PortFolio I Laura CHAVY 2012

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. 2012 2013 .


L’atelier avait pour objet la ville de Siem Reap au Cambodge, petite ville, située dans un pays en développement, confrontée à une urbanisation rapide, liée au tourisme. Le semestre était composé de trois phases : le travail à Paris dans un premier temps, la confrontation avec le lieu, puis la finalisation par un projet architectural. 01 La trame - Exercice de projet avant terrain Comprendre les enjeux et les besoins de la ville. Utiliser la non connaissance du lieu comme moteur de réflexion: un imaginaire de la ville. 02 Le terrain (4semaines) - confronter l’hypothétique et le réel. Revenir sur le projet de première phase, le corriger, l’affiner sur place. Puis, dans la perspective du projet architectural, Choisir un site (le site du marché) et établit un programme (des logements) 03 Le projet (travail individuel) Mettre en place mon projet architectural. L’accent était mis sur la pertinence de l’insertion urbaine, l’adaptation au climat, à la lumière, l’utilisation des matériaux, la gestion de l’espace, la structure et les modes de représentation.


LA VILLE PSYCHEDELIQUE Recréer le canal asséché, retrouver le dynamisme du canal existent : La ville y trouve une symétrie PLAN DE LA VILLE Aujourd’hui

En bleu, le canal aujourd’hui asséché

+

L A PA S S E R E L L E

+

LES FRANGES LES NOEUDS

+

LA VILLE LE CANAL

PHASE 01 & 02 - en groupe La trame - Le terrain : UN CANAL UNE PASSERELLE DES FRANGES

Le projet s’articule autour d’un point fort, la passerelle, qui s’installe le long de l’ancien canal, aujourd’hui asséché. En restaurant ce canal, notre volonté est de recréer la même dynamique que celle, le long du canal déjà existant. Ce dispositif assure la linéarité et la continuité visuelle du projet. Et, par un dispositif de franges, qui se développe tout le long de la promenade, on s’insère dans la logique parcellaire sans traumatiser le tissu. Par ce système modulaire, on peut choisir de s’insérer intensément de manière ponctuelle ou laisser l’existant se développer spontanément. LES NOEUDS Leurs emplacements

+LES

FRANGES Perspective - coupe

On a appelé noeud, ces carrefours plus denses et très ponctuels, auxquels on a tenté d’associer un programme spécial. En effet, ce canevas nous permet d’alterner facilement, suivant la situation, les intentions, le programme, le travail du sol sans perturber l’existant.


PHASE 03 - projet personnel Les logements 1ères intensions Des logement pris entre le marché (à droite) et le canal (à gauche) = 2 façades & 2 ambiances Travail sur les volumes pour gérer l’entre-deux. Des appartements traversants travaillés en quinconce...

Le canal

Marché

Marché

dont j’ai revu la couverture

Canal


Une circulation interne complexe La complexité des volumes tient en partie de cette distribution extérieure que j’ai voulue complexe, publique, et en continuité avec notre projet urbain : la passerelle. Aussi, les volumes résultent de la volonté d’apporter la lumière à l’intérieur de tous les apprts, puis par soucis de ventilation...


PHASE 03 - projet personnel Les FACADES

ÉLÉVATIONS Côté canal

Côté marché

COUPE

Canal

Marché


Elévations Des pares soleil, les façades changent au grès des habitants

Garde-corps CAS 1 Avec une dalle filante

bambou sur structure acier

Garde-corps

CAS 2 La dalle s’interompte, les par-soleil passe par devant



Niv 03

Niv 02

Relevé réalisé sur place d’un logement type : Le compartiment chinois

Niv 01

Puis appartement type, inspiré directement du concept des compartiments chinois

Niv 00


L’atelier avait pour objet la ville de Siem Reap au Cambodge, petite ville, située dans un pays en développement, confrontée à une urbanisation rapide, liée au tourisme. Le semestre était composé de trois phases : le travail à Paris dans un premier temps, la confrontation avec le lieu, puis la finalisation par un projet architectural. 01 La trame - Exercice de projet avant terrain Comprendre les enjeux et les besoins de la ville. Utiliser la non connaissance du lieu comme moteur de réflexion: un imaginaire de la ville. 02 Le terrain (4semaines) - confronter l’hypothétique et le réel. Revenir sur le projet de première phase, le corriger, l’affiner sur place. Puis, dans la perspective du projet architectural, Choisir un site (le site du marché) et établit un programme (des logements)


Etude des mouvement, flux En dessins à la manière de Petra Kem En maquette

LES ETUDES Pleins - Vides Occupations des sols Les vitesses D E T E R M I N AT I O N D ’ U N P E R I M E T R E

Etude plein vide - occupations des sols - vitesses Détermination d’un périmètre

Etude plein vide - occupatio Détermination d’un périmè

Relier grâce au pont de Rouen : Installer des programmes-étapes sportifs sous pont

Relier grâce au pont de Rouen : Installer des programmes-étapes sportifs sous pont

Relier grâce au pont de Rouen : Installer des programmes-étapes sportifs sous pont

Le site : Un programme en mouvement I MUSIQUE & DANSE Un paysage dynamique Une archietcture qui relie

Le site : Un programme en mouveme Un paysage dynamique Une archietcture qui relie

Le site : Un programme en mouvement I MUSIQUE & DANSE Un paysage dynamique Une archietcture qui relie

Un programme en mouvement I MUSIQUE & DANSE Un paysage dynamique Une archietcture qui relie


COMPOSITION

+

STRUCTURE

+

PHASAGE

Dynamiques et mouvements urbains

Etude des mouvement, flux En dessins à la manière de Petra Kempf En maquette

Etudes sur les déta DETAIL constructif - façade & Maquette de détail

LA STRUCTURE composite Béton Acier

LA STRUCTURE composite Béton Acier

LA STRUCTURE composite Béton Acier


BATIMENT DIFFUSION

LOGO

1 : 1000

BATIMENT DIFFUSION TRAME 1 : 1000

LOGO

FLUX

TRAME

FLUX

1 : 1000

1 : 1000

1 : 1000

1 : 1000

BATIMENT EXPERIMENTATION

LOGO

1 : 1000

BATIMENT EXPERIMENTATION TRAME 1 : 1000

LOGO

FLUX

TRAME

FLUX

1 : 1000

1 : 1000

1 : 1000

1 : 1000


PLAN R+1

LE POLE LE POLEEXPERIMENTATION EXPERIMENTATION

LE POLEDIFFUSION DIFFUSION LE POLE

PLAN R+2

PLAN SALLE DE MUSIQUE SALLE DE DANSE

ELEVATIONS 1 : 500

COUPE

PLAN R+3

1 : 500

PLAN R+4

PLAN RDC PLAN RDC

1 : 300 1 : 300

ELEVATIONS 1 : 500

COUPE

PLAN R+1 PLAN R+1

PLAN R+2 PLAN R+2

PLAN R+3 PLAN R+3

PLAN R+4 PLAN R+4

1 : 500


PLAN RDC

1 : 300

LE POLE EXPERIMENTATION

PLAN RDC

1 : 300

PLAN R+1 PLAN R+2

PLAN RDC

1 : 300

PLAN R+1

PLAN R+2

PLAN R+3

PLAN R+2

PLAN R+3

LE POLE DIFFUSION


LA MAQUETTE Architecture et paysage


LE VERRE I LA PEAU

LA STRUCTURE HORIZONTALE

LA STRUCTURE composite Béton Acier

LA STRUCTURE VERTICALE

LE SOUS SOL

LE PAYSAGE en relation avec le programme, le site. LE PAYSAGE en relation avec le programme, le site.


rchitecture élémentaire

Vue axonométrique

bridcontainers

Le projet propose un La pensée modulaire éléments de construc série de 19m2, série

L’ECHAPPEE BELLE “

“KITS” PROGRAMMÉS. Deux positions : # 01 PLIÉS, RASSEMBLÉS, PUIS EMBOITÉS # 02 DÉPLOYÉS, ANIMÉS,duAU SERVICES DES USAGERS (STAFF - PUBLIC) Vue axonométrique système de sol et de sous-face, imaginé en bois. Vue axonométrique des composants de façade du module ALGECO (ici série 19m2) et d Le projet propose un système de rails sur ces deux faces. La pensée modulaire anime le projet. Un socle contient l’espace du projet. Ses éléments de construction reprennent les composants de la gamme “Progress” série de 19m2, série de 30m2, Bow window”.

Les faces du “conteneur” sont entièrement transparentes. Cela participe à l’ouverture et fixées à l’extérieur de la structure. L’espace intérieur est ainsi libéré de toute contrainte. D dans ce cas fixés sur la menuiserie de la paroie de verre. Ce dernier élément filtre la lumi

“KITS” PROGRAMMÉS. Deux positions : # 01 PLIÉS, RASSEMBLÉS, PUIS EMBOITÉS Vue axonométrique du système de sol et de sous-face, imaginé en bois. Vue axonométrique des composants de façade du module ALGECO (ici série 19m2) et de son extension “bow window”. # 02 DÉPLOYÉS, ANIMÉS, AU SERVICES DES USAGERS (STAFF - PUBLIC) Le projet propose un système de rails sur ces deux faces. La pensée modulaire anime le projet. Un socle contient l’espace du projet. Ses éléments de construction reprennent les composants de la gamme “Progress” série de 19m2, série de 30m2, Bow window”.

BLOC DE SE

Les faces du “conteneur” sont entièrement transparentes. Cela participe à l’ouverture et à la diffusion du programme. Ces parois de verre sont fixées à l’extérieur de la structure. L’espace intérieur est ainsi libéré de toute contrainte. Des brise-soleil, en “mesh” peuvent être ajoutés ; ils sont dans ce cas fixés sur la menuiserie de la paroie de verre. Ce dernier élément filtre la lumière et la vue.

Penser l’espace public d’aujourd’hui avant tout se& Dans l’idée d’assurer une réelle rencontre programmatique, nous INFORME BLOC DE SERVICE et de demain, c’estACCUEILLIR ECLAIRER / SIGNALER poser la question de l’échelle. L’espace public doit permettre l’échange, venons mettre en place un système de rail. On obtient alors une véritaS’INSTALLER on l’imagine dès lors condensé, puis par définition, largement ouvert Un élément, deux positions ble flexibilité, les kits fonctionnels deviennent entièrement autonomes et diffus. et mobiles. Cette liberté de composition programmatique reflète à petite échelle, la complexité et la densité de la ville d’aujourd’hui. Il nous semble qu’un des enjeux majeurs de la ville en mouvement réAfin d’illustrer au mieux la réflexion nous avons testé deux situations. side en la notion de flexibilité. L’idée est de fabriquer un lieu autonome, Celles-ci sont mises en contexte afin de prendre conscience de leur évolutif, aussi bien à court terme (alternance jour/nuit) qu’à long terme impact. (évolution programmatique). La première consiste à mixer un lieu de représentation (type scène en En vue de générer cet espace public particulier, le processus consiste plein air) avec un pôle de diffusion (type bibliothèque éphémère). Ces à explorer le module unique comme élément de composition. Choisir deux programmes culturels, a priori opposés, l’un ponctuel et intense, une mégastructure ou une microarchitecture ? l’autre s’établissant dans la durée et le calme, trouvent chacun leur Notre objectif est de fabriquer un espace généreux. Généreux, dans place dans ce système en mouvement. Le jour, la « scène » est OBSERVER anACCUEILLIR & INFORMER &E BLOC DE SERVICE ISOLER, INTIMISER ECLAIRER / SIGNALER Penser l’espace public d’aujourd’hui et de demain, c’est avant tout sede nouvelles Dans l’idée d’assurer une réelle rencontre programmatique, nous sa capacité à inciter pratiques et dans sa capacité à conimée par la bibliothèque. La &nuit, elle réinvestit l’espace public et proUn élément, deux S’INSTALLER PROJETER poser la question de l’échelle. L’espace public doit centrer permettre l’échange, venons mettre en place un système de rail. On obtient vérital’essentiel au sein d’un volume capable. longealors son une activité. Pour assurer le fonctionnement complet de la scène Un élément, deux positions Un élément, deux positions on l’imagine dès lors condensé, puis par définition, largement ouvert ble flexibilité, les kits fonctionnels deviennent entièrement autonomes et donc assurer l’intimité induite par la ou les loges qu’elle impose, et diffus. mobiles. Cette liberté composition programmatique reflète àà la pePLAN Cet espace, à l’image des et modules ALGECO, doit de réunir les qualités nous ajoutons composition une extension de type “bow window”. tite échelle, la complexité et la densité de la ville d’aujourd’hui. essentielles au sein d’un même volume. Nous préférons donc exploiter Celui-ci dispose alors d’un recouvrement plus opaque (type “mesh”). Il nous semble qu’un des enjeux majeurs de la ville mouvement ré- comme Afinsystème d’illustrer au mieux laCela réflexion avons testé deux situations. lesenmodules ALGECO élémentaire. nous nous amène side en la notion de flexibilité. L’idée est de fabriquer un lieu autonome, Celles-ci mises en contexte afin de de leur propose la rencontre entre un lieu de rafraichisseà considérer l’élément isolé commesont générateur d’espace public. Ce-prendreLaconscience seconde situation évolutif, aussi bien à court terme (alternance jour/nuit) qu’àl’isolement long termed’un élément impact.ne permet pas l’échange, l’interaction pendant, ment et un espace ludique (type aire de jeux). Contrairement à la (évolution programmatique). propre au lieu de rencontre qu’est l’espace public. situation tout juste évoquée, la cohabitation est simultanée la journée. Sur le thème de la « construction nomade » et évolutive, La première consiste à mixer un lieu de représentation (type scène Cependant, la nuitenl’espace public se libère de toutes activités comvue de générer cet espace public particulier, leDe processus consiste pleinlaair) avec un pôle diffusionmais (type bibliothèque éphémère). Cesun grand terrain de jeux ouvert à tous. ce fait, l’enjeu réside dans composition des de modules, plus merciales et devient Dans l’idée d’assurer une réellede rencontre programmatique, est nous d’inventer sur la base le sujet ce En concours des à explorer le module unique comme élément de composition. Choisir deux programmes culturels, a priori opposés, l’un ponctuel et intense, particulièrement dans l’entre-deux quI en émane. L’idée est alors de venons mettre en place un système de rail. On obtient alors une véritaune mégastructure ou une microarchitecture l’autre s’établissant la durée le calme, trouvent chacun leurprincipal est de créer de nouvelles collaborations. contenir, sur la base d’un sol unique, un lieu dedans rencontre, un et espace modules constructifs Algeco, des bâtiments? positionnés, ble flexibilité, les kits fonctionnels deviennent entièrement autonomes Finalement, l’enjeu Notre objectif està de Généreux, dans ce système en mouvement. Le jour, Imaginer la « scènede» est anet mobiles. Cette liberté de composition programmatique reflète pe- fabriquer un espace généreux. public particulierdans à l’échelleplace de son usager. nouveaux usages en même temps que de nouveaux stratégiquement dans ville. sa d’aujourd’hui. capacité la à inciter de nouvelles pratiques et dans sa capacité à conimée par la bibliothèque. La nuit, elle réinvestit l’espace public et protite échelle, la complexité et la densité de la ville Pour se faire, nous venons isoler le sol du module ALGECO pour asaccords. Un espace public qui, lorsqu’il condense de multiples procentrer l’essentiel au sein d’un volume capable. surer une continuité. Afin d’illustrer au mieux la réflexion nous avons testé deux situations. longe son activité. Pour assurer le fonctionnementgrammes, complet deassure la scène simultanément la rencontre et l’alliance entre les Celles-ci sont mises en contexte afin de prendre conscience de leur et donc assurer l’intimité induite par la ou les loges qu’elle: impose, partenaires fusionner des opérations. impact. PLAN I ELEVATION Cet espace, à l’image modules ALGECO, les qualités Les modules ALGECO® sontdes légitimes pour doit explorer ce nousvoir ajoutons à la composition extension de type “bow window”. Surréunir ce socle, nous souhaitons se rencontrer différentesune pratiques. essentielles au sein d’un même volume. Nous préférons doncisolons exploiter Celui-cid’usage disposeau alors d’un recouvrement plus opaque (type “mesh”). ECH 1 : 100s’effectuer à plus grande Ainsi, nous des fragments sein d’unités. Le module Il est évident que ces collaborations peuvent sujet, puisqu’ils déjà paysage éphémère La première consiste à mixer un lieu de représentation (type scènepartie en commedu lesfont modules ALGECO système élémentaire. Cela nous amène ALGECO devient alors le conteneur de ces kits programmés. échelle. plein air) avec un pôle de diffusion (type bibliothèque éphémère). Ces à considérer l’élément isolé comme générateur d’espace public. La seconde situation propose la rencontre entre unFinalement, lieu de rafraichissede nos villes en Comme des « couteaux sui-Ceon imagine que le concept présenté s’adapte entièrement deux programmes culturels, a priori opposés, l’unmutation. ponctuel et intense, pendant, l’isolement d’un élément ne permet pas l’échange, l’interaction ment et à site la et de son échelle. Il serait alors question de mixNous avons identifié six fonctions : un espace ludique (type aire de jeux).enContrairement fonction de son l’autre s’établissant dans la durée et le calme, trouvent chacun leur sses », ces « kiosques » ancette qu’est architecture doit propre lieu»de l’espace public.légère situation la cohabitation est simultanée la journée. -Accueillir, installer le visiteur, donnertout un juste cadreévoquée, à l’échange. place dans ce système en mouvement. Le jour, la « au scène estrencontre er toute sorte de programme en choisissant des modules conteneurs Cependant, la nuit l’espace public se libère de toutes activités com- contenus. En vue de rechercher la hauteur, par imée par la bibliothèque. nuit, ellefonctionnalités réinvestit l’espace public et pro-Diffuser,Leurs partager l’information. et les kits programmés offrirLa des multiples et mutualisées. De ce fait, l’enjeu réside dans la composition des-Eclairer, modules,assurer mais plus merciales et devient à tous.d’espace ou bien par nécessité d’isolement (infrastructures), longe son activité. Pour assurer le fonctionnement complet de la scène la vie le jour et la nuit, signaler.un grand terrain de jeux ouvert manque particulièrement dans l’entre-deux quI en émane. L’idée est alors de usages êtrequ’elle inventés en fonction de-Intimiser, leurs emet donc assurer l’intimité induite peuvent par la ou les loges impose, voire “privatiser”, assurer la cohabitation des programmes. un système de rampe permettrait de surélever l’espace public. PLAN I ELEVATION nous ajoutons à la composition une extensioncontenir, de type “bow window”. sur la base d’un sol unique, un lieu de rencontre, espace explorer… Finalement, principal estdu demodule, créer de nouvelles collaborations. -S’arrêter :un observer, Jouer l’enjeu sur la réversibilité placements en fonction de la variation des Celui-ci dispose alors d’un recouvrement particuliers, plus public opaqueparticulier (type “mesh”). 1 : 100 à l’échelle de sonECH usager. Imaginer de nouveaux usages en même temps“L’échappée que de nouveaux installer la convivialité. belle”, un espace public sur mesure, qui sait s’adapter à Pour se faire, nousclimats venons isoler le sol du module ALGECO pour espace public condense de multiples pro- de vie. Elastique, il sait se condenser et se difsaisons et la variété des (activités estivales ou as- lesaccords. -Centraliser, regrouper élémentsUn techniques, pour qui, une lorsqu’il meilleure l’évolution des modes La seconde situation propose la rencontre entre un lieu decontinuité. rafraichissesurer une grammes, assure simultanément la rencontre et l’alliance entre de leur mise en œuvre. fuser. Ephémère, les il s’échappe. ment et un espace ludique (type airedifférentes), de jeux). Contrairement à la hivernales formant des lieux degestion convivialpartenaires : fusionner des opérations. situation tout juste évoquée, la cohabitation est simultanée la journée. Surtoutes cemulti-générationnels, socle, nous souhaitons voir se rencontrer différentes pratiques. Cependant, la nuit itéet l’espace de public proximité se libère de activités compotentiellement Ainsi, ànous Il est évident que ces collaborations peuvent s’effectuer à plus grande merciales et devient un grand terrain de jeux ouvert tous.isolons des fragments d’usage au sein d’unités. Le module vertueux en consommation d’énergie. ALGECO devient alors le conteneur de ces kits programmés. échelle. Finalement, on imagine que le concept présenté s’adapte entièrement Finalement, l’enjeu principal est de créer de nouvelles collaborations. Imaginer de nouveaux usages en même temps de identifié nouveauxsix fonctions : Nousque avons en fonction de son site et de son échelle. Il serait alors question de mixaccords. Un espace public qui, lorsqu’il condense de multiples pro-Accueillir, installer le visiteur, donner un cadre à l’échange. er toute sorte de programme en choisissant des modules conteneurs Il s’agit enfin, deet l’alliance traduire en architecture les nouvelles grammes, assure simultanément la rencontre entre l’information. les -Diffuser, partager et les kits programmés contenus. En vue de rechercher la hauteur, par partenaires : fusionner des opérations. pratiques urbaines, émergent avec généralisation -Eclairer,qui assurer la vie le jour et la nuit, la signaler. manque d’espace ou bien par nécessité d’isolement (infrastructures), -Intimiser,»voire “privatiser”, assurer la cohabitation des programmes. PLAN I ELEVATION des « smartphones un système de rampe permettrait de surélever l’espace public. etgrande des comportements afférents. Il est évident que ces collaborations peuvent s’effectuer à plus -S’arrêter : observer, explorer… Jouer sur la réversibilité du module, ECH 1 : 100 échelle. dans cet accélération des échanges et de l’information installer la convivialité. “L’échappée belle”, un espace public sur mesure, qui sait s’adapter à Finalement, on imagine que le concept présenté s’adapte entièrement -Centraliser, regrouper les éléments techniques, pour une meilleure l’évolution des modes de vie. Elastique, il sait se condenser et se difen fonction de son site et de son échelle. Il serait alors question de mixd’une culture mondialisée . L’architecte doit accompaggestion de leur mise en œuvre. fuser. Ephémère, il s’échappe. er toute sorte de programme en choisissant des modules conteneurs

TAFF - PUBLIC)

ner cette mutation.

et les kits programmés contenus. En vue de rechercher la hauteur, par manque d’espace ou bien par nécessité d’isolement (infrastructures), un système de rampe permettrait de surélever l’espace public.

MONTRER LE “PHASAGE”

Nous sommes encore à l’aube d’une société «connecEN MAQUETTE tée» impliquant aussi de nouvelles pratiques commerciales qui peuvent s’accompagner d’espace de rencontres. Le concours Algeco se fixe comme objectif de les révéler et de contribuer ainsi, à l’évolution d’un espace public précieux et partagé.

“L’échappée belle”, un espace public sur mesure, qui sait s’adapter à l’évolution des modes de vie. Elastique, il sait se condenser et se diffuser. Ephémère, il s’échappe.

MONTRER LE “PHASAGE” EN MAQUETTE

RIDEAU : ISOLER

DEUX EXEMPLES : Mise en situation de deux projets LA FLEXIBILITÉ : ALTERNANCE JOUR / NUIT


N 0

AE 11 191 Architecture élémentaire BRISE SOLEIL Type “Mesh”

Hybridcontainers SOL FABRIQUANT LES RAILS BRISE SOLEIL Type “Mesh”

Bois

SOL FABRIQUANT LES RAILS Bois

SOL FIXE Bois

SOL FIXE vvvvvBois

STRUCTURE ALGECO Finition peinture blanche

“ L’ECHAPPEE BELLE “ STRUCTURE ALGECO Finition peinture blanche

VERRE

VERRE

Vue axonométrique du système de sol et de sous-face, imaginé en bois.

Vue axonométrique des composants de façade du module ALGECO (ici série 19m2) et de son extension “bow window”.

Leimaginé projet propose système de rails sur ces deux faces. en un bois. La pensée modulaire anime le projet. Un socle contient l’espace du projet. Ses éléments de construction reprennent les composants de la gamme “Progress” Lede projet un système de rails sur ces deux faces. série 19m2,propose série de 30m2, Bow window”.

Les faces du “conteneur” sont entièrement transparentes. Cela participe à l’ouverture et à la diffusion du programme. Ces parois de verre sont fixées à l’extérieur la structure. L’espace intérieur est ainsi libéré de toute contrainte. Des brise-soleil, en “mesh” peuvent êtrediffusion ajoutés ; ilsdu sontprogramme. Les faces du de “conteneur” sont entièrement transparentes. Cela participe à l’ouverture et à la dans ce cas fixés sur la menuiserie de la paroie de verre. Ce dernier élément filtre la lumière et la vue.

Vue axonométrique du système de sol et de sous-face,

La pensée modulaire anime le projet. Un socle contient l’espace du projet. Ses éléments de construction reprennent les composants de la gamme “Progress” - série de 19m2, série de 30m2, Bow window”.

BRISE SOLEIL Type “Mesh”

Vue axonométrique des composants de façade du module ALGECO (ici série 19m2) et de son extension “bow window”.

SOL FABRIQUANT LES RAILS Bois

Ces parois de verre sont fixées à l’extérieur de la structure. L’espace intérieur est ainsi libéré de toute contrainte. Des brise-soleil, en “mesh” peuvent être ajoutés ; ils sont dans ce cas fixés sur la menuiserie de la paroie de verre. Ce dernier élément filtre la lumière et la vue.

SOL FIXE vvvvvBois

STRUCTURE ALGECO Finition peinture blanche

VERRE

Vue axonométrique du système de sol et de sous-face, imaginé en bois.

Vue axonométrique des composants de façade du module ALGECO (ici série 19m2) et de son extension “bow window”.

Le projet propose un système de rails sur ces deux faces. Les faces du “conteneur” sont entièrement transparentes. Cela participe à l’ouverture et à la diffusion du programme. Ces parois de verre sont La pensée modulaire anime le projet. Un socle contient l’espace du projet. Ses fixées à l’extérieur de la structure. L’espace intérieur est ainsi libéré de toute contrainte. Des brise-soleil, en “mesh” peuvent être ajoutés ; ils sont éléments de construction reprennent les composants&de la gamme “Progress” -ECLAIRER dans ce cas fixés sur la menuiserie de laINFORMER paroie de verre. Ce dernier élément filtre la lumière et la vue. OBSERVER & EXPLORER ACCUEILLIR BLOC DE SERVICE ISOLER, INTIMISER / SIGNALER série de 19m2, série de 30m2, Bow window”. S’INSTALLER Un élément, deux positions & PROJETER Un élément, deux positions

Un élément, deux positions

“KITS” PROGRAMMÉS. Deux positions : # 01 PLIÉS, RASSEMBLÉS, PUIS EMBOITÉS # 02 DÉPLOYÉS, ANIMÉS, AU SERVICES DES USAGERS (STAFF - PUBLIC)

BLOC DE SERVICE

ACCUEILLIR & S’INSTALLER

INFORMER

ECLAIRER / SIGNALER

Un élément, deux positions

OBSERVER & EXPLORER

ISOLER, INTIMISER & PROJETER

Un élément, deux positions

Un élément, deux positions

Penser l’espace public d’aujourd’hui et de demain, c’est avant tout se poser la question de l’échelle. L’espace public doit permettre l’échange, on l’imagine dès lors condensé, puis par définition, largement ouvert et diffus. Il nous semble qu’un des enjeux majeurs de la ville en mouvement réside en la notion de flexibilité. L’idée est de fabriquer un lieu autonome, évolutif, aussi bien à court terme (alternance jour/nuit) qu’à long terme (évolution programmatique). En vue de générer cet espace public particulier, le processus consiste à explorer le module unique comme élément de composition. Choisir une mégastructure ou une microarchitecture ? Notre objectif est de fabriquer un espace généreux. Généreux, dans sa capacité à inciter de nouvelles pratiques et dans sa capacité à concentrer l’essentiel au sein d’un volume capable. Cet espace, à l’image des modules ALGECO, doit réunir les qualités essentielles au sein d’un même volume. Nous préférons donc exploiter les modules ALGECO comme système élémentaire. Cela nous amène à considérer l’élément isolé comme générateur d’espace public. Cependant, l’isolement d’un élément ne permet pas l’échange, l’interaction propre au lieu de rencontre qu’est l’espace public. De ce fait, l’enjeu réside dans la composition des modules, mais plus particulièrement dans l’entre-deux quI en émane. L’idée est alors de contenir, sur la base d’un sol unique, un lieu de rencontre, un espace public particulier à l’échelle de son usager. Pour se faire, nous venons isoler le sol du module ALGECO pour assurer une continuité. RIDEAU : ISOLER Sur ce socle, nous souhaitons voir se rencontrer différentes pratiques. Ainsi, nous isolons des fragments d’usage au sein d’unités. Le module ALGECO devient alors le conteneur de ces kits programmés. Nous avons identifié six fonctions : -Accueillir, installer le visiteur, donner un cadre à l’échange. -Diffuser, partager l’information. -Eclairer, assurer la vie le jour et la nuit, signaler. -Intimiser, voire “privatiser”, assurer la cohabitation des programmes. -S’arrêter : observer, explorer… Jouer sur la réversibilité du module, ECRAN : PROJETER / ANIMER installer la convivialité. -Centraliser, regrouper les éléments techniques, pour une meilleure gestion de leur mise en œuvre.

Dans l’idée d’assurer une réelle rencontre programmatique, nous venons mettre en place un système de rail. On obtient alors une véritable flexibilité, les kits fonctionnels deviennent entièrement autonomes et mobiles. Cette liberté de composition programmatique reflète à petite échelle, la complexité et la densité de la ville d’aujourd’hui. Afin d’illustrer au mieux la réflexion nous avons testé deux situations. Celles-ci sont mises en contexte afin de prendre conscience de leur impact. La première consiste à mixer un lieu de représentation (type scène en plein air) avec un pôle de diffusion (type bibliothèque éphémère). Ces deux programmes culturels, a priori opposés, l’un ponctuel et intense, l’autre s’établissant dans la durée et le calme, trouvent chacun leur place dans ce système en mouvement. Le jour, la « scène » est animée par la bibliothèque. La nuit, elle réinvestit l’espace public et prolonge son activité. Pour assurer le fonctionnement complet de la scène et donc assurer l’intimité induite par la ou les loges qu’elle impose, nous ajoutons à la composition une extension de type “bow window”. Celui-ci dispose alors d’un recouvrement plus opaque (type “mesh”).

PLAN I ELEVATION ECH 1 : 100

La seconde situation propose la rencontre entre un lieu de rafraichissement et un espace ludique (type aire de jeux). Contrairement à la situation tout juste évoquée, la cohabitation est simultanée la journée. Cependant, la nuit l’espace public se libère de toutes activités commerciales et devient un grand terrain de jeux ouvert à tous. Finalement, l’enjeu principal est de créer de nouvelles collaborations. Imaginer de nouveaux usages en même temps que de nouveaux accords. Un espace public qui, lorsqu’il condense de multiples programmes, assure simultanément la rencontre et l’alliance entre les GRADINS : REGARDER partenaires : fusionner des opérations. Il est évident que ces collaborations peuvent s’effectuer à plus grande échelle. Finalement, on imagine que le concept présenté s’adapte entièrement en fonction de son site et de son échelle. Il serait alors question de mixer toute sorte de programme en choisissant des modules conteneurs et les kits programmés contenus. En vue de rechercher la hauteur, par manque d’espace ou bien par nécessité d’isolement (infrastructures), un système de rampe permettrait de surélever l’espace public. AIRE DE JEUX : ELEMENTS COULISSANTS

“L’échappée belle”, un espace public sur mesure, qui sait s’adapter à l’évolution des modes de vie. Elastique, il sait se condenser et se diffuser. Ephémère, il s’échappe.

MONTRER LE “PHASAGE” EN MAQUETTE RIDEAU : ISOLER

GRADINS : REGARDER

AIRE DE JEUX : ELEMENTS COULISSANTS

ECRAN : PROJETER / ANIMER

PROJET 01 :

ECH 1 : 200


êter : observer, explorer… Jouer sur la réversibilité du module, a nuit, signaler. manque d’espace ou bien par nécessité d’isolement (infrastructures), ler la convivialité. “L’échappée belle”, un espace public sur mesure, qui sait s’adapter à rer la cohabitation des programmes. un système permettrait de surélever l’espace public. raliser, regrouper les éléments techniques, pour une meilleure de rampe l’évolution des modes de vie. Elastique, il sait se condenser et se difJouer sur la en réversibilité du module, on de leur mise œuvre. fuser. Ephémère, il s’échappe. “L’échappée belle”, un espace public sur mesure, qui sait s’adapter à ents techniques, pour une meilleure l’évolution des modes de vie. Elastique, il sait se condenser et se diffuser. Ephémère, il s’échappe.

ACCUEILLIR & S’INSTALLER

ECLAIRER / SIGNALER

INFORMER

Un élément, deux positions

OBSERVER & EXPLORER

ISOLER, INTIMISER & PROJETER

Un élément, deux positions

Un élément, deux positions

MONTRER LE “PHASAGE” MONTRER LE “PHASAGE” MAQUETTE DEUX EXEMPLES :EN Mise en situation de deux projets EN MAQUETTE

LA FLEXIBILITÉ : ALTERNANCE JOUR / NUIT

RER LE “PHASAGE” AQUETTE

DEUX EXEMPLES : Mise en situation de deux projets LA FLEXIBILITÉ : ALTERNANCE JOUR / NUIT

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULARIDEAU : ISOLER TION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

DEUX EXEMPLES : Mise en situation de deux projets JOUR / NUIT

LAsituation FLEXIBILITÉ : ALTERNANCE EXEMPLES : Mise en de deux projets EXIBILITÉ : ALTERNANCE JOUR / NUIT

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de n situation de deux l’autre projets

AIRE DE JEUX : ELEMENTS COULISSANTS

ECRAN : PROJETER / ANIMER

ANCE JOUR / NUIT

GRADINS : REGARDER

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

OJET ET LES FLUX DE LATION DU PUBLIC d’un coté et de nuit de

RIDEAU : ISOLER

GRADINS : REGARDER

ECRAN : PROJETER / ANIMER

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

AIRE DE JEUX : ELEMENTS COULISSANTS

PROJET 01 : REPRESENTER (spectacle/concert) & INFORMER (bibliothèque) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER INFORMER ECLAIRER INTIMISER DIFFUSER/REGARDER

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

ECH 1 : 200

PROJET 02 : SE RAFRAICHIR (café) & SE DIVERTIR (aire de jeux) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER ACCEUILLIR INFORMER ECLAIRER

OJET ET LES FLUX DE LATION DU PUBLIC d’un coté et de nuit de

PROJET 01 : REPRESENTER (spectacle/concert) & INFORMER (bibliothèque) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER INFORMER ECLAIRER INTIMISER DIFFUSER/REGARDER PROJET 01 : REPRESENTER (spectacle/concert) & INFORMER (bibliothèque) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER INFORMER ECLAIRER INTIMISER DIFFUSER/REGARDER

PROJET 02 : SE RAFRAICHIR (café) & SE DIVERTIR (aire de jeux)

ECH 1 : 200

PROJET 02 : SE RAFRAICHIR (café) & SE DI LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER ACCEUILLIR ECH 1 : 200


-Centraliser, regrouper les éléments techniques, pour une meilleure gestion de leur mise en œuvre.

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

l’évolution des modes de vie. Elastique, il sait se condenser et se diffuser. Ephémère, il s’échappe.

DEUX EXEMPLES : Mise en situation de deux projets LA FLEXIBILITÉ : ALTERNANCE JOUR / NUIT

de deux projets UR / NUIT

AIRE DE JEUX : ELEMENTS COULISSANTS

ECRAN : PROJETER / ANIMER

MONTRER LE “PHASAGE” EN MAQUETTE

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC : ISOLER De jour RIDEAU d’un coté et de nuit de l’autre

GRADINS : REGARDER

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULA-

DEUX EXEMPLES : Mise en situation de deux projets TION DU PUBLIC LA FLEXIBILITÉ : ALTERNANCE JOUR / NUIT

De jour d’un coté et de nuit de l’autre

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

AIRE DE JEUX : ELEMENTS COULISSANTS

ECRAN : PROJETER / ANIMER

PROJET 01 : REPRESENTER (spectacle/concert) & INFORMER (bibliothèque) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER INFORMER ECLAIRER INTIMISER DIFFUSER/REGARDER

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

ECH 1 : 200

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

PROJET 02 : SE RAFRAICHIR (café) & SE DIVERTIR (aire d LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER ACCEUILLIR INFORMER E

ECH 1 : 200 PROJET 01 : REPRESENTER (spectacle/concert) & INFORMER (bibliothèque) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER INFORMER ECLAIRER INTIMISER DIFFUSER/REGARDER

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PROJET 02 : SE RAFRAICHIR (café) & SE DIVERTIR (aire de jeux) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER ACCEUILLIR INFORMER ECLAIRER OBSERVER/EXPLORER

LE PROJET ET LES FLUX DE CIRCULATION DU PUBLIC De jour d’un coté et de nuit de l’autre

PROJET 02 : SE RAFRAICHIR (café) & SE DIVERTIR (aire de jeux) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER ACCEUILLIR INFORMER ECLAIRER OBSERVER/EXPLORER PROJET 02 : SE RAFRAICHIR (café) & SE DIVERTIR (aire de jeux) LES “KITS” LE COMPOSANT : CENTRALISER ACCEUILLIR INFORMER ECLAIRER OBSERVER/EXPLORER

PROJET 02 + : OUVERTURE IMAGINER LE SYSTEME A PLUS GRANDE ECHELLE : VENIR S’ADAPTER AU SITE

ECH 1 : 200


Ce studio proposait dans un premier temps d’observer un site particulier, marqué par l’intervention de Le Notre. Ce lieu, aujourd’hui enforesté, composé de cinq lacs (dont l’hexagone de Le notre) est sculpté dans le pente. L’implantation du centre de recherche suit la figure cicontre. Ouvrir la vue, fabriquer un grand paysage et un moyen paysage, et surtout s’insérer dans la pente. L’idée est d’équilibrer les déblais-remblais, d’être autonome dans les mouvements de la terre. Le centre de recherche est composé de différentes salles de recherche, d’un amphithéatre, d’un restaurant, d’une bibliothèque et de logements (chercheurs et d’étudiants). Le centre a été pensé comme un projet composite, cependant les éléments de programme sont reliés par le “sous-sol”. De plus, afin de gérer les niveaux, un plan de référence a été au préalable établi afin de relier sur un même plan tous les “batiments”.



HIERARCHIE DU SOL Végétation sauvage - Végétation jardin - Sol minéralisé HIERARCHIE DANS LA TOITURE Végétation - espaces communs Minéral - espace privé

SOL DE REFERENCE HAUT + TOITURE VEGETALISE - EN LEGERE PENTE EMERGENCE DES PROGRAMMES

SOL DE REFERENCE HAUT + TOITURE VEGETALISE - EN LEGERE PENTE EMERGENCE DES PROGRAMMES

TOITURE MINERALISEE EMERGENCE DES PROGRAMMES

SOL DE REFERENCE PROGRAMMATIQUE

SOL DE REFERENCE BAS


COUVERTURE Végétale - espaces communs Béton - espaces privatifs

LE PHASAGE

SOL de référence On hiérarchise

SOL SCULPTE On plie

MURS On monte les murs porteurs qui articulent

ECORCHE du sol On creuse


PLAN Niveau 02

PLANS

PLAN Niveau 01

PLAN Niveau 00



COUPES PERSPECTIVES Architecture et matérialité

COUPE Perspective - Salles de Recherche

COUPES Construire dans la pente

COUPE 01 Nord sud

COUPE 02 Est Ouest


01

02


Penser un programme de logements dans un tel paysage exigeait d’abord une réflexion sur le paysage. Parler de grand paysage, à l’échelle de la ville et du «couloir vert» que le site propose. Parler de moyen paysage, pour signifier l’échelle du regroupement et enfin du proche paysage pour qualifier les lieux particuliers que sont les espaces «entre-logements». Dans le cadre du séminaire «architecture de l’habitat», la réflexion s’est principalement portée sur la qualification des façades, le rapport intérieur-extérieur, et plus particulièrement sur un type de logement : le logement à patio.

Le projet se développe le long d’un parc linéaire. Dès lors, la circulation douce était au cœur du projet. L’enjeu majeur de ce projet était de réfléchir sur le système nature/construit. Quel type de logement installer? Comment comprendre les espaces de l’entredeux? Le site, aujourd’hui en prairie, appelait à comprendre le projet de logements comme la construction d’un paysage. L’idée était de s’insérer dans cette dynamique «sauvage», ne pas perturber le paysage, s’insérer en douceur. J’ai retenu le thème du patio à plusieurs échelles. Le logement se compose d’un grand patio - un jardin à l’intérieur du logement en double hauteur pour les appartements en duplex. Aussi, je qualifie de «patio» les espaces entre-logements. Ce sont des lieux particuliers dans lesquels le sol est à la fois construit, sculpté et à la fois laissé sauvage. Une végétation haute est aussi prévue afin de faire varier le paysage selon les saisons et aussi afin d’intimiser les espaces de part et d’autres rattachés aux logements... L’assemblage des logements résulte directement de la composition et de l’orientation données aux logements ; orientation particulièrement soulignée par un principe strict de composition des logements. En effet, le logement se déploie le long d’une bande de service qui fabrique tantôt une façade épaisse dite de service, et tantôt une façade fine qui contient les espaces de vie. Surtout la linéarité du logement est soulignée par le jardin d’intérieur au sud. Les espaces «exterieur» représentent presque 30% du logement (jardin d’intérieur compris). L’idée est d’inviter l’habitant à dépasser les limites intérieur-extérieur… Et parfois de déployer entièrement l’espace intérieur vers l’espace extérieur.


PHASE 01 - en groupe HABITER UN PAYSAGE LINEAIRE : Un village à densité variable Dès la découverte du site, la première intuition était de redonner le grand paysage à Ris orangis, le site se situant en belvédère sur la Seine. Aussi, au delà de l’échelle du quartier, il s’agit d’imaginer un parc de plus grande ampleur ; concevoir un espace vert unique capable d’attirer des citadins plus éloignés. D’autre part, le programme de logements sera l’occasion de trouver un élément à la fois moteur et fédérateur de l’organisation générale. L’enjeu majeur de cet aménagement de « couloir écologique » dont le nom suggère le lien, la mise en commun, la convergence consiste en relier Ris Orangis à la Seine, puis relier par une circulation douce des quartiers aujourd’hui isolés et enfin articuler les échelles de projet, tout en restant très respectueux des lieux. Le projet doit proposer des figures simples, fédératrices et lisibles. L’objectif est d’associer dans un même dessin général la nature et le construit, de composer entre circulations douces et «rapides», allier le public et le privé. S’INSERER DANS LE PAYSAGE

La qualité des espaces publics est essentielle: elle est la condition pour privilégier pleinement les déplacements doux, la marche ou le vélo. Dans ce site très bien desservi de part et d’autre par les transports en commun, la continuité sera rétablie par le vert et par sa topographie unique. Le projet offre dans ces déplacements un rapport au paysage unique, crée des points d’arret dans un système fluide et linéaire. En effet, on soulignera le caractère orienté du site par un système de parc lui aussi linéaire qui compose entre nature et construit. Et, dans l’optique de s’appuyer sur l’existent, le parcours compose avec l»écoute-s’il-pleut». Ce ruisseau nous permet ainsi de contenir le parcours et de toujours se rapporter à l’échelle humaine. Le programme des logements vient également s’insérer selon cette même logique : fabriquer des artères piétionnes qui connectent de part et d’autre les logements. Ainsi ordonnées par ce système d’impasses, les logements sont tous orientés nord sud. Et comme forme de réponse aux belvédères publics situés le long de l’écoutes’il-pleut, ces impasses fédératrices se terminent, voire se ponctuent par des terrasses. Finalement, quelle manière d’«habiter» dans ce village entre vitesse et temps d’arret...

S’INSERER DANS LE TISSUS ET DANS LA DENSITE

SOL MINERAL IMPERMEABLE SOL VEGETAL SOL VEGETAL D’INFILTRATION SOL MINERAL PERMEABLE

RELIER EAU


PLAN MASSE

LA DEMARCHE

004 Qualifier les «entre-deux» Des patios

003 Composer les logements

002 Qualifier

001 Epaissir

000 Repérer une ligne de niveau


HABITER DES PATIOS “à plusieurs échelles”


PLAN SIMPLEX ECH 1:100

PLAN DUPLEX ECH 1:100


PRINCIPES DE COMPOSITION


ZOOM PLAN D’ETAGE Principe d’assemblages

RESIDENCES ETUDIANTES Epaissir l’«impasse» : Fabriquer des places publiques

PLAN D’ETAGE

Des références - Maisons à patios


COUPES SUR DEUX MAISONS INDIVIDUELLES

Materiaux faรงades


Extrait introduction : «Le mouvement moderne a fait du logement le laboratoire privilégié de l’architecture. En effet, jusque dans les années 1960, ces pionniers de l’habitat moderne (tels que Le Corbusier, Mies van der Rohe, etc…) ont porté l’architecture du logement, et l’ont marqué à travers de nombreux projets manifestes. A l’époque, l’innovation consistait tant dans les dispositifs constructifs que dans la redéfinition de l’espace de « l’habiter ». Depuis, l’architecture de l’habitat a tenté de garder cette dimension expérimentale, surtout à travers des projets tels que le projet « Nemausus » de Jean Nouvel à Nîmes, ou encore la même année le projet de « bande active » d’Yves Lion. Aujourd’hui et plus que jamais, le logement est d’actualité. Il fait face à une demande toujours plus grande. Et face à celle-ci, quelle réponse architecturale trouve-t-on ? Quelle est la part de l’innovation dans ce domaine ? Et aussi, quelle doit être la part de l’expérimentation ? Par ailleurs, il s’avère qu’une des contraintes majeures en terme de logement est celle du temps. Auguste Perret avait bien compris que l’essentiel en architecture était justement de répondre aux contraintes du temps : « L’architecte est le constructeur qui satisfait au passager par le permanent. »1 Parce que dans le cadre de l’habitat, le temps a une double signification. Il comprend la rapidité à laquelle les modes de vie changent, mais aussi l’évolutivité des cellules familiales. De fait, les logements exigent une réflexion attentive sur le temps. Le logement doit pouvoir s’adapter à l’habitant, et ainsi faire face aux changements. Les nouveaux plans de l’habiter doivent permettre de conceptualiser l’individualité et la diversité. On ne peut plus partir d’un usager typique dont les besoins seraient systématisés, mais il faut prendre en compte la diversité de chaque habitant et la prévoir. Les typologies, aujourd’hui proposées, sont-elles en phase avec les nouveaux modes d’habiter ? Tiennent-elles justement compte des évolutions de la cellule familiale, de la mobilité nouvelle des habitants ?

Répondent-elles à la contrainte du temps ?

Le cadre posé, il convient désormais d’introduire le propos de ce travail. L’idée n’est pas de comprendre toute l’architecture du logement, depuis l’avant-garde jusqu’à aujourd’hui. Il ne s’agit pas non plus de montrer ce qu’elle est devenue et d’établir si elle répond ou non à toutes ces précédentes questions. Plutôt, nous nous proposons de regarder l’architecture de l’habitat à travers un dispositif particulier qu’est la façade. Et se concentrer sur ce thème sera l’occasion d’identifier des dispositifs, qui contribueront justement à répondre à ces questions posées. Isoler la question de la façade est aussi l’occasion de comprendre l’évolution des procédés constructifs de l’habitat. Cela nous permettra aussi de voir comment l’espace du logement à travers sa fabrication s’est ouvert à l’extérieur, au paysage, à la vue, et aussi par conséquent à la lumière. Nous verrons également en quoi les modernes ont véritablement contribué à ce que sont devenus le logement et ses façades. Puis, il sera aussi l’occasion de regarder des projets plus ou moins contemporains dans lesquels émergent de toutes nouvelles typologies relatives à la façade. Ces derniers nous permettront de vraiment rendre compte de la capacité que peut avoir le système façade à générer de nouveaux dispositifs. Bien sur, nous avons bien compris qu’il ne s’agit pas de définir la « façade » comme une simple limite séparative, une simple paroi qui marque la fin de l’espace intérieur et le commencement de l’espace extérieur. Mais plutôt comme un « lieu » à part entière. Nous nous proposons en effet de comprendre l’évolution de ses potentiels au travers de l’histoire de sa fabrication. Il convient désormais de justifier des termes choisis, quant au titre de ce projet. Associer « lieu » et « façade » correspond à une volonté de définir la façade comme un espace potentiel qui se déploie, et qui devient le lieu particulier de pratiques remarquables. En effet, parce qu’il est le lieu d’un interstice, il se définira véritablement comme un espace capable très particulier. Et nous pensons que le terme de « lieu » transmet bien cette idée d’ « espace particulier ».»



UN PEU PLUS...



laura.chavy@hotmail.fr 06 03 92 44 18

ENSAPB

. 2012 2013 .


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