Se nourrir en préservant notre environnement

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Se nourrir

en prĂŠservant notre environnement


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Sommaire 1. Nourrir, un enjeu p.4 2. Les "loca-Terre" p.6 3. Un agriculteur responsable p.7 4. L’agriculture en France p.8 5. Pour une agriculture durable p.9 6. Le sol : support indispensable du végétal p.10 7. L’innovation - La recherche p.11 8. Ferme DEPHY pour de nouveaux défis ! p.12 9. Les productions en France p.13 10. Plan ECOPHYTO II p.14 11. Les établissements d'enseignement agricole p.16

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NOURRIR, UN ENJEU 1

Une population mondiale en pleine croissance. Chaque jour, 200 000 nouvelles personnes deviennent «LocaTerre» soit 2,4 nouveau-nés par seconde. Nous sommes de très grands consommateurs. Actuellement dans le monde, nous c o n s o m m o n s e n m oye n n e 3 3 4 k i l o s d e nourriture par an.

Un enjeu : Produire davantage avec de moins en moins de surfaces.

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220 ha de terres agricoles en France sont perdues chaque jour, soit un équivalent de 4 exploitations. 25 000 : C’est le nombre de baguettes que permet de réaliser un hectare de blé. 7 700 : C’est le nombre de paquets de pâtes de 500 g que permet de fabriquer un hectare de blé. 140 000 : C’est le nombre de verres de bière que permet de produire un hectare d’orge. 150 000 : C’est le nombre de biscuits petit beurre que permet de créer un hectare de blé.


7 700 paquets de pâtes

1 ha de blé

25 000 baguettes

150 000 biscuits petit beurre

1 ha d’orge

140 000 verres de bière

Exemple de production d'un hectare de blé ou d'orge

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Les "loca-Terre" 2

L’homme a créé l’agriculture pour se nourrir. Elle est indispensable et doit aujourd’hui prendre en compte de nouveaux défis. L’agriculture doit changer. Nous sommes 7 milliards d’humains sur terre. le besoin en alimentation augmente en même temps que la population. Aujourd’hui des hommes et des femmes n’ont pas accès à une alimentation correcte, cela représente 1 milliard de mal nourris. De plus le climat change, nous devons nous adapter pour continuer à satisfaire et répondre aux différents besoins. • Satisfaire en quantité et en qualité les besoins alimentaires de la population mondiale.

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• Tenir compte du changement climatique, qui rend la production parfois aléatoire à cause des tempêtes, inondations, réchauffement... • Produire de façon durable afin de préserver nos terres pour les générations futures. • Diminuer la production de gaz à effet de serre. • Anticiper pour faire face à l’épuisement des énergies fossiles : pétrole, charbon, gaz... • Tenir compte de la baisse des ressources en eau.


UN agriculteur responsable 3

L’agriculteur peut être propriétaire ou valoriser des terres en fermage (c’est-à-dire en location). En fonction de la taille de son exploitation, il peut embaucher des salariés, saisonniers ou permanents. Un métier varié Travail de la terre, techniques d’élevage, conduite et réparation des équipements agricoles, gestion comptable et administrative, application de la Politique Agricole Commune (PAC)... font partie du quotidien d’un agriculteur. Un rôle de chef d’entreprise Quelle que soit la taille de son exploitation, l’agriculteur doit répondre aux mêmes questions qu’un chef d’entreprise. Comment respecter l’environnement ? Quelles productions choisir ? Que désire le consommateur ? Où investir : machines agricoles, équipements, bétail... ? Comment sélectionner des fournisseurs ? Autant de questions pour anticiper l’avenir et respecter les critères des labels de qualité et les normes européennes. Diversifier l’activité Pour maintenir ou améliorer ses revenus, l’exploitant peut développer le tourisme rural : accueil à la ferme, ferme-auberge, vente de produits bio, visites pédagogiques de l’exploitation et du terroir...

Compétences indispensables : «Technique et sens tactique» L’amour de la nature et du travail au grand air ne suffit pas pour devenir agriculteur ! Le métier est parfois rude et ne s’improvise pas. La vie de l’exploitation nécessite un savoir-être et un savoir-faire de plus en plus technique, notamment en commerce et gestion. Sens de l’adaptation En agriculture, il faut s’adapter rapidement aux nouveaux modes d’alimentation et se positionner dans les nouveaux créneaux, le bio par exemple. Mais, pour obtenir une production en limitant les engrais chimiques, il faut connaître les produits, les méthodes, faire une analyse globale de la situation, faire appel à des spécialistes et utiliser des logiciels spécialisés en gestion d’exploitations.

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2 milliards 6 millions 15 millions 19 millions L'ÉLEVAGE EN FRANCE

L’agriculture en France 4 La France est le premier pays agricole européen. 18% de la production agricole européenne est réalisée en France. 53% de la superficie du territoire est utilisée pour l’agriculture, soit 27 millions d’hectares. 3,4% de la population active travaille dans l’agriculture, soit 1,3 millions de travailleurs. 514 000 exploitations agricoles en France. Leur nombre a baissé de moitié en 20 ans.

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Tous les 10 ans la surface agricole diminue de l’équivalent d’un département, la surface est utilisée pour construire des maisons, des routes, ... Il y a 19 millions de vaches, 6,9 millions de moutons, 15 millions de porcs, 2 milliards de volailles.


Pour une agriculture durable 5 L’Europe encourage et oblige les initiatives pour une agriculture durable, c’est-à-dire plus respectueuse de l’environnement. Pour cela, elle a mis en place des directives et des aides dans le cadre de la PAC (Politique Agricole Commune) dès 1992. La France, à travers son plan national de développement de l’agro-écologie, a pris en main cette question en décidant de s’engager sur différents sujets : formation, accompagnement des agriculteurs, soutiens financiers … Le projet agro-écologique vise ainsi à produire autrement en repensant nos systèmes de production. C’est un changement des pratiques agricoles, mais c’est aussi une autre façon de penser, une mutation progressive mais profonde. De nombreux pionniers ont montré que cela était possible. L’enjeu aujourd’hui est de mettre en mouvement l’ensemble des agriculteurs et des acteurs du secteur, pour qu’une majorité des exploitations françaises soient engagées dans l’agro-écologie à l'horizon 2025.

Le plan écophyto, mis en place suite au grenelle de l'environnement, et l'application de la directive européenne "Paquet pesticides" de 2009 se déclinent en 6 axes : ↘Faire évoluer les pratiques et les systèmes agricoles, ↘Amplifier les efforts de recherche, développement et innovation, ↘Réduire les risques et les impacts des produits phytopharmaceutiques sur la santé humaine et sur l’environnement, ↘ Supprimer l’utilisation de produits phytopharmaceutiques partout où cela est possible dans les jardins, les espaces végétalisés et les infrastructures, ↘ Renforcer l’appropriation du plan par les acteurs des territoires et des filières tout en veillant à la cohérence des politiques publiques, ↘ S’appuyer sur une communication dynamique et des approches participatives, pour instaurer un débat citoyen constructif relatif aux problématiques liées aux produits phytopharmaceutiques.

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Le sol : support indispensable du végétal 6

Le sol correspond à la croûte terrestre de notre planète : il a différentes formes selon le lieu et son historique : cailloux, roche, terre arable. Le sol est l’outil principal de l’agriculture. Sans lui, l’agriculture n’est pas possible, sauf dans le cas des systèmes hors sol qui essaient de s’affranchir de la nature : cultures hydroponiques. En fait le sol a beaucoup de fonctions fo n d a m e n t a l e s p o u r l’a g r i c u l t u re e t l e fonctionnement des écosystèmes : -Il stocke des éléments minéraux pour nourrir les plantes, -Il sert de réservoir à carbone qui limite la pollution de notre planète. -Il filtre pour nous donner une eau de qualité, -Il sert de logement pour de nombreuses espèces vivant dans le sol,

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-Il fabrique des éléments minéraux pour les plantes grâce à la matière organique qu’il contient, -Il permet de retenir l’eau pour la culture. Mais afin de fonctionner correctement le sol doit être respecté. 1- Pour cela il ne doit pas être recouvert de bitume, béton…, le rendant alors inapte à la présence de vie. 2- Le sol doit être aéré et ne pas être trop tassé afin qu’il puisse contenir de l’air, de l’eau, des micro-organismes, tous nécessaires à la vie du sol.


L’innovation La recherche 7

L’innovation est très importante en agriculture. Les nouvelles technologies et la Science sont aujourd’hui présentes partout. Le matériel a considérablement évolué, depuis l’apparition des premiers tracteurs, il y a environ un siècle. L’évolution a été constante, aujourd’hui, ces derniers sont entièrement gérés électroniquement, et guidés par satellite. Ils peuvent ainsi suivre une trajectoire, sans l’intervention du conducteur ! De nouveaux moyens de gestion des cultures sont apparus comme le goutte à goutte, le désherbage localisé, les logiciels de calculs des contraintes permettant de gérer précisément les besoins des plantes. Les drones trouvent aussi leur place dans l’agriculture en cartographiant les parcelles afin de localiser et moduler les interventions. En complément du travail de l’Homme, les n o u ve l l e s t e c h n o l o g i e s s o n t é g a l e m e n t présentes dans les fermes d’élevages : des robots sont aujourd’hui capables de traire des vaches, de s’occuper de leur bien-être et les nourrir en fonction de leurs besoins. Cela permet d’optimiser au mieux les ressources alimentaires.

La recherche est très importante dans le milieu agricole. Elle permet de comprendre les écosystèmes, de créer de nouvelles variétés, plus productives, moins gourmandes en eau, ... afin de répondre à la demande de plus en plus importante en nourriture, tout en polluant moins et en préservant l’environnement. La recherche est variée, en particulier au niveau du blé, du maïs et du colza mais concerne également les espèces végétales rustiques et les productions animales. Une meilleure compréhension et sélection génétique sont réalisées pour permettre d’augmenter la production des années à venir. Pour cela, il existe des instituts de recherche publique : INRA, INSERM, CNRS, universités ... ou des entreprises privées : Bayer, Monsanto, BASF ... qui produiront des nouvelles semences ou des nouveaux produits pour le développement durable.

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Ferme DEPHY pour de nouveaux défis ! 8

Amorcé en 2009 dans le cadre du plan «Ecophyto», le réseau des fermes «DEPHY» vise trois objectifs complémentaires : → Démontrer que réduire l’utilisation de produits phytos sur des exploitations est possible, → Expérimenter des systèmes de culture économes en produits phytos, → Produire des références sur les systèmes économes en produits phytos. Ce réseau ainsi dédié à la démonstration, à l’expérimentation et à la production de références s’appuie sur un ensemble d’exploitations agricoles et sur un réseau de sites expérimentaux. En 2009, un premier réseau de 180 exploitations agricoles a vu le jour. En 2011, le réseau s’est étendu et comprenait 1 200 fermes. Aujourd’hui et depuis 2012, le projet concerne 1 900 exploitations. 187 ingénieurs, 280 organisations professionnelles agricoles, 6 filières (grandes cultures, élevage, arboriculture, ...) travaillent sur le projet. L’exemple de la Bourgogne Les Chambres d’agriculture de Bourgogne en collaboration avec l’INRA, les lycées agricoles de Dijon-Quétigny et Auxerre - La Brosse, le CETIOM, Arvalis – Institut du végétal, le SEDARB, la FRCUMA, les GEDA, GDA, CETA, AgroSup Dijon expérimentent des systèmes de culture dans le cadre du programme régional « Systèmes de culture innovants, Ecophyto, zéro herbicide ? ».

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Les objectifs sont de tester au champ, chez des agriculteurs, la faisabilité de systèmes de culture innovants, en particulier pour la maîtrise de la flore adventice, et de faire connaître et partager les connaissances sur les systèmes et leurs performances économiques, environnementales et sociales. 13 systèmes co-construits avec les agriculteurs sont testés en Bourgogne dans différentes situations. Ils participent au réseau expérimental du RMT (Réseau Mixte Technologique) Systèmes de culture innovants. Chez Maya & Ueli Baumgartner (Chevenon, Nièvre), a l’issue de 5 années d’expérimentation, la flore adventice est maîtrisée avec un Indice de Fréquence de Traitement herbicide de 1,2 et un Indice de Fréquence de Traitement total de 2 à l’échelle pluriannuelle du système (soit - 62 % de l’Indice de Fréquence de Traitement de référence régional) tout en maintenant le rendement et la qualité.


Les productions en France 9 La France produit en grande quantité des céréales, des protéagineux et des oléagineux. Céréales : - Blé : farine, semoulerie et alimentation, - Orges : brasserie, alimentation animale, - Maïs : alimentation humaine et animale, production de «plastique» et de biocarburant. Oléagineux : Colza et tournesol : huiles, biocarburants et alimentation. Protéagineux : Pois, féveroles : protéines destinées à l’alimentation. La France est aussi reconnue mondialement pour sa production de vin de qualité.

La production animale est très présente en France. -Élevage laitier : vaches, chèvres, brebis… -Élevage destiné à la production de viande : bœufs, poulets, veaux, dindes, canards, porcs… -Pisciculture et ostréiculture : truites, alevins, huîtres… La France produit aussi des fruits et légumes de pleins champs : -Fruits : tomates, fraises, pommes, poires, abricots, citrons, cerises, melons… -Légumes : pommes de terre, betteraves, haricots verts, choux, salades, poireaux, carottes…

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Plan ECOPHYTO II 10

La réduction de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques demeure nécessaire, au regard de l’évolution des connaissances depuis 2008 sur leurs effets sur la santé humaine, en particulier celle des utilisateurs, mais aussi sur celle de l’environnement, de la biodiversité et des services écosystémiques qui en dépendent. Par ailleurs, il est nécessaire, pour garantir sa compétitivité future, que notre agriculture sorte de l’impasse constituée par une dépendance aux produits phytopharmaceutiques, car la mise sur le marché de ces produits ne cessera de devenir plus exigeante, complexe et coûteuse. En effet, on observe une diminution du nombre de matières actives disponibles, un développement des phénomènes de résistance et des difficultés de trouver de nouvelles matières actives qui répondent aux exigences éco-toxicologiques et toxicologiques actuelles. Toutes ces raisons nous poussent à poursuivre cet objectif de réduction d’utilisation des produits phytopharmaceutiques, tout en limitant les effets de rupture d’égalité entre les pays, qui amènent des distorsions de concurrence.

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Initié en 2008 suit au Grenelle de l’environnement et s’inscrivant dans le cadre de la directive européenne 2009/128, le premier plan Ecophyto avait pour objectif de diminuer de 50% l’usage des produits phytopharmaceutiques d’ici 2018. La remise du rapport d’évaluation par le député D. Potier en décembre 2014 a mis en évidence les difficultés d’atteindre un tel résultat et conduit à une révision de ce plan. Ainsi, les orientations ont été redéfinies selon une trajectoire en deux temps : une réduction de 25% d’ici à 2020 reposant sur l’optimisation des systèmes de production puis une réduction de 25% supplémentaire à l’horizon 2025 qui sera atteinte grâce à la conception de nouveaux systèmes de cultures.


Un renforcement de la surveillance de la contamination des denrées végétales, de l’eau, des sols et de l’air sera mis en oeuvre. Le plan Ecophyto II consolide les actions structurantes qui ont été mises en place entre 2009 et 2014, grâce à une forte mobilisation du monde agricole, et reconnues sur les différentes parties prenantes du plan, tel que le Certiphyto. D’autres outils seront mis en place, tels que les certificats d’économie de produits phytopharmaceutiques qui visent à inciter les distributeurs de produits phytopharmaceutiques à promouvoir ou à mettre en oeuvre auprès des utilisateurs professionnels des actions permettant de réduire l’utilisation, les risques et les impacts des produits phytopharmaceutiques. Les premiers résultats du réseau de fermes pilotes, dit réseau "DEPHY" ont c o n fo r t é l a p o s s i b i l i t é d e c o m b i n e r l a réduction de la dépendance aux produits phytopharmaceutiques (réduction moyenne de 12%) et la performance économique des exploitations. Désormais, le principal défi est de valoriser et de déployer auprès du plus grand nombre les techniques et systèmes économes et performants qui ont fait leur preuve au sein de ce réseau de démonstration et d’expérimentation notamment en passant de 2000 exploitations à 3000 (Retrouvez plus d’informations sur le Portail de la Protection Intégrer des Cultures). Dans le cadre de la nouvelle région, une rénovation des bulletins de santé du végétal (BSV) sera entreprise afin de renforcer la capacité prédictive et l’autonomie décisionnelle des exploitants. Une des priorités du plan Ecophyto II est de renforcer l’accompagnement des gestionnaires des espaces végétalisés et des infrastructures des villes et des jardiniers amateurs à se passer de produits phytopharmaceutiques à l’horizon 2017, conformément

à la loi du 6 février 2014, dite "loi Labbé", complétée par l’article 68 de la loi 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte. La déclinaison régionale du plan Ecophyto permettra de mobiliser les acteurs locaux et de prendre en compte les spécificités agronomiques, socio-économiques et organisationnelles propre au territoire de Bourgogne Franche-Comté.

Chaque année, un appel à projet pour des actions de communication et sensibilisation régionale sur la réduction d’utilisation des produits phytopharmaceutiques sera lancé pour la nouvelle région Bourgogne - Franche-Comté.

Contact Aude TRICHARD Chef de projet du plan ECOPHYTO à la DRAAF de Bourgogne - Franche-Comté

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Les établissements d'enseignement agricole 11

Les Établissements publics locaux d’enseignement et de formation professionnelle agricoles Côte d'or 21

Saône et loire 71

↘ EPLEFPA de Beaune (Beaune VITI AGRO CAMPUS) LEGTPA de Beaune 16, Avenue Charles Jaffelin BP 10215 21206 BEAUNE Cedex

↘ EPLEFPA de Fontaines-Sud Bourgogne LEGTA de Fontaines 10 La Platière 71150 FONTAINES

↘ EPLEFPA de Quetigny/ Plombières lès Dijon LEGTPA «Olivier de Serres» 21 Boulevard Olivier de Serres BP 42 21801 QUETIGNY Cedex ↘ EPLEFPA La Barotte – Haute Côte-d’Or LEGTA La Barotte – Haute Côte-d’Or Route de Langres 21400 CHATILLON-SUR-SEINE

Nièvre 58 ↘ EPLEFPA de Nevers-Cosne-Plagny LEGTA de Nevers-Cosne 243 Route de Lyon 58000 CHALLUY ↘ EPLEFPA du Morvan LEGTA du Morvan Rue Pierre Mendès France 58120 CHATEAU-CHINON

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↘ EPLEFPA de Tournus LPA de Tournus Les Perrières BP 99 71700 TOURNUS ↘ EPLEFPA d’Etang sur Arroux LPA de VELET 71190 ETANG SUR ARROUX ↘ EPLEFPA de Mâcon-Davayé LEGTA « Lucie Aubrac » Les Poncétys 71960 DAVAYE

Yonne 89 ↘ EPLEFPA des Terres de l’Yonne LEGTPA d’Auxerre-La Brosse 89290 VENOY


Exploitation agricole de la Barotte

Exploitation agricole de la Brosse Auxerre

Atelier technologique Agroalimentaire de Plombières

YONNE Exploitation viticole de Cosne-sur-Loire

Côte d'or Dijon

Exploitation agricole de Tart-le-Bas

Nièvre Exploitation horticole de Plagny

Nevers

Exploitation viticole de Beaune Sâone-et-loire Exploitation agricole de Challuy

Mâcon

Exploitation agricole de Fontaines Exploitation piscicole de Chateau-Chinon

Exploitation horticole de Tournus

Exploitation agricole de Charolles

Exploitation agro-viticole de Davayé

Réseau des exploitations agricoles et ateliers technologiques de Bourgogne Aménagement paysager

Bovin lait

Bovins viande

Agroalimentaire

Chèvres laitières

ovins viande

Produits transformés (poissons)

Pépinière

Horticulture Volailles Juments laitières Viticulture

Produits transformés (Lait de jument)

Pisciculture Vinification

Grande culture Fromage

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Contributeurs 1 équipe des étudiants d’APV (Agronomie Productions Végétales) du lycée agricole de Quetigny : Pierre Bouvret, Walter Kim, Baptiste Oudin ,Benjamin Paput, Mathieu Puiseux. 2ème équipe d’APV : Thomas Bernolin, Benjamin Dubois, Valentin Girardot, Quentin Virely. Bruno Cogourdant, adjoint à la chef du SRFD DRAAF. Franck Lirzin, animateur des exploitations de lycée agricole public Certiphyto. Raphaël Moretto, Professeur d'éducation socioculturelle LEGTA de Quetigny, Sophie Magniez, Chargée d'études CCSTI de Bourgogne Serge Waszak, Directeur du CCSTI de Bourgogne ère

graphisme www.klauswalbrou.fr

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Ne pas jeter sur la voie publique


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