Quoi de neuf octobre 2014 by Médias Catholiques Belges Francophones (mcbf.be)

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QUOI DE NEUF ?

SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E NO :

AGRÉGATION

Ne crains pas de prendr e Marie chez toi. Mt 1, 21

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JOURNAL DE l’UNITÉ PASTORALE DE MALMEDY

Ô MÈRE IMMACULÉE, ÉTENDS SUR NOUS TA MAIN BÉNIE !

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MARIE MÉDIATRICE

PÈLERINAGE À LOURDES 201

LA CATÉCHÈSE À BELLEVAUX

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UNITÉ PASTORALE SAINT-FRANÇOIS AU PIED DES FAGNES - MALMEDY CALEN D R I ER DE S CÉ LÉB R AT I ON S E U CH A R I ST I Q U ES DU M O IS D ’OC TO B R E Jeudi 09 octobre À 18 h à la chapelle des malades. Vendredi 10 octobre À 18 h à la chapelle de semaine.

28e dimanche ordinaire Samedi 11 octobre À 18 h à la cathédrale - messe des familles. Dimanche 12 octobre À 9 h à l’église de Ligneuville. À 10 h 30 à la cathédrale. À 10 h 30 messe en allemand à l’église des Capucins. À 14 h 30 à la cathédrale - Célébration des baptêmes. À 18 h à l’église des Capucins - messe selon le rite ancien. Mardi 14 octobre À 8 h à la chapelle de semaine. À 15 h 30 à la Résidence des Arcades. Mercredi 15 octobre À 8 h à la chapelle de semaine. À 16 h à la Résidence du Grand Fâ. Jeudi 16 octobre À 18 h à la chapelle de la clinique Vendredi 17 octobre À 18 h à la chapelle de semaine.

29e dimanche ordinaire Samedi 18 octobre À 18 h à la cathédrale - messe des familles. Dimanche 19 octobre À 9 h à l’église de Xhoffraix. À 10 h 30 à la cathédrale. À 10 h 30 messe en allemand à l’église des Capucins. À 10 h 45 à l’église de Ligneuville. Mardi 21 octobre À 8 h à la chapelle de semaine. Mercredi 22 octobre À 8 h à la chapelle de semaine. Jeudi 23 octobre À 18 h à la chapelle des malades. Vendredi 24 octobre À 18 h à la chapelle de semaine.

30e dimanche ordinaire Samedi 25 octobre À 18 h à la cathédrale - messe des familles. Dimanche 26 octobre À 9 h à l’église des Capucins. À 10 h 30 à la cathédrale - Célébration avec mémoire des défunts du mois de septembre et remise des hosties d’adoration aux représentants des différentes chapelles. À 10 h 30 messe en allemand à l’église des Capucins.

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À 10 h 45 à l’église de Ligneuville. Mardi 28 octobre À 8 h à la chapelle de semaine. Mercredi 29 octobre À 8 h à la chapelle de semaine. Jeudi 30 octobre À 18 h à la chapelle de la clinique Vendredi 31 octobre À 18 h à la cathédrale - Célébration de la Veille de la Toussaint.

Fête de tous les Saints Samedi 1er novembre - fête de tous les Saints À 9 h à l’église des Capucins. À 10 h 30 à la cathédrale. À 10 h 30 messe en allemand à l’église des Capucins. À 10 h 45 à l’église de Ligneuville. À 15 h à l’église de Bellevaux - Prière pour les fidèles défunts suivie de la bénédiction des tombes. À 15 h à l’église de Xhoffraix - Prière pour les fidèles défunts suivie de la bénédiction des tombes. À 15 h à l’église de Ligneuville - Prière pour les fidèles défunts suivie de la bénédiction des tombes. Dimanche 2 novembre À 9 h à l’église de Bellevaux. À 10 h 30 à la cathédrale Commémoration des fidèles défunts suivie de la procession au cimetière. À 10 h 30 messe en allemand à l’église des Capucins. À 10 h 45 à l’église de Ligneuville. Mardi 4 novembre À 8 h à la chapelle de semaine. Mercredi 5 novembre À 8 h à la chapelle de semaine. Jeudi 6 novembre À 18 h à la chapelle des malades. C ALEN D R IER D ES LEC TIO D IV IN A - EC O U TE ET PA R TA G E AU TO U R D E LA PA R O LE D E D IEU

Ces tables de la Parole ont lieu : Le premier mardi du mois à 20 h chez Benoît et Anna Antoine, Grand Rue 23 à Ligneuville Le premier jeudi du mois à 18 h chez Horst et Marguerite Weidisch à Cligneval. Le premier vendredi du mois à 20 h chez Paul et Rosa Dumoulin à Hédomont 1E et à 20 h également chez Madeleine Lentz, Place du Parc 22 à Malmedy (pour les jeunes). Le deuxième mercredi du mois à 20 h chez Guy et Anne-Marie Grodent, Rte de Spa 52 à Burnenville. Le deuxième jeudi du mois à 18 h 30 chez Ida Dosquet, Rue Hte Vaulx 35 à Malmedy.

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Le deuxième vendredi du mois à 20 h chez Clément Seffer à Steinbach 109. Le troisième mardi du mois à 16 h chez Sœur Marie-France Feller, Rue Abbé Péters 49 à Malmedy. Le troisième mercredi du mois à 20 h chez Jean et Elisabeth Hugo, chemin du Calvaire, 2 à Chôdes. Le troisième jeudi du mois à 20 h chez Herman et Monique Nelles, Av. des Alliés 35 à Malmedy. Le troisième vendredi du mois à 20 h chez Madeleine Lenz, Place du Parc 22 à Malmedy (pour les jeunes). Le dernier mardi du mois à 14 h chez Marie-Elisabeth Bindels, Rue de Bavière 26 à Malmedy. Le dernier vendredi du mois à 20 h à Arimont à tour de rôle chez Albert et Rose-Marie Louys, chemin du Val 9, Francis et Marie-Rose Aleff, chemin du Château 14 et chez Ursula Bodarwé, Rue de la Carrière, 2 Pour la lectio à Bellevaux, s’informer de la date auprès de Nicole Piront (0474/37 93 02) ou Jean-Pierre et Monique Koch (080/33 92 58 0479/84 13 12) Une rencontre œcuménique a lieu une fois par mois à Xhoffraix, pour le lieu et la date, s’adresser au secrétariat de l’Unité pastorale (080/33 00 26 - 0495/74 61 26) LE 1 5 O C TOBRE : LE PÈR E DANIE L D ID EB ER G VIE NDRA AU «C A ILLO U BL ANC» Depuis quelques années, dans la plupart des lieux de culte de notre Unité pastorale, un temps d’adoration eucharistique se vit chaque semaine. Un projet d’adoration eucharistique prolongée à la cathédrale est également envisagé. Le Père Daniel Dideberg, Jésuite, originaire de Xhoffraix viendra nous parler de l’actualité et des fruits de cette démarche. Il nous entretiendra aussi de la «prière des mères» dont plusieurs groupes existent chez nous, et dans laquelle lui-même est très investi. La rencontre avec le Père Dideberg se tiendra le mercredi 15 octobre à 20 h au «Caillou Blanc» rue de la Warche 28 à Malmedy. Invitation cordiale à tous !

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L’un des héritages les plus précieux que j’ai reçu de mes parents est l’attachement à la Vierge Marie… Petit enfant, je lui faisais des autels… voyant comme miraculeux que les fleurs y tiennent longtemps sans se faner… Et mes parents ne se moquaient pas de l’enfant que j’étais… Je pense pouvoir dire que c’est Marie qui a protégé l’enfant qui était en moi… Si je parle de protection, c’est parce que les dangers ne manquent pas, qui nous amènent à nous blinder d’année en année… et à faire taire l’enfant. Les dangers petits et grands qu’on peut parfois rencontrer très jeune… Parfois de grandes dévastations… Les dangers aussi qui viennent avec les tâches de l’âge adulte… Tâches qu’il faut assumer et qui obligent à «avoir des nerfs»… et on «se carapace» ! Pauvre enfant ! Où s’est-il donc caché ? Cela nous arrive à tous de le perdre un peu… ou beaucoup… L’enfant est ce que nous portons de meilleur, de plus vrai, de plus beau en nous… et par là-même de plus éternel… Si vous ne redevenez pas comme des enfants… (cf. Mt 18, 3)… Je pense que Marie, si nous recourons à elle, nous ramène à cet enfant que nous sommes au plus profond, au plus intime, au

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«La Vierge et l’enfant»…

La chapelle des malades à Malmedy. plus pur de nos terres inviolées… Cet enfant qui n’attend que de «ressourdre» au grand jour… Sera-ce au jour de notre mort ?… Sainte Marie, prie pour nous, maintenant et à l’heure de notre mort… Marie nous dit, lorsque l’enfant s’est retrouvé en nous caché… caché à nos yeux… caché aux yeux des autres… Marie nous dit : «Viens faire un tour avec moi… J’ai quelque chose à te faire (re) découvrir… dont j’ai

toujours pris soin : l’enfant que tu es». «Viens faire un tour avec moi»… Marie m’a souvent parlé à travers des hommes et des femmes humbles et petits… des hommes et des femmes qui étaient restés dans leur jardin d’enfants… ou qui y avaient été ramenés… Je n’en cite qu’un… Ce petit Frère Oblat de Marie, le Frère Joseph, qui s’occupait des porcs dans la communauté où j’étais en pension… Ce petit Frère, un peu simple, qui appelait ses protégés les «nounous»… «Nounou, nounou», entendions-nous de nos salles de classe… Ce petit Frère, un jour est entré dans la salle d’étude, boitillant dans ses petites bottes et sa frêle salopette bleue… Il est entré dans la salle d’étude : ce qu’il ne faisait jamais… Il est entré… Et sans un mot, il a déposé sur mon pupitre une statuette en métal de la Vierge de Lourdes… Puis il est sorti… De nouveau sans dire un mot… Tous mes camarades riaient… Et je pense qu’aussi au ciel les anges riaient… Et cette petite Vierge ne m’a jamais quitté… Elle est là devant moi sur ma table de travail… Le travail bien sérieux, parfois trop sérieux, d’un curé ou d’un doyen… Parfois, elle me dit doucement à l’oreille : «Viens faire un tour avec moi… J’ai quelque chose à te faire (re) découvrir : l’enfant que tu es… et que j’ai toujours protégé !»… Merci, Marie… et merci à tous les petits sur ma route !

I Votre curé Henri Bastin

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Initier l’enfant à la première communion

Six, puis sept, huit, neuf enfants sont venus, le samedi soir à 18 h, accompagnés de «deux adultes minimum», comme nous l’avions souhaité dans la lettre d’invitation, et puis de bien d’autres ! Quelle joie d’accueillir enfants, papas, mamans, papys, mamys, parrains, marraines, frères, sœurs,… dans le chœur de notre petite église à Bellevaux ! Avec Henri, notre doyen, nous avons prié et réfléchi aux textes et symboles qu’il nous paraissait important de transmettre pour une première approche de l’eucharistie. Nous désirions mettre la famille, au sens large, dans le coup, afin que chacun ait conscience de la démarche communautaire qu’elle suppose et de l’importance du témoignage des adultes. Aussi avons-nous décidé d’instituer des rites à ces fêtes-rencontres et de donner la parole à tous. Henriette (la clochette), agitée par

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un enfant, ouvrait la célébration à chaque fois. Comme symboles, nous avons choisi, dans l’ordre : la lumière, avec le cierge pascal - le chemin, représenté par des cailloux blancs reliant le cierge pascal à la cuve en cuivre, où étaient piqués les cierges que les enfants allumaient chaque fois après avoir transmis la lumière aux participants - le livre, les enfants prenaient une parole au hasard dans un panier - le pain, l’essentiel, notre Seigneur tout donné, en lien avec la multiplication des pains - l’eau, célébration durant laquelle un des enfants fut baptisé. Il y eut ensuite la messe de communion, festive et joyeuse. Le samedi suivant, la rencontre était centrée cette fois sur Marie, sa prière, le chapelet, le chant. Au fil des retrouvailles, nous avons découvert Zachée, les rois mages, Anne et

Siméon, Elisabeth, saint François… et tous ceux qui, de génération en génération (photos à l’appui), ont permis que la Bonne Nouvelle arrive jusqu’à nous. Les enfants ont pu transcrire le Notre Père, le Réjouis-toi Marie dans leur carnet, ainsi que dessiner ce qui leur avait paru important. Une petite note a aidé les parents à imaginer un coin-prière avec leur enfant et tous, nous avons été très heureux de vivre ensemble ces moments de partage. Une réunion est prévue en septembre pour inventer la suite, qu’elle permette que la première communion ne soit pas la dernière et que les familles se retrouvent pour célébrer et réfléchir à la façon de transmettre une foi vivante et joyeuse aux enfants.

I Henri, Monique, Jean-Pierre, Cécile, Véronique, Nicole

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Échos des pèlerins malmédiens à Lourdes «Nous sommes partis de très bon matin, en car jusqu’à Valenciennes et puis en TGV jusqu’à Lourdes. Nous étions onze personnes de notre unité pastorale et un pèlerin venant de Stavelot s’était joint à nous. Nous nous sommes bien intégrés au groupe de l’hôtel où nous étions hébergés, l’ambiance y était très conviviale, comme tout ce qui se vit à Lourdes. Nos foulards rouges nous permettaient de reconnaître facilement les pèlerins de Liège, cela nous donnait un sentiment de sécurité et une facilité de rencontre et d’échanges. Cinq jours à Lourdes, ça peut sembler long et pourtant, cela passe trop vite ! Au fil des jours, nous avons vécu de nombreux moments forts qui nous ont beaucoup touchés : - l’entrée en pèlerinage à l’église de Lourdes, là où Bernadette a été baptisée et où elle a reçu sa première communion - la célébration d’ouverture par Monseigneur Delville, germanophones et francophones réunis, nous chantions en allemand et en français - la procession mariale aux flambeaux - la procession eucharistique et la bénédiction des malades - le passage à la Grotte et la messe matinale dans ce lieu béni pour tout le diocèse - la célébration de la réconciliation - et encore le dimanche 17 août, une très belle eucharistie rassemblant les pèlerinages de Bruxelles-Malines qui fêtait leur 50e anniversaire et celui de Liège, présidée par Monseigneur Léonard, en français-néerlandais. - la conférence de Monseigneur Delville qui s’est adressé aux pèlerins avec simplicité et profondeur sur la joie de la conversion qui était le thème de cette année. La conversion, c’est une démarche habituelle de l’individu durant toute sa vie. C’est aussi une démarche fondamentale au sein de sa religion…un changement d’orientation, une évolution… Une vie, c’est une suite de changements, une évolution, des réponses aux appels reçus - et aussi la fête du 125e anniversaire : discours, verre de l’amitié, gâteau d’anniversaire, un bon moment festif chaleureux et fraternel.

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Cette année a eu lieu du 15 au 21 août le 125e pèlerinage du diocèse de Liège à Lourdes, auquel ont participé quelques personnes de l’Unité pastorale Saint- François au pied des Fagnes. Un événement extraordinaire, 125 années de fidélité à Notre-Dame de Lourdes ! Voici un écho du vécu de ces pèlerins.

Le mardi 19 août, les pèlerins qui le souhaitaient ont pu se rendre à Bartrès, à pied ou en car. Ceux qui marchaient ont eu des moments de prière et d’échanges très riches entre pèlerins de tout âge. Bartrès est un petit village où Bernadette a été confiée à une nourrice. L’année qui a précédé les apparitions elle a aidé sa nourrice en s’occupant des enfants et en gardant quelques moutons et quelques vaches au lieu-dit de la Bergerie. C’est dans la petite église de Bartrès que nous avons découvert les talents d’organiste de notre évêque quand il s’est mis à jouer de l’orgue. Le mercredi 20 août, M. l’Abbé André Vervier nous a partagé une belle et très profonde méditation «Avec Job, la force du cri pour traverser la souffrance». Nous nous sommes aussi réunis quelques fois le matin, au bord du Gave, face à la grotte, pour prier pour nos malades et pour notre paroisse. Ensemble nous avons déposé un cierge en priant pour eux et pour notre Unité pastorale. Et encore, pour ceux qui le désiraient : piscines, temps d’adoration, visite de Lourdes, un verre de Jurançon à une terrasse ou au bar de l’hôtel, chapelet à la Grotte, soirée festive avec les malades ou à l’hôtel…

Nous ne pouvons pas passer sous silence l’engagement extraordinaire des jeunes auprès des malades et des moins valides, celui bien sûr des hospitalières, des brancardiers, des infirmiers et infirmières, des médecins, de tous ceux qui œuvrent pendant des mois à la préparation d’un tel pèlerinage, les organisateurs du diocèse mais aussi des sanctuaires, l’accueil et la patience des Lourdais face à une telle affluence de pèlerins du monde entier. Une toute belle «note» pour le groupe musical des Mi- Graves qui nous a accompagnés pendant tout notre séjour et qui a embelli toutes nos célébrations de ses beaux chants, le chef de chorale n’était autre que Jean, heureux de pouvoir rendre ce service ! Tant de bénévoles au service des malades et des pèlerins ! Et tout le monde a le sourire ! C’est inoubliable ! Lourdes, c’est tout ça et beaucoup plus, «Lourdes, ça ne se raconte pas, ça se vit». I Maria, Agnès, Elisabeth, Yvonne, Elisabeth et Marie-Thérèse, Elisabeth et Jean, Daniel, Jean, René et Monique Vous pouvez visiter le blog du pèlerinage diocésain de Liège, vous y trouverez des photos, les conférences, un beau compte-rendu de tous les moments forts du pèlerinage.

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Au disciple qui nous représentait tous au pied de la croix, Jésus dit : «Voici ta mère». Marie est donc notre mère et, comme une maman, elle sent nos peines et nos joies. Avec elle, il n’y a pas besoin de paraître, elle nous aime comme nous sommes. Auprès d’elle, nous pouvons rire ou pleurer. Dans tous les lieux où elle apparaît, Marie demande de prier beaucoup, mais le chapelet ne doit pas devenir un rabâchage pour obtenir des avantages ou pour mettre la main sur Dieu. Jésus dit (Mt.6, 7) : «Lorsque vous priez, ne rabâchez pas comme des païens ; ils s’imaginent que c’est à force de paroles qu’ils se feront exaucer». Pour Jésus la prière est une rencontre et un cœur à cœur avec ce Dieu qu’il appelle Père. Notre attitude intérieure est donc importante. Si donc nous récitons le chapelet pour créer une atmosphère de prière afin de favoriser une rencontre, en l’occurence ici avec la vierge Marie, pour nous rapprocher de son Fils, le chapelet est un bon moyen pour y arriver. En contemplant les mystères Joyeux, Lumineux, Douloureux et Glorieux, nous faisons mémoire des étapes importantes dans la vie de Jésus. Lorsque la maladie ou la fatigue nous accablent le chapelet peut nous aider, et même si l’on ne peut plus parler, tenir un chapelet dans notre main est déjà une prière car nous nous sentons reliés avec Marie qui prie pour nous maintenant et à l’heure de la mort. Ne craignons donc pas de lui confier notre vie et soyons sûrs qu’elle nous conduira vers son Fils Jésus. I Freddy Giet

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Préparer son mariage et y réfléchir Eh oui, dans notre région, il y a encore des jeunes couples qui choisissent de se marier à l’Église ! Les centres de préparation au mariage (CPM) sont un service d ’Église en vue d’accompagner les futurs mariés vers la célébration du mariage et la constitution d’un couple et d’une famille selon l’esprit de l’Évangile de Jésus-Christ.

Qui sommes-nous ? A Malmedy, nous sommes cinq couples disponibles pour aider les fiancés dans leur cheminement. Un prêtre ou un diacre participe également à ces rencontres, où nous proposons aux futurs époux, un lieu où ils pourront prendre conscience du contenu humain et chrétien de leur engagement conjugal.

Que faisons-nous ? Trois ou quatre fois par an, nous accueillons, le temps d’une soirée, les fiancés qui vont se marier. Nous partageons en petit groupe très simplement, l’expérience humaine et spirituelle de notre amour tout en abordant les thèmes fondamentaux de la vie de couple et le sens du mariage sacramentel. Nous veillons à ce que tout se passe dans un grand respect de chacun, dans la liberté et la convivialité.

MCBF

PRIER AVEC MARIE

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Pas de recettes L’important est d’être en chemin et dans le domaine de la relation, on n’est jamais arrivé. Où que l’on se trouve, on peut toujours aller plus loin et approfondir son amour. Les thèmes de préparation au mariage sont présentés de façon assez ludique. Des questions sont distribuées à l’ensemble des participants et chacun pose sa question à un participant de son choix. Le but est de susciter le débat, inviter au dialogue, au partage et donner le goût aux fiancés de poursuivre cette réflexion tout au long de leur vie de couple.

Ils nous émerveillent toujours SUR

Samedi 1er novembre de 11h à 12h: Eurovision de la Solennité de la Toussaint depuis la Cathédrale Sts Martin et Nicolas à Ypres (Belgique). Production VRT.

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D’emblée, ces jeunes fiancés qui ne se connaissent pas au départ, sont mis en confiance, s’ouvrent au partage et livrent au groupe ce qui les habite en vérité assez naturellement. Une communication spontanée s’établit entre les différents couples, qui pourra parfois se prolonger au-delà de la réunion. Ces échanges en vérité entre futurs mariés et animateurs, nous interpellent et sont pleins de richesses. Pour tout renseignement, vous pouvez contacter : - le secrétariat de l’Unité pastorale : Rue Steinbach, 3 4960 Malmedy -Tél. 080/33 00 26 - les responsables : Marc et Marie-Thérèse Dethier, Route de l’Espérance, 47 G’doumont, 4960 Malmedy Tél. 080/77 06 39 I Guy et Anne-Marie Grodent

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Prions pour nos enfants

En Angleterre en 1995, une maman, Veronica Williams et sa belle-sœur, Sandra, ont reçu cet appel : «Priez pour vos enfants, il y a urgence !».

En priant, Veronica et sa belle-sœur comprirent que Jésus voulait que toutes les mères lui confient entièrement leurs enfants. C’est ainsi qu’est né le premier groupe de prière des mères. Aujourd’hui, la prière des mères s’est répandue dans plus de 85 pays et les groupes des mères se comptent par milliers. En Belgique, plus de cent cellules se réunissent chaque semaine. Unies dans le but commun d’aider leurs enfants, les mères (aussi les grands-mères) lisent et improvisent des prières très simples ; elles se nourrissent modestement de la Parole de Dieu, chantent et déposent dans un panier, au pied de la croix, de petits papiers ronds (comme une hostie), portant le nom de leurs enfants. Ce dernier geste vise à exprimer que leurs enfants appartiennent d’abord à Dieu. Il connaît leurs besoins et se soucie infiniment de leur vie et de leur salut. Deux mamans suffisent pour démarrer un groupe. Afin de favoriser la confidentialité et le partage, il est bon de ne pas être plus de huit. Si vous souhaitez vous joindre à un groupe, dans notre paroisse, la prière a lieu chaque mercredi à 20 h chez Marie-Thérèse Dethier, Rte Espérance, 47 à Chôdes. I Marie-Thérèse Dethier et Elisabeth Hugo

Marie, sacrement par excellence

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la vie sous toutes ses formes. Les sacrements que nous avons reçus en Église font de nous des sacrements, c’est-àdire des donneurs de vie autour de nous. Essai de concrétisation : Le baptême : Je reçois la vie de Dieu. Mes parents, mon entourage m’aident à l’accueillir et déjà à la transmettre autour de moi. Par la confirmation, je suis affermi par l’Esprit saint pour répandre la vie autour de moi. L’eucharistie, prémices de la vie éternelle, ce pain de vie cimenté par la parole de Dieu La pénitence, accueil de cette miséricorde de Dieu, que nous sommes invités à répandre autour de nous. Le sacrement du malade, accueil concret de la tendresse de Dieu qui nous remet debout ou nous aide au sens large. Le sacrement de l’ordre : ministère spécifique du témoignage que Jésus est parmi nous jusqu’à la fin des temps. Le mariage : lieu de transmission de la vie sous toutes ses formes, témoignage d’une sexualité, bonne, don de Dieu à l’image de ce qu’est son Alliance avec nous. I Jean-Luc Lepièce

Il est des phrases reçues dans l’enfance et dans l’adolescence qui peuvent vous marquer. En ce qui me concerne, une phrase entendue à Louvain par un professeur - le chanoine Laloux - qui dans son cours énonça que s’il y a avait sept sacrements, il y en avait d’autres qui ne se traduisaient pas en des rites : l’Église (la communauté des baptisés), les parents pour leurs enfants, les conjoints l’un pour l’autre, les enseignants. Lors des funérailles de notre regretté Jean-Marie Franssen, notre évêque dit que Jean-Marie avait reçu le sacrement de l’ordre, mais qu’il était lui-même sacrement. Le sacrement non pas seulement un rite, mais surtout un moyen de recevoir la vie de Dieu, de la déployer autour de soi pour s’accomplir en Dieu et en son fils Jésus, le tout animé par l’Esprit- Saint. «Vous êtes le sel de la terre, Je suis la vérité et la vie, pour que vous portiez du fruit en abondance». Marie fut le sacrement par excellence à Bethléem, à Cana, au Golgotha, à la Pentecôte. Nous sommes aussi appelés à être sacrement autour de nous, c’est-à-dire à aimer comme Dieu nous aime. Aimer, c’est donner

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DIOCÈSE DE LIÈGE

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Retrouvez l’agenda du diocèse sur http://liege.diocese.be et l’information en continu sur www.InfoCatho.be

Nouvelle saison de conférences au Pays de Herve Anne Soupa, Hervé Hasquin et Yves Boulvin prendront la suite d’autres célèbres intervenants venus à Battice (Herve) à l’occasion des Grandes Conférences du Lundi.

religieux. » Des découvertes et Le doyenné du Plateau de Herve des rencontres, l’abbé Schlim en organise pour la septième ana fait beaucoup… En sept ans, née consécutive une série de des personnalités politiques, conférences grand public, prodes écrivains et évidemment grammées un lundi par mois. des hommes d’Église ont fait le Sept ans, l’âge de la maturité… déplacement jusqu’au pays de L’abbé Alain Schlim, l’un des Herve pour donner une conféinitiateurs, témoigne : « Ces rence. «Nous sommes aussi grandes conférences ont renattentifs à alterner hommes et contré du succès dès le début. femmes tout au long d’une saiL’idée est née d’une discussion son ! », ajoute l’initiateur de ces entre les prêtres et les responsoirées. Les programmes brassables du doyenné, d’organiser sent également un éventail large des temps de formation et d’inde sensibilités, «de Monseigneur formation, pour les gens du lieu Gaillot à Monseigneur Léonard». et d’ailleurs. Nous nous attenChaque soirée se termine par un dions à une centaine de particiLa bibliste Anne Soupa vient le 24 novembre, temps d’intériorité que le confépants, et nous étions nettement parler des «Douze femmes de Jésus dans les Évangiles» rencier prend en charge : cela plus nombreux, parfois même peut être un temps de prière 500 personnes !» Pourquoi ce sur le thème «Souffrance et euthanasie des pour les religieux, ou la lecture d’un texte succès ? «Certains conférenciers sont tellemineurs : des questions sans réponses ?» pour les profanes. Ce moment conclut le ment connus qu’ils attirent du monde, de (lire l’encadré ci-dessous). Enfin, il y a des propos tenu dans la soirée et les échanges la région – Malmedy, Stavelot, Saint-Vith – sujets encore plus larges, sur l’économie avec le public. Evidemment, des livres en mais également de Bruxelles ou Charleroi ! en crise, par exemple (le 2 février avec lien avec le conférencier ou avec le sujet Il y a aussi l’effet bouche-à-oreille : chaque Jacques Defourny). du jour sont proposés à la vente, à la sortie. auditeur d’une conférence est invité à faire «Ce déroulement rencontre un réel succonnaître les rendez-vous suivants, pour cès, même auprès des jeunes. Il y en a que d’autres personnes viennent.» Effet boule de neige à chaque date, parfois même un groupe Les thèmes abordés sont très éclectiques Alain Schlim raconte avec passion comment dans le cadre d’une activité obligatoire. pour que différents publics puissent s’y inil trouve l’inspiration pour certains sujets de Et puis, c’est gratuit pour les jeunes ! » téresser. Certains sujets sont véritablement conférences, grâce aux suggestions du puL’équipe organisatrice demande par contre religieux, ce sera le cas le lundi 24 noblic. «Nous demandons aux auditeurs préaux adultes une participation de 5 euros, vembre avec Anne Soupa (notre photo). sents de faire des suggestions de conférenpour prendre en charge les frais (rémunéD’autres conférences sont ancrées dans ciers pour les saisons suivantes. C’est ainsi ration de l’intervenant, etc.). l’actualité, comme celle du lundi 20 ocque j’ai découvert Yves Boulvin, qui vient le tobre avec la pédiatre Nadine Francotte : lundi 27 avril 2015. Je ne connaissais pas il s’agit de la première soirée de la saison cet écrivain, qui est également chroniqueur I Anne-Françoise de Beaudrap

«SOUFFRANCE ET EUTHANASIE DES MINEURS : DES QUESTIONS SANS RÉPONSES ?» La première soirée des «Grandes Conférences du Lundi au Pays de Herve», saison 2014-2015, aura lieu le lundi 20 octobre et sera animée par une personnalité de tout premier plan du monde médical belge, à savoir Nadine Francotte, pédiatre et responsable du service Oncologie pédiatrique au CHC de Montegnée. Le sujet grave qu’elle abordera est d’actualité :

l’euthanasie des mineurs. Nadine Francotte partagera avec nous son expérience et ses réflexions sur un sujet qui rejoint nos existences dans ce qu’elles ont de plus précieux : l’enfance. Ce lundi 20 octobre à 20 h à la Salle Saint-Vincent, rue du Centre, 30 à 4651 Battice. Renseignements : 0477/345 431 ou www.uph.org.

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