Linda Bongo
« C’était une obsession, d’être juge »
Arielle T
« La musique m’a choisie » libreville
le vip room réouvre ses portes !
Exeri blab ipis ditatur, nieni odit faccus sequate vellupt asintios repudis quatio cone ped quiatibusae resequam, occus sus eatem que voloremquos essi core exerest explaut quatio voluptaest ad quia
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ÉDITO
SOMMAiRE
OH MY GOD!
LIBREVILLE - VIP ROOM p.5 ActuPeople p.7
Nous y sommes ! Enfin la première édition du A+Y People Magazine est arrivée. Pour ce premier éditorial nous vous offrons une édition ancrée dans l’air du temps, faisant le grand écart entre ce souffle révolutionnaire, mis à l’honneur par l’ouverture du VIP le 14 Juin dernier , et le glamour clinquant de la semaine lyrique a l’institut Français. Deux styles qui se rejoignent en couverture de A+Y People Magazine sous les traits de Arielle T photographiée par les plus grands.
A&Y Personnalité Danielle vs. Marie p.8 A&Y VIP - Linda Bongo p.10 FASHION PEOPLE - Chouchou Lazare p.12
Les sujets sont divertissants, fun, le style est élégant et les images sont belles. Le Magazine s’adresse à vous, s’adresse à tous. Nous sommes les premiers du genre ... Nous voulons une publication qui fasse preuve d ‘intelligence, d’humour, d’ouverture d’esprit. Nous voulons un magazine qui fasse rêver, qui fasse réfléchir, qui transcende. Nous voulons des pages qui informent, vous font découvrir, et vous font apprécier. Vous pourrez emporter l’élégant A+Y People Magazine au bord de la mer, tranquille au bureau, ou dans le business lounge d’un aéroport en attendant votre vol.
A&Y STYLE p.14 A&Y Portrait Teddy Ondo Ella p.18 Bloc Mode - Le chic Furla p.19 A&Y Exclusif - Arielle T. p. 20 A&Y société - Avoir la Trentaine au Gabon p.24 A&Y société - On l’adore p.25
Toute l’équipe de rédaction du A+Y People Magazine a travaillé d’arrache-pied pour vous offrir ce merveilleux cadeau. Longue vie au A+Y People Magazine. Longue vie à vous.
A&Y VIP p.26 A&Y Star - Mad & Muss p.28 A&Y Lieux et Bien-être p.30 A&Y L’actu p.31
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A&Y À table p.32 Horoscope p.34
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Editeurs Pages Mode : Hermès Olympio Kelly Mansourt Christine Twetevo
Editrice en chef des pages mode : Carla Garfield
Photographie : Yannick Z , Franck Affolaby
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Direction Commerciale : Bettina Minko
A&YLIBREVILLE
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A&YLIBREVILLE
finally!
le vip room réouvre ses portes ! Finally ! Apres de longs mois d’attente, la boite la plus célèbre de Libreville a réouvert ses portes. A&Y People Magazine était présent et vous livre en exclusivité les images people de la soirée mondaine. Le tout-LBV a répondu présent a l’invitation des patrons Eric et Thierry et ce fut une défilé de stilletos Louboutins, de robes haute couture, de sublimes ladies, le tout mixée par le fabuleux John Mess. Une soirée gagnante comme dirait certain. Au nombre des invitées VIP, on a pu apercevoir des invités prestigieux tels que, le jeune
Junior BONGO ONDIMBA, Teodorino Obiang Nguema, Boris Becker fameux tennisman ou encore le geant de Trace TV le co-founder de Trace TV Olivier Laouchez. Pour ceux qui n’étaient pas présent, vous pouvez vous rattraper pendant tout l’été. Le nouveau, luxueux et élégant VIP vous attend pour faire la fête comme il se doit !
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ACTUPEOPLE
ÉVÉNEMENT
LES PANTHèRES OUT Apres leur absence a la dernière CAN, ce sera a la coupe du monde au Brésil que l ‘équipe nationale de Gabon brillera par... son absence Battus par leur voisins congolais (match nul 0-0 a Franceville), les joueurs de Paulo Duarte, n’ont quasiment plus aucun espoir de participer a la grande messe du football mondial.
BREAKING NEWS Eudoxie et Ludacris toujours ensemble ! Ha c’est beau l’amour. Il y en a qui nous rendent malades àêtre aussi chanceux ! Oui, je parle de vous deux, Christopher et Fabiola. Six ans d’un bonheur sans nom, je l’avoue je suis jaloux. Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils sont riches et en plus amoureux…
Pierre-Emerick Aubameyang
La preuve, en mai, Christopher a organisée une extravagante fête d anniversaire pour Fabiola, en louant tout un club et en le décorant de ballons verts, jaunes, bleus, les couleurs du pays de Fabiola.
élu meilleur joueur africain de Ligue 1 Notre Pierre-Emerick Aubameyang national a remporté ce lundi le prix Marc-Vivien Foé RFIFrance 24 du meilleur joueur africain de Ligue 1 pour la saison 2012-2013.
Une relation qui dure six ans dans le monde du Show-business est déjà un record et les déclarations conjointes des deux tourtereaux, ainsi que leur radieuse présence aux différentsred carpets nous prouvent que même si il manque toujours quelque chose a un doigt (oui Chris, je m’adresse toi), un véritable amour peut durer indéfiniment.
L’attaquant gabonais devance au classement le camerounais Nicolas Nkoulou et le burkinabè Jonathan Pitroipa. Le beau joueur a la crête blonde de l’AS Saint-Étienne a été désigné par un jury de journalistes francophones dont fait partie Football.fr. Le joueur de 23 ans réalise la meilleure saison de sa carrière puisqu’il a pour l’instant inscrit 19 buts et délivré 8 passes décisives en championnat. Il succède ainsi à Younès Belhanda
P-S : Evidemment, les lectrices et lecteurs de A+Y People Magazine avaient reconnu Le Rappeur Ludacris et notre Eudoxie nationale.
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(2012). Il faut donc croire que les soirées arrosées du jeune footballer, aperçu dans les clubs de la Capitale gabonaise ne l’empêchent pas d’être performants sur les terrains européens. Note de la rédaction : Pierre Emerick devrait autant soigner son fashion style que son jeu de jambes… Les imprimes léopard… 03/20
ACTUPEOPLE
Pierre Akenengue LE DERNIER CONCERT ? Troubadour philosophe, le chanteur gabonais Pierre Akendengue sort un nouvel album, Destinée. C’est sa vingtième production. Il en parle depuis chez lui, au Gabon. Cette parution ne sera, dans l’immédiat, accompagnée d’aucun concert, hormis au Kriol Jazz Festival (11 au 13 avril), à Praia, capitale du Cap-Vert. Son dernier passage en France remonte à 2006 (à l’Elysée Montmartre, à Paris). «Je suis d’une santé fragile, le voyage est cher pour faire venir mes musiciens, et de toute façon on m’a oublié», affirme le musicien, un brin fataliste, joint par téléphone à son domicile. La France, où il est venu pour suivre des études en psychologie, le découvre dans les années 1970, sur les écrans de télévision. Il est alors un jeune homme timide, s’accompagnant d’une guitare, qui tente de faire ses preuves à l’émission télévisée «Le Petit Conservatoire de Mireille». Il signera à cette époque ses premiers albums sur le label Saravah de Pierre Barouh. En 1985, Akendengue retourne s’installer au Gabon. Effet collatéral d’une question «dérangeante». «»Mais quelle Afrique tu chantes, puisque tu vis en Europe ?» Cette interpellation, venant d’un journaliste, a participé à mon retour», raconte le musicien. En 1975, il avait voulu y retourner...
Stephane Lasme Le Gabonais Stéphane Lasme, sociétaire du club champion de Grèce, Panathinaikos, vient d’être récompensé pour ses performances durant le Top 16 de l’Euroligue 2013. Il a remporté le titre de meilleur défenseur de la saison 2013, et devient donc le 4e joueur de l’histoire à remporter ce trophée et le premier non Européen. En 28 rencontres, il a cumulé 10 points, 6,1 rebonds et 1,9 contre de moyenne pour 12,9 d’évaluation.
Le Basket Féminin et Gabonais porte un NOM ! : Géraldine Robert, élue MVP 2012/2013 Un parcours remarquable ! Géraldine Robert (1m84, 1980), ancienne joueuse de Villeneuve d’Ascq, ne fait partie de l’effectif entraînée par Valéry Demory que depuis le début de saison 2012/2013. Notre basketteuse de LattesMontpellier a été appelée en renfort pour pallier l’absence prolongée de Kristen Mann. Elle a tout de suite pris ses marques, s’est adaptée au jeu Sudiste et fait ses preuves, à un tel point que le BLMA décide de la garder. Coup de poker
pour le club, Géraldine s’est montrée régulière durant la saison avec 14,5 points, 8,2 rebonds, 2 interceptions et 1,5 passes décisive pour 18,6 d’évaluation. Avec ces statistiques, elle se classe ainsi en tant que MVP (meilleure évaluation) du championnat, 2ème intercepteuse, 4ème meilleure rebondeuse et 5ème en termes de points. La native du Gabon est au plus haut niveau de carrière. Félicitations Géraldine !
Pas de voyage pour Mister Jeff Bongo à l’aéroport de Libreville !! Il fallait vivre pour le voir ! Un Bongo Ondimba empêché de sortir du territoire gabonais. Décidément, ainsi que le chantait Bob Dylan, «The Times They Are a-Changin’», les temps comportent des changements : Jeff Thierry Arsène Bongo Ondimba, 47 ans, plus connu comme Jeff Bongo, ex-directeur des règlements et de la programmation des ressources au Trésor public, et frère cadet du président
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Ali Bongo, a été empêché de quitter le territoire national gabonais, le 26 dimanche, indique sur son mur Facebook le journaliste du quotidien L’union, Jonas Moulenda, citant une «source judiciaire». La justice gabonaise reproche au fils d’Omar Bongo Ondimba d’avoir fait délivrer des passeports diplomatiques à trois personnes qui n’en méritent pas le bénéfice : sa compagne et trois frères de celle-ci.
A&YPERSONNALITÉ
DUELS DE DIVAS RIVALITÉ DANIELLE vs. MARIE Leur Peau est Caramel, leur chevelure noire à extension très chère, elles s’habillent en designers only et Libreville est leur playground. Danielle et Marie, deux fois deux syllabes à la sonorité angélique qui évoque les petites filles tout droit sorties d’un bouquin de la Comtesse de Ségur. Mais ne vous y trompez pas ! Cordiales à la ville, elle sont des fières compétitrices en affaires et c’est à celle qui la première gagnera la couronne de « DIVA O-R-I-G-I-N-A-L » !
Danielle a l’enthousiasme ibérique des nuits chaudes d’Andalousie. Le cœur sur la main, elle s’entoure depuis toujours de personnes proches d’elles et de son enfance. Battante, après des débuts pire que ceux de Cosette, elle est parvenue à s’imposer comme étant l’une des « It girls » de Libreville. Elle préfère le champagne à la vodka, aime ses sandales Chanel et protège sa famille contre les rumeurs rampantes de la Capitale. Grande voyageuse, elle aime parcourir le monde et le shopping sur les grands boulevards à Paris et les soirées tendances à Madrid n’ont absolument aucun secret pour elle. La beauté c’est son truc et son spa sur la colline connaît un vrai succès.
Les deux ladies explosent sur le devant de la scène Librevilloise au milieu des années 2000 et prennent la capitale par tornade. Marie est cultivée, arrive de Londres et a le port d’une résidente du château de Windsor. Danielle elle a le sang chaud et le rythme d’une danseuse espagnole… Toutes les deux pleines d’ambition décident de conquérir la Jet Set gabonaise en utilisant leur tete bien faite mais aussi leurs beautés pétillantes. Apres tout qu’y a-t-il de mal à se servir d’un peu de sex appeal lorsque l’on en a ?
Alors laquelle de nos ladies méritent le titre de « DIVA O-R-I-GI-N-A-L » ? Well, nous laissons à nos lectrices et lecteurs le soin d’en décider et publierons dans notre prochain numéro le résultat de vos votes.
Grande, avec un sourire à faire fondre les icebergs, dotée d’un humour (parfois grivois) Marie incarne le poise d’une lady de la Cour. Perchée sur des Louboutins (évidemment qu’elles ne sont pas last season), elle dirige ses business avec la main d’une dame de fer. Vuitton, Gucci, elle n’hésite pas à traverser trois continents pour trouver cette stiletto qui n’est vendue qu’a Milan ! Toujours à la recherche du Prince charmant elle ne désespère de rencontrer un jour un mec qui saura dealer avec toute cette divaness ! Généreuse en amitié, Elle n’hésite pas à ouvrir sa porte à un ami en détresse et n’hésite pas à prendre du temps pour écouter simplement quelqu’un qui a besoin de parler. La Mode c’est son affaire et le super costume Dolce&Gabanna pour hommes ne se retrouve que dans sa très chic boutique. 9
A&Y VIP
Linda Bongo, « C’était une obsession d’être juge » Séance photo après l’interview, notre équipe comprend mieux pourquoi ses proches l’appellent la « Livia Paule gabonaise ». Pourtant, sa profession s’inscrit loin des soirées et autres évènements fashionistas. Elégante, classe et sobre, son truc à elle c’est la justice. Confessions sans complexe de Linda Bongo. Pouvez-vous vous présenter ? En famille, on m’a longtemps appelé Pauline, comme une tante dont mon père était très proche. Par la suite, mes parents ont rajouté Linda, car ils trouvaient mon premier prénom un peu vieillot (Rires). Ceux qui me connaissent, mes amis, mes proches, m’appellent Linda B.
Comment décrivez-vous votre père ? Il était comme un dieu pour moi. Sa capacité de discernement, sa faculté à lire dans les gens, étaient tout simplement exceptionnels. Parfois je me disais qu’il était omniscient et omniprésent. Il était juste, respectueux des traditions et des aînés. J’avais l’impression qu’il était indestructible. C’est d’ailleurs pourquoi j’ai encore du mal à me faire à l’idée de sa disparition. Je garde aussi le souvenir d’un homme exigeant, qui prêchait la méritocratie au sein de la famille. Pour l’anecdote, lorsqu’il a su que je fréquentais les night-clubs, il m’a fait savoir qu’il fallait que j’obtienne très rapidement un diplôme pour qu’il m’adresse à nouveau la parole. Ce genre de défis a très souvent rythmés nos relations. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle je suis devenu magistrat, pour lui prouver de quoi j’étais capable.
Vous êtes fille d’un président de la République. Comment était la relation avec votre père ? Orageuse ! Nous étions de caractère fort tous les deux. Plus jeune, j’ai toujours pensé que mon père me couvait un peu trop en m’interdisant un certain nombre de choses. Mais avec du recul, j’ai compris que les décisions qu’il m’imposait concouraient à mon bien. Il m’a cerné avec un tact incroyable qui me stupéfait encore aujourd’hui.
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Pouvez-vous nous parler de votre enfance ? Elle se passe essentiellement entre le Togo et le Ghana, ma mère étant originaire de ces deux pays. Je suis revenue au Gabon vers l’âge de 8 ans, mais ce n’est que beaucoup plus tard que j’ai rencontré mon père, une fois à 12 ans, puis trois ans plus tard. Ce n’est qu’à partir de ce moment que nous avons commencé à avoir une relation beaucoup plus entretenue.
auquel on accède avec la maîtrise, où vous ne suivez que deux ans d’études et un an de stage.
Etes-vous magistrat par passion ? Oui ! Très jeune j’ai toujours voulu ce que je voulais devenir. J’ai été influencée par la série télé Tribunal, où j’ai tout de suite voulu être comme le juge Garonne, personnage interprété par Yves Vincent. C’était une obsession d’être juge.
Avez-vous toujours su qui était votre père ? Non, je l’ai su à 8 ans. Très longtemps d’ailleurs, j’ai pensé que mon petit frère et moi avions le même père. Quand ma mère m’a annoncé qui était mon père, elle a été très directe : « Linda, ton père est un président de la République et il veut de te voir demain ».
Y a-t-il une similitude entre la vie au palais et la série télé ? C’est beaucoup plus intense. Je me rappelle que pour ma première conciliation de divorce, j’ai accordé 6 mois à un couple pour se réconcilier. Les époux ne sont plus jamais revenus me voir. J’ai alors compris que j’étais douée pour ça, le siège est ce qui convient le mieux.
Comment se passent vos débuts au Gabon ? Plutôt cool (rires) ! Je dois avouer que n’ai pas eu de problèmes majeurs, bien au contraire, je pense qu’il y a beaucoup plus de liberté ici. Contrairement au Togo par exemple, où l’éducation est beaucoup plus stricte : pas de sorties, interdiction de parler avec les garçons, vous êtes sous surveillance perpétuelle. M’installer au Gabon m’a également permis de rencontrer mes frères et sœurs. Si je ne me trompe pas j’en 54. A Noël, ou à l’anniversaire de notre père, c’était l’occasion de se retrouver tous ensemble. A ces occasions, je me suis également rendue compte que chacun de nous avait son sosie, c’était hallucinant. Nous voyagions aussi énormément. Notre père tenait absolument à ce que nos liens ne s’étiolent pas. Ces moments étaient magiques même si, comme dans toutes les familles, il y avait des tensions.
Quel regard portez-vous sur la justice gabonaise ? Il y a énormément de vide juridique. Certains codes sont obsolètes. Au tout début de ma carrière, j’ai eu le cas d’un jeune gabonais qui a été violé par ressortissants européens. Or la définition d’un viol au sens de la législation gabonaise, c’est la pénétration du sexe d’un homme dans le sexe d’une femme sans son consentement. Partant de ce constat, il m’a été très difficile de trouver une base légal pour justifier l’inculpation des présumés violeurs. Et des exemples comme ça, il y en a la pelle. Il faut absolument qu’on modernise nos textes. Je pense qu’il faut aussi mettre en place une série d’actions de sensibilisation autour des droits des citoyens, car trop peu de gens connaissent la loi. Il faut éduquer les populations.
Comment avez-vous vécu la perception du public par rapport à votre nom ? J’ai commencé à la ressentir quand je me suis installée chez ma grande sœur, l’aînée de la famille. J’ai d’ailleurs eu beaucoup d’amis qui ont arrêté de me fréquenter par anticipation au fait que je les snoberais. Parallèlement, j’ai aussi connu ce que je qualifierai de fausses amitiés. Justement, je m’installe chez ma sœur de mon retour de l’étranger. J’en avais marre de la France où je fréquentais une faculté de droit à Bordeaux. Je suis donc rentrée au pays et quand mon père l’a su, il m’a coupé les vivres car il était furieux de ma décision. C’était une période très difficile, mais c’était le moment le plus important de ma vie car j’ai pris conscience de mes capacités. Il m’a également permis de voir qui étaient mes véritables amis car beaucoup m’ont laissé tomber durant cette épreuve. Avec du recul, je pense que c’est la meilleure chose que mon père ai fait pour moi.
Avez-vous des ambitions politiques ? Quand vous êtes l’enfant de quelqu’un comme Omar Bongo, l’idée de faire de la politique vous effleure à un moment donné. Mais ce n’est pas dans mes priorités pour le moment. Actuellement, je cherche plutôt le moyen d’enseigner aux populations ce qu’est la justice à travers ma passion pour l’écriture. Je travaille sur un ouvrage traitant du divorce et ses pièges. Comment parvenez-vous à équilibrer vie professionnelle et privée ? Le tribunal est une arène. J’adore mon métier mais j’aime tout autant ma vie privée. C’est sacré car c’est le moment de décompresser après une rude journée de travail. A la maison, je m’occupe de mes enfants, je suis devant la télé, je suis plongée dans mes livres de droit, etc. Je mène une vie normale, comme toute femme de mon âge, sauf que j’ai certaines restrictions notamment en matière de divertissement. Par contre, je voyage énormément pour découvrir de nouveaux horizons et m’inspirer de ce qui se fait ailleurs. Actuellement, Istanbul est ma destination préférée. Une ville chargée d’histoire qui reflète le mixage entre l’Europe et l’Asie.
Pouvez-vous nous en dire davantage de cette traversée du désert ? C’était difficile et exaltant à la fois. J’allais à l’école de magistrature et je prenais le taxi comme tout le monde. Cette période m’a forgé. Elle m’a également permis d’être au contact de personnes moins nantis, auprès de qui j’ai appris énormément. J’ai pris conscience de la chance que j’avais et cela m’a servi de moteur pour m’accrocher à mes études. Je me souviens qu’au lendemain de ma prestation de serment, mon père s’est réconcilié avec moi et m’a offert un cadeau en guise de félicitations.
Des choix particuliers en matière de mode ? Je suis adepte de tout ce qui est contemporain. J’aimais porter du JeanPaul Gauthier mais j’ai arrêté. J’ai un faible pour Calvin Klein, Ralph Lauren, Michael Kors, des marques essentiellement américaines. Il m’arrive aussi de porter du classique comme Versace. A vrai dire, je n’ai pas de préférence particulière. Si c’est dans l’air du temps, si les couleurs sont harmonieuses et que je me sens comme une diva à l’intérieur (rires), je suis preneuse. Au Gabon, j’admire le travail de Diane Pakito.
Comment devient-on magistrat au Gabon ? En ce qui me concerne j’ai embrassé cette profession à travers le cycle B. A l’époque on y entrait avec le niveau bac, maintenant c’est avec DEUG. Ensuite vous faites 4 ans d’études de spécialisation à la magistrature, suivi d’un an de stage dans les services d’instruction, du parquet et du siège, dans les tribunaux. Après, il y a une autre épreuve à l’issue de laquelle vous êtes reçu si vous obtenez la moyenne requise. Puis vous prêtez serment et vous serez magistrat stagiaire un an durant au cours duquel, il y a beaucoup d’enquêtes de moralité. Si vous confirmez vos aptitudes à vous comporter de manière noble, vous êtes maintenu à votre poste. Enfin vous êtes affecté dans l’un des trois services du tribunal, à Libreville ou en province. Il y a aussi le cycle A, 11
FASHIONPEOPLE
MODE Chouchou Lazare « L’amour stimule mes créativités » Qui est Chouchou Lazare ? Chouchou Lazare est un rêveur, un artiste en général. C’est un styliste modéliste qui peut aussi s’exprimer dans l’écriture et dans la peinture.
un magnifique coucher du soleil etc. Mais aussi, dans mon imagination. Je reve eveillé, la plupart du temps je suis perdu dans mes pensées et j’imagine des couleurs, des lignes, ect. . Les sentiments interviennent-ils aussi à ce niveau ? Oui, mais pas toujours comme on pourrait le croire. Dans mon cas, il m’arrive de créer aussi en cas de déception (rires). Mais en général l’amour stimule ma créativité. Dans ces moments en effet, il m’est très facile de m’immerger et de sortir une création géniale.
A quel moment as tu su que tu étais fait pour l’art, notamment pour la mode ? J’ai commencé très tôt à travailler avec mes doigts. A 9 ans déjà, j’avais des aptitudes en dessin. Plus jeune, à 5 ans, je me familiarisais déjà avec la machine à coudre de ma mère qui a encouragé cette passion pour la mode. Et en classe de 3e, je vendais déjà mes créations. A la base, je ne pensais pas faire carrière dans la mode. Je visais plutôt un métier qui m’offrirait la possibilité de voyager, de rencontrer du monde. Mais il fil du temps, je me suis rendu compte que j’étais né pour ce métier qui, au final, me fait découvrir d’autres horizons et rencontrer du monde (rires).
Le 28 juin prochain vous organisez un défilé à la Chambre de Commerce. Peut-on déduire qu’une éventuelle histoire d’amour se cache derriere les créations de cette nouvelle collection ? Rires. Oui…Et je n’en dirais pas plus. Par ailleurs, la collection qui sera présentée s’appelle « Forever », qui correspond au 10e anniversaire de mon premier prix international à Saint-Etienne, en France. C’est aussi pour dire à ceux qui admirent mon travail depuis mes debuts que je serai toujours là.
Où trouves-tu l’inspiration pour tes créations ? Je dirais dans tout ce qui m’entoure. Çela peut être dans la démarche d’une femme dans la rue, à la vue du nœud d’un pagne,
Quel regard portez-vous sur la mode africaine ? Je dirais qu’elle a énormément évolué. Il y a quelques années, j’ai 12
ce côté africain. Et c’est là que nous designers, avons un rôle à jouer.
assisté à la première nuit de la mode africaine, organisée au Gabon. Et quand je regarde les créations à cette période et les creations d’aujourd’hui, je me dis qu’on fait notre bonhomme de chemin. Mais nous ne devons pas nous endormir sur nos lauriers car il reste encore beaucoup à faire.
Un conseil pour les jeunes créateurs qui souhaitent se lancer dans le milieu… D’entrée, je leur dirai que ce métier n’est pas une issue de secours, qu’on n’y vient pas parce que l’on aurait raté sa vocation première. Je le dis parce que sur 10 créateurs au Gabon, et même en Afrique, plus de la moitié n’ont pas atteint la classe de 3e. Je leur conseillerai donc de faire leurs études jusqu’au bout, du moins jusqu’au baccalauréat. Et là, si c’est vraiment votre vocation, vous pourrez entreprendre les démarches pour apprendre les rudiments du métier.
Encore beaucoup de chemin par rapport à la mode occidentale… Oui ! Car, quand je parle de mode africaine, je ne vois pas seulement la créativité, qui n’est plus à démontrer. Il manque encore de la technique car il n’y a pas encore d’usines de production dignes de ce nom. Mais surtout, selon moi, il manque à l’Afrique les financements pour atteindre les sommets.
Bientôt une Fashion Week au Gabon ? Un tel évènement serait formidable pour le pays. Secrètement, je rêve d’en organiser une. C’est vrai qu’il y a des manifestations qui essaient de les imiter ; mais une vraie Fashion Week au Gabon, comme on en voit en Europe, organisée par moi ou quelqu’un d’autre, serait la matérialisation d’un rêve de longue date.
Quelles sont tes icônes de la mode ? Sans hésiter, je réponds Christian Dior. J’ai toujours admiré son travail. Pour lui, la femme a toujours été une reine et il n’hésitait pas à la parer de tissus : bustiers, grands jupons et j’en passe. Et dans mon travail, je lui rends hommage en honorant aussi la femme comme il l’a toujours fait. J’aime aussi John Galliano pour sa folie. Quel est ton marché de prédilection ? Je dirai l’international. J’ai pas mal de créations qui se vendent à l’étranger, notamment en Europe. En fait, mes créations sont assez métissées. Africains, Européens et même Asiatiques s’y retrouvent aisément. Je n’impose pas mes origines à mes créations. Mais je puise dans d’autres cultures pour en faire un produit vraiment métissé. Un mot sur les mannequins africains… Je pense qu’elles talonnent ce qui se fait de mieux en occident. Elles sont belles, marchent naturellement droit, contrairement à certaines Européennes. Par ailleurs, on devrait davantage mettre en valeur des mannequins légèrement fortes pour ressortir davantage 13
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A&Ystyle
Le jean est à la mode cet été ! Le jean est à la mode, A+Y People
Magazine vous donne quelques conseils pour éviter le fiasco en denim
Sélection shopping de tous les jeans de l’été, décryptage des looks de stars... Vous saurez tout sur la tendance mode incontournable de la saison: jean coloré, jean boyfriend, jean slim, jean large ou jean destroy... Comment porter le bon jean de l’été 2013 ? Découvrez notre dossier spécial: Un MUST dans toutes les garde-robes féminines ou masculines du Jean Slim, au jean flare, jean coloré, jean destroy... c’est la tendance 2013, Les fashionistas vont pouvoir s’épanouir dans tout les sens du termes ! Conseils morpho, looks de stars ou de tous les jours, shopping à tous les prix... A+Y People Magazine vous donne toute les bonnes adresses. Par Carla Garfield
American Shop American Shop à partir de 38 000 cfa ou Guess de Mbolo partir de 90 000 cfa
Dispo chez Chichi Shopping à partir de 24 000 cfa - Awendje
Jean True Religion Dispo chez Sneakers Club 70 000 cfa et plus
Dispo chez Diesel à partir de 80 000 Cfa
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Dispo dans plusieurs Magasins Zara en ville Prix : 39 000 cfa
A&Ystyle
Comment Porter le vert par le Styliste de A+Y People Magazine
La couleur de l’espoir est de retour. Eh oui vous avez deviné, le vert est la couleur de l’année ! Electric, anis, émeraude, prairie ou pistache, il y en pour tout les styles. Images à l’appui, découvrez la combinaison parfaite ! chaussures Aldo Prix : 55 000 cfa Gallerie Mbolo
Le vert ne se porte pas qu’en aplat de couleurs. Sur un imprimé psychédélique, comme ici, il devient pop, inattendu. C’est comme ça aussi qu’on porte le vert.
Chloe Boutiq 40 000 cfa Galerie Prado
ROBE dispo chez Miss Fashion Prix : 90 000 cfa Galerie Prado à Louis chaussures Tchozo Prix : 90 000 cfa Galerie Prado à Louis
L’allure est chique ! AY Look du mois, strict mais chic. … La combinaison parfaite pour égailler votre tenue. Ou trouver ces articles à Libreville ?
Le vert n’est pas forcément flashy, la preuve. Par touches discrètes, il égaie une silhouette des pieds à la tête. Merci A&Y People Magazine pour le tuyau.
ROBE Gin KA Boutique Prix : 159 000 cfa Galerie JUMA Louis
Tunique shorty dispo chez Miss Fashion Prix : 90 000 cfa Galerie Prado à Louis
chaussures Aldo Prix : 69 000 cfa Mbolo
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A&Yportrait
Teddy Ondo Ella
« La base de tout, c’est de croire en ce qu’on fait » Grand collectionneur de Sneakers, Teddy Ondo Ella partage sa passion pour la basket à travers son magasin Sneakers Club à Libreville. Un rêve qui en appelle un autre avec la mise sur le marché à venir de la ligne de vêtement Original Mon Gabon (OMG). Découverte de notre Golden Boy du mois.
les Tee-Shirts que nous proposons. Et on s’est dit qu’on allait proposer un tel produit, made in Gabon mais avec un esprit international. La première collection sera donc basée sur les Tee-Shirts, mais nous prévoyons en plus une ligne de chemises, de pantalons et de shorts. Concernant les Tee-Shirts, ils reposent sur du graphisme, du visuel assez marqué avec l’objectif de passer un message. Par exemple, certains des Tee-Shirts vont proposer comme visuel un masque Fang, ou encore des kanji japonais. Car la marque sera distribuée au Japon et nous négocions aussi un contrat sur les États-Unis. On essaie donc de faire un truc universel, sans pourtant renier nos origines. Les bandes de propreté de nos produits sont d’ailleurs à l’effigie du drapeau national avec du vert, jaune et bleu, pour renseigner sur l’origine du produit.
Qui est Teddy Ondo Ella ? Je suis un jeune gabonais, la trentaine révolue. Je me suis installé au Gabon il y a 5 ans, après avoir passé la majeure partie de ma vie en France. Diplômé en informatique de gestion, je suis entré dans la vie active en tant qu’agent commercial en France. J’ai exercé ce métier 4 ans durant puis j’ai gravi les échelons pour devenir chef d’agence. Parallèlement j’ai fait de la musique, où je m’inscrivais aussi dans l’Entertainment. Pour la petite histoire, j’avais un contrat avec SONY BMG durant lequel j’ai sorti un album avec le DJ Cut Killer.
Golden Boy oblige, êtes-vous un fêtard ? Je pense qu’il manque beaucoup de choses sur Libreville pour pouvoir réellement s’éclater (Rires). Non sérieusement, tout ceci est derrière moi. Golden Boy certainement, mais beaucoup plus Business man ! Je surfe entre mon bureau, ma maison et mes projets. Même si je voyage énormément, toujours en quête d’inspiration.
Vous avez les bling, le design… Quels sont les critères qui définissent un Golden Boy ? Je ne pense pas que ce sont les accessoires qui doivent caractériser un Golden Boy, mais plutôt son attitude et sa manière de faire.
Teddy est-il un cœur à prendre ? Je vais certainement décevoir les milliers de lectrices mais mon cœur est déjà cadenassé (rires). Comme on dit, je suis rangé, j’ai deux enfants et j’aime énormément ma famille. Mais pour celles qui chercheraient l’âme sœur, je leur conseillerai d’être à la base dynamique et indépendante. Ce qui traduit pour moi la nouvelle femme africaine moderne.
Tout semble vous sourire, existe-t-il une formule magique pour réussir ? Il n’y en pas. La base de tout, c’est de croire en ce qu’on fait et toujours se donner des objectifs. Il faut aussi avoir la capacité d’aller au bout de ses convictions. Après, je me dis que rien n’est acquis dans la vie, il faut toujours trouver le moyen de se surpasser.
Coté Fashion, êtes-vous séduit par un créateur en particulier ? Mon designer favori est Tom Ford. J’adore son travail, c’est très classe. J’aime aussi Ralph Lauren et Kenzo.
Pouvez-vous nous parler du concept Sneakers Club ? Tout part du fait que depuis mon plus jeune âge, je suis un collectionneur invétéré de Sneakers, de baskets Jordan et tout ce qui touche à Nike. Et l’ouverture de ce magasin matérialise l’envie de partager ce goût avec d’autres passionnés.
Un conseil pour nos jeunes lecteurs qui aspirent à avoir la même réussite que vous… A mon arrivée au Gabon, beaucoup de mes proches se plaignaient de la léthargie de l’Etat. Mais il ne peut pas tout faire, tout seul. Chaque citoyen, chaque homme d’affaires ou entrepreneur doit apporter sa pierre à l’édifice. Il faut qu’on se prenne en main. Ce n’est que de cette manière qu’on construira notre Gabon.
Vous prévoyez de lancer une nouvelle ligne de vêtements. Quelques mots sur ce projet… Il s’agit en effet de la marque Original Mon Gabon (OMG), que beaucoup transposent par Oh My God ! Ce qui n’est pas pour me déplaire (rires). C’est une marque que nous développons et qui sera disponible en juillet 2013 et en exclusivité chez Sneakers Club, avant l’ouverture d’un magasin dédié. Le concept est né de l’attirance des adeptes de notre magasin pour 18
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LE CHIC FURLA
Oui les clichés sont vrais, sur le Candy Bag est le sac la planète fille les marques « phare » de la marque depuis de luxe sont une religion à son lancement en 2011 laquelle les habitants vouent un culte sans réserve Les enseignes nous font rêver, les nouveautés de chaque saison nous font nous évanouir… ça nous arrive parfois de faire des petites folies, du genre : « c’est pas grave…je ne mangerai que des nouilles pendant 1 mois !!! » ou « c’est tellement beau, que je ne peux pas vivre sans cette merveille…» ou de penser tout haut les mots de mademoiselle Chanel « parfois le dispensable est totalement indispensable…». Voilà, nous les filles on a toujours une excuse parfaite pour acheter une pièce qui biens sur nous manque !. Donc, si vous êtes comme moi et que vous adorez de temps en temps vous faire un petit plaisir aux grands effets, sans vous ruiner, les accessoires Furla sont fait pour vous… Il existe par exemple la boutique de Lisbonne, ou l’on peut découvrir les nouveaux
sont maintenus et ne glissent pas !)…Et oui, on se prépare pour l’été ! Pour les plus classiques, Furla a aussi une grande gamme de sacs très « couture ». Palette de couleur parfaite, design superbe, lignes élégantes. Que voulons nous de plus ?
« Candy ». Pour ceux qui ne connaissent pas, le Candy Bag est le sac « phare » de la marque depuis son lancement en 2011 où plusieurs célébrités et bloggeuses comme Chiara et Betty l’ont élu accessoire « chéri ». C’est vrai que le « Candy » est super ; d’abord parce qu’il a la taille idéale – medium – qu’il est pratique et les variations de couleurs, de matériaux et la transparence de certains modèles font toute la différence… Cette saison Furla a crée des modèles semi-transparent ou opaques, qui mélangent le PVC avec le denim, où encore le PVC et le cuir…le plus difficile est de se décider…car ils sont beaux, décontractés et parfait pour un look stylé. A ne pas rater ! Les bijoux et les sandales, ces dernières sont aussi en Pvc (avec une finition si bien réalisée que les pieds 19
A&YEXCLUSIVITÉ
Arielle T | L’INTERVIEW EXCLUSIVE
Arielle T : « la musique m’a choisie »
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ous l’avons rencontrée dans les studios Oss Pro à Libreville, où elle s’activait aux répétions de ses premiers « Live », quelques jours seulement après son retour de Ouagadougou, où elle a décroché un Kundé dans la catégorie meilleur artiste Afrique centrale. Confidences sans chichis d’Arielle T.
J’ai écrit l’intégralité de mes textes dans « Mes envies ». Pour le second je me suis entourée d’une autre artiste et d’une amie, qui voulait que j’interprète certaines de ses chansons. Et le résultat, eh bien… c’est a vous de juger (rires).. Beaucoup d’artistes évoquent un lieu, une personne ou moment particulier pour justifier leur source d’inspiration. Est-ce le cas d’Arielle T ? Je pense que c’est plus à l’instinct. Le plus souvent, on se donne un jour de répétition où on doit travailler sur tel ou tel morceau. On me propose une mélodie sur laquelle on me demande placer les paroles. Parfois ça colle et d’autres fois non.
Pouvez-vous vous présenter ? En quelques mots, Arielle T est une artiste qui a commencé très jeune en faisant du piano-bar. Aujourd’hui elle s’épanouit avec deux albums à son actif et elle n’a pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin. Comment est née votre passion de la musique ? A vrai dire, je ne sais pas, il m’est impossible de dire exactement quand s’est allumée flamme. Je pense que c’est la musique qui m’a choisie. Après « Mes envies » en 2010, vous avez sorti en janvier 2013 votre nouvel album « A nu ». Quelle est la différence avec le premier opus ? Je pense que c’est certainement le fait que je m’affirme un peu plus en tant que femme. Dans cet album, je suis beaucoup plus mature, contrairement au premier où j’étais un plus timide et ne savais pas encore ce que ce que je voulais.
Vous êtes actuellement en pleine répétition pour votre premier Live. Quel est le moteur qui vous aide a vous transformer en bete de scène ? Le public, indéniablement ! C’est lui qui m’aide à me transcender. Le live est beaucoup plus intime et procure plus de contact avec le public, j’aime l’idée de cette sensation. Je suis également motivée par la passion qui m’habite, l’envie et le bonheur de partager ce que je sens et ressens. Alors qu’en studio, c’est un tantinet plus difficile parce qu’il faut trouver la petite flamme pour transmettre cette émotion.
C’est donc l’album de la maturité… Exactement ! J’affirme ma féminité, je sais ce que je veux et où je vais. Je dis tout haut ce que les gens pensent tout bas (rires).
Comment arrivez-vous à concilier le showbiz et votre vie privée ? C’est peut-être parce que je n’ai que ça. Je me consacre à mes enfants quand je suis à la maison. Une fois hors de ce cadre, je me consacre à ma musique, je ne cherche pas à faire autre
Quel est votre titre préféré dans ce nouvel album ? Le titre éponyme est certainement celui qui m’interpelle le plus. C’est celui qui parle le plus de moi. Ecrivez vous les textes de vos chansons ? 20
A&YEXCLUSIVITÉ
"Le live est beaucoup plus intime et procure plus de contact avec le public, j’aime l’idée de cette sensation."
chose que ce travail-là. Car sinon on se disperse et j’ai horreur de la dispersion. Je suis quelqu’un de pragmatique, je sais exactement ce que je veux, où je veux aller et je veux vraiment faire de la musique. Non pas pour le fun, mais parce que chanter c’est ma passion, mon métier. Votre album a longtemps été porté par le single « L’aveu ». D’où est partie l’idée de ce titre ? Le producteur voulait qu’on fasse une chanson sur deux amies qui se prennent la tête pour le même homme. Mais c’est du déjà vu revu. Alors nous avons pensé qu’il fallait faire autre chose, aller plus loin, etre plus dramatique. C’est là que les producteurs ont évoqué un scénario assez cynique : ma copine se faisait carrément violer par mon petit ami. C’est comme ça qu’est né « L’aveu ». Il existe il est vrai un coté pervers a cette histoire qui n’a pas été facile à chanter, car il fallait vraiment se mettre en situation pour que ça ait l’air vrai, touchant et choquant à la fois.
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"sur scène, je me dois d’avoir
du sex-appeal, c’est vraiment la sensualité à fleur de peau"
Quelles sont vos influences musicales ? Je fais dans la variété et dans le zouk, mais la plupart du temps j’écoute du hip-hop pour l’écriture. Ma tête appartient au hip-hop et mon corps et mon cœur conviennent plus au zouk. A l’époque j’écoutais beaucoup Mariah Carey, Whitney Houston, pour travailler ma technique, car nous n’avons pas d’école de chant au Gabon, ce qui est un peu dommage. J’espère d’ailleurs, avec temps et si Dieu me le permet, ouvrir une structure où les jeunes apprendraient à chanter. Par ailleurs, j’aime particulièrement la façon dont chante Patience Dabany, avec ce timbre tellement spécifique qui la caractérise.
Que serait Arielle T sans Edgar Yonkeu. Comment s’est passée votre rencontre avec le producteur ? Dans le temps je me produisais au Casino Croisette et c’est là que, la première fois, j’ai fait la connaissance de d’Edgar Yonkeu, qui était accompagné de Jacob Devarieux. Plus d’une fois il est venu m’écouter chanter et une fois, j’ai interprété une chanson qu’il avait composée pour une artiste afro-caribéenne et cela lui a plu. Selon lui, je chantais comme une européenne et dansais comme une africaine et il fallait absolument qu’on travaille ensemble. Il m’a alors abordé et m’a proposé d’être le producteur de mon album. Je lui ai répondu non, car je ne me sentais pas prête. Je savais qu’Edgar est un grand producteur et j’ai tenu à garder la tête sur les épaules. Il m’a fait la cour pendant quatre ans avant que je ne me décide à collaborer avec lui car. C’est ainsi que nous commencé à travailler ensemble sur mon premier album, lentement mais sûrement pendant un an. Et le résultat on le connait avec, entre autres, « La go d’à côté» (rires).
Et côté fashion… Y a-t-il une différence ce que vous portez sur scène et en dehors ? Une très grande différence (rires) ! Je ne porterai jamais dans mon quotidien ce que je porte sur scène. Car sur scène, je me dois d’avoir du sex-appeal, c’est vraiment la sensualité à fleur de peau. Dans la vraie vie je m’habille vraiment discrètement, comme tout le monde, j’aime bien passer inaperçue. Je suis également fan du travail de Chouchou Lazare dont j’adore les créations. 22
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nous
LA TRENTAINE AU GABON
le samedi soir, boivent plus que de raison et rentrent bourrés. Du coup que faire ? Certains trentenaires semblent avoir trouvé la solution : se réunir en cercles restreints et recréer ou créer l’atmosphère que l’on souhaite. Ouvrir un champagne, écouter de la musique lounge (un lundi c’est encore mieux) en regardant un show américain (en version originale) peut être une des solutions. Un de mes amis qui mesure 2 mètres et pèse deux cent kilos, adore hurler sur Amy Winehouse à trois heures du matin dans son salon. La solution est peut-être là. Nous avons trente ans, continuons à rêver ! Let’s just make it happen. Soyons des trentenaires créatifs, trouvons des endroits un peu originaux ou s’amuser entre nous (J’entends que les after works du Hype a Montagne Sainte sont mortels) !
Quand j’aurai trente ans, pensais-je, j’aurai déjà publié deux romans, je vivrai dans un loft et je serai fou d’amour pour la personne avec qui je sais je passerai le reste de mes jours… Et avec tous mes amis d’enfance, nous prendrons des verres dans des bars chics de Libreville, et le weekend utiliserons le bateau de l’un d’entre nous pour aller a la Pointe ! Well, j ai trente ans, tous mes manuscrits ont été refusés, j’enchaine les histoires sans lendemain, je bois seul le soir dans mon studio et aucun de mes amis n’a de bateaux. D’ailleurs la Pointe, je n’y suis allé que deux fois ! Du coup je me pose la question, comment vivent les trentenaires au Gabon ? Le fait est que la grande majorité d’entre nous avons passé nos vingt ans en Occident et avons vus des trentenaires avoir un certain de mode de vie… Les trentenaires ont pris un crédit, ont acheté une maison, sortent le soir dans des endroits branchés pour trentenaire… A paris on émigre de République et du Quartier Latin pour le 8e arrondissement. A New York on passe de East Village pour les bars roof tops des grands hôtels. Au niveau professionnel on sort de la période des stages sans fin pour les premiers postes à responsabilité. Et avec cette transition, arrive l’impression de profiter au maximum de sa vie… Le problème au Gabon est que lorsque l’on atteint la trentaine, on a perdu beaucoup d’illusions. Les premiers jobs ne payent pas des masses, les postes a responsabilité sont occupés par de vieux croutons qui ne veulent pas lâcher du lest, et beaucoup se retrouvent encore à vivre chez papa et maman. Côté vie sociale et culturelle, Libreville n’offre pas un grand choix de sorties ou d’endroits différents. La Montée de Louis, au bout de trente ans… dois-je en dire plus ? La plupart des jeunes trainent de bar en club
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ON L’ADORE veuve Clicquot makes it look like j’avais fait ça toute ma vie. Je pense qu’être populaire ne signifie pas se sentir supérieur en quoi que ce soit aux autres… Il faut au contraire avoir beaucoup d’humilité, énormément de respect pour les gens que l’on rencontre, s’ouvrir au monde, être curieux de la vie, et se coucher tôt et boire trois litres d’eau par jour. Non je rigole… Lorsque l’on me demande si le fait d’avoir une vie (en apparence) fabuleuse est le secret du bonheur, je dis toujours qu’il n’en est rien. Pour moi, écouter les mélodies d’une belle musique, regarder les mouvements d’un cheval au galop, ou admirer un coucher de soleil, peuvent être des instants magiques qui transforment une vie et qui n’ont pas de prix. Je vous souhaite à tous de trouver la joie et le bonheur, mais surtout je vous souhaite tout plein d’amour. AM
Salut à tous, je suis le premier surpris, mais aussi ravi d’apprendre que l’on m’a décerné le prix on l’adore du Magazine A+Y People Magazine. C’est un honneur de savoir que les lecteurs toujours fashion du Magazine aiment mon allure, mon rire (apparemment très remarquable et très communicatif) et tout un tas d’autres choses à propos de moi. Je suis un grand fan de la mode, mon designer favori est Thierry Mugler pour les costumes hommes. Je peux passer des journées entières dans sa boutique pour hommes, rue Etienne Marcel à Paris. Je collectionne les chaussures (bottes pour hommes), ma chaussure préférée est une boot de la marque Damy. Le tennis est une grande passion et lorsque je rentre a Manhattan ou j’ai un appartement et vis depuis plusieurs années, je me précipite au Métropolitain Opéra ou je ne me lasse jamais de revoir Tosca sur scène. En plus de mon travail de juriste international, rien n’est plus gratifiant que jouer à l’hôte d’évènements et de grandes soirées a Libreville. En général je suis paralysé par la nervosité, mais une coupe de 25
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Vu en Ville Chose promise, chose due. Alors que certains croyaient encore à un poisson d’avril, la structure Direct Prod a tenu son pari. En effet, Jamel Debbouze, arrivé à Libreville mercredi dernier a offert un spectacle riche en couleurs samedi 30 mars à la Cité de la Démocratie. La première partie de cette première édition de la Nuit du Rire, un concept du label Direct Prod, a été assurée par des artistes locaux, à savoir Manitou et Défundzu dont les sketches ont enthousiasmé le public et annoncé les couleurs de cette belle soirée. Puis Jamel Debbouze est entré en scène dans une salle pleine à craquer. Au menu, son dernier spectacle intitulé « Tout sur Jamel » dans lequel il se livre et parle de sa famille et de ses souvenirs d’enfance.
un endroit pour vous trentenaires, qui vous rappellera les sorties de votre jeunesse (les timberlands ne sont plus nécessaires). Le Hype Lounge. Situé a Montagne Sainte, à l’angle de la Clinique Chambrier, vous accueille du Lundi au Dimanche de 17h a 4h, et vous fera revivre l’envie de « get jiggy with it » avec les mix de Victor l’un des Dj résidents.
c’est la folie plaisirs au hype lounge
Si vous avez la trentaine, vous connaissez une époque que les moins de trente ans n’ont pas connu à Libreville. Je parle bien sûr de l’ancien Cotton Club, si si rappelez vous…
Vous ne partirez pas sans goûter les now famous cocktails importes de New York City, par Lione. Ladies, rien de tel qu’un sex and the city pour vous donner l’envie d’ajuster vos Jimmy Choo et de discuter mecs avec vos copines. Les tons rouges et noirs du bar, les lumières tamisées, la vue sur le bord de mer, l’escalier en spirale pour accéder au bar, tout concoure à la magie unique de notre coin favori du mois.
Celui juste à cote de l’hôpital Jeanne Ebori, celui pour lequel nous avons tous appris à faire le mur, celui pour lequel si l’on n’était pas vu le samedi soir avec au moins deux bouteilles sur sa table et la dernière Timberland au pied… Well, ce n’était même pas la peine de revenir au lycée le Lundi suivant. Ha ! La belle époque. Aujourd’hui nous avons trente ans, le Cotton Club a déménagé, et les Timberlands… hum… la honte d’avouer que l’on vénérait religieusement des chaussures d’hiver nord américain, dans notre climat équatorial.
Conseil de la Rédaction : Excellent pour les after work. Vous y trouverez un calme et une quiétude propice à vous relaxer après le boulot. La musique lounge et soft dure de 17h a 21h. Le Vendredi et Samedi sont bondés, la clientèle se diversifie. Ambiance club. Vous pouvez réserver des salons pour des évènements privés.
Mais ne désespérons pas, A+Y People Magazine a déniché 26
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Junior Ngari
«Un bad boy a forcément du succès avec les femmes»
Ne vous y trompez pas ! Derrière ses allures d’homme sérieux se cache un passé mouvementé : celui d’un bad boy. Jet-Set, sortie entre potes, filles… Confessions de Junior Ngari.
En bon « jet-setter » quelle destination vous a le plus marqué ? Mon premier séjour à New York reste mon meilleur souvenir. Je voulais tout découvrir par moi-même. A Brooklyn, où je chope une magnifique prostituée. Pour moi, on ne peut découvrir une belle ville si l’on n’est pas accompagné d’une belle femme. Ce jourlà, je me suis amusé comme un fou, c’était magnifique.
Comment définiriez-vous un bad boy ? En êtes-vous un ? Selon moi, un bad boy est une personne sans attache et qui n’a pour ambition que le fun, le sexe et l’argent. Plus jeune j’ai adopté ce mode de vie. Aujourd’hui, je suis beaucoup plus rangé. Ce personnage est loin derrière moi.
Quels sont vos icônes de la mode ? Avez-vous des designers préférés ? Dans le mode j’aime la maturité. Je déteste l’arrogance, l’extravagance et surtout la vulgarité. Une mini-jupe en passant d’accord. Mais si c’est ton style alors chérie tu ne vaux rien. En ce qui me concerne, je ne suis pas trop du genre à suivre comme on dit. Je m’habille comme je le sens, ça ne me réussit pas mal. Chic, sobre ou décontracté, tout y passe selon la circonstance. De mes années bad boy à aujourd’hui, je n’ai jamais eu de ligne de conduite spécifique en termes vestimentaire. J’avoue cependant qu’il fût un temps où j’étais fou de jeans retro Dolce & Gabbana.
Pouvez-vous nous présenter la journée type d’un bad boy ? Ça se résume en une phrase simple : faire la fête. La journée commence par une grasse matinée. Arrivent ensuite les appels pour planifier le reste de la journée : se retrouver avec des potes pour aller diner en ville finir en boîte ou dans un bar. Et pour finir une « after party » avant de se coucher en général vers midi. Du temps où vous meniez cette vie mouvementée, aviez-vous l’impression d’avoir plus de succès auprès des femmes que si vous aviez été un « gentil garçon » ? Un bad boy a forcément du succès auprès des femmes ; elles sont souvent attirées par des mecs difficiles à cerner. Mais c’étaient souvent des relations sans attaches, prendre son pied et « hasta la vista baby ».
Auriez-vous un conseil quelconque pour les bad boys de la place ? Un seul conseil : frangin, si t’es un bad boy, accroches toi à celle qui t’aime.
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MAD & MUSS
Sucess story du hip-hop ivoirien depuis 20 ans, le groupe composé de Mad et Muss allie musique et business à travers leur label de de production BOSS PLAYA Entertainment. Retour sur les grandes tendances d’un duo infernal. Quel est le style Mad & Muss ? Muss : C’est le bon et la brute sans le truand (rires). Contrairement à ce que laisse penser son pseudo, Mad incarne le côté artistique du groupe. Alors que Muss c’est le Bad boy, celui qui apporte ce grain de folie qui fait que le duo soit si spécial.
La réussite ne nous fait pas perdre la tête
Parlez-nous de vos débuts, est-ce une passion d’enfance ? Mad : Nous avons commencé très jeunes à l’âge de 13 ans sous la houlette de Tony Adams. Avec AS, un ami d’enfance, nous avons formé le groupe MAM (Mad-As-Muss). Nous avons sorti un premier album (Hold-up) en 1993 avant de récidiver deux ans plus tard avec un nouvel opus « Lumière » qui nous a ouvert les portes des plus grandes scènes d’Afrique. Quels sont vos influences musicales ? Mad : Nos influences musicales sont très variées.. De la variété au folklore local ainsi qu’a celui d’autres pays africains. Très jeunes nous écoutions Meiway, sans oublier ces sonorités si particulières des 45 tours de notre père, nous connaissions les paroles de Claude François par coeur. Aujourd’hui nous sommes branchés tendance, nous écoutons tout ce qui se fait dans le milieu et nous en inspirons. Quel est le regard de votre entourage sur votre carrière ? Muss : Vous savez, le rêve d’un parent est de voir son ou ses enfants réussir. En ce qui nous concerne, les nôtres étaient réticents à l’idée qu’on fasse de la musique. Eux auraient voulu qu’on devienne médecins,
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avocats, comptables et j’en passe. « La musique ne vous mènera nulle part, prenez exemple sur vos amis qui poursuivent leurs études », martelaient-ils Mais nous tenions à faire ce que nous aimions. Aujourd’hui, notre entourage nous félicite pour notre réussite, mais surtout pour notre persévérance et notre longévité dans le milieu.
Êtes-vous des cœurs à prendre ? Muss : Femmes, filles, dames, demoiselles, prenez nos cœurs, ils sont pour vous (rires). Sérieusement, nous ne sommes pas mariés, du moins pas pour le moment. En tant que célibataires, il y a des chances pour toutes.
Existe-t-il une formule magique pour fabriquer un tube ? Mad : Non. Il n’y en pas du moins pas pour nous !.En studio, on travaille les morceaux les uns après les autres, sans pression mais avec passion. Le tube est la matérialisation du travail fourni en amont. Certes, c’est un objectif mais pas une fin en soi.
Un dernier mot pour les fans ? Mad : Ah les fans, que serions-nous sans eux ? Nous remercions tout particulièrement nos fans du Gabon pour leur soutien sans faille. Pour la petite histoire, nous lisons sur les réseaux sociaux que des grands débats existent sur nos origines. On nous prête même d’avoir été à l’école primaire à Libreville ! Les fans nous apportent tellement et nous essayons de le leur rendre à travers notre musique, en continuant ce pour quoi ils nous adulent. Aujourd’hui, nos fans sont notre raison d’être. Nous adressons aussi des remerciements à La Mama, qui cessé d’être derrière nous.
Comment parvenez-vous à contenir votre succès, à garder les pieds sur terre ? Mad : Nous avons l’avantage d’avoir connu le succès à nos débuts. Nous avons participé à plusieurs concerts, en Afrique et en Europe. Après 20 ans de vécu dans le métier, la fièvre du succès est derrière nous. La réussite ne nous fait pas perdre la tête. Il faut dire que nous avons aussi été bien conseillés.
Des projets en cours… Comme vous le savez, nous avons travaillé à la réalisation de la série Kiara. Nous partons pour Miami pour tourner un vidéo clip… Nous avons quelques projets en cours…
Et côté fashion… Muss : Nous sommes très hip-hop, cela va de soi (rires). Tee-shirts, jeans, baskets et casquettes sont nos tendances privilégiées. Exceptionnellement, notre dress-code s’oriente vers des tenues de ville à certaines occasions. Ce qui nous vaut d’ailleurs quelques piques de nos proches, car disent-ils, les costumes-cravates nous rendent plus responsables. Côté marque, il n’y pas de préférence particulière. Il nous arrive de nous vêtir du moins prestigieux à une grande marque comme Louis Vuitton. Mais en général, dans notre quotidien on arbore un style simple, qui reflète notre personnalité en toute simplicité.
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A&Y LIEUX - BIEN-ÊTRE
LE SPA DU MOIS
Envie de trouver «the » institut spa pour vous offrir un moment de relaxation et de douceur ? Un investissement qui mérite de passer en revue les meilleurs instituts de beauté et spas. La sélection des plus belles adresses spas de A+Y People Magazine vous offre une vraie pause détente toute seule, entre copines... ou avec votre amoureux !
Les tarifs pratiqués varient en fonction des soins demandes, de leur longueur etc.… Ils sont adaptés à toutes les bourses… Ne vous demandez pas pourquoi certaines stars ont des peaux éclatantes, quelque sacrifice oblige en temps et en argent….
Gommages, massages, relaxation, épilation, manucure, pédicure, aromathérapie, maquillage, cure amincissante, extension des cils, algothérapie : La liste interminable des soins corps et des soins visage proposés par les spas et instituts de beauté a de quoi vous faire tourner la tete… Chaque salon possède sa spécialité (raffinement oriental, expertise médicale, décoration luxueuse...). Alors comment bien choisir l’espace qui correspond à vos besoins... et surtout à vos envies de quiétude et de soins? Que vous soyez à la recherche d’un massage aux fruits sur mesure ou encore d’un enveloppement détoxifiant inspiré de recettes ancestrales A+Y People Magazine a sélectionné pour vous la bonne adresse du mois.
A&Y PM Les conseils utiles de Danielle : Soignez votre alimentation Dormez au minimum 8 heures par jour Buvez beaucoup d’eau Hydratez votre peau Faites des gommages réguliers
L’institut Actu’ elle Beauté, est situé sur la colline de montagne sainte. Ouvert depuis un peu plus d’un an, l’affluence est toujours busy… Danielle Mengué, la propriétaire, elle même une fervente adepte des soins beauté du corps et de l’esprit, s’habille en blouse blanche et applique elle même les séances de soins à ses clientes. Entre une tasse de the vert (efficace pour éliminer les toxines et booster les antioxydants) et la musique Feng shui relaxante du Salon, elle nous donne quelques conseils faciles pour maintenir une peau saine et belle.
Le Bateau Ivre Perché sur le bord de mer, avec la vue la plus insaisissable du coucher de soleil de Libreville, Le Bateau Ivre se veut un restaurant au concept moderne basé sur la qualité et le savoir faire. Pour vos repas d’affaire, célébrations familiales, ou diner entre amis, Le Bateau Ivre saura répondre à toutes vos attentes. En effet la cuisine d’authenticité française, mais ouverte au monde revisitée et remise au gout du jour, et surtout sa sélection rigoureuse des produits, feront fondre votre palais. Le restaurant est ouvert toute la semaine, sauf le dimanche et vous accueille à midi pour le déjeuner et à partir de dix neuf heures le soir. Il est conseille de réserver. Cote fashion une tenue de ville est conseillée, les jeunes ladies y sont souvent en stilettos.
Danielle insiste sur le fait que la peau est avant tout le reflet de l’âme, l’éclat de la peau n’est que la conséquence directe de son mode de vie. Les excès de tabac, d’alcool, la mauvaise alimentation, la fatigue sont des obstacles majeurs à l’éclat d’une peau. La peau doit s’entretenir tous les jours. Une bonne hydratation, des gommages réguliers aident à éliminer les cellules mortes et l’excès de sébum. Enfin, beaucoup de femmes oublient qu’une alimentation saine, comprenant des légumes, des fruits, beaucoup d’eau concourt à garder une peau éclatante. Pour ce qui est des marques qu’elle utilise dans son salon, Danielle Mengué fait confiance aux grandes marques comme O.P.I et Peggy Sage pour l’onglerie et le Club des Professionnels pour les soins du corps. L’Oréal et Kerastaz, completent la gamme pour les soins capillaires. La jeune experte en beauté, insiste aussi sur le fait que de nos jours, les soins en institut devraient aussi concerner la gente masculine. Elle soutient d’ailleurs que la cliente d’Actu ‘elle Beauté Institut est totalement mixte et que ces messieurs demandent exactement les mêmes soins que ces dames. D’ailleurs il semblerait que certains soient plus exigeants par rapport à… leur manucure.
Même si la célèbre éditrice de mode Carla Garfield qui a récemment été aperçue dinant avec une amie, avait préféré balancer ses louboutins et ses designers dresses, et opter pour un bas de jogging et des sandales. Le Conseil de la Rédaction de A+Y People Magazine : Essayer le Tournedos Rossini accompagné d’un Saint Emilion à la carte. Le petit - L’espace de parking assez restreint Le petit + L’espace de parking et son accueil impeccable.
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A&Y L’ACTU
La Mama honorée aux Trace Urban Music Awards A l’occasion de ses dix ans d’existence, la chaîne de télévision Trace Urban a organisé le 14 mai dernier sa première cérémonie récompensant les meilleurs artistes hip-hop et R&B de France et du monde de l’année : les Trace Urban Music Awards 2013.
Au même titre que les membres du groupe de rap français (Marseille) IAM pour ses 22 ans de carrière, la diva de la musique gabonaise et africaine, Patience Dabany, a reçu le prix d’honneur attribué par la chaîne pour « le service rendu à tout un continent ».
Dix trophées ont ainsi été attribués à un ensemble d’artistes plébiscités par 600 000 téléspectateurs par le biais des votes. Mais au-delà des artistes qui ont conquis les différentes catégories, un jury spécial de la chaine a souhaité attribuer deux prix d’honneur à des artistes qui ont marqué la musique et la culture de leur continent respectif.
Une consolation pour notre Mama nationale, qui a raté le coche dans catégorie du meilleur artiste africain, dont le prix a été remporté par Fally Ipupa.
Consécration Van Mabadi au Ficod Organisée du 4 au 11 mai dernier à Douala, au Cameroun, la cérémonie de remise des prix du Festival international du court-métrage de Douala (Ficod) a révélé et confirmé le talent du cinéaste gabonais Van Mabadi dont le film, « Le poids du silence », a ravi le jury et le public venu nombreux pour assister à cette 6è édition du festival. En effet, au terme de cette compétition dont il a été le seul gabonais sélectionné, le diplômé de l’Ecole Nationale des Arts et Manufactures du Gabon (ENAM) a remporté cinq prix sur l’ensemble des 16
attribués. Van Mabadi est ainsi rentré à Libreville avec le principal prix de la compétition : le grand prix du FICOD 2013. En plus du prix de la meilleure interprétation féminine remporté par Natacha Nzang, une de ses comédiennes dont le jeu de rôle a bluffé aussi bien le public que le jury lors de la projection, le film de Van Mabadi a remporté le prix de la meilleure bande originale, le prix de la meilleure fiction et le prix du meilleur scénario.
Arielle T Kundé du meilleur artiste de l’Afrique centrale Les Kundé, cérémonie qui récompense les meilleurs artistes, se sont tenus, le vendredi 26 avril 2013 au Burkina Faso dans la salle des banquets de Ouagadougou 2000. Arielle T, la native de la province de l’Ogooué Ivindo vient de hisser la culture gabonaise en particulier la chanson en occupant la première place sur Trace TV.
PHARMA SHOP produits de beauté de marque Pour toutes celles et tous ceux qui veulent des produits de beauté de marque authentique et abordable, le Pharma Shop à l’intérieur des Galeries de Mbolo est ce qu’il vous faut. La boutique faisant l’angle à l’entrée la plus proche de la sortie du parking, est assez fournie pour satisfaire toutes vos envies.
Le Conseil de la Rédaction de A+Y People Magazine : Le Gift Bag des produits de la marque Clarins.
Une consécration rare pour le Gabon, au regard des multiples talents et des grosses pointures africaines qui se sont déjà fait un nom. Cette place de choix confirme le talent de l’artiste et accorde du crédit à la musique gabonaise sur l’échelle internationale. Cette artiste aux multiples facettes s’est vue consacrée en avril dernier le Kundé du meilleur artiste de l’Afrique Centrale.
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A&Y À TABLE
Dîner en semaine chic et rapide
Cassolette de capitaine aux légumes Cette recette est à déguster au choix entrée ou en plat (dans ce cas il faut doubler les doses). Moi je l’ai mangé en plat principal, un soir après une petite entrée. Et je peux vous dire que je ne suis pas la seule à avoir adoré. C’est rapide à préparer et c’est un délice. Pour 4 personnes préparation : 40 min cuisson : 30 min
Aumônière de saumon au caviar
Ingrédients :
Ingrédients
300 g de capitaine (ou mérou ou lotte ou tout poisson à chair épaisse) 1 poireau 1carotte 2 belles tomates 150g de champignons de paris 2 échalotes 1 courgette 100 ml de vin blanc sec 100 ml de crème liquide (ou fleurette) 1 jaune d’œuf 1 cube de court bouillon 1/2 litre d’eau 2 cuillères à soupe d’herbes (persil, coriandre…) 2 cuillères à soupe de ciboulette sel, poivre Chapelure
7 fines tranches de saumon fumé 125 g de caviar ou œufs de lump noirs 1 gros concombre 15 cl de crème double 1 bouquet de menthe quelques brins de ciboulette sel, poivre du moulin. Recette
Laisser tremper les brins de ciboulette quelques minutes dans de l’eau bouillante, les égoutter. Dans un bol, mélanger le concombre en dés, la crème et la menthe ciselée, salé, poivrer. Émincer 1 tranche de saumon, l’ajouter au concombre, ainsi qu’une cuillerée de caviar et mélanger. Répartir 1 cuillerée de cette préparation au milieu de chaque tranche de saumon, former 6 aumônières, les lier avec des brins de ciboulette et réserver au frais.
Préparation :
+ Chic : Répartir le mélange au concombre restant au centre des assiettes, poser délicatement 1 aumônière par-dessus, ajouter 1 cuillerée de caviar et accompagner de tranches de pain grillé.
Préparer 1/2 litre de court bouillon en mettant le cube dans l’eau bouillante. Mettre le poisson coupé en gros cube dans le court bouillon dès qu’il est à ébullition et laisser cuire 2 min, pas plus sinon il sera trop cuit ! Egoutter le poisson et le rafraichir en le passant sous l’eau froide. Découper les légumes en petits cubes et les mettre dans une casserole avec le vin blanc, les herbes, les échalotes hachées et la crème. Saler, poivrer. Faites cuire à feu doux pendant 20 min. Ajouter les champignons et faire cuire pendant encore 10 min. Préchauffer le four à 210°C. Pendant ce temps, ajouter la ciboulette et le jaune d’œuf. Répartir dans 4 ramequins la sauce aux tomates et les cubes de poisson. Ajouter ensuite sur le dessus la chapelure et enfourner pendant 10 min. servez accompagné de riz blanc, de pommes vapeurs ou encore de haricots verts. 32
A&Y À TABLE
Riz blanc Thaïlandais parfumé
le dessert
(1 volume de riz + 1.5 volume d’eau: je fais bouillir le tout puis je baisse le feu et couvre, cuisson 15 min environ. J’éteins le feu et laisse couvert jusqu’a ce que les grains soient aient bien absorbés l’eau et soient cuits mais pas collants. Servez immédiatement !
Il y a des années déjà que ce dessert est très à la mode mais quand on est accroc au chocolat comme moi on ne s’en lasse pas….. Toute sa réussite réside dans le temps de cuisson, cela nécessite donc un ou plusieurs essais préalables pour tester La T° et la durée idéale pour son propre four ! Par exemple chez moi c’est 10mn à 200° four préchauffé en air pulsé (chaleur tournante) C’est parfait jusqu’à 8 ramequins, au delà c’est environ 15 à 20 secondes de plus. J’ai aussi remarqué que préparer l’appareil la veille ou le matin pour le soir donne de meilleurs résultats. La recette:
Dans cet ordre si possible! Beurrer et fariner 8 ramequins, les réserver au frais pendant la réalisation de la recette. 4 œufs entiers, 100g de sucre, 100g de chocolat noir à pâtisser, 100g de beurre, 50g de farine. Fouetter à grande vitesse dans le bol du robot (ou au fouet à la main) les œufs entiers avec le sucre pendant 5mn pour obtenir un mélange blanc et mousseux. Pendant ce temps, fondre le chocolat au bain-marie puis, hors du feu incorporer le beurre en dés. Verser ce mélange sur les œufs puis ajouter la farine en pluie. Lisser. Remplir les 8 ramequins aux 2/3. Filmer et réserver au frais, le mélange va durcir. Faire cuire à 200 degrés pendant 10 minutes environ pour un cœur parfaitement coulant N’oubliez surtout pas de préchauffer votre four au début du repas…ce dessert se déguste chaud, seul ou accompagné de crème anglaise ou encore d’une boule de glace à la vanille. Bonne dégustation !!!!!!
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A&YHOROSCOPE
horoscope Bélier
général : Sentimentalement, pas de complications aujourd’hui car vous prendrez tout comme ça viendra. TRAVAIL/FINANCE : Ne bâclez pas votre travail. Vous perdriez un temps précieux pour rattraper cette éventuelle erreur. AMOUR : Les amis durant cette journée tiendront également une grande place dans votre coeur et dans votre vie. Vous ferez quantité de projets en commun. Faites bien attention à ne pas douter de vous..
Taureau
GENERAL : Grâce à votre ouverture d’esprit, vos rapports avec les autres s’enrichiront. TRAVAIL/FINANCE : Votre organisation est sans faille, vous arrivez à soutenir un rythme trépidant. AMOUR : Malgré un esprit quelque peu timoré, vous pourrez, grâce aux astres aujourd’hui élargir votre champ d’action et très certainement ne plus regarder complaisamment votre partenaire..
Edgar Yankeu, star née en juillet !
Gémeaux
Scorpion
GENERAL : Vous devrez faire un effort pour retrouver votre sens de la discipline dans votre travail. TRAVAIL/FINANCE : Il ne faudrait pas professionnellement avoir les deux pieds dans le même sabot, et bien avoir les idées claires, mais vous serez empreint d’une telle paresse que vous y parviendrez difficilement. AMOUR : Excellente entente avec votre partenaire. Vous vous comprenez à demi mot, la nuit s’annonce courte.
GENERAL : Votre charme fera que vous pourrez prendre à tout niveau l’orientation que vous désirez. TRAVAIL/FINANCE : Une certaine tension intérieure risque de vous rendre agressif avec vos collègues. AMOUR : C’est sur le plan sentimental que vous réussissez encore le mieux.
Sagittaire
GENERAL : Votre activité comporte de multiples facteurs positifs. Le dynamisme, l’ouverture d’esprit ainsi que la logique et la raison sont vos plus précieux atouts. TRAVAIL/FINANCE : Mettez de l’ordre dans vos dossiers et dans vos papiers en retard. AMOUR : Le domaine familial sera à l’honneur. Il s’agira de penser aux autres, aux enfants, à la famille. La vie privée sera plutôt réussie pour ceux qui se trouvent à un tournant décisif: Ils sauront consolider les liens établis.
Cancer
GENERAL : Vous allez découvrir que pour vous tout ce qui est artistique est une véritable passion. TRAVAIL/FINANCE : Votre professionnalisme vous incline à progresser dans votre domaine de compétence très rapidement. AMOUR : Ne restez pas prisonnier de vos habitudes. Essayez de surprendre votre partenaire. Organisez une petite soirée en amoureux. Pour les célibataires, essayez de faire preuve d’un peu plus de fantaisie.
Capricorne
Lion
GENERAL : Vous serez enjoué toute la journée par la gaieté d’un partenaire vif et brillant. TRAVAIL/FINANCE : Aujourd’hui, ce sera plus calme qu’hier d’un point de vue professionnel. AMOUR : La majorité des planètes vous sont bénéfiques et vous ne devriez donc avoir aucun mal à réaliser vos projets professionnels et amoureux. .
GENERAL : Tentez une percée, c’est le moment ou jamais pour réaliser ce que vous souhaitez depuis longtemps. TRAVAIL/FINANCE : Vous pourriez consolider votre situation si vous avez à faire avec l’étranger. AMOUR : Votre vie amoureuse est un peu en dents de scie. VITALITE : Petits désordres nerveux ou spasmophiles sans gravité à craindre.
Verseau
Vierge
GENERAL : Vous rechercherez vivement la compagnie d’autrui de manière à ne pas trop penser à vos problèmes avec votre banquier. TRAVAIL/FINANCE : Au lieu de vous éparpiller dans tous les sens, réorganisez votre façon de travailler. AMOUR : La roue tourne en votre faveur, vous traversez une phase de réconciliation sentimentale.
GENERAL : Les aspects planétaires freinent votre activité et vous aurez la désagréable sensation de ne rien maîtriser comme vous l’entendez. TRAVAIL/FINANCE : Vous remplissez vos fonctions avec professionnalisme certes, mais vous rongez votre frein parce que vous avez envie de changer votre fusil d’épaule. AMOUR : Jouez l’attente, c’est bien plus sûr, quoique vous en pensiez. Côté coeur, vous serez particulièrement sensible aux attentions de l’élu(e) de votre coeur,.
Poissons
GENERAL : Vous avez tout intérêt à mettre de l’eau dans votre vin si vous entreprenez des négociations. TRAVAIL/FINANCE : Vous serez dans l’incapacité d’opter pour le choix que vous envisagiez de faire à propos d’une éventuelle activité future. AMOUR : Relevez la tête pour croiser le regard d’un prétendant.
Balance
GENERAL : On succombera à votre charme dévastateur. Vous êtes magnétique et attirant. TRAVAIL/FINANCE : La journée sera pleine de surprises, de mouvements et de découvertes. d’inconnu. AMOUR : Vous avez envie de prendre du recul par rapport à votre relation actuelle, mais vous ne savez pas comment l’avouer.
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iPod
iMac
iPad
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MacPro
MacBook
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