Crimes et chatiments Au moyen -age .
Auteurs : cm1-1
Š 2009 - 2010
Editeur : l .d .h pocket jeunesse 1
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L’enlèvement Alors que Patrick et Isabelle Maubert sortaient du monastère et rentraient chez eux, ils ne trouvèrent plus leurs parents. Les enfants firent leurs devoirs, mangèrent et deux heures après, leurs parents n’étaient toujours pas revenus. Ils allèrent dormir. Le lendemain, ils coururent dans la chambre de leurs parents, ils ne les virent pas. Ils sortirent dehors. Ils partirent à leur recherche. Ils allèrent vers la muraille de Philippe Auguste. Ils entendirent des cris partout car un bateau anglais passait devant la muraille de Philippe Auguste avec des canons et plusieurs armes et tiraient des boulets de canon pour posséder le royaume de France. Ils coururent à toute vitesse et arrivèrent à Notre-Dame. Il y avait beaucoup de monde. Ils entrèrent dans Notre-Dame. Soudain un moine se dirigea vers eux et leur dit : - voulez-vous chanter ? - oui, avec plaisir. Ils allèrent vers le chœur de l’église. Ils chantèrent. Après le chant, le moine, leur demanda de venir avec lui dans une salle proche du chœur de l’église. Le moine leur dit : « partez loin d’ici et ne revenez plus, vous courez un grand danger ! ». Les enfants partirent de l’église Notre-Dame. Ils se dirigèrent vers le Petit Pont pour aller vers le Pont au Change car ils avaient de l’argent à changer pour s’acheter à manger. Ils traversèrent le Petit Pont et arrivèrent au Pont au Change. Ils échangèrent de l’argent, s’achetèrent à manger du sanglier et comme boisson, de l’eau. Ils s’assirent devant la Seine et mangèrent le sanglier : « que c’est bon !». Pendant qu’ils mangeaient, un homme envoya son chien vers eux, le chien avait des dents bien aiguisées. Le chien essaya de mordre Isabelle et soudain une personne nommée Jacob poussa le chien dans la Seine mais lui laissa sa laisse. Sur la laisse était inscrit : chien de garde de l’employé du roi d’Angleterre. Pendant ce temps, l’homme qui avait lancé le chien pour mordre Isabelle était parti et les enfants remarquèrent qu’il avait une bague sur lui, elle était en or avec un drapeau dessus. Pendant ce temps là, le roi d’Angleterre détenait les parents de Patrick et Isabelle Maubert. Le roi demanda aux parents de lui donner de l’argent. - Donnez-moi votre argent !! - NON !!! - D’accord ! Qu’on les mette en prison ! - NON !! Lâchez nous, arrêtez, je vous en prie !! 3
De l’autre côté de la ville, Isabelle et Patrick demandèrent à l’homme qui leur avait sauvé la vie, son nom. - Comment vous appelez vous ? - Jacob ; je suis médecin à l’Hôtel Dieu. Vous savez les enfants, l’homme qui a lancé son chien, la bague qu’il portait, j’ai l’impression de l’avoir vue dans mon cabinet de médecine. Mais pourquoi a-t-il voulu vous faire du mal ? - Nous pensons que c’est l’homme qui a enlevé nos parents. - QUOI ?!!! Vos parents ont été kidnappés. Vous voulez que je vous aide à les chercher ? - Oui pourquoi pas ? Ils traversèrent la Seine jusqu’au Châtelet, puis au palais du roi de France. Devant le palais il y avait des gardes et ils leur demandèrent : - On pourrait parler au roi ? - Qui êtes-vous ? - Dites que nous sommes les enfants de Monsieur et Madame Maubert il va comprendre. Quelques minutes plus tard les gardes revinrent et leur ouvrirent la porte. - Merci. Ils entrèrent dans le Palais du roi et demandèrent aux serviteurs de les guider vers la chambre du roi. Ils traversèrent un long couloir, puis arrivèrent devant une énorme porte d’or. Ils entrèrent et ils commencèrent à parler. - Bonjour les enfants que voulez-vous et qui est cet homme ? - Cet homme est quelqu’un qui nous a sauvés la vie et qui veut nous aider à retrouver nos parents. - On veut que vous et votre armée vous veniez avec nous pour nous aider à aller les chercher chez le roi d’Angleterre. - Comment savez vous qu’ils sont chez le roi d’Angleterre ? - Nous avons trouvé une laisse d’un chien qu’un homme nous a envoyé où était écrit :
chien de garde de l’employé du roi d’Angleterre.
- Charles, êtes vous d’accord. - Oui. - Merci infiniment Charles. Ils partirent à la recherche de leurs parents. Alors Patrick dit à sa sœur. - C’est étonnant, il y a au moins mille soldats. - On est comme des rois, c’est trop bien. Les soldats crièrent. - Nous voyons la calèche du roi d’Angleterre. Le roi dit aux gardes. - Allez vers lui, je veux lui parler. Les enfants, nous allons interroger le roi d’Angleterre alors préparez-vous. Ils arrivèrent devant la calèche du roi et ils commencèrent à parler. 4
- Que voulez-vous ? - Nous voudrions vous interroger. - OK - Avez-vous envoyé un homme, kidnapper nos parents ? - Non, pas du tout. Mais qu’est ce que vous avez dans la tête ?! « Je vais vous montrer une laisse d’un chien » dit Jacob. Sur la laisse il était écrit : chien
de garde de l’employé du roi d’Angleterre.
- C’est faux. C’est complètement faux. - Bon, d’accord. Les enfants partirent et dirent au roi : - Merci Charles de nous avoir aidés. - De rien les enfants. Le roi les ramena devant son palais. « Au revoir » dit le roi. - Si le roi ne veut pas dire la vérité, je pense que j’ai l’adresse du voleur. « Où ? » dirent les enfants. - Dans mon cabinet de médecine qui se situe à l’Hôtel Dieu. - Bon, alors on y va. - D’accord. - C’est super gentil. Ils arrivèrent à l’Hôtel Dieu et demandèrent à entrer. A l’intérieur il y avait des centaines de malades. C’était horrible. Jacob dit : - On va devoir faire de la marche car mon cabinet est en haut. - OK ce n’est pas grave, l’important c’est qu’on retrouve nos parents. - Allez, montons. - C’est parti !!! Au bout de plusieurs minutes de marche, ils arrivèrent dans le cabinet de Jacob. Il y avait une porte ou il était écrit : Docteur Jacob. Ils entrèrent. - Que c’est grand ! - Bon je crois qu’il faut se mettre au travail. Ils cherchèrent. Au bout d’une demi-heure ils trouvèrent un dossier avec écrit : Robert Rasmo. Jacob dit : - je pense que c’est lui. Ils virent l’adresse. C’était le 20, rue des enfants mal élevés. - Allez, on y va ! - C’est bon, on y va ! Ils arrivèrent vers la rue des enfants mal élevés et toquèrent au 20. Quelqu’un ouvrit la porte, mais avant, Robert Rasmo avait vu par le petit trou en haut de la serrure que c’était les enfants sur lesquels il avait lancé le chien. Alors au moment où il ouvrit la porte, il plaqua un couteau sur la gorge de Patrick. Mais Jacob prit une branche d’un arbre qui était à côté, donna un grand coup à l’agresseur. Il s’évanouit. Jacob prit le 5
cheval qui était attaché à un poteau et les prit, lui, les deux enfants et Robert Rasmo sur le cheval. Ils galopèrent jusqu’au palais du roi. Ils arrivèrent au palais du roi de France. Les gardes les laissèrent entrer car ils les connaissaient déjà. Ils traversèrent encore le long couloir, arrivèrent encore devant la chambre du roi et ouvrirent la porte. - Que voulez-vous les enfants ? - On veut que vous nous confiiez une armée car nous avons trouvé le kidnappeur. - OK pas de problèmes. Je vous donne une dizaine de soldats, ça vous suffit ? - Oui. Ils partirent et, sur le chemin, ils rencontrèrent un garde. Ils lui dirent : - Savez-vous où est le roi d’Angleterre ? - Oui. - Alors où est-il ? Il montra la direction où ils devaient aller, avec son doigt. - C’est par là. - Alors on y va ! Ils partirent et au bout d’un moment ils arrivèrent devant le roi d’Angleterre. - Que voulez-vous, dit le roi d’Angleterre, je vous ai dit que ce n’était pas moi. - Alors c’est qui lui ? Ils montrèrent Robert Rasmo. Et d’un seul coup Robert se réveilla et dit « qu’est ce qui se passe ? » - Rien, mais c’est toi le coupable. - Non, pas du tout, je n’ai rien fait, c’est lui, le roi d’Angleterre, qui me l’a ordonné, si non je serais déjà mort. Les enfants chuchotèrent dans l’oreille du soldat et dirent : - Il faudrait qu’on prenne la reine d’Angleterre en otage. - D’accord. Robert Rasmo essaya de s’enfuir mais trois gardes l’arrêtèrent. Pendant ce temps, les enfants et deux gardes prenaient la reine d’Angleterre. Ils dirent au roi : - Rendez-nous nos parents !!! Sinon on tue votre femme sur le champ. - Tenez la clé de la prison ; allez les chercher au Châtelet, porte 5. Ils partirent vers le Châtelet à cheval et sur le cheval il y avait Jacob et les deux enfants et derrière eux une calèche avec Robert Rasmo, le roi d’Angleterre et la reine d’Angleterre avec des gardes qui les gardaient. Au bout d’un certain temps, ils arrivèrent au Châtelet, ils entrèrent et allèrent à la porte n°5, ils l’ouvrirent. Pendant beaucoup de temps ils se regardèrent d’un regard étonné. - Que vous est-il arrivé ? - Nous sommes partis à votre recherche mais l’important c’est que nous vous avons trouvés. - Exactement !!! 6
Ils sortirent de la prison et dirent : - Attendez maman et papa, il faut que nous emprisonnions le roi d’Angleterre et sa femme et en dernier Robert Rasmo. C’est lui qui vous a kidnappé. Ils l’enfermèrent et rentrèrent chez eux. Ils mangèrent et étaient tous contents de manger ensemble.
FIN hillel akouka-mendel taieb-gabriel suissa-richard portugais.
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L’accusation Nous sommes en 1430 à Paris.C’est l’hiver.il fait froid. Un soir à 9 h, Louis et Louise, un frère et sa sœur, vont se coucher. Tout est calme et tranquille dans la maison. Le lendemain matin quand les enfants se réveillent, ils se rendent compte que leurs parents ont disparu. Une lettre est posée sur le pallier. Dessus il est écrit : vos parents sont accusés du meurtre du fils du roi Charles 7. Les enfants qui savaient leurs parents innocents, décidèrent de les délivrer. Pour cela il fallait qu’ils pénètrent sur les lieux de leur emprisonnement : la forteresse du Louvre. Il était très difficile à cette époque d’entrer au Louvre.La guerre de cent ans contre l’Angleterre n’était pas tout à fait terminée et les lieux importants du royaume de France étaient très protégés. Mais les enfants ne se découragèrent pas. Ils allèrent au Louvre et tentèrent de se faire passer pour les aides des jardiniers. Ils prirent des plantes avec eux et entrèrent dans les jardins du palais à la suite des jardiniers royaux. Aussitôt dans la forteresse, les enfants cherchèrent à rencontrer le roi. Par hasard il se promenait justement à ce moment. Ils s’approchèrent de lui et lui expliquèrent que leurs parents avaient étés accusés à tort du meurtre de son fils. Ils se trouvaient effectivement sur les lieux du crime, mais n’avaient rien à voir avec le meurtre ! Le roi ne les crut pas. Il appela les gardes et les fit renvoyer du château. De retour chez eux, les enfants réfléchirent. Puisque l’idée de se faire passer pour des jardiniers n’avait pas fonctionnée, ils allaient tenter de se faire passer pour autre chose. Louise eut alors l’idée de se faire passer pour les boulangers qui livraient le pain tous les matins aux prisonniers. Ils réussirent à entrer dans le château. Aussitôt ils passèrent à l’action ! Ils coururent au donjon. Ils montèrent les escaliers et tombèrent nez à nez avec des femmes de ménage ! Aucun problème ! Les enfants les capturèrent, les attachèrent, et les cachèrent dans un placard. C’est alors qu’ils entendirent des bruits de fouet. Ils s’approchèrent et virent deux gardes en train de fouetter leurs parents. C’était horrible ! Les enfants étaient catastrophés. Ils ne savaient pas quoi faire pour les aider. Soudain ils entendirent une voix qui murmurait à leur oreille : « Ne vous inquiétez pas, on va les délivrer ! Surtout ne faites pas de bruit ! »C’était leur cousin Roland qui était écuyer au service du roi. Il avait entendu dire que son oncle et sa tante étaient accusés du meurtre du fils de Charles 7 et il était venu voir s’il pouvait les aider à se disculper. « -Que fais-tu là Roland ? Demandèrent les enfants. -Vous savez bien que j’apprenne à devenir chevalier.leur répondit-il. Je travaille ici. Je vais vous aider à libérer vos parents…chut j’entends des pas ! Cachez-vous ! » Malheureusement le garde vit Roland et le jeta aux oubliettes du Louvre. Les enfants sortirent tout doucement de leur cachette. Ils devaient maintenant libérer leur cousin, et leurs parents ! Ils attendirent que la nuit tombe et que les gardes s’endorment. Ils se mirent alors à la recherche de leur cousin. Ils descendirent des escaliers, traversèrent des couloirs sombres et parvinrent enfin aux oubliettes. « -Roland, es-tu là ? -Oui, je suis là. Dépêchez- Vous de me délivrer ! -On ne te voit pas…il fait trop sombre ! 8
-Vous avez une vue de taupe, ou quoi ? Guidez-vous au son de ma voix ! -Comment te sortir de là ? Demanda Louise. -Les gardes sont endormis. Approchez-vous doucement d’eux et prenez leurs clés. Revenez ensuite me délivrer. » Aussitôt dit, aussitôt fait ! Les enfants s’emparèrent des clés dans la poche d’un garde endormi et délivrèrent leur cousin. Ils s’enfuirent. « -As-tu appris quelque chose à propos de nos parents ? -Oui.J’ai surpris une conversation tout à l’heure. Vos parents ont été transférés dans un autre château. Ils sont à Tours, dans les oubliettes du château. -Alors, direction Tours ! Dirent les enfants. » Ils rentrèrent chez eux, prirent des chevaux et se dirigèrent vers la ville ou étaient détenus leurs parents. Quand ils arrivèrent, ils demandèrent aux passants de leur indiquer le chemin du Château. Juste avant l’aube, les enfants et Roland réussirent à s’introduire dans la forteresse. Ils prirent leurs armes, qu’ils avaient apportées de chez eux et s’apprêtèrent à mener bataille pour délivrer leurs parents. Quand ils eurent vaincu les gardes et délivré leurs parents, ils rentrèrent à Paris. Ils avaient un plan en tète. Leurs parents soupçonnaient un homme d’avoir empoisonné le fils de Charles 7.Il fallait en parler au roi et lui apporter les preuves de sa culpabilité. Ainsi leurs parents seraient innocentés ! Le lendemain les enfants se présentèrent au château du Louvre et demandèrent à parler au roi de France. « -Pour quel motif le roi devrait-il vous recevoir ? Demanda un officier de la garde. -Parce que nous sommes des habitants de ce pays ! Répondirent les enfants. » Le garde demanda au roi de les recevoir et le roi accepta. Les enfants s’approchèrent du trône. Ils étaient impressionnés. Tout était si grand, si …majestueux ! Le roi s’adressa à eux. « -Que voulez vous me dire les enfants ? -Nous sommes venus vous apporter la preuve de l’innocence de nos parents…Ils n’ont pas empoisonné votre enfant ! -Connaissez--vous le coupable ? Demanda Charles 7. -Oui majesté ! Nous savons même ou il habite. Nous pouvons vous y conduire. -Comment s’appelle-t-il ? Pourquoi a-t-il tué mon fils ? -Il s’appelle John Smithes, alias la terreur. C’est un anglais. Il travaille pour le roi d’Angleterre. Il a déjà commis des centaines de crimes pour son compte. Il a tué votre fils parce que le roi veut prendre votre couronne et diriger la France à votre place. Il a fait en sorte de faire soupçonner nos parents.
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-Avez vous des preuves ? -Donnez--nous des gardes pour fouiller sa maison et nous vous rapporterons toutes les preuves dont vous avez besoin. -Gardes ! Accompagnez ces enfants là où ils vous le diront et si Smithes est coupable capturez-le ! » Les enfants partirent avec les gardes. Ils les conduisirent au domicile de Smithes. Ils fouillèrent la maison de fond en comble et découvrirent le flacon de poison qui avait servi à tuer le fils du roi. Les enfants soulagés, amenèrent Smithes au roi. Il fut condamné à mort.. Le roi ordonna qu’il soit décapité à coup de hache par le bourreau le plus cruel du royaume. Plus tard dans la journée les enfants retrouvèrent enfin leurs parents et rentrèrent avec eux à la maison. Roland devint chevalier, et ils vécurent tous très heureux, très longtemps !
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FIN :ethan ohnona-elie elkrief -david bokobza
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A LA RECHERCHE DE JEAN FAULCOT
Il était une fois trois cousins qui jouaient à cache tampon, dans le jardin de leur maison. Le premier s’appelait Justin, et avait 15 ans ; il faisait 1m81, était brun avait les yeux verts et pesait 56 kg. La seconde s’appelait Cécilia, avait 14 ans, faisait 1m57, était brune, avait les yeux bleus et pesait 50 kg. Le dernier s’appelait Claudin, avait 12 ans, faisait 1m49, était brun, avait les yeux verts, et pesait 45 kg. Quand Cécilia compta jusqu’à 100, Justin et Claudin allèrent se cacher. Justin se cacha dans les arbres, et Claudin derrière l’enclos. Quand Cécilia eut fini, elle trouva Justin mais pas Claudin. Ils le cherchèrent dans tout le jardin sans le trouver. Très inquiets, ils coururent vers leurs parents. Toute la famille se mit à le chercher, mais sans succès. Leur tante (la mère de Claudin) les accusa de l’avoir caché. Justin et Cécilia se jurèrent alors de le retrouver. Ils cherchèrent dans tous les endroits que Justin fréquentait, sans succès. Pendant ce temps, François (le père de Claudin) apprit la disparition. Un client arriva alors au magasin de François, en disant très enthousiaste : « Bonjour mon cher François ! » « Bonjour » lui répondit François en lui apprenant le drame. « Je peux peut être vous aider…pour 150 louis » lui dit le client. Le père de Claudin lui donna l’argent, et le client commença : « Jeudi dernier, je fus invité chez un ami. Je lui offris un de vos pichets. Après avoir bu toute la bouteille, il allait s’endormir, mais avant m’avoua : « Je suis un kidnappeur ! Je suis le seul kidnappeur de toute la ville ! ». Il s’appelait Jean Faulcot. Il est connu de la prison du Louvre. Il a passé 20 ans de sa vie en prison. Bon ! J’aimerais vous prendre une bouteille de Merlot ! » « Cela vous fera 14,90 louis » dit François « Voici, Au revoir ! » François rentra chez lui et envoya son neveu et sa nièce à la recherche du kidnappeur. Ils prévinrent les gardes du royaume, ainsi que le Roi. Toute la ville se mit à la recherche de Jean Faulcot. Vingt-deux jours après l’enlèvement, un paysan aperçu Jean Faulcot près de sa ferme. Il le suivit et le vit accrocher une demande de rançon à la porte de la maison de François. Justin et Cécilia virent le kidnappeur, au Louvre, lors d’une invitation chez le Roi. 11
Ils le suivirent et arrivèrent dans une pièce sombre, où ils virent leur cousin attaché par des cordes. Tout à coup un homme vêtu de noir leur mit des cagoules sur la tête et ils ne virent plus rien. Ils sentirent alors que quelqu’un les attachait avec des cordes. Ils étaient eux aussi kidnappés. François, étonné de ne plus les voir, décida de partir à leur recherche. Justin et Cécilia, virent alors une bougie s’allumait et aperçurent leur cousin ligoté. François avait disparu depuis un moment, alors quand le Roi s’en aperçu, il alla prévenir ses gardes qui se mirent à la recherche de François et des enfants. François fut retrouvé rapidement, mais les enfants restèrent introuvables. Le Roi lui-même passa deux heures à les chercher, et se souvint tout d’un coup de l’existence d’une pièce secrète dans son château, dont lui seul détenait la clé. Il l’avait caché dans sa chambre. Quand il voulu aller la chercher dans sa chambre, il ne trouva plus la clé et comprit qu’elle avait été volée. Il alla à la pièce secrète et demanda à un de ses gardes de forcer la porte avec un pied de biche. Ils retrouvèrent enfin les enfants, mais ne parvinrent pas à mettre la main sur leur kidnappeur. Le père de Claudin ramena les enfants chez lui, puis retourna chercher le kidnappeur. Quand la mère de Justin vit son fils et sa nièce, elle fut rassurée. Il en fut de même pour la mère de Cécilia. Un jour plus tard le Roi décida de prévenir les rois d’Angleterre et d’Espagne : SI Jean Faulcot était dans leurs pays, il fallait immédiatement l’arrêter et le condamner à mort. Des affichettes furent mises dans toutes les rues. Quand Jean Faulcot vit ces affichettes, il décida alors de se suicider. Quand la famille de Justin sut que Jean Faulcot était mort, elle réclama justice à la cour du Roi.
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Alors, le Roi fit arrêter Bernard Faulcot, le fils de Jean, et le Roi décida de deux ans de prison ferme pour cet homme. Deux ans plus tard, lorsque Bernard Faulcot sortit de prison, soudainement, il décida de devenir bucheron. Un jour il acheta une hache bien aiguisée à 89 louis. La première fois qu’il l’utilisa il trancha un arbre, avec tant de force, que celleci lui glissa des mains, et lui trancha la tête !
FIN natan ouaki- salomon khabie-zeitoune - lior serraf
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La famille Galaad enquête Au XIIème siècle, le roi Artus Galaad qui était dans son château en train de boire du vin tomba soudain sur le tapis en peau d’ours. La porte s'ouvrit en grinçant, et les petits enfants du roi pénétrèrent dans la pièce : Richard et Scélia Galaad. - « Grand-père ! » cria Scelia. - « Il a été empoisonné » dit Richard en l’examinant de plus près. « Nous devons trouver le coupable ». Ils sortirent en courant. Ils se rendirent sur l’île de la cité. Ils commencèrent à chercher là bas. A une heure de l’après-midi, ils eurent un petit creux. Ils décidèrent d’aller manger dans une auberge. Pour le repas, Richard prit un rôti d’oie avec du coulis de miel et Scelia un canard rôti. En dessert, des tartelettes au citron. En sortant, ils virent un homme qui sirotait un antidote. Ils lui demandèrent : - Où l’avez vous acheté ? - Je l’ai acheté au Châtelet, il n’y en avait que deux. Un homme à cicatrice avec une boule de fer a acheté l’autre bouteille. - Vous n’auriez pas vu ou il est allé ? - Non je ne sais pas. - Au revoir et merci. Ils se dirigeaient vers le Châtelet quand le soleil se coucha. Ils furent hébergés chez le boucher qui les connaissait. Le lendemain matin, ils allèrent au châtelet rencontrer le vendeur d’antidote. Ils le questionnèrent : - A qui avez-vous vendu le dernier antidote ? - Je l’ai vendu à un prisonnier du châtelet. - Merci et au revoir. Ils s’éloignèrent du Châtelet en passant par la rue aux Ours. - Récapitulons, dit Richard. - Le tueur n’aime pas le roi et veut le faire disparaitre. -Allons voir les prisonniers envoyés par le Roi au Châtelet. -Oui, mais comment allons-nous y entrer ? - Allons en discuter à l’auberge de la rue aux Ours . Arrivés là-bas, l’aubergiste leur demanda : - Que désirez-vous ? - Nous voudrions du lait et de la brioche . Ils allèrent s’asseoir à une table ; pendant qu’ils mangeaient, ils discutèrent de l’intrigue. Quand ils finirent de manger, ils avaient trouvé la solution pour pénétrer au Châtelet : Richard assommerait les gardes et ils entreraient. Richard sortit son parchemin où était inscrit le nom du seul prisonnier jeté par le roi en prison. Pendant qu’ils marchaient dans un couloir, Richard marcha sur un pavé piégé et des flèches jaillirent du mur. Grace à D…, un chevalier lança son bouclier et sauva les enfants ,Ils le remercièrent et en profitèrent pour lui demander : 14
- Connaissez-vous Lancelot Duvin ? - Oui, c’est un grand criminel, mais aussi l’ancien échanson du Roi. - Savez dans quelle cellule il se trouve ? - Je crois qu’il est dans la 327ème cellule. - Où est cette cellule ? - Vous montez les escaliers puis la 3ème cellule à gauche. Boum ! Boum ! - Qu’est ce que ce bruit ? - Je n’en sais rien. Tout à coup une ombre surgit une lame scintilla. - Je suis le chevalier noir. -Aaaaaah !!! Le chevalier noir sauta avec sa longue épée et tenta de tuer les enfants. Le deuxième chevalier arrêta son coup avec son épée d’argent. Ils commencèrent à se battre tandis que les enfants montaient les escaliers. Les deux chevaliers continuaient à se battre pendant que les petits enfants du roi cherchaient la cellule. Ils ne savaient pas que le chevalier qui leur avait indiqué l’emplacement de la cellule numéro 327 s’était trompé. Ils cherchèrent dans tout l’étage mais ne trouvèrent pas Lancelot Duvin. Ils montèrent au deuxième étage par l’escalier en colimaçon . Pendant ce temps, le chevalier noir et leur ami le chevalier continuaient à se battre. Le chevalier mit son bouclier devant lui et arrêta l’épée du chevalier noir. Il l'acheva d’un coup au front. Il rattrapa les enfants et les aida à chercher la cellule : ils arrivèrent à la cellule n°327 et trouvèrent Lancelot Duvin. Mais, Lancelot Duvin cassa la porte de sa cellule en bois et s’enfuit. ils lui coururent après. il sauta par la fenêtre ou son complice qui l’attendait lui avait préparé un cheval. « Trop tard » il s’est enfui ! Ils descendirent les escaliers en colimaçon en courant pour tenter de rattraper Lancelot Duvin. Quand ils sortirent du Châtelet, le chevalier dut les laisser continuer leurs recherches seuls. Le complice était à vingt mètres d’eux, puis à dix mètres… Il se retourna et tenta de leur trancher la tête. ils réussissent à l’éviter d’un mouvement d'épaule tête. Richard lui fit un croche-pied et le tueur tomba dans la Seine. -
Quel drôle de personnage dit Scélia d’un air étonné.
Elle alla chercher les gardes du Châtelet pendant que Richard surveillait le complice de Lancelot. -
Un criminel est tombé dans l’eau dit Scélia tout essoufflée aux gardes du Châtelet.
Les gardes suivirent Scélia jusqu’à la Seine. Ils arrêtèrent le complice et le mirent en prison. Mais ils ne trouvèrent aucune trace du fugitif. Richard , lui, reconnut les traces de sabots du cheval du tueur ,et décida de suivre la piste. Ils arrivèrent à 20 heures près d’une auberge. -
Le voilà ! chuchota Richard. Qui ? demanda Scélia. Le tueur, Lancelot Duvin, tu te rappelles ? Oui. 15
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On va le coincer.
Ils réfléchirent à un plan jusqu’à 23 heures. Le tueur sortit de l’auberge avec l’antidote. Richard lui sauta dessus, lui arracha l’antidote, et le lança à Scélia qui le rattrapa. Richard et le tueur se battirent jusqu’à ce que Richard lui donne un coup dans le ventre. Scélia lui envoya une corde et Richard attacha le tueur à un poteau. . Ils l'abandonnèrent là-bas.et emmenèrent l’antidote au château. Ils ouvrirent la bouche au roi et lui firent boire l’antidote. Le roi ouvrit les yeux et Scélia lui sauta au cou. Ses petits-enfants lui racontèrent ce qui s’était passé. Le roi envoya des gardes accompagner Scélia et Richard jusqu’au tueur. Richard devint apprenti chevalier et Scélia devint Duchesse lorsqu’elle eut l’âge de l’être. Deux semaines plus tard, on pendit Lancelot Duvin près du Louvre. Cinq mille personnes étaient là. Tout est bien qui finit bien !
FIN eyal benlolo - samuel sellam-kazoula- leo gotheil - samuel bensoussan
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L'aventure de Jean et Pierre Il était une fois deux frères qui s'appelaient Jean et Pierre. Jean avait 12ans et Pierre en avait 10. Ils habitaient à Paris, à coté du château de Philippe Auguste. Leurs parents étaient morts. Mais à leurs yeux ce n'était pas grave. Depuis tous petits ils rêvaient de rencontrer Philippe Auguste. Un jour, ils se décidèrent . C'était le matin, mais quand ils voulurent passer le pont-levis, deux gardes leur dirent: « -Pourquoi venez-vous? -Nous venons pour parler au roi. » Le garde ne voulait pas les laisser passer. Alors Pierre en eût assez et il le poussa dans les douves. « -Bon débarras dit Pierre à son frère ! -Bon maintenant allons le voir. » Sur le chemin ils virent inscrit en lettres d'or: "Chambre aux trésors." Jean dit: « -Pourquoi ne cambriolerions-nous pas cette chambre après avoir vu le roi? » Pierre approuva: C 'était une bonne idée. Il allèrent voir le roi dans sa chambre, mais deux gardes étaient postés devant la porte. Ils leur dirent: « -Est-ce que vous avez reçu une autorisation des deux gardes du pont-levis, pour entrer? » Les garçons répondirent: « -Oui!! » (alors qu'ils les avaient fait tomber dans les douves!!) Mais les gardes savaient que leurs collègues étaient tombés dans les douves à cause de deux enfants.
L’un des gardes dit: « -Est-ce que l'un d'entre vous a 10 ans et l'autre 12 ans? - Non, moi j'ai 11 ans et mon petit frère en a 8. » Les gardes ouvrirent la porte et dirent: « -Mon roi vous avez de la visite !! » Les enfants entrèrent et se présentèrent. Jean commença « - j'ai 8 ans et mon frère Pierre a 12ans… non ,en fait, il a 11ans. » Les officiers commencèrent à avoir des doutes sur ce que Pierre leur avait dit. Le roi dit: 17
« -Oh, deux beaux enfants ! Voulez-vous manger ou boire? » Les enfants remercièrent. « -Alors voulez vous vous asseoir? » Les enfants dirent: « -Oui merci c'est très aimable de votre part, Pouvons-nous vous poser quelques questions? -Bien sur, je vous écoute. -Avez-vous des trésors? -Oui j'en ai plein. -où les rangez-vous? -Je les range dans une chambre aux trésors. Bon ça suffit les questions, j'en ai assez! » Pendants ce temps, les gardes du pont-levis vinrent voir le roi dans sa chambre. « -Qui est-ce? -Ce sont les gardes du pont-levis. -Entrez! » Les gardes entrèrent et racontèrent leur histoire du matin. « -Ce matin roi, nous avons été poussés dans les douves par deux enfants bruns. Le roi demanda. - Est-ce eux ? - Oui ce sont eux s'exclamèrent les deux gardes. - très bien, emmenez-les dans la chambre au fond du château ! » Les enfants essayèrent de s'enfuir, mais aucun moyen! Les portes étaient fermées. -" Lâchez-nous " ! Clic! Clac! La porte était fermée à clef. Les enfants ne savaient plus quoi faire. Pierre regarda par le trou de la serrure et dit à son frère. « -N'est-ce pas la chambre à côté de la chambre aux trésors que nous avons vue tout à l'heure ? -Oui pourquoi? -Parce qu'une chambre aux trésors à toujours plusieurs portes. » Pierre vit un bout de porte qui dépassait derrière une armoire. Ils poussèrent l'armoire un petit peu mais c'était suffisant pour ouvrir. Quand ils entrèrent dans la chambre aux trésors ils virent qu'il n'y avait pas de trésors mais Jean se rappela ce que le roi leur avait dit. "Il faut le mot magique. Jean dit à Pierre. « -Tu connais le mot magique toi ? - Non. Mais je sais où aller pour le trouver. -Mais où ? -A la bibliothèque rose. » Ils sortirent du château et allèrent à la bibliothèque rose. Pierre demande à l'accueil un livre sur la chambre aux trésors du Louvre. La dame lui donna un livre plein de poussière. 18
« -Tenez, les enfants ! -Merci ! » Pierre prit le livre et l'ouvrit au sommaire. Il vit écrit : "Comment faire pour voler les trésors du Louvre, et comment faire pour en sortir" Page 592. Jean tourna les pages jusque la page 592. Ils regardèrent et virent qu'il fallait entrer par une petite porte située dans la chambre à côté de celle aux trésors, Jean dit. « -Il ne parlait pas de la chambre ou on était enfermé tout à l'heure ? -Oui bien sur! Maintenant tais toi et lisons. Quand on aura réussi à passer il faudra le mot magique qui est le nom du roi d'Angleterre. -Mais on le connait ce roi... » Jean lui mit sa main sur sa bouche pour qu'il ne continue pas sa phrase. Le lendemain le roi dit aux gardes qui gardaient le pont-levis que si les deux enfants voulaient rentrer dans le château ils les enferment dans la même chambre que la veille. Pendant ce temps les deux frères parlaient entre eux, le midi ils allèrent au château avec chacun trois lance-pierres, plein de pierres, et de grands sacs ,croyant vraiment qu'ils allaient prendre tous les trésors du château. Quand ils arrivèrent au château à côté du pont-levis, les gardes les prirent et les mirent dans la chambre comme le roi l'avait dit. Au bout d'un moment les enfants se rendirent compte qu'ils étaient emprisonnés dans la même chambre que la veille. Ils poussèrent encore l'armoire et pénétrèrent dans la chambre aux trésors. Là, Pierre s'empressa de dire le prénom du roi d'Angleterre. « -Edouard 3 !!! » Mais rien ne se passa, Pierre commença à pleurer parce qu'il n'avait pas réussi à faire apparaître les trésors du château. Jean essaya à son tour. « -Edouard 3???? » Mais ça ne marchait toujours pas. Pierre continua à pleurer et quand il voulut se moucher il dit le prénom du roi d'Angleterre. « -Edouard 3 !? » Et en une fraction de seconde tous les trésors du château apparurent. Il y avait plein d'or, des diamants, de toutes les formes. Mais l'alarme se déclencha. Dix gardes surgirent dans la chambre aux trésors alors que les enfants n'avaient même pas eu le temps de bien le voir . Les gardes n'étaient pas armés alors que les enfants avaient des lance-pierres. L'un des gardes dit: « -Sortez d'ici, sinon j'appelle le roi ! -Appelez-le, dit Jean. -Tu es sur de ce que tu dis ? 19
-Qu'on appelle le roi ! » Le roi descendit dans la chambre, il vit les frères en train de pouffer. Le roi mécontent prit la parole: « -Alors les enfants, pourquoi voulez vous de l'or ? -Nous voulons de l'or pour être riche -Qu'on leur donne une poignée d'or ! -Merci mais nous voulons tout l'or qui se trouve ici -Vous ne voulez pas aussi ma couronne ? -Pourquoi pas ? » Les enfants sortirent leurs lances pierres et la bataille commença. Les gardes n'arrivèrent pas à se défendre Jean en assomma six, et Pierre quatre. Puis, Jean remplit les sacs d'or et Pierre lança une pierre sur la tête du roi qui s'évanouit. La couronne tomba au sol. Quand Jean eut finit de prendre le maximum d'or, il dit à son frère: "Prend de l'or et surtout la couronne du roi". Quand ils finirent, ils allèrent vers le pont levis pour sortir du château. Jusque là, tout ce passait bien, mais quand ils y arrivèrent, deux gardes les interpelèrent. Ils sortirent leurs lance-pierres, mais ils n'avaient plus de munitions, alors Jean dit à son frère: « -Prends des pièces à la place -D'accord » Les gardes dirent : « -Donnez moi tout ce qu'il y a dans vos... » Et là, ils lancèrent des pièces dans la bouche des gardes qui s'étouffèrent. Ainsi, ils rentrèrent chez eux sans problèmes. Le lendemain, tout le monde parlait de leur cambriolage, les meurtres et surtout le vol de la couronne du roi. C'est deux frères étaient maintenant les plus recherchés de la ville. Les deux frères étaient très contents de leur exploit mais ils voulurent quitter le Royaume de France pour aller en Angleterre. Mais ils ne pouvaient plus sortir de la ville. Les gens ne savaient pas ou ils habitaient. Jean dit: « -Comment va-t-on faire pour partir d'ici -Je sais! tu te rappelles que j'avais tiré sans faire exprès sur le roi ? Je pense que demain tout le monde ira au château pour prendre de ses nouvelles, alors nous partirons d'ici -Très bonne idée, mais tu es sur que demain tout le monde sera au château ? -J'en suis sur -Mais avec quoi allons-nous entrer ? -Nous prendrons un cheval pour chacun, nous irons jusqu'au port, et ensuite nous prendrons un bateau. -D'accord ! » Le lendemain matin, effectivement, tout le monde était au château. Les enfants prirent un cheval pour chacun et mirent leurs trésors sur le 3ème cheval. Ils partirent sans problème. Quatre jours plus tard, ils arrivèrent à leur destination. 20
« -Ouf j'en avais assez de ce voyage, dit Jean. -Maintenant, descends et viens! On va chercher un bateau. Une heure plus tard ils trouvèrent un petit bateau ou il ne restait qu’une seule place, ils la prirent et mirent les trésors dans leur cabine. » Le voyage était long, il faisait froid, Enfin ! Ils arrivèrent en Angleterre ! Arrivés là, Jean dit : « -Comment va-t-on faire pour aller à Londres ? -Avec des chevaux ? » Ils prirent des chevaux et partirent vers Londres. Le voyage était très long. Cinq jours plus tard, ils arrivèrent a destination. Ils se précipitèrent vers le château du roi devant le pont levis. Des gardes les interpelèrent, les deux étaient mécontents. « -Laissez-nous passer, on amène des trésors. -Fais voir s'il te plait. » Pierre lui montra une pièce, les gardes les lâchèrent. « -Maintenant on va voir le roi - D'accord » Ils allèrent voir le roi, les gardes tapèrent à la porte : " Toc Toc " « -Qui est-ce ? , dit le roi -Ce sont les gardes, nous sommes avec deux enfants qui vont ont apporté les trésors. -Entrez ! » Ils entrèrent dans la salle du trône, à peine entrés, le roi dit: « -Montrez- moi les trésors ! -Tout de suite majesté, dit Jean. » Jean posa tous les trésors au sol mais ne posa pas la couronne. Le roi dit: -Merci beaucoup, voulez-vous en garder un peu ? « -Oui merci, nous, on vous a donné les trésors de la chambre secrète à Paris -Ah ! C'est encore mieux que ce que je pensais, -Nous avons aussi réussi a prendre la couronne du roi du Royaume de France. -Vous voulez me la donner ? -Bien évidemment mon roi ! -Alors demain je la mettrai, ou plutôt c'est vous qui me la mettrez sur la grande montagne. Gardes écrivez des lettres et alertez le peuple afin qu'il se rende a la grande montagne. A midi, il y aura un festin. » Le lendemain à midi, tout le monde était au pied de la grande montagne. Les gens mangeaient, buvaient, et riaient. Il n'y avait que Pierre, Jean et le roi en haut de la montagne. A une heure, le roi prit la parole : « -Silence ! Je vous prie de m'écouter , je voudrais vous dire que ces deux enfants m'ont apporté les trésors du château du Louvre a Paris. » Les gens applaudirent : " Bravo !! " « -Merci, dit le roi, mais ce n'est pas fini, ils m'ont aussi rapporté la couronne du roi du Roi de France, ils vont me la mettre tout de suite. Allez-y! » 21
Les enfants posèrent la couronne sur la tête du roi, et tout le monde commença à chanter et à danser. Le roi les interrompit et dit : « -Je tiens à dire merci à Jean et à Pierre et pour les remercier, je vais les adopter. » Et la fête continua jusqu'a la fin des temps et les enfants vécurent heureux. Salomon Chichportich Yoram Toledano
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Les aventures des Lévy Il était une fois un duc qui s'appelait Claude Lévy. Il venait d'être enlevé. Ses enfants décidèrent de rechercher le ravisseur. Le petit garçon s'appelait Maxime, il avait 7 ans. La petite fille s'appelait Isabelle était un peu plus grande, elle avait une douzaine d'années. Afin de réfléchir tout en mangeant, ils se rendirent dans une taverne ou ils avaient l'habitude d'accompagner leur père. Ils se trouvèrent par hasard assis aux cotés du puissant marquis de Carabasse .Il discutait avec le seigneur de Parabas. En tendant l’oreille, les enfants s'aperçurent que les deux hommes parlaient du duc de Levy, leur père. Ils décidèrent aussitôt de les espionner afin de délivrer le prisonnier. Ils suivirent le Marquis quand il sortit de la taverne. Ils s’introduisirent, à sa suite dans son château. Ils se dirigèrent vers la chambre du marquis..Aux serviteurs qui s'étonnaient de les trouver là , les enfants répondirent que c'était le Marquis lui même qui les envoyait chercher un objet. Comme ils étaient voisins les serviteurs ne cherchèrent pas à en savoir plus. Les enfants pénétrèrent dans le bureau du Marquis ,dérobèrent les plans du projet d'enlèvement et s'échappèrent. Malheureusement le Marquis les intercepta et vit les plans cachés dans la poche d'Isabelle .Il tenta de s'emparer d'elle mais Maxime qui veillait sur sa grande sœur, mordit le Marquis et permit à cette dernière de s'échapper! Maxime n'eut pas cette chance! Le Marquis le captura et le jeta dans la pièce du donjon ou était emprisonné son père. En tentant de ligoter Maxime , le Marquis fit tomber son poignard. Claude(le duc de Levy)s'en saisit discrètement et le cacha dans sa ceinture .Quand les gardes furent partis Claude coupa les liens de Maxime .Maladroitement il se blessa au doigt, et ne put s'empêcher de crier .Les gardes se précipitèrent mais ne voyant rien de particulier, ils ne purent que dire: «- pas moyen de dormir ici!! » Maxime leur répondit: « vous pouvez dormir tranquilles, que voulez vous que nous fassions? Nous sommes attachés!!! » Alors que les gardes dormaient le duc et son fils réussirent à s’échapper. Malheureusement ils se retrouvèrent nez à nez avec le seigneur de Parabas qui était venu rendre visite à son complice. Le duc engagea la bataille en hurlant .Les domestiques alertés par les cris comprirent la situation et se rangèrent aux cotés du duc. « attrapez-le vivant! »ordonna Claude. Les gardes obéirent et l'amenèrent devant le duc. « -Ou se cache le marquis? Demanda Claude. -Dans une cave dissimulée sous une trappe ?répondit le seigneur de Parabas. » Le duc se tourna pour parler à se soldats qui n'avaient pas tout compris à l'histoire et leur dit: « Sonnez le rassemblement et fouillez tout le château pou retrouver le Marquis. Tuez quiconque se mettra en travers de votre chemin! » Beaucoup plus tard... le chef des soldats vint au rapport et dit au duc: 23
« -Nous avons tué tous les soldats qui s'opposaient à nous et nous avons trouvé la trappe. Malheureusement il faut une clé pour l'ouvrir et nous ne l'avons pas! -Eh bien trouvez la! -Je crois savoir ou elle se trouve ,dit Maxime -Ah oui, et ou est -elle? lui demanda son père. -Dans le bureau du marquis , bien sur! dit l'enfant. » Ils se dirigèrent vers le bureau du marquis , le fouillèrent mais ne trouvèrent rien. Maxime s'adressa alors à son père en lui demandant: « Puis-je gagner les toilettes afin d'y satisfaire un besoin aussi hygiénique que pressant? -Bien sur mon fils! répondit Claude. » Il alla aux toilettes et comme par hasard il trouva la clé. « -Papa!J'ai trouvé la clé dans les toilettes! -Bravo mon fils! Grâce à toi nous allons trouver le Marquis! » Ils soulevèrent la trappe et découvrirent des canons, des boulets, des arbalètes. Le duc appela se gardes pour qu'ils transportent toutes ces armes jusqu'à son château. « Ou est le marquis? Vous ne l'avez toujours pas trouvé? » Après trois minutes et quarante trois secondes... « -On l'a trouvé ,mon seigneur! On l'a trouvé! Il voulait se tuer dans son bureau avec son épée! Nous l'avons arrêté à temps! -Ouf!Qu'on me l'amène! » Le marquis escorté des gardes entra dans la pièce ou se trouvait le duc de Lévy. « -Alors on fait moins le malin? Dit Claude. -Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr! -Qu-on le pende demain à six heures!!! Le lendemain... « Je pends le marquis pour avoir essayé de prendre ma place! » Le duc retrouva alors son fils ,sa fille , et son château. FIN nathan levy- benjamin levy.
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LE COFFRE VOLE LE COFFRE VOLE Il était une fois, en Janvier 1246 deux enfants qui s'appelaient Jim et Cinthya . Ils étaient amis et Cinthya était anglaise. Une nuit, Cinthya dormit chez Jim. Ils se couchèrent .Jim entendit un grincement. Jim se leva et aperçut une ombre avec un couteau. Il réveilla Cinthya et lui expliqua ce qui se passait. Cinthya voulut plus de détails, alors elle alla avec Jim espionner l'individu. Ce dernier entendit des pas et se retourna. Les enfants se cachèrent. Il était maintenant 1 hOO du matin. Le stress monta chez les enfants. Le cambrioleur se sauva par la fenêtre. Les enfants se précipitèrent à la fenêtre, et virent le cambrioleur. Le cambrioleur les vit aussi. Il partit en direction de l'ouest ,vers la grande avenue. Les enfants se préparèrent et le suivirent. Mais, Jim et Cinthya n'arrivaient plus à suivre le cambrioleur. Ils reprirent vers l'est. Finalement,Ils le retrouvèrent . Il entra dans une taverne. Dans la taverne il y avait beaucoup de monde. Les enfants aperçurent le cambrioleur . Ils y penetrèrent eux aussi. Il était maintenant 2hOO du matin. Le cambrioleur se cacha dans un coin de la taverne et ressortit de l'autre coté . Les enfants se perdirent dans la foule. Jim et Cinthya questionnèrent les passants. Ils demandèrent à un jeune homme : «-Avez -vous vu quelqu'un habillé en noir de la tete aux pieds? -Non désolé -Bon merci quand meme. Ils demandèrent ensuite à une jeune femme: «-Avez-vous vu quelqu'un habillé en noir de la tete aux pieds? -Oui je l'ai vu sortir de l'autre coté de la taverne! -Merci beaucoup. Au revoir.» Les enfants se précipitèrent vers l'autre coté de la taverne. A l'extérieur ils virent le cambrioleur tourner au coin de la rue. Il était maintenant 3hOO du matin. Les enfants tournèrent au coin de la rue. Le cambrioleur vit les enfants le suivre. Il entend des bruits, il se retourna, les enfants se cachèrent. Le cambrioleur continua sa route.25
Le cambrioleur essaya de se cacher mais Il ne réussit qu'à trouver une poubelle pour se cacher, alors il préféra continuer sa route. Le cambrioleur pénétra dans le château du Louvre. C'est la qu'il avait rendez-vous avec ses complices. Les enfants remarquèrent les complices du cambrioleur. Ils eurent peur de se faire remarquer, alors ils se cachèrent derrière un mur. Les enfants essayèrent d'écouter la conversation des complices. Ca donnait à peu prés ça : «- Attention dit le cambrioleur, je sais que deux enfants nous suivent. - Qui sont-ils? dit un autre. - Je n'en sais rien dit le cambrioleur. - Il faut essayer de les repérer dit quelqu'un. - Ha, Ha, Ha firent les complices et le cambrioleur.» Quand les enfants entendirent la conversation ils eurent encore plus peur que d'habitude. Les cambrioleurs sortirent du château du Louvre. Ils regardèrent autour d'eux pour voir si les enfants étaient la. Les enfants restèrent cachés derrière le mur. Les cambrioleurs se dirigèrent vers la maison de Jim pour récupérer le coffre.
Il était maintenant 4h30 du matin. Arrivés devant la porte, ils regardèrent autour d’eux pour voir si les enfants étaient la. Les enfants étaient de l'autre coté de la maison. Ils guettaient les cambrioleurs. Les cambrioleur crochetèrent la serrure grace à une épingle et pénetrèrent à l’interieur. Ils s’emparèrent du coffre et sortirent. Les enfants les virent. Ils entrèrent dans la maison pour voir si les parents de Jim dormaient encore. Les cambrioleurs,eux, retournèrent au château du Louvre, pour se partager les gains . Les enfants les suivirent. Les cambrioleurs se partagèrent les gains mais ils n’étaient pas d’accord.ils se disputaient . . Les enfants décidèrent alors de retourner chez Jim pour se déguiser. Cinthya monta sur les épaules de Jim.
Ils mirent un pantalon noir et un pull à manches longues qui appartenaient aux parents de Jim et une longue cape noire puis ils se rendirent au château du Louvre. Ils virent que les cambrioleurs étaient encore la. Ils s’avançèrent vers eux. C’est ainsi qu’ils découvrirent que celui qui avait cambriolé la maison était en fait le voisin, et que les complices étaient en réalité les serveurs de la taverne. Les voleurs étaient enfin identifiés !
Il était maintenant 6hOO du matin. Jim et Cinthya avaient sommeil . ils rentrèrent chez Jim pour dormir. Le lendemain matin ils se 26
rendirent chez le capitaine de la garde pour lui expliquer la situation. Le capitaine dit aux enfants: -Je vous suis, montrez-moi qui sont les cambrioleurs. Arrivés chez le voisin, ils actionnèrent le heurtoir. Personne ne répondit. Heureusement le capitaine avait le double des clés. Ils entrèrent. Les enfants et le capitaine virent que les complices avaient dormi chez les voisins. Quand tout le monde fut réveillé, le cambrioleur et ses complices étaient déjà menottés. Le commissaire dit: - Vous etes en état d'arestation pour vol !Ils furent jetés en prison !On les y oublia pendant des années. C’est pour ça qu’aujourd’hui encore on appelle les prisons du moyen –age, les oubliettes !!!!
FIN
EVA kARSENTY,MAYA CHERQUI ,NOEMIE ZAOUI , ETHEL SOUSSI,APRIL DUKAN,NAOMIE SABBAN, EDEN ZERBIB .
CHAPITRE 1 : L’étrange individu.
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ENQUETE A PARIS La veille de leur douzième anniversaire, Edward et Marie jouaient aux cartes. « J’ai gagné ! s’exclama Marie. - As-tu entendu ce cri ? » Marie regarda par la fenêtre. Il y avait un étrange individu chez les voisins. « Ne trouves-tu pas cela étrange ? Allons voir. - Prenons une torche, la nuit vient de tomber. Il va faire sombre. » dit Marie. Les enfants traversèrent la cour. Marie s’arrêta de stupeur. « Que se passe-t-il ? ».
CHAPITRE 2 : « Depassy. » Edward se tourna pour regarder dans la direction que Marie lui indiquait. « Qu’est-ce que c’est » demanda Edward à sa sœur jumelle. - Ce sont des traces de pas. - Je pense que c’est du sang. - Suivons les. » En suivant les traces, ils passèrent par une ruelle obscure qui menait à un mur sur lequel grimpait la vigne. Les traces s’effaçaient au fur et à mesure qu’ils les dépassaient. Soudain, les traces s’arrêtèrent devant une grande demeure. Sur la porte, il était inscrit : « Depassy ». « Sais tu qui est ce « Depassy » ? questionna Edward. - Je ne sais pas lui répondit Marie pensive. - Tout cela est vraiment très inquiétant. - Il se fait tard, Edward, rentrons. Père n’aime pas que nous soyons en retard pour le souper. Les deux enfants rebroussèrent chemin. CHAPITRE 3 : Le petit homme Le lendemain, Edward et Marie se levèrent à l’aube. « Retournons à la demeure proposa Edward. - Oui, allons-y. Tirons cela au clair. » Une fois arrivée devant la demeure si intrigante, Marie toqua à la porte. On ne répondit pas. On entendait seulement de légers grincements de porte venant de l’intérieur. Marie eut d’abord peur, mais se reprit et tout à coup, sûre d’elle, tourna la poignée et pénétra dans le hall de la grande bâtisse. « Viens Edward, murmura-t-elle à son frère resté à l’extérieur. Il ne peut rien nous arriver.
- Es-tu certaine que cela est sans risque ? - Entre nigaud… ». Edward suivit Marie. C’était une grande maison inhabitée depuis plusieurs années. Tout était couvert de poussière, de toiles d’araignées. Dans le salon, où se trouvaient les deux enfants, les fauteuils et le canapé étaient recouverts de draps blancs. On entendit des pas. Ils virent apparaître un homme de petite taille, au nez crochu. Quand il se tourna, Marie et Edward s’aperçurent qu’il avait une énorme bosse sur son dos. Il était très repoussant.
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CHAPITRE 4 : Croutard. Dès qu’il vit les enfants, le petit homme resta sans voix. « Comment vous appelez-vous ? dit Marie. Ceci est votre mai… ? ». Avant même que Marie eut fini sa phrase, il prit ses jambes à son cou. « Ne partez pas si vite, » crièrent les enfants. Edward le suivit et le rattrapa très rapidement. Marie arriva un peu après, essoufflée. Edward avait poussé le nain à tout avouer. « Que t ‘a- t-il dit ? » demanda Marie impatiente. - Il prétend qu’il se nomme Croutard et qu’il est au service d’un certain Depassy qui l’a chargé de cacher le crime du Duc Henri Charles. - Pourquoi l’a-t-il tué ? - Pour prendre la clé du coffre qu’il a volé, il y a trois ans de cela. Ce coffre contenait un manuscrit. - Ne me faîtes pas souffrir, et je vous mènerai jusqu’à Depassy.
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CHAPITRE 5 : L’affaire élucidée. Croutard les conduisit jusqu’à une petite fontaine. « Qu’est-ce que cette fontaine a à voir avec Depassy. - Excusez-moi j’ai soif , s’exclama Croutard entre deux gorgées. Après avoir bien bu, il les fit passer par un jardinet, puis par un petit pont, enfin ils passèrent par une porte donnant sur une pièce exigüe. Ils reconnurent la silhouette de l’homme de la nuit de crime. Dès que Croutard le vit, il se prosterna. « Excusez- moi O grand maître, dit-il en pleurant, que votre clémence m’épargne. - Qu’avez-vous fait au duc ? - Comment avez-vous su ? dit Depassy. - Nous vous avons vu par la fenêtre le soir du crime, accusa Edward. - Vous n’avez aucune preuve !!! Ah ah ah ah ah… - Croyez-vous ça… dit malicieusement Edward. C’est vous qui avez la clé. Vous la tenez dans votre main en ce moment, n’est-ce pas ? Et vous avez laissé des traces de pas derrière vous. Regardez, vos souliers sont encore recouverts de sang. Marie va chercher la garde royale ! Depassy essaya de s’échapper, mais Edward lui fit obstacle lorsqu’il passa près de lui. Depassy s’étala de tout son long. Quelques instants plus tard, Marie arriva avec une dizaine de gardes derrière elle. « C’est lui, cria Marie, en désignant Depassy, nous avons toutes les preuves. ». Depassy et son complice, Croutard le serviteur, furent arrêtés et envoyés en prison en attendant leur procès. Marie et Edward rentrèrent chez eux, bouleversés par cette aventure. Leur père les attendait. « J’ai été informé de cette histoire. Vous avez été très braves mes enfants. Mais vous avez couru un sérieux danger. Allez dans le salon, une petite surprise vous attend ». Les enfants se hâtèrent. Au milieu du salon, se dressait une pyramide de meringues multicolores. « Joyeux anniversaire mes enfants ».
FIN meital sitbon - hadassa roos - luna guez- lea bohbot - elodie partouche - myriam anis.
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« L’enlèvement » par :hillel akouka-mendel taieb-gabriel suissarichard portugais. « L’accusation »par :ethan ohnona-elie elkrief -david bokobza
« A la recherche de Jean Faulcot » par :natan ouaki- salomon khabiezeitoune - lior serraf.
« « La famille Galaad enquête »par :eyal benlolo samuel sellamkazoulaleo gotheil - samuel bensoussan. « L’aventure de Jean et Pierre »par :Salomon chichportich - yoram toledano.
« Les aventures des Lévy »par :nathan levy- benjamin levy.
« Le coffre volé »par :april dukan -maya cherqui - eva karsenty-ethel soussi - noemie zaoui - naomie sabban. Eden zerbib.
« Enquête à Paris »meital sitbon - hadassa roos - luna guez- lea bohbot - elodie partouche - myriam anis. Classe de CM1 – Mme Zakine – Ecole Lucien De HIRSCH
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