IDENTITÉ VISUELLE CRÉATION GRAPHIQUE CREATIONS PERSONELLES ET DESSINS
Y I N G O S i g r o u p o ne t u ns i t ed ev e n t ee ng r o u p ed é j à b i e ni n s t a l l ed a n sl emo n d e sd el at o i l e c o mmeu n er é f é r e n c eY i n g os ed i s t i n g u ep a r s o ng e s t er e s p o n s a b l ee t e n g a g é . l es i t ep r o p o s el av e n t ee ng r o u p e , e ng r o sç ap a r l ed e b u s i n e s s , l ep o i n t i mp o r t e n tc ' e s t l av a l e u r r a j o u t e ra uc o n c e p t d el av e n t e se ng r o u p ec q u e1 0p o u rs e n t d e sv e n t r e ss u b v e n t i o n n e d e sœu v r e sc a r i t a t i v e se t d e sf o n d a t i o n sd ' o ù "L ' A C H A TQ U I F A I TD UB I E N" .
Je voudrais exprimer ma satisfaction d’avoir participé au succès de l’évènement par la création et le développement du visuel de l ’exposition itinérante « Parcours inspirants ».
INVITATION
PARCOURS INSPIRANTS
UNE FOIS PAR MOIS, MÉTRO ET RADIO CANADA INTERNATIONAL PROPOSENT, EN COLLABORATION AVEC LE PROJET ALLIÉS MONTRÉAL DE LA CONFÉRENCE RÉGIONALE DES ÉLUS (CRÉ) DE MONTRÉAL, DES PORTRAITS DE PERSONNES IMMIGRANTES QUI ONT RÉUSSI DANS LEUR MILIEU DE TRAVAIL.
carrières
COCKTAIL-VERNISSAGE RENDEZ-VOUS DES ALLIÉS :
PARCOURS INSPIRANTS
DES SOLUTIONS D’AFFAIRES, DES PARCOURS INSPIRANTS
Madame Manon Barbe, présidente de la Conférence régionale des élus de Montréal, vous invite à participer au « Rendez vous des Alliés : Des solutions d’affaires, des parcours inspirants ».
UNE FOIS PAR MOIS, MÉTRO ET RADIO CANADA INTERNATIONAL PROPOSENT, EN COLLABORATION AVEC LE PROJET ALLIÉS MONTRÉAL DE LA CONFÉRENCE RÉGIONALE DES ÉLUS (CRÉ) DE MONTRÉAL, DES PORTRAITS DE PERSONNES IMMIGRANTES QUI ONT RÉUSSI DANS LEUR MILIEU DE TRA VAIL.
Alliés Montréal célébrera le lancement de l’exposition itinérante « Parcours inspirants », 24 portraits témoignant des succès de Montréalaises et Montréalais issus de l’immigration, en collaboration avec le journal Métro et Radio Canada International. Ce Rendez-vous soulignera l’engagement des partenaires d'affaires et des partenaires institutionnels pour Alliés Montréal. Il se fera en la présence de :
MME GENEVIÈVE BROUILLARD
carrières
VICE-PRÉSIDENTE, RÉGION SUD-OUEST DE MONTRÉAL BANQUE ROYALE DU CANADA
Émigrer par tradition
Suivre l’amour jusqu’au Québec
Du soleil d’Haïti aux patinoires de Montréal
Quitter Rio en quête de tranquillité
JULIE MARCIL info@journalmetro.com
JULIE MARCIL info@journalmetro.com
M. RENAUD CARON VICE PRÉSIDENT PRINCIPAL, DÉVELOPPEMENT STRATÉGIQUE CGI
Ce cocktail-vernissage sera animé par M. Daniel Campbell, directeur du recrutement - région du Québec, de la Banque Royale du Canada. Jeudi 7 avril 2011 17 h à 19 h
Publié le 16 avril 2009
Publié le 14 mai 2009
Photo : Métro
Publié le 12 novembre 2009
Photo : Steeve Duguay
JULIE MARCIL info@journalmetro.com
Photo : Steeve Duguay
Publié le 15 octobre 2009
Photo : Yves Provencher
JULIE MARCIL info@journalmetro.com
Banque Royale du Canada 1, Place Ville-Marie 41e étage RSVP avant le 31 mars 2011 Mme Suzanne Perreault 514 842 2400, poste 2985 sperreault@credemontreal.qc.ca
Jean-Philippe Guidibi Grace Aghbashian ENTREVUE. Le père de Jean-Philippe Guidibi, un Béninois, a fait ses études au Québec avant de retourner au Bénin élever sa famille. Heureux de son expérience, il a toujours voulu que ses enfants viennent vivre et étudier à Montréal.
Jean-Philippe a donc suivi les traces de son père et de ses frères et, à 18 ans, a débarqué au Québec, en plein mois de décembre, pour faire des études aux HEC de Montréal. «Comme j’avais de la famille ici, ça a facilité mon intégration.» Il avait également entendu parler de la neige et du froid, ce qui a atténué le choc. Mais on ne peut jamais savoir ce que c’est avant de l’avoir vécu... «J’arrivais d’un endroit où il faisait 37°C deux jours avant!» Au Bénin, pas besoin de s’inquiéter de la météo : il fait toujours soleil. Peutêtre cela explique-t-il son optimisme. Selon lui, c’est un des apports de sa culture à la vision des gens d’ici. «Chez nous, on dit souvent : demain sera meilleur! Ici, au Québec, les gens ont parfois tendance à se décourager.» Il aime beaucoup le milieu multiculturel de Desjardins, où il travaille maintenant comme conseiller, service aux membres. «J’aime beaucoup apprendre sur d’autres cultures.»
«J’aime l’ouverture qu’il y a ici.»
D’ailleurs, il a réalisé son rêve en devenant employé de cette coopérative, après son baccalauréat et une expérience d’une année comme agent financier dans une autre entreprise d’ici. «J’ai toujours été impressionné par la réussite de ce modèle coopératif financier et ça rejoint mes valeurs. Je viens d’un pays où on a des problèmes de développement et je suis convaincu que ce genre de modèle devrait être reproduit.» Heureux sans bémol Au Bénin, une jeune démocratie, l’accès aux études n’est encore réservé qu’à une partie de la population. Quand on veut travailler dans le domaine financier, le Québec est un meilleur choix, selon Jean-Philippe. Il n’a pas eu de difficulté à s’intégrer au marché du travail, notamment grâce au réseau qu’il s’est créé. «La tendance, c’est de rester avec les siens, en terrain connu, mais j’ai très vite réalisé qu’il fallait sortir de ce cocon-là et rencontrer d’autres personnes pour savoir ce qu’il y a au-delà.» Est-ce une manifestation de son optimisme? Rien ne semble le déranger ici. Même le froid, dont il s’accommode. Il est retourné au Bénin une seule fois depuis son arrivée ici. «C’est sûr que ça me manque parfois, mais comme une partie de ma famille est ici, je vis moins difficilement l’éloignement.»
«Ailleurs, c’était bien aussi, mais je ne sais pas si je pourrais retourner dans un environnement moins diversifié.»
Benoît Picard Benoît Picard a décidé d’ouvrir un restaurant, Le Globetrotter, en 1996. L’aventure a duré trois ans. Puis il a bifurqué vers l’immobilier avant de revenir à ses premières amours, la finance.
Il y a quelques années déjà, Benoît Picard quittait la France pour suivre sa dulcinée, une Québécoise de Laval, sans bien savoir à quoi s’attendre puisqu’il n’était venu dans la Belle Province qu’un mois en touriste. «Ayant beaucoup voyagé avec mes parents dans ma jeunesse, l’inconnu ne me faisait pas peur.» Vingt ans et deux amoureuses plus tard, il y est toujours, et pour de bon.
ENTREVUE.
Avec un diplôme de finances en poche, il s’attendait tout de même à des débuts plus faciles. «On se dit : ça parle français, c’est le pays des rêves, et tout ça... mais la réalité est autre.» Parmi les obstacles, certains problèmes d’équivalence dans les diplômes (différents au Québec et en France) ne lui ont pas permis d’exercer sa profession comme il l’espérait au cours des premières années où il a vécu ici. La langue anglaise, qu’il faut maîtriser davantage à Montréal qu’en France dans le milieu professionnel, était une autre barrière. «Comme plusieurs Français, je n’étais pas très doué pour les langues», ironise-t-il. Il décide donc d’ouvrir un restaurant, Le Globetrotter, en 1996. L’aventure dure trois ans. Puis il bifurque vers l’immobilier avant de revenir à ses premières amours, la finance. Ce détour professionnel lui a permis de rencontrer son amoureuse actuelle, et c’est en côtoyant la famille de celle-ci que l’intégration s’est accélérée. La clé, c’est la famille, selon lui, et de se mêler aux gens.
Bell, où il est devenu vérificateur interne principal en avril 2009. Son milieu de travail est très mixte, comptant des gens de toutes origines, et, selon lui, on n’y vit aucun sentiment d’exclusion. «Entre nous, on appelle notre département l’ONU!»
Claudel Polifort est aujourd’hui directeur du développement de la clientèle chez Xerox.
Au hockey comme dans la vie, Claudel Polifort n’envisage pas la défaite. «Mes parents nous ont tou jours dit : “Faites ce que vous avez à faire et vous serez récompensés un moment donné.”»
ENTREVUE.
Né à Camperin et arrivé à Montréal à six ans, il se rappelle la curiosité des gens. «Il y avait deux familles haïtiennes dans l’école. Des enseignants venaient à tour de rôle dans la classe pour nous voir. Et quand on marchait dans la rue, tout le monde nous regardait. C’est sûr qu’au début, c’est très intimidant.»
Il dit n’avoir jamais dû faire face à des problèmes de comportement à son égard. «Le fameux “maudit Français”, on ne me l’a jamais dit, sauf à la blague, et je réagissais à la blague aussi. Bien sûr, il faut avoir de l’humour. C’est le secret.» Il note par ailleurs une évolution des mentalités au fil des ans. «J’ai toujours eu des supérieurs très ouverts, mais cette tendance se répand.»
Ce sentiment d’être un étranger l’a suivi jusque sur les bancs du cégep. À ce moment seulement, il a senti que les temps avaient changé et que les gens ne le voyaient plus comme une curiosité.
Il se rend en France environ tous les deux ans pour voir ses proches, mais n’a aucune intention de retourner vivre là-bas.
L’accent lui a également posé problème pendant sa première année, mais malgré tout, il s’est rapidement intégré au voisinage en jouant au hockey. «J’aimais le sport, et tout le monde jouait au hockey ici, alors...» Il a été arbitre pendant 16 ans et joue toujours dans une ligue les jeudis soirs. «Presque tous les ans, j’organise un tournoi avec les gens du bureau.»
«J’ai autant d’attaches a u Québec qu’en France m a i n te n a n t . » Et contrairement à plusieurs Québécois «pure laine», il assure qu’il aime l’hiver... pendant lequel il fait beaucoup de ski et un peu de raquette, tant sur la Rive-Sud, où il habite, qu’à Bromont, où il va régulièrement? «Il faut aimer l’hiver au Québec; sinon, c’est long!»
de son diplôme à l’institut Teccart en technologie de systèmes ordinés. Il a ensuite tenté sa chance dans le département du télémarketing et des ventes, et aujourd’hui, 20 ans plus tard, il est directeur du développement de la clientèle. «Au début, j’ai saisi l’occasion qui s’est présentée, mais la plupart des autres postes que j’ai eus, je suis allé les chercher.» Il a toujours eu l’ambition de grimper les échelons. «Ici, chez Xerox, je n’ai pas eu de difficultés à obtenir mes postes et je n’ai jamais ressenti du rejet. Mais dans les premiers emplois que j’ai occupés, je sentais que j’avais davantage à prouver. Les gens avaient peur de l’inconnu.» Il constate un changement radical dans les entreprises ces dernières années, une ouverture plus grande.
«Mes enfants n’auront pas moi.» «Ils ont tellement d’occasions comparativement à moi qui ne suis pas né ici! C’est à eux de saisir la chance et d’en profiter. Tout est possible.»
Gravir les échelons Claudel Polifort est entré chez Xerox comme technicien après l’obtention SAISIRE CE CODE POUR OBTENIR L'ARTICLE!
L’ONU de la finance Après avoir suivi une formation complémentaire en informatique, il a travaillé pendant 10 ans dans des firmes de comptabilité avant d’atterrir chez
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Marcio Leibovitch
Claudel Polifort EN COLLABORATION AVEC :
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Marcio Leibovitch, qui a toujours travaillé en informatique, a une formation d’ingénieur électroni que. Il est aujourd'hui directeur de l’expérience utilisateur chez Yu Centrik.
ENTREVUE. C’est en 2004 que Marcio Leibovitch a quitté le Brésil pour venir s’installer à Montréal avec sa femme. «À Rio, il y a près de 10 millions d’habitants. Il y a trop de monde, du trafic partout et de la violence. Nous voulions un endroit plus tranquille pour élever notre enfant.»
Venus une première fois en 2002 pour quelques mois, ils ont apprécié la ville, appris le français et décidé de refaire leur vie au Qué-bec. «On a tout laissé. Tout le monde nous disait que nous étions fous. Nous avions des postes assez élevés là-bas.»
«L’argent et la position dans la hiérarchie, ce n’est pas tout.» «Il faut être heureux dans son quotidien.» Marcio a une formation d’ingénieur électronique et a toujours travaillé en informatique. D’abord en programmation, puis en design d’interface. «J’avais fait une recherche avant. Je savais qu’à Montréal, il y avait un grand développement technologique et qu’on y trouvait plusieurs compagnies dans le domaine de l’ergonomie de logiciels.» L’intégration Il a quand même eu besoin de 10 mois pour trouver un travail permanent dans son domaine. Lui et sa femme ont participé à une session d’intégration organisée par le gouvernement, ce qui les a beaucoup aidés. «C’est difficile, car il y a certaines différences culturelles, et on ne sait pas toujours ce qu’il convient de dire ou pas et quelle attitude adopter. Ma première entrevue s’est faite par téléphone. Ça, c’est quel-
que chose qui n’existe pas au Brésil.» Il a finalement trouvé du travail chez Yu Centrik, où il est maintenant directeur de l’expérience utilisateur. Pas de regrets Des amis brésiliens et montréalais qu’ils avaient connus il y a quelques années ont grandement facilité leur intégration et ont pesé dans la balance lorsqu’ils ont pris la décision d’émigrer. «Mais ça reste quand même difficile pour nous d’être éloignés de la famille et des amis de longue date qui sont restés au Brésil.» Marcio ne regrette cependant pas sa décision. «Ici, à Montréal, la plage est loin, mais au moins, il y a des parcs et des piscines publi-ques partout, et on est plus tranquilles.» Il s’est dit agréablement surpris aussi de l’ouverture des gens. «Je ne me suis jamais senti comme un étranger ici. Et en général, les gens sont toujours prêts à aider. À donner des renseignements pour nous orienter, par exemple. Au Brésil, les gens sont très chaleureux, mais plus méfiants. Le premier hiver, quand des voitures étaient prises dans le banc de neige et que je voyais les gens aller aider à pousser la voiture, je trouvais ça incroyable!» Ah, l’hiver... Une grosse adaptation lorsqu’on vient d’une ville où il fait toujours chaud et où la plage est à cinq minutes à pied... Mais Marcio s’y fait: «S’il ne faisait pas froid ici, ce serait trop parfait! Et il y aurait trop de monde!»
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L’histoire d’Augustin Lebel
remonte aux années 1930. Il fabriquait alors de la crème glacée pour laiterie de Kenogami au Saguenay. Son fils, Gaëtan Lebel, a conservé la recette originale. Animé du même désir d’offrir aux amateurs de crème glacée un produit de qualité supérieure, il fonde en 1986 Les Aliments Lebel Inc. L’usine moderne actuelle fut construite en 2000 dans les bâtiments de la laiterie Lowe, à Lachute dans les Laurentides. C’est alors que Les Aliments Lebel Inc. devient fabricant de crème glacée et est fier d’être le seul producteur indépendant de friandises glacées sur bâton au Québec. De plus, tous les produits sont sans noix ni arachides.
HISTORIQUE HISTORIC Nos marchés : • Marchés d’alimentation • Secteur institutionnel • Bars laitiers • Exportations Our markets: • Food stores • Institutional sector • Ice cream shops • Exports
Détaillant autorisé
The history of Augustin Lebel
started in the 1930’s. Back then, he made ice cream for the Kenogami Dairy in the Saguenay region. His son, Gaëtan Lebel, kept the original recipe. Driven by the same desire to offer ice cream enthusiasts a premium quality product, Gaëtan Lebel founded Les Aliments Lebel Inc. in 1986. The current state-of-the-art plant was built in 2000 in the legendary Lowe Dairy buildings of Lachute. Since then, Les Aliments Lebel Inc. has become a renowned ice cream and novelty manufacturer and is proud to be the only independent producer of frozen stick novelties in Quebec ! In addition, all the products are nut and peanut free.
Originale Augustin, Iceberg & Lowe marques déposées deRegistered trademarks of
724, rue Principale Lachute Québec J8H 1Z4 T : 450 562-5500 1 888 562-5544 F : 450 562-0910
alimentslebel.com lebelfoods.com
Originale Augustin, Iceberg & Lowe marques déposées deRegistered trademarks of
MEGA
Sandwich crème glacée
30
Fait de
créme fraiche BON POUR LA REVENTE -
EMBALLAGE INDIVIDUEL
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Originale Augustin, Iceberg & Lowe marques déposées deRegistered trademarks of
SANDWICHS VANILLE BOURBON 190 ML
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ÉVÉNEMENTIEL
ILLUSTRATIONS
Dans un souci de confidentialitĂŠ, les travaux fini ne sans pas disponible Sortie 2012