E journal 6

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Au moment ou vous lirez cet éditorial, nous serons à quelques heures des vacances et en pleine fête brésilienne. C’est le moment pour toute l’équipe pédagogique de nos écoles de profiter de ce moment magique que représente le début du congé. Nos jeunes ne seront pas en reste, l’année scolaire derrière eux, ils iront profiter de l’été et pour beaucoup soutenir notre équipe nationale des Diables rouges. Avant ce grand départ, voici en quelques images un aperçu de certaines de nos dernières activités menées dans les différentes implantations de notre groupe scolaire. Bonnes vacances à tous. Ch. Modave

Administrateur-délégué du groupe Sainte-Véronique




Au début de l’année, nous avons lu l’histoire de P’tit Louis. C’est un loup charmant qui va prendre le bateau pour aller chez sa GrandMère… Découvrez la suite de l’histoire... La classe de 4ème année de Monsieur Bertrand nous a aidés à écrire le texte pour faire le film. Nous avons choisi nos rôles de lecteurs, nous avons répété pour enfin pouvoir enregistrer nos voix. Nous avons construit tous les décors. Nous avons filmé les personnages (des playmobils) pour réaliser le film. Nous nous sommes bien amusés… Les classes de 2e et 4e de l’école St-Joseph Notre petit film a été posté sur notre chaîne YOUTUBE




Mée d s r asseu sé deux P « n opée réali r t u e n déo t e e j é r o d r g p e e d dre du ves du 3e s du systèm nt sur le a c e l oin ume Dans », des élè m c é o t d x vante u a L e s . i i l n e r z e i s a mo ntré r de on n i o u t offis a m n s e i é c k t m n o é r a o e é e-b nk a ai. Une s d’ext o t préd e n e n e d o e i M s r t i n te l de B la Fête de suite perm un large a i r o a en Mém e lors de et à j , r o e r i p n r r u e premiè e 23 mai d oductions d l r cielle, toutes les p de s r r u e e So sent s e ves i d u j . é s c t i e l pub unau é six fillett du m x i m r o P c v r u remie BELvue ur la aché et sa s p e k l o L’e-bo ge (qui a c a remporté r le musée a n Rocle t la guerre) organisé p » n penda rs « Eustory audouin. istoh ’ B u d i o l o i c R con trava lisation ation r d u n e l o F pour la réa e site et la s s e n v a è l d os é sur l aine n r m i s r u n v h o t u tion éco élici Nous f leur implica onnants à d eu . i s t s e e s s r a i n p o rie m jets o e r p m s k de ce .eboo

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Dans le cadre du cours tiques, les élèves sont Cinéma Sauvenière la film «Comment j’ai maths».

de mathémaallés voir au projection du

détesté les

Ils ont assisté ensuite au débat «Échecs aux maths : notre ensei-

gnement manque-t-il de sens ou de plaisir ? »

Avec Pierre Mathonet, président du département de mathématiques de l’ULg, Michel Rigo, directeur de Réjouiciences, et Benoît Jadin, membre du CGé (Changement pour l’égalité).


Le mardi 26 mai, nous trouvons au milieu de la cour une voiture mais pas une simple voiture : une voiture électrique !!! «Cliquette» est la propriété de cette charmante voiture. Léa Elle a lancé un défi aux 4 classes de 5ème année : la classe qui aura le plus de points gagnera une surprise. Pour avoir ces points, nous avons joué sur des tablettes géantes et des ordinateurs et avons appris plein de choses. Joumana


Le mardi 26 mai, les élèves de 5ème primaire ont fait une activité pour savoir comment économiser la lumière, l’électricité, pour ne pas polluer. On a fait des jeux sur des tablettes et des ordinateurs avec une madame qui venait de France pour expliquer comment faire. La madame s’appelait Cliquette. Brieuc


Les élèves de 5TQ et 6TQ de l’Institut Marie-José (sections secrétariat et comptabilité) ont participé à la foire Belfair à Gand ce vendredi 21 février 2014. Le voyage et la préparation des stands Nous sommes le vendredi 21 février, il est 6 h 30, les élèves de l’IMJ sont à la gare des Guillemins. Ces étudiants partent pour une aventure nouvelle, ils se rendent à la foire Belfair, foire où des EEP(1) de toute l’Europe se réunissent pour simuler le monde du travail en version géante. Dans le train direction Gand, le stress est à son comble pour les élèves de 5TQ, car pour eux c’est une des premières fois qu’ils pourront démontrer leurs compétences en situation réelle. Un élève de 5TQ, Antonin Frix, nous donne ses impressions: «J’étais assez stressé, j’avais des appréhensions sur ce que l’on allait devoir faire sur le terrain.» Les élèves arrivent à Gand vers 9h. Ils aident à installer les derniers petits détails de décoration pour leur stand.

Un travail plus compliqué en pratique qu’en apparence Ils doivent attendre 9 h 30 pour pouvoir commencer le travail. 4 élèves restent au stand pour vendre leurs produits, d’autres vont à la recherche d’articles intéressants et d’autres encore voyagent dans le hall pour attirer les clients vers le stand. C’est au moment où le travail commence que les élèves comprennent la difficulté de celui-ci. Beaucoup de

(1) Une Entreprise d’Entraînement Pédagogique est une entreprise fictive. Elle se veut l’image identique d’une PME (sauf la fonction de production) au sein d’un marché économique concurrentiel lui aussi fictif. Seule exception par rapport à l’entreprise réelle: elle ne voit circuler aucun argent réel ni aucune marchandise réelle.


personnes ne venaient pas de Wallonie et ne parlaient pas français, il fallait donc qu’ils se rappellent ce qu’ils avaient appris au cours de langues. Nacer Messaoudi nous raconte ce qu’il a pu retirer de ses cours de langues: «Le contact avec certains élèves d’autres EEP était très facile car ils maitrisaient bien l’anglais. Par contre avec les EEP néerlandophones, cela était plus difficile parce que leur accent variait selon leur région et la compréhension se faisait plus compliquée.» Mais plus le temps passait, plus les élèves étaient décontractés et ce fut un réel succès pour les deux EEP de L’IMJ.

«E-MJ» fait sensation au salon Belfair Grâce à son générateur de codes-barres et à son bon de commande informatisée on peut dire que la société E-MJ a remporté un franc succès. Ce travail informatique a impressionné tout le monde. Les inspecteurs de l’enseignement ont d’ailleurs eux aussi félicité nos élèves. On peut dire qu’E-MJ a mis tout le monde d’accord. Les 13 élèves de 5TQ et leurs 2 professeurs peuvent être fiers du travail qu’ils ont accompli. Expérience Vin, une affaire qui fonctionne. Expérience Vin existe depuis environ 3 ans. D’année en année, cette EEP a su se démarquer des autres en vendant un produit de luxe, le vin. Les élèves ont su montrer à tous leurs talents de vendeurs qu’ils avaient déjà fait valoir lors de la foire d’Amercoeur (Liège) en octobre dernier.

Océane, élève en 5TQ




Steven Spielberg, Clint Eastwood ou encore Woody Allen sont des réalisateurs talentueux et célèbres qui exercent une profession qui nous passionne, nous, élèves d’Arts d’expression. Durant quelques journées, nous avons eu l’occasion de nous mettre dans la peau d’un de ces réalisateurs et de tourner notre propre court-métrage « A la manière de Bouli Lanners ». Cette expérience nous a permis d’apprendre et de comprendre énormément de choses, elle restera à jamais gravée dans nos mémoires.

Le projet a débuté par une rencontre avec le réalisateur ainsi que Bouli Lanners. Ils sont tous deux des experts dans le domaine du cinéma, ils nous ont donc donné des directives à suivre. Tout au long du projet, nous avons travaillé par petits groupes. A la fin de chaque échéance, nous mettions tout en commun et sélectionnions les idées les plus brillantes. Ce projet a certainement été très long, mais il nous a permis d’apprendre à travailler en groupe et à confronter nos idées.

Tout d’abord, nous avons passé plus de la moitié de l’année scolaire à préparer le tournage. Nous sommes vite retombés sur terre face à la quantité de travail qu’il fallait effectuer. Entre les castings, les scénarios et l’organisation générale, nous avons chacun dû adapter notre emploi du temps afin que le tournage puisse se faire selon le timing. Notre professeur d’Arts d’expression, Marie Guérisse, avait déjà réalisé quelques films dans le cadre scolaire, c’est pour cela que nous pouvons dire que nous étions parfaitement encadrés et guidés.

Ensuite, le jour du tournage est vite arrivé. Dans le milieu du cinéma, la météo joue un rôle essentiel selon l’histoire racontée. Dans notre cas, nous avions besoin de soleil pour tourner et la chance a été de notre côté. Durant toute une journée, nous nous sommes baladés dans les rues de Liège avec notre caméra. La première scène se déroulait sur les hauteurs de Cointe. Tout s’est passé extrêmement vite. La première étape était de repé-

Court-métrage des élèves d’Arts d’expression


rer l’endroit prédéfini. Ensuite, il a fallu quelques répétitions devant la caméra avant que la scène soit parfaite. Au moment de tourner, nous avons dû faire attention à beaucoup de choses : vérifier le cadrage de l’image, voir s’il n’y avait pas d’objets ou de personnes dans le champ ou veiller à ce qu’aucun bruit parasite ne s’entende sur la bande son. Tous ces détails paraissent insignifiants, mais ils requièrent énormément d’attention. Finalement, au bout de quelques jours, le tournage s’est clôturé. Cependant, le film était loin d’être prêt à être diffusé. Nous sommes allés faire les montages au Centre Audiovisuel de la Ville de Liège situé à quelques pas de notre école. Ce travail consiste à analyser chaque prise, définir si elle est utile ou non et l’assembler aux autres. Tout cela prend énormément de temps, même si nous nous y mettons tous. Maintenant, le montage est terminé, le court-métrage a été diffusé et est mis en ligne

sur la chaine Youtube du Collège SainteVéronique. Comme nous l’avons dit précédemment, tourner prend un temps fou. Cependant, entre la préparation, le tournage et le montage, les délais nous ont paru fort courts. Regarder des films au cinéma ou confortablement installé dans son fauteuil, apprendre le langage technique et l’histoire du cinéma est une chose. Etre sur le terrain, participer au tournage d’un film en tant qu’ « acteur » au lieu de « spectateur » en est une autre. Nous avons vraiment pu comprendre que rien n’est laissé au hasard dans un tournage, même dans un court-métrage à petit budget comme le nôtre. C’est tout un monde que nous avons eu la chance de découvrir et c’est une expérience que nous n’oublierons jamais tant elle fut enrichissante ! Si l’occasion se présentait à nouveau, nous recommencerions avec plaisir ! Caroline K. et Annaëlle M. (6D)



Dans le cadre de la «Quinzaine du français», les élèves de 3ème Arts d’Expression ont été contactés par Mme Fuks, institutrice de 1ère primaire, dans le but de construire ensemble un petit spectacle autour des 4 fables les plus connues de Jean de La Fontaine : «Le corbeau et le renard», «La cigale et la fourmi», «La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf» et «Le Lièvre et la tortue». Le principe est simple : les petits découvrent les fables et leur morale, ils se documentent sur les animaux et réalisent des panneaux, ils apprennent les fables par coeur, puis les déclament devant la caméra de M. Warnier et devant leurs parents, le jour de la représentation; les grands les coachent et leur font comprendre la modernité des fables au moyen de retranscriptions théâtrales de leur invention qu’ils jouent à leur tour devant les petits... C’est ainsi que : le corbeau et son fromage deviennent la petite Clémentine et son nounours, la cigale et la fourmi, deux élèves d’une classe de néerlandais à la personnalité totalement opposée, la grenouille, un émir du pétrole qui rachète une équipe de foot, le lièvre, un caïd rappeur, et la tortue, un timide continuellement racketté... Présentation filmée à voir sur

www.sainte-veronique.be/ primaire/2014-esvl-fevrier.html


I chose to go on the exchange trip to Belgium because I really wanted to improve my language skills and I’ve always been told the best way to do that is by going and staying in the country itself. Throughout the week we spent time in Sainte Veronique, doing lessons with our correspondents. This was an interesting experience due to the many differences in their way of learning compared to how we learn at RGS. One key difference was that their classrooms were bare albeit a Christian cross which hung above the blackboards that were a key teaching tool, whereas at RGS we have colourful displays on the walls of classrooms and we use interactive whiteboards. Other than spending time at the school in Liege, we also had day trips that only involved RGS students. We visited Brussels which we really enjoyed, mainly due to the lovely waffles we got to try! In Brussels we saw the Manneken-Pis, visited a cathedral and had a tour of the Comic Strip Museum.


We had two day trips around Liege as well. On one day we walked around Liege and saw historic monuments, watched a puppet show in French which was funny because we didn’t understand a lot of what was being said. The biggest challenge of the week was definitely when we climbed 374 steps in order to see a beautiful view of Liege. We toured around the Walloon museum and also a Fine Art museum also. Overall, the trip was amazing. We formed new friendships not only with our correspondents but also with other RGS students we hadn’t spoken to before. Memories were made and language skills were gained, even if only slightly! I would recommend that anyone who has the chance to take part in a foreign exchange should go, because not only do you develop your knowledge of the language and culture of the language you are studying, but also you have a good time making new friends and memories that will stay with you forever. Maddy Elliott


Comme chaque année, alors que les élèves de 4ème sont à Cycl’eau et que les rhétos participent à la Semaine du supérieur, les classes de 5ème sont sensibilisées à l’Esprit d’entreprendre. Pendant 4 jours, nos étudiants découvrent le monde de l’entreprise par le biais de visites, rencontres, jeux, témoignages, conférences ... Lisez toutes les impressions sur le site du Collège




Les trente élèves de la classe de M. Bertrand (quatrième année de St-Joseph) ont accueilli lors de leurs classes vertes à Chevetogne une jeune Uruguayenne de 16 ans. En très peu de temps, Belen (c’est son prénom) a osé s’exprimer en français et laissé son espagnol natal de côté. Il faut dire que l’immersion était totale; personne ne pouvait lui épargner ses efforts. Dès le départ, les enfants et la jeune fille « primo-arrivante » se sont accordés une confiance réciproque, ce qui a permis à chacun de communiquer de plus en plus, de mieux en mieux. Les différences, quelles qu’elles soient sont sources d’apprentissages et de grandeur morale. Gageons que cette expérience renouvelée ouverte à d’autres difficultés ou handicaps permettra à tout qui veut de s’enrichir encore. Merci à Messieurs Frankart (Directeur de l’école St-Joseph) et Sirlet (Inspecteur de la communauté française) pour leur aimable autorisation.





La finale du concours de débats 2014 s’est déroulée le mardi 29 avril. Les sujets choisis cette année portaient sur des thématiques abordées dans le cadre du cours de français : la culture, la littérature, la langue française… 16 équipes, issues de toutes les classes de 5e, se sont affrontées au cours de 8 débats étayés par des plaidoyers et des réquisitoires. Les élèves ont exposé leurs idées avec conviction et peuvent tous être félicités pour leur investissement. Bravo aux équipes qui ont remporté un prix ! 1e prix et prix du public : • Vincenzo Duminuco, Salomé Leroy et Anne-Françoise Nopère (5A) Lauréats : • Loïs Delvaux, Emeline Carol et Margaux Houbiers (5H) • Myriam Menouer, Loula Bounouar et Nicolas Claessens (5E) • Laura Swaab, Tom Senterre et Coline Michel (5F) • Harold Fabri, Jules Wildériane et Wendy Van der Heyden (5E)







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