BOOK
Marine Chevalier Architecte Diplomé d’Etat 20 rue Duperré 29200 BREST 06.42.53.13.73 marine.chevalier@gmail.com issuu.com/marinechevalier http://visle-en-terrasse.blogspot.com/
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steel factories
major activity of the site, brought to disappear at the short and medium term a strong signal industrial landscape and metal carcass in the background
traditionnal housing
residential area type of row houses, along the street, established on narrow long plots of land
dip of ground
the green edge
fallow land the canyon
potential of the adjustment about the question of the hydrography
the silo signal
destroyed buildings, memorie of the site still perceptible : slab, rubbles, metal, caol the pollution in heritage
vegetation which takes back its rights guiding line
tracks of an industrial past former railway
no manʼs land
landscape xxx street without scale
the business area shoeboxes parkings
STAPLES Ce projet est une réponse au concours international Europan 12 sur le thème de l’évolutivité et la flexibilité de la ville. Le site se trouve à Seraing, dans la banlieue de Liège, sur une ancienne emprise industrielle qui forme une barrière entre deux parties de la ville. Sous l’impulsion d’une équipe pluridisciplinaire (6 personnes), le projet se développe sur plusieurs phases qui permettent une appropriation progressive par les habitants. Différentes typologies d’habitat sont représentées selon leur position dans le site, avec toujours un soin particulier au développement durable et à la consommation d’énergie. Les principes d’aménagement des projets s’orientent vers la mutualisation des espaces, partagés entre les habitants, à différentes échelles (commerces, jardins, parkings, locaux multifonctionnels, …).
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HABITER LE JARDIN Le site sur lequel s’insère le projet est celui de la muraille romaine de Théodose II. C’est un territoire très vaste de plus de 8 km, qui entremêle à la fois l’échelle locale et métropolitaine de la ville d’Istanbul. L’approche métropolitaine se traduit par un scénario de développement du grand territoire d’Istanbul qui réintègre, dans son élan, le territoire de la muraille. Le projet participe à la dynamique du renouvellement de Yedikule (la partie Sud du territoire) en proposant d’intégrer un nouveau quartier d’habitat, le long de la muraille, côté péninsule. L’intervention devra s’adapter au contexte existant en préservant les espaces agricoles, en se reliant à l’espace public et en respectant l’urbanité déjà présente. Le projet répond à ces problématiques en proposant un quartier mixte, respectant un retrait agricole par rapport à la muraille et en intégrant l’agriculture urbaine par les jardins et terrasses des appartements.
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Connections avec la Ville
FLYING CARPET Le projet connecte trois bâtiments remarquables du patrimoine d’Istanbul (Eminonu, Sirkeci et Topkapi) par deux voies principales jalonnées de places. Les parcs quand à eux, pénètrent la ville comme des coulées vertes et amènent des lieux de respirations. Ce projet à l’ambition de créer un espace d’attraction pour les touristes ainsi que pour les habitants d’Istanbul. Le musée, le concert hall représentent des équipements d’attraction internationale ; le cinéma, la bibliothèque et les stations de ferry ou encore les grand parcs auront un attrait certain pour les habitants d’Istanbul et ces environs. Quant au bazar, aux logements, aux commerces et au jardin de quartier, ils auront un impact sur la vie de ce quartier. L’un des principaux but du projet était de rendre plus accessible le site au tissu urbain environnant, notamment celui au Sud.
Espaces Publics Minéral / Végétal
Système de Circulation
Programmation
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DIG THE CITY
C’est un projet de centre culturel avec une programmation riche : une bibliothèque, une médiathèque, une salle de spectacle, un espace d’exposition, des bureaux, un magasin, et un restaurant-bar. Il est situé à Kadiköy, non loin de la rive du Bosphore, centre historique et dynamique de la ville. Cette parcelle étant occupé par une usine qui empêche le lien avec la ville, le projet se devait de le rétablir. Le choix c’est fait sur une réinterprétation du tissu urbain Ottoman propre à cette partie d’Istanbul. En construisant des bâtiments physiquement séparés mais possédant le même langage architectural. Le projet a donc d’abord été pensé par le vide, les espaces publics qu’il crée. Le même procédé est utilisé pour l’architecture intérieure. Les espaces libres et flexibles sont «creuser» autour de la masse de service.
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LE LONG DU MUR Ce projet est un espace d’Exposition d’Art Contemporain relié au Clos des Capucins (38), déjà dédié à la culture. Il se situe le long du mur de soutènement des jardins du bâtiment existant. Le concept est simple, une circulation en verre le long de laquelle s’ouvrent les différentes salles du bâtiment. Ce qui lui donne sa force c’est le souci du détail. Premièrement, ne pas impacter le mur de soutènement, ce qui se traduit par un poteau en retrait. Ensuite veiller à créer une ambiance lumineuse dans les salles d’exposition en opposition avec la circulation de verre (système de lumière indirecte). Enfin une attention particulière à la matière (verre et acier chorten) et leur mise en œuvre (poutres de verre, ...).
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Deux typologies de logement sont explorées. La première est plus compact avec deux espaces nuit et jour bien distinct. La deuxième est moins conventionnelle et organise les pièces en longueur autour d’un couloir qui porteur d’usage de service (salle de bain, dressing, …).
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ENTRE DEUX Ce projet est un compromis entre le contexte du quartier résidentiel (donc du confort de vie) et de la densité de logement. Cela part du principe que les habitants préfèrent le logement individuel, mais le logement collectif est un moyen plus sûr de sauvegarder notre environnement à long terme. C’est donc autour du jardin, que s’axe une petite copropriété de trois bâtiments comprenant trois logements chacuns (un par étage). Les nuisances du voisinage sont restreintes ; le parking et le jardin sont mutualisés pour un coup moindre. Ensuite les ensembles sont organisés autour d’axes de circulations : des rues pour l’accès voiture, mais aussi des venelles piétonnes pour plus de sérénité. Des décalages permettent d’éliminer les vis-à-vis, et de créer des espaces publics ou des bâtiments collectifs (école).
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AU FIL DE L’EAU Ce projet représente l’aménagement d’un quartier d’habitation et plus précisément de son espace public. Le quartier est construit à partir de logements qui se reproduisent selon un système de cour intérieure. Au sud vient s’implanter un parc urbain qui résonne à l’échelle de la commune. Les éléments qui le constituent (fontaine arbres, pavés...) répondent aux espaces publics plus privés du quartier habité. Parallèlement, l’ambiance du parc a été pensée en relation avec le grand paysage très présent : la montagne minerale puis la forêt verdoyante se reflétent dans le projet par une prairie aux multiples usages.
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MARTIGUES Lors de collaborations avec des architectes marseillais, ce sont surtout des projets de logement collectifs qui ont été conduit. Cela m’a permis de participer à plusieurs phases de projet, de la faisabilité jusqu’aux plans d’exécutions, en passant par la 3D, les plans de vente et le permis de construire. Trois exemples de projet à Martigues, avec trois stades d’évolution. En premier lieu une façade issue du permis de construire. Ensuite une image 3D pour le dossier de vente. Enfin la photo d’un projet réalisé.
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1 Projet de logements collectifs avenue Calmette et Guérin : le principe d’animation de la façade a été d’intégrer des ifs, dont le caractère vertical vient contrebalancer la linéarité des balcons.
2 Projet de logements collectifs avenue Kennedy : les balcons ont été pensé comme des espaces de respirations pour les logements ; des formes géométriques mais tranchant avec la rectitude des logements pour donner une antichambre d’extérieur. Ils permettent aussi de dynamiser les façades (sur rue et sur cour) pour un aspect plus insolite.
3 Projet de logements intermédiaires boulevard du Touret Vallier : la difficulté de ce projet porte sur le terrain très pentu et rocheux qu’il a fallu terrasser et stabiliser par un procéder de trame de mur en béton. Les logements se composent en trois étage avec un rez-de-chaussée pour le parking, un étage principal avec accès terrasse et un second étage avec vue sur mer.
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ARCHITECTURE D’INTERIEUR Des projets d’aménagement intérieur menés de façon indépendante, m’ont permis d’entrevoir la gestion de la maitrise d’œuvre à une échelle restreinte mais enrichissante (relation au client, budget, phasage,…). Par exemple l’agencement d’une chambre par la création d’un meuble-lit dans un appartement destiné à la location de courte durée, a favorisé mes capacités à faire le lien entre le menuisier et le client. L’aménagement d’un salon de coiffure à été l’occasion de faire un budget et de créer une ambiance nouvelle à partir de mobilier existant en apportant de petite touche permettant la cohérence d’ensemble.
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EXPERIMENTER
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Etre un architecte c’est travailler sur des concepts, des idées, des dessins… mais aussi travailler des matériaux, des ambiances. Il m’a semblé bénéfique de me confronter à des éléments concrets. Au cours de mes études j’ai pu manipuler et créer des structures en bois pour tester des solutions d’assemblages. Pendant un stage en Inde j’ai appris à maitriser la brique pour réaliser des structures en forme d’arches, de voutes et de dômes. Puis suite à mon diplôme, j’ai accompli quelques travaux d’embellissements : le montage d’un mur en parpaing avec linteau et peinture de fresque sur ce dernier, ainsi que la décoration d’un WC sur le thème du peintre Mondrian.
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Vis[LE]
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Pour les anniversaires du blog, nous organisons chaque année un concours photo, une exposition in situ doublée d’une balade urbaine dans différents sites (Caserne de Bonne à Grenoble, Quai Guillotière et Place des Célestins à Lyon), ainsi que l’édition (informatique et papier) d’une revue, recueillant un condensé de nos articles de l’année.
n°1 - Avril 2011
Ce blog est une plateforme d’échange et de débat permettant de s’exprimer sur la relation entre l’homme et son environnement urbain, auquel je participe depuis juin 2010 au sein d’une équipe pluridisciplinaire. Le principe est simple : un site avec des articles, des personnes de tous horizons, des sujets cosmopolites et internationaux relatifs à l’actualité où des découvertes. Notre but est de démocratiser l’espace bâti.
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VuE RE-
Vis[LE] - Papotage en terrasse pour regarder ce qui se passe en face
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