Philippe Vandenberg °1952 - lives and works in Ghent / Belgium
SHORT OVERVIEW OF RECENT WORK / 2002-2004 more info richard fonxke gallery, 9000 ghent graphic design: jan mast
The world is a funfair ( and God’s presiding over the soothing gallery ). And the painter is watching: the mountain, the sea, the blood, God and his angel, fire, love, paradise, the fall, fear, lust, the rock, death, the road, the wound, the storm and the ship. And this is what he sees: the mountain in the sea, the water is blood, the rock is fire and the angel is falling, God is hidden and paradise has been mislaid, the ship is in the storm, love is lust and fear is a vice, the road is hunchbacked, death is blowing down your neck, the wounds remain fresh and the soul, oh well, the soul... and he thinks: the world is a funfair, every stall stands a round and nothing is dead ordinary and he paints the funfair ever so slightly grinding his teeth, thinking: what a load of rubbish and is God hiding behind it? And the painter is thinking: let’s paint the anteroom of things while we rummage around in the backroom for something mislaid long ago, such a long time ago we can’t remember what it was, what it is, let alone where it is, and let’s call it: the mystery, and the quest to find it already saves us a little bit, pulls our paws from the mud a little bit, closer to You, closer to You? You? Who are You? And where among all the rubbish did we mislay you? And while he is peering into the big black hole that is his soul, the painter thinks about the questions we might ask. And the painting answers, bang!, like a shot. And the painter looks bored and God yawns, hidden behind the mess, and the painter looks at the painting and sees the image of the question that cannot be asked and the painter thinks: to paint the impossible question is like walking on the sea: you have to look beyond the horizon. The painting is a rodent. It gnaws at the painter who doesn’t paint it and it gnaws at the painter who does. The painting aims at the painter the way the hunter aims at the hare and the hunter does not show his face until after the hunt when he emerges from the dark, wet bushes. So the paint is a rodent is it? And the world is a fair? And where does that leave the painter? A black cloud floats over his head. Has something evaporated in the painter’s head and found a way out? Did it escape when he was in one of his black moods? Or was it given to him, a gift from On High? Whatever it is, he can’t get rid of it, even after it has shed its black rain on his head it still remains; the painting is a rodent, the world’s a fair and the painter? The painter’s the one under the small black cloud. extract from ‘Seven journeys to a holy sepulchre’, written by Philippe Vandenberg in 1995.
INSTALLATION AND DETAIL VIEWS OF THE 2003 SOLO EXHIBITION Philippe Vandenberg. Exil de peintre. (Special ed.) (DVD) “Exil de peintre”. Gent, Caermersklooster
The next pages contain 6 images of paintings (Untitled - Serie “Exil de peintre VI� 2001-2003, oil on canvas, 50x40cm) that were shown at the exhibition.
The pictures on this page and on the next one are installation views taken in december 2003 for the solo exhibition “Exil de peintre”. This exhibition showed recent work of Philippe Vandenberg and the release of the limited edition “Exil de peintre”, a book in which he exploits the graphic techniques. Also the film “La lettre au nègre” by “Les frères Zarakoff” was shown for the first time.
Philippe Vandenberg - Exil de peintre. The book in 2 volumes, contains 64 etchings and a text by Philippe Vandenberg. On the next pages you can ďŹ nd the original French text.
La lettre au nègre J’ai été peintre comme j’ai été gosse, longtemps. Faute d’un langage maternel, je suis entré en peinture pour formuler les questions, les demandes. Mais, les questions posées, les demandes exprimées, où trouver les réponses? Et je suis devenu un peintre d’embouteillages. Un peintre d’exil. Un peintre de grandes crucifixions d’embouteillages en dedans de la toile, qui déchirent la peau de la belle peinture. Suis-je encore innocent? Et maintenant que le couteau se rapproche de nos gorges, que tout le dire a été dit — sans résultat aucun —, que le bidon du bonheur est troué par les mensonges, qu’aucune stratégie ne nous aidera encore à dépasser la folie et que seuls les imbéciles prétendent ne pas avoir peur, une question s’impose: ‘Sommes-nous des peintres ratés?’ D’ailleurs combien comprennent que peindre c’est dépendre de quelque chose qui est hors de soi? Je n’aime plus que les nègres, les nègres de la peinture. Ceux qui vont d’accident en accident. Les errants, les analphabètes, les hantés, les estropiés, les borgnes, les boiteux, les crocodiles dans le désert. Les étonnés, les désabusés. Ceux qui, comme les arbres, souffrent de la sève et ne sentent pas la chute des feuilles. Sommes-nous encore innocents? Le nègre est innocent. Il a raté son coup. Le coup du pinceau qui brosse de la peinture comme il faut. Dans ce sens-là, il est un peintre raté, comme moi. Il s’est arrêté au bon moment de faire ce qu’on attendait de lui. Le possible, à ce moment-là, était devenu effroyable. Puis, harcelé par sa dyslexie picturale, son impossibilité de se vautrer dans l’image riche ( cette peinture quelque peu faisandée qu’on n’a pu baptiser autrement que peinture-peinture ), sa panique d’autodidacte à vouloir rattraper une connaissance qu’il croyait nécessaire mais qui ne fut qu’obstructrice, forcément, d’accident en accident, il est devenu nègre et s’est retrouvé au bord du gouffre. La botte du possible dans le creux du dos. Et il a sauté. Il a dû sauter. Sans filet: il a bondi hors de la vase de la connaissance dans l’éclair du savoir. Après Ingres, le nu, la chair, c’est devenu de la foutaise. Après Soutine, le paysage, la boue: de l’emmerde. Travailler, c’est faire des hypothèses ( c’est là que la tête rejoint les nerfs ) et reconnaître coup sur coup qu’on s’est trompé. La lucidité, c’est justement savoir que dans le drame de l’existence, donc de la peinture, on ne naît et ne renaît que de ses propres manifestations. La voilà, la solitude. La solitude du nègre. Le désir, c’est le manque. La séparation, c’est le désir. Le désir commence après l’aveuglement. Il y a les paralysés par le dire. Hamlet est perdu d’avance: il est déjà tué, donc immobilisé, avant le père. Hamlet est le peintre tyrannisé par la tête, incapable d’agir, d’errer. Sa pensée paralyse ses nerfs. C’est un peintre castré. Seule une interaction tête-nerfs permet au peintre d’errer dans son désir, donc d’agir. Hamlet se retrouve dans une solitude banale, inutile. Il s’arrête, sans même avoir commencé. Puis il y a les trompés par le faire, comme l’Oedipe d’avant l’aveuglement. Chez lui, l’acte — les nerfs — excluait la pensée, la tête. Cela aurait fait de lui un aussi mauvais peintre. Un peintre de ventre. Mais Oedipe peintre — grâce à l’aveuglement — s’est retrouvé projeté sur la route du désir. Là où Hamlet s’arrête, faute de nerfs, Oedipe se remet en route avec Antigone. Ses yeux: deux croûtes de sang ( la plaie dans la tête ). Il renvoie sa fille ( le guide ) et continue sa route, seul dans son désir, sauvé par la constatation de ses erreurs, de ses faits. Et maintenant, errant. Tête à nerfs. Par la souffrance il a dû accepter que le penser et le faire — la tête et les nerfs — n’agissent qu’ensemble, sans norme exacte d’équilibre, mais tous deux présents. La solitude du nègre: Abel, l’errant, celui qui bouge, la victime de Caïn, l’immobile. Et l’angoisse? N’est-elle pas le signal même qu’on est sur le chemin de son désir? L’angoisse du peintre est la preuve que la toile peut surgir à l’improviste. L’angoisse du nègre rayonne. Se laisser aveugler par elle serait sa perte. Je ne veux ni ne peux comprendre. Comprendre — si on peut se persuader d’avoir compris — n’est qu’un sentiment de satisfaction. Bidon. Il ne faut surtout pas comprendre
une toile; ce serait s’anéantir. D’ailleurs l’arrière de la toile, son derrière, ses fesses,c’est toujours la mélancolie. Incompréhensible, la mélancolie. Une toile, c’est un délire sur carré blanc. Tout délire est un travail — inouï — pour essayer de se reconstruire, de s’inventer un semblant d’unité, de se prouver qu’on est une totalité. C’est une tâche jamais terminée, jamais finie; et il faut le courage de s’avouer: ‘Nous sommes en pièces.’ Après la séparation commence la solitude. Le nègre a été jusqu’à se séparer de lui-même. Que peindre d’autre que la sublimation du manque? C’est suffisant. La simplicité est exigeante: le trop est interdit. Atteindre la simplicité est le pire des désirs. Que faire? Que reste-t-il à faire? Scruter, rien d’autre que scruter. Mais scruter quoi? La peau. La hantise de ce qui se passe derrière la peau de la peinture. Scruter l’invisible mais éblouissante présence derrière la matière peinture. Et pour cela s’arranger avec le temps. Remplir le temps d’attente. Ici une vie d’homme, une vie de peintre ne compte pas. Elle n’est que le prix pour l’oeuvre, et encore faut-il qu’il y arrive! Il ne lui reste, au peintre, que la splendeur de la misère. La belle misère. L’exaltation de sa fragilité. La plaie devenue lumière. Mais aussi: le retour à Godot. L’homme ne s’est vu homme qu’au moment où il s’est peint. Le nègre se peint. Il peint aussi l’autre. Mais c’est pareil; l’autre n’est toujours que lui, l’autre est toujours moi. Un portrait? Non. Le portrait aussi serait un mensonge, un contrat. Une norme. Une pute. Toute norme contient une mise à mort de ce qu’elle exclut. Reste l’icône. L’image du tout soi, qui est tout l’autre. L’image de soi ( petite gueule de nègre, petite gueule de Philippe, petite gueule de Jésus ) qui devient le miroir de la condition inhumaine dans sa splendeur infinie. Une peinture, c’est toujours une réflexion, une possibilité de réflexion offerte aux disponibles, à ceux qui osent se mettre à scruter et à attendre. Il n’y a que le drame qui vaut d’être peint et l’icône est l’image du drame dans son incompréhensible simplicité. La réflexion, une possibilité de consolation. Entrer dans l’icône, c’est trouver refuge dans la ruine. L’homme s’étant peint, s’étant vu peint, ne pourra plus vivre ni mourir sans le vis-à-vis avec l’icône, sans sa présence dans l’icône. Et cela le nègre l’offre. L’artiste prêtre, moine. Il se sacrifie et l’offrande arrive, titubant, après. Question de générosité. Ce que je cherche en peinture, dans la peinture, c’est un témoin sur le chemin de mon désir. L’icône est mon témoin, parfois mon témoignage. Ce qui me nourrit dans ma recherche, c’est l’étonnement; et je ne le trouverai qu’au-delà des limites du possible, en dehors de l’effroyable ennui du possible, en dehors de la norme de ce qui peut se faire. Encore une fois: l’homogénisation, c’est une mise à mort, et les normes n’acceptent jamais le hasard. L’homme n’est capable que de répétition. Non seulement le quotidien ( qu’il est douloureux de rester lucide dans son bourbier! ) n’est, dans son interminable chapelet d’actes impossibles à annuler, qu’une infinie répétition de la mort, mais la vie même, enveloppée par la mort, ne fait que se répéter. Or à moins d’être au point d’en faire une habitude, la répétition c’est toujours nouveau. Chaque icône, chaque répétition d’icône doit être nouvelle. Chaque toile que le nègre peint doit être une répétition nouvelle. Chaque caillou auquel se cognera Oedipe aveugle sera nouveau, bien que traînant là depuis la nuit des temps. Le peintre n’a pas le choix. Le peintre doit s’arranger avec le temps. Aucun choix n’est possible. Un peintre ne choisit pas sa toile, c’est la toile qui choisit le peintre. L’icône, inconnue par lui, vient à lui. ‘Comment la reconnaître?’ est la question terrifiante qu’alors se pose le peintre, se mordant doigts et pinceaux. L’attente. Là, le peintre doit s’arranger avec le temps. C’est un problème pressant. Il y a urgence. Le tableau se fout du temps et le temps s’en venge sur le peintre. Une seule icône coûte facilement une vie de peintre. Un ange sur la route: le hasard. Pas facile, le hasard. On ne le connaît pas. C’est un ange à tête de chien et il laisse le peintre choisir dans son immense panier. Là, il y a du choix! Fais gaffe, nègre, fais le bon choix: le cadeau du hasard qui t’aidera à rendre la répétition nouvelle.
Voilà, nègre, quand je pense à toi, je pense à tes toiles. Les toiles faites, peintes entre-temps. Je veux dire: peintes entre le temps que te volent le système et ses carcans de responsabilités dont on n’a rien à foutre, mais qui sont là — inévitables — parce que la vie toujours s’impose par les catastrophes inutiles d’un quotidien à conduire. Je sais — je te connais — que tu ne peins pas à cause des catastrophes, mais malgré elles qui te cernent et ne te lâcheront jamais. Et c’est là l’attitude juste: il faut peindre le drame non à cause de, mais malgré. Regarde Saint Antoine, même lui: sa solitude dans le désert est entourée d’une foule. Je pense à tes toiles où mon âme à cheval sur mon regard plonge dans la tienne et dans celle de tous, où j’entre dans ton miroir dont je ne reviens plus. Car après la rencontre ( d’un témoin? ) rien n’est plus comme avant. Et — pour en revenir encore une fois à ça, mille fois, cent mille fois, jusqu’à ce que la mort s’en mêle — seul l’étonnement autorise la rencontre et le hasard en fait le tissu. Mais voilà encore une constatation désabusante et splendide, car elle touche le fond du marais qui est toujours là à guetter dans l’homme: ce qu’on désire, c’est aussi et toujours ce qui, dans l’autre, boite, fait défaut. La rencontre dans le manque. Le miroir, toujours le miroir, toujours la réflexion. Tes toiles sont la preuve de mon innocence. Et pour en finir avec la norme, j’écris: si le peintre est prévoyant, il ne peut être voyant. Ce qui me frappe et me réjouit en lisant ton oeuvre, c’est que justement toi, l’obsédé, le neurasthénique de l’ordre, toujours à l’affût d’une structure établie avant le ravage qu’est le geste de peindre, toi le cancre de l’étude académique, le chercheur maniaque de points de repères, le bâtisseur de normes ahurissantes qui ne peuvent que te coincer, malgré tout ce toi, le bel hasard t’a choisi, a choisi de te fréquenter; et avec lui l’accident, l’imprévu, l’incontrôlable, qui te sauvent. Tu es là, dans ton innocence encombrée, à choisir dans son grand panier ce quelque chose de rayonnant qui fait que tes toiles deviennent étonnantes de vérité. Vulgairement écrit: des accueils pour d’autres nègres, des nègres comme moi. Malgré toi, la magie s’est glissée entre les poils de ton pinceau. Tu as appris — et cela t’a raflé presque tout ce qu’un homme construit pour être considéré comme tel — à être absent sans devoir bouger de ta chaise, en route dans ton voyage. Et pourtant tout toi est là. Le hasard ne visite que les innocents. Je le sais. J’en suis un ( il n’y a que les coupables pour écrire cela ). Rien ne sert de gueuler. Il suffit d’attendre. Mais l’attente use son homme. L’attente, c’est la tension ininterrompue où plus personne ne peut te voir. C’est le rongement par le vide absolu. Toujours la solitude. Et alors parfois, lorsqu’on est à bout, que la catastrophe est invivable au point qu’on voudrait y mettre un terme, que l’urgence risque de t’écraser comme on écrase une mouche velue sur la vitre ( vue sur l’Eden ), alors parfois, la toile vient, l’icône, comme une dame en visite. Sans rendez-vous, elle frappe à la porte. Tu as avantage à être là. Présent, prêt. Braguette fermée et clé à la main. La solitude, c’est fabriquer de l’attente. A tout hasard. L’âme est dans la patience. Le possible est effroyable. Blesse ta peinture, sa blessure me guérira. L’innocence, c’est justement: ne jamais éviter le pire.
Philippe Vandenberg Paris, mai 2003
Detail views of the book. On the next pages you’ll ďŹ nd more detail views and three images of etches inside.
SCREEN CAPTURES AND DETAIL VIEWS OF THE FILM BY ‘LES FRÈRES ZARAKOFF’ - BASED ON THE TEXT “LA LETTRE AU NÈGRE” AND A GLOBAL VIEW OF ITS DVD COVER
INSTALLATION AND DETAIL VIEWS OF THE 2004 GROUP EXHIBITION Speelhoven. (Exh. Cat.) ‘Kern en Periferie’. Aarschot, vzw Speelhoven
SELECTED LISTS OF SOLO EXHIBITIONS, GROUP EXHIBITIONS, BOOKS AND EXHIBITION CATALOGUES
SELECTED GROUP EXHIBITIONS 1975 Supositoire à louer. Gent, YD Gallery 1981 Prix de la Jeune Peinture Belge. (Prijs Perspektieven 81 - Prix Perspectives 81). (Exh. Cat.) La Jeune Peinture Belge. Palais des Beaux-Arts Bruxelles 1981 Picturaal 1. (Exh. Cat.) Recente schilderkunst in Vlaanderen. Antwerpen, ICC - Internationaal Cultureel Centrum 1982 Verzameling Provinciaal Museum voor Moderne Kunst. (Exh. Cat.) Münster, Westfalisches Landesmuseum für Kunst und Kulturgeschichte 1982 Het picturaal Verlangen. Le désir pictural. (Exh. Cat.) Mogelijkheden van een actuele Belgische schilderkunst. Brussel-Bruxelles, Galerie Isy Brachot 1982 La Magie de l’Image / De Magie van het Beeld. (Exh. Cat.) Brussel, Paleis voor Schone Kunsten - Palais des Beaux-Arts 1982 Rencontre ‘82; L’Art Belge depuis 1945 et l’U.H.A.P. (Exh. Cat.) Le Havre, Musée des Beaux-Arts André Malraux 1983 Vijftien schilders uit België. (Exh. Cat.) Den Haag, Galerie Nouvelles Images 1983 Approches Picturales - Picturale benadering. (Exh. Cat.) Brussel, Paleis voor Schone Kunsten - Palais des Beaux-Arts 1984 Biënnale van de kritiek 1984. (Exh. Cat.) Antwerpen, ICC - Internationaal Cultureel Centrum 1985 Made in Belgium. (Exh. Cat.) Knokke, Casino Knokke Nove disegnatori Fiamminghi Contemporanei. (Exh. Cat.) Antwerpen, ICC Internationaal Cultureel Centrum Kunst als spiegel van de maatschappij. Kunst als spiegel van de Kunst. (Exh. Cat.) Aalst, Stedelijk Museum Oud Hospitaal Kunstwerk. (Exh. Cat.) (Cd) Elf bedrijven te gast bij de jubilerende Peter Stuyvesant Stichting, Peter Stuyvesant Stichting 1986 Young Belgian Talent. New York, Denise Cadé Gallery - Art Propect Inc 1987 Kunst-Zicht. Aangezicht tot Aangezicht. Gent, RUG - Rijksuniversiteit Gent Fifty anniversary of collecting: an annniversary selection. New York, Solomon R. Guggenheim Museum Deconstruction. (Exh. Cat.) Schaarbeek, Hallen van Schaarbeek 1988 33e Salon de Montrouge. (Exh. Cat.) Un Panorama de l’art contemporain belge. Paris-Montrouge, Centre Culturel et Artistique de Montrouge Collectie & Collecties. (Exh. Cat.) Gent, Museum van Hedendaagse Kunst Gent 1989 La collection du Crédit Communal. The Collection of Crédit Communal. (Exh. Cat.) Art belge - XIXe - XXe siècle/Belgian Art - 19th -20th century. Brussel, Paleis voor Schone Kunsten - Palais des Beaux-Arts 1990 Group show of Works on Paper. Paul Rotterdam, Gérard Titus-Carmel, Jean Dubuffet, Mark Tobey, Vieira da Silva, Guillermo Roux, Hans Reichel, Fred Deux, John Bennett, Wakako, Bertrand Dorny, Philippe Vandenberg, Christian Jaccard. New York, Denise Cadé Gallery - Art Propect Inc Portrait d’une collection d’art contemporain. (Exh. Cat.) Collection Stéphane et Georges Uhoda. Charleroi, Palais des Beaux-Arts You’re right to laugh. Dirk Devos - Georg Herold - René Heyvaert - General Idea - Martin Honert - Kurt Ryslavy - Wolfgang Staehle - Philippe Vandenberg - Carel Visser - Willy Van Sompel. Gent, Richard Foncke Gallery 1991 100 kunstwerken van Vlaamse kunstenaars. Kunst-Loterij. Roeselare, Museum A. Blomme & de Posterie 1992 Stichting Gordon-Matta Clark. (Exh. Cat.) Een selectie. Turnhout, Cultuur- en Ontmoetingscentrum de Warande Découvertes. (Exh. Cat.) Paris, Galeries nationales du Grand Palais Modernism in Painting. (Exh. Cat.) Tien jaar schilderkunst in Vlaanderen. Oostende, PMMK Provinciaal Museum voor Moderne Kunst 1994 Watou ‘94. (Beeldende kunstenaars rond de dichter Hugo Claus ). (Exh. Cat.) Watou, Diverse locaties 1995 Room with views. Michael Bach, Michel Frere, Axel Hutte, Callum Innes, Jean-François Octave, Hermann Pitz, Nicolas Rule, Yvan Salomone, Andreas Schön, Hideo Togawa, Koen Theys, Philippe Vandenberg. Knokke, Casino Knokke Swinging sixties / Sparkling nineties. (Exh. Cat.) La collection d’art contemporain de la Banque Bruxelles Lambert présentée par le Crédit Européen Luxembourg. Luxembourg, Casino Luxembourg Emiel Veranneman. Art Furniture and Paintings and Sculpture by His Friends. New York, Marlborough René Heyvaert, Dan Van Severen, Philippe Vandenberg. Roeselare, Het punt
1996 Ver na Vermeer. (Exh. Cat.) Hedendaagse schilders in Nederland en Vlaanderen. Breda, De Beyerd 3 x 3 op papier. Drie generaties Vlaamse kunstenaars. (Exh. Cat.) Peking, Yan-Huang Art Museum Kunstwerken verworven door de Vlaamse Gemeenschap in 1994-1995. (Exh. Cat.) Antwerpen, MUHKA - Museum van Hedendaagse Kunst Antwerpen 1997 schilderkunst . hedendaags . belgisch. Marc Angeli - Bart Baele - Michaël Borremans - Johan Boutelegier - Raf Buedts - Robert Clicque Mario De Brabandere - Karel de Meester - Vincent De Roder - Dirk De Vos - Ignace De Vos - Karel Dierickx - Filip Francis - Herr Seele - Luc Hoekx Thomas Huyghe - Kamagurka - Marc Maet - Paul Morez - Sjoerd Paridaen - Roger Raveel - Hans Segers - Thé Van Bergen - Philippe Vandenberg Frank Van Den Berghe - Koen Vanderhaegen - Hans Van Heirseele - Anne-Mie Van Kerckhoven - Dan Van Severen - Jürgen Vordeckers. Gent, Croxhapox 1999 De opening - De verzameling. (Exh. Cat.) Officiële opening van het nieuwe Stedelijk Museum voor Actuele Kunst. Gent, SMAK - Stedelijk Museum voor Actuele Kunst Tuinieren na de oorlog (2). (Exh. Cat.) Deel II (Jaren ‘70, ‘80, ‘90). Gent, Witte Zaal Sint-Lucas Gent 2000 20 jaar Watou. “Storm Centres”. (Exh. Cat.) 80 dichters en beeldende kunstenaars uit 15 kleinere landen en taalgebieden in confrontatie met elkaar en met de omgeving. Watou, Diverse locaties Epifanie. Actuele Kunst en Religie. (Exh. Cat.) Heverlee, Parkabdij Heverlee 2000 Het oorkussen van de melancholie. (Exh. Cat.) Gent, Museum voor Schone Kunsten Gent 2001 De spiegel van het verlangen. (Exh. Cat.) (Net) Hedendaagse kunst uit Zuid-West-Vlaams privé-bezit. Kortrijk, Broelmuseum 2002 Genio e Follia - over waanzin als bron van kunst. Venlo, Museum van Bommel van Dam Zinnebeeldig. (Exh. Cat.) 7 symbolen in cultureel erfgoed en hedendaagse kunst: een confrontatie?. Gent, Caermersklooster 2003 DUBBEL-WOONST. Walter Swennen - Philippe Vandenberg - Carel Visser / Philip Huyghe - Under Construction. Gent, Richard Foncke Gallery Gelijk het leven is. (Exh. Cat.) Belgische en internationale kunst uit de collectie. Gent, diverse locaties 2004 Tussen Cobra en abstractie. De verzameling Thomas Neirynck. Brussel, Bellevue Musea, Paviljoen Borgendael Speelhoven. (Exh. Cat.) ‘Kern en Periferie’. Aarschot, vzw Speelhoven Het Hart. (Exh. Cat.) Geschiedenis / Verhaal / Verbeelding. Gent, Museum Dr. Guislain
SELECTED SOLO EXHIBITIONS 1982 Philippe Vandenberghe. Antwerpen, Galerij Cintrik 1984 Philippe Vandenberg. (Books) Voorstelling “Vision 2”. Philippe Vandenberg “Het gevecht met de engel” door Florent Minne. Gent, Richard Foncke Gallery 1986 Philippe Vandenberg-Gezegden-Hugo Claus. (Special ed.) Gent, Richard Foncke Gallery Philippe Vandenberg. Recent paintings. New York, Denise Cadé Gallery - Art Propect Inc 1987 Philippe Vandenberg. Tekeningen. Brugge, De Lege Ruimte 1988 Philippe Vandenberg. recent paintings. New York, Denise Cadé Gallery - Art Propect Inc 1990 Philippe Vandenberg. (Exh. Cat.) Recente werken - Oeuvres récentes. Oostende, Forum Gallery Philippe Vandenberg. GOUACHE - COLLAGE 1982. RECENTE TEKENINGEN eN SCHETSBOEKEN. Gent, Richard Foncke Gallery 1994 Les sentences de cendre. Philippe Vandenberg oeuvres 1989-1994. Brussel, Albert Baronian 1995 Markus Oehlen / Philippe Vandenberg. (Exh. Cat.) (Special ed.) Deurle, Museum Dhondt-Dhaenens Diptychon I - Philippe Vandenberg: (Job XIII, 12) / Olaf Chistopher Jenssen. (Exh. Cat.) Gent, Museum van Hedendaagse Kunst Gent Philippe Vandenberg. (Special ed.) Het boek ‘De stand der dingen’ (1993-’95) werken rondom ‘De Stand der dingen’. Aalst, Galerij C. De Vos 1997 Galerie Athanor 1997. Anna Boghiguian, Dominique Gauthier, Ingrid Hochschorner, Shigeru Kuriyama, Philippe Vandenberg. Marseille, Galerie Athanor Philippe Vandenberg. Oeuvres récentes. L’esprit est voyageur, l’âme est vagabonde. Brussel, Albert Baronian 1998 Schaamte en de tochten. Philippe Vandenberg. Gent, Richard Foncke Gallery La misère du jour. (Special ed.) Voorstelling van het boek met tekeningen van Philippe Vandenberg en teksten van Chris Yperman. Gent, Vereniging voor het Museum van Hedendaagse Kunst Gent 1999 De Boodschapper. (Exh. Cat.) Philippe Vandenberg, Sylvain Cosijns. Gent, Croxhapox Onderbreek me niet, mama. (Special ed.) Antwerpen, MUHKA - Museum van Hedendaagse Kunst Antwerpen Philippe Vandenberg. (Exh. Cat.) Oeuvre 1995 - 1999. Antwerpen, MUHKA - Museum van Hedendaagse Kunst Antwerpen 2001 Philippe Vandenberg. ‘IN MEMORIAM, ETC.’. Brussel, Galerie Albert Baronian Philippe Vandenberg. Peintures et Dessins. Marseille, Galerie Athanor 2003 Philippe Vandenberg. “Daily Drawings of Good & Vile” 1997-2003. Gent, Richard Foncke Gallery Philippe Vandenberg. (Special ed.) “Pelgrims Keel”. Gent, Museum Dr. Guislain Philippe Vandenberg. (Special ed.) (DVD) “Exil de peintre”. Gent, Caermersklooster
BOOKS 1983 Kunst in België na ‘45. Antwerpen : Mercatorfonds, 1983 : b/w and col. ill. 1984 Philippe Vandenberg. Het gevecht met de engel. Gent 1984 - 48 p. : b/w and col. ill. D/1984/2834/1 1986 De wagenmenner en andere verhalen. Album Discipulorum Prof. Dr. M. De Maeyer. Gent 1986 - 268 p. : b/w ill. 1989 Gent. Apologie van een rebelse stad. Geschiedenis . Kunst . Cultuur. Antwerpen : Mercatorfonds, 1989 - 443 p. : b/w and col. ill. ISBN 90-6153-201-9 1995 Hedendaagse schilders in Nederland en Vlaanderen. Rekkem 1995 2000 Epifanie. Actuele Kunst en Religie. Tekstboekje. Leuven : Centrum voor Religieuze Kunst en Cultuur - C.R.K.C. vzw, SMAK, 2000 2001 Ateliers d’artistes. Lieven Nollet. Antwerpen 2001 - 114 p. : b/w ill. ISBN 90-5325-142-1 Kunst in België na 1975. Antwerpen : Mercatorfonds, 2001 - 480 p. : b/w and col. ill. ISBN 90-6153-481-X
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SELECTED EXHIBITION CATALOGUES 1983 7 x Aktuele Kunst. Gent : Noordstarfonds vzw, 1983 - 30 p. Approches picturales - Picturale benadering. Robert Clicque, Jean de la Fontaine, Philippe Vandenberghe, Marc Maet, Christian Rolet, Fik Va, Gestel, Angel Vergara. Brussel - Bruxelles : Vereniging voor Tentoonstellingen van het Paleis voor Schone Kunsten / Société des Expositions du Palais des Beaux-Arts, 1983 : b/w ill. 1984 Biënnale van de kritiek 1984. Antwerpen : ICC - Internationaal Cultureel Centrum, 1984 - 60 p. : b/w ill. D/1984/1540/7 Kunst 80. Brussel 1984 - 80 p. : b/w ill. D/1984/324/12 1985 Kunstwerk. Elf bedrijven te gast bij de jubilerende Peter Stuyvesant Stichting. 1985 - 131 p. : b/w and col. ill. 6 Young Flemish Artists. Dirk De Bruycker, Walter Swennen, Philippe Tonnard, Narcisse Tordoir, Hans Vandekerckhove, Philippe Vandenberg. Brussel 1985 - n. p. : col. ill. D/1985/2111/0019 Kunst als spiegel van de Maatschappij. Kunst als spiegel van de Kunst. Gent : SMAK - Stedelijk Museum voor Actuele Kunst, 1985 : b/w ill. Negen hedendaagse tekenaars uit Vlaanderen. Antwerpen : ICC - Internationaal Cultureel Centrum, 1985 - 24 p. : b/w ill. D/1985/1540/12 1986 Nove Disegnatori Fiamminghi Contemporanei. Brussel : ICC - Internationaal Cultureel Centrum, 1986 - 24 p. : b/w ill. Philippe Vandenberg. Seven Paintings. Gent: Richard Foncke Gallery 1986 : col. ill. D/1986/2834/1 The 16th international art exhibition, Japan (Tokyo Biennale ‘86). 1986 - 94 p. : b/w and col. ill. 1987 Eighty. Les peintres d’Europe. Paris 1987 : col. ill. Deconstruction. 1987 - 136 p. : b/w and col. ill. D/1987/4185/3 Richard Foncke Gallery. Te gast met Willem Cole / Leo Copers / Dirk De Vos / Franklin Engeln / Philippe Vandenberg / Philip Van Isacker / Dan Van Severen. Antwerpen : ICC - Internationaal Cultureel Centrum, 1987 - 47 p. : b/w ill. D/1987/1540/10 1988 Galerie Albert Baronian in ICC. Brussel : ICC - Internationaal Cultureel Centrum, 1988 : b/w and col. ill. D/1988/15405 Philippe Vandenberg. Recente schilderijen / Peintures récentes. Kruishoutem : Stichting Veranneman, 1988 - n. p. : b/w and col. ill. D/1486/1988/75 1988 Philippe Vandenberg. Een kultuurinitiatief van VTB-VAB / Galerij XXI / ‘Gezegden’. Lithografieën met gedichten van Hugo Claus / Rondom de ‘Gezegden’. Werken uit 1985. Antwerpen : Galerij XXI, 1988 - n. p. : b/w ill. 33e Salon de Montrouge. Montrouge - Montrouge 1920-1960. Art Contemporain. Peinture, Sculpture, dessin. Un panorama de l’Art Contemporain belge. Paris : Centre Culturel et Artistique de Montrouge, 1988 : b/w and col. ill. 1990 Philippe Vandenberg. Oostende : Gallery Forum, 1990 - 32 p. : col. ill. 1991 Alleen in mijn gedachten kan ik wonen. Poëziezomer. 1991 Kunst in Vlaanderen, Nu. L’Art en Flandre, Aujourd’hui. Art in Flanders now. Een keuze uit tien jaar aankopen van de Vlaamse Gemeenschap. Une sélection des achats de la Communauté Flamande des dix dernières années. A selection out of ten years of purchases by the Flemish Community. Eine Wahl aus 10 Jahren von Ankaüfen durch die flämische Gemeinschaft. Brussel 1991 - 133 p. : b/w and col. ill. D/1991/3241/52 Philippe Vandenberg. Brussel : Albert Baronian, 1991 - 19 p. : b/w and col. ill.
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