« Le doux parfum des temps à venir » éditions Actes Sud / Google Books Introduisons ce recueil par deux courts extraits : -‐ Pages : (10 – 11 / de femme à femme) -‐ Pages : (30 – 33) C’est réellement étonnant, car entre les côtés extravertis et introvertis de la poésie, tout un tas de points clefs à partir desquels j’accroche, où ce n’est pas si simple, voire même très loin d’être si simple… Ce recueil m’aura laissé ému du début jusqu’à la fin, avec les yeux humides, voire une larme au coin !
Parlons-‐en de l’amour Alors que je m’accrochais en veine à un cœur perdu, avec un cœur de la sorte j’ai vécu un été flamboyant, où en définitif nous nous étions promis beaucoup l’un de l’autre : Ce qui était tout pour moi ; un espoir de regain envers l’amour tout court, cet amour qui m’aura tant fait défaut ! Et elle ? Elle aura été sincère comme moi : Elle m’aura dit vivre pour l’amour et pour sa fille ? Elle voulait apprécier sa force dormante !!! Elle m’aura dit ne pas reconnaître son calme avec moi, ne jamais avoir eu autant de plaisir résurgent qu’avec moi, et je pense qu’elle n’aura vu personne prendre autant attention à sa fille d’alors deux ans ! Nous avons lu les deux extraits du recueil : « Le doux parfum des temps à venir » ; voici le troisième : -‐ Page (34)
Parlons-‐en de l’amour J’ai survécu ensuite d’écriture et d’eau douce vive et forte au sommet des montagnes du savoir, alors que je ne pensais qu’en
veine à ce cœur perdu ; mais combien d’années ensuite ? Où l’empathie n’est pas rien : Une peur viscérale de la sorte, bonne mère ! Il y a là des mondes et d’autres, où nous nous étions après tout bien mal croisés, je crois. Je voyais l’amour avec un grand A ; un a de ‘maternelle matière’ encore ! (Mots de même étymologie). Je ne suis pas de ces gens, elle non plus, je n’ai aucune haine moi non plus… J’étais un grand rêveur tout pitchoun, et puis j’ai appris à ne plus rêver ! Cela me fait songer à une trace indélébile au cœur de moi, au cœur de nous, au cœur des autres… Je ne comprends pas pourquoi la haine est telle ! Ce que je me dis c’est que ces pauvres types qui parviennent à de tels actes sont trimbalés par la connerie humaine !
Avions-‐nous seulement le choix ? Mes parents sont pareils ! Où ma raison était canalisée en ce qui se ressemble s’assemble… Et malgré tout la source de mon bonheur, c’est transformé en la source de mon malheur, bonne mère ! Maintenant vous le savez (et vous le découvrirez peut-‐être) : Il y a là des fleuves que l’on ne remonte pas… Comme celui du temps… Mais l’on peut apprendre à faire avec, vous ne croyez pas ? Vous ne doutez pas ? (J’ai écrit un tout petit recueil étonnamment parallèle, un recueil qui nous donne un tout petit point de vue sur ce qu’est l’Occident !)