Une simple vie, kiss

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Une simple vie qui s’exprime banalement non, mais comme elle peut Soit avec énormément de difficultés et d’adaptation à l’environnement humain, histoires de temps simplement afin de franchir ou valoir un bloc de rêveries ici à la dérive dans les courant océaniques glacés ; autrement-dit un recul sur les uns les autres où les foules sont promenées par le temps comme d’ab. Les labyrinthes urbains et humains me dégotèrent Orphée l’album de Johann Johansson où oui dans la théorie de la gravité cette inconnue selon comment on voit, voire y voire des perspectives impossibles qui existent belle et bien pour une raison : être là et avancer dans un reflet, l’autisme redécouvert dans les zones d’ombres de la connaissance : C’est étrange que la théorie des grands fonds d’où un oiseau merveilleux est réimmiscent en une résurgence aérienne des fluides imagés jusqu’aux présences humaines où l’essentiel est d’être entendus ? Voire aimé, le savoir ou pas ?

Autour d’un arbre entre deux tableaux Aux remous éternelle danse d’écumes enrobes blanches, sculpteurs éternels d’érosions dans les reliefs ; voire en vert clair et en bleu ciel, encore plutôt – plutôt ; voire en coquille de noix s’en allant à la conquête de la clarté d’une page blanche dans le but de générer de l’entropie dans une boite a douleur, d’où rien ne sort : hormis ici une particularité, une exception parce que 2 x 2 = 4 ou 3 x 3 = 9 toujours 4 x 4 = 16 : soit la couverture de « La théorie du chaos » (Ilya Prigogine) où d’où se cache réellement vraiment la structure de l’Univers ?


La pensée est libre est la meilleure des doctrines, parfois deux mots suffisent est la vérité, et pierre qui roule n’amasse pas mousse là où j’en suis ! Voire il y a toujours un point a partir duquel partir comme un îlot aux creux des marais où un lutin joue du pipeau, avec de sombres respirations glauques et ténébreuses autour ; flute et zut de la part d’une coquille de noix en suivant les volutes de fumées issues d’un chauffage noir comme la guerre de 200 tonnes au moins, tombé du ciel disons a trois heures du matin, l’heure la plus propice aux crimes d’après Adamsberg le héro de Fred Vargas, voire encore et toujours l’œil s’est ouvert depuis La métaphysique des tubes d’Amélie Nothomb et sa suite logique, voire ici Rhinocerose, le mobilier être un disque là situé ! Les concordances des temps ici parlent du ciel comme d’un tableau crépusculaire où les couleurs et les dégradés dominent simplement.

À l’échelle de l’écriture Les théorèmes littéraires nous enrichissent en tout un tas de symbolismes qui font maintenant partie de nos patrimoines et leurs diversité alimentés de détails et de futilités des broderies en résultantes d’un monde de présences et des caractères comme : oméga, mu, epsilon, voire décollons avec des Colombia sans semelles suivant le sillon d’expressillons hétérogénéités musicales d’une palette dépeignant un monde où l’on peut imaginer une main tenue, une fleur, un vase improvisé, un verre d’eau, peut-être une fleur blanche issue de l’imagination. La structure intérieure d’un soi comme ci et soi comme ça, où le rapport aux autres, ce rapport complexe commence en famille et ensuite s’élabore de façon articulée autour du Café de la gare de Figuière avec un cœur dans une noisette, alors que les nuages se


répercutent dans le ciel blanc des saisons voyant fleurir ces tableaux à base de chaussettes en laines tricottées dans la théorie des rangements et des priorités. Les petites bêtes noires de la famille qui connaitre derrière, ou de la petite bête noire de la suisse qui faire croquis, encore de la petite bête noire dans la devanture qui être sur la tête ou encore avec bandeau sur yeux histoire de vie de partages et de temps ! Je ne veux pas rentrer chez moi, il n’y a rien a faire là-bas, il n’y a rien a faire là-bas ! Parce que chez moi il y a des étincelles et une boite vide d’amour une boite habité d’histoires sans parfums voire encore et toujours sans odeurs autres que celles d’un crépuscule au-dessus de la mer Méditerranée noyée dans un désert habité d’un phare, une antiquité très jolie d’entrelacs et de volutes de fumées à suivre… Vers pourquoi ? Moi aussi je ne sais pas vraiment où je pose les pieds, on cultivera nos différences n’est-ce pas ? Se l’est-on dit, Solène ? Tu crois ?

Autour de ce chauffage de 200 tonnes au moins Aux creux d’un nid de serpents juste derrière le canal de la Craponne, où mes parents m’ont jetés comme une grenade exotique ;


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