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Une flottille de petits encriers

Coquille de noix

Souvent dire de temps-en-temps

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… se découvrir par là même être contraire a un milieu par trop radical, un milieu qui nous rebuterai sans raison apparente autre que les radis mangés dans le fromage blanc par grand père, partis lui aussi alors qu’il ne nous reste presque plus rien ; autrement-dit parfois se découvrir être « le vilain petit canard » prends parfois énormément de temps, voire n’est pas si simple et pour personne ; ou / et le froid humain peut se voir être à la racine des fleurs de l’inspiration, ou encore être la morsure de la solitude histoire d’enrichir nos théâtres intérrieurs, histoire d’arrondir nos échanges, histoire de faire vivre un peu qui veux d’une certaine portée avec ma personne simpliste qui décrit des traits brisés, spiralés, colorés en un vrais éventail de mots que j’ai appris a manipuler en m’appliquant beaucoup et avec énormément de temps ils me sont devenus magiques, mes sortilèges si vous voulez. Et si je suis ici cela signifie que c’est aussi dans la nature humaine de partir a la conquette de la clarté d’une page blanche où le thème d’être contraire ici serait : « le joli petit cygne » ; voire de la Vie elle, elle chante aussi pour nous autres tout bas tout bas : « avance, c’est la Vie » parfois il n’y a rien d’autre à attendre d’une famille restée loin derrière ; car de confiance en définitive il ne me restait que le Ciel dans ces hôpitaux de l’oubli !

Pensez le bien que je vis, que je suis libre, et libre de penser aussi ; alors qu’aux contraires l’on m’a laissé pourrir dans un monde libre, un nonsens total !

Maxime Nucléons

Coquille de noix

Souvent dire de temps-en-temps

Maxime Nucléons

Artiste itinérantAnnée 2022

Y’a qu’à ça qu’à faire

Est la tournure d’un chiffon dans la gadoue en quelque sorte occupé à dénouer une pelote de laine indénouable, ici la liberté méritée est l’histoire d’un message, un message voire un brin d’être et d’amour où comment dire que le soi recrache malgré une introversion chez moi très accentuée naturelle.

Voyez-vous à la base les hôpitaux étaient pour moi encore une fois un point à partir duquel partir, mais très mal abordés où tout absolument tout s’appuie, danse et circule ; difficile d’y voir une simple cause dans l’ensemble mais en écrivant j’ai quand-même pu découvrir en moi une mine intarissable, un peu à l’image du feu voire d’une flamme dont le secret est captivant pour nous-autres ; ici est la source du rêve qui nous porte en avant dans la grande histoire, celle de la Vie !

Mes convictions personnelles sont que les médecins auraient dû ou finir par comprendre, cela semble peut-être ambigu mais je n’en serait pas là sinon ; où il est comme une intuition qui me laisse a entendre que les temps changent et qu’ils semblent promener les foules, comme d’ab.

Il est humain de s’attacher à nos valeurs où les maitres spirituels aussi sont des érudits et ce que l’on peut en savoir ; parmi les monuments du monde qui eux font partie du patrimoine d’un pays ; aux contraires en voyant encore à peu près tout ce que l’on peut voir en se promenant dans les endroits garnis ou décorés par le plus intime des génies, le soi qui lui s’exprime aussi en les devantures dans les commerces des rues et ruelles, elles encore aussi résonnent aux cœurs de nos villes et villages anciens avec les échos des clochers d’ici.

Ici nous glissons vers le sujet d’un autre sucre dans un autre café : voire à chaque matin, a chaque jour, les habitudes se remettent en marche de lire le journal devant un café, et puis suit bien entendu le travail des uns des autres, réglé par nos heures et nos calendriers ; les flux sont très intéressants, aux contraires d’éponger des éponges jusqu’à ? Trop, beaucoup trop en savoir sur comment ? pourquoi ? jusqu’où ? histoire

que cela ne veuille plus rien dire du tout ; comprenez bien qu’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas chez une certaine théorie ; surtout sans écoute de quelques messages ou signes ; que l’on garde quandmême en soi ; je n’en serai pas là sinon, voyez ?

Alors je devrais vous dire que beaucoup de recul parfois est une recette qui s’impose, selon comment on prends la chose ; voire il n’y a pas de recette miracle.

Quelle heure est-il ?

La rosée résultante de cette nuit semble avoir trait Les étoiles, vidés de leurs scintillance Ces regards du Ciel ; Servant la Vie d’une coupe brisée !

Ce qui nous relie ?

Je dirais des jonctions voire tout un tas de jonctions où bien entendu que l’on peux développer avec une réalité n’est pas si simple et pour personne, allons dont l’instinct tapis au creu du soi, ce bien petit roi crie aussi : avance, c’est la Vie ; ici une certaine conscience de la réalité, qui elle s’avance élaborée de génies dans un monde d’ivres de travaux phabuleux, voire encore ici ou là il y a les gens parmi la palette colorée d’un monde en leurs messages, leurs approches que dans un certain contexte la rue et ces coups de pouces, leurs aura encore qui alors s’observe, voire induit une part de rêve chez ce qui nous plait ; car tout ceci est ici et tout cela est là-bas est un fil conducteur, un fil de soi dont l’on peux alors s’imaginer une étoffe colorée tissée dans la laine avec des motifs géométriques ; et qui est tu toi ? moi le rêve dirige mes pas !

De leçons de Vie ?

Venir d’ailleurs en d’ailleurs vous imaginez qu’il y a un gouffre parfois avec l’ailleurs et l’ici, un gouffre comme un siège minier ou autre, encore un gouffre qui s’appelle par exemple un moustique avec des dents, le palludisme est la première cause de mortalité dans le monde et l’on peux dire surtout les enfants en très bas âges, simplement parceque les défences sont en conception, pas encore debout, ou je ne sais pas quoi ; moi aussi je l’ai contracté a un an environ ; ai été en convalescence un an au moins a Liège, chez mes grands parents ; et je m’en souviens…

Revenir a une période critique comme l’adolenscence parfois vous fait forcément imaginer quelques nécessités de base parceque c’est une déchirure ; dont non plus je n’ai jamais eu aucunes réponses un peu comme si mes parents dévoraient comme des canibales ma vie, ma petite vie ; alors oui je ne suis qu’un tout petit moulin à musique livré a lui-même et même si l’Océan des songes en définitive est devenu emplit du sel de la Terre alors qu’un orage pleut des larmes de sang un peu, et il y a une faille dans une croix de pierre, un peu comme le mot barbare très généralement signifie étranger, voire derrière les frontières, assaillant est sous entendu ici, ce qui n’est pas tout a fait entendu ici c’est qu’être enfermé dedans cela existe aussi tant qu’être, soit avec notre intimité qui alors alors précieuse comme des frontières ; si vous voulez des détails cela nous perds un peu lors d’une relation humaine, un peu comme si assez rapidement l’on se retranchait au creu du soi, de l’être.

Un beau-jour dans ma vie je me suis mis a évoluer allumettes après allumettes grâce a me faire un théatre interrieur avec des amis imaginaires comme Nassima et ses cahiers blancs, Jerome et ses dessins d’écharpe mélancolique armée d’espadrilles, de savattes ; le souvenir est lointain où je m’était servis tout seul deux verres d’eau histoire banale de me faire mon petit cinéma, du cinéma ; autrement-dit parfois un petit théâtre de manoirs, de chauves souris, voire d’en desous de l’escalier où au moins l’on peux lire un dictionnaire des mots égarés, encore dans un bottin des numéros oubliés ; favorise l’échange où il m’a

toujours été impossible ou presque d’aborder les gens ; socialement, humainement, je suis toujours tout seul ou presque, et je ne sait jamais quoi dire ou presque !

Le soleil,

Nous pouvons le voir comme un regard de nos jours où il est de mauvais présages dont on parle depuis longtemps maintenant, voire les prises de consciences de l’individu en tant qu’unité ont intégrés ces présages aux rumeurs : vers où vas-t-on réellement ?

Les temps vont mal comme une mauvaise alchimie et l’on s’en rend compte, que voulez-vous ?

Une flottille de petits encriers

Voit le rêve ici de souffler autant qu’en emporte le vent des allusions, au-delà des océans du vide l’art des gens lui ne nous promet rien, mais un beau jour se met en œuvre alors que l’on y trouve quelque-chose comme une destinée, le sens de la vie, qu’en sais-je ?

Coquille de noix est un porteplume portant une caravelle du XVIIe siècle qui toutes voiles dehors s’en vas à la conquête d’une certaine clarté, la page blanche, voire encore d’une certaine malle aux arts elle sans fonds voire insondable car en sort l’inspiration, l’imagination, et toutes les formes qu’elles peuvent prendre.

La malle aux arts elle nous voit échanger et partager dans la longue histoire de l’homme et des civilisations ; vous verrez bien qu’il y a là la vie pour tout dire est une morale, une volonté, une direction à emprunter, oui afin de conter au près d’un feu les légendes de demain, celles que l’on s’imagine, celles qui nous ressemblent, celles que l’on s’invente histoire de trouver un peu de chaleur humaine.

Avec ma plume,

et une éternité pour le dire l’encre s’est mise à couler un peu comme trouver un bassin stable où dans le réel, dans la réalité des fontaines il y en a plusieurs : soit la Terre nourricière est le substrat, encore l’eau est le solvant, ensuite la lumière est le ferment ; et toujours tout ça pour décrire la Vie, elle l’arborescence jusqu’ici où l’espèce humaine englobe tous les milieux sur notre petite planète bleue pensées.

Mon petit Univers,

est un désert sentimental riche d’une vie adaptée qui nourrit quelquepart les esprits et leurs chants colportant des légendes : oui la Vie est vertigineuse ou s’il y a une morale a cette histoire elle s’appellerai au-

delà des cimes et simplement parce que c’est joli s’interroger ici-bas où rien n’est si simple voyez-vous ?

La vie est souvent une page blanche où tout reste à écrire, alors que de temps en temps la vie peut aussi être repliée sur elle-même un peu comme une coquille de noix ou une cocotte en papier ici joliment décrite du simple au complexe, encore ingénieux pliages histoire de recracher le soi avec une machine à écrire ou encore avec une machine à remonter le temps, voire l’histoire sortirait ici d’un tout petit moulin à musique appelé : New York New York !

Il s’agirait d’inventer un monde sans mots ou presque, voire un monde de mots sortit du dictionnaire des mots égarés, toujours dans un bottin des numéros oubliés, encore un monde intérieur où j’habite moi aussi dans ma calebasse a moi, voire toujours ce que j’aimerai pousser ma bulle dans ta bulle.

C’est la conscience qui fait ça

S’imaginer, se demander pourquoi l’on fait une chose plutôt qu’une autre ? Y a-t-il un labyrinthe derrière le labyrinthe ? L’évidence est dans la nature humaine : faire ce que l’on peut de soi avec ce que l’on est, ce que l’on vit aussi, et ce qu’il y a toujours en le contexte d’une vie.

Ici au Mexique une peinture préhispanique existe encore (nous pouvons l’observer) dans un micromilieu favorable a l’abris de la pluie et de la lumière : l’on y voit toute une pyramide hiérarchique laissant entendre que les artistes portent le Monde, c’est-à-dire les morts aussi ; bien entendu que c’est une représentation abstraite de la pensée, un chème en quelque-sorte !

Le soi est et s’écoule,

alors que le fil de soi enrobe lui cet instant, ce moment qui peux très bien basculer histoire d’aborder ici le sujet des versants de la Vie, où une décision ou une autre change toute une vie parfois ; il se dit-même banalement : il faut-bien que ça fuse, encore deux mots suffisent, toujours pierre qui roule n’amasse pas mousse ; et nous voyons bien que les montagnes ont des veines, des coulées pierreuses, des éboulis autrement-dit. A écrire je me serai autant perdu que retrouvé dans ses hôpitaux de l’oubli, moi ma misère elle fut là aussi et parce qu’en deçà de ma mémoire, en deçà de nos mitaines, l’on peut se souvenir de moi comme un paillasson sous lequel il y avait tout à balayer. Une éternité j’ai ramé et puis les lacets de mes chaussures entrainèrent ma vie de misère et de foi en moi sur la route où oui la personne n’est pas rien, et les croyances sont à l’image des fruits que porte l’humanité en son sein.

Ce que j’aimerai remonter le temps vers un aval incertain, soit vers le cœur de nos villages et leurs flèches à toucher les étoiles. Autrementdit le sacré fait partie de nous autres, de l’individu en tant qu’unité où les religions sont un lien pour ceux qui s’y reconnaissent ; alors que dans la marge il y a un monde aussi, un monde fait de petits plus et de petites croix parce que nous y portons moins d’attention ; moi non plus je ne travaillais pas bien à l’école, moi aussi j’ai besoin d’un toit et d’un emploi…

S’il y a une morale a cette histoire ?

Parfois aborder un sujet est un art, par exemple : y a-t-il un froid ? En parlez-vous en famille ? Ne suis-je pas déjà occupé à vous en parler sans le faire exprès ? (Extrait) Voyez-vous ? C’est simple comme bonjour, voire emplis de suspension que l’on pourrait compléter genre un dossier ou quelque-chose comme ça.

Le froid ici est naturel comme énormément de recul sur les uns et les autres, d’ailleurs le froid ne se voit-il pas à la racine des fleurs de l’inspiration ? Encore le froid ne se voit-il pas parfois être la morsure de la solitude ? voyez ici une pathologie : l’autisme, et les calligrammes en résultante de beaucoup trop de pris sur soi, énormément trop, des créations de ma facture (une 30aine tous centrés et non justifiés (tapuscrit)) ; cela se voit être des curiosités littéraires, autrement-dit des prouesses qui auraient dues être interprétées comme une certaine valeur ajoutée à la personne, choses dont on / nous pouvons faire tours et détours dans ce relief littéraire avec ses sommets aussi.

Les médecins auraient dû ou finir par comprendre histoire de petits oignons qui ont débordés au bout de 10 ans de traitements infames, non adaptés, voire exploités ; et puis ces messieurs ont finis par avoir une indigestion histoire de bouchés comme des huitres après 20 ans de perte, ils me perdaient et leurs histoires à eux ont fini par devenir immorales, alors maintenant cela fait 4 ans au moins que je suis sur la route avec une amélioration foncière de mon état, voire presque la moitié de ma vie perdue derrière dans ces hôpitaux dont j’ai des séquelles ; je ne vois pas quoi dire de plus sur la connerie humaine ?

Nous vendons de l’immoralité a des gens assez cons pour ne pas hésiter à s’en servir histoire que personne ne se doute de rien, ces pilules peuvent s’appeler la mort en boite.

Et si j’écris cela c’est parce que j’ai de graves séquelles de ces hôpitaux, voire des nécroses cellulaires, autrement-dit je suis très affaiblit mais avec le temps, énormément de temps, mes cellules se régénèrent petit à petit, autrement-dit cela vas pour le mieux.

Le fait est que je me relève d’un carcan moral et psychologique, et de plus des chaines des neuroleptiques, soit la dose d’inconscience qu’ils vendent (l’on peut dire camisoles chimiques), voire de la torture qu’ils sont ou deviennent ; autrement-dit je milite contre cette industrie de la folie, (que faire de plus ?)

Coquille de noix

Ma vie est faite ainsi,

voire côté lectures l’étoffe de l’Univers est composée de Vide et d’archets, ce parchemin décrit une mélodie dramatique dont la gravité est un sujet fascinant ; où la Vie est faite d’Amour et de temps partagé, c’est très humain ça aussi et à partir de là beaucoup de choses se structurent avec la Vie dans la matière et avec les civilisations aussi.

Côté écriture ce que j’aimerai surtout c’est pousser ma bulle dans ta bulle tu vois, car parfois la vie que l’on a nous mène dans la marge où moi j’écris : dehors sur le trottoir, dans les parcs, sur les bancs publics encore…

De toute façon je suis arrivé dans un monde où il n’y a pas ou plus de système simplement parce que mes / nos parents s’en sont servis et s’en servent dans le but de nous pousser et / ou nous laisser glisser jusqu’au fond du caniveau, y prenant on ne sait quel plaisir ?

Autrement-dit c’est immoral, voire hors la loi !

L’avenir est flou de nos jours,

le mien aussi et c’est pour cela que je développe des concepts en quelques mots que je décrirais plutôt alambiqués, coudés, raccordés, un peu comme une distillerie pour avoir quelques gouttes de liqueur philosophique de ma facture après le serpentin ; ce n’est pas très compliqué les mots sont mon plaisir, ma magie, mes sortilèges…

« Nous sommes tous dans le caniveau d’où certains regardent les étoiles » - Le musée des merveilles, film. Et dans mon caniveau a moi, Messieurs « si les étoiles brillent c’est pour que chacun puisse retrouver la sienne » - Le petit prince.

Aux origines de ma vie, avec presque une vie entière pour l’apprendre il y a en deçà de ma mémoire un paradoxe, et la malléabilité d’une vie est étonnante, voire la forme qu’elle prend dans un but d’adaptation mais encore de vie, et toujours de survie ; c’est devenu une évidence avec énormément de temps, presque une vie entière que chez mes parents il y a un rejet total de ma personne.

J’ai vu une exposition sur le petit prince en la province de Luxembourg en Bruxelles où là il était dessiné sur une planche que je ne connaissait pas, comme un premier dessin, voire différent ou encore improvisé, et il y était là sur son petit pot.

La Vie est cruelle,

voire en ce que la connerie humaine dépasse parfois l’entendement de ce côté-là, où encore et toujours grandir se façonne (pour moi dans cinq pays d’Afrique jusqu’à mes 14 ans juste après Wall Street). Ici en Europe, assez rapidement un contexte a repris formes, un contexte où il s’agit encore de parvenir à quelque-chose de soi-même en s’adaptant, alors une vie s’est dessinée assez vite vous voyez, et plutôt très bien mais d’autres en ont décidés autrement.

Alors il faut croire que cela les a emmerdés, et moi qui dormait toujours l’on peut dire qu’ils se sont servis de moi en différents sens, voire ils m’ont jetés dans un nids de serpents l’on peut dire, c’était envisageable c’est tout près de chez eux, derrière le canal de la Craponne.

A la radio j’ai déjà entendu parler de justice a multiples vitesses, et avec ses présupposés médicaments comme l’on me les a fait assimiler, c’est comme si l’on avait inventé une justice de plus sans justice, il est ici

flagrant que c’est hors la loi ! Bien entendu que pour en être ici, il y a une ribambelle de papiers ou d’encre, dont la partie émergée de l’iceberg est des milliers de pages qui circulent ou ont circulées dans le simple but de briller si vous comprenez ?

La nuit respire derrière les murs comme le jour

Dans une petite ville banale de Provence où un fléau rode comme une atmosphère derrière le canal de la Craponne, un fléau se nourrissant de malheur. Depuis vingt-cinq ans à peu près que j’écris, il faut savoir que très longtemps, presque l’ensemble de ce que j’ai écrit n’est pas grandchose ; et que ce pas grand-chose part vraiment de moins que rien, puis ils sont devenus une recherche de tournures et d’expressions qui me plaisait. Alors à force d’écrire dans le but que ce soit ou devienne quelque-chose et pas rien, c’est devenu quelque-chose ; voire cette volonté elle vient de la personne surtout, du caractère que l’on a, voire encore de la vie que l’on nous dessine, vu que je n’ai pas de parents, le contexte très détaché de ma vie, de ma personne, où la Vie elle elle a ce qu’elle veux et peut-on seulement aller à son encontre ? Je ne crois pas, soit avance, c’est la Vie !

Si j’en suis ici et là à écrire mon désarroi c’est pour ne jamais avoir été compris ni écouté, ou presque ; le froid on ne l’invente pas, il est ici naturel comme énormément de recul sur les uns les autres.

La pensée est consensuelle aussi

C’est-à-dire relativement structuré collectivement, autrement-dit elle est faite de choses qui plaisent ou qui déplaisent, et il est ici évident que cela mène à une certaine prestance ou moins. Autrement-dit ce rejet constaté chez mes parents est issus de quelque-chose qui s’est passé très tôt dans ma vie, voire qui coïncide avec le paludisme contracté vers un an au Congo et qui dans le jeu collectif m’a forgé un être aussi ;

autrement-dit j’aime le thème des coquilles de noix, elles sont coriaces et peuvent mener le petit noyer en résultante à porter de belles noix…

La forge des mots,

l’écriture aussi peu prendre la valeur d’une ligne droite en géométrie, soit l’infini de l’histoire de l’écriture qui a finis par prendre formes avec les caractères et qui parallèlement c’est structuré avec la grammaire et l’orthographe et ce jusqu’ici où l’écriture peux reprendre formes alors appelées calligrammes ; et puisqu’il y a une morale a cette histoire, l’écriture décrite ici se voit être au-delà des cimes ! Le sel de la Terre lui a été lavé par les pluies avant l’éveil de la matière avec la Vie grâce au facteur Temps ; l’espèce humaine elle aussi est à cette image, a l’image des chemins des eaux en des cycles perpétuels jusqu’aux Océans…

J’aime le sujet des gargouilles

Parce qu’elles décorent aussi les façades de nos églises, de nos clochers, et sont une sorte d’avertissement a une chute, elles sont dues à des messages qui nous parviennent des étoiles aussi ; il y a là une phrase dont je me souviens : « à l’abris de la lumière poussent les racines de l’avenir » et je pense que certaines paroles ou causes parviennent malgré tout à fleurir dans le but de s’épanouir, et de fructifier, enfin le sens de la Vie.

La Vie souvent est louche à soupière

Posée sur un repose plat carré en quatre pièces de puzzle de céramique blanche (7€) en Avignon, peut-être que le ciel c’est ça vu d’un foyer ? Où oui, si je décris cela c’est parce qu’il me plait de temps en temps à parler du ciel comme trois cents pièces au moins d’un puzzle bleu ciel où il y aurait des esprits, des superstitions, des croyances, et des religions aussi ; autrement-dit j’essaye de voir de façon plus ouverte que les uns les autres en beaucoup plus simple aussi pour me faire une idée plus claire de quels temps font-ils ?

Je pense qu’il y a mille choses à faire sur Terre

Mes parents me prennent pour moins que rien et c’est bien de là que je pars, alors avec beaucoup de recul à écrire sur mon désarroi je me suis autant perdu que retrouvé depuis une éternité ; où j’ai tendance à me demander pourquoi ne m’a-t-on pas compris ou finis par comprendre ?

Sinon je me recycle dans le chocolat, celui de Tanger vous savez ? Ou les bijoux, ceux de Tokyo vous savez ? Ce sont des choses que l’on entend de temps en temps, parfois, presque pas dans la rue alors que l’on fait la manche pour arrondir ses fins de journées.

Le soi est et s’écoule avec le temps qui lui ne peux pas faire autrement, parceque des fois l’on dit : laisse passer le temps ; dans le fait avec énormément de temps, presque une vie entière, fichus médicaments, par prises de conscience j’ai réalisé ce que je suis, soit très simple voire avec de gros problèmes de communication, où mes amis se comptent sur les doigts d’une main.

J’ai constamment eu un appétit de culture comme une fuite, une échapatoire dans un dictionnaire des mots égarés, dans un bottin des numéros oubliés, voire j’écris au creux d’un monde intérieur qui m’est propre ; et à la très longue tâche de m’appliquer je me suis mis à acquérir un style, un domaine particulier qui est ma vie aussi, me / se sortir du pétrin !

RAVE party

Par exemple : il n’y a plus de nuit des temps, vous savez ? le mot RAVE sur minitel ; c’était tout un mouvement avec des valeurs et ce que l’on y trouve aussi comme s’y retrouver tout simplement dans une grande famille par exemple, et toujours un laissé aller pour des choses pas encore envahissantes alors…

Ce que je voulais dire c’est qu’il y a des concordances des temps aussi qui ont contribuées à ce message dans une bouteille, ils s’appellent : pourquoi ? Sahera !

Parce que j’étais un petit boulon, un peu comme un tout petit pagayeur en Montpellier où moi aussi je rame depuis toujours sur une certaine plage, voire il n’y a pas de couleurs pour ça ; du cadre dans le cadre il y a toujours à apprendre des facteurs fondamentaux, ici ils sont l’autisme, et la valeur des mots, avec un certain éveil très pénible et excessivement long des matières ici décrites, tergiversées, et philosophées de façon simplistes, un autre point de vue, un autre référentiel !

Les mitaines avec nos doigts au travers sont le moteur d’une réalité humaine, de ce monde et du Monde ; petit boulon deviendra grand un jour peut-être ?

Andare qu’ils disaient !

La musique ?

La musique est…

… une aptitude humaine, dit-on souvent banalement que la musique adoucit les meurs, voire qu’elle permet de développer nos connexions neuronales, soit qu’elle confère au cerveau une certaine plasticité, ce qui se vit naturellement au cours d’une vie avec l’adaptation du corps, de l’organisme à l’environnement, et c’est étonnant l’histoire de chacun son bain, son versant, son équilibre.

Cela fait depuis toujours que je pagaie moi aussi et ma vie a muée avec le temps et un simple souhait : vivre, cette pulsion qui nous habite tous avec l’amour, et puis le souci quotidien est un glissement de terrain vers une certaine banalité du monde qui nous habite aussi.

L’information est précieuse parce qu’elle se situe aux fondements du monde aussi !

Titou, Nadia, et les sales gosses,

Ils voudraient accoucher d’un petit pot sus cité : Tito la Rosa madré ayawaska ; autrement-dit Nadia est podcasteuse et une vraie pipelette, comment parvient-elle a parler d’accouchement, de dilatation vaginale avec des petits pots ? moi par exemple je n’arriverai pas a faire pareil cuisine, voyez-vous ?

Alors simplement Léa l’était aussi une vraie pipelette à ce qu’on en raconte depuis la poussette, je le sais moi aussi parce qu’elle regardait les connaissances de son village, normal nos mots furent : « tu as un

amoureux Léa ? » toujours côté particularité l’on était allé voir le théâtre des Guignols aussi qui jouent avec les ombres, ca fait rêver les tout petits ; alors que les Carrousels eux je les entends ou les vois comme des captiveurs de rêves musicaux, celui de la place de la Comédie est mon favori car il y a comme un écho dedans qui dirait alors quelque-chose comme : à la cœur fontaine (…)

Giselle

Elle était comme une joueuse en son monde autrement-dit elle aussi est méditerranéenne, foyer de culture et de civilisations en une vraie palette de peintures en dur, plus naturelles qu’il n’y parait sont les sociétés. Si je dis cela comme cela c’est parcequ’elle avait raison et tord.

Souffle le souffle du papillon vu fauteur de troubles c’est connu : le papillon égaye le climat psychologique et ses déferlantes avec ses cyclones aussi ; les coquilles de noix elles, elles affrontent tout cela, les éléments, les ondes selon où tout cela est une histoire d’énergies qui se déchainent.

Y a-t-il une issue au tunel ?

Est devenu pour moi détroits à franchir, autrement-dit un jeu d’adresse diraient les fourbes, j’aime bien votre timbre, j’adore votre enveloppe diraient les amoureux ; alors que d’autres en louvoyants causeraient eux d’importance majeur des accords mineurs !

Ce que j’ai appris de la vie civilisée : elle est une histoire d’apparence soit d’une certaine morale pas forcément morale, un peu comme une danse de masques et de pouvoirs florissants aux cours des temps ; et oui depuis la nuit des temps le message est similaire : il y a une limite de résistance a tout !

Vers où allons-nous réellement ? nous autres tassés sous toutes formes de commerces internationaux ?

N’y a-t-il pas des gens changeant de vestons comme d’affaires ; voyez aux contraires ce n’est pas forcément : de la tirelire a la maison, ce n’est pas forcément : un gyropode assuré à 100 %, ce n’est pas forcément : le service humain de rue assuré par AXA, et encore forcément : le jeu d’architecte qui vas avec l’entrepreneur de l’avenir à venir !

Autrement-dit le début du rêve serait : « c’est la Vie, tout dire, un mot. »

N’a-t-on pas inventé les vampires ?

Afin de parler de nos reflets toujours, de nos théâtres aussi, et de nos machines à écrire encore, voire pourquoi pas d’une petite manipulation à faire : une visse à bois prise dans un sens ou dans l’autre, en vissant dans le sens des aiguilles d’une montre elle vissera quoi qu’il en soit, et vous pouvez le voir et le savoir si vous le voulez ; d’où une déduction conceptuelle : l’Univers a / ou possède une visse, parle de géométrie d’une façon fondamentale voire un détail éternel, ici c’est une certitude l’étoffe de l’Univers est aussi tissée ainsi avec les étoiles rangées en spirales autour de la gravité qui elle semble règler les horloges Universelles !

Un peu comme les horloges biologiques règlent celles de la Vie !

Une histoire de bricolage

Il est souvent dit que la nature a une tendance naturelle et générale à devenir intelligente comme nous discutions autour d’un joint près d’un banc avec les feuilles cireuses d’un arbre dans le parc, histoire de subir ou supporter une humidité saturée ; nous la voyons cette recherche naturelle dans les fleurs d’orchidées que l’on peut dire bien souvent

presque sensibles. Le bonbon La Vosgienne a la résine de pin et au miel est mon préféré c’est-à-dire très nature, alors que Ricola aux principes essentiels de plantes suisses, eux semblent très purifiés et simplement par là même l’on peut très vite en suivant les volutes de fumées, arriver à Diego la poudre en ce principe de purification avec une idée : les Arènes en Espagne où un taureau comme je n’en avais jamais vu, un pur blanc pour dire, voire encore un délire : « ils sont fous ces espagnols » ; car après s’être fait promené un temps le matador s’est fait embrocher dans la bouche !

Une fois j’ai reçu un billet de 5€

Dont le seul défaut était la bande argentée là avec des étoiles, alors comme pour moi cela ne passe jamais je l’ai filé à un bout de chocolat, un de Tanger en lui racontant une histoire sortie du mot RAVE sur minitel, un mouvement, une époque, des convictions : tu le mettras dans un cadre pour ta chambre, et c’est vrai je me disait pas moins que dans une liasse cela passerai ; mais la vraie réellement vraie histoire c’est que c’était pour des cigarettes, des briquets, des feuilles, venus d’Andorre et qui circulaient en trottinettes !

Enfin voyez : la Vie, tout dire, un mot !

Alors ici il y a les mots : ceux qui m’ont permis de devenir, d’être, et de penser autrement ; ce fascicule est une poussière, une feuille de choux, une coquille de noix emplie de mots, de phrasettes, et de convictions, où des fois j’ai l’impression de tirer l’éternité…

L’en-deça & l’au-delà

Tout, absolument tout travaille ici-bas, dans la réalité du monde cette chose étrange à la fin, nous pouvons dire : « ce n’est pas si simple on y croit ».

L’au-delà

L’étoffe de l’Univers elle est composée de Vide et d’archets dont les partissions qui la dessinent y voient des énergie cataclysmiques se déchainer parmi un tableau d’étoiles qui elles se rangent en spirales autour du thème fondamental de la gravité, cette inconnue selon comment l’on voit !

Humainement oui il y a là la Vie pour tout dire est une morale a suivre, une direction a empreinter ; un cheminement pourquoi pas ?

Vu d’ici sur notre planète bleue pensée, une pensée d’ailleurs une pensée d’ici dirait que l’en-deça porte une alchimie idéale a l’éveil de la matière ainsi qu’a la création de la conscience. Oui l’éveil de la matière et la création de la conscience sont des tèrmes qui me conviennent en ce qu’ils réfèrent a des points fondamentaux dans l’histoire de la Vie et de l’homme, oui des origines en quelques sortes où le bleu ciel et le vert d’eau font partie de la palette d’un peintre qui n’a pas encore fini son tableau, ses tableau ; le mouvement y est pourtant avec les belles de printemps et au-delà d’une lune changeante, un ciel étoilé.

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