Quand l’homme me découvre, j’éprouve une immense joie : c’est comme si j’accueillais un étranger et que je lui faisais connaître mon âme et mes différentes facettes, des plus belles aux plus laides. Je suis sûr que tous mes invités m’adorent, même si un animal vivant en moi peut prouver le contraire... Selon mon expérience, je peux vous dire que j’ai un faible pour les gens, en fait les humains sont mes préférés, parce qu’ils me traitent comme si je faisais partie d’eux et moi comme s’ils faisaient partie de moi. Il y a une grande synergie entre nous et j’espère que ça ne finira jamais, nous avons une complicité unique. L’homme est l’être le plus inconscient et le plus irrespectueux de la planète. Sans aucun doute. Chaque fois qu’il vient à moi, il me traite mal. Chaque fois qu’il est saint. Depuis que l’homme est présent dans la nature est née une lutte continue : il me pollue et réagit comme je peux, libérant les pires créatures qui habitent en moi, ou en m’agitant, provoquant des tsunamis ou seulement des vagues, quand je suis de bonne humeur. La réalité est que je me suis résigné, je n’ai plus la force de réagir, l’homme me désintègre de plus en plus et mes réactions sont très faibles. Je chante depuis trop longtemps et l’homme ne semble pas s’en soucier, même si je devrais être l’une des choses importantes de sa vie, en un mot essentiel...
1) Points en commun entre le poème de Baudelaire et l’extrait de “Vingt mille lieues sous la mer” : Les deux textes exaltent la beauté et l’immensité de la mer, en faisant émerger la brutalité de l’être humain, qui l’a utilisé comme un moyen de décharge de toutes les horreurs terrestres. Donc, l’homme est représenté comme un destructeur des beautés de la nature et la mer comme une immense étendue d’eau, pleine de mystères que l’homme est incapable de découvrir. 2) Imaginez que la mer prenne la parole pour exprimer son point de vue sur l'homme. Mon ami, je suis le miroir de ton âme, de tes sentiments les plus profonds. Je suis pour toi une source de liberté, où tu peux exprimer tes faiblesses et tes pensées les plus intimes sans te sentir jujé et coupable : considère-moi comme le plus fidèle de tes amis. Toutefois, même si je ne t’ai jamais trompé, je ne peux pas en dire autant de toi. J’ai purifié ton âme et tu, égoïstement, as souillé la mienne, sans réfléchir une seule seconde comment tous les organismes que je accueille et moi pourrons nous sentir.
« La mer est tout ! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est pur et sain. C’est l’immense désert où l’homme n’est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés. La mer n’est que le véhicule d’une surnaturelle et prodigieuse existence ; elle n’est que mouvement et amour ; c’est l’infini vivant, comme l’a dit un de vos poètes. Et en effet, monsieur le professeur, la nature s’y manifeste par ses trois règnes, minéral, végétal, animal. Ce dernier y est largement représenté par les quatre groupes des zoophytes, par trois classes des articulés, par cinq classes des mollusques, par trois classes des vertébrés, les mammifères, les reptiles et ces innombrables légions de poissons, ordre infini d’animaux qui compte plus de treize mille espèces, dont un dixième seulement appartient à l’eau douce. La mer est le vaste réservoir de la nature. C’est par la mer que le globe a pour ainsi dire commencé, et qui sait s’il ne finira pas par elle ! Là est la suprême tranquillité. La mer n’appartient pas aux despotes. À sa surface, ils peuvent encore exercer des droits iniques, s’y battre, s’y dévorer, y transporter toutes les horreurs terrestres. Mais à trente pieds au-dessous de son niveau, leur pouvoir cesse, leur influence s’éteint, leur puissance disparaît ! Ah ! monsieur, vivez, vivez au sein des mers ! Là seulement est l’indépendance ! Là je ne reconnais pas de maîtres ! Là je suis libre ! » Extrait de Vingt mille lieues sous les mers, de Jules Verne L’homme et la mer Charles Baudelaire Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Tellement vous aimez le carnage et la mort, Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !
Seigneur, c’est la mer qui vous parle, je suis heureux d’être traité de cette manière douce, mon coeur se remplit de joie de savoir ce que vous pensez de moi, je suis désormais ancien, J’ai vécu beaucoup d’aventures, mais avant, vous m’aimiez plus, maintenant, à l’époque où je suis, je suis
très méprisé, parce que peu de gens prennent soin de moi, les gens jettent en moi des déchets de toutes sortes, qui tuent les êtres vivants qui font partie de moi, comme ces pauvres poissons qui sont à la recherche d’une vie saine et heureuse et qui sont obligés de se nourrir des déchets que vous, les humains, jetez en moi. J’ai été fatigué, les bateaux qui voyagent au-dessus de moi commencent à être nombreux, et tout ce pétrole qui tombent au-dessus de ma tête me rend malade.
AMI Quand l’homme m’explore, j’éprouve une immense joie: c’est comme si j’accueillais un étranger et lui faisais connaître mon âme et mes différentes facettes, des plus belles aux plus laides. Je suis sûr que tous mes invités m’aiment bien, même si un animal qui habite à l’intérieur de moi peut prouver le contraire...mais ils me défendent contre les mauvais hôtes, ceux qui cherchent à vider mon âme et à la salir, jetant le pire en moi. D’après mon expérience, je peux vous dire qu’ils sont très peu nombreux et que les êtres humains sont mes préférés, parce qu’ils me traitent comme si je faisais partie d’eux et moi comme s’ils faisaient partie de moi. Il y a une grande synergie entre nous et j’espère qu’elle pourra continuer pour toujours. ENNEMI L’homme est l’être le plus stupide de la planète. Sans aucun doute. Chaque fois qu’il vient à moi, il me traite mal. Chaque sainte fois. J’en ai assez de l’homme qui me pollue et me vide, me privant de me sentir bien, et pourtant je ne lui ai rien fait. Dès le premier jour que l’homme est présent dans la nature est née une lutte continue : il me pollue et je réagis comme je peux, libérant les pires créatures qui habitent en moi, ou en m’agitant, provoquant des tsunamis ou seulement des vagues, quand je suis de bonne humeur. La vérité est que je me suis résigné, je n’ai plus les forces de réagir, l’homme me dépèce de plus en plus et mes réactions sont très faibles. Ça fait trop longtemps que je chante et l’homme ne semble pas s’en soucier, même si je devrais être indispensable pour lui.
L’extrait de “Vingt mille lieues sous les mers”, de Jules Verne et le poème de Baudelaire mettent en évidence la grandeur de la mer en disant respectivement qu’elle est infini, qu’elle est habitée par un grand nombre d’espèces animales et que ses richesses sont encore inconnues. Les deux textes indiquent que la mer est un lieu où l’homme peut rester sans se sentir seul et il peut être libre mais il faut se rappeler qu’il n’est pas maître d’elle. Point de vue de la mer Cher homme, je sais que tu viens chez moi pour te sentir libre et pour contempler ton âme, et je...en réalité “nous”, parce que tu sais que nous ne sommes jamais seuls, nous sommes toujours disposés à t’écouter. Je suis heureuse d’être paix et tranquillité pour toi, dans mon infini personne ne peut pas te déranger... Mais si tu me déranges alors tu ne seras plus mon ami. Souviens que si vous, hommes, continuez à me maltraiter, à combattre sur mon territoire, à tuer mes habitants, je serai votre plus mauvais ennemi. Je suis plus forte que vous ne le pensez et je peux vous rendre la vie impossible... Oh! Je suis désolée! Je ne voulais pas être agressive mais...accords clairs amitié longue.
Salut homme, je te parle depuis les abîmes profonds, moi qui avec mon corps couvre une grande partie du globe, je me tourne vers toi mon ami et ennemi éternel! Il fut un temps où nous étions alliés, quand tu me respectais encore et que tu avais besoin de moi pour vivre: tu as chassé le poisson que j’avais abrité pour satisfaire ta faim, mais tu n’as pas tué par cruauté, seulement par nécessité. Tu t’es déplacé sur les eaux avec des radeaux ou des bateaux à rames, mais tu ne m’as pas pollué, au contraire tu m’as tenu compagnie. Les années ont passé et malheureusement tu as changé: avec la technologie que tu as maintenant, tu penses que tu es devenu mon maître et tu abuses de mes créatures. Tu pollues mes eaux, détruis le récif de corail, tu tues des poissons qui ne sont même pas comestibles, mais rappelles-toi: notre destin est étroitement lié et ma destruction marquera aussi ta disparition!
Cher ennemi qui pendant des années et des années m’as exploitée, tu as sillonné mes eaux pour atteindre des terres inconnues et maintenant tu me tournes le dos. Je te demanderais plus de respect s’il n’était pas trop tard. Je te demanderais de respecter mes eaux et toutes ces créatures sans défense qui y vivent et qui tu t’amuses à attraper, capturer, éloigner de leurs maisons et leurs familles pour les enfermer dans de minuscules bassins et les admirer comme si tu étais au cirque. Je t’ai fait confiance quand je t’ai demandé de prendre soin de moi, de me protéger et de me sauvegarder, et tu m’as tourné le dos trop tôt. Tu m’as ignorée quand j’avais besoin d’aide, tu m’as blessée quand j’étais malade, le plastique et les déchets m’étouffent. Et combien d’hommes encore voudras-tu laisser mourir dans mes eaux, en rejetant la faute sur mes vagues, alors que tu es le seul coupable, homme cupide et égoïste. Comme tu peux être calme q uand des
milliers d’espèces animales meurent étouffées par le plastique et que je meurs avec elles. Tu n’aimes pas ta mer et c’est pourquoi tu n’aimes pas tes enfants, ton avenir et le leur. Quand tu réaliseras qu’il est trop tard pour te racheter, quand tu réaliseras qu’il est trop tard pour demander pardon, tu comprendras aussi combien tu as été stupide, et je serai là pour te féliciter: tu t’es détruit de tes propres mains.
Cher ami, je suis désolé si tu me considères et m’as considéré comme l’instrument de la colère divine depuis les origines, si j’ai souvent joué le rôle d’antagoniste, le défi incontournable pour l’homme, l’obstacle par excellence, si tu me vois seulement comme orageux et irrésistible, ennemi qui divise et éloigne. Je suis un allié amical qui unit les peuples, source d’imagination et d’inspiration, désir de communion avec la nature, source de vie, instinct à prendre le large à la recherche de nouveaux abords, voyage pour la connaissance et la découverte. Toi qui me tiens compagnie pendant l’été ou la nuit, quand tu t’assieds sur la plage devant moi, ou quand tu sillonnes mes eaux avec tes bateaux pleins de lumières, quand tu emmènes tes enfants jouer avec moi et que j’aime les esquiver. Je suis le passé, le présent, ta vie et ton avenir. Les premiers êtres apparus sur le globe ont vécu ici, dans la mer, et moi seul étais ici depuis le début, depuis ta naissance, et je t’ai vu grandir, changer, construire des maisons, des familles, des ports, de grands navires et tu fais un excellent travail.
Vingt mille lieues sous les mers / L'homme et la mer Le texte de Vingt mille lieues sous les mers et le poème de "L'homme et la mer" de Charles Baudelaire traitent tous les deux le thème de la mer. La mer est repris à la fois dans sa grandeur, car dans le texte elle est présenté comme un lieu plein de vie et d'animaux et dans le poème, il est dit que l'homme n'a pas encore pu explorer les abîmes et qu'il n'est donc pas conscient des richesses qui vivent dans la mer. Une autre caractéristique commune est la tranquillité transmise par la mer. En fait, quand l'homme est en mer, il se sent en sécurité et dans le texte, il est décrit comme un désert. Dans le poème, il est décrit comme un lieu où vous pouvez contempler votre humeur.
Lettre comme ami Cher humain, je suis heureux de pouvoir vous appeler mon ami. Lorsque vous venez me voir, vous parvenez toujours à me calmer et à me rassurer, et j'espère faire de même pour vous. Les créatures qui vivent en moi sont toutes très attachées à vous, car elles savent que vous avez une bonté unique et que vous serez toujours prêt à les aider. Comme toutes les amitiés, il est normal que parfois on se bat. Je suis conscient que quand ça arrive je ne peux pas contrôler ma fureur et mes vagues peuvent te blesser, mais sache que je ne voudrais jamais te faire du mal. Je suis sûr que vous ne me laisserez jamais tomber et que vous serez toujours prêt à me protéger. J'espère que je pourrai vivre le reste de notre existence dans la paix et l'harmonie. Avec amour, La Mer <3
Lettre comme ennemi Cher humain, je n'aurais jamais pensé écrire une lettre à mon pire ennemi, mais la situation est devenue incontrôlable. Je suis arrivé à un état d'exaspération, je ne peux plus supporter votre attitude insouciante et irrespectueuse envers moi. Mes eaux sont de plus en plus polluées et les créatures qui vivaient autrefois en paix et en harmonie tombent malades à cause de vous. Je me souviens de l'époque où nous étions des amis inséparables, où vous veniez me saluer pour éliminer les pensées pendant quelques minutes. J'ai toujours été une ressource pour vous uniquement pour être exploitée, mais je n'ai jamais rien reçu en retour que la mort et la destruction. Sachez cependant que si vous continuez à me traiter comme si mon existence dépendait uniquement de vous, vous ne pourrez pas apaiser ma fureur même avec le plus grand de vos efforts. Je ne peux plus accepter votre sentiment de supériorité et votre superficialité. J'espère pour vous que vous avez entendu l'avertissement. La mer.
1 Alessia Bringas 01/02/2021
L’homme et la mer chapitre 10 1) Imaginez que la mer prenne la parole pour exprimer son point de vue sur l'homme, en deux temps: c'est un ami, c'est un ennemi
L’homme peut être un ami comme il peut être un ennemi, l’homme veut decouvrire notre nature et ce qui il y a dans notre profondeur, il veut aussi faire de connaissance sur les animaux que il y a dans nous, il nous utilise pour fins positif, comme pour exemple grâce à nous et l'usage de la bateau il a été capable de faire des voyages et de faire rencontre familles ou amis, en plus de faire connaitre a le peuple un nouveaux pays ou île. Cette a été une motivation pour plutôt personne de nous protéger avec des association, mais nous savons que quand il y a un côté positif d’un chose il y a aussi un côté négatif et ce est l'évolution que l’homme a eu avec l’industrialisation, a cause de l’industrie il y a plus pollution marin et ce nous affecte, il y a aussi le personne que jette des déchets sans penser et avec ignorance il s’en fiche. Enfin comme j’ai dit, l'homme peut être notre ami ou ennemi cette dépende de chacun personne.