Dis moi juin 2014

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N ° 9

«Nous autres, nous n’avons besoin ni de bombes ni d’armes, car notre seule arme, c’est l’amour.»

Mère Teresa

Juin-Juillet 2 0 1 4 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION

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LE CAHIER PAROISSIAL DES DOYENNÉS DE LIÈGE CENTRE ET ANS

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Qu’est-ce qu’une équipe pastorale ?

Ici Liège Nord

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À la découverte de St-Pierre d’Hognoul

NOTRE RÉGION MARQUÉE PAR LE SOUVENIR DE 1914-1918 19940 - Liège -N°9- 06-2014.indd 1

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UNITÉ PASTORALE SAINT-LAMBERT

Le pape invite les jeunes à sortir, à jouer en attaque Le pape François ne fait pas de manières avec les jeunes. Il ne les cajole pas, il ne fait pas de rabais. Il ne veut pas les conquérir en les plaignant. Il est aussi très direct, quand c’est nécessaire. C’était le cas en août, lors de sa rencontre avec les jeunes du diocèse de Piacenza : «Quand un jeune me dit : «Père, les temps sont durs, on ne peut rien faire !», je l’envoie chez le psychiatre…». La boutade n’a pas été du goût de tout le monde et si l’on va sur l’Internet on découvre beaucoup de réactions polémiques, presque la revendication d’un droit à la dépression. De ce point de vue, le pape ferme toutes les issues. Il a décidé de ne pas accorder d’alibi. Être jeune est une opportunité, pas un handicap, quel que soit le contexte dans lequel on vit. «Des chrétiens pessimistes : c’est mauvais ! Vous les jeunes ne pouvez ni ne devez être sans espérance ; l’espérance fait partie de votre nature. Un jeune sans espérance n’est pas jeune, il a vieilli prématurément !» a-t-il dit durant son voyage à Cagliari. Puis il a expliqué qu’un jeune sans espérance se retrouve livré aux «marchands de mort», qui sont là comme des vautours pour vendre des antidotes contre la tristesse. «S’il te plaît, ne vends pas ta jeunesse à ces marchands de mort !

Vous comprenez de quoi je parle !». C’est pour cela que le pape insiste toujours sur le même point et invite les jeunes à être pleinement jeunes, dans leurs comportements également, à sortir à découvert, à ne pas rester cachés. Combien de fois, sur la Place Saint Pierre, leur a-t-il demandé de faire entendre leurs voix plus fort. Au Brésil, il les a même invités à «faire du vacarme, du désordre». Aux universitaires romains, il a recommandé d’être «non pas spectateurs, mais protagonistes», de ne pas «regarder la vie du haut de leur balcon». Et il a ajouté : «Mêlez-vous des situations qui vous défient, qui vous demandent de l’aide pour faire avancer la vie, le développement, la lutte pour la dignité de la personne, la lutte contre la pauvreté, la lutte pour les valeurs et tant de luttes que nous rencontrons chaque jour». ?«NE VOUS METTEZ PAS DANS LA QUEUE». Les jeunes ne doivent pas étouffer l’aspiration à construire un monde meilleur, parce que cette aspiration fait partie intégrante de la jeunesse.

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02/05/2014 - Il veut que les jeunes soient libres et il leur montre la voie (en la montrant aussi à leurs parents)

À ce propos, les paroles prononcées sur la plage de Copacabana sont très belles : «Ton cœur, ton jeune cœur veut construire un monde meilleur… Garçons et filles, s’il vous plaît, ne vous mettez pas dans la «queue» de l’histoire. Soyez protagonistes.

Jouez en attaque ! Shootez devant». Le pape n’ignore pas qu’entre l’Église et les jeunes il y a quelque chose qui ne fonctionne pas. À Cagliari, devant les jeunes, avec le réalisme toujours efficace de son langage, il a rebaptisé la confirmation «sacrement de l’adieu» : «Le sacrement de la confirmation, comment s’appelle-t-il ce sacrement ? Confirmation…

Non ! Le nom a changé : «Sacrement de l’adieu». Ils reçoivent ce sacrement et quittent l’Église : c’est vrai oui ou non ? C’est une expérience de faillite». Cela se produit parce qu’on oublie que le christianisme «n’est pas une science abstraite, mais une connaissance existentielle du Christ, un rapport personnel avec Dieu qui est amour.

Il faudrait peut-être insister davantage sur

la formation de la foi vécue comme une relation dans laquelle on fait l’expérience de la joie d’être aimé et de pouvoir aimer». Et les jeunes sont ceux qui subissent le plus cette réduction du christianisme à une abstraction «correcte». Mais alors à partir de quoi peuvent-ils «refaire surface» ? Lors de la veillée avec les jeunes aux JMJ de Rio il a fait cet exemple très efficace. «Nous pouvons apprendre quelque chose de ce qui est arrivé durant ces journées, lorsque nous avons dû, à cause du mauvais temps, annuler la réalisation de cette veillée sur le «Campus Fidei» à Guaratiba. Le Seigneur ne veut-il pas nous dire que le vrai champ de la foi, le vrai «Campus Fidei», n’est pas un lieu géographique, c’est nous-mêmes ? Oui !

C’est vrai ! Chacun de nous, chacun de vous, moi, tous !» Le Seigneur n’appelle pas «la masse», mais il appelle chacun : «Toi, toi et toi, chacun de nous. Ecoutez ce qu’Il vous dit dans votre cœur» (toujours sur la plage de Copacabana)?

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UNITÉ PASTORALE SAINT-LAMBERT CAN O N I S AT I ON S

Claudio Celli

Deux pontifes dans les rangs des saints.

Deux autres qui s’embrassent en public.

Une journée historique avec un protagoniste : le Christ. Et le bonheur de celui qui Le suit parce qu’il est amoureux de Lui. Ces jours-ci on a beaucoup parlé des quatre papes. La double canonisation, celle de Roncalli et de Wojtyla, grâce à deux papes qui concélèbrent, Bergoglio et Ratzinger.

Un événement dans l’événement : l’étreinte publique des deux derniers au début de la messe de canonisation ; si bien que la foule des pèlerins, de composition variée, qui l’a vécue à travers les écrans géants, a été touchée et a eu une réaction émotionnelle comme dans un stade.Quasiment un jeu de poker de la foi, avec quatre as au service de la divine Providence sur la table de l’histoire. Unité dans la diversité, diversité aussi de charismes et de caractères. Et cependant un seul grand message durant les vingt-quatre heures de la fameuse invasion de Rome : c’est le Seigneur qui est le protagoniste de cette extraordinaire événement d’humanité et de sainteté. De sainte humanité. Qui, pour différents motifs, a réuni ces heures-là, sur la place Saint-Pierre, quatre personnalités vers lesquelles le monde continue de regarder.Pour deux d’entre eux, saint Jean XXIII et saint Jean-Paul II, il est désormais établi qu’«ils soient honorés avec dévotion dans toute l’Église». Le pape François ne s’est pas attardé trop long-

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mcbf.be

Ces vignes qui ont fleuri dans le jardin de la Grâce

temps à souligner leurs vertus héroïques, ni la grandeur historique de deux personnages qui ont pourtant vécu des années cruciales marqués par des tournants décisifs. Roncalli qui rompt avec toutes les habitudes et décide d’aller visiter les détenus de la prison Regina Caeli ou qui arrête l’escalade de la guerre froide. Wojtyla qui ne se lasse pas de voyager et qui le premier imagine une Europe unie sans murs ou rideaux de fer. Fruits de l’intelligence de la foi, de la «parresia», la vertu de dire la vérité, comme l’a rappelé le même Bergoglio dans l’homélie. Le pape actuel qui les a proclamés saints souhaite surtout souligner leur bonheur d’homme, de

prêtre, d’évêque plutôt que celui d’être pontife romain. Leur témoignage vivant de la foi, leur rappel à l’Évangile et à Jésus Christ.

C’est dans le «jardin de la grâce», comme dirait Péguy, que fleurissent leurs vignes, leur exemple, leur histoire de disciples de Pierre, amoureux de Jésus Christ. Leur attachement au pardon, à la Miséricorde (la canonisation a eu lieu le jour de la divine Miséricorde), à ces «plaies du Christ» devenues centrales dans la réflexion du pape Bergoglio et qui sont image du péché et des limites en même temps qu’occasion de gloire. Pour tant de pèlerins venus de partout dans le monde ce fut un inoubliable samedi-dimanche à Rome ; pour pouvoir suivre la célébration sur la place Saint-Pierre ou le long de la via della Concilliazione, nombreux sont ceux qui ont passé la nuit en plein air sous le ciel humide de la capitale. Une fête multiforme, la leur aussi, qui a donné lieu à une étreinte collégiale, vraiment catholique, sobre, simple et profonde, dans le style du pape François et dans l’esprit du temps.Élever deux pontifes tant aimés à l’honneur des autels n’est pas une victoire hégémonique envers l’histoire, ni du triomphalisme ; au contraire, c’est l’expression de toute la richesse du témoignage, de la présence du Seigneur, de l’unique histoire qui a de l’importance, celle de l’Évangile qui a commencé avec les apôtres eux-mêmes, dont les quatre papes ont été et sont les successeurs.

Une fête sur la tombe de Pierre.

I Alessandro Banfi

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L’Équipe pastorale de l’UP : c’est quoi ?

Selon les Acta de 2012, le curé est le «pasteur propre» de l’Unité pastorale, parce qu’il jouit de la légitime autonomie pour l’exercice de sa mission. Il exerce sa mission sous l’autorité de l’évêque, en communion avec le diocèse et l’Église entière.

L’Equipe pastorale est un organe de direction. Elle est, avec le curé, garante de la communion ecclésiale. Elle participe, sous la responsabilité du curé, à l’exercice de la charge pastorale, en assurant l’animation globale de l’UP et la coordination des communautés qui la composent.

Après un temps de «probation» (ad experimentum) qui dure, en général, une année, elle est nommée par l’évêque pour une durée de trois ans renouvelables.

Les membres reçoivent alors une lettre de mission, qui atteste qu’ils sont «envoyés par l’évêque» pour avoir le souci du bien de toute l’unité pastorale et non pour la défense d’intérêts particuliers. Ils s’engagent à travailler dans le respect mutuel, l’écoute réciproque, la collaboration effective, avec la loyauté vis-à-vis du service de l’Église.

L’équipe se réunit tous les quinze jours en présence du curé. Elle prend le temps de prier ensemble, de s’écouter, de partager sur son action et d’opérer les discernements nécessaires pour prendre les décisions qui s’imposent pour le bien de TOUTE l’unité pastorale.

Elle est à l’écoute du Cup et l’interpelle.

Elle évalue les initiatives, examine les suggestions, les projets en cours, étudie leur mise en œuvre et élabore, avec le curé, les décisions que celui-ci doit prendre.

Elle encourage les fidèles à annoncer l’Évangile et à faire Église en ce lieu. Elle appelle des personnes à assumer des charges ou à prendre des responsabilités.

L’équipe pastorale est donc une façon de «travailler en équipe», avec des personnes ayant les qualités requises. Au service des communautés, elle est garante de l’unité entre elles et donne un témoignage évangélique. Elle signifie que le curé et ses proches collaborateurs sont donnés aux communautés auxquelles ils sont envoyés par l’évêque.

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Qui composent l’Équipe pastorale de notre Unité ?

Connaissons-nous les personnes qui collaborent étroitement avec le curé dans cette charge pastorale d’avenir ? Faire équipe tout en restant soi-même !

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UNITÉ PASTORALE LIÈGE NORD VOTTEM

Jacques MASCRET vient de Saint Georges, habitant Herstal. Il est pensionné après avoir travaillé à l’Onem et à l’Unicef ; il a aussi été animateur au Cefoc.

Veuf, deux enfants, il coordonne le journal «Clin d’Oeil», anime l’Atelier de foi et est écrivain public.

Christian REMY vient du Thier-à-Liège : marié, 4 enfants, il a été chercheur à l’Ulg, puis enseignant comme ingénieur industriel. Il a aussi travaillé dans les soins aux personnes. Il travaille, avec son épouse, dans l’animation des confirmands, dans la préparation des catéchumènes et la célébration des funérailles. Il fait aussi partie du groupe charismatique au Thier-à-Liège.

Marie Françoise MUREBWAYIRE (pas sur la photo) est d’origine rwandaise et habite Sainte Foy. Sa famille a été décimée lors du génocide. Elle travaille à mi-temps en garderie scolaire, participe à une chorale et est très priante.

Joseph COLLIGNON (pas sur la photo) est prêtre auxilliaire dans l’UP. Âgé et malade, il assure encore quelques services, essentiellement sur Vottem et Thier-à-Liège, où il a été longtemps curé. Il participe, quand il le peut, aux activités de l’équipe pastorale.

Dieudonné BONGO est vicaire faisant fonction dans l’UP. Prêtre originaire du Congo, il a été envoyé à Liège et habite Sainte Foy. Yvette BOHET, originaire de Vottem, est mariée et mère de deux enfants.

Elle travaille dans l’entreprise de travaux publics de son époux et à temps partiel dans une boucherie. Elle anime la catéchèse des professions de foi confirmations et participe à la conduite du groupe de Partage de la Parole.

La plupart de ces personnes sont aussi membres actifs des équipes relais dans leur communauté et du Conseil d’Unité pastorale (CUP).

Désiré van ASS, comme curé de l’UP, est chargé de la coordination et de l’animation de l’équipe. Il coordonne aussi le secrétariat centralisé au presbytère de Sainte Foy, où les paroissiens sont invités à adresser toutes leurs demandes pastorales.

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UNITÉ PASTORALE TRINITÉ-ANS

CÉLÉBRATIONS

ANNONCES

M4 J5 V6 S7

D8

L9 M10 M11 J12 V13 S14 D15

L16 M17 M18 J19 V20 S21 D22

L23 M24 M25 J26 V27 S28 D29

L30

8 h 30 Couvent : Sr M. Dumont ; 18 h Ste-Marie : fam. Jacquemin-Halleux 8 h 30 Couvent : Sr M. Hougardy ; 18 h Ste-Marie : M. Deum 8 h 30 Couvent : Sr M. Hubert ; Ste-Marie : fam. Genon-Hanneuse 17 h St-Vincent : fam. Heynen-Hocks ; fam. Malerba-Giancola ; fam.

Willemaerts-François ; N. Bœver-Simon 18 h 15 Ste-Marie : fam. Borlez-Fery ; fam. Malisoux-Rentier 8 h Couvent : Sr M. Jadot 9 h 30 St-Martin : fam. J.J. Dubois ; Jean & Nathalie, fam. Buntinx-Strauven 11 h Ste-Marie : fam. Lambora-Hupkens 8 h 30 Ste-Marie : Sr L. Litt 8 h 30 Couvent : fam. Penxten-Petitjean 18 h Ste-Marie : E. Godaux, M. Gervalle 8 h 30 Couvent : Sr G. De Keyser 8 h 30 Ste-Marie : B. Fraigneux, fam. Lurquin-Fraigneux 17 h St-Vincent : fam. Willemaerts-Vandenberg 8 h Couvent : Sr K. Hemeleers 9 h 30 St-Martin : M.T. Poumay 11 h Ste-Marie : D. Mataloni ; L. Colémonts-Lebeau 8 h 30 Ste-Marie : fam. Cappellen et Hebrant 8 h 30 Couvent : Sr C. Limme 18 h Ste Marie : fam. Joakim-Genot 8 h 30 Couvent : fam. Penxten-Petitjean 8 h 30 Ste-Marie 17 h St-Vincent : fam. Brone-Nadalin 8 h Couvent : fam. Penxten-Petitjean 9 h 30 St-Martin : paroisse 11 h Ste-Marie : fam. Deflandre-Tonon 8 h 30 Ste-Marie 8 h 30 Couvent : fam. Habrant 8 h 30 Ste-Marie : fam. Jacquemin-Halleux 8 h 30 Couvent : fam. De Wilde 8 h 30 Ste-Marie 17 h St-Vincent : L. de Royer 10 h St-Martin : en unité pastorale ; Jean &Nathalie, fam. Buntinx-Strauven ; R.Vantilborg 8 h 30 Ste-Marie

JUILLET M1 M2 J3 V4 S5 D6

L7 M8

8 h 30 Couvent : Sr S. Buffel 18 h Ste-Marie : fam. E. Collard et Z. Wuidar ; fam. A. Croiselet et J. Lelonchay 8 h 30 Couvent : fam. Abinet 8 h 30 Ste-Marie 17 h St-Vincent : fam. Malerba-Giancola ; N. Bœver-Simon ; fam. Heynen-Hocks 8 h Couvent : fam. Bodson 9 h 30 St-Martin : paroisse 11 h Ste-Marie : J. Fontaine, J. Mazy et fam ; M. Collard-Genon 8 h 30 Ste-Marie 8 h 30 Couvent : fam. Habrant

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JUIN

Une journée lumineuse :la profession de foi de 41 enfants de notre UP, le 4 mai.

HORAIRE DES MESSES EN ÉTÉ (du lundi 9 juin au dimanche 31 août) Le week-end Samedi 17 h St-Vincent Dimanche 8 h Couvent des Filles de la Charité 9 h 30 St-Martin 11 h Ste-Marie En semaine Lundi et vendredi 8 h 30 Ste-Marie Mardi et jeudi 8 h 30 Couvent Mercredi 18 h Ste-Marie (adoration dès 17 h 30) chapelet : le samedi à 16 h à St-Martin et à 17 h 30 à Ste-Marie.

• Messe patriotique dim 22 juin à 11 h à Ste-Marie (org. FNC Ans-Alleur-Loncin) et inauguration des panneaux sur la guerre de 1914.

• Dimanche 29 juin : fête de notre unité pastorale Trinité-ANS et fête de la chorale Ensemble : messe unique à 10 h à St-Martin. Après la messe, verre de l’amitié et barbecue de la chorale. Belle occasion de se rencontrer et de rendre grâces au Seigneur pour l’année écoulée ! (Sam 28 juin : messe à 17 h à St-Vincent).

• Mariages : - Barbara ARENA et Dimitri LAMOTTE : sam 7 juin à 13 h 30 à St-Martin - Sabrina COGO et Gabriel CEPE : sam 7 juin à 16 h à Ste-Marie - Aurélie MATHIEU et Marc PETTINICCHI : sam 21 juin à 11 h 30 à Ste-Marie - Santa VIAVATTENE et Antonio RANDAZZO : sam 28 juin à 12 h 30 à St-Martin - Amandine HOUZEL et Maxime PAQUAY : sam 5 juillet à 14 h 30 à Liège St-Nicolas Août 1914 : La paroisse Sainte-Marie se souvient…

Le 4 août 1914, l’empire allemand déclare la guerre à la France et envahit la Belgique. Le siège de Liège commence le 5 août. Les forts de la rive droite de la Meuse sont les premiers à tomber : Barchon, Evegnée, Embourg, Chaudfontaine.

C’est le 13 août que l’église Sainte-Marie va être touchée. En effet, les Allemands viennent d’installer dans la tour de l’église un poste d’observation pour régler leurs tirs sur le fort de Loncin. Les artilleurs de Loncin en sont avertis : ils visent le clocher de Sainte-Marie et le décapitent ; heureusement les cloches restent en place.

Dès septembre 1914, le curé Schoonbroodt, qui avait créé la paroisse et bâti l’église Sainte-Marie en 1906, entreprit la restauration de celle-ci. Nouveau drame : un jour de la fin 1914, l’abbé, qui surveillait les travaux, se trouvait au pied des échafaudages ; une brique lui tomba sur la tête, il fut tué sur le coup…

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AGENDA Mercredi 4 juin à 20 h à Hognoul : évaluation KT profession de foi de 5e année. Fixation dates des profession de foi 2015.

Jeudi 5 juin à 17 h à Alleur : adoration Samedi 7 juin à 18 h 30 à Xhendremael : Vigile de Pentecôte (pas de messe à Loncin et à Fooz). Ce WE, renouvellement des équipes-relais !

Dimanche 8 juin : Pentecôte À 9 h 45 à Othée : messe de clôture du catéchisme Lundi 9 juin à 20 h à Alleur : préparation messe des familles Mardi 10 juin à 19 h 30 à Loncin : réunion visiteurs de malades des 8 paroisses Mercredi 11 juin à 20 h à Loncin : présentation du pèlerinage à Lourdes Samedi 14 et dimanche 15 : renouvellement des équipes-relais Dimanche 15 juin à 10 h 30 : messe des familles à Alleur Mercredi 18 à 20 h à Alleur : partage de la Parole de Dieu Jeudi 19 juin à 19 h 30 : 750e anniversaire de l’insitution de la fête-Dieu : messe solennelle à St Martin à Liège puis procession vers la cathédrale Vendredi 20 juin à partir de 18 h 30 à St-Louis Waremme : KT fête pour les catéchistes Samedi 21 juin dès 17 h 30 : Barbecue de de l’école St Vincent au centre paroissial d’Alleur Dimanche 22 juin à 14 h : fête de l’école St Georges de Xhendremael Dimanche 22 juin : fêtes paroissiales à 10 h 30 à Loncin et à 11 h à Hognoul Lundi 23 juin à 18 h au séminaire : 10e anniversaire de RCF, la radio du diocèse (93.8 FM) à 20 h à Loncin : réunion trésoriers des caisses paroissiales, d’unités, du KT Vendredi 27 juin à 17 h : réunion éditoriale du «Quoi de 9 ?» et «Dis-moi» à 20 h à la chapelle d’Alleur : préparation baptêmes de juillet Samedi 28 juin à 15 h : réunion fin d’année des jeunes du doyenné Du 29 juin au 2 juillet : pèlerinage JALEM à Paris Dimanche 6 juillet à 9 h 45 à Villers : messe et procession avec vente de la chandelle Lundi 7 à 20 h à Fooz : fabrique d’église Mercredi 9 à 15 h 30 : messe au château d’Awans

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Du changement dans la catéchèse des sacrements de l’initiation ?

Il y a quelques mois, les évêques de Belgique ont publié une brochure sur «Les sacrements de l’initiation chrétienne pour les enfants et les jeunes aujourd’hui. Orientations pour un renouveau missionnaire.» Les évêques y font le point sur les changements de contexte qui influencent la transmission de la foi et la catéchèse aujourd’hui. Ils font le constat que beaucoup de parents qui demandent le baptême pour leur enfant ou qui inscrivent leur enfant pour la première communion demandent un rite, une célébration. Bien peu manifestent l’envie que leurs enfants et eux-mêmes s’insèrent dans une relation de foi vivante avec le Seigneur, engagés dans une communauté chrétienne.

Cela pose question puisque, par définition, les sacrements d’initiation ont pour but d’initier à la vie d’alliance avec Dieu dans une relation fraternelle avec une communauté de foi dans laquelle on s’insère progressivement. Les évêques terminent chaque chapitre par un questionnaire et demandent qu’on leur adresse nos réponses pour le premier septembre 2014. C’est dans cet esprit que toutes les équipes pastorales du doyenné d’Ans, des équipes-relais et des catéchistes se sont attelés à la tâche. Nous rendrons un rapport du doyenné que nous vous communiquerons. Merci de porter ce travail dans la prière et de vous préparer à des changements… !

I F. de Saint Moulin

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UNITÉ PASTORALE ALLEUR LONCIN - XHENDREMAEL

Des baptêmes inoubliables !

Pâques 2014 a été marqué dans nos 8 paroisses par la joie de la résurrection du Christ et par les baptêmes de 7 enfants de 5 à 10 ans.

Pourtant, ces enfants ont commencé le cheminement sans réaliser ce qu’ils allaient vivre ! Ils avaient envie de recevoir la première communion, mais je ne suis pas sûre qu’ils savaient qu’ils n’étaient pas baptisés. Du coup, l’équipe baptême s’est mise en contact avec les parents et nous avons démarré la catéchèse préparatoire au baptême.

Quelles belles liturgies avec des gestes concrets, parlants ! Quand les enfants ont frappé à la porte de l’église pour demander leur baptême, ce fut le premier moment fort. Chaque étape et ses gestes ont laissé des marques (la signation, l’exorcisme). C’est lors de la Vigile pascale après avoir baptisé Minh Tri en le plongeant dans les fonts baptismaux qui avaient la forme d’un tombeau que l’assemblée a réalisé ce mystère que nous avons tous vécu sans comprendre réellement qu’être baptisé c’est être plongé dans la mort avec le Christ et ressusciter avec Lui !

Le baptême par immersion est sans doute une modalité moins facile à mettre en œuvre, mais qui a le grand mérite de faire comprendre ce qui s’y vit. Merci aux familles et aux enfants de l’avoir demandé ! Ils nous ont vraiment aidé à vivre Pâques autrement !

I M-L N.

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UNITÉ PASTORALE D’AWANS

L’histoire de Hognoul se perd dans la nuit des temps. Seul vestige connu des temps reculés, la pierre condruzienne qui serait un élément de dolmen et qui repose maintenant dans le cercle sacré des six tilleuls de la place du Tige.

Ce n’est que fin du XIVe siècle qu’on trouve trace d’une première chapelle, filiale de l’église de Villers-l’Évêque, qui avait été construite en raison du trop grand éloignement de cette dernière. Toutes deux dépendaient des chanoines de Saint Materne à Liège.

Les registres de baptêmes et de décès datent sa vocation paroissiale de 1680.

Du bâtiment, on sait peu de choses, si ce n’est que son entretien a toujours été difficile pour une population réduite et plutôt pauvre, peu aidée par les chanoines qui se faisaient volontiers tirer l’oreille pour faire honneur à leurs obligations d’entretien.

Le bâtiment tint péniblement jusqu’à la fin du XIXe siècle, quand fut construite l’église actuelle (vers 1898, consacrée en 1912) sur un terrain donné par un privé à la commune. À ce moment d’ailleurs, l’église changea d’orientation : initialement orientée vers la place du Tige, elle fait face à présent à la rue Louis Germeaux.

Saint Pierre, saint patron du lieu depuis les origines, a sa statue en bonne place dans le chœur. Le second patron est Saint Eloi, dont la fête, en décembre, donnait lieu à une bénédiction très suivie à l’époque où le cheval était encore un compagnon de travail indispensable et où la notion de vapeur qui lui était attachée n’était que celle qu’il dégageait dans la fraîcheur lorsqu’il avait trop travaillé.

Bien que dans son style de construction, cette église ne se démarque guère du style en vigueur à cette époque, son agencement intérieur par contre est remarquable : tout le mobilier (autels et confessionnaux) est intégré dans un lambris de chêne qui court tout le long des murs, formant une unité de style harmonieuse qui lui confère un charme certain, encore accentué par la qualité et l’unité des vitraux qui datent tous aussi de l’époque de la construction. L’autel face au public, lui, reprend depuis 1965 les éléments de l’ancien banc de communion.

Hognoul compte aussi trois chapelles : • la chapelle ND de Banneux, dans le mur d’enceinte de l’ancien presbytère, rue de la Libération ; • la chapelle Dorjo (sur la Chaussée, face à l’ancien Ikea) ; • et la chapelle du Tombeu.

Sur le plan de l’animation, après une vaine

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Hognoul, un petit bout d’histoire…

Vue intérieure de l’église St Pierre de Hognoul.

tentative de ressusciter la procession lors de la fête patronale (fin juin), une messe festive se déroule une année sur deux dans un jardin privé face à l’église suivie d’un concert gospel et d’un dîner convivial, manifestation à laquelle tous les habitants du lieu sont invités quelles que soient leurs opinions philosophiques.

Les soupers de l’école maternelle Saint Joseph rassemblent également les villageois.

Cette école est la forme actuelle de l’école fondamentale du village qui était tenue par des religieuses depuis le début du XXe siècle ; elle fait maintenant partie, comme celle de Villers, du groupe scolaire d’Awans.

Revenons aux paroisses : leur origine et leur dépendance administrative et judiciaire ont lié de tous temps les sorts de Fooz et Hognoul. Les deux paroisses furent déjà réunies en 1802 pour se scinder à nouveau 40 ans plus tard.

La seconde fusion intervint au début des

années soixante-dix, avec la nomination de l’abbé Lhœst comme curé de Fooz et administrateur de Hognoul. Les deux paroisses entamèrent alors une collaboration que poursuivirent les successeurs, l’abbé Rinen et l’abbé Colleye. L’arrivée de l’abbé Dino coïncida avec la création d’une unité pastorale à laquelle la paroisse d’Awans fut intégrée, bientôt rejointe par celles de Villers-l’évêque et d’Othée.

En 2003, nouveau changement avec l’arrivée de l’abbé Leroy qui réunit sous l’égide d’un même curé les unités pastorales d’Awans-Fooz-Hognoul-Villers-Othée et d’Alleur-Loncin-Xhendremael dont les destinées sont confiées à l’équipe pastorale animée par l’abbé Fabrice de saint-Moulin depuis quelques deux ans.

De duo en trio, puis quintette et octuor, en arriverons-nous à un orchestre symphonique ? Mystère, mais il est utile que, dans ce contexte, le chef connaisse la musique.

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DIOCÈSE DE LIÈGE Retrouvez l’agenda du diocèse sur http://liege.diocese.be et l’information en continu sur www.InfoCatho.be

Cité ardente : une foi qui s’invite jusque dans les kots Née à Lyon en 1973, la Communauté du Chemin Neuf est une communauté catholique à vocation œcuménique.

Présente dans une trentaine de pays, elle est installée en Belgique depuis 1992. Active auprès des jeunes, elle anime deux kots chrétiens au cœur de Liège. Le «Kot for God» dont dépend aussi le «Carmelkot» (Carmel de Mehagne) sont des lieux très conviviaux qui privilégient les études et offrent aux étudiants qui le souhaitent une occasion particulière de partager leur foi. Atypiques, ces kots proposent une formation chrétienne tout au long de l’année scolaire.

Une soirée de rencontre est organisée par les kots tous les quinze jours sur un thème choisi par les «kokoteurs». Au cours de l’année, trois week-ends jeunes sont proposés durant lesquels sont programmés des rencontres, prières, louanges et temps de détente. Au Carmelkot d’Embourg, les locataires ont la possibilité d’accéder au jardin et de partager la vie de prière de la communauté.

Etudiant et ami du Christ A deux pas de la gare des Guillemins, le kot Saint-Damien propose aux étudiants une vie estudiantine dans la spiritualité de la communauté de Tibériade. Le Christ est au cœur des préoccupations des colocataires qui reçoivent un support spirituel par la prière. Dans les pas des frères et sœurs de Tibériade, le kot Saint-Damien propose un apprentissage de vie en communion tout en promouvant la réussite des études dans une vie de prière et de charité fraternelle.

Photos : Kot Logos

Vivre un témoignage de foi quotidien tout en réussissant ses études et jouir de l’ambiance estudiantine, tout est possible dans la Cité ardente. À travers les différents kots chrétiens qu’elle héberge, la ville de Liège redonne à la foi un souffle de jeunesse.

Vivre un témoignage de foi quotidien tout en réussissant ses études.

Un «vivre ensemble» unique Le kot à projet Logos a la particularité d’être co-organisé par les jésuites et les dominicains de Liège. Les étudiants intéressés par le projet doivent se montrer investis dans leurs études et s’engager dans une vie communautaire. Chaque année, la nouvelle équipe de kokoteurs imagine un nouveau «vivre ensemble» qui établit notamment la gestion des lieux, qui concerne la préparation de certains repas et qui suscite un esprit commun. Tous les quinze jours, un dominicain et/ou un jésuite se joint au groupe pour partager un souper convivial suivi d’un temps de prière. Le kot Logos n’accepte pas les étudiants de première année.

Le Séminaire épiscopal de Liège offre également aux étudiants masculins l’opportunité de koter dans un espace chrétien. Une vie spirituelle commune n’est toutefois pas proposée. Les étudiants peuvent bénéficier d’une chambre spacieuse et lumineuse et ont le choix entre la formule demi-pension ou pension complète. Ils peuvent également

profiter de certaines facilités de la maison : cuisine communautaire, salle TV, utilisation gratuite du centre sportif du séminaire, bibliothèque et médiathèque, etc.

I Sophie Timmermans Kot for God : rue de l’Université, 28 à 4000 Liège (à 150 mètres de la place du 20 août, ULg), et Carmelkot : carmel de Mehagne - chemin du Carmel, 27 - 4053 Embourg (Muriel d’Hoffschmidt, foyermehagne@chemin-neuf.be 04 365 10 81 et 0472 27 35 96) Kot Saint-Damien : rue de Serbie à 4000 Liège (infos : sœur Bénédicte - Fraternité de Tibériade - B-5580 Lavaux-Sainte-Anne - Fax : 084 38 71 91, tiberiade@skynet.be) Kot Logos : rue Trappé 12 à 4000 Liège (père Paul Malvaux, sj : paul.malvaux@swing.be et Didier Croonenberghs, op : d.croonenberghs@ dominicains.be, http://www.opsj.be/index.php/ kot-logos) Séminaire épiscopal de Liège (Mme Laura Cipriani - rue des Prémontrés 40 - 4000 Liège 04 223 73 93).

Médias Catholiques Belges Francophones (mcbf.be) – CCMC asbl – Chaussée de Bruxelles, 67/2 à 1300 Wavre – tel : +32 (0) 10/235 900 – info@mcbf.be Administrateur délégué : Luc Tielemans, diacre – Directeur adjoint : Cyril Becquart - Directeur de la rédaction : Jean-Jacques Durré – Responsable de l’information : Thierry Graulich – Secrétaire de rédaction : Matthieu Hargot – Accompagnement des paroisses : Anne-Françoise de Beaudrap et Thierry Graulich Les contenus rédactionnels et les images fournis par les paroisses et les Unités Pastorales sont publiés sous leur entière responsabilité.

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