Meriem mghazli book 2012

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Portfolio Meriem Mghazli 4ĂŠ annĂŠe design graphique - media design - 2012 / 2013


Formation 2013-2009 : «ésav» - département design graphique - media design, école supérieure des arts visuels de Marrakech 2009-2008 : baccalauréat arts appliqués

Expérience professionnelle 2012 : «Daba Maroc» : projet jeunes Belgique-Maroc. Thème : Intérieur - Extérieur 2012 : stagiaire à l’agence de communication «le point sur le i», «5 semaines», Rabat 2012 : réalisation du jingle officiel de l’ESAV 2012 : concours international «poster for tomorrow» 2011 : concours international «water is life» 2010 : 1er prix du concours national d’affiche-troupe du TNP, Institut Français Casablanca

Logiciels Née le 27/07/1990 Marrakech, Maroc 12, rue tarik ben ziad, Guéliz, Marrakech +212 (0) 679 767 093 meriem.mghazli@live.fr

CV

4e année Design graphique - media design Marrakech Célibataire

Compétences

Acquises à l’école

Typographie arabe et latine Signe, couleur et architecture Sérigraphie Photographie Animation 2D, stop motion Illustration et expression plastique

Qualités Créative, organisée, rigoureuse, motivée, dynamique, patiente, énergique, esprit d’équipe

Illustrator

After Effects

Photoshop

Flash

Indesign

3Dsmax

Cinema4D

Dreamweaver

Langues Arabe : maternelle Français : courant Anglais : intermédiaire

Travaux personnels Conception d’alphabets latin Affiches, logos, identités visuelles... Couvertures de livres, conception et mise en page de magazine Travaux et impression sérigraphie Projet de photographie autour des collecteurs et ramasseurs de déchets à Marrakech Conception de pochette CD

Loisirs Musique, lecture, cinéma, cuisiner...


Typographie Deux alphabets que j’ai créé à partir du Zellij marocain ou autrement dit, avec les motifs géométriques arabes.


J’ai fabriqué l’alphabet Helvegut, créé à partir de l’Helvetica qui utilise une goutte du «r» de Times New Roman, puis j’ai joué avec les contre formes des lettres.

J’ai créé des monstres à partir de l’Helvegut. Puis, j’ai réalisé une couverture de contes pour enfants avec deux propositions différentes.


Jeu de cartes Un jeu de cartes créé a partir de deux typographies gothiques. Les 4 symboles de la cartes «pique, coeur, carreau, trèfle» sont créés par des éléments identiques.


Charte graphique ColĂŠfil est une marque imaginaire du fil autocollant pour les enfants et mĂŞme pour les adultes, avec lequel en dessine sur les murs, le sol,...


Le papier à lettre

Les cartes visites

Coléfil dessine l’imaginaire.

Coléfil : fil autocollant Île du Saulcy · BP 80794 télécopie 57012 www.univ-metz.fr Coléfil compagnie : 212 (0)2 24 43 51 52

Adolescebat autem obstinatum propositum erga haec et similia multa scrutanda, stimulos admovente regina, quae abrupte mariti fortunas trudebat in exitium praeceps, cum eum potius lenitate feminea ad veritatis humanitatisque viam reducere utilia suadendo deberet, ut in Gordianorum actibus factitasse Maximini truculenti illius imperatoris rettulimus coniugem.

Fil autocollant Île du Saulcy · BP 80794 57012 Metz cedex 1

Coléfil dessine l’imaginaire.

212 (0)2 24 43 50 30 meriem.mghazli@live.fr

Cum haec taliaque sollicitas eius aures everberarent expositas semper eius modi rumoribus et patentes, varia animo tum miscente consilia, tandem id ut optimum factu elegit: et Vrsicinum primum ad se venire summo cum honore mandavit ea specie ut pro rerum tunc urgentium captu disponeretur concordi consilio, quibus virium incrementis Parthicarum gentium a arma minantium impetus frangerentur. Quam ob rem circumspecta cautela observatum est deinceps et cum edita montium petere coeperint grassatores, loci iniquitati milites cedunt. ubi autem in planitie potuerint reperiri, quod contingit adsidue, nec exsertare lacertos nec crispare permissi tela, quae vehunt bina vel terna, pecudum ritu inertium trucidantur.

Coléfil dessine l’imaginaire.

Coléfil dessine l’imaginaire.

Fil autocollant Île du Saulcy · BP 80794 57012 Metz cedex 1

212 (0)2 24 43 50 30 meriem.mghazli@live.fr


Les enveloppes

Pin’s


les sacs

Jeu de cartes des 7 familles


Affiche du produit


Mode d’emploi la couverture

le recto

Mode d’emploi

Coléfil dessine l›imaginaire.

le dessin est près, vous pouvez créer un autre dessin.

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le verso de la couverture

Notre dessin est términé, Amusez vous à dessiner avec Coléfil.

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Dérouler le fil de la bobine.

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l e verso

Usage Ce fil est autocollant, on déssine avec et on aplatit avec nos main, c’est très simple à utiliser. On peut l’utiliser en fonction de dessin. C’a veut dire, à partir de ce fil, on dessine sur le mur, le sol, et même sur les couvertures des livres. C’est un jeu pour enfant, et même pour les adultes.

Le format du livret que j’ai choisi ressemble à la forme de la bobine du fil. Il y a les deux pages en recto verso qui portent le titre, le logo, un usage et une affiche du produit. Pour le mode d’emploi, il a trois volets recto verso, qui se plient dans le livret.

Commenser à dessiner en imaginant ce que vous voulez.

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Aplatissez le fil avec votre main, en tournant de gauche à la droite.

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Prennez des ciseaux et coupez le fil.

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LA CULTURE RENCONTRE AVEC UN MYTHE par Benoit Sabatier

En chemin pour la gloire Avec El Camino, album de tubes, de stupre et de fièvre, les Américains Black Keys signent un grand disque de rock moderne, dansant et euphorique.

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mino.» - «Oui, on a écouté les Stones des seventies. Et Clash, The Sweet, Jonathan Richman, les Cars, des groupes avec des chansons catchy. Tout ça nous a inspirés pour ce disque», ajoute Dan. Le duo a enregistré El Camino en quarante jours dans le studio monté par Dan à Nashville. «Une éternité pour nous», commente-t-il (ils avaient bouclé leur deuxième album, l’inaltérable Thickfreakness, en quatre jours, mix compris, dans le sous-sol de Pat). Les quinze premiers jours pour la musique, le reste pour les textes et les mélodies, mitonnés avec le producteur hit-maker Brian Burton, aka Danger Mouse (moitié de Gnarls Barkley, entre autres). La collaboration entre Danger Mouse et les Black Keys avait débuté en 2004 pour l’enregistrement d’un album de la vieille légende Ike Turner - projet avorté pour cause de décès d’lke Turner. C’est la troisième fois que Danger Mouse travaille sur un album des Black Keys, la première fois qu’il laisse exploser ses talents de mélodiste. Pat : «Les mélodies, c’est Brian, il a l’oreille pour ça. Avec Dan, on a commencé par faire les ébauches musicales à deux. Puis on s’est posés avec Brian pour composer les mélodies. On n’arrêtait pas tant qu ‘on n’avait pas trouvé la meilleure mélodie ou la plus simple » Sur la pochette d’El Camino, on voit la photo quasi documentaire d’une vieille camionnette fatiguée (sans doute un Chrysler Grand Voyager). Ce van n’est pas garé là par hasard : il s’agit du même modèle (mais pas la même couleur) que celui qui a trimballé les Black Keys en tournée pendant les deux premières années du groupe. «La clim ne fonctionnait pas. On avait enlevé les sièges arrière

ENCADRÉ

Les dates 2011 (05 Décembre) Sortie de El Camino 2010 (17 Mai) Sortie de Brothers 2008 (01 Avril) Sortie de Attack & Release 2007 Enregistrement avec Ike Turner 2006 (11 Septembre) Sortie de Magic Potion

D

an Auerbach, le chanteur-guitariste des Black Keys, l’affirme sobrement : il n’a rien ressenti de particulier quand il a appris comme tout le monde, en février 2011, la séparation des White Stripes. Pourtant, à sa place, on aurait au moins poussé un «ouf» de soulagement. La voie est enfin libre, l’horizon dégagé. Les Black Keys n’auront plus à souffrir de la comparaison, motif récurrent du rock’n’roll. circusr médiatique (Beatles contre Stones, Blur contre Oasis…). Cette compétition entre les deux groupes commençait à devenir énervante, surtout pour les Black Keys, éternels seconds. Mais elle n’était pas infondée. Deux groupes miroirs et voisins, au départ. Deux duos garage-blues formés à quelques années d’intervalle sur les rives du lac Erié (Detroit pour les White Stripes, Akron pour les Black Keys), dans le grand nord postindustriel de l’Amérique. Deux groupes de rock pur et

Design éditorial

dur, ennemis du bullshit et gros bosseurs, ayant gravi l’un après l’autre les cols menant à la gloire. Deux groupes qui, ces dernières années, ont filé la blague jusqu’à quitter le Nord pour s’installer dans la même ville sudiste, Nashville. «Je n’y ai jamais croisé Jack White. Je ne crois pas qu’il sorte beaucoup. C’est une rockstar», explique Dan Auerbach. Jusqu’à une date récente, la principale différence entre les White Stripes et les Black Keys tenait en trois mots: Seven Nation Army. Un tube énorme pour les White Stripes en 2003, devenu un hymne, un classique, une chanson-phénomène comme il en sort tous les dix ans (la fois d’avant, c’était Nirvana). A l’époque, les Black Keys lâchent la roue des White Stripes : ils ont des tas de bonnes chansons mais pas de vrais gros tubes. Les lignes ont commencé à bouger l’an dernier avec Brothers, le sixième album

du groupe. Des vidéos comiques, une paire de tubes indé, la hype qui s’en mêle et des ventes mondiales qui dépassent le million et demi d’exemplaires. Les Black Keys ont alors franchi un palier. Leur nouvel album, El Camino, pavé d’or, pourrait bien les mener au sommet. Des chansons tubesques, le genre qu’on entendra dans des pubs télé pour des voitures suréquipées et qui rendront les foules folles en concert, il en existe un paquet sur ce disque: du rock’n’roll à l’américaine, sexy, souple et nerveux,

ultra mélodique et top groovy, avec des guitares sur le gril et des chœurs de filles du Tennessee. El Camino s’annonce déjà comme un futur classique. L’album sort une semaine après la réédition de l’album Some Girls des Rolling Stones (celui avec «Miss You, la la la») et ca tombe assez bien : les deux disques sont de la même veine, gonflée, du rock’n’roll qui fait danser. «C’est mon album préféré des Stones, avoue Pat Carney (le batteur), je suis sûr qu’on a écouté Miss You en enregistrant El Ca-

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pour pouvoir y dormir. Le matériel tenait à l’arrière, avec un carton de merchandising », se souvient Dan. «Mon frère Michael, qui fait nos pochettes depuis le premier album, a eu l’idée d’associer le titre de l’album, qui veut dire “le chemin”, avec cette image. Cette pochette signifie qu’El Camino est notre nouveau disque mais aussi qu’on a commencé là, dans un van déglingué. C’est aussi une façon de dire aux gens qui nous ont découverts avec Brothers d’aller écouter nos anciens albums. Mais je ne voudrais pas repartir 80 | TECHNIKART | SEPTEMBRE 2011

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en tournée dans un van comme ça », ajoute Pat, qui voyage aujourd’hui dans un tour-bus, avec une équipe de vingt personnes. Dans l’histoire commune de Pat et Dan, il y a toujours eu des moyens de transport. Ils se sont connus tout minots, en faisant du vélo dans leur quartier d’Akron. Pat : «On était voisins, on est devenus copains. Quand on a vraiment commencé à faire de la musique ensemble, après le lycée, on se connaissait déjà depuis huit ans. On cherchait notre

voie, une porte de sortie. On n’était pas bons à l’école, on n’aimait pas ça. Avec Dan, on avait plus ou moins les mêmes goûts, on échangeait. J’écoutais le Blues Explosion, Pavement. Dan aimait beaucoup les vieux blues, que je ne connaissais pas. On se rejoignait sur T. Model Ford, Captain Beefheart, des trucs comme ca. Dan m’a fait découvrir Junior Kimhrough, je lui ai fait découvrir les Stooges. » Pat et Dan sont alors deux rejetons de divorcés de la classe moyenne, avec un

peu de musique dans leurs gènes: l’oncle de Pat, Ralph Carney, joue du saxophone avec Tom Waits et on trouve des musiciens de bluegrass dans la famille de Dan. Parfois, Dan prend la route avec son père, direction le Tennessee ou le Mississippi. pour découvrir dans leur jus les derniers grands géants du blues. A l’époque de leur premier album, en 2002, les Black Keys gagnaient encore leur vie en tondant des pelouses à Akron - Pat avait monté un petit business pour ça. La première fois qu’on les a vus en France, c’était en 2004 en show-case chez le disquaire parisien Gibert, devant une poignée de curieux et de fans précoces. Dan ressemblait à un bûcheron au chômage et Pat à une asperge myope. Aujourd’hui, ils jouent dans des Zénith. Rencontrés il y a quelques semaines dans un palace parisien, Pat et Dan n’ont pas changé. Pas de cambouis sous les ongles mais à peu près les mêmes vêtements, le même discours et les mêmes mines hirsutes. Rattrapés par la gloire, les Black Keys viennent d’ailleurs et tiennent à le rappeler. Inutile de surjouer la street credibility : tous leurs disques, du bluesy The Big Come up en 2002 jusqu’à El Camino, toutes leurs chansons sentent la rouille, la banlieue postindustrielle, la sueur, le moteur qui chauffe, le vrai rock’n’roll et l’Amérique profonde. Avec Pat et Dan, on peut causer Cree-

dence, Pete Seeger, Tom Petty, voire John Mellencamp. Dan : « Ce sont des musiciens intéressants parce qu’ils n’ont pas fait de compromis, juste des super chansons. Je n’ai jamais acheté un disque de Tom Petty mais je connais toutes ses chansons parce que j’ai grandi dans le Midwest, dans la rust belt (la «ceinture de la rouille», zone géographique où se sont développées des industries lourdes – ndlrl). Tout ce qu’on fait avec les Black Keys est un hommage au Midwest, à l’Amérique des cols bleus. » Pat : «Les villes où je me sens le mieux, c’est Chicago, Cleveland, Detroit, Milwaukee, parce que je comprends les lieux et les gens. L’histoire ne varie guère : les gens s’y sont installés pour travailler dans les usines, c’était la seule raison. Aujourd’hui il n’y a plus de boulot et ils partent.» Dan : «La photo de pochette d’El Camino, ce parking pourri, c’est Akron. Voilà pourquoi on est partis. » A Nashville, donc. On espère - on en rêve, même - que les Black Keys finiront par y croiser Jack White et faire copains-copains autour d’une paire de guitares en feu. Parce que Black & White sont deux mots qui vont très bien ensemble. album El Camino (Nanesuch/Warnerl concerts le 24 janvier à Lille, le 25 à Paris (Zénith) www.theblackkeys.com lire l’entretien dans le hors-série des Inrocks, Les 50 albums de Cannée, en kiosque le 14/12

« Leurs disques sentent la rouille, la banlieue postindustrielle, la sueur et le moteur qui chauffe. »

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Un magazine culturel scientifique que j’ai créé, et que j’ai nommé «scientia».

Quelque extraits du magazine.


Affiches

1er prix du concours national d’affiche «4 comédies du Molière, troupe du TNP, Institut Français Casablanca.»


ÂŤWater is LifeÂť concours international en Allemagne.


«Poster For Tomorrow» concours international - théme «Right to Education», «publiées dans le catalogue de l’exposition.»


C’est une affiche réalisée en cours de la typographie arabe, faite manuelement avec du tabac et ensuite photographiée.


Storyboard Ce storyboad présente l’histoire de trois frères extraterrestres qui se déplacent avec leur soucoupe volante dans l’univers. Tout à coup, ils captent dans leur réseau une information qui dit «dans quelques instants, un satellite à la retraite de trois tonnes va faire son entrée dans l’atmosphère et s’écraser sur la terre.»


Animation

http://vimeo.com/36970329


Jingle Choisi officiellement pour identifier les films de l’école, on voit les deux batiments «symboles des départements» former le logo de l’Esav.

http://vimeo.com/36968230


Web


1 Satine : Logo Client Satine est un traiteur de luxe.

Travaux effectuĂŠs en stage

Le client veut que la version arabe du logo Satine soit en calligraphie.


2 Bloom : Couvertures

3 Transdev : 4x3

Client

Client

Bloom est un night club célébre, Rabat.

Transdev Rabat Salé : c’est le centre de maintenance du Tramway.

Brief

Brief

Travailler troix couvertures facebook pour les événements suivants : hip hop et girls power.

Réaliser un habillage pour un panneau 4x3 pour kiosque Al Irfane, Rabat.


5 Latium : Etiquettes

4 Transdev : Bureau Gabriel Brief

Brief

Travailler deux propositions de design d’intérieur pour le bureau Gabriel du Transdev sur des photos données.

Les photos originales

Simulations

Réaliser deux étiquettes pour deux bouteilles d’huile - olive extra vierge, - huile d’olive aux piments de cayenne, pour le client Latium. Latium est un restaurant italien, Rabat.


6 Looly’s : Identité visuelle

7 L’entracte : covers facebook

Brief

Brief

Looly’s est un social business, ils partent sur une image de perle de couscous pour être en ligne avec le positionnement luxe, et voir comme ces femmes transforment de la simple semoule en un produit précieux : des perles.

L’entracte est un restaurant de film situé, Rabat. Ils veulent deux couvertures facebook.

Commentaire Pour l’identité visuelle de Looly’s, on voulait faire un logo qui n’a rien avoir avec les logos existants des marques marocaines, car on trouve souvent des logos avec des grains de blé.


Merci Travaux - 2010-2013


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