Bonnes nouvelles de hesbaye octobre 2014 by Médias Catholiques Belges Francophones (mcbf.be)

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N°12 O c t . - N o v. 2 0 1 4 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION

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«Le dialogue suscite la sympathie, conduit à la cohabitation, et tarit les sources de conflits» Andrea Riccardi

BONNES NOUVELLES

DE HESBAYE AL CA HI ER PA RO IS SI DU DOYEN NÉ DE HESBAYE

Tous appelés à la sainteté

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La joie de la conversion Extrait d’une conférence de Monseigneur Jean-Pierre Delville, à Lourdes le 17 août dernier. Chacun est amené à se convertir. Cela commence par le petit enfant. Celui-ci en effet commence par être lié à sa mère de manière fusionnelle. Il a besoin d’elle et d’être nourri à son sein. Dès qu’il a besoin, il pleure, jusqu’à obtenir satisfaction. Petit à petit, la maman doit convaincre l’enfant d’attendre avant d’être servi ; il doit donc aussi petit à petit comprendre le besoin de sa mère. Pour arriver à cela, il faut parler à l’enfant. Par la parole, l’enfant va comprendre progressivement qu’il doit entrer dans le désir de sa mère ; il va ainsi sortir de son égocentrisme et entrer en relation avec sa mère. La parole, c’est aussi le rôle du père ; en utilisant la parole, il établit une relation avec l’enfant. Celui-ci peut ainsi grandir et se développer. C’est sa première conversion. C’est par la parole et la mémoire de cette parole que l’enfant apprend à reporter à plus tard son besoin de satisfaction immédiate et à tenir compte des autres. C’est en se rappelant que maman doit terminer un petit boulot avant de préparer le biberon que l’enfant apprend à tenir compte des besoins de maman et pas de ses seuls besoins ; c’est ainsi qu’il apprend à «différer ses désirs», à aimer : grâce à la parole et à la mémoire. De même nous savons que nous sommes portés par un projet d’amour, et nous apprenons à ne pas être esclaves de nos sentiments et de nos désirs de satisfaction immédiate, mais nous les replaçons dans le grand projet de Dieu sur toute l’humanité, et nous y trouvons notre place. C’est notre conversion de base, comme petit enfant. Nous endurons une privation, un renoncement. Mais nous réalisons aussi une unification de notre personne, par un décentrement de nous-mêmes et une ouverture vers les autres. La conversion nous fait passer du rêve à sa réalisation. Le rêve nous permet de profiler un horizon sur notre vie ; mais pour appliquer le rêve, il faut passer par la conversion, le transfert dans la réalité, avec un renoncement, mais avec une application concrète. (Conférence à lire en intégralité sur http://liegealourdes.wordpress.com)

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Devoir de mémoires et bruits de bottes 2014 est l’année de nombreuses commémorations, qui se poursuivront encore l’an prochain et au-delà. Cette année, nous commémorons le centième anniversaire du début de la «Grande Guerre», les 70 ans du débarquement de Normandie et de la bataille des Ardennes (en décembre prochain), et 2015 marquera le 70e anniversaire de la fin de la Deuxième Guerre mondiale avec l’écroulement du régime nazi, ainsi que le bicentenaire de la bataille de Waterloo qui changea la face de l’Europe. Ce vieux continent qui a connu tant de conflits sanglants ayant entraîné la mort de dizaines, voire de centaines de millions de personnes. Un bilan très lourd, très noir, mais qui a pris fin, heureusement, avec la construction européenne, grâce à la volonté d’une poignée d’hommes d’État, clairement inspirés par l’Évangile. N’en déplaise à certains qui voudraient effacer cette inspiration chrétienne de l’Histoire européenne. Au-delà du souvenir, ces commémorations sont aussi indispensables. Elles constituent notre devoir de mémoire à l’égard de ceux qui ont donné leur vie pour la liberté et ce devoir de mémoire doit se transmettre aux jeunes générations pour ne pas oublier. Churchill disait qu’«un peuple qui oublie son passé est condamné à le revivre». Cette transmission du souvenir est donc impérative, car au fil du temps, les témoins qui ont vécu ces époques et ces événements tragiques, disparaissent. il y a donc urgence pour qu’à jamais les paroles prononcées par le pape Paul VI à la tribune des Nations Unies deviennent réalité : «Plus jamais la guerre !» Hélas, si l’Europe connaît globalement la paix depuis près de sept décennies, on doit tout de même épingler le conflit qui a déchiré l’ex-Yougoslavie et, malheureusement, le bruit des bottes qui se fait entendre dans l’est de l’Ukraine. Ce conflit entre le gouvernement de Kiev et les rebelles pro-russes, derrière lesquels se trouve indéniablement Moscou, ne doit pas nous laisser indifférents. C’est à nos portes qu’il se déroule et à ce titre, cela doit nous interpeller. Nous parlons souvent d’œcuménisme, de relations interreligieuses, voire de rencontres entre philosophies. Nous débattons, nous nous parlons, mais concrètement que faisons-nous ? Au moment où nous nous préoccupons à juste titre du sort des chrétiens et des minorités d’Irak et du Moyen-Orient, il ne faut pas fermer les yeux sur le conflit ukrainien qui divise en outre nos frères orthodoxes. Il y a là un rôle de médiation, peut-être, à jouer. C’est dans le dialogue qu’on apprend à se connaître et qu’on arrive ainsi à construire la paix. I Jean-Jacques Durré (MCBF)

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Sant’Egidio, entre prière et diplomatie La 28e rencontre pour la paix accueillie à Anvers début septembre a remis en lumière l’importance de Sant’Egidio. Ce mouvement chrétien est devenu un partenaire important dans la résolution des conflits dans le monde. Témoignage de Marco Impagliazzo, président de la communauté de Sant’Egidio depuis 2003.

Concrètement, qu’est-ce que cela veut dire ? Nous travaillons généralement lorsque les parties ont échoué dans le règlement du conflit par la guerre et lorsqu’aucune autre diplomatie n’est plus à l’œuvre. Nous privilégions la réserve et l’aspect informel. Si nous veillons à travailler en harmonie avec le travail officiel qu’accomplissent les gouvernements et les organisations internationales, nous cherchons surtout à renforcer le désir de réconciliation auprès des différentes parties. Mais nous ne nous reposons pas sur des moyens financiers ou militaires, ni ne poursuivons des objectifs politiques. Nous n’avons pas d’autre objectif que la réconciliation en elle-même. Lors de votre implication durant la décennie noire en Algérie, on vous a reproché d’ouvrir vos portes à des terroristes. Quelles limites mettez-vous aux moyens que vous déployez ? Je démens cette accusation. Il faut savoir qu’en Algérie comme aujourd’hui en Syrie, l’arme de la désinformation est très utilisée. C’est à l’occasion d’une rencontre interreligieuse à Assise en 1995 que nous avons

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Sant’Egidio

La communauté de Sant Egidio est très impliquée dans les affaires de ce monde et cela, à plus d’un titre. L’une des activités qui a caractérisé son action ces dernières années est liée à la médiation entre des parties en conflit. Qu’est-ce qui vous a amené sur ce terrain délicat et médiatique ? Marco Impagliazzo. Nous avons démarré nos activités de médiation dans le cadre de la fin du conflit au Mozambique au début des années quatre-vingt-dix. Nous étions déjà implantés dans le pays dans le cadre de l’aide que nous apportions aux populations. C’est suite à la demande de l’évêque mozambicain Monseigneur Gonzalves, venu clamer sa détresse dans nos bureaux, que nous avons décidé de ne plus nous limiter à l’action humanitaire. Mais nous ne voulons pas concurrencer le travail de l’ONU. Nous ne voulons pas non plus concurrencer le travail des diplomates professionnels. Nous ne sommes d’ailleurs pas des professionnels : nous sommes des hommes inspirés religieusement, qui apportons une connaissance du terrain et de la culture locale - sans laquelle toute politique apparaît déconnectée -, ainsi qu’une sympathie pour l’humanité en difficulté. été sollicités par des musulmans pour tenter une médiation entre les parties algériennes. Les musulmans nous ont posé cette question : pourquoi, vous, en tant que chrétiens, ne pourriez-vous pas venir en aide à vos frères musulmans ? Nous n’avions rien à opposer à cette idée et nous sommes allés de l’avant. Mais l’armée algérienne a refusé notre invitation. Il est probable que c’est elle qui a essayé de discréditer notre action en nous accusant de recevoir des terroristes à notre table. Vous parlez de la Syrie. Espérez-vous également y jouer un rôle de réconciliateur ? Notre médiation doit se baser sur une connaissance du terrain. Or, aujourd’hui la désinformation est omniprésente et le terrain n’est plus assez accessible. Nous avions rassemblé à deux reprises les partis non violents et démocratiques à Rome, mais il est apparu que ces partis étaient totalement dépassés par la force des armes. Notre action pour la Syrie se limite donc à l’aide que nous apportons dans les camps réfugiés au Liban et à la prière organisée

par la communauté. On peut dire que la prière est l’humble arme des croyants ou ce que nous appelons sa «force faible». Nous croyons qu’elle a la capacité de rapprocher ceux qui sont éloignés. En dehors de votre travail de médiateur, à l’œuvre aussi au Kivu et au Sénégal, des régions où votre action semble appréciée comme la seule voie de réconciliation pacifique possible, quels sont les autres domaines dans lesquels vous êtes investis ? Nous sommes actifs dans l’enseignement et dans la santé à travers le monde. En Amérique centrale, nous avons ouvert des écoles de la paix pour sortir les jeunes des gangs et les éduquer au sens que la paix apporte à l’existence. Notre programme, baptisé «Dream», est important dans la lutte contre le Sida en contribuant à éviter la transmission de la maladie de la mère à l’enfant. Mais nous agissons aussi dans les sociétés occidentales, notamment pour lutter contre l’isolement. Le programme «Vive les aînés» pousse ainsi des jeunes à venir auprès de personnes âgées pour adoucir leur solitude.

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Venez aux petits déjeuners Oxfam ! Pour cette édition des petits déjeuners, et pour marquer le coup des 50 ans, Oxfam-Magasins du monde a décidé de mettre sous les projecteurs un fruit que nous consommons quotidiennement, et bien souvent au petit déjeuner : l’orange (et son jus). Derrière ce fruit, il y a tout un secteur particulièrement touché par les dysfonctionnements du système de commerce international. Waremme Collège Saint-Louis Avenue Du Prince Régent, 30, 4300 Waremme Dimanche 12 octobre 2014 de 8 h à 12 h. Petit déjeuner de l’Equipe Saint-Martin de Fexhe Cercle de Noville Rue des Frênes, 17, 4347 Fexhe-le-Haut-Clocher Dimanche 12 octobre 2014 de 8 h à 11 h 30. Saint-Georges-sur-Meuse Centre culturel de Saint-Georgessur-Meuse, Rue Albert 1er, 18, 4470 Saint-Georges-sur-Meuse Dimanche 12 octobre 2014 de 9 h à 12 h Hannut Collège Sainte-Croix et Notre-Dame Rue de Crehen, 1, 4280 Hannut Dimanche 12 octobre 2014 de 8 h à 12 h. Petit déjeuner d’Ans Réfectoire de l’Athénée Royal d’Ans Rue de la Vallée, 60, 4432 Ans (Alleur) Dimanche 12 octobre 2014 de 8 h à 11 h. Petit déjeuner de Huy Restaurant de l’Athénée Royal de Huy Cité Emile Vierset, 450 Huy Samedi 11 et dimanche 12 octobre 2014 de 8 h à 11 h.

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R EC ETTE

LES NIFLETTES, SPÉCIALITÉ CULINAIRE POUR LA TOUSSAINT Comment ? Vous êtes gourmand(e) et votre boulanger-pâtissier ne connaît pas les «niflettes» ? Certes, notre région est éloignée du département français de Seine-et-Marne et le spécialiste des galettes régionales dans votre quartier n’a sans doute jamais entendu parler de cette pâtisserie traditionnelle. Alors, photocopiez-lui la recette ! Quand on connait les quantités vendues dans le village de Provins en France, son tiroir-caisse lui en sera reconnaissant ! Voici donc, pour lui et pour vous, une appétissante spécialité pour fêter dignement la fête de la Toussaint… Pour 6 personnes : 2 pâtes feuilletées Pour la garniture : 2 jaunes d’œufs 70 g de sucre 1 sachet de sucre vanillé 1 cuillère à soupe de farine 25 cl de lait 2 emporte-pièces dont l’un est plus petit que l’autre Préparation : 20 mn Cuisson : 15 mn Repos : 0 mn Temps total : 35 mn 1. Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6). Préparer la garniture. Dans une «jatte», mélanger jaunes et sucre, puis ajouter la farine, et enfin diluer peu à peu le lait. 2. Mettre la préparation à épaissir à feu doux jusqu’à obtention d’une consistance de crème pâtissière. Laisser refroidir hors du feu. 3. À l’aide du grand emporte-pièce, découper des ronds dans les pâtes feuilletées, les superposer 3 par 3 et faire un trou dans les deux supérieurs à l’aide du petit emporte-pièce, pour créer un puits. 4. Garnir la pâte avec la préparation et mettre au four pendant 15 minutes en surveillant la cuisson. 5. Laisser refroidir. Les niflettes sont meilleures froides. En réalité, l’histoire dit qu’un boulanger a créé les niflettes pour consoler une petite fille qui pleurait sur la tombe de sa grand-mère. On raconte qu’ensuite, les abbés et les curés s’en allaient, à la Toussaint, à la rencontre des orphelins éperdus de chagrin. Ils leur distribuaient ces petits gâteaux en leur disant en latin «Ne Flete» («Ne pleurez plus !»). Cela avait, semble-t-il, vertu de réconforter ces malheureux enfants dans la grisaille des cimetières. C’est joli comme histoire, non ? Et tellement mieux que les chrysanthèmes… Ah oui… Avec votre recette nous vous recommandons un vin rouge sec, corsé, évolué, fin et boisé, au nez ouvert et à la bouche ample. Il paraît même qu’on peut les parfumer au Cointreau ! Et voilà… Les «niflettes» sont maintenant disponibles en Belgique, loin de Provins, ville où elles sont incontournables.

Bon appétit ! Et bonne fête !

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Théobule, un site pour les enfants

Lancé le 12 mars dernier, le site a démarré sa première saison. Celle-ci concerne logiquement le temps du Carême, puisqu’il s’agit de se mettre en route vers Pâques. Largement inspiré par les sites conçus pour les adultes, comme le célèbre «Retraite dans la ville», «Théobule» suit une trame rigoureuse, avec des approches systématiques. Quatre points récurrents sont développés : Bonne nouvelle, à toi la parole, la question de Théobule et, enfin, des jeux. La Bonne nouvelle propose un passage de l’Évangile illustré par des planches dessinées colorées. Deuxième point avec une prise de parole filmée, qui met en scène un témoignage d’enfant. Ensuite, c’est au tour de Théobule de poser une question concrète, par exemple, comment éviter de faire des choses interdites ? Chaque semaine, des activités ludiques sont aussi conçues, qu’il s’agisse d’un puzzle, d’un coloriage, d’un bricolage, etc.

Une mascotte inattendue ! Plutôt qu’un enfant ou un moine en habit, les concepteurs du site ont imaginé un petit chien curieux, tantôt dessiné, tantôt sous forme de marionnette, animée par un frère dominicain, qui répond

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L’ordre prêcheur poursuit ses investigations sur le Net, en invitant cette fois les plus jeunes à la découverte de la Bible. En proposant aux enfants de 6 à 11 ans d’être connectés à la parole de Dieu, ils les incitent à grandir dans la foi, via un média «comme les grands».

aux questions des enfants. Mais pourquoi un compagnon à quatre pattes ? Selon les concepteurs du site, «on représente souvent saint Dominique, le fondateur de l’ordre Dominicain, avec un petit chien». La tradition est donc respectée ! Hebdomadaire, ce rendez-vous virtuel ravira les enfants qui aiment les écrans. Ce peut être un excellent complément aux versions en papier que les enfants consultent régulièrement. À chacun de choisir selon sa sensibilité et les écrans disponibles à la maison ! Car Théobule est aussi accessible sur iPad… Si l’éveil à la foi n’a pas d’âge, l’approche par le web inspire désormais toutes les générations. Alors, bienvenue aux sites réellement conçus pour les enfants. I Angélique Tasiaux (MCBF) Infos : www.theobule.org/

Un puzzle sur Jésus Avez-vous déjà pensé à un puzzle pour animer vos réunions de catéchisme ou vos cours de religion ? Voilà un objet concret, ludique et facile à manipuler, même en groupe. Le Sycomore l’a bien compris et a décidé de concevoir des puzzles sur une thématique religieuse. Avec ce puzzle intitulé «Jésus, fils de David, Prince de la paix», les enseignants et animateurs sont plongés dans l’histoire, à la lumière de la Bible. Ce nouveau puzzle est construit comme un kaléidoscope avec de multiples entrées. On y retrouve les bergers guidés par la lumière, en marche au cœur de leurs moutons rassemblés en troupeau, la Nativité, qui met aux prises la fragilité de Marie et la confiance de Joseph, la crucifixion et le couronnement d’épines, sans oublier le visage résolu de Jésus. Tout en haut, à droite, la ville éternelle de Jérusalem est symbolisée dans l’esquisse de quelques bâtiments, rappelant sa lumineuse présence, tandis qu’en bas se déroule l’entrée triomphale de Jésus, noyé dans une foule résolument enthousiaste. Voilà pour les éléments périphériques du décor, balisé par une frise de poissons, à l’image du symbole utilisé à l’ère des premiers chrétiens.

telle liste n’est jamais exhaustive ! Ce puzzle s’adresse aux enfants âgés de 5 à 10 ans. Il vient à la suite d’un premier puzzle, qui avait pour titre «Le choix de David, un roi selon le cœur de Dieu». Conçu comme un outil pédagogique, il vise à valoriser quelques-unes des compétences «inscrites dans le programme du fondamental». Dans son catalogue, le Sycomore propose de multiples jeux, BD, livres, CD-Rom, DVD, livrets, expos itinérantes… sur l’Ancien et le Nouveau Testament, Pâques, Noël, mais aussi des questions de société. À consommer dès l’âge de 5 ans ! I Angélique Tasiaux Infos : www.sycomore.be - info@sycomore.be

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Le service, au cœur de la mission Dans cette composition, tout converge vers le centre du tableau, qui met en scène le lavement des pieds. Sous le regard surpris de Simon-Pierre, Jésus lui lave les pieds, avec attention et douceur, semble-t-il. À chacun des participants d’imaginer des acteurs qui rendent service sur le terrain en toute discrétion. Une

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UNITÉ PASTORALE DE CRISNÉE-OREYE CRISNÉE Samedi 11 octobre : messe du 28e dimanche. 18 h : 5e messe quarant. Armand Denomérenge ; 5e messe quarant. Albert Denomérenge ; Jules Jacquemotte, Jeanne Depas et parents défts ; Défts des familles Maquoi-Larminier ; Mimie Louwet, les épx. Louwet-Dassy, Materne-Renier, parents défts et les âmes abandonnées ; Défts des familles Dumont-Jacquemin et Molenaers-Marneffe ; Suzanne Keyen et parents défts ; Honoré Ernes et défts des familles Ernes et Defalle ; Défts des familles Léonie Tihon-Engelbosch, Pierre Denomérenge et sa famille ; Lucie Bouttet, ses parents les épx. Marcel Bouttet et Jeanne Albert, leur fille Chantal et petit-fils Cédric Vandael ; Nicolas Denomérenge, Phina Jacquemotte et parents défts. Samedi 18 octobre : messe du 29e dimanche. 18 h : 6e messe quarant. Armand Denomérenge ; 6e messe de quarant. Albert Denomérenge ; Roger Denomérenge et défts des familles Denomérenge-Lombard et Nandrin-Jorssen ; Lucien Dedry et défts des familles Dedry-Defalle et Defalle-Stévaux ; François Stassart et défts des familles Stassart-Schoufs et Leduc-Leduc ; Jos Labhaye, Paula Berbuto et Alain Labhaye ; Léa Lahaye et défts des familles Lahaye-Denomérenge et Bage-Pressia ; Suzanne Stassart veuve Voyeux et parents défts. Jeudi 23 octobre. 18 h : Fondation défts de la famille Lahaye-Coune ; Fondation défts de la famille Rœlants. Samedi 25 octobre : messe du 30e dimanche. 18 h 30 : Paul Marneffe, Maria Lahaye et parents défts ; Jean Peters, Annette Kerstenne et parents défts ; Armand Denomérenge, Louise Tombal et défts des familles Denomérenge-Tombal ; Albert Tombal, Simone Lahaye et parents défts ; Arthur Lahaye, Bertha Depas et défts des familles Lahaye-Depas ; Jeanne et Hubertine Jacquemotte et parents défts. Samedi1er novembre : Toussaint. 16 h : messe et bénédiction des tombes : Paul Depas et défts des

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familles Depas-Daerden ; Défts des familles Leduc-Leduc, Renotte-Bure, Leduc-Renotte et Salles-Corrin ; Nicolas Denomérenge, Phina Jacquemotte et parents défts ; Albert Denomérenge et défts des familles Denomérenge-Depas. Jeudi 6 novembre. 18 h : Fondation défts de la famille Baillen-Jamotte ; Fondation défts de la famille Lahaye-Coune.

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THYS Samedi 11 octobre : messe du 28e dimanche. 16 h 30 : messe. Mardi 14 octobre. 18 h : messe. Mardi 28 octobre. 18 h : messe.

LENS-SUR-GEER OREYE Dimanche 12 octobre : messe du 28e dimanche. 10 h 30 : Défts des familles Gerbehaye-Pâques et Verians-Thiry ; Epx Joseph Miévis-Ory et leur fils Jean-Marie. Jeudi 16 octobre. 18 h : Christiane Noël, Paul Boden et famille Robert-Digneffe ; Familles Marchal-Daris-Grard et l’abbé Convent. Dimanche 19 octobre : messe du 29e dimanche. 10 h 30 : 20e anniv. Marcel Lenoir ; Epx. Piron-Laurent, leurs enfants Léon, Anna, Jean et Victor, petit-fils Joseph, arrière petit-fils Arnaud et défts des familles ; Léonie Bousmanne, Joseph Vandersmissen et leurs familles. Dimanche 26 octobre : messe du 30e dimanche. 10 h 30 : Familles Botty-Vilour et Lahaye-Lahaye. Jeudi 30 octobre. 18 h : Paul Boden, Christiane Noël, Josée Lucas et famille Lucas-Robert ; Epx. Miévis-Burton et leur fils Christian, les épx. Guillaume Uytdenbrouck-Burton et Hélène Collin. Samedi1er novembre : Toussaint. 10 h 30 : messe et bénédiction des tombes : Epx Jozef Wijnants et Jeannette Douha ; Alex Pœlmans et famille Carlens ; Marcel Garin, le Père Albert Garin et famille Garin-Kerstenne ; Elise Louwette et famille Louwette-Jacquemotte ; Paul Boden, Christiane Noël et famille Robert-Digneffe ; Epx. Marcel Miévis-Dodeur, Dodeur-Vandermissen et Miévis-Loncin. Dimanche 2 novembre : messe des défunts. 10 h 30 : messe des familles : Achille et Marie-Louise Latour et défts des familles ; Famille Pirlet-Vandecan, les épx de Sart-Ory et Miévis-Ory ; Epx. Emile Latour-doyen, épx. Pol Latour-Servais et défts de la famille ; Marie Moïes, Jacqueline, Suzanne, Christelle, les familles Moïes-Miguet et Lemaire-Guffens ; Marie Frère, les épx. Botty-Frère et défts des familles.

Dimanche 12 octobre : messe du 28e dimanche. 9 h : Georges Materne et familles Materne-Jacquemin et Geron-Defourny ; Familles Delcourt et Petit ; En l’honneur de Notre-Dame du Bon Repos, de St. Guy, de St. Gilles et de Ste Geneviève.

GRANDVILLE Mercredi 15 octobre. 9 h : Epx. Warnant-Germeau, Warnant-Dengis, Germeau-Labarre, Germeau-Dodeur, épx. Ferbeck et Monique Germeau. Samedi 18 octobre : messe du 29e dimanche 16 h 30 : Anniv. Anne-Marie Vandevenne et sa famille ; Epx. Balaes-Désiron, épx de Sart-Henry et parents défts ; Georges Tibo, son épse Rose Vanekan, leur petit-fils Georges, parents défts et Fernand Materne ; Epx. Désiron-Riga, leurs enfants et petite-fille ; Joseph et Jos Malchair et famille ; Alexis Maillard, famille Maillard-Delvaux et Derwa-Pâques ; Marie Bourdoux et sa sœur Antoinette ; Jules Neven, ses parents, José Dawir, ses parents les épx Dawir-Pinte et défts de la famille ; Epx Brone-Germis et Jean ; Epx. Schalenbourg-Baret, Jacques, Georgine et Marie, les épx. Materne-Berwaer et Marie-Claire ; Epx. Hector Dandoy et Mary Louwette ; Famille Renard-Keppenne. Mercredi 29 octobre. 9 h : José Derwa, son fils Jeanjean, ses parents, les épx. Nestor Derwa-Germeau, Irma et Jean et défts de la famille.

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Christophe Colomb, premier missionnaire Pourquoi le mois d’octobre est-il celui de la Mission universelle de l’Église ? Pour le savoir, il faut remonter au 12 octobre 1492… Ce jour-là, après 72 jours de navigation, la Niña, la Pinta et la Santa Maria abordaient toutes voiles dehors, les côtes des îles Guanahani (aujourd’hui San Salvador). Mais au lieu de découvrir les riches et fameuses Indes, décrites dans le Livre des Merveilles de Marco Polo, c’est un nouveau monde qui s’est offert aux yeux des Espagnols et de Christophe Colomb, le Génois. Une erreur de navigation qui a fait émerger une terre promise insolite : Les Amériques… C’est donc en souvenir de la découverte du continent américain, qui ouvrit une page nouvelle dans l’histoire de l’évangélisation, qu’octobre a été choisi comme mois missionnaire par l’Église, dans de nombreux pays. Inauguré par la fête de sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, patronne des Missions depuis 1927 avec saint François Xavier, le mois d’octobre a pour objectif de rappeler, par une grande variété d’initiatives, le devoir de chaque baptisé de collaborer à la Mission universelle de l’Église. I A.L. (MCBF)

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FIZE-LE-MA R SA L Vendredi 17 octobre. 9 h : Mademoiselle Stassart ; Fondation Marie Mélon et sa famille. Dimanche 26 octobre : messe du 30e dimanche. 9 h : Anniv. Joséphine Stassart ; Anniv. Jules Jacques et Ernest Voyeux ; Fabrice Galasso et ses grands-parents ; Marcel Moreau, Lambertine Stassart, leurs enfants et les défts de la famille ; Louis, Désiré et Joseph Vandevenne, Louise et Elise Stassart ; Henri Poncelet, son épse Joséphine Larminier, leurs enfants Léona et Joseph ; Damien Stassart, Marguerite Lhœst, leurs parents, enfants et petits-enfants ; Epx. Vincent-Massillon, leur fils Jean, les épx. Smolders-Moreau et défts des familles apparentées ; Nicolas Hannay et la famille Hannay-Delvaux ; Florent Hannay ; Pascale Dandoy ; Familles Daenen-Larminier et poncelet-Larminier. Vendredi 31 octobre. 9 h : Mademoiselle Stassart. K EMEXH E Dimanche 19 octobre : messe du 29e dimanche. 9 h : Familles Humblet-Prosmans, Nulens et Dethier ; Ernest Claesen et son fils Pierre ; Fondation mademoiselle Aline Mélon ; Fondation en l’honneur de Notre-Dame pour les défts de Kemexhe ; Fondation en l’honneur de Ste Catherine. OTR A N G E Mardi 21 octobre. 18 h : Pol Boden ; Fondation famille Happart-Lemestré. Samedi 25 octobre : messe du 30e dimanche. 16 h 30 : Joseph Corswarem, Marie Pinte, famille Pinte-Prosmans, Paul Lemestré et parents défts ; Jean de Schaetzen et famille de Schaetzen ; Jean Doucy, famille Doucy-Lowet et Mertens-Coninx et parents défts ; Famille Bormans-Bey et Lutgarde Bormans ; Famille Bouflette-Verjans ; Famille Rutten-Tombal et Louette-Rigo ; Joseph Vandersmissen. Mardi 4 novembre. 18 h : Famille de Neve de Roden ; Famille Rutten-Tombal et Louette-Rigo ; Fondation famille Pinte-Digneffe ; Pour les âmes du purgatoire. B ER G ILER S Mercredi 22 octobre. 9 h : Pour les membres de la confrérie de St. Christophe. Mercredi 5 novembre. 9 h : Josée Billen ; Pour les membres de la confrérie de St. Christophe. O D EU R

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Vendredi 24 octobre. 9 h : Fondation famille Depaifve-Degive ; Fondation Suzanne Dupain. Dimanche 2 novembre : messe des défunts. 9 h : Familles Franssen-Fraikin et Monique Latet. Vendredi 7 novembre. 9 h : Fondation famille Velroux ; Fondation famille Depaifve-Degive.

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DIOCÈSE DE LIÈGE

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Nouvelle saison de conférences au Pays de Herve Anne Soupa, Hervé Hasquin et Yves Boulvin prendront la suite d’autres célèbres intervenants venus à Battice (Herve) à l’occasion des Grandes Conférences du Lundi.

religieux. » Des découvertes et Le doyenné du Plateau de Herve des rencontres, l’abbé Schlim en organise pour la septième ana fait beaucoup… En sept ans, née consécutive une série de des personnalités politiques, conférences grand public, prodes écrivains et évidemment grammées un lundi par mois. des hommes d’Église ont fait le Sept ans, l’âge de la maturité… déplacement jusqu’au pays de L’abbé Alain Schlim, l’un des Herve pour donner une conféinitiateurs, témoigne : « Ces rence. «Nous sommes aussi grandes conférences ont renattentifs à alterner hommes et contré du succès dès le début. femmes tout au long d’une saiL’idée est née d’une discussion son ! », ajoute l’initiateur de ces entre les prêtres et les responsoirées. Les programmes brassables du doyenné, d’organiser sent également un éventail large des temps de formation et d’inde sensibilités, «de Monseigneur formation, pour les gens du lieu Gaillot à Monseigneur Léonard». et d’ailleurs. Nous nous attenChaque soirée se termine par un dions à une centaine de particiLa bibliste Anne Soupa vient le 24 novembre, temps d’intériorité que le confépants, et nous étions nettement parler des «Douze femmes de Jésus dans les Évangiles» rencier prend en charge : cela plus nombreux, parfois même peut être un temps de prière 500 personnes !» Pourquoi ce sur le thème «Souffrance et euthanasie des pour les religieux, ou la lecture d’un texte succès ? «Certains conférenciers sont tellemineurs : des questions sans réponses ?» pour les profanes. Ce moment conclut le ment connus qu’ils attirent du monde, de (lire l’encadré ci-dessous). Enfin, il y a des propos tenu dans la soirée et les échanges la région – Malmedy, Stavelot, Saint-Vith – sujets encore plus larges, sur l’économie avec le public. Evidemment, des livres en mais également de Bruxelles ou Charleroi ! en crise, par exemple (le 2 février avec lien avec le conférencier ou avec le sujet Il y a aussi l’effet bouche-à-oreille : chaque Jacques Defourny). du jour sont proposés à la vente, à la sortie. auditeur d’une conférence est invité à faire «Ce déroulement rencontre un réel succonnaître les rendez-vous suivants, pour cès, même auprès des jeunes. Il y en a que d’autres personnes viennent.» Effet boule de neige à chaque date, parfois même un groupe Les thèmes abordés sont très éclectiques Alain Schlim raconte avec passion comment dans le cadre d’une activité obligatoire. pour que différents publics puissent s’y inil trouve l’inspiration pour certains sujets de Et puis, c’est gratuit pour les jeunes ! » téresser. Certains sujets sont véritablement conférences, grâce aux suggestions du puL’équipe organisatrice demande par contre religieux, ce sera le cas le lundi 24 noblic. «Nous demandons aux auditeurs préaux adultes une participation de 5 euros, vembre avec Anne Soupa (notre photo). sents de faire des suggestions de conférenpour prendre en charge les frais (rémunéD’autres conférences sont ancrées dans ciers pour les saisons suivantes. C’est ainsi ration de l’intervenant, etc.). l’actualité, comme celle du lundi 20 ocque j’ai découvert Yves Boulvin, qui vient le tobre avec la pédiatre Nadine Francotte : lundi 27 avril 2015. Je ne connaissais pas il s’agit de la première soirée de la saison cet écrivain, qui est également chroniqueur I Anne-Françoise de Beaudrap

«SOUFFRANCE ET EUTHANASIE DES MINEURS : DES QUESTIONS SANS RÉPONSES ?» La première soirée des «Grandes Conférences du Lundi au Pays de Herve», saison 2014-2015, aura lieu le lundi 20 octobre et sera animée par une personnalité de tout premier plan du monde médical belge, à savoir Nadine Francotte, pédiatre et responsable du service Oncologie pédiatrique au CHC de Montegnée. Le sujet grave qu’elle abordera est d’actualité :

l’euthanasie des mineurs. Nadine Francotte partagera avec nous son expérience et ses réflexions sur un sujet qui rejoint nos existences dans ce qu’elles ont de plus précieux : l’enfance. Ce lundi 20 octobre à 20 h à la Salle Saint-Vincent, rue du Centre, 30 à 4651 Battice. Renseignements : 0477/345 431 ou www.uph.org.

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