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EkweNazareth
from Ekwe Nazareth_22
P. EMILIO BERBEL MARTINEZ
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SF. Chères familles, À la veille de Noël, nous publions le numéro 22 de notre magazine ici à Yaoundé, dans son édition de Noël. La maison commence à se préparer pour les événements à venir. Pour commencer le 24 Chapitre Général qu’il fera en Espagne et que nos deux formateurs, qui ont été choisis, doivent marcher pour leur participation De là, nos prières vous accompagneront pour que l’Esprit Saint vous éclaire face aux nouveaux défis de l’Église et de la Congrégation pour les six prochaines années.
Sommaire
- Éditorial
- Le temps de l’Avent : Vivre l’espérance
- Le multiculturalisme africain et la mondialisation
- Noël a Yaoundé Cameroun : le cas de Yafe
- Problèmes et situation familiaux : défi et enjeux pédagogique de l’apprentissage
- Les mots des futurs novices : bilan des années passées et perspectives des échéances avenir
- Vivre le charisme manyanetien dans une Afrique multiculturelle
- Fête du Père Manyanet
- Chronique
En raison de cet événement, le P. Julio Celio, sf. du Brésil s’est porté volontaire pour venir à Yaoundé pour être avec les frères pendant un mois et connaître ainsi notre mission. Merci père pour votre générosité, nous sommes heureux de partager avec vous la vision camerounaise de Noël, nouvelle année et de voir un peu notre pays
Le deuxième événement est le départ de nos postulants qui partent pour la Colombie pour commencer leur année canonique du noviciat. Ce deuxième trimestre la communauté restera avec 6 frères et seulement deux aspirants. Pourtant, nous travaillons avec cinq jeunes à l’Aspirantado à l’extérieur pour les suivre.
Dans ce numéro de notre revue, vous trouverez des articles de l’Avent, de Noël, de famille et aussi notre chronique où vous verrez nos expériences de ce trimestre. Profitez-en et laissez Dieu entrer dans votre vie en ces jours marqués. Joyeux Noël et bonne année 2023
Multiculturalisme Et Mondialisation
Les termes multiculturalisme et mondialisation sont aujourd’hui au centre des réflexions philosophiques et sociologiques. En effet, ce sont des termes importants puisqu’ils nous aident à mieux comprendre l’homme, la société et les relations interhumaines De fait, il convient de procéder à une clarification terminologique de ces différentes expressions afin d’en saisir la profondeur et la grandeur épistémologique.
D’emblée nous dirons que le monde dans lequel nous vivons est une agglomération de plusieurs cultures. Ces cultures font du monde un espace multiculturel qui ouvre les éventails et des découvertes pour l’homme afin de renchérir ses différentes connaissances.
En Afrique ce multiculturalisme se manifeste par la diversité des ethnies, des traditions, des us et coutumes. Cependant, dans un contexte de mondialisation où nous assistons à un bouleversement des sociétés provoquant l’érosion des valeurs dérivatives et l’accélération de la mentalité mercantile, où l’homme est réduit à un moyen et non une fin, il convient, de nous interroger sur la portée éthique des différentes valeurs culturelles africaines
Les valeurs culturelles africaines Sont un ensemble de faits sociaux et de pratiques culturelles que nous recevons de nos ancêtres. Ces valeurs servaient de balise pour les sociétés traditionnelles et visaient à répondre aux besoins fondamentaux des membres d’une communauté. De ce point de vue, les valeurs traditionnelles tel que perçue en Afrique définisse l’homme comme mouvement de transcendance. C’est-à-dire qu’elles permettent à l’individu de vivre en équilibre harmonieux avec lui-même, avec la nature et avec l’altérité. Comme valeurs nous pouvons retenir : le sens de la fraternité (ubuntu), le respect, la responsabilité dans la gestion des biens communautaires, le respect de la vie et de l’intégrité humaine, le courage, etc. Au regard de ces différentes de valeurs qui découlent des cultures africaines, nous pouvons détecter dire que celles ci sont d’une nécessité cardinale pour notre temps dans une époque où nous assistons à la chute des repères et au surencombrement des visions éthiques et déontologiques.
Ainsi, il s’agit d’éveiller la conscience de tout africain, sur le fait que, malgré l’érosion des valeurs des valeurs dérivatives et des tendances réductionnistes de l’humain, ceux-ci sont appelés à saisir et à assumer pleinement leur identité afin de promouvoir leur valeur aux yeux du monde.
Le temps à la fois une donnée spatiotemporelle, et contingente, donne l’occasion à l’humain, à travers ses différentes divisions, de prévoir chaque année des périodes de re-création. C’est le cas des fêtes de fin d’années, entre autres Noel, la Saint Sylvestre et le nouvel an. Dans la capitale politique du Cameroun, Yaoundé, un évènement fait sensation forte chaque fin d’année, il s’agit de « YaFé » Yaoundé en Fête
C’est une sorte de foire et exposition, à bénéfices socio-culturel et économique, qui vend également l’image du pays aux visiteurs venus des contrées diverses. Elle se déroule durant la période désignée officiellement comme congés de noël. Cette année YaFé sera à sa 17ème édition, depuis 2015, année de sa création et se tiendra du 16 décembre 2022, au 01er janvier 2023, au palais des congres.
Il est question, au cours de ladite foire, de divertissements pour tout âge, de découverte de talents artistiques dans tout domaine et de consommation du « made in Cameroon ». C’est l’occasion donnée non seulement aux petites et moyennes entreprises de se faire un nom, mais aussi de nous éloigner un tant soit peu, de tout ce qui concerne le scolaire, l’académique et l’administratif. Vous y trouverez, chacun en ce qui le concerne, un ou plusieurs stands dans lequel se mouvoir entre ami(e)s : concerts-live avec des artistes locaux et ceux de la diaspora, des jeux virtuels, jeux de hasard, jeux de motricité, jeux-concours, manèges, etc. YaFé est un véritable lieu de convergence, de convivialité et surtout d’interculturalité, où des personnes se réunissent pour exprimer leur besoin de toujours être ensemble. Le moment le plus particulier sans doute et qui clôture cet évènement est la parade des artifices qui nous conduit des derniers instants de l’année en cours, aux premiers instants de l’année nouvelle.
Ainsi, pour tous les amoureux des évènements festifs de fins d’année, tout le décor y est planté pour vous satisfaire. Quant à ceux qui viennent d’ailleurs, l’occasion vous est donné de connaitre en miniature, l’essence et la quintessence de la culture camerounaise en particulier et de l’Afrique en général.
Face à la flambée montante de l’émancipation sociale, face à la mondialisation et la domination des TIC dans notre monde actuel, la société se trouve englobée et embrigadée au détriment des valeurs promulguées qui impactent toutes les couches sociales en occurrence les familles Les problèmes familiaux entre parents vont se répercuter sur les enfants en altérant notamment leur sentiment de sécurité. On peut alors constater un changement de mentalité qui imposerait un sentiment de dispute, des cris qui pourraient dans certains cas aboutir à la bagarre. Face à cette montée de contre valeurs dans nos familles, nous nous interrogeons à savoir : Quelles peuvent être les causes des maux qui impactent nos familles aujourd’hui ? Pourquoi la violence prend-t-elle le dessus au détriment des valeurs humanisantes ? Quelles peuvent en être les conséquences dans l’éducation des enfants ? Comment pouvons-nous contribuer à la redynamisation du climat familial plus fraternel et humain ? Chers lecteurs de EKWE NAZARETH nous vous proposons ici quelques idées certes pas abondantes mais que nous trouvons pour notre ^part importantes pour le bien de nos familles.
Commençons d’abord par comprendre que tous les hommes sont créés à l’image de Dieu, et ceci pour une mission spécifique que lui confère le Seigneur. Nous pouvons le comprendre avec le Saint Pape Jean Paul II lorsqu’il écrit : « En créant l’homme et la femme à son image et a sa ressemblance, Dieu couronne et porte à sa perfection l’œuvre de ses mains : il les appelle à participer spécialement à son amour et aussi à son pouvoir de Créateur et de père, moyennant leur coopération libre et responsable pour transmettre le don de la vie humaine : « Dieu les bénit et leur dit : soyez féconds et multiplies-vous, remplissez la terre et soumettez-la ». Familiaris Consortio no 28. La famille de nos jours fait face à de nombreux maux qui emboitent son éclosion sur plusieurs plans à savoir : social, économique, culturel, structurel ce qui impacte la vie des enfants qui sont appelés à se mouvoir et à se développer comme sujet. Etant donné que l’amour dans la vie sociétale et humanitaire se réalise sous trois dimensions que sont : la dimension affective émotionnelle, la dimension spirituelle et rationnelle et en fin la dimension active-opérationnelle et tendancielle.
Partant de cette trilogie conceptuelle l’on peut dès lors évoquer ces quelques tares qui distillent la famille aujourd’hui.
Nous pouvons en premier lieu évoquer la perte de l’amour conjugal. Ici, lorsque le couple ne parvient plus à ressentir le besoin de s’aimer l’un pour l’autre comme à la première rencontre, ce qui pourrait alors engendrer d’autres problèmes tels que : le manque de dialogue, la haine, les disputes qui peuvent entraîner des bagarres dans la maison. Parfois ces problèmes proviennent des entourages car des personnes vivant autour de vous ne se sentent pas aisées du fait que vous vivez dans l’harmonie et du coup, s’ingèrent dans votre famille pour semer la zizanie N’oublions aussi pas la situation sociale économique qui influe abondamment surtout lorsque les partenaires ne se soutiennent pas mutuellement dans la réalisation des projets familiaux préétablis. Le divorce, l’abandon des enfants et voire leur division dans la famille, la non scolarisation des enfants et aussi on peut évoquer l’analphabétisme de certains parents. La liste est loin d’être exhaustive.
Eu égard à ce chapelet de difficultés vécues par les familles aujourd’hui, il nous est impératif d’y porter un regard interrogatif afin de voir comment pouvonsnous porter secours aux familles qui font face à ces situations et quels sont les balises que nous posons en vue de favoriser leurs reconstructions. Pour permettre aux familles de se mouvoir aujourd’hui, l’Eglise, notre Mère nous présente la Foi comme porte de toute sanctification comme nous le dit Saint Jean lorsqu’il parle de l’enseignement de Jésus a ses disciples sur la question de la vigne véritable : « celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; car hors de moi vous ne pouvez rien faire » (Cf. Jn 15,5) Oui, seul l’enracinement en Christ peut faciliter la médiation des problèmes sociaux familiaux. Et à Saint Joseph Manyanet, Prophète de la Famille de préciser que : « Parce que cette vertu de foi est le principe fondement de notre salut éternel, et parce que, comme le dit l’Apôtre, sans elle il est impossible de plaire à Dieu, ils doivent rechercher (…) avant tout pour eux-mêmes, avec l’aide de Dieu, une foi vivante avec une volonté prompte et déterminée de croire et d’embrasser fermement et fidèlement tout ce que propose l’Eglise Catholique, Apostolique et Romaine. » il poursuit ses propos en disant : « donc ( …) tâchez de bien l’ancrer en vous, vivez d’elle, demandezla intensément à Dieu et réfugiez-vous en elle lorsque surviendra la tentation du monde, du diable et de la chair ». (cf. Constitutions(1864-1865) no 115)
C’est à travers la foi que tout peut être possible pour résoudre les différents problèmes qui sévirent dans nos familles aujourd’hui. Mais seul la foi ne suffit pas il faut joindre à celle-ci l’action. Cette action implique la prise en compte des autres domaines tels que les sciences humaines et sociales qui participent non seulement à la formation mais aussi à l’édification de la vie humaine. D’où l’urgence de l’éducation en milieu familial soit par les parents eux-mêmes s’ils sont instruits où alors par des argents de l’éducation infantile.
Nous voulons aussi fonder comme jalon de stabilité dans les familles, la discipline de vie familiale. J’entends ici par discipline de vie familiale l’organisation de celle-ci bien avant et pendant le mariage Sa structuration doit se fonder sur l’avenir des enfants qui naîtrons ou qui le sont déjà en vue d’éviter toute mésaventure. Et pour ce faire il faut favoriser l’éducation des familles et des enfants en vue de promouvoir un monde meilleure et durable. En plus de tout ce que nous avons déjà énumérer, il convient d’y adjoindre le dialogue entre les membres de la famille. Celui-ci doit être réciproque en vue faciliter l’insertion social de chaque personne. La prière individuelle et communautaire est très nécessaire dans la famille car elle permet à ses membres de bien solidifier les liens familiaux et de se protéger contre les vents externes De nos jours toutes les familles doivent se fonder à l’image de la Sainte Famille de Nazareth. En Mt 12, Jésus dresse le profil des membres de sa famille en disant que ce sont ceux qui écoutent la parole de Dieu et la gardent. La véritable famille serait donc celle qui vie uni à l’exemple du Christ uni à son père. Ceci implique la soumission de la femme dans la maison, l’obéissance des enfants à la maison et la responsabilité du père à pouvoir veiller sur sa famille comme Saint Joseph vrai gardien et protecteur de la sainte famille.
Si l’éducation des enfants échouent alors on va vivre dans un chaos total en ceci que les valeurs humaines telles que : le respect, l’obéissance, la responsabilité, l’écoute etc. vont foutre le camp et ce sera la débandade totale. Pour lutter contre ces fléaux, les parents doivent en premier lieu canaliser l’éducation de leurs enfants dès la naissance comme le souhait le philosophe français Rousseau.
Somme toute, nous voulons signifier que l’éducation telle que conçue par les philosophes comme Rousseau, Pythagore, Olivier Reboul et bien d’autres met l’enfant au centre de son processus éducationnel. Cependant, selon le Magistère, cette charge bien que mettant le sujet au centre implique également les clercs pour cette noble charge qui est l’une des missions du Christ ; celle de l’enseignement. Tout compte fait, il faut comprendre que la famille doit prendre ses responsabilités en frayant le chemin favorise une vie bonne authentiquement fondée sur la foi chrétienne ayant pour principe majeurs la sauvegarde des valeurs que prône cette dernière
Grande passées, dan septembre 20 au Seigneur ca et confrères découvert l’am dans nos vie chose. Il faut eu un même p philosophes e mais pour ce sommes toujo futur prêtre fait la philosophie qui parait pour certains comme une discipline des <<Fous>> ? Et nous osons croire que notre curiosité nous a conduit à réaliser que la vraie folie serait celle de faire fi de cette discipline qui recadre plutôt l’homme, ce dernier étant beaucoup plus attaché à l’agréable qu’à l’important. Obligé de rejoindre René Descartes lorsqu’il affirme que << c’est proprement avoir les yeux fermés, sans tâcher jamais de les ouvrir, que de vivre sans philosopher >>.
Le constat fait, nous sommes dorénavant tenus de poser un regard critique sur les situations qui nous entourent et non de les considérer simplement comme des faits naturels ou encore découlant de la nature de l’homme et dont il faudrait juste observer. Si jamais la nature de l’homme le conduit à sa propre destruction, alors, il devrait détruire cette nature et reforger une autre, qui l’aidera à se maintenir en vie ainsi que les autres.
Au cours de ces 3 années de d’aspiranat et de postulat nous avons pris une ribambelle de notions sur la vie du père fondateur Saint Joseph Manyanet et la création de la congrégation. En gros ce parcours nous donne non seulement de faire un pas de plus dans Notre cheminement vocationnel, mais aussi d’avoir un œil sur L’éducation et la formation des Familles chrétienne selon le charisme et la spiritualité de la congrégation pour une entraide mutuelle et une vie paisible
Le prochain parcours pour nous est le noviciat qui est toujours une étape dans la formation , de là nous irons pour un approfondissement du charisme et de la spiritualité de la congrégation et ceci s’effectuera en Colombie dans la ville de Medellín pour une durée d’un an et de là par la grâce de Dieu Le père nous serons des jeunes professes << religieux de la Sainte Famille >> telle est notre défi .
Comme perspective des échéances avenir, nous souhaitons implanter la dévotion à la sainte Famille dans nos familles et voir mêmedans le diocèse, nous voulons aussi faire l’accompagnement des couples ... la formation sur la sainte famille modèle des familles et appliquer la pédagogie Manyaneticienne .
Que le Seigneur Notre père nous aide tous et nous accompagne Loué soit la Sainte famille...
En de termes simples, le multiculturalisme peut se définir comme étant la coexistence de plusieurs cultures dans un même espace. Pour le cas de l’Afrique, il est l’ensemble des différentes cultures que regorge le continent. Les sociologues identifient la pluralité des cultures qui coexistent en Afrique à une pieuvre à milles tentacules. Comme pour dire que le vieux contient est un véritable scandale culturel, qui constitue à la fois une richesse pour l’humanité toute entière. La question du multiculturalisme des société Africaine c’était déjà posé pendant le Concile Vatican II, lorsque les Pape Paul VI, en parlant de l’ouverture de la liturgie Catholique reconnaissait déjà cette diversité, favorisant ainsi le nouveau modèle de la rencontre de l’Evangile avec les cultures africaine : une rencontre qui voudrait que l’Evangile de notre Seigneur puisse purifier les cultures africaines, en prenant ce qu’il y a de bon, et en rejetant ce qu’il y a d’obscure. C’est dans cette même dynamique que les Fils de la Sainte Famille, de par la richesse de leur charisme doivent inscrire leur présence au Cameroun.
Nous ne voulons pas insister sur tous les détails du charisme de Fils de la Sainte Famille, nous nous voulons juste de faire une insistance sur l’aspect le plus visible de ce charisme qui se résume dans l’expression : « éduquer le cœur et l’intelligence », en d’autres termes, éduquer la famille et la jeunesse selon le modèle de Nazareth.
En Afrique, le charisme de FSF répond bel et bien aux exigences de la société africaine actuelle, en proie à de nombreuse dépravation familiales et sociales. Les familles qui ne connaissent plus l’amour, les enfants qui manquent de scolarisation, les enfants instruits qui ne connaissent plus les valeurs suprêmes de la vie. Dans un tel contexte, le père Manyanet, connu sous le nom de prophète de la famille se veut d’apporter sa touche particulière. Il voudrait apporter un Nazareth dans chaque foyer ; où pour mieux dire : « faire de chaque foyer un foyer à l’image de celui de Nazareth », qui vivait dans l’amour, l’harmonie, le respect, les complémentarités de ses membres et surtout l’amour et le respect de Dieu.
Dans une Afrique multiculturelle, marquée par les discriminations de plusieurs types, il est question pour les Fils de la Sainte Famille de rappeler aux uns et aux autres l’amour comme fondement des relations sociales harmonieuses
Il est également question de présenter aux familles et aux jeunes le model de la famille de Jésus, Marie et Joseph comme étant model de Famille par excellence. Et cela n’est possible que par la pastorale familiale, paroissiale et scolaire. D’ailleurs, les Fils de la Sainte Famille, présent depuis plus de sept ans en terre camerounaise ne manquent pas de le faire, étant donné qu’ils sont présents dans les écoles (Saint Francise), dans les paroisses (au moins 8), et exercent d’autres activités pastorales qui leurs mettent au centre même de la société africaine est plus particulièrement de la jeunesse camerounaise