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N°13 Novembre 2 0 1 4 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION
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Que sont les serviteurs de Dieu, sinon comme ses jongleurs qui doivent élever les cœurs des hommes à la joie spirituelle ? François d’Assise
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Tous les saints : des exemples qui donnent du sens !
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Les saints de l’église Saint-André du Bizet
Jean-Claude Walle
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Sauvons la chapelle Dumont à Comines
Les saintes patronnes des rubaniers
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Jacques Delva
Olivier Clinckemaillie
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CA R N ET D E FA M I LLES
Partageons les moments de peine et de joie survenus dans nos familles durant le mois de septembre
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Édito du doyen : la fête de «Tous les Saints»
B A PT ÊM ES
Esteban Deventer, fils de Gilles et de Emilie Peron Aron et Noha Caspar, enfants de Steve et de Justine Efesotti Enzo Marques, fils de Aymeric et de Molly Turpain Lenny Carton, fille de Alban et de Fanny Demarcq Dona Maillard, fille de Philippe et de Elise Mariacourt Kenzo Sonelart, fils de Gunther et de Océane Ponteville Thoma Bardyn, fils de Olivier et de Séverine Charles Gaspard Crœs, fils de Olivier et d’Amandine Coulie. M A R I A G ES
Nicolas Collie et Elodie Gruson à Ten-Brielen ; Coretin Domken et Alice De Geest de Ten-Brielen, Emilio Casabona et Audrey Windels à Comines. D ÉC ÈS
Jean Parez de Warneton, le 2 septembre à l’âge de 84 ans ; Sabine Vannin de Plœgsteert, le 7 septembre à l’âge de 53 ans ; Renée Saelens du Bizet, le 9 septembre à l’âge de 72 ans ; Henriette Mille de Comines, le 11 septembre à l’âge de 88 ans ; Simonne Delcroix d’Houthem, le 12 septembre à l’âge de 87 ans ; Bertrand Hallez de Plœgsteert, le 15 septembre, à l’âge de 57 ans ; Serge Litière de Warneton, le 15 septembre à l’âge de 66 ans ; Willy Notebaert de Bas-Warneton, le 22 septembre à l’âge de 72 ans ; Thérèse Pannecouque d’Houthem, le 27 septembre à l’âge de 84 ans.
Chers frères et sœurs, Parler de cette fête, nous ramène à nous interroger : En quoi consiste la sainteté ? Saint Jean déclare que la sainteté consiste dans la participation à la sainteté même de Dieu, pour devenir comme le Christ et par Lui, ses fils. Notre nature ainsi transformée, nous permettra de connaître Dieu non plus à travers les signes des créatures mais directement dans sa réalité : « Un jour lorsque le Fils de Dieu paraîtra, nous serons semblables à Lui parce que nous le verrons tel qu’ Il est». La loi de sainteté est exprimée dans les Béatitudes qui représentent un total renversement de l’ordre mondain des valeurs. La vocation universelle de l’homme est de tendre à la sainteté : « Tous les fidèles du Christ sont invités et obligés à poursuivre la sainteté et la perfection de leur état». Telle est l’invitation du Christ : « Soyez saints parce que Je suis Saint». Les saints, qui sont- ils ? Dans l’église primitive, on appelait saints ; tous ceux qui étaient baptisés c’est-à-dire ceux qui croyaient en Jésus-Christ. « Tout homme qui fonde sur Lui une telle espérance se rend pur comme Lui-même est pur». Les saints sont aussi ceux « Canonisés» par l’Église, après avoir examiné attentivement le mystère de leur vie et avoir constaté qu’elles avaient rendu leur vie conforme au « code de vie» proclamé par le Christ dans les béatitudes. Enfin, il y a les saints « Anonymes». Ce sont tous ceux qui, amoureusement soumis à la volonté de Dieu durant toute leur vie ; ont mérité d’être introduits en la présence du Seigneur, pour toujours. Notons que ces derniers sont beaucoup plus nombreux comparativement à ceux connus officiellement c’est-à-dire canonisés. Pourquoi les fêtons-nous ? Parce qu’ils sont les vrais victorieux. Ils ont remporté la victoire plus difficile : sur eux-mêmes et sur les passions qui s’agitent sur l’homme, sur le monde et sur Satan qui tendent toujours vers le mal. Ils ont combattu pour rendre leur vie conforme à l’Évangile. Voilà la raison pour laquelle, ils méritent les honneurs du triomphe éternel. Chers frères et sœurs, nous ne devons pas douter car le Christ n’exclut personne du salut qu’il porte. Toutefois, le Christ ne l’impose pas mais le propose : « viens et suis-moi». Chacun est libre d’accepter ou de refuser. Je vous invite donc à suivre le Christ avec courage, avec foi en sa parole. Ainsi, un jour ; le ciel s’ouvrira pour nous comme pour les élus «saints» de Dieu. Telle est notre Espérance. I doyen Joseph Nyembo
Dimanche 2 novembre : Commémoration de tous les fidèles défunts de 10h05 à 11h sur «La Première» et «RTBF International» depuis la collégiale Saint-Feuillen à Fosses-laVille (Diocèse de Namur) Commentaires: Myriam Tonus Podcasts sur RTBF “La Première”
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Les saints de nos églises : l’église Saint-André du Bizet La jeune paroisse du Bizet contient dans son sanctuaire un statuaire qui ressemble étrangement à celui de la paroisse Saints Pierre-et-Paul de Plœgsteert
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Placées sur des socles en pierre à même hauteur sur le pourtour intérieur de l’église, cinq statues de plâtre dominent le parterre réservé aux fidèles. On y retrouve Rita de Cascia, Thérèse de Lisieux, la vierge Marie que côtoient le petit Jésus de Prague aux parures très décorées et l’incontournable Sacré-Cœur. Les statues ont été rafraichies récemment par les soins de l’abbé Cardinael. Moins courant parmi le florilège saints, on trouve saint Roch accompagné de son fidèle compagnon. Celui-ci montre une blessure (un bubon) au niveau de la cuisse droite. Sa vénération ne semble pas être l’apanage des foules, aucun signe ni aucune bougie et… le tronc n’est guère alimenté. Sachez que saint Roch partit en pèlerinage à Rome et, médecin, il s’arrêta en cours de route pour soigner les malades atteints de la peste bubonique qu’il contracta d’ailleurs. Isolé du monde, c’est un chien qui tous les jours lui apportait un pain dérobé à la table de son maître. Il est le patron des pèlerins et des chirurgiens. Au niveau du sol, non loin de l’autel de saint-André, une représentation de saint-Joseph, seul, debout, mis à l’honneur dans un décorum de fleurs et de bougies. Les autels latéraux sont dédiés l’un à la vierge Marie dans son costume immaculé orné d’une ceinture bleue et l’autre à saint-André, patron de la paroisse et aussi de l’église roumaine. La statue de ce dernier nous montre un personnage affublé de la croix de son martyre, croix en forme de X, à quatre branches égales appelée aussi croix décussée (crux decussata). Ce qui retient l’attention, c’est la vénération toute particulière des paroissiens envers Notre-Dame du perpétuel secours, représentée, non par une statue, mais par une icône placée dans un cadre au milieu d’une draperie. Cet hommage remonterait au temps des missions paroissiales des pères redemptoristes dans les années cinquante. De nombreuses bougies allumées témoignent de la ferveur des fidèles envers la vierge Marie sous cet aspect. Au fond de l’église, le souvenir des défunts de l’année entoure le Christ en croix.
saint André.
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Jean-Claude Walle
saint Roch.
saint Joseph.
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Pourquoi le Vatican est à Rome ?
Emotion dans la rue des Moulins à Comines qui vient d’apprendre que d’importants travaux y seront réalisés.
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En 1930, la famille Dumont fait construire une chapelle, rue des Moulins, en face de sa propriété (devenue aujourd’hui un home pour personnes âgées) suite à un vœu exaucé, ici en l’occurence une guérison. Cet édicule est dédié à sainte Thérèse de Lisieux. Son mobilier se compose d’un autel en bois peint qui imite le marbre. Sur celui-ci se dresse une statue élancée de la sainte tenant dans ses mains jointes un crucifix et des roses. Quelques bibelots l’entourent. Le style de la chapelle est original, anguleux, façade en gradins et briques de couleur ocre. Les murs intérieurs sont en briques nues. La chapelle servait naguère de reposoir aux processions du 15 août. Depuis, peu mise en valeur et non entretenue, elle resta à l’état d’abandon jusqu’il y a peu lorsque madame Bernadette Darry, la nouvelle tenancière du café ’Au rivage’, situé non loin du site, se décide de remettre l’intérieur de la chapelle à neuf. Comme pour y accéder, il fallait une clef et qu’elle ne savait pas à qui s’adresser, la situation devint compliquée. La chance ou la Providence étant avec elle, madame Darry trouva, en rénovant l’intérieur de son habitation, un trousseau de clefs et il se fait que l’une d’elles ouvrait la porte de la chapelle. Grâce à cette dame, la chapelle est désormais restaurée. Mais depuis qu’elle a appris que, dans le plan d’aménagement de la zone portuaire qui empiétera sur la rue, la chapelle se trouvait juste à l’endroit où un rond-point sera placé, ce qui voudrait dire que celle-ci devrait disparaître, madame Darry se bat pour la conserver même s’il faut la déplacer quelque peu. Aussi fait-elle circuler une pétition pour alerter les autorités de cette situation. On peut la contacter par téléphone au numéro 056 34 17 90.
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Edouard Debelder
Tu as sûrement entendu ces quelques mots de l’Évangile : «Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église». Par ces paroles, Jésus désignait le premier de ses disciples pour continuer son boulot : partager sa mission après sa disparition. Afin propager cette nouvelle religion, Pierre s’installait donc vers 43 à Rome, la capitale de l’Empire. Rapidement, les évêques de Rome, tels Clément, Sylvestre et Eusèbe, ont eu une rôle important dans l’Église qui n’était pas toujours la bienvenue et encore soumise aux persécutions… Au début du IVe siècle, l’empereur Constantin accorde aux chrétiens la liberté de culte, mais il s’occupe lui-même de l’Église et, pour lui donner un rôle officiel, il convoque le concile de Nicée (325). Constantin édifie la première basilique Saint-Pierre. La papauté naît véritablement avec l’empereur Gratien (359-383.) Le nom de pape, porté au début par tous les évêques, sera progressivement réservé au seul successeur de Pierre. Les papes n’habitent pas le Vatican. Cependant, dès la fin du Ve siècle, ils y eurent une petite résidence, bâtie par le pape Symmaque, et où, parmi les personnages connus, séjourna Charlemagne lors de son couronnement. Ce ne fut qu’après leur retour d’Avignon (France) que les papes vont habiter le Vatican d’une manière définitive. Mais c’est seulement en 1929, après les accords de Latran, que les palais, les jardins, les musées et les bâtiments qui entourent la place et basilique Saint-Pierre, en particulier formèrent un État souverain, la Cité du Vatican, à laquelle sont rattachés aussi vingt-trois autres édifices éparpillés dans Rome ou à l’extérieur. Par sa très faible superficie, le Vatican est le plus petit pays du monde, mais au niveau international, il se fait représenter par le Saint-Siège.
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La chapelle Dumont vouée à la destruction ?
Maxime de Comines a posé cette question à Édouard Debelder, rédacteur à «Lys et moi»
Jardin du Vatican.
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la chapelle Dumont.
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Le CNCD-11.11.11 réunit aujourd’hui plus de 80 ONG et un vaste réseau de volontaires engagés dans la solidarité international en Wallonie et à Bruxelles. Le CNCD 11.11.11 mènent trois missions : la sensibilisation de la population, l’interpellation des instances politiques et le financement de 50 projets dans le sud de la planète. Un nouveau modèle agricole et alimentaire mondial est une nécessité pour tous les citoyens du monde. Pour nourrir la planète, nous devons soutenir les producteurs du Sud. Grâce à la récolte de fonds de début novembre, le CNCD11.11.11 soutient des projets de développement. Faites bon accueil aux vendeurs qui seront notamment présents à l’entrée des eucharisties des 2es et 3es week-ends de novembre pour vous proposer : cacao, thé, cartes de Kroll, jeux de cartes, cartes postales, calendriers, livres de cuisine…Pour obtenir des produits ou pour devenir vendeur : 056 55 73 78 ou e.debelder@skynet.be M E S S E S D ES FA M I LLES
Les enfants qui se préparent à la profession de foi, sont invités, chaque mois, avec leurs parents à une eucharistie spécialement préparée pour eux. Voici les dates : dimanche 12 octobre à 9 h 30 à Plœgsteert et à 11 h à Bas-Warneton, dimanche 16 novembre à 9 h 30 à Warneton et à 10 h 30 à Comines, samedi 13 décembre à 17 h 30 à Houthem et à 17 h 30 au Bizet, dimanche 11 janvier à 9 h 15 à Ten Brielen et à 9 h 30 à Plœgsteert, samedi 7 février à 17 h 30 au Bizet et dimanche 8 février à 10 h 30 à Comines, samedi 7 mars à 17 h 30 à Houthem et dimanche 15 mars à 9 h 30 à Warneton,
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Deux patronnes pour le textile cominois Olivier Clynckemaillie, conservateur du musée de la rubanerie, nous situe sainte Catherine d’Alexandrie et sainte Anne.
Edouard Debelder
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sainte Catherine. Si les Cominois ont en eux le goût de la fête, cela ne date pas d’aujourd’hui ! En effet, la profession historique de la localité, le tissage, a apporté depuis le Moyen Âge deux rendez-vous incontournables, la «ducasse à pierrot» et la «fête des Marmousets» (autrefois «ducasse Sainte-Anne»), mêlant piété et folklore autour de deux saintes patronnes. Catherine d’Alexandrie (née vers 290), reconnaissable à ses attributs (la roue garnie de pointes acérées, l’épée et un personnage couronné évoquant son martyre, ainsi que la plume symbolisant la pureté de son âme), parvint à convertir 50 païens au terme d’un défi philosophique lancé par l’empereur Maximien. Ce dernier exécute les convertis et propose le mariage à Catherine qui refuse. Maximien la fait alors décapiter. Une autre légende évoque l’appel profond du Christ ressenti par Catherine, engagement souvent assimilé à un mariage. Si les rubaniers vénèrent Catherine d’Alexandrie, ils n’en oublient pas pour autant la patronne historique des drapiers durant le Moyen Âge. En effet, Sainte Anne, même si elle n’apparaît pas dans la Bible mais dans les évangiles apocryphes (le protévangile de Jacques et le pseudo Matthieu, écrits entre le second et le sixième siècle de notre ère), est la mère de la vierge Marie. Patronne des drapiers, elle veille également sur les blanchisseuses, les chapeliers, les couturières et les dentellières. Sa fête officielle fut décrétée par le pape Sixte IV en 1481 et fixée au 26 juillet par Grégoire XIII en 1584. Son nom a été donné à la Grand’Place de Comines, rappelant en cela l’apparition d’une première industrie textile vers la fin du douzième siècle. Les gens du textile cominois honoraient donc deux patronnes et leur corporation possédait la particularité de célébrer deux fêtes votives durant l’année. À côté du «pierrot» de la Sainte Catherine, le souvenir de la «ducasse Sainte Anne» se perpétue aujourd’hui encore à travers la «fête des Marmousets», le troisième week-end du mois de juillet.
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DOYENNÉ DE COMINES-WARNETON HORAIRE DES MESSES PA R OI S S E S AI N T-C H RYSO LE, C OM I N ES
Samedi 1er novembre, 10 h 30 : messe pour la communauté paroissiale ; messe pour les époux Roger et marguerite Gryson ; messe pour les époux Valère Clarebout-Pauwelyn et famille. Dimanche 2 novembre, 10 h 30 : messe pour la communauté paroissiale ; messe pour les prêtres décédés de la paroisse. Lundi 3 novembre, 18 h 30 : Béthanie, messe ; 19 h : prière des mères. Mardi 4 novembre, 8 h 30 : chapelle, messe. Jeudi 6 novembre, 8 h 30 : chapelle, messe. Dimanche 9 novembre, 10 h 30 : messe pour la communauté paroissiale ; messe pour les défunts des familles Moneclaey-Roobaert. Lundi 10 novembre, 18 h 30 : Béthanie, messe ; 19 h : prière des mères. Mardi 11 novembre, 10 h 30 : messe à la mémoire des défunts et victimes des deux guerres. Jeudi 13 novembre, 8 h 30 : chapelle, messe. Samedi 15 novembre, 17 h 30 : chapelle, messe de sainte-Cécile de la chorale, suivie du verre de l’amitié ; messe en l’honneur de sainte Rita. Dimanche 16 novembre, 10 h 30 : messe pour la communauté paroissiale ; messe pour des défunts (C.A.). Lundi 17 novembre, 18 h 30 : Béthanie, messe ; 19 h : prière des mères. Mardi 18 novembre, 8 h 30 : chapelle, messe. Jeudi 20 novembre, 8 h 30 : chapelle, messe. Dimanche 23 novembre, 10 h 30 : messe pour la communauté paroissiale ; messe pour des défunts (F.H.). Lundi 24 novembre, 18 h 30 : Béthanie, messe ; 19 h : prière des mères.
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Mardi 25 novembre, 8 h 30 : chapelle, messe. Jeudi 27 novembre, 8 h 30 : chapelle, messe. Samedi 29 novembre, 17 h 30 : messe en l’honneur de Notre-Dame de grâce. Dimanche 30 novembre, 10 h 30 : messe pour la communauté paroissiale ; messe pour une défunte (M.L.). PA R O ISSE SA IN TS PIER R E-ET-PAU L, PLŒ G STEER T
Dimanche 2 novembre, 9 h 30 : commémoration de tous les fidèles défunts avec la participation de la chorale Altiora. Messe souvenir pour les membres défunts des familles Barroo-Lecourt-Mathys, pour Christiane debailleul, Joseph Debailleul et Rosette Spillebeen et pour Ginette Sieuw. Mardi 4 novembre, 18 h : messe basse pour des défunts. Jeudi 6 novembre, de 17 h à 18 h : adoration suivie de la messe. Dimanche 9 novembre, 9 h 30 : messe chantée pour la communauté paroissiale et pour des défunts. Mardi 11 novembre, 18 h : messe basse pour des défunts. Mardi 18 novembre, 18 h : messe basse pour des défunts. Dimanche 23 novembre, 9 h 30 : messe chantée pour la communauté paroissiale et pour des défunts. Mardi 25 novembre, 18 h : messe basse pour Christian Ochin. PA R O ISSE SA IN TS PIER R E-ET-PAU L, WA R N ETO N
Mercredi 5 novembre, 18 h : messe pour les paroissiens. Mercredi 12 novembre, 18 h : messe pour les paroissiens. Dimanche 16 novembre, 9 h 30 : messe de sainte-Cécile de la chorale ’Chœur de Lys’. Mercredi 19 novembre, 18 h : messe pour les paroissiens. Mercredi 26 novembre, 18 h : messe pour les paroissiens. Dimanche 30 novembre, 9 h 30 : messe pour les paroissiens.
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Samedi 1er novembre, Toussaint. 17 h 30 : messe pour la famille Vancoillie-Ducourant. Une image souvenir avec les noms des défunts depuis la Toussaint 2013 sera distribuée. Les familles des défunts recevront la petite croix. Lundi 3 novembre, 18 h : messe de remerciement à sainte Rita. Mercredi 5 novembre, 18 h : messe pour des défunts. Vendredi 7 novembre, 18 h : messe pour les membres vivats et défunts de la famille Desoutter-Carpentier. Samedi 8 novembre, 17 h 30 : messe pour sœur Marie-Louise et sœur Etienne-Marie. Lundi 10 novembre, 18 h : messe pour une famille. Mercredi 12 novembre, 18 h : messe pour Paul Chantry. Vendredi 14 novembre, 18 h : messe pour des défunts. Samedi 15 novembre, 17 h 30 : messe pour André Tancrez et Suzanne Dupon son épouse ; messe pour Michel Haezebrouck époux d’Antoinette Gryson ; messe pour Chantal Waxin et sa famille. Lundi 17 novembre, 18 h : messe de remerciement à sainte Rita. Mercredi 19 novembre, 18 h : messe à saint Antoine. Vendredi 21 novembre, 18 h : messe pour la famille Decherf-Jonville. Samedi 22 novembre, 17 h 30 : messe pour Guy Deswarte et sa famille. Lundi 24 novembre, 18 h : messe de remerciement à sainte Rita. Mercredi 26 novembre, 18 h : messe à saint Antoine. Vendredi 28 novembre, 18 h : messe pour Paul Chantry. Samedi 29 novembre, 17 h 30 : messe pour Michel Debailleul époux de Bernadette Potié.
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HORAIRES DES MESSES (SUITE) PAROI S S E NOT R E-D A M E DE L’ AS S OM P T I ON, HO U T HEM
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Origine des pains de la saint Hubert
Vendredi 7 novembre, 18 h 30 : messe. Samedi 8 novembre, 17 h 30 : messe de sainte-Cécile de la chorale ’Les Séraphins’; messe pour Marcel Guiot, Maurits Rosseel, Guy Clauw et les défunts de la famille. Vendredi 14 novembre, 18 h 30 : messe. Vendredi 21 novembre, 18 h 30 : messe. Samedi 22 novembre, 17 h 30 : messe dominicale. Vendredi 28 novembre, 18 h 30 : messe. PARO I S S E S A I N T-ELO I , T EN -B R IELEN Jean-Michel Van Elslande
Dimanche 2 novembre, 9 h 15 : messe pour la famille Descamps-Roussel. Dimanche 9 novembre, 9 h 15 : messe. Dimanche 23 novembre, 9 h 15 : messe. PARO I S S E S A I N T-M A R T I N, B A S -WA R N ETO N Dimanche 2 novembre : 11 h : messe pour les paroissiens défunts et leur famille ; messe pour les époux Gérard Verquin-marguerite Quartier et leur fils André. Mercredi 5 novembre, 8 h 30 : messe pour la famille Gobeyn-Barroo. Dimanche 9 novembre, 11 h : messe pour les paroissiens. Mercredi 12 novembre, 8 h 30 : messe pour Nadine Gobeyn. Mercredi 19 novembre, 8 h 30 : messe. Dimanche 23 novembre, 11 h : messe pour la famille R.D. Mercredi 26 novembre, 8 h 30 : messe
COMMÉMORATIONS DU 11 NOVEMBRE Après le dépôt des gerbes aux monuments aux morts de Plœgsteert à 8 h 30 et de Warneton (à 9 h 30), la messe à la mémoire des défunts des deux guerres aura lieu à 10 h 30 en l’église Saint-Chrysole de Comines suivie d’un temps de recueillement au monument aux morts
ÉQUIPES POPULAIRES POUR AMNESTY INTERNATIONAL Le vendredi 28 novembre à 19 h 30 à la salle du Cercle (rue de Wervicq) à Comines, les équipes populaires nous proposent une soirée sur les droits de l’homme. Faisant suite à une présentation de nombreux cas dans le monde, il y aura une rédaction de lettre aux prisonniers d’opinions torturés injustement, en lien avec Amnesty International, Bienvenue à tous et toutes. Info : 056/55 97 26.
LE DOYENNÉ SUR LE NET Pour parcourir les dernières infos du doyenné, pour lire les articles récents, pour écouter les dernières interviews, pour voir de nouveaux reportages photographiques, allez sur le site http://site.catho.be/doyennecomines.
Bénédiction des animaux en 2013
Le culte de saint-Hubert est très répandu dans nos campagnes et remonte au Moyen Age. On sait par tradition, qu’Hubert se fit remarquer par sa sainteté qui se manifesta par de nombreux miracles déjà de son vivant. Après sa mort, les miracles se poursuivirent et les guérisons étaient surtout efficaces si on pouvait toucher son étole employée contre les morsures d’animaux pouvant communiquer la rage, maladie à l’époque mortelle. Pour cela un infime morceau de l’étole était appliqué sur une incision faite sur le front du malade qui devait le maintenir durant neuf jours, le temps d’une neuvaine, durant laquelle on lui donnait quotidiennement avant toute autre nourriture un morceau de pain. De là ’le pain de saint-Hubert’. Plus tard, ce morceau de pain fut béni, ce qu’on appelle un sacramental (comme l’eau bénite). C’est un signe sacré, un rite bien défini dont les effets spirituels sont obtenus par les prières de l’Église. Aujourd’hui, le 3 novembre, la tradition se continue quoi que les risques de rage soient minimes. Pour cela, il faut se rendre dans une boulangerie et commander à l’avance le ou les pains de saint-Hubert que l’on désire, le prêtre vient ainsi bénir, le matin du 3, les commandes qui pourront être mangées avant de prendre une quelconque nourriture. La paroisse saints Pierre-et-Paul de Plœgsteert fête le dimanche 9 novembre la saint-Hubert. À 15 h, à l’entrée de l’église, l’abbé Cardinael bénira tous les animaux domestiques qu’on lui présentera. Cette bénédiction sera suivie d’une distribution de pains bénits à tous les personnes présentes. À 16 h, salle paroissiale, rue de Messines, un bar sera ouvert où l’on pourra déguster des crêpes, du café et d’autres boissons, cela au profit de lutte contre la S.L.A. (maladie de Charcot) I Jean-Claude Walle
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DI ACO N I E
«Ce que vous faites au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites»
Il y a à peine un an, le synode diocésain apportait ses conclusions. Parmi celles-ci, ce vœu était formulé : «Un service d’accueil sera mis sur pied dans chaque future paroisse nouvelle pour ouvrir la porte à ceux qui n’osent pas entrer, pour animer les enfants, pour vivre un moment fort avec les jeunes, pour proposer un moment de convivialité, pour inviter à partager les soucis et tout ce qui fait vivre. Le service d’accueil sera particulièrement attentif à ce que les personnes blessées, les pauvres, les exclus de la société se sentent à l’aise là où les chrétiens se réunissent.» Le premier temps fort de l’Église diocésaine dans le domaine de la diaconie aura lieu le 8 novembre prochain à l’Institut Saint Joseph de la Louvière. Cette journée intitulée «Chrétiens solidaire, un + pour tous » accueillera tous ceux et celles qui œuvrent au bien-être des autres. Comme l’indique Patrick Plateau, animateur pastoral à l’évêché de Tournai, «ils verront que ce qu’ils font dans le cadre d’une association est nécessaire. » Des ateliers thématiques prévus l’après-midi permettront notamment de voir concrètement comment nous (chrétiens) pouvons lutter contre la faim, le froid, l’exclusion… Des organisations viendront présenter leurs activités auprès des personnes sorties de prison, des plus démunis, etc. «Si les associations pouvaient également se découvrir les unes les autres et créer du lien entre elles…», espère Patrick Plateau comme deuxième objectif de cette journée. Et si les personnes qui en ont besoin pouvaient par la même occasion rencontrer les personnes qui les aideront, ce
temps fort diocésain aurait rempli sa mission. Le thème du 8 novembre l’indique : quand on agit pour une personne, toute la communauté en bénéficie !
Vivre plus dignement Les participants de cette journée auront l’occasion de pousser la porte d’une asbl locale, Utopia, installée dans l’ancien monastère des sœurs clarisses à La Louvière. Dans ce lieu, une quarantaine de bénévoles, une petite communauté de Sœurs Franciscaines et cinq salariés s’activent au service des plus démunis et ce, sans aucune discrimination. Mieux encore, les personnes dites démunies sont associées à la mise en place de certains projets, comme l’atelier cuisine, l’atelier couture ou l’entretien d’un jardin potager. Au-delà des exemples de tous les lieux où les chrétiens peuvent se mettre au service de leurs semblables, deux conférencières apporteront des repères. D’abord, Sœur Laure Blanchon, de formation économique
et commerciale, viendra présenter l’histoire de la diaconie dans l’Église. Puis, en fin de journée, Christine Mahy, présidente du Réseau belge de lutte contre la pauvreté, s’exprimera sur la situation actuelle de la pauvreté en Belgique et des défis à relever, notamment vis-à-vis des enjeux politiques. Dans un chat sur la précarisation des travailleurs aujourd’hui, cette spécialiste constatait : «Ni les travailleurs, ni les bénéficiaires de la sécurité sociale et de la protection sociale ne devraient «mendier» des aides… le système induit l’assistance dont les gens ne veulent pas. Il faut revoir l’ensemble de cette organisation sociétale en remettant les gens au centre, et organiser le travail, la solidarité et l’économie au service de la population et pas des capitaux.» Parions que ce seront les hommes et les femmes les vraies vedettes de cette journée du 8 novembre. I Anne-Françoise de Beaudrap
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Notre territoire est riche de nombreux lieux-ressources où les personnes peuvent retrouver un peu de dignité. De multiples associations vont le prouver à la Louvière le 8 novembre.
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