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Et si on notreéchangeaitmaison ?
Chaque année, lorsque vient le moment de partir en vacances, c’est toujours le même casse-tête. Hôtel, Airbnb, club de vacances, maison en location… Il faut s’adapter au lieu, au nombre de personnes qui vous accompagnent, mais aussi au rythme de vos vacances. Et lorsqu’on est accompagné de toute sa petite famille, ça devient encore plus compliqué. Faut-il emmener la chaise et le lit de bébé ? Doit-on prévoir les draps et serviettes de bain ? La location est-elle munie d’une cuisine équipée ? Autant de questions qui génèrent du stress et qui font surtout monter les prix.
Car si l’épidémie de Covid-19 semble désormais lointaine, l’inflation vient à son tour bousculer les projets de vacances des Français·es. À tel point qu’elle est devenue une véritable préoccupation pour près de 77% des vacancier·e·s*, selon le baromètre des vacances d’été 2023. Si 3 Français·es sur 4* comptent tout de même voyager entre les mois de juin et septembre, leur budget reste sous surveillance. C’est la raison pour laquelle de nombreux voyageurs ont fait le choix de l’échange de maison.
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Une relation de confiance entre voyageurs Échanger son logement contre celui d’un·e autre pour les vacances paraît assez simple à faire sur le papier. Mais qu’en est-il de la réalité ? Comment trouver les bonnes personnes avec qui échanger sa maison, et surtout comment avoir confiance ? Pour accompagner les voyageur·se·s et faciliter la recherche de logements, de nombreuses plateformes ont vu le jour en ligne : Home Exchange, Love Home Swap, Intervac, SwitchHome, et d’autres encore. Ces sites permettent de mettre en relation les utilisateur·rice·s qui souhaitent échanger leur maison, en toute confiance. C’est en tous cas la promesse vendue par chacun d’entre eux. Thibaut et Mallory, un couple de Belges récemment installés à Paris, ont été conquis dès leurs premiers échanges : « Au début on se pose beaucoup de questions, on a peur de ce que les autres pourraient faire à notre maison, on pense aux dégradations, aux vols, et même au simple fait que notre intimité puisse être violée. Mais une fois qu’on s’est lancés, on s’est vite rendu compte qu’on avait très peu de souci à se faire. » Les deux trentenaires assurent ne jamais avoir rencontré de souci au cours de leurs échanges. Enfin si, un seul : « Un jour, on a eu un petit groupe qui est reparti sans avoir nettoyé l’appartement. Ça nous avait vraiment