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N ° 1 Octobre 2 0 1 3 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION
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«A toute volée, les cloches nous adressent l’appel de Dieu»
À TOUTE VOLÉE
NC E GR AI NE S D’ ES PÉ RA DANS LES DOYEN NÉS DE NIVEL LES ET TUBIZ E
A toute volée !…
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Tour Sainte Gertrude ? C’est ce dimanche !
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Agir pour la Terre…
À TOUTE VOLÉE
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À toute volée ! Vous tenez en mains un nouveau «cahier». Dorénavant, vous le recevrez une fois par mois avec votre journal Dimanche. Commun pour notre doyenné et celui de Tubize, ce cahier contiendra des articles et des informations utiles sur la vie de nos paroisses et de nos nouvelles Unités pastorales. «À TOUTE VOLÉE !», c’est le titre qui a été choisi pour ce cahier. Le mot «volée» fait bien sûr référence aux clochers de nos églises et à leurs cloches lorsqu’elles se mettent en branle. Au fil du temps, le clocher est devenu un repère dans nos villages et quartiers ; quant aux cloches, elles font non seulement partie de l’église mais elles participent activement en quelque sorte à la vie de la paroisse au point qu’elles reçoivent un nom et qu’elles sont inaugurées par un «baptême», un rite particulier de bénédiction. La volée des cloches remplit principalement une double fonction : - inviter les chrétiens à sortir de chez eux pour se rassembler à l’église ; - annoncer les événements importants de la vie d’un chrétien, notamment son baptême. Mais les cloches se font entendre encore en d’autres circonstances. Dans de nombreuses églises, elles sonnent trois fois par jour pour l’Angélus, prière qui rappelle que Dieu s’est fait homme et qu’il a habité notre terre. Elles peuvent aussi - comme c’est le cas pour notre collégiale - former un ensemble qui devient alors un bel instrument de musique (carillon). ‘Inviter’ et ‘Annoncer’, voilà les deux verbes qui peuvent résumer ce que voudrait être ce cahier mensuel : ‘annoncer’ et partager ce qui fait vivre nos communautés paroissiales et ‘inviter’ tous ceux et celles qui le souhaitent à les rejoindre. Mais le mot ‘volée’ peut également faire penser à un groupe d’oiseaux qui volent ensemble. Depuis début septembre, deux Unités pastorales ont pris leur «envol» dans notre doyenné de Nivelles. Puissent‑elles résonner et rayonner ‘à toute volée’ et donner un nouvel élan à nos paroisses en solidarité avec le monde dans lequel nous vivons. Bonne lecture, II Votre doyen, Albert‑Marie Demoitié
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AGENDA DU MOIS
TOUR SAINTE‑GERTRUDE Samedi 28 septembre 18 h : Cortège de transfert de la statue de Saint‑Paul et de la châsse de Sainte‑Marie d’Oignies à partir de l’église du Saint‑Sépulcre, via l’église Saints Jean et Nicolas 19 h : Déposition de la châsse de Sainte‑Gertrude et messe solennelle du Tour Dimanche 29 septembre 5 h : Transfert de la châsse sur le char 6 h : Messe des Pèlerins 6 h 45 : Départ du 737e Tour 15 h 30 : Rentrée solennelle et Te Deum Dimanche 20 octobre à 10 h 30 à la Collégiale : Célébration des Confirmations pour l’UP Centre‑Ouest.
UNITE PASTORALE «CENTRE‑OUEST» PAROISSE COLLEGIALE SAINTE‑GERTRUDE Curé‑Doyen : Abbé Albert‑Marie Demoitié Vicaire : Abbé Eugène Munsaka Assistant paroissial : Xavier Rotsart. Place L. Schiffelers, 1, 1400 Nivelles Tél. 067/21 20 69 Fax : 067/84 09 20 E‑mail : secr.gertrude@gmail.com Site Internet : http://www.collegiale.be Permanences à la cure : du mardi au samedi de 9 h à 11 h. PAROISSE SAINTS JEAN ET NICOLAS Curé : Abbé Robert Mangala Place de l’Abreuvoir, 8, 1400 Nivelles Tel. 067/84 27 91 E‑mail : robertmangala@yahoo.fr Permanences à la sacristie : mardi et jeudi de 10 h à 12 h. PAROISSE NOTRE‑DAME DU SAINT‑SEPULCRE ET SAINT‑PAUL Curé : Abbé Joseph Muaka Rue de Namur, 122, 1400 Nivelles Tél. 067/21 40 15 GSM 0479/34 15 47 E‑mail : josmuaka@yahoo.fr Site Internet : www.spluc.be Permanences à la cure : lundi, mercredi et vendredi de 9 h à 12 h. PAROISSE SAINT‑FRANCOIS D’ASSISE (BORNIVAL) ET SAINT‑MICHEL (MONSTREUX) Curé : Abbé Adelin Mwanangani Rue du Centre, 40, 1404 Bornival Tél. 067/21 24 94 GSM 0497/38 06 94 E‑mail : ademwana@yahoo.fr Permanences au presbytère de Bornival : mardi et vendredi de 16 h à 18 h. Prêtre retraité : Abbé Henri Weber, chemin Hiernoulet 7, 1400 Monstreux.
UNITE PASTORALE «EST» PAROISSE SAINT‑REMI (BAULERS) Curé : Abbé Guillaume Mabiala Rue de l’Église, 2, 1401 Baulers Tél. et Fax : 067/21 27 02 E‑mail : batumbaguy_2000@yahoo.fr PAROISSE SAINTE‑THERESE DE L’ENFANT JESUS Curé : Abbé Jean‑Pierre Mbelu Rue Auguste Levêque, 83, 1400 Nivelles Tél. et Fax : 067/84 02 77 E‑mail : jpmbelu@yahoo.fr PAROISSE SAINTE‑MARGUERITE (THINES) Curé : Abbé Jean‑Pierre Nzau Rue du Culot, 2, 1402 Thines Tél. 067/21 31 04 GSM 0498/16 48 16 E‑mail : jpnzau@hotmail.com
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Le Tour sainte Gertrude et saint Michel
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D’où viennent les anges ? Leur présence est évoquée dans de nombreuses religions et, avec tout l’aspect mystérieux qu’ils véhiculent, ils suscitent à nouveau de l’intérêt (littérature, ésotérisme,…). Les anges sont présents tout au long de la Bible, même Jésus en fait mention, notamment quand il s’adresse à Nathanaël : «Vous verrez le ciel ouvert et les anges monter et descendre au‑dessus du Fils de l’homme». Les anges sont donc une «porte» qui s’ouvre sur le ciel ; ils nous invitent à nous élever bien au‑dessus de nos préoccupations purement humaines et souvent superficielles. Qui est l’archange saint Michel ? Sa réputation n’est plus à faire tant il est mis à l’honneur en bien des endroits et de bien des manières. De nombreuses églises, dont celle de Monstreux et la cathédrale de Bruxelles, lui sont dédiées, ainsi que plusieurs lieux de pèlerinage à travers le monde (Mont-SaintMichel en Normandie, le mont Gargano en Italie ou le Rocher Saint‑Michel au Puy, par exemple). Mais pourquoi saint Michel est‑il si populaire ? Sans doute parce qu’il est présenté comme le chef des anges et qu’il sort vainqueur de son combat contre le mal, symbolisé par le dragon que l’archange terrasse de sa lance (voir Apocalypse 12,7). Et beaucoup, aujourd’hui encore, trouve en lui un refuge et une force dans leurs propres luttes.
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C’est à la Saint‑Michel, le 29 septembre(1) ou le dimanche qui suit, que chaque année, Nivelles célèbre sainte Gertrude par le Tour qui porte son nom. Cette année, c’est donc le jour même de la fête de l’archange saint Michel que nous le vivrons.
Dans la Bible, il est l’un des trois anges dont nous connaissons le nom, les deux autres étant Gabriel et Raphaël. Michel signifie «qui est comme Dieu ?». Le nom d’un ange dit quelque chose de Dieu et il est aussi synonyme de sa mission. Ainsi, Michel est fidèle à Dieu et il est entièrement à son service. Par son nom, saint Michel nous interpelle sur notre relation à Dieu. Il rappelle au chré-
tien que la première place appartient à Dieu et à lui seul. Il nous invite, comme lui, à lutter contre tout ce qui, en nous et autour de nous, nous éloigne de Dieu. La foi n’est pas de tout repos, elle est aussi un combat ; elle est une «porte étroite à travers laquelle nous devons nous efforcer de passer», dit Jésus (voir Luc 13,24). La foi est une lutte contre le doute et le désespoir ; elle est un combat contre ces idoles que nous adorons et qui se nomment, dit le pape François, «surconsommation, relativisme, hédonisme». Sur le char du Tour, la châsse de sainte Gertrude est entourée de quatre anges, sorte de garde d’honneur. Ces anges nous disent la présence de Dieu et sa protection pour celle que nous accompagnons sur son chemin autour de Nivelles. Croyons à cette même présence au cœur de nos vies ; demandons à l’archange saint Michel et à sainte Gertrude de nous donner leur force intérieure pour que nous nous attachions toujours davantage au Seigneur et pour que la confiance que nous mettons en Lui nous donne de mener à bien tous les combats qui sont les nôtres aujourd’hui. II Albert‑Marie (1) La fête de saint Michel a été fixée au 29 septembre, jour anniversaire de la dédicace de basilique Saint Michel, érigée à Rome au Ve siècle.
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Paroisse Thines
En haut à gauche : Arrivée du pélécycle au Mont Sainte Odile le 2 août… avant de continuer avec les plus grands vers Venise En haut à droite : Deux nivellois saluent sainte Aldegonde à Maubeuge (SambRio le 28 juillet) Au centre à gauche : Accueil de l’abbé Adelin Mwanangani à Bornival Au centre à droite : Accueil de l’abbé Jean‑Pierre Nzau à Thines En bas à gauche : Arrivée du pélécycle à Banneux le 26 août En bas à droite : Bénédiction des cartables le 1er septembre Voir «Nos albums photos» sur www.collegiale.be
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Pélécycle et rentrée
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De collégiale à collégiale, de Nivelles à Soignies Ce sont 24 jeunes qui se sont réunis dans le porche de la collégiale Sainte-Gertrude le mardi 25 juin dès 9 h 30. Le doyen Albert‑Marie les a fait entrer dans le Chœur des stalles où se réunissaient les chanoine (nesse) s. Il a pointé la notion de «groupe» que l’on retrouve dans l’étymologie de «collégiale» (qui signifie «groupe de chanoines») et a fait le lien avec notre groupe… de cyclistes. Le doyen a sorti sa roue de vélo en demandant aux jeunes ce que représentaient les rayons : chacun de nous. Les rayons sont reliés entre eux par la jante et le moyeu. La jante symbolise notre relation avec autrui et le moyeu celle avec Dieu. Et plus nous nous rapprochons les uns des autres, plus nous nous rapprochons de Dieu. Et plus nous nous rapprochons de Dieu, plus nous nous rapprochons des autres ! Marie‑Cécile, de la pastorale scolaire, a demandé aux jeunes quelle partie du vélo ils voulaient être et pourquoi. Certains parmi eux se sont exprimés de la sorte : une sonnette… parce que j’aime faire beaucoup de bruit ; la lampe… pour avoir la lumière ; le guidon… pour pouvoir changer de direction ; le changement de vitesse… pour me permettre de surmonter les difficultés car de temps en temps je peine ; la roue… pour que cela tourne rond ; le porte‑bagage… pour qu’on m’aide ; un petit boulon… car il fait le lien. Nous nous sommes tournés vers le Seigneur présent dans le tabernacle pour réciter le Notre‑Père et recevoir la bénédiction. Et nous voilà partis. Après quelques km survient la première crevaison… mais cela fut vite réparé grâce à l’habitude du doyen qui n’a pas besoin de clé pour retirer ou remettre une chambre à air dans le pneu. Nous sommes finalement arrivés à Soignies où nous avons été accueillis par le doyen, le Père José. À Soignies, tout s’appelle «Saint Vincent» : la collégiale, le collège… Vincent était un noble franc au service du roi Dagobert… au VIIe siècle ; il s’appelait Madelgaire de Famars de Hainaut. Le doyen nous a invités à nous installer dans la pelouse où nous avons partagé le pique‑nique. Puis, est arrivée «Radio‑Collégiale» pour un micro‑trottoir : Joachim : «On blague et on se connaît un peu plus qu’avant.»
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La paroisse Sainte-Gertrude de Nivelles, la pastorale des jeunes et la pastorale scolaire du BW ont imaginé pour les élèves en fin d’examen une journée à vélo pour découvrir la collégiale de Soignies.
Fabien : «J’ai aimé la journée parce qu’il y a une bonne ambiance et c’est une chouette activité. J’ai déjà fait du vélo en groupe, mais pas avec une paroisse… cela change un peu.» Claire : «C’est sympathique, tout le monde est gentil ; je recommencerais sans hésiter. Je suis déjà partie en Pologne pendant les vacances avec un groupe de 40 jeunes.» François : «Je trouve qu’il y a une bonne ambiance, c’est chouette. Et puis on roule bien mais pas trop non plus. La collégiale est jolie.» Antoine : «Oui, cela s’est bien passé. Je retiens beaucoup de choses mais déjà avec des amis on peut tout faire.» Et «Radio‑Collégiale» a aussi interrogé le doyen José sur ses impressions : «D’abord, nous sommes très honorés que les Nivellois rendent visite aux Sonégiens et que Gertrude vienne jusqu’à Vincent. Et voilà, nous sommes de deux diocèses différents mais voisins puisque le doyenné de Soignies touche à la région pastorale du BW.» Elle s’est tournée aussi vers le groupe d’adultes. Marc : «C’est une première, cette journée «blanche» cycliste avec des enfants des écoles en lien avec des paroisses. Lorsque je vois cette jeunesse, je me dis
que c’est une belle jeunesse.» Marie‑Cécile : «Très chouette groupe, motivé en tout cas par le vélo, et joyeux. On voit qu’ils ont terminé leurs examens et qu’ils sont heureux de pouvoir se défouler un petit peu.» Ensuite, nous avons eu droit à une visite guidée de la collégiale de Soignies. Les jeunes de Nivelles ont pu comparer leur collégiale avec celle de Saint Vincent, un saint du VIIe siècle. Une particularité est que chaque année, le lundi de la Pentecôte, les Sonégiens se réunissent tôt le matin pour «le grand tour» durant lequel ils «processionnent» la châsse de Saint‑Vincent autour de la cité (11,2 km). Il est intéressant de voir la façon dont la châsse de 200 kg descend sur le sol grâce à un mécanisme qui est bien gardé secret. Il faut huit hommes pour la transporter. Vers 14 h 30, nous sommes remontés sur nos vélos pour entamer le retour par un autre chemin qui nous conduisait sur le Ravel. Nous sommes rentrés à Nivelles vers 17 h 45, après 56 km. De collégiale à collégiale, c’était une expérience géniale. Merci pour cette belle journée. II Luc Pagacz
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UNITE PASTORALE «CENTRE‑OUEST» COLLEGIALE SAINTE‑GERTRUDE
Messes : lundi, mardi, mercredi et vendredi à 8 h 30 ; jeudi à 18 h ; dimanche à 8 h 30/10 h 30. Tous les dimanches à 10 h 30, messe des familles, avec éveil à la foi des tout‑petits (0-7 ans) et liturgie de la Parole adaptée pour les 8-12 ans. Adoration : mercredi de 9 h à 10 h dans la chapelle de semaine. Chapelet : lundi, mardi, vendredi à 9 h ; jeudi à 17 h 15.
INTENTIONS DE PRIÈRE Pour M. et Mme Larbalestrier (le 29/9 à 10 h 30), Nicolas (le 13/10 à 10 h 30), Eric Wautrequin (le 20/10 à 10 h 30)
AGENDA Vendredi 27 septembre de 18 h 30 à 19 h 15 à la crypte : Prière dans l’esprit de Taizé. Samedi 28 septembre 18 h : Cortège de transfert de la statue de Saint‑Paul et de la châsse de Sainte‑Marie d’Oignies à partir de l’église du Saint‑Sépulcre, via l’église Saints Jean et Nicolas. 19 h : Déposition de la châsse de Sainte‑Gertrude et messe solennelle du Tour
Dimanche 29 septembre - 737e Tour Sainte Gertrude
5 h : Transfert de la châsse sur le char 6 h : Messe des Pèlerins 6 h 45 : Départ du Tour 15 h 30 : Rentrée solennelle et Te Deum Samedi 5 et dimanche 6 octobre : Retraite des jeunes se préparant à la confirmation.
Dimanche 6 octobre à 10 h 30 : Reposition de la châsse de SainteGertrude. Célébration des Jubilaires. Vendredi 11 octobre de 18 h 30 à 19 h 15 à la crypte : Prière dans l’esprit de Taizé. Dimanche 20 octobre à 10 h 30 : Célébration des Confirmations pour l’UP Centre‑Ouest. S AINTS JEAN ET NICOLAS
Messes : mardi à 18 h ; jeudi à 9 h ; vendredi à 18 h sauf le 1er vendredi du mois à 15 h ; samedi à 18 h ; dimanche à 11 h/17 h. À Bois de Nivelles : dimanche à 9 h. Adoration : jeudi de 9 h 30 à 10 h dans la chapelle de semaine. Chapelet : mardi, jeudi, vendredi et samedi, une demi heure avant la messe, dans la chapelle de semaine. N OTRE‑DAME DU S A I NT‑SEPULCRE ET SAINT‑PAUL
Messes : lundi à 18 h ; mercredi, jeudi et vendredi à 8 h ; samedi à 19 h ; dimanche à 10 h. Messe le 1er samedi du mois à 9 h. Adoration : le dernier dimanche du mois (sauf juillet et août) de 16 h à 17 h dans la chapelle de semaine. Chapelet : lundi à 17 h 15. En mai et octobre : lundi à 17 h 15 et du mercredi au vendredi après la messe de 8 h.
INTENTIONS DE PRIÈRE Pour Marc Soupart (le 19/10 à 19 h) ; Edmond Castiaux (le 20/10 à 10 h).
AGENDA Samedi 28 septembre : Pas de messe au Saint‑sépulcre. À 19 h messe solennelle du Tour à la Collégiale.
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SAINT‑FRANCOIS D’ASSISE (BORNIVAL) ET SAINT‑MICHEL (MONSTREUX)
Messes à Bornival : mardi à 18 h et samedi à 19 h. Messe le 1er vendredi du mois à 18 h suivie de l’adoration. Messes à Monstreux : mercredi à 18 h et dimanche à 8 h 45.
UNITE PASTORALE «EST» SAINT‑REMI (BAULERS)
Messes : lundi et mercredi à 19 h ; samedi à 18 h ; dimanche à 10 h. À partir de novembre jusqu’à Pâques, les messes de semaine seront célébrées à la salle de réunions de la cure. Adoration : le mercredi à la fin de la messe de 19 h jusqu’à 20 h. Chapelet : le mercredi à 18 h 30. SAINTE‑THERESE DE L’ENFANT JESUS
Messes : mardi et jeudi à 8 h 30 ; mercredi à 18 h 30 ; samedi à 18 h 30 ; dimanche à 10 h 30. À la Chapelle ND des 7 douleurs : lundi à 18 h 30 et dimanche à 8 h 30. Adoration : 1er mercredi du mois de 17 h 30 à 18 h 20 à l’église. Chapelet : tous les samedis à 18 h. SAINTE‑MARGUERITE (THINES)
Messes : mercredi à 18 h 30 et dimanche à 10 h. Adoration : le mercredi de 17 h 30 à 18 h 30
Messes dans les résidences
Résidence du Parc : mercredi (tous les 15 jours) à 15 h. Nos Tayons : samedi (tous les 15 jours) à 14 h 30. Maison de repos de Thines (Chée de Wavre 9) : jeudi à 15 h.
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DOYENNÉ DE TUBIZE
Chers lecteurs, chers frères et sœurs, j’ai une immense joie de vous annoncer la prochaine visite de notre archevêque Monseigneur André‑Joseph Léonard dans notre doyenné de Tubize. Nous vivrons d’une manière «intense», du 24 au 28 octobre 2013, une belle, réconfortante et stimulante «visitation» de notre archevêque. La visite pastorale est un acte important de la mission d’un évêque. En venant vivre pendant plusieurs jours parmi nous, il découvre son archidiocèse qui lui est confié et apprend à mieux connaître les personnes qui ont soif de l’Évangile. L’archevêque vient aussi pour conforter les baptisés et les encourager dans leur mission. Il vient aussi pour découvrir les forces et les faiblesses des hommes. C’est une bonne occasion pour nous de découvrir celui qui est envoyé par l’Église pour nous annoncer le Christ et sa Bonne Nouvelle. Une visite pastorale, c’est en quelque sorte le tour des paroisses de l’archidiocèse pour voir ce qui se fait déjà, encourager ce qui se met en place au niveau de notre doyenné. Ces visites ne concernent pas uniquement les catholiques car l’Église est en lien avec les réalités sociales les plus ordinaires. Ces visites permettent d’aller à la rencontre des réalités locales, qu’elles soient politiques, culturelles, économiques ou associatives dans lesquelles vivent les catholiques. Il s’agit aussi d’un approfondissement en vue d’une meilleure connaissance de l’archidiocèse et de ceux qui y vivent par le dialogue, l’échange et la rencontre. C’est également le moyen d’envisager ensemble, au vue de ce qui se vit déjà, des pistes pour l’avenir. Enfin ces visites permettent à notre évêque d’être proche non seulement de la communauté catholique, mais également des représentants des pouvoirs publics, du monde de la santé, du monde du travail, du monde associatif qui répondent bien à cette invitation de manière générale. En tout cas, nous sommes tous cordialement invités à participer à un moment ou à un autre de cette visite pastorale. Prochainement, nous vous communiquerons le programme précis de la visite de notre archevêque. Je vous remercie d’avance de recevoir chaleureusement notre archevêque dans vos paroisses, vos communautés, merci de lui réserver un accueil convivial. II Père Jan Pelc, Doyen
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ASSOCIATION FOURMIS.TERRE
Des jeunes bénévoles en Inde
Doyenné de Tubize
Doyenné de Tubize
Visite pastorale de l’archevêque
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Jeunes en pays du tiers‑monde. Fourmis.Terre est une association de Braine‑le‑Comte développant des projets humanitaires (aide au développement) en partenariat avec des associations belges et des ONG locales. «Fourmis» car nous travaillons sans cesse et à notre échelle. «.Terre» car nous agissons pour la Terre entière. En 1992, des étudiants de la Haute École Roi Baudouin décident de construire bénévolement une classe en Thaïlande. Un historien, Gérard Bavay, les rejoint et devient le leader de ce groupe qui évolue sans cesse grâce à de nouveaux arrivants. Tous les deux ans, un projet est réalisé : une crèche au Chili, une bibliothèque en Inde, un centre de formation agricole au Pérou, etc. Tous les quatre ans, le projet a lieu au Burkina Faso où la construction d’une école complète est réalisée. Il est question de 1400 élèves en primaire et 140 en secondaire. Pour récolter des fonds, nous avons diverses activités : souper crêpes, marché de Noël (artisanat du Burkina), service lors de festivités, marche Adeps. L’entièreté des bénéfices récoltés sera envoyée sur place car nous n’avons pas de frais de fonctionnement et payons tous les frais liés à notre séjour : vols, logement, nourriture, vaccins, déplacements, etc. Cet été, 13 Fourmis se sont rendues durant 28 jours en Inde, dans un petit village proche de Tiruvannamalai (Tamil Nadu). Le but était de construire trois classes primaires pour des enfants Dalits : bien qu’aboli, le système des castes et des intouchables est toujours d’actualité. Il était essentiel de financer ce projet d’éducation lancé par People Organisation for Planning and Education (http://www.popeindia.org). Ainsi, nous offrons à ces opprimés une opportunité de s’en sortir et permettons un changement de mentalités. Nous avons apporté des outils, crayons, cahiers, shorts et surtout, notre main d’œuvre ! En effet, durant vingt journées, nous avons travaillé sur place. Le reste du temps nous a permis de rencontrer les villageois et de jouer avec les enfants. Plus d’info : http://www.herb.be/fourmis.terre et https ://www.facebook.com/ Fourmis.Terre II Christophe Defraine
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Evangéliser avec le Cathologue… Alors les jeunes ? Le Cathologue. Vous connaissez ? C’est un peu comme un printemps arabe de l’intelligence, une révolution que nul n’a vu venir et qui s’est produite dans l’univers de la théologie catholique… Alors que les regards convergeaient désespérément dans l’attente d’un nettoyage de fond de la poussiéreuse tradition reçue des Apôtres, c’est sans prévenir mais avec fracas que le «Cathologue» s’est imposé sur Internet. À prendre au second degrés, la mini‑série représente aujourd’hui l’union de la foi et de la raison. Plongez‑vous sans plus tarder sur le sita Internet de la paroise de Rebecq (http://site.catho.be/paroissesaintgeryrebecq) et vous découvrirez les inénarrables Jérôme et Damien faisant entrer le spectateur de plain‑pied dans les questions les plus brûlantes de la foi catholique. Plus précisément que l’Église hiérarchique, technocratique et à prétentions vaguement intellectuelles tente d’évacuer depuis deux mille ans. Celles qui font mal, qui sèment le doute, qui ouvrent à l’autre et au monde, celles qui déconstruisent en un mot. Par exemple, «L’âne de la crèche a‑t‑il fait carrière», «Zachée ne se moque‑t‑il pas un peu du monde», ou encore «Faut‑il évangéliser ou bien» (sic). Inutile après ça de préciser que ça balance du steak et que la Commission de théologie internationale ferait bien d’en prendre de la graine. Jérôme et Damien sont des étudiants catholiques un peu paumés qui partagent le même appartement. Les deux héros se sont mis en tête de pratiquer la nouvelle évangélisation à leur manière et selon leurs capacités, c’est‑à‑dire à travers des vidéos artisanales tournées en plan fixe dans leur salon de mauvais goût, où seraient en théorie résolues au profit du néophyte les questions épineuses du catholicisme. Le résultat est évidemment désastreux et, de calembours minables en mésinterprétations flagrantes, l’inculte Jérôme, incarné par un Wallerand Denormandie génial qui à lui seul soutient le rythme comique de la série, développe une théologie parallèle à se rouler par terre. Vous verrez… Derrière la grosse farce, la profondeur du propos vous surprendra…
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Rebecq : Parole aux jeunes de la KT…
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Dites les jeunes, la KT, c’est quoi pour vous ? «La KT, c’est est un lieu de rencontre où chacun peut trouver sa place en interaction avec les autres, le catéchiste et Dieu. Il peut y poursuivre un (autre) chemin de croissance et percevoir les liens d’existence qui se nouent entre le Seigneur et lui. Faire catéchisme, c’est former une équipe et se sentir vitalement relié à la personne de Jésus et à la communauté des chrétiens. Faire catéchisme, c’est apprendre à cheminer avec le Christ, à s’émerveiller de tout ce qu’il représente dans notre existence et à finalement accueillir et faire rayonner l’amour de Dieu. Faire catéchisme, c’est se préparer à renouveler l’engagement pris par nos parents le jour de notre baptême et placer notre confiance en Dieu. «Jésus est un homme qui aime et qui veille sur la terre entière et sur nous les hommes.Il nous aide à faire des choses meilleures dans nos cœurs.C’est le fils de Dieu qui a sacrifié sa vie pour nous les hommes et pour l’amour de Dieu» Charlotte, Nathan et Simon (11 ans) «Nous vous invitons à ne pas être des chrétiens à roulettes, car ce n’est pas la conduite d’un vrai chrétien. Après notre profession de foi, nous espérons que chacun de nous continuera à venir à la messe. Nous espérons que vous aussi, vous continuerez à vivre dans la foi chrétienne. Et dès ce soir nous vous invitons dans cette voie en participant activement à cette célébration !» Simon et Valentine V., Valentine B., Gwemaëlle (11 ans) lors de leur profession de foi La préparation à la 1re communion commence vers sept ans (2e primaire). Les réunions ont lieu à l’école Saint‑Géry où la catéchiste explique le signe de Croix, le Notre Père, le déroulement de la messe et l’importance de la rencontre personnelle avec Jésus dans la communion eucharistique. La préparation à la profession de foi et au sacrement de Confirmation débute vers dix ans (5e primaire) et se déroule sur deux ans ; au terme de cette préparation, chaque enfant pourra formuler sa profession de foi. Pour tout renseignement, s’adresser à Cathy BOTMAN (tél. 0498/07 23 34. - botmanc.mascailles@skynet.be) ou Sophie CIVILIO (tél. 067/63 87 61. sophie@hameaudury.net)
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La procession à Notre-Dame d’Ittre, Mère de grâce et de consolation existe depuis le XIVe siècle, plus précisément en 1384 ; elle a lieu le 15 août et est suivie d’une neuvaine à Notre-Dame. Malgré les vacances, la messe et la procession du 15 août attirent beaucoup de gens venus d’un peu de partout qui chaque année viennent invoquer la Sainte vierge et marcher à la suite de sa Statue portée par les fidèles lors de la procession dans les rues de notre village. Ce culte rendu à Notre-Dame d’Ittre doit vous interpeller ! Comment penser que cette ferveur ne repose sur rien, ne sert à rien ? Cet attachement séculaire doit vous enlever vos derniers doutes. Notre-Dame d’Ittre est bien présente pour protéger son village, ses habitants et toutes celles et ceux qui l’ont choisie pour envoyer leur message vers Dieu. Elle est venue chez nous pour nous protéger de cette terrible épidémie de peste qui sévissait au XIVe siècle. Ce mal a été éradiqué chez nous, mais bien d’autres maux frappent notre époque : l’indifférence, le rejet des autres, étrangers ou non, le repli sur soi… Nous sommes tous étrangers quelque part ! On peut ainsi citer les maux pour lesquels la prière peut nous aider : nos familles qui éclatent, nos jeunes qui cherchent le bonheur artificiel, l’argent qui corrompt, la liste est impressionnante !
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La procession Notre-Dame d’Ittre : 1336-2013
Le 15 août, avec la vierge Marie, nous faisons une pause et essayons de remettre de l’ordre dans nos pensées profondes, dans nos priorités.
Nous cherchons le bonheur, vivons simplement pour ceux que nous aimons avec l’aide de Notre-Dame du 15 août. II André Dupont
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La paroisse de Haut‑Ittre a comme patron Saint Laurent, diacre martyr en 258. Nous possédons une statue en tilleul qui date de 1600 à 1610. Saint Laurent a distribué aux pauvres toutes les richesses de l’église et en représailles, le juge ordonna d’étendre le saint diacre sur un gril de fer pour le rôtir à petit feu. C’est pourquoi on le représente toujours tenant un gril à une main. La date d’anniversaire de Saint Laurent est le 10 Août, donc la paroisse le fête le dimanche le plus proche de sa date d’anniversaire et organise en même temps la ducasse du village qui ne représente plus grand‑chose par rapport au passé. La paroisse a reçu en 1642 un magnifique reliquaire en argent ciselé de Saint Laurent. Ce reliquaire a figuré d’ailleurs à l’exposition d’art ancien en 1910. C’est probablement depuis que la paroisse à reçu ce reliquaire, qu’une procession fut organisée au cœur du village Si dans le temps cela s’organisait avec un grand faste, aujourd’hui, la procession se compose de : - La croix en tête de la procession - La fanfare - Saint Laurent avec ses 4 porteurs - Le prêtre qui porte le reliquaire
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La procession saint-Laurent à haut-Ittre
- La chorale - L’assemblée qui se rétrécit d’année en année, car elle est composée principalement d’anciens du village Certaines personnes décorent leur devan-
ture de maison avec une statue de Saint Laurent ou de la vierge, des fleurs et des bougies. D’autres déposent des fleurs sur la route et du sel, comme cela se faisait dans le temps parrait’il. Donc Saint Laurent traverse une partie du village pour faire environ 2 km, mais il y a 2 arrêts pour permettre aux porteurs de se remplacer mais aussi pour profiter d’un temps de réflexion. Pendant plusieurs années, le thème de la réflexion était sur les prophètes de notre temps comme le Père Damien, Sœur Emmanuelle, l’abbé Pierre et bien d’autres ; toutes, des personnes qui se sont battues pour améliorer le quotidien des plus pauvres. Cette année, nous avions choisi le thème de l’écoute et je vous attache le texte qui a servi de base de réflexion. Puisse cette procession de Saint Laurent, pouvoir survivre encore longtemps au village pour perpétuer la tradition.
À TOUTE VOLÉE
DOYENNÉ DE TUBIZE
10/2013
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La paroisse saint-Fiacre de Wisbecq en fête
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C’est en 1973 qu’a été choisi ce dimanche qui est le deuxième dimanche de septembre pour remercier Saint Fiacre qui est le patron de la paroisse de Wisbecq et des jardiniers.
D’origine irlandaise, Fiacre (en irlandais Fiáchra, en latin Fiacrius, Fiacrus) est le fondateur, sans doute au VIIe siècle, d’un monastère proche de Meaux qui plus tard prit son nom et devint le centre d’un pèlerinage réputé. Ce personnage pieux et secourable allie les symboles du travail et de l’oraison a manifestement séduit. Depuis le Xe siècle au moins, on célébrait traditionnellement sa fête le 30 août. Le premier à nous parler de Fiacre est un évêque de Meaux, Hildegaire, qui a entrepris, sous le règne de Charles le Chauve, sans doute vers 870, de composer une longue biographie de son prédécesseur saint Faron, mort deux siècles auparavant il nous dit que Faron était en grande réputation auprès des moines celtes (les «Scots») qui pérégrinaient alors à travers la Gaule, qu’il les accueillait volontiers dans son diocèse et qu’il n’hésitait jamais à les faire bénéficier de sa générosité. C’est ainsi qu’un certain
Fefrus dans lequel nous devons reconnaître notre Fiacre reçut de lui une terre au lieu‑dit Breuil (Broilum), à trois milles de Meaux, pour y construire un monastère. Fiacre construit un monastère pour ses compagnons et s’installe lui‑même dans une petite maison à l’écart, où il accueille les pèlerins de passage, fait la charité aux pauvres et guérit les malades en leur imposant les mains. Mais, «la renommée de sa sainteté s’étant répandue partout comme un parfum», il souhaite rapidement disposer d’un terrain plus vaste pour y créer un jardin, afin de cultiver des légumes pour ses visiteurs et des herbes pour ses malades. Il recourt une nouvelle fois à la générosité de Faron.
Dimanche de la Moisson…
La célébration commence avec le départ sur le parvis de l’église à 9 h 30 de la promenade de Saint Fiacre à cheval. Le parcourt se fait sur 10 km, par la rue
Basse, rue du Buchot, rue des Etangs, rue Thiembecq, chemin de Wisbecq, chemin du Croly, rue Crollies, chemin du Petit Spinoi, Rue des cendres, Rue Haute Folie, Rue Duc D’Arenberg, Drève du Château, rue du château pour finir sur le parvis de l’église vers 12 h 15. La procession de Saint Fiacre débute à 10 h 30, le tour de la place et de l’église, elle est accompagnée de trois statues dont Saint-Fiacre, la Sainte-vierge et Saint-Joseph ainsi que de la chorale les Triolets.
Connaissez‑vous la prière de Saint-Fiacre ?
Seigneur, écoutez favorablement les supplications que nous vous adressons par l’intercession de votre bienheureux Confesseur Fiacre, afin que nous, qui ne mettons point notre confiance en nos mérites, nous soyons aidés par les prières de celui qui a été si agréable à nos yeux.
VICARIAT DU BRABANT WALLON
À TOUTE VOLÉE
10/2013
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Des pistes pour un renouveau des sacrements d’initiation Nul ne peut le nier : le contexte ecclésial et culturel a fondamentalement changé ces dernières décennies. Il a même tellement changé que devenir, être et rester chrétien ne va plus du tout de soi. Aujourd’hui, pour reprendre une formule de Tertullien, «on ne naît pas chrétien, on le devient», souvent au terme d’un cheminement personnel. Voilà pourquoi nos évêques insistent, depuis quelques années, sur la nécessité d’une réorientation de la pratique catéchétique, celle-ci ne répondant plus tout à fait aux besoins actuels. C’est en tout cas ce que constatent les auteurs d’un document intitulé «Les sacrements de l’initiation chrétienne pour les enfants et les jeunes d’aujourd’hui - Orientations pour un renouveau missionnaire». «Reconnaissons-le», écrivent-ils, «les célébrations du baptême, de la confirmation et de la première communion - généralement très belles - sont souvent vécues comme des moments isolés avec peu d’impact sur la vie concrète, et non comme des étapes sur un chemin de foi personnelle.» Or, devenir un chrétien requiert un processus d’initiation, qui demande nécessairement du temps et de la patience.
Un tout indissociable
Fruit d’un groupe de travail constitué notamment des quatre évêques belges référendaires pour la catéchèse et pour la liturgie, et d’experts, ce texte commence par rappeler que les trois sacrements de l’initiation chrétienne forment un tout indissociable. «Par le baptême commence la vie nouvelle en Christ. La confirmation la ratifie et la consolide. L’eucharistie accomplit l’initiation chrétienne et nourrit sans cesse la foi.» Ce dont nos contemporains semblent de moins en moins conscients. «Lors des contacts pastoraux», poursuivent les auteurs, «il apparaît que les demandes ne correspondent pas toujours à ce que l’Église veut offrir par ces sacrements». Avec l’accord de Monseigneur Hudsyn,
C. Delhez s.j.
Les évêques ont publié une lettre à propos des sacrements d’initiation. Toutes les personnes qui collaborent à la catéchèse sur le terrain sont invitées à réfléchir à un renouveau de la pastorale des sacrements de l’initiation chrétienne, à savoir le baptême, la confirmation et l’eucharistie. En Brabant wallon, la paroisse Saint Pie X a devancé les propositions épiscopales.
Retrouver un sens à l’initiation chrétienne. évêque auxiliaire du Brabant wallon, la paroisse Saint Pie X d’Ottignies, comme d’autres, a déjà tenté l’expérience. Jusqu’à l’année passée, les enfants qui professaient leur foi après deux ans de catéchisme, en fin de 6e primaire, étaient invités à continuer à cheminer pour recevoir le sacrement de confirmation, mais certains s’arrêtaient en chemin. Si l’année 2012-2013 fut une année charnière, où les étapes ont été inversées, la réflexion de fond sur la catéchèse de profession de foi et de confirmation est menée au sein de la paroisse. Prenant l’exemple d’un voilier qui est mis à l’eau (baptême), qui a besoin de vent pour avancer (confirmation) et de nourriture pour voyager (eucharistie), les responsables de la catéchèse veulent faire comprendre la logique de l’initiation chrétienne : les trois sacrements qui «font» le chrétien sont, dans l’ordre, le baptême, la confirmation
et l’eucharistie. À la suite de leur réflexion, les responsables de Saint Pie X proposent désormais de célébrer dans leur paroisse la confirmation en 6e primaire, et de postposer par contre la profession de foi. Cette expérience est l’une des pistes évoquées par le document des évêques. Mais, conscients qu’en cette matière complexe, «il n’existe pas de solutions simples ou de stratégies évidentes qui feraient disparaître d’un coup toutes les questions et les difficultés», les auteurs invitent donc toutes les personnes qui collaborent à la catéchèse sur le terrain à réagir à ce document et aux pistes qu’il contient, en faisant parvenir leurs propres expériences, leurs propositions et leurs suggestions aux responsables diocésains de la catéchèse. Ce que prônent les auteurs, c’est une pastorale des sacrements qui allie hospitalité et clarté. I Pascal André
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