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Inki

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Future national treasure | Futur trésor national

Inki sings like he talks: with passion. The 34-year-old Belgian-Rwandan artist has decided to return to the land of his childhood to make a living from his art.

His talent is immense and the possibilities numerous. “I realised that I was an artist when I was 18. I met a bunch of singing musicians, including my friend Jali, and my life changed. We were always together trying to create songs. We didn’t have much money, but we had a lot of ideas. Those were bohemian times,” he recalls with a big smile.

Today, his style has become more refined and tends toward pop. “A joyful pop, made of multiple influences with a touch of Afro,” he says. Inki works on instinct. Some mornings he gets up with the urge to write and compose, and in the evening, he has a love song. A favourite theme in his repertoire, his latest track “Miriyoni”, a duet with Ruti Joel, is also about love. “The song is about the promise of commitment.

The poet promises a million songs to his sweetheart,” in a text in both French and Kinyarwanda. “This mixture is a reflection of the country, and I would like to make it a trademark,” he adds with characteristic enthusiasm.

Inki is the son of the traditional singer Muyango, a legend in Rwandan culture. What does this heritage mean to him? “My name means something in Rwanda. I am proud of it and I hope that one day two different Muyango will be registered in the country’s heritage.”

To see him on stage, you just have to go to Lavana, “a great bar in Kimihurura where I perform once a month. In the meantime, I hope to perform at the Kigali Arena one day.” That’s all we wish for him.

Check out Inki’s latest track, Miriyoni, featuring Ruti Joel on all platforms and follow him on Instagram: @in_ki

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Inki chante comme il parle : avec passion. L’artiste belgo-rwandais de 34 ans a décidé de rentrer sur la terre de son enfance pour vivre de son art. Son talent est immense et les possibilités nombreuses. “J’ai compris que j’étais un artiste vers l’âge de 18 ans. J’ai rencontré une bande de musiciens chanteurs, parmi lesquels mon ami Jali, et ma vie a changé. Nous étions toujours ensemble à essayer de créer des morceaux. On avait peu de moyens, mais beaucoup d’idées. Cette époque c’était la bohème”, se rappelle-t-il dans un grand sourire. Aujourd’hui son style s’est affiné et tire vers la pop. “Une pop joyeuse, faite d’influences

multiples avec une touche d’afro”, précise-t-il. Inki fonctionne à l’instinct. Certains matins il se lève avec l’envie d’écrire et composer, et le soir il tient une chanson d’amour. Thème favori de son répertoire, c’est aussi d’amour qu’il s’agit dans son dernier titre “Miriyoni”, en duo avec Ruti Joel. “La chanson parle de promesse d’engagement. Le poète promet un million de chansons à sa dulcinée”, dans un texte à la fois en français et kinyarwanda. “Ce mélange est à l’image du pays et j’aimerais en faire une marque de fabrique”, ajoute-t-il avec l’enthousiasme qui le caractérise. Inki est le fils du chanteur traditionnel Muyango, une

légende de la culture rwandaise. Que lui inspire cet héritage ? “Mon nom signifie quelque chose au Rwanda. J’en suis fier et j’espère qu’un jour deux Muyango différents seront inscrits au patrimoine du pays”. Pour le voir sur scène, il suffit de se rendre au Lavana, “un bar génial à Kimihurura où je me produits une fois par mois. En attendant, j’espère, monter un jour sur la scène de la Kigali Arena”. C’est tout ce qu’on lui souhaite.

Découvrez le dernier titre d’Inki - Miriyoni featuring Ruti Joel sur toutes les plates-formes et suivez le sur Instagram : @in_ki

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