Portfolio

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Contrat à Duée Déterminée

Sept. 2015 Avril 2016

Urbalink

Bureau d’étude d’aménagement urbains


C.D.D. URBALINK, BUREAU D’ETUDE D’AMENAGEMENTS URBAINS, Toulouse EXTRAITS DE LA MISSION SUR LES POLES D’ECHANGES MULTIMODAUX, SNCF Urbalink est un bureau d’Êtudes techniques spĂŠcialisĂŠ dans l’amĂŠnagement urbain (mâtrise d’oeuvre). J’ai effectuĂŠ un C.D.D. de huit mois (C.D.D. de trois mois suivi d’une prolongation de cinq mois). J’ai eu pour missions selon les projets : la conception urbaine et paysagère, le diagnostic paysager et la gestion d’interfaces ĂŠventuelles avec le bâti, le dessin de projets, la rĂŠdaction de notices explicatives, les estimations des travaux. Durant la première mission de trois mois j’ai rĂŠalisĂŠ la conception urbaine et paysagère du projet de six PĂ´les d’Echanges Multimodaux dans le cadre du projet des AmĂŠnagements Ferroviaires au Nord de Toulouse (AVP). J’ai ensuite eu pour mission la conception et le dessin de diffĂŠrents projets d’amĂŠnagements urbains et de projets paysagers tels que: ‹ SÂťHJVTWHNULTLU[ KLZ YtZPKLU[PHSPZH[PVUZ K\ X\HY[PLY KL )LSSLMVU[HPUL (=7 796 ‹ SÂť\YIHUPZH[PVU K\ JOLTPU KLZ *HU[H\YLZ n 3L .HYYPJ 796 ‹ SH YtUV]H[PVU KLZ ]VPYPLZ K\ *,4,: ZP[L *59: KL ;V\SV\ZL (=7 796 +*, ‹ SL YtHTtUHNLTLU[ \YIHPU L[ SH JVUJLW[PVU WH`ZHNuYL K\ JVL\Y KL IV\YN KL =PSSL\UL\]L Z\Y =uYL (=7 ‹ SL YtHTtUHNLTLU[ KL SH Y\L )H`HYK L[ KL SH Y\L .HTIL[[H n ;V\SV\ZL 796 +*, ‹ SH JVUJLW[PVU KLZ LZWHJLZ ]LY[Z KL SH NHYL T\S[PTVKHSL KL -SL\YHUJL 796 +*, ‹ SL YtHTtUHNLTLU[ KLZ LZWHJLZ W\ISPJZ KL =PSSLUL\]L Z\Y =uYL J’ai approfondi mes connaissances sur les Voiries et RĂŠseaux Divers (assainissement, normes et gĂŠomĂŠtries d’ÊlĂŠments urbains, etc.) ainsi que sur les outils de dessins (Autocad, Skectchup, Photoshop) et dĂŠveloppĂŠ mon sens critique sur l’amĂŠnagement urbain ainsi que sur la conception paysagère.


Saint - Jory 7 SL K»,JOHUNL 4\S[PTVKHS Projet d’un parking silôt en connexion avec une place publique (espace d’attente aménagé et végétalisé, boxes à vélos, passerelle d’accès aux quais, ...)



PROJET DE FIN D’ETUDES, CENTRE DRAMATIQUE NATIONAL UN LIEU DES ARTS, UN LIEU DES TEMPS

4VU 7YVQL[ KL -PU KÂť,[\KL JVUZPZ[HP[ n revaloriser les

activitĂŠs du Centre National Dramatique * + 5 !K\ 5VYK !'(")*($$&

,Z[ ;Oto[YL 5,:; KL ;OPVU]PSSL NYoJL H\ rĂŠamĂŠnagement des espaces Z\Y SL ZP[L Vƒ ZL ZP[\L SL [Oto[YL HJ[\LS ,U SL 5,:; H VI[LU\ SL [P[YL KL * + 5 5tHUTVPUZ ZLZ V\[PSZ KL [YH]HPS L[ KL YLWYtZLU[H[PVU ZVU[ YtLSSLTLU[ PUZ\MĂ„ZHU[Z! \UL seule salle, dans un ĂŠtat critique et d’une jauge de 200 places est Ă disposition pour les spectacles et les crĂŠations.

semestre 10 7YVQL[ -PU KÂť,[\KLZ

l’architecture et l’ÊphĂŠmère de la reprĂŠsentation 0S UL ZL YtZ\TL WHZ ZL\SLTLU[ n SÂťPUZ[HU[ KL SH YLWYtZLU[H[PVU THPZ PS LZ[ \U LUJOL]v[YLTLU[ d’actions, de rencontres et de liens logiques qui s’Êtablissent au quotidien. Le thÊâtre est un vĂŠritable tourbillon culturel et humain.

Projet pour le 5,:; *LU[YL Dramatique 5H[PVUHS

,UZLPNUHU[Z ! 4 4(A36<4(5 . .90), 1 .(<;,3

3LZ SPL\_ K\ ­[Oto[YLŽ TvSLU[ KL\_ [LTWVYHSP[tZ ! SH pÊrÊnitÊ de

3H ZHSSL KL ZWLJ[HJSL LZ[ \U vide qui devient sacrĂŠ de par sa ma-

tĂŠrialitĂŠ, sa spatialitĂŠ mais ĂŠgalement par la magie de la rencontre entre ZWLJ[H[L\YZ L[ JVTtKPLUZ 5V\Z KL]LUVUZ LU X\LSX\L ZVY[L UV\Z TvTLZ acteurs de notre sociĂŠtĂŠ lorsque nous nous rendons au thÊâtre. Comment disposer les diffĂŠrents ĂŠlĂŠments de la machine thÊâtrale HĂ„U X\L convivialitĂŠ et intimitĂŠ puissent cohabiter?


NEST (Nord Est Théâtre) à Thionville, en Moselle


Plan de rez-de-chaussĂŠe du projet

Plan de masse du projet


Elévation Route de Manom (JJtZ H\_ H[LSPLYZ KtJVYZ LU[YtL K\ 5,:; L[ WLYJtL ZV\Z Io[PTLU[ ! SPLU KPYLJ[ H]LJ S»LZWHJL W\ISPJ LU IVYK KL 4VZLSSL

Elévation côté Moselle 9PKLH\ K»tStTLU[Z ]LY[PJH\_ LU HJPLY JVY[LU X\P TL[ LU ]HSL\Y SL ]VS\TL NtVKtZPX\L KL SH ZHSSL X\P ]PLU[ WVUJ[\LY SL Io[PTLU[

Elévation côté voie ferrée 7HZZLYLSSL JVUULJ[HU[ SLZ KL\_ YP]LZ 3LZ TH[tYPH\_ L[ SLZ ]VS\TLZ ZL YLUJVU[YLU[ ZL JVUMYVU[LU[ L[ KPHSVN\LU[


*YVX\PZ KL S»LU[YtL K\ 5,:; L[ KL SH WLYJtL ZV\Z SL Io[PTLU[

Croquis de la galerie menant aux différentes sa

Depuis la rue, prolongement d’un shed comme signal d’entrée WLYMVYt K\ ZSVNHU K\ 5,:; ! ­0*0 65 9(*65;, +,: /0:;609,:® ;YH]LYZtL KL SH JV\StL ]LY[L KHUZ SL [Oto[YL! \UL percée au sein du bâtiment. .YHUK ]PKL ZV\Z [VP[\YL ! JVUUL_PVUZ ]PZ\LSSLZ LU[YL SLZ KPMMtYLU[Z UP]LH\_ K\ Io[PTLU[ L[ découverte de la structure du bâtiment.

.HSLYPLZ KL JPYJ\SH[PVU PU[tYPL\YLZ L[ NHSLYPL L_[t verticaux en acier corten. 7V[LH\_ LU HJPLY JVY[LU _ JT ZLSVU \UL Jeux de perception ! KtJV\]LY[L WYVNYLZZP]L la succession de poteaux.


alles

tYPL\YL K`UHTPZtLZ WHY SL rideau d’éléments

L [YHTL KL Tu[YLZ L K\ ]VS\TL VYNHUPX\L KL SH ZHSSL Ä_L n [YH]LYZ

Croquis de l’entrée de la salle principale de forme organique :HSSL Ä_L KL forme géodésique : élément signal, surprise depuis la galerie. <[PSPZH[PVU K»HJPLYZ WV\Y SLZ YL]v[LTLU[Z L_[tYPL\YZ tJOV n S»\ZPUL KL S»HTPUVPY n MYVPK ! acier corten / acier inoxydable, dialogue entre aciers, à l’image des dialogues théatraux. 3»HZWLJ[ JVYYVZPM KL S»HJPLY JVY[LU THYX\L SL [LTWZ X\P WHZZL L[ t[HISPL KLZ liens avec son site et son histoire.


Coupe sur la salle principale



ORGANISATION DES ESPACES PUBLICS ET DES HABITATIONS ROCHES DE LUMIERE

*L WYVQL[ ZL ZP[\L n .HUKPL LU ,ZWHNUL ]PSSL KL OHIP[HU[Z ZP[\tL H\ Z\K KL SH

WYV]PUJL KL =HSLUJL Z\Y SH J [L TtKP[LYYHUtLUUL n RT KL =HSLUJL 3H ]PSSL LZ[ [YH]LYZtL WHY SL WL[P[ Ă…L\]L SL :LYWPZ +,)-(&

Dans un premier temps, il fallait projeter sur une zone en lamelle Tu[YLZ _ Tu[YLZ en IVYK KL Ă…L\]L, des ĂŠquipements publics et des habitations collectives en traitant les SPLUZ WO`ZPX\LZ L[ ]PZ\LSZ H]LJ SL Ă…L\]L L[ SH YP]L KÂťLU MHJL Vƒ ZL ZP[\L SL JVL\Y OPZ[VYPX\L

semestre 7

Projet d’organisation d’une zone

Par la suite, une zone a ÊtÊ sÊlectionnÊe pour la dÊvelopper plus prÊcisÊment en terme KLZWHJL W\ISPJZ KtX\PWLTLU[Z L[ KOHIP[H[PVUZ ,U LMML[ SLZ connexions physiques entre le public et le privÊ Êtaient à prÊciser et il fallait imaginer une bibliothèque, ainsi que des logements T2, T3, T4 et T5.

4VU [YH]HPS ZÂťLZ[ VYPLU[t WYPUJPWHSLTLU[ Z\Y SH YLSH[PVU LU[YL SL W\ISPJ L[ SL WYP]t

Quelles transitions proposÊes entre l’espace public et l’intimitÊ du logement? ,UZLPNUHU[ ! 1 5(=(996

Chaque espace privĂŠ trouve sa place dans le temps de l’espace public. L’espace privĂŠ est la prolongation de l’espace public. J’ai cherchĂŠ Ă faire disparaĂŽtre l’opposition entre la sphère publique et la sphère privĂŠe. Du public dans le privĂŠ, de l’intimitĂŠ dans le public.


Gandie, Espagne

Maquette - .#/&%0&)0%#.1&


Une ville compacte : envahir la parcelle

Une ville connectée: connexions piétonnes

Des vides comme des impacts de rochers

Des équipements qui viennent embracer les patios

Plan de rez-de-chaussée - galeries piétonnes, commerces, équipements, espaces verts et co


onnexions urbaines



( S»PTHNL KL .HUKPL X\P LZ[ \UL ville compacte parsemée de

cours et de patios, j’ai imaginé la superposition de trois plateformes (habitations - équipements publics - parking enterré) parsemées de creux. De plus, cela répondait au souhait d’un projet à échelle humaine et donc à traiter le projet dans l’étalement horizontal et la superposition des espaces.

3H OH\[L\Y KLZ WSH[LMVYTLZ KLZ tX\PWLTLU[Z L[ KLZ SVNLTLU[Z LZ[ KL

7 mètres.

Au sein des plateformes, les vides permettent des liens physiques et visuels ainsi que des apports de lumière. Ces vides sont comme des impacts de rochers YHWWLSHU[ JL\_ WYtZLU[Z KHUZ SL ÅL\]L 3H végétation pousse à travers les vides et surgit au sein des espaces. Des points de circulation verticale présents au sein des vides connectent les trois plateformes entre elles (parking - équipements publics - espaces publics - habitations).

3L cube, élément le plus simple pour créer des espaces complexes,

abrite à la fois les logements ainsi que les espaces des équipements publics.

Perspective en rez-de-chaussée galeries des équipements et commerces, éclairées par des puits de lumière


PROJET DES HABITATIONS DANSE CUBIQUE

Comme un jeu de poupĂŠe russe, dans le cube Ă la peau dure de bĂŠton se trouvent de plus petits cubes Ă la chaire de bois clair correspondant aux entitĂŠs de l’habitation LU[YtL J\PZPUL ZHSSL KL IHPU JOHTIYLZ 3H disposition de ces pièces crĂŠent des espaces centraux Ă partagĂŠs entre les membres de la famille : espace Ă ]P]YL LZWHJL KL QL\_ KL YLUJVU[YLZ 3LZ J\ILZ KLZ WPuJLZ UL ZL [V\JOLU[ WHZ L[ HWWHYHPZZLU[ HSVYZ KLZ loggias.




Une pluie de cubes



; T 9La KL JOH\ZZtL K»\U ; T J\PZPUL ZHSVU

,[HNL K\ ; T JOHTIYLZ ZHSSL K»LH\ T LU [V[HSP[t


MAISON-ATELIER POUR UN ARTISTE LA COURBE VOCALE

3L WYVQL[ KL THPZVU H[LSPLY WV\Y \U HY[PZ[L ZL ZP[\L Z\Y \UL WHYJLSSL H\ IVYK K\ ÅL\]L

:LYWPZ n .HUKPL LU ,ZWHNUL ;V\[ K»HIVYK PS MHSSHP[ JOVPZPY LU[YL \U JOHU[L\Y KL ÅHTLUJV \U WLPU[YL \U ZJ\SW[L\Y V\ \U WOV[VNYHWOL WV\Y JVUJL]VPY SH THPZVU H[LSPLY 0S Z»HNPZZHP[ KVUJ +,)-(,

d’allier «vivre» et «travailler» KHUZ \U TvTL SPL\

4VU JOVP_ Z»LZ[ VYPLU[t ]LYZ 4PN\LS 7V]LKH JOHU[L\Y KL ÅHTLUJV YtW\[t LU ,Z-

WHNUL 0S MHSSHP[ KVUJ JVUJL]VPY KLZ SPL\_ KL YtWt[P[PVUZ L[ KL YLWYtZLU[H[PVUZ HPUZP X\L KLZ SPL\_ de vie (réception, intimité). semestre 7

Projet d’une maison

3H TLPSSL\YL YLWYtZLU[H[PVU KL TVU écoute de la voix KL 4PN\LS 7V]LKH LZ[ SH courbe.

/HIP[\LSSLTLU[ SH T\ZPX\L Z»tJYP[ KL THUPuYL OVYPaVU[HSL THPZ TVU tJV\[L PUZ[PUJ[P]L Z»LZ[ orientée vers la verticalité.

d’artiste

Ainsi, à l’image de la voix de l’artiste et du cours d’eau, la courbe dessine la colonne ,UZLPNUHU[ ! 1 5(=(996

vertébrale du projet : circulations verticales, jeux de regards. Des parois obliques viennent Z»HJJYVJOLY L[ [YH]LYZLY SH JV\YIL HÄU KL JYtLY SLZ KPMMtYLU[Z LZWHJLZ KL ]PL L[ KL [YH]HPS 0S ` a des connexions visuelles entre la cuisine / salle à manger et la salle de répéition / salle de concert. S’alimenter physiquement et émotionnellement.


Gandie, Espagne


&TQBDF JOUJNF SÏnFYJPO DIBOU

&TQBDFT EF OVJUT

2#(%()

&TQBDFT EF KPVS &TQBDFT EF SÏQÏUJUJPOT &40-&0.").&14%

3,$$&0-&0

$IBOUFVS EF nBNFODP .JHVFM 1PWFEB Répartions des espaces

Plan niveau rez-de-chaussée

(OpYDWLRQ GHSXLV OH ÁHXYH

Schémas de


)&

9#&

0.").&14

95:

principes KFVY EF SFHBSET FU BQQPSUT EF MVNJÃ’SF

9=2

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Schémas de principe0500$&%0)(*&,#607#(0%8,14(.#$&)40,#4"#10-&0$,0."$"))&0."#1/&

Elévation sur rue


HABITATIONS GROUPEES UN MUR SOCIAL

Baziège, quartier en Coustous

Concevoir sur une parcelle en traitant le lien avec le centre ancien de Baziège et les champs environnants; et en préservant l’identité agricole et villageoise de Baziège et de ses habitations. #B[JÒHF

3»PU[LU[PVU WYPUJPWHSL K\ WYVQL[ LZ[ KL mêler la nature à la ville 3H SPTP[H[PVU KL SH WYtZLUJL

de la voiture, l’accentuation de celle de la végétation, la création de venelles piétonnes guidant vers le champs et la création de jardins potagers partagés entre les habitants de Baziège, sont H\[HU[ K»tStTLU[Z TPZ LU WSHJL HÄU K»L_WYPTLY JL[[L PU[LU[PVU Des murs de briques massifs le long des venelles permettent de marquer la limite public/

semestre 6

WYP]t L[ KL TP[V`LUUL[t L[ HÄU KL IYPZLY SH TVUV[VUPL KLZ murs pivotent et marquent les entrées d’un logement et du jardin de la maison voisine. Ces murs font ÄN\YLZ KL SPLU ZVJPHS.

Projet d’habitations groupées

,UZLPNUHU[Z :

Une hiérarchie des ouvertures des logements sur l’extérieur dessine une gradation de l’intimité 3LZ SVNLTLU[Z ZVU[ TVUV VYPLU[tZ L[ WYtZLU[LU[ \UL MHsHKL WS\Z StNuYL WSLPULTLU[ V\]LY[L H\ :\K 6\LZ[ LU JVU[YHZ[L H]LJ SLZ T\YZ THZZPMZ KL IYPX\LZ Des jeux de hauteurs JHYHJ[tYPZLU[ S»LUZLTISL K\ WYVQL[ HYJOP[LJ[\YHS 3»LU[YtL LU MVUK KL

5 79(;

parcelle est mis en scène par une triple hauteur et une fente de lumière zénithale 3L mur de

( 26<4(:

briques devient alors mur de scène sur lequel la lumière glisse, s’accrohe et joue avec les ombres

4 7,965 4 :(9;9,

JYttLZ WHY SLZ HZWtYP[tZ KLZ IYPX\LZ 3H JPYJ\SH[PVU ]LY[PJHSL ZL ZP[\L ZV\Z JL[[L S\TPuYL atUP[OHSL L[ s’accroche à un mur porteur autour duquel la circulation horizontale tourne également.


Venelle piĂŠtonne



Plan nivea RDC

Faรงade sur jardin

Maquette - faรงade depuis le jardin

Coupe longitudinale


ESPACES PUBLICS / ECOLE DE YOGA, EQUERRES D’ACIER COREN

.POUHJTDBSE

semestre 5

3»LZWHJL W\ISPJ HJ[\LS Q\_[HWVZHU[ SL JLU[YL HUJPLU KL 4VU-

tgiscard, présente plusieurs éléments proteurs du projet: l’Eglise Projet

et son mur clocher; la végétation qui structure l’espace public et

aménagement

la place du Foirail et l’Esplanade, deux entités bien distinctes ou-

public

]LY[LZ Z\Y SH ]HSStL n S»PU]LYZL KL SH 7SHJL :HPU[ 4HYJ PTWHZZL H\ coeur d’îlot.

,UZLPNUHU[Z ! 5 79(;

Deux équerres en acier corten VU[ t[t TPZLZ LU WSHJL ,U[YL

: (::(::05 4

gradins, escaliers rampes et bancs, elles connectent, tout en les des-

:(9;9,

sinant, les différents espaces publics. Ces équerres s’adossent au WHY]PZ KL S»,NSPZL n SH WSHJL K\ -VPYHPS L[ n S»,ZWSHUHKL THPS K»HYIYLZ


Montgiscard, de la place du Foirail à la rue Saint-Marc

Axonométrie - projet des rampes - équerres en acier corten - jeux de rythmes du bâti de l’école de Yoga avec l’existant


3L WYVQL[ JVUZPZ[L n SH mise en relation et

la Yt\UPÄJH[PVU KLZ LZWHJLZ W\ISPJZ (pavés de pierre sur toute la zone et équerre d’acier corten), la mise en valeur du parvis de l’église (nouvelles circulations voiture et piétonne) et la connexion avec la rue du Vallon malgré les différences de niveaux (promenade grâce à des rampes piétonnes). Ce projet d’esoace public est composé de plateaux de différents niveaux qui disposent d’usages et d’ambiances singulières: - les lignes fortes dirigées vers la vallée, des HSPNULTLU[Z K»HYIYLZ Z\Y S»,ZWSHUHKL L[ KLZ KHSSLZ NYHUP[ X\P ZL WYVSVUNLU[ Z\Y SL WHY]PZ KL S»,NSPZL - le foisonnement d’arbres KL SH MVYv[ H]LJ des éléments ponctuels au sein de clairières (jeux d’enfants, abris pour pic nic, etc.) sur la place du -VPYHPS





COMPAGNIE LA MACHINE, Spectacles - Violoniste ENTRE MECANIQUE ET MUSIQUE

>,)4&%

et technicienne

3H Compagnie La Machine KL 5HU[LZ HZZVJPH[PVU SVP MVUKtL LU

L[ KPYPNtL WHY -YHUsVPZ +LSHYVaPuYL Kt]LSVWWL KL UVTIYL\_ WYVQL[Z H\ZZP IPLU KHUZ SL domaine de l’aménagement urbain 3LZ 4HJOPULZ KL S»0SL n 5HU[LZ 3LZ (UPTH\_ KL SH 7SHJL n SH 9VJOL Z\Y @VU¯ X\L JLS\P KL spectacle de rue à grande échelle 3VUN 4H 1PUN :OLU 3LZ 4tJHUPX\LZ :H]HU[LZ 3H :`TWOVUPL 4tJHUPX\L 3»,_WtKP[PVU =tNt[HSL¯ ,SSL WYtZLU[L \UL YLUVTTtL PU[LYUH[PVUHSL

Spectacles Compagnie 3H 4HJOPUL

(Y[PZ[LZ [LJOUPJPLUZ L[ KtJVYH[L\YZ KL ZWLJ[HJSLZ Z»` YLUJVU[YLU[ HÄU KL MHPYL

naître des architectures vivantes qui transforment nos villes et nous permettent de WVY[LY \U UV\]LH\ YLNHYK Z\Y UVZ JP[tZ 3»OVTTL L[ ZLZ ZH]VPY MHPYL ZVU[ S»LZZLUJL TvTL K\ WYVJLZZ\Z KL JYtH[PVU

;Hz^HU

5HU[LZ

[YH]HPS T»H H\ KtWHY[ H\[HU[ MHZJPUtL X\L MHsVUUtL L[ H\QV\YK»O\P TL WVY[L KHUZ TLZ

3H 9VJOL :\Y Yon Bruges Paris

1L WHY[PJPWL n KLZ ZWLJ[HJSLZ KL SH *VTWHNUPL 3H 4HJOPUL KLW\PZ *L YPJOL

YtÃ…L_PVUZ L[ TLZ JOVP_ Z\Y TVU H]LUPY





LA VILLE de MARTIN CRIMP scénographie CHANTIER D’ECRITURE, CHANTIER DE VIE

1BSJT

ZLTLZ[YL Projet ,5:(73=

Oto[YL KL SH *VSSPUL

Scénographie

Durant un mois et demi, par groupe de quatre étudiants, nous avons imaginé la scénographie et la mise en scène de la pièce La Ville KL 4HY[PU *YPTW puis participé à un concours inter-école en collaboration avec le Théâtre de la Colline 5V[YL WYVQL[ a été retenu pour une exposition au sein du théâtre lors de la présentation de la pièce mise en scène par 9tTP )HJOt

de la pièce 3H ]PSSL KL 4HY[PU *YPTW

,UZLPNUHU[Z ! 4 4(A36<4(5 4 +,::(9+6 1 .(<;,3

3H =PSSL une pièce en chantier

3L JOHU[PLY Z»PTTPZJL JVTTL \UL ZLUZH[PVU PU[tYPL\YL \U THS v[YL HWWHYLU[" 3»tJOHMH\KHNL LZ[ S»tJYPU JtYtIYHSL KL JLZ WLYZVUnages que nous regardons vivre.


maquettes et mise en scène


Scène III

Scène déserte Déconstruction conjugale Transparence apparente Entendre sans voir : cliquetis de SCENE DESERTE


Scène II

Scène déserte Brutalité extérieure Translucidité étrange Entendre sans voir : cliquetis des lettres SCENE DESERTE Lumières derrière l!échafaudage frontal s!allument


EXPOSITION A VIVRE, IKREA au C.M.A.V CUISINE ET RESONANCES

Un appel à candidature a ÊtÊ lancÊ par le Centre 4tYPKPVUHS KL S(YJOP[LJ[\YL KL SH =PSSL KL ;V\SV\ZL 0S ZHNPZsait de choisir une pièce domestique et de ne la traiter ni comme prototype, ni comme objet design, ni comme LZWHJL KL YLWYtZLU[H[PVU V\ KL_WVZP[PVU 5V\Z KL]PVUZ crÊer un espace qui existe par lui même et qui invite à !"#$"#%&

la rencontre et à l’investissement des lieux.

5V[YL WYVQL[ KL [YVPZ t[\KPHU[LZ LU SPJLUJL HYJOP[LJ-

[\YL L[ KLZPNU H t[t YL[LU\ 5V\Z H]VUZ WYVWVZt KL JYtLY la pièce Cuisine et RÊsonances ­*\ZPULŽ JVTTL SPL\

JVU]P]PHS YLTWSP KÂť\UL YPIHTILSSL KL ZVUZ ­9tZVUHUJLZÂŽ JVTTL HTWSPĂ„JH[PVU KL IY\P[Z X\P ZL YtWHUKLU[ 5V\Z

029,( ,_WVZP[PVU Ă vivre

7HY SÂť( , 9 ( (\ *4(=

avons jouĂŠ avec le dĂŠtournement d’objets de cuisine et rĂŠinterprĂŠtĂŠ leurs dispositions et leurs usages 4PZ en interaction avec le public, ils se rĂŠvèlent comme de vĂŠritables instruments de musique. Durant les deux mois d’exposition nous avons organisĂŠ quatre concerts expĂŠrimentaux Ă base de batterie de casseroles, de carillons en verres, de cymbales en JV\]LYJSLZ P U V _ KL [PTIHS LU JOH\KYVUZ n JVUĂ„[\YL KL JSPX\L[PZ KL JV\]LY[Z 5V\Z H]VUZ PU]P[t KLZ T\ZPJPLUZ L[ les visiteurs, les curieux, les passants ĂŠtaient conviĂŠs Ă se joindre Ă nous et venir Ă improviser en rythme !


Centre MÊridional de l’Architecture et de la Ville


Mobile de cuivres

Mur de couverts

Etagères de verres





Encre de chine, eau, pinceaux, baguettes, éponges, mouchoirs sont autant d’outils que j’utilise pour expérimenter la feuille : la marteler, la mouiller, la strier, la parsemer... Sur la page d’expression découlent des images sonores en mouvements... 2013-2015

3»LUJYL WLYTL[ KL QV\LY Z\Y SLZ U\HUJLZ KL YLWYtZLU[LY S»HIZ[YHP[

Je peints mes émotions, mes payages mentaux 0S Z»HNP[ KL partitions ,UJYL KL JOPUL

émotionnelles où les éléments qui animent mes sens sont retranscris sous formes d’aplats, de tâches, d’éclats...

Paysages du sensible

Partitions émotionnelles


ENCRES, formes et tâches

PARTITIONS DU SENSIBLE






CROQUIS, sites de projets et musĂŠes // urbains et villes SAISIE DE REALITES PERSONNELLES

3L croquis est le moyen le plus appropriĂŠ pour saisir dans sa totalitĂŠ un

site de projet: les proportions d’un bâtiment existant, les ĂŠlĂŠments environnants qui nous interpellent. C’est un outil qui permet de comprendre la construction d’un espace, la composition d’un morceau de ville...

0S MH\[ HSVYZ [YV\]LY \U WVPU[ KL ]\L WLY[PULU[ ZÂťPUZ[HSSLY VIZLY]LY HUHS`-

ser, saisir, choisir, reprĂŠsenter.

3PNUL KÂťOVYPaVU WVPU[Z KL M\P[L ]\L KÂťLUZLTISL Kt[HPSZ KPMMtYLU[Z WSHUZ

ombres et lumières, construction, matĂŠrialitĂŠ, complexitĂŠ des espaces, prĂŠsences humaines, paysages urbains, contrastes, bâti, vĂŠgĂŠtation... Autant de poins et de traits donnant Ă voir la synthèse d’un regard . Croquis ĂŠtudes de site voyages

*YVX\PZ YtHSPZtZ H\_ Z[`SVZ L[ H\_ ML\[YLZ UVPYZ SHYNL Ă„UL TPJYV


La Machine, Nantes - 09.07.2013



P a s s a g e d e l ’ A l b e re d a , Va l e n c e , E s p a g n e -

04.04.2014


L’ A l h a m b r a , G r e n a d e , E s p a g n e -

23.02.2014



PHOTOGRAPHIES

L’INDIVIDU DANS L’ESPACE

3H WOV[VNYHWOPL LZ[ \U outil. ,U HYJOP[LJ[\YL PS UV\Z WLYTL[ KL

capturer des espaces KL ÄNLY SH ]PSSL LU JVUZ[HU[L t]VS\[PVU ,SSL WLYTL[ KL UL WHZ V\ISPLY 3H WOV[VNYHWOPL WLYTL[ KL TVU[YLY JL X\L notre oeil cible. Le plus dur, c’est de trier.

J’aime le sens du détail, saisir quelque chose que tout le monde ne voit pas. Dans une ville un tas d’échelles est à aborder : je vois une rue, j’en cherche un point perspicace qui me permettra d’obtenir une 2010-2016

ILSSL WLYZWLJ[P]L WV\Y WYVÄ[LY H\ TPL\_ KLZ MHsHKLZ L[ KLZ HYJHKLZ X\P

Photographies

SH JVTWVZLU[ " THPZ QL WL\_ H\ZZP WLUJOLY StNuYLTLU[ S»HWWHYLPS HÄU KL donner un mouvement, un effet de chute à ma prise de vue.

Capturer l’individu dans l’espace

3H WOV[V JHW[\YL KLZ Kt[HPSZ ZHUZ X\L S»VU ZHJOL K»V PSZ VU[ t[t

tirés. *HW[\YLY \U TV\]LTLU[ X\P ZL ÄNL KHUZ S»LZWHJL

3»LZZLUJL et les sens des détails

Face à la photographie, on invente l’avant et l’après


Capturer


Les sens du pavĂŠ, Pragues - 17.04.2012



H i e r, j e m e s u i s r e t o u r n é , P a r i s - 1 5 . 0 4 . 2 0 1 5





MEMOIRE DE MASTER

DE NOS OREILLES DANS LES ESPACES PUBLICS !

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4HZ[LY

4tTVPYL en mobilité

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Jury : 7 3(4@ * :(+62/

4VU TtTVPYL KL 4HZ[LY WVY[L Z\Y SL paysage sonore dans l’espace public.

4VU JOHTW K»t[\KLZ ZL ZP[\HP[ n Valence, ville espagnole ZP[\tL Z\Y SH J [L ,Z[ YPJOL KL ZH culture et de son histoire. Ainsi, les espaces publics mis en place dans cette métropole m’ont intéréssés KHUZ SL\YZ ZWtJPÄJP[tZ ZVUVYLZ LU SPLU H]LJ SL\YZ Y SLZ ZVJPV WVSP[PX\LZ H\WYuZ KLZ PUKP]PK\Z ­ L’univers est sonore ® L[ WV\Y[HU[ KHUZ UV[YL uYL LU 6JJPKLU[ S»VYLPSSL H ­JtKt n S»VLPS SL Y SL KL WYLTPLY YtJLW[L\Y KL S»PUMVYTH[PVU ® L[ JL KLW\PZ SH 9LUHPZZHUJL H]LJ ­S»PU]LU[PVU KL S»PTWYPTLYPL L[ S»HWWHYP[PVU KL SH WLYZWLJ[P]L LU WLPU[\YL® 9 4\YYH` :JOHMLY HUHS`ZL HPUZP SH ]\L ZLUZ X\P KVTPUL aujourd’hui sur l’ouïe. Ceci se note dans toute forme de construction architecturale ou urbaine (des plans ZPSLUJPL\_ KHUZ SH JVTT\UPJH[PVU ZVJPHSL JVTTL KHUZ SH THUPuYL KVU[ S»OVTTL JVUsVP[ +PL\ X\P H]HU[ SH 9LUHPZZHUJL U»t[HP[ WHZ PTHNL THPZ U»t[HP[ X\L ZVU V\ ]PIYH[PVU 6Y S»V\{L LZ[ \U ZLUZ [YuZ Z\Ijectif, riche et en éveil permanent. Au sein de nos espaces publics - considérés ici comme la partie non bâtie de nos villes affectée à des usages publics, des règles communes - des logiques identitaires et des YHWWVY[Z ZVJPH\_ ZL TvSLU[ 3»LZWHJL LZ[ SL SPL\ KL S»tJOHUNL ! KL SH JVU]LYZH[PVU H\ KtIH[ W\ISPJ PS LZ[ de son devoir de nous laisser nous entendre. Au cours du temps les rapports sociaux et l’appropriation de l’espace public évoluent et les sons, traversés par la durée et par l’action, expriment les usages et SLZ PU]LZ[PZZLTLU[Z KL ZVU LZWHJL W\ISPJ 3LZ ZVUZ LU [HU[ X\L WHYVSL Z`TIVSLZ ZVJPt[H\_ L[ J\S[\rels, composent les environnements sonores propres à un espace public, et ceux-ci correspondent ou contredisent la conception physique de l’espace public. «Etre sujet de sa ville, musicien de son quotidien, acteur dans l’espace, réceptif au monde, partie prenante des messages et des mouvements, heureux dans son environnement, au coeur des autres, au coeur de l’orchestre urbain, de la culture de son milieu» 5PJVSHZ -YPaL -VYTLZ L[ :[Y\J[\YLZ U‡ ¶ ZLW[ +VZZPLY *\S[\YL L[ JVTT\UPJH[PVUZ ,KP[VYPHS


Valence, Espagne


Dans la première partie, j’ai mis en place l’objet et le lieu d’Êtude. Au regard de l’Êvolution de nos sociĂŠtĂŠs et de nos usages, j’ai ĂŠlaborĂŠ une première approche de l’espace public au singulier, en tant qu’ÊlĂŠment socio-politique premier, et des espaces publics au pluriel, en tant qu’espaces physiques et urbains. ,UZ\P[L QÂťHP HIVYKt SLZ VIQL[Z KL TVU t[\KL H\ ZLPU KL SÂťLZWHJL W\ISPJ! SL paysage sonore et l’environnement sonore. Dans un second temps je me suis intĂŠressĂŠe Ă l’ouĂŻe et Ă la vue ,U LMML[ SLZ notions d’environnement sonore et de paysage sonore passent inĂŠvitablement par le fait d’entendre ou d’Êcouter 4HPZ H\QV\YKÂťO\P SH ]\L KVTPUL UVZ ZVJPt[tZ L[ il est important de comprendre si la dimension visuelle nuit au rĂ´le du son au sein de nos espaces publics. De plus, les sens gĂŠnèrent des perceptions sensitives qui font objet de questionnement. J’ai tentĂŠ de comprendre Ă travers la synesthĂŠsie et la phĂŠnomĂŠnologie de la perception ZLSVU 4LYSLH\ 7VU[` JVTTLU[ SLZ sens interagissent, se confrontent dans la perception de l’espace. 3ÂťHUHS`ZL KL JLZ ZLUZ WO`ZPVSVNPX\LZ TÂťVU[ HTLUtL n HIVYKLY SLZ ZLUZ ZPNUPĂ„JH[PVUZ L[ SÂťLZZLUJL UH[\YL WYVMVUKL KL SÂťLZWHJL W\ISPJ ,U LMML[ SÂťLZWHJL public est politique, social et culturel. A travers la dĂŠmocratie, il se doit de rĂŠpondre Ă certains rĂ´les Ă l’Êgard du peuple. A l’aide de l’architecture panoptique dĂŠJYP[L WHY 4PJOLS -V\JH\S[ QÂťHP X\LZ[PVUUt SÂťPUĂ…\LUJL KL SH ]\L Z\Y SÂťLZZLUJL TvTL de l’espace public Ă travers des espaces publics surveillĂŠs et froids. Puis dans un second temps j’ai ĂŠtabli les liens entre les fonctions propres de l’espace public et les multiples sons, compositeurs de l’environnement sonore, qui l’habitent. 3LZ usages au sein de l’espace public interagissent constamment avec les ZVUZ 3LZ ZVUZ KtJYP]LU[ KLZ \ZHNLZ L[ SLZ \ZHNLZ KtWLUKLU[ KL SÂťLU]PYVUULTLU[ sonore de l’espace public. Ainsi, l’idĂŠe de confort sonore est primordiale. J’ai dĂŠcrit les notions de nuisance et de pollution sonores Ă travers le bruit et le silence H]HU[ KL KtĂ„UPY JL X\L ZVU[ SÂťesthĂŠtique et l’Êcologie sonores, disciplines traitant de la qualitĂŠ acoustique du paysage sonore.

Au passage piĂŠton, rĂŠgulation urbaine, les individus traversent encre de chine

Au passage piĂŠton, rĂŠgulation urbaine, [YHĂ„J LU WHZZHNL encre de chine


Dans la seconde partie, j’ai pris appui sur les théories les plus per[PULU[LZ H\ YLNHYK KL TVU JHZ K»t[\KL SH ]PSSL KL =HSLUJL LU ,ZWHNUL Dans mon approche de l’espace public, je pars toujours des gens, du cas par cas, in situ ,U[YL WYPZL KL UV[L LU[YL[PLUZ VIZLY]H[PVUZ LUYLNPZ[YLments sonores, mes démarches de « capture » des paysages sonores KVU[ ]HYPt HÄU K»LU [PYLY \U SHYNL WHULS KL couleurs sonores. Pour la Place de la Mairie, j’ai sélectionné quatre points stratégiques que j’ai analysé grâce à différentes méthodes. Dans un premier temps, à l’instar de George Perec KHUZ ;LU[H[P]L K»tW\PZLTLU[ K»\U SPL\ parisien, j’ai énuméré ce que j’entendais et percevais. Puis, comme un journal sonore Q»HP UV[t KL MHsVU WS\Z WLYZVUULSSL SLZ PTHNLZ X\L SL WH`sage sonore m’inspirait. Puis, à l’écoute des sons, je me suis adonnée à la carte mentale sonore en projetant sur papier les sons entendus, je tentais de reproduire les sons réels en mettant en contact les poils du pinceau L[ SL WHWPLY ,U LMML[ ZLSVU SL WPUJLH\ L[ SL WHWPLY SL Y`[OTL L[ SH MVYTL X\L Q»` KVUUHPZ SL ZVU KPMMtYHP[ L[ ZVU PTHNL H\ZZP¯ ,UÄU Z\Y SH IHZL K»\UL grille, j’ai pu analyser les caractéristiques de la source sonore: mobile/ PTTVIPSL K\YtL WLYs\L K\YtL YtLSSL L[J Après l’analyse sonore de la place au quotidien, j’ai exploré la culture sonore KL =HSLUJL n [YH]LYZ SH Mv[L WVW\SHPYL X\L ZVU[ SLZ -HSSHZ et le spectacle sonore des mascletas se déroulant sur la place. Pour le jardin de Turia, j’ai pris l’espace public dans son ensemble HÄU KL TVU[YLY X\»PS LZ[ \UL ZL\SL LU[P[t ZVUVYL *VTTL WV\Y SH WSHJL n partir de journaux sonores, de notes brèves, de carte sonore, j’ai tenté KL JVTWYLUKYL SL Y SL K\ ZVU KHUZ JL[ LZWHJL W\ISPJ L[ ZVU PUÅ\LUJL Z\Y les comportements sociaux. Pour conclure, j’ai comparé les deux espaces publics dans leurs Y SLZ L[ SL\YZ ÄUHSP[tZ LU SPLU H]LJ SL\YZ LU]PYVUULTLU[Z ZVUVYLZ

Ligne de Flux, 1HYKPU KL ;\YPH

Place éparse Place de la mairie

(UHS`ZL K»LZWHJLZ W\ISPJZ n =HSLUJL ,ZWHNUL! Place éparse, Place de la mairie et Ligne de Flux 1HYKPU KL ;\YPH


Sirène voiture police

Bourdonnement du [YHÄJ YV\[PLY

Pas de courses sur le sol stabilisé


Grand éclat de rire

Bribes de conversations

*HY[L ZVUVYL TLU[HSL QHYKPU KL ;\YPH - espace public rectiligne



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