ce week-end et c'est le thème du festival de Cannes qui a été retenu, donnant lieu à une sympathique bande-annonce tournée par les étudiants au cinéma Le Palace d’Épernay. Depuis presque 30 ans, l'événement est apprécié du grand public, qui y trouve un salon convivial, mais c'est aussi un bel exercice pédagogique grandeur nature pour les étudiants du BTS. Ceux-ci sont en effet en charge de l'organisation de chaque étape de ce rendez-vous, de la sélection des vins à la communication, en passant par l’agencement des espaces de vente ou la réalisation du budget. Un exercice d’autant plus motivant que les bénéfices servent à financer les futures éditions des Vino'Folies et le voyage pédagogique des étudiants de première année dans une région viticole étrangère.
Les Vino’Folies sont organisées par des élèves de BTS d’Avize Viti Campus.
4 Vino'Folies, vendredi 10 mars, de 18 h à 23 h, et samedi 11 mars, de 10 h à 17 h, Avize Viti Campus, 172, rue des Gris, Avize. Tarif : 5 €. Infos : boutique-vin-vinofolies.com
Vendredi 10 mars, de 17 h à 20 h, et samedi 11 mars, de 9 h à 13 h, Avize Viti Campus ouvre ses portes afin de présenter sa large palette de formations dans les domaines de la viticulture, l’œnologie, le commerce, l’œnotourisme et le machinisme agricole : 3e professionnelle, seconde générale et technologique, bac professionnel et technologique, BTS et licences professionnelles.
Après votre BTS, DUT, prépa ou votre licence, spécialisez-vous en commerce marketing, comptabilité, entrepreneuriat, gestion, immobilier, logistique, RH, tourisme, BTP, électricité, métiers de l'industrie, informatique.
à Bazeilles, Châlons-en-Champagne, Chaumont, Donchery, Épernay, Reims, Saint-Dizier, Sedan, Verdun... et dans tout le Grand Est !
Informations et inscription : alternance@cnam-grandest.fr cnam-grandest.fr
Avec plus de 350 000 salariés et 40 000 embauches en 2021, les banques françaises forment un secteur dynamique de recrutement et l’un des premiers employeurs du secteur privé. Les besoins sont importants, tant en matière de formation que d'emploi. La longue histoire de l’École supérieure de la banque (ESBanque), créée en 1926 sous le nom de l’École spéciale de préparation aux banques, l'illustre bien. Avec aujourd’hui 18 campus en France, dont un à Reims au centre d’affaires Clairmarais, cet organisme de formation revendique 12 000 apprenants en formation continue et 4 000 alternants engagés chaque année. Dans cette seconde catégorie, l’offre est pléthorique puisque 690 postes sont à pourvoir chez ses partenaires du Grand Est. Pour découvrir ces alternances, un job dating se tiendra dans les locaux du Greta de la Marne (20, rue des Augustins, Reims), le samedi 4 mars, de 9 h à 13 h. Sont concernés les futurs alternants ayant un niveau bac à bac+4. De son côté, le Crédit Mutuel, par ailleurs partenaire de l’ESBanque, organise lui aussi son événement dédié à l’alternance, dans son agence de Reims (23, esplanade Fléchambault), le vendredi 10 mars, de 9 h 30 à 18 h 30. Plus de 100 offres d’alternance et de stage, pour la rentrée 2023, sont à pourvoir dans les départements du nord de la France où le Crédit Mutuel est installé.
4 Infos : esbanque.fr et creditmutuel.fr/cmne/fr/le-mag/job-tour.html
Les sociétés de transport connaissent une pénurie de conducteurs de voyageurs. Il manquerait ainsi entre 4 000 et 8 000 conducteurs d’autocars en France, selon les calculs, et le Grand Est n’est pas épargné avec un besoin estimé, l’été dernier, à au moins 300 professionnels. La crise sanitaire a engendré de nombreuses démissions et le métier souffre d’un manque d’attractivité, notamment en raison d’un faible volume horaire mensuel : certains conducteurs ne travaillent que quelques heures par jour, au moment du ramassage scolaire. Le gouvernement a ainsi mis en place, en août dernier, un plan d’actions pour fluidifier et accompagner l’entrée de nouveaux conducteurs dans la profession et renforcer la visibilité du métier, puis avait autorisé, en décembre, les fonctionnaires à cumuler leur emploi avec la conduite d’un bus scolaire. Une annonce qui avait été fraîchement accueillie par les personnes concernées...
En parallèle, la région Grand Est finance une formation de conducteur de transport en commun sur route. D’une durée de cinq mois, elle sera dispensée au centre Promotrans FPC de Reims, à partir du 6 mars, à raison de 588 heures d’instruction. Une autre formation est proposée, en apprentissage, pendant trois mois, à partir du 23 mars ou du 4 septembre, à raison de 924 h, dont 434 h au centre Aftral de Reims. Ce dernier organise d'ailleurs une journée portes ouvertes le samedi 11 mars, de 10 h à 17 h, dans son centre rémois (18, rue du Val Clair). Des dizaines d’autres places, financées par le Grand Est et/ou Pôle emploi, sont disponibles dans l'Aube, les Ardennes, l'Alsace et la Lorraine.
4 Infos : formation.grandest.fr
L’établissement public local de Rethel, idéalement situé entre la Marne et les Ardennes ouvre ses portes le samedi 11 mars de 9 h à 17 h.
Ces portes ouvertes sont l’occasion pour les visiteurs de découvrir les locaux mais également les différentes formations proposées par le biais du lycée, du centre de formation par apprentissage ou en formation continue. Nous formons aux métiers du vivant qui se doivent de répondre aux enjeux actuels de la société.
Un temps fort où vous pourrez rencontrer les élèves qui sont nos meilleurs ambassadeurs pour vous parler de leurs formations : bac général, l’option ou la section équitation et aussi une nouvelle formation à la rentrée : le bac technologique option services aux territoires.
Un établissement à taille humaine
L’enseignement supérieur est également très présent avec un BTS gestion des entreprises et la licence professionnelle.
À taille humaine, venez étudier dans un établissement avec de nombreuses structures : pôle hippique, internat, exploitation agricole…
Samedi 11 mars de 9h à 17h
Route de Novion - 08300 Rethel - 03 24 39 60 00 contact@cense08.fr - lycee.cense08.fr
Organisés par le Crédit Agricole Nord Est, les rendez-vous « Youzful café » sont des moments d'échanges proposés aux jeunes dans le but de les aiguiller dans leur orientation professionnelle. Un choix qui repose sur le taux de chômage très élevé chez les 15-24 ans dans la région Grand Est (18,6%). A chaque fois, le focus est fait sur le marché de l'emploi, grâce à la présence de l'Apec qui présente les grandes tendances du marché, au niveau national comme régional. C'est aussi l'occasion pour les jeunes de rencontrer des experts pour apprendre à se présenter auprès de recruteurs. Le prochain « Youzful café » est programmé le mardi 7 mars, de 18 h à 20 h 45, à Reims. Le lieu exact sera communiqué au moment de l'inscription obligatoire : wiz.bi/3GugIld, stephanie@wizbii.com ou 06 69 67 10 87.
Partenaire du Groupe La Salle depuis 2020, l'Esaip déploiera à la rentrée 2023, sur le campus Saint-Jean Baptiste de la Salle à Reims, une nouvelle offre de formations au numérique et en gestion des risques et environnement, sous statut étudiant et ouverte dès le post-bac. Etablissement supérieur privé reconnu par l'Etat et qualifié d'intérêt général créé en 1988 en Anjou, l'Esaip a donc choisi Reims pour se développer dans le Grand Est et y ouvrir un 3e campus, après ceux d'Angers et d'Aix-en-Provence. Infos : esaip.org
TRANSPORT & LOGISTIQUE
YDA S
Des formations pour aller loin
La date limite de formulation des vœux sur Parcoursup, la plateforme nationale de l’enseignement supérieur en France, a été fixée au jeudi 9 mars. Il sera néanmoins possible de compléter son dossier jusqu’au 6 avril.
C’est la dernière ligne droite pour les futurs bacheliers, les étudiants en réorientation et ceux en reprise d'études qui doivent s’inscrire et formuler leurs vœux post-bac sur Parcoursup. Ouverte depuis le 18 janvier, la plateforme nationale de l'enseignement supérieur avait reçu, l'an passé, 936 000 candidatures pour 21 000 formations, dont plus de 7 500 en apprentissage. Cette année, les personnes concernées ont jusqu'au jeudi 9 mars pour formuler leurs différents choix en matière d'études supérieures et passée cette date, il ne sera pas possible d’en formuler de nouveaux. Néanmoins, les postulants auront jusqu’au 6 avril pour compléter leur dossier. C’est une étape indispensable pour pouvoir confirmer un vœu. Un vœu non confirmé ne sera pas transmis à la formation pour examen.
En tout cas, il vaut mieux se familiariser avec Parcoursup à l'avance, car le chemin est long et fastidieux. Il convient d'abord de s’inscrire, simuler ses droits à une bourse d’études, compléter ou vérifier les informations concernant
ses six dernières années de scolarité, indiquer ses activités et centres d'intérêt extrascolaires, formuler un maximum de 10 vœux et de 20 sous-vœux, rédiger pour chacun un projet de formation motivé (ou lettre de motivation), rédiger un CV pour certaines formations, confirmer ses vœux avant le 6 avril et, enfin, attendre le 1er juin, au mieux, pour recevoir des réponses qui pourront s'échelonner jusqu'au 13 juillet. Autant d’étapes qui peuvent s’avérer stressantes pour les élèves et leurs parents, d'autant plus pour ceux qui de-
vront se contenter de la phase complémentaire, du 15 juin au 12 septembre. Pointé du doigt depuis sa création en 2018 pour tout un tas de raisons, notamment son manque de transparence, Parcoursup s’améliore d’année en année, assure en tout cas le ministère de l’Éducation nationale. Celui-ci met par exemple en avant le raccourcissement de la phase d’admission principale : de 108 jours en 2018, elle est passée à 44 jours en 2022. Cette année, les fiches de présentation des formations ont été rénovées pour apporter
aux candidats des informations plus riches et transparentes, particulièrement sur les critères utilisés par les établissements pour analyser les dossiers. En plus d’un site internet dédié, un numéro vert a été mis en place pour les élèves et les familles (08 00 40 00 70).
Lors d’un déplacement à Reims en janvier dernier, la ministre de l’Enseignement supérieur, Sylvie Retailleau, avait répondu aux critiques concernant Parcoursup. Elle avait notamment défendu « des évolutions apportées sur la clarté des informations et la transparence dans la façon d’examiner les dossiers », mais avait également tenu à contredire une idée reçue : « Parcoursup n’est pas un algorithme ». Un processus informatique intervient bien, mais uniquement pour appliquer les priorités fixées par la loi en faveur de l’égalité d’accès et de réussite des étudiants (priorité aux boursiers, bacs pro, bacs techno…). Ce n’est pas la plateforme Parcoursup qui examine les candidatures, mais les enseignants des formations demandées, à partir des critères qu’ils ont définis.
En 2021, près de 16 000 candidats avaient été recensés dans l'académie de Reims. © l'Hebdo du VendrediAu cœur du quartier dynamique de Bezannes, le Groupe AFPAM Formation fête ses 50 années d’expertise en tant que centre de formation dans les métiers du commerce et du tertiaire. Un anniversaire symbolique tant l’établissement est toujours à la recherche de méthodes d’enseignement innovantes pour ses alternants et les entreprises qui lui font confiance !
Créé en 1973 l’Association AFPAM a d if ob pour r obbjject f de e former des jeunes en apprentissage aux métiers du commerce.
L’association s’est développée autour de plusieurs entités telles le CFA Commerce et Distribution, l’École pratique de vente
Après son déménagement rue de Courcelles, st on rm A le Groupe AFP M Fo maati n s’in taalle définitivement à Bezannes en 2014. Le centre accueille chaque année 200 apprenants du Bac à Bac +5 qui trouvent dans ce parc d’affaires situé au sud de Reims toutes les commodités m-merciale.
et l’énergie de ce grand pôle d’activité com
Bénéficiant d’une expérience reconnue territorialement dans les différentes formations qu’il propose en marketing, négociation, maà a m nagement, compptabbilité, l’international ou dans le digital, le Groupe AFPAM Formation n t a m a acccomp p gne ses étuudiants vers u avenir solide avec un taux de réussite et d’intégration jusqu’à 100% par exemple pour les MBA 2022 en Manager du Développement Commercial, tous aujourd’hui en CDI ou auto-entrepreneur à cette date.
A taille humaine, le Groupe AFPAM Formation est un centre qui sait rester proche de ses apprenants
le plus, assurant dès lors une p des parcours et la réussite des é Ce suivi pédagogique efficace de méthodes d’enseignement lien avec des professionnel Venant du monde de l’entrepri teurs assurent un apprentissage
ersonnalisation tudiants. s’accompagne innovantes en s formateurs. a-au plus près de
duit les 300 entreprises partenaires du centre.
ise, ces forma
Enfin, forte de ces 50 ans d’existence, le Groupe AFPAM Formation n’a de cesse d’aller de l’avant en proposant prochainement deux nouvelles formations Bac +3 en Logistique et en Mangement Distribution.
Profitez des Journées portes ouvertes pour vous et de marketing (EPVM), Action Langues ou x ia m n f le Centre de foormatio des commmerc au u de la librairie (CFPL). Fédérer pour devenir
GROUPE AFPAM FORMATION, cette nouvelle dynamique devient un véritable support aux entreprises de la région pour former alternants et apprentis rapidement aptes à intégrer le monde du travail.
et connaît chacun d’eux. Ainsi, l’expertise de son équipe pédagogique est au centre du succès de ses formations. La responsable de formation Isabelle Saillard et ses deux coordinatrices pédagogiques, Mélanie Buyck et Elodie Gauché, sont en charge des recrutements et du suivi des alternants. Elles affinent les profils pour les guider vers les options qui leur correspondent
l’avenir qui attend ces jeunes gens. En complément et toujours avec le même o obbjectif d’une mise en situation concrète, le centre organise chaque année le challenge « AFPAM Deal », un concours de négociation, où chaque candidat doit répondre à une étude de cas pratique en 10 minutes. Les apprenants sont ainsi acteurs de leur formation, ce qui sé-
convaincre que le Groupe AFPAM Formation est fait pour vous.
✔ 4 rue J Juules Méline, Bezannes T Teel.:03.26.86.26.26
wwww..afpam-formation.fr
Procrochhaine JPO : le 29 marrss, le 7 juin, le 5 juillet et le 30 août.
Le hackathon 100 % féminin proposé aux Arts et métiers de Châlons par l'association Elles bougent a révélé les projets innovants d'une trentaine de participantes. Et autant de solutions pour les personnes autistes, l'urbanisme durable ou encore les déserts médicaux.
Des lycéennes et étudiantes champardennaises ont planché, cinq heures durant, sur des projets novateurs lors du challenge Innovatech organisé à Châlons par l'association Elles bougent, ce 28 février. Objectif du concours, dont la finale nationale se tiendra à Paris fin mai : valoriser les métiers de l'ingénierie auprès des jeunes femmes et promouvoir la mixité professionnelle. « Le risque, avec des événements 100 % féminins comme celui-ci, c'est justement de nous isoler et de fermer la porte à la mixité recherchée en entreprise », nuancent toutefois certaines participantes, qui aspirent déjà à des carrières d'ingénieures dans l'aéronautique, le BTP ou encore l'optique.
Parmi les cinq concepts imaginés en équipes pendant le hackathon : « Medic'Bus », une solution qui mêle robotique et numérique face aux déserts médicaux. « Il s'agirait d'un bus itinérant, avec à bord une infirmière et un robot,
expliquent ses instigatrices. On garde une présence humaine, mais le reste serait entièrement automatisé. » Dès lors qu'un patient placerait son bras dans un espace doté de capteurs et de caméras, ledit robot pourrait alors réaliser une prise de sang, analyser le prélèvement puis envoyer de façon dématérialisée les résultats au médecin traitant. Le tout en trente minutes chrono ! « Si besoin, une consultation en visio avec le médecin peut s'organiser in situ. On ne l'a pas testé, mais on sait que la rapidité et la précision de l'aiguille, grâce à la programmation, permettrait de réduire la sen-
Des formations pour aller loin
Des formations pour aller loin
sation de douleur. »
Distingué par le prix « coup de cœur » du jury, « Prox'innov » se penche sur le patrimoine à l'abandon. Il vise à créer des consortiums pour recenser l'ensemble des bâtiments désaffectés et les réhabiliter, plutôt que de construire du neuf. « La friche Bolloré qui abritait une bonneterie à l'époque, près de Troyes, a été fermée, car elle polluait trop il y a une cinquantaine d'années, illustre l'équipe. Notre projet ferait appel à des cabinets d'études, mais aussi aux artisans locaux pour donner une seconde vie à ces espaces. »
Le premier prix du challenge revient à « Sens O pluriel », un casque connecté pour les personnes atteintes de troubles du spectre autistique (TSA). « Leur seuil de tolérance aux bruits ambiants est de 70 décibels, détaillent les lauréates. Les capteurs du casque pourraient enregistrer les bruits, leur intensité, puis renvoyer des ondes par opposition de phase, voire des sons apaisants, via les écouteurs. » Particularité de ce système innovant, il retransmettrait les ondes par le biais de la conduction osseuse, sans impact sur le circuit auditif, donc.
Sonia LegendreLe campus châlonnais des Arts et métiers (rue Saint-Dominique) organise ses portes ouvertes ce samedi 4 mars de 13 h à 17 h 30. Au programme : présentation des formations (de bac+3 à bac+8) par les élèves ingénieurs et leurs enseignants, animations ludiques, visites et démonstrations autour de l'usinage, la fonderie ou la robotique, rencontres avec les associations étudiantes, etc.
Inscriptions sur artsetmetiers.fr ou sur place le jour J. Contact : 03 26 69 26 89.
La Maison familiale et rurale de Vertus ouvrira ses portes le samedi 18 mars, de 10 h à 17 h, sur rendez-vous, au 19, avenue Saint-Vincent. Établissement privé sous statut associatif, elle forme des jeunes de la 4e jusqu’au bac pro dans les domaines de l'agriculture, la vente et les services à la personne, aux entreprises et aux seniors, ainsi que des adultes qui préparent les diplômes d'accompagnant éducatif petite enfance (AEPE) et d'accompagnant éducatif et social (AES). Infos : 03 26 52 22 20 et mfrvertus.com
La Maison familiale et rurale de Gionges organise une journée portes ouvertes le samedi 18 mars, de 9 h à 17 h, au 66, rue de la Crolière. L’établissement propose des formations pour les scolaires, dès la 4e et après le bac, et pour les adultes autour de l’agriculture, la viticulture et l’œnologie. Infos : 03 26 57 54 89 et mfr-gionges.fr
Le lycée professionnel Sainte-Marie d'Épernay propose des journées portes ouvertes le samedi 1er avril, de 9 h à 12 h, au 26, rue du Docteur-Verron. L’établissement privé sous contrat dispense des bacs pro en commerce et vente, métiers de l'accueil, esthétique, cosmétique et parfumerie, optique et lunetterie et en photographie. Infos : 03 26 54 43 98 et esecepernay.fr
Alméa Formations à Châlons
Samedi 4 mars de 9 h à 16 h, le centre Alméa Formations 51 accueillera le grand public sur son site châlonnais (32, rue Benjamin-Franklin) pour lui faire découvrir les cursus proposés via l'apprentissage et la formation continue, dans de nombreux métiers : hôtellerie-restauration, boulangerie, boucherie, coiffure, vente et commerce, maintenance automobile, logistique, etc. Au programme également : visites guidées des infrastructures, démonstrations et échanges avec l'équipe pédagogique. Infos : 03 26 69 25 85, almea-formations.fr.
Ces deux établissements ouvriront leurs portes samedi 4 mars, de 9 h à 12 h pour le lycée Oehmichen (8, avenue du Mont-Héry) et de 8 h 30 à 12 h 30 pour le lycée Talon (105, avenue Daniel-Simonnot). L'occasion de s'informer sur les filières proposées, générales comme professionnelles.
Infos : lycée Oehmichen au 03 26 69 23 00, lycée Talon au 03 26 69 27 99.
Racheté en 2018 à la CCI, le site d'Alméa Formations situé à Vatry s'étend sur près de 1 900 m² et se dotera, à l'horizon 2024, d'une extension de 878 m². Le permis de construire est en cours d'instruction, pour un lancement des travaux espéré dans les mois à venir. Cette plateforme accueille déjà des stagiaires et des apprentis dans les domaines de la logistique, du machinisme agricole, de la fibre optique et, depuis un an, du photovoltaïque. « Elle a été conçue pour la logistique à l'origine, rappelle la directrice générale d'Alméa, Corinne Grosse. On y a développé progressivement d'autres activités, mais nos installations sont désormais saturées. » À tel point qu'il devient compliqué de répondre aux besoins de toutes les entreprises, notamment à leurs demandes de formations au Caces (Certificat d'aptitude à la conduite d'engins en sécurité). Rien que pour la logistique et l'agricole, l'organisme table sur une augmentation de 30 % des apprenants grâce à cette extension. « Elle nous permettra également de proposer de nouvelles formations techniques sur des métiers d'avenir, indique la responsable. On mène par exemple une réflexion sur les détecteurs de réseaux et on aimerait, dans la continuité de la fibre et du photovoltaïque, pouvoir former ceux qui installent et assurent la maintenance des bornes de recharge pour les véhicules électriques. » Le budget alloué au projet, initialement estimé à 1,3 M€, doit être consolidé. « On atteindra sans doute au moins 1,5 M€ pour la construction et l'équipement du site. » Le tout financé par de l'emprunt et une aide de 250 000 euros obtenue il y a plus d'un an grâce au CRSD.
Le site logistique d'Alméa disposera de près de 900 m2 supplémentaires après son extension. © Alméa Formations
L'école in&ma, spécialisée dans la performance industrielle, inaugurait son nouveau campus châlonnais l'an passé. Elle a également tissé des liens avec bon nombre d'entreprises ces dernières années – 1 400 au niveau national, dont plus de 300 implantées dans la Marne - pour proposer des formations en alternance qui correspondent à leurs besoins. « Et dans des secteurs aussi variés que la métallurgie, l'automobile, l'agroalimentaire, la viticulture ou le traitement des déchets », illustre Ferry Quenet, le directeur général. Le cursus de niveau bac + 5 « Manager des achats et de la supply chain », déjà proposé par le centre de formation de la CCI de Normandie, fera son entrée à in&ma cet automne, sur les campus de Châlons et d'Albi dans un premier temps. « La thématique des achats et de la supply chain est ressortie très rapidement de nos échanges avec les entreprises, recontextualise le directeur. La crise sanitaire a causé des difficultés d'approvisionnements et de délais. Beaucoup ont dû réinventer et réorganiser leurs chaînes logistiques et leurs processus d'achats. » Ces problématiques, renforcées par le conflit en Ukraine, poussent aussi certaines petites entreprises à se doter de nouvelles compétences pour leurs achats. L'école espère fédérer une trentaine d'apprenants sur cette formation de deux ans, sachant qu'elle s'adresse aux candidats ayant validé un bac + 3. « Il peut s'agir de jeunes issus des formations techniques, comme la maintenance ou l'usinage, et de formations génériques, voire commerciales ou juridiques. On les recrute sur les salons de l'alternance, dans les établissements du territoire et grâce à du sourcing individuel. » Via des cabinets de recrutement et sur les réseaux sociaux professionnels, notamment.
4 Infos : inema-sup.com.
Plus d’informations au 03 26 84 55 40 - contact@gretamarne.com www.gretamarne.com
faisons évoluer votre avenir
Thomas, 23 ans.
Il va devenir négociateur en biens immobiliers dans un office notarial. Grâce à sa formation au GRETA CFA de la Marne.
Le GRETA CFA de la MARNE forme en contrat de professionnalisation et d’apprentissage dans plus de 20 secteurs différents. Vous trouverez forcément le vôtre !
Acteur incontournable de la formation professionnelle aux métiers de la Construction de la région, BTP CFA Grand Est regroupe 6 Centres de Formation d’Apprentis (CFA) aux Métiers du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP), ainsi qu’un Institut Universitaire des Métiers et du Patrimoine (IUMP). Un large choix d’avenirs possibles à faire dès le collège !
les règles de l’art, et également conduire des engins sur des simulateurs, identifier des risques grâce à la réalité virtuelle, et utiliser des plans numérisés interactifs sur des chantiers. L’impression 3D béton ou l’usage de bio-briques font également partie de cette nouvelle manière d’enseigner aux nombreux q q avantages,tantéconomiqquues quu’écologiquues.
BTP CFA Grand Est forme près de 3 500 apprentis chaque année avec un taux de réussite aux examens de 82,5%. Certains de ces apprentis réalisent des parcours d’excellence qui les conduisent jusqu’aux WorldSkills (OlmpiadesdesMétiers)tellechampion
La construction est un secteur dynamique où les jeunes peuvent rapidement trouver leur place et se réaliser professionnellement. L’entrée en formation, possible a post 3e, donnel chance des’engager très tôt dans une voie porteuse de sens : construire les habitats et les infrastructures utiles à tous. Dans le Grand Est, BTP CFA et ses 7 établissements qui maillent l’ensemble du titiilltdjdè15
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adapter à chaque jeune, à son éifiitéLdiffétit Entre tradition et innovation tltftidiitl
profil et ses spécificités. Les différents sites disposent d’une équipe dédiée dont l’objectif est la sécurisation du parcours de formation des jeunes, et proposent des services d’hébergement, de restauration, et des transports en commun pour se rendre aux CFA. Un contexte d’enseignement épanouissant pour un domaine qui ne l’est pas moins !
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f ancestral et foormation digitale, BTP CFA offrent les conditions optimales entre structures modernes et matériels pédagogiques innovants. La technologie de pointe s’invite ainsi dans l’apprentissage traditionnel des métiers de la construction. Les apprentis peuvent à la fois toucher la matière, apprendre les gestes de la construction dans
satisfaction pour les employeurs concernés. Venez vous renseigner auprès de l’équipe BTP CFA Marne lors de la Journée Portes Ouvertes du samedi 4 mars et même après… vous serez toujours les bienvenus !
(Olympiades des Métiers), tel le champion de France de Menuiserie 2022 Maxime Bloqué. Un tel exemple de réussite démontre que l’apprentissage a acquis une certaine reconnaissance. Mais plusque la reconnaissance, c’est la demande des entreprises et des particuliers pour tous ces corps de métiers i f indispensabbles à la vie quotidienne qu faait le mérite de BTP CFA Grand Est, et de son centre de formation marnais, avec près de 90 % d’insertion professionnelle et autant de territoire, accueillent des jeunes dès 15 ans et jusqu’au Diplôme d’Ingénieur (Bac +5), et se fait fort de les encadrer tout au long de leur apprentissage. Un gage de sérieux et de confiance pour les parents comme pour les apprentis. L’accompagnement socio-éducatif est au cœur des projets de BTP CFA Grand Est, et il se traduit par un suivi personna-
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Pour développer leurs activités et leur attractivité, trois des plus grandes écoles de Reims vont déménager : l'Esi dès la rentrée prochaine, puis l'Esad et Neoma en 2025.
Une extension presque tout en bois pour l'Esi
Pour l'Ecole nationale supérieure d'ingénieurs de Reims, le voyage ne sera pas bien long. Créé en 1981, l'établissement, qui doit sa notoriété à sa formation Emballage et conditionnement, a choisi d'agrandir ses locaux, plutôt que d'en trouver de nouveaux plus spacieux. Installée dans la zone Farman, juste en face de l'IUT depuis 1991, l'école fait donc actuellement construire une extension qui présente la particularité de n’être constituée quasiment que de bois. Imaginée par l'architecte rémois JeanChristophe Thomas, elle se divise en deux parties. La première est bâtie dans le prolongement des locaux existants et abritera un large espace dédié à la vie étudiante et des salles de classe. L'autre, située à quelques mètres, constituera la grande
halle de technologie où les étudiants bénéficieront de l'espace nécessaire pour mener à bien leurs projets industriels. L'ensemble va ainsi permettre de doubler la superficie de l'école au bénéfice de ses 313 élèves répartis dans trois grandes filières : emballage, énergie et génie urbain et environne -
ment. A noter aussi que l'Esi propose un master en Urbanisme durable et aménagement et, depuis 2020, un cycle préparatoire de deux ans, facilitant ainsi l’intégration des élèves de terminale dans le cycle d’ingénieur. L'investissement en faveur de cette extension se monte à 7,2 M€, principalement financés par la région Grand Est, avec le soutien du Grand Reims et de l'Etat.
l'école, sachant que l'effectif pourra être porté à près de 300 étudiants. L'entrée principale s'annonce particulièrement spectaculaire, marquée par une grande verrière, derrière laquelle se trouvera un vaste hall d'accueil. Il permettra d'accéder à une galerie de 400 m² où sera exposé le travail des étudiants à la vue du grand public. Les habitants devraient d'ailleurs pouvoir profiter aussi des lieux qui seront complétés notamment d'un auditorium, mais aussi d'un amphithéâtre... sur le toit. Des équipements conçus pour fonctionner même quand l'école est fermée. Le début des travaux, au coût de 35 M€ environ, financés par le Grand Reims avec le soutien du Grand Est et de l'Etat, est programmé pour octobre prochain, sachant que l'objectif de la nouvelle Esad est d'y faire sa rentrée en septembre 2025.
Neoma voit très grand au Port Colbert
Fondée en 1748, l'Ecole d'art et de design de Reims (Esad) est la doyenne des établissements d'enseignement supérieur de la ville des sacres et l'une des plus anciennes de France dans le domaine artistique. Actuellement, ses locaux se répartissent sur deux sites : ceux vieillissants de la rue Libergier et un autre situé près du Planétarium. Le temps est donc venu de rassembler les forces vives de l'Esad dans un seul et même bâtiment. Dévoilé il y a tout juste un an, le projet se distingue par son audace architecturale. Dessiné par l'architecte parisien Jean-Pierre Lott, le futur bâtiment tout en béton et en courbes, via de nombreuses terrasses végétalisées, doit être l'un des totems du quartier du Port Colbert. Conçu sur cinq niveaux et s'étalant sur une superficie de près de 9 000 m², il doit accueillir dans les meilleures conditions les 235 élèves de
Dans les cartons depuis plusieurs années, la création du nouveau campus de Neoma doit commencer à sortir de terre cette année. Comme l'Esad, c'est dans le quartier du Port Colbert, près des anciens Magasins Généraux que cet immense projet doit voir le jour sur un terrain de 18 000 m². Imaginé par le cabinet d'architectes danois HenningLarsen, il développera 35 000 m² de surface utile au sein de plusieurs bâtiments, tous reliés par un hall dédié à la vie estudiantine. Il disposera notamment de 85 salles de classe, de deux amphis de 120 places, d'un espace événementiel, avec un auditorium d'une capacité de 750 places, divisible en trois parties et accessible depuis l'extérieur de l'établissement. Neoma pourra y accueillir jusqu'à 7 000 élèves, contre 4 700 dans ses actuels locaux, répartis sur deux sites distincts dans le quartier Croix-Rouge. Très ambitieux, ce projet représente un investissement d'environ 110 M€, principalement financés par l'école elle-même, grâce à ses fonds propres et à un prêt, mais aussi avec le soutien du Grand Reims et de la région Grand Est qui ont apporté 10 M€ chacun. Le coup d'envoi du chantier est prévu au
Commissaire de police pendant près de vingt ans, Juliette Monroche enseigne aujourd'hui le français aux collégiens de Fagnières, près de Châlons, et voit l'humain comme le dénominateur commun à ces deux métiers.
Souvent opposés, notamment d'un point de vue politique, les métiers de la police et de l'enseignement ont en commun les préjugés qui leur collent à la peau. « En restant la même personne, je suis passée de l'alcoolofasciste à l'ultra-gauchiste, plaisante Juliette Monroche. On retrouve aussi dans ces professions les valeurs républicaines et la notion de laïcité, auxquelles je suis très attachée. » Dès l'âge de 12 ans, cette Valenciennoise d'origine savait exactement ce qu'elle souhaitait faire plus tard : commissaire de police. « Pour aider les autres et commander les hommes. J'ai toujours eu la fibre féministe. J'ai fait Sciences Po et une maîtrise de droit privé, tout en passant les concours. » S'ensuivent deux ans à l'école de Saint-Cyr-au-Mont-d'Or et un premier poste dans le Pas-de-Calais. « J'avais 25 ans, j'étais la première femme commissaire de police dans cette unité. J'ai adoré mon travail, même s'il demandait beaucoup de disponibilité. On est dans l'action, au contact des gens, en prise directe avec la réalité de ce qu'ils vivent au quotidien. »
Les mutations la mènent, tout comme son époux, lui aussi dans la police, vers d'autres commissariats du Nord. Puis en région parisienne, où elle est nommée cheffe de circonscription et déléguée aux violences faites aux femmes.
Après une étape à Budapest, elle rejoint Marseille. Jusqu'au burnout. « J'en parle librement, y compris avec mes élèves, assure Juliette, ellemême maman de deux ados. Je ne me retrouvais plus dans le métier. L'arrivée des réseaux sociaux a engendré une immédiateté de l'in-
formation, des interventions. On avait de plus en plus d'interférences avec le politique. Et de moins en moins de frontières entre vie pro et perso. » Malgré ce surmenage, elle gère de front sa vie de famille, ses semaines de 50 heures et la préparation du Capes (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement du second degré), qu'elle obtient.
Elle est mutée au collège Louis Grignon de Fagnières en 2018 et y enseigne le français depuis. « Capter l'attention d'une classe nécessite
énormément d'énergie. C'est même plus fatigant que dans la police ! Mais j'adore mes élèves, ils m'apportent beaucoup. Je suis transparente avec eux. Ils savent que j'ai été commissaire. Je leur explique que le fait d'avoir un diplôme, quel qu'en soit le niveau, permet de faire ce qu'on aime. Certains me demandent si j'ai déjà tiré sur des gens, d'autres m'interrogent sur ce que j'aime lire. » Car Juliette a aménagé dans sa salle de cours une bibliothèque avec ses propres livres, qu'elle prête à loisir aux collégiens. « Je suis convaincue du bien-fondé de l'innovation pédagogique, sourit-elle. Je leur propose un système de classe flexible pour qu'ils s'installent selon leur envie d'être seul ou à plusieurs. Je leur laisse le choix des exercices, notamment les auto-dictées participatives, pour qu'ils soient actifs de nos cours. » Bien sûr, cette femme de caractère s'est donné les moyens de changer de cap professionnel. Elle voit également le burnout comme l'occasion de rebondir et conseille, pour une reconversion réussie, de prendre le temps de s'informer et de mûrir sa réflexion. « Quitter ses repères pour aller vers l'inconnu impose de se remettre en question et d'acquérir de nouvelles connaissances. Le plus important, c'est de s'interroger sur ce à quoi on aspire, en étant sincère avec soi-même. Et de miser sur ses passions pour retrouver l'énergie et le positif qui nous aideront dans cette démarche. » Bel exemple de cheminement.
Sonia Legendre« Miser sur ses passions »
L’Anti-guide du vin », « Pourquoi boit-on du vin ? », « À la recherche du vin perdu »…
C’est peu dire que Fabrizio Bucella s’est fait une spécialité des ouvrages sur le fruit de la vigne. Pourtant, à l’origine, cet Italien, résident belge et francophile, est professeur de physique et de mathématiques. À l’université libre de Bruxelles, il se consacre aux domaines de la mathématique de l’incertitude et des lois de la logique du hasard. Par la suite, Fabrizio Bucella devient sommelier et zythologue (spécialiste de la bière) et lance son école d’œnologie dans la capitale belge. À l’université de Reims, il enseigne même le droit du vin et des spiritueux. Et comme ce n’était pas suffisant pour cet hyperactif, le professeur se mue en écrivain, de livre donc, mais également de chroniques, notamment dans le journal « Le Point ». Avec humour et érudition scientifique, il s’attache à démystifier le vin en prodiguant ses sagaces conseils, racontant petites et grandes histoires liées à cette boisson, devenue un véritable véhicule social. Lors de sa venue à Épernay, il présentera, à la librairie l'Apostrophe, son dernier ouvrage, « Les tribulations œnologiques du Professeur Bucella », un recueil de ses succulentes chroniques publiées dans l’hebdomadaire français depuis janvier 2020. Fabrizio Bucella en profitera aussi pour revenir sur un fameux épisode de l’histoire viticole française : la querelle entre les partisans des vins de Champagne et ceux de Bourgogne, à la cour de Louis XIV.
4 Rencontre avec Fabrizio Bucella, samedi 4 mars, à 15 h 30, librairie l’Apostrophe, 35 bis, rue Saint-Thibault, Épernay. Infos et réservations : 03 26 55 59 20
SPECTACLES
SAMEDI 4 MARS
DANSE : « GARÇONNES » - MJC D’AŸ
La femme des années 1920 cherche à mener une vie émancipée du carcan masculin. Les artistes, en première ligne de ce mouvement féministe, profitent et parfois abusent de ce que va offrir cette période si faste. Le monde de la nuit et ses excès seront leur quotidien jusqu’à l’overdose… Par la compagnie Les Ponctuelles.
À 19 h, salle Sabine-Sani, MJC d’Aÿ. Durée : 1 h. Tarifs : 5 et 8 € Infos : mjc-ay.com
JEUDI 16 MARS
JOHNNY SYMPHONIQUE - LE MILLESIUM
Luce vit cloîtrée chez elle sous la férule de sa mère. Lorsque son institutrice Solange lui ouvre les portes de l’école, la jeune fille découvre un monde fait de possibilités infinies. L’héroïne surprotégée par sa maman doit alors faire un choix effrayant : le repli ou l’ouverture. Entre projections vidéo, mimes, danse et marionnettes, ce conte librement inspiré du roman « Les Demeurés » offre un voyage souvent silencieux, intime et onirique sur l’exclusion, la différence, le handicap, l’éducation et l’ouverture. Dès 7 ans, par la compagnie Marizibill.
4 « Luce », mercredi 8 mars, à 15 h, théâtre Gabrielle-Dorziat, Épernay. Durée : 50’. Tarifs : 6 et 10 €. Infos : lesalmanazar.fr
Retrouvez la voix de Johnny Hallyday, issue de ses plus belles captations live, accompagnée d’un orchestre symphonique, du chœur mené par Yvan Cassar et d'une scénographie léchée.
À 20 h, Le Millesium, Épernay. Tarifs : de 40 à 85 € Infos : lemillesium.com
LOISIRS
SAMEDI 4 MARS
SAMEDI COMPTINES - MÉDIATHÈQUE
D’ÉPERNAY
Petites histoires, comptines et jeux de doigts pour éveiller l’imaginaire des moins de 3 ans par Ana, bibliothécaire pôle jeunesse.
À 10 h 30, médiathèque Simone-Veil, 1, rue du Professeur-Langevin, Épernay. Durée : 30’. Infos : mediatheque.epernay.fr
MANGA CLUB - MÉDIATHÈQUE D’ÉPERNAY
Un club pour les ados et adultes fans de culture japonaise.
À 10 h, médiathèque Simone-Veil, 1, rue du Professeur-Langevin, Épernay. Durée : 2 h. Infos : mediatheque.epernay.fr
FOOTBALL : ÉPERNAY - THAON-LES-VOSGES
L’équipe de football du Racing club Épernay Champagne reçoit l’Entente sportive thaonnaise, dans le cadre de la 16e journée du championnat de National 3. À 17 h, stade Paul-Chandon, allée de Cumières, Épernay. Tarif : 3 €
DIMANCHE 5 MARS
RUGBY : ÉPERNAY - PARIS XV
Le Rugby Épernay Champagne reçoit le Racing club Paris XV dans le cadre de la 16e journée du championnat de Fédérale 3. À 15 h, stade Paul-Chandon, allée de Cumières, Épernay. Payant.
MERCREDI 8 MARS
ATELIER D’ÉCRITURE
MÉDIATHÈQUE D’ÉPERNAY
A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, rendez leur hommage par écrit. À partir de 14 ans.
À 17h30, médiathèque Simone-Veil, Épernay.
Infos : mediatheque.epernay.fr
CHINER
SAMEDI 4 MARS
BOURSE PUÉRICULTURE - PLIVOT
La commune de Plivot, située à 10 km à l’ouest d’Épernay, accueille une vente de vêtements et chaussures pour enfants, vêtements de grossesse, jouets et matériel de puériculture.
De 9 h à 13 h, salle polyvalente, 9 rue Jeanne-d’Arc, Plivot.
Infos : 06 07 38 60 40
DIMANCHE 5 MARS
BROCANTE - ÉPERNAY
L’esplanade Charles-de-Gaulle d’Épernay accueille l’une des plus grandes brocantes de la ville.
De 6 h 30 à 18 h 30, l’esplanade Charles-de-Gaulle, Épernay.
Infos : 06 07 38 60 40
Comme tous les premiers dimanches du mois, l’entrée au musée d’Épernay est gratuite. Ce 5 mars, deux activités numériques seront proposées en plus de la visite libre. À 10 h 45 et 14 h 15, il sera possible de découvrir l’histoire de l’archéologie en Champagne à l’aide d’un écran tactile lors d’une visite guidée sur réservation. À 16 h, une animation en réalité virtuelle sera proposée en accès libre. Équipé d’un casque, le public pourra remonter le temps et découvrir l’hypogée La Grifaine de Chouilly, cette sépulture collective du Néolithique.
4 Musée du vin de Champagne et d’archéologie régionale, 13, avenue de Champagne, Épernay. Infos et réservation : 03 26 55 03 56 et billetterie.musee@ville-epernay.fr
33, boulevard de la Motte - Épernay - 03 26 51 82 42 Du vendredi 3 au mardi 7 mars 2023
SUPERASTICOT dim 10H45
CREED III ven 14H20 - 20H30 sam 16H10 - 18H55 21H40 dim 14H20 - 17H15 20H30 lun 14H20 - 20H30 mar 14H20 - 20H30
LA SYNDICALISTE ven 17H15 - 20H30 sam 13H50 - 18H55 21H40 dim 14H20 - 17H15 20H15 lun 14H20 - 20H15 mar 17H15 - 20H15
THE SON ven 14H20 - 20H30 sam 13H50 - 18H55 dim 14H - 17H15 20H30 lun 14H2020H15 14H20 - 17H15 20H15
POUR LA FRANCE ven 14H20 sam 21H40 dim 20H30 lun 17H15 mar 14H20 - 20H30
LA FAMILLE ASADA ven 17H15 dim 20H15 lun 14H20 - 17H15 mar 20H15
À LA BELLE ÉTOILE ven 14H20 - 17H15 sam 13H50 dim 10H30 - 14H40 lun 20H30 mar 14H20 - 17H15
THE FABELMANS ven 14H - 17H15 20H sam 16H10 - 20H dim 19H50 lun 14H - 17H15 mar 14H - 19H50
LES CHOSES SIMPLES ven 17H15 sam 13H50 - 16H25 dim 10H45 - 17H40 lun 17H1520H30 mar 14H20 - 17H15
ANT-MAN ET LA GUÊPE : QUANTUMANIA ven 17H15 - 20H30 sam 16H10 - 21H40 dim
14H20 - 20H15 lun 20H15 mar 17H15
UN HOMME HEUREUX sam 13H50 mar 17H15
TITANIC ven 14H20* sam 20H* dim 16H45* lun 14H20*
ALIBI.COM 2 ven 14H20 - 20H45 sam 14H10 - 16H25 19H30 - 21H40 dim 10H30 - 14H40
17H40 lun 17H15 - 20H30 mar 20H30
SACRÉES MOMIES sam 16H25 dim 10H45 - 14H40
ASTÉRIX ET OBÉLIX : L’EMPIRE DU MILIEU ven 20H45 sam 16H25 - 19H15 dim 10H30 -
17H40 lun 14H20 - 17H15 mar 14H20 - 17H15
PATTIE ET LA COLÈRE DE POSÉIDON sam 13H50 dim 10H30
*VOST
Les astres vous offriront de belles opportunités d’évolution. Se lancer vers quelque chose de nouveau vous parait prématuré ? Réexaminez vos actions passées, les succès et les échecs, cela vous ouvrira de nouvelles perspectives.
Les astres généreront du renouveau dans votre travail, et votre challenge sera de faire le bon choix afin d'atteindre vos objectifs sans vous disperser inutilement. Changer n’est pas votre fort. Faites le en douceur.
Il y a des changements dans l'air, qui troubleront vos habitudes mais auxquels vous ne pourrez rien. Agissez avec souplesse et diplomatie. De nouveaux contacts pourront naitre, des négociations s’accélérer. C’est en vous confrontant aux autres qu’un nouvel équilibre s’instaurera.
Les amoureux pourront compter sur le soutien des astres pour maintenir longtemps leur idylle sur un petit nuage. Ils ne devront pas négliger pour autant leur activité professionnelle. Gardez un calme olympien s'il y a de l'effervescence à la maison ou au travail.
La vie est belle et l’amour stimulant. Vous ne regardez pas à la dépense quand il s'agit d'aimer. Faites table rase de ce qui vous entrave, réévaluez vos priorités et soyez celui ou celle que vous désirez être. Tordez le cou à votre pessimisme.
Vous êtes positif (ve), ouvert(e) et généreux (se), parfois à votre détriment. Mettez vos finances au clair et négociez si nécessaire quelques accords avec votre banquier. Il sera en de très bonne disposition à votre égard.
Vos projets mettent du temps à se mettre en place ? Ne piaffez pas d’impatience, ne sautez pas les étapes et ne brusquez rien. De nouvelles opportunités sont en gestation.
Votre relation affective est fragilisée par le comportement inconstant de votre conjoint (e). Vos projets auront les plus grandes chances de réussir. Soyez sur le qui-vive. Il y a du changement dans l’air.
Vos centres d’intérêt se multiplient. Les portes du succès s’ouvrent devant vous. Vos projets iront bon train. Les circonstances actuelles sont favorables à votre progression professionnelle.
Tout va pour le mieux côté cœur. Votre originalité paie. L'audace et l'imagination sont vos atouts majeurs. Vous apporterez la paix dans un conflit en trouvant des solutions acceptables par tous.
Vous aves envie de vous évader, or c’est impossible car vous êtes retenue par des engagements. Au travail, vous réussissez à régler les problèmes en suspens.
Moments grisants dans les bras de qui vous savez. Au bureau, on vous laisse de plus en plus de liberté. On cherchera à vous séduire, cela vous enchante, mais y céderez vous ?
Un vice caché est un défaut qui rend le bien acheté impropre à l'usage auquel on le destine. Le défaut doit exister au moment de l’achat, mais être non apparent, ne pouvant être découvert qu’avec une expertise ou un démontage. Il doit rendre le bien impropre à l'usage auquel on le destine ou diminuer très fortement son usage. La garantie des vices cachés s'applique quel que soit le bien acheté (neuf ou d'occasion), mobilier ou immobilier et quel que soit le vendeur (professionnel ou simple particulier). La responsabilité du vendeur est engagée si le consommateur apporte la preuve de l’existence du vice caché. De plus, le vendeur qui avait connaissance de l’existence du vice caché se rend responsable d’une pratique trompeuse destinée à dissimuler le défaut. Dans ce cas, le consommateur est en droit de lui réclamer des dommages et intérêts, en plus du remboursement de l’achat.
CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com