13 symbole saturne

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Le Lien retrouvé : Saturne = Baal Dans cet épisode sera abordé les différents noms et symboles que porte Saturne à travers les civilisations.

A) Un peu de mythologie Saturne et célébration Saturne (mythologie), dans la mythologie romaine, dieu de l'agriculture, des vignerons et des paysans. Saturne fut identifié au dieu grec Cronos qui, après avoir été détrôné par son fils Zeus s'enfuit en Italie, où il régna pendant l'âge d'or, une époque de paix, d'abondance et de bonheur. Dans la Rome antique, les saturnales étaient organisées chaque année en son honneur, à partir du 17 décembre, moment du solstice d'hiver dont on a gardé le fêtes de Noël. Tout commerce et affaires étaient suspendus. C'était une période de fêtes et de réjouissances, consacrée aux banquets, aux échanges de souhaits et de cadeaux. Les esclaves jouissaient de toute liberté et étaient servis par leurs maîtres. Saturne est souvent représenté barbu, portant une faucille ou une faux ou un épi de blé symbolisant la mort et la renaissance. Cronos, dans la mythologie grecque correspond au dieu romain Saturne. Ce personnage plus tyrannique, maître de l'Univers régna pendant l'Âge d'or. Il était l'un des douze Titans et le plus jeune fils d'Uranus (le Ciel) et de Gaïa (la Terre). Antérieurement Uranus et Gaïa avait engendrés, les Hécatonchires, des monstres pourvus de cent bras et de cinquante têtes, et les avait emprisonnés dans un endroit secret. Gaïa, leur mère, voulant les libérer, demanda l'aide des Titans et des Cyclopes, mais seul Cronos releva le défi. Il attaqua son père et l'émascula. Cronos devint alors maître de l'Univers et replongea les Hécatonchires dans le monde souterrain avec les Cyclopes. Il épousa sa sœur Rhéa et eut d'elle six enfants qui figurent parmi les douze dieux principaux de l'Olympe. Cronos craignant d'être détrôné par un de ses enfants suite à une prédiction, avalait tous ses enfants dès leur naissance. Zeus fut sauvé par sa mère Rhéa qui enfouit un caillou dans ses langes et le cacha en Crète, où il fut nourri du lait de la chèvre Amalthée et élevé par les Nymphes. Quand Zeus devint adulte, il obligea Cronos avec l'aide Hécatonchires et des Cyclopes qu'il libéra, à restituer ses frères et sœurs. Dans la guerre qui s'ensuivit, les Titans qui se rallièrent à Cronos furent vaincus et envoyés dans le gouffre du Tartare, au cœur de l'Hadès. C'est alors que Zeus devint le père des dieux et des hommes. Il régna sur le ciel, sur la Terre et sur les Dieux. Poséidon reçut la mer et Hadès le monde souterrain. C'est l'image de la réconciliation ultérieure de Cronos et de Zeus, qui nous vaut le mythe de Cronos dieu de l'Âge d'or. Hors de Rome, on ne trouve aucune trace du culte de Saturne dans le Latium. Dans le reste de l'Italie, on connaît des Cultores Saturni à Venafrum, et l'on sait que L.-Munatius Plancus construisit un temple du dieu à Formies. En outre, le culte de Saturne semble avoir joué un rôle particulier dans la haute vallée de l'Adige, autour de Vérone, de Trente (Tridentum), et chez la peuplade des Anauni, sur le versant méridional des Alpes rhétiques. Il est probable que Saturne ne fit que remplacer ici un dieu local. Dans l'Empire romain, il est tout un groupe de provinces, pour 1


lesquelles Saturne fut, pendant les premiers siècles de l'ère chrétienne, la divinité populaire par excellence; c'est l'Afrique du Nord (Province Proconsulaire, Numidie). Le nombre des inscriptions, des stèles votives, des sanctuaires consacrés au Saturne africain est déjà considérable; de nouvelles découvertes l'augmentent sans cesse. Sous le nom de Saturne, les Africains soumis à la domination romaine n'adoraient ni le Kronos grec ni le Saturnus proprement latin, mais bien l'antique dieu carthaginois, Baal, devenu le seigneur Saturne, dominus Saturnus. Le Saturne africain fut adoré surtout par les petites gens des villes et des campagnes, par ceux des sujets de Rome qu'atteignit le moins la civilisation romaine et qui cherchèrent le moins à imiter, leurs maîtres. Saturne est associé au plomb ,à l'époque romaine les tuyauterie étaient en plomb, si l'organisme ingurgite du plomb cela bloque les transmissions entre neurones et on a tendance à rendre la personne folle. Les sanctuaires du dieu gardèrent en partie l'aspect des sanctuaires orientaux; beaucoup d'entre eux consistèrent uniquement en enclos sacrés, au centre desquels s'élevait, en plein air, l'autel des sacrifices. L'un d'eux, découvert au sommet du Bou-Korneïn, qui domine le golfe de Carthage

En Afrique, à l'époque romaine, Saturne avait conservé le caractère monothéiste, ou plutôt panthéiste, du Baal phénicien; il n'avait emprunté à la mythologie gréco-romaine que son nom, les traits sous lesquels on le représentait, traits d'un vieillard barbu et voilé, et son principal attribut, la faucille et le couteau sacré appelé harpè. L'un des 2


sanctuaires les plus curieux du Saturne africain est celui de Dougga : là, sous les ruines d'un temple construit à l'époque de Septime Severe et décoré d'une triple cella (ci contre), on a retrouvé les vestiges certains d'un sanctuaire plus ancien, renfermant des traces de rites puniques. Le culte de Saturne ne disparut en Afrique que devant les progrès du christianisme. (J. Toutain). Vous ne le savez peut-être pas, mais le monde célèbre le culte de Saturne depuis des milliers d'années. Ce culte n'a jamais cessé et ses rites sont toujours actuels de nos jours. Saturne, surnommé le « Seigneur des Anneaux », est la raison pour laquelle nous échangeons des anneaux aux mariages ou mettons des auréoles sur la tête des saints. Cet article expose les attributs du dieu Saturne et la perpétuation de son culte par le biais de la culture populaire.

Depuis les temps anciens, les sages regardent les étoiles, admirant leur lueur paradisiaque et leur attribuant des pouvoirs divins, en fonction de leurs effets sur les humains. Avant le Déluge, Saturne était considéré par l'humanité comme le dieu suprême et le dirigeant des rois. Des chercheurs de l'occulte affirment que Saturne régnait sur le royaume de l'Atlantide et qu'il devint l'ancêtre de tous les patriarches et rois terrestres. Le culte fut perpétué par de nombreux dieux de l'antiquité : « Chronos (ou Saturne), Dionysos, Hyperion, Atlas, Hercule ont tous eu un lien avec ''un grand continent saturnien''; ils furent les rois qui régnèrent sur les pays des rives occidentales de la méditerranée, de l'Afrique et de l'Espagne » (Baldwin, « Nations préhistoriques ») Dans la mythologie égyptienne, Isis est considérée comme la fille aînée de Saturne : « Je suis Isis, reine de ce pays. J'ai été instruite par Mercure. Personne ne peut détruire les lois que j'ai établies. Je suis la fille aînée de Saturne, le plus ancien des dieux. »

Les grecs et les romains adoraient aussi Saturne comme une divinité cruelle. Voici un bref résumé sur la mythologie de Saturne dans le monde occidental :

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« Après la destitution de son père, Saturne devint pendant des siècles le souverain de l'univers et il régna avec sa soeur Ops, qui devint aussi son épouse. Il avait été prophétisé qu'un jour Saturne perdrait le pouvoir quand un de ses enfants le destituerait. Pour empêcher cet événement, chaque fois qu'Ops accouchait d'un enfant, Saturne l'avalait immédiatement. Quand son sixième enfant, Jupiter (Zeus) naquit, Ops le fit disparaître en l'emportant en Crète. Elle enveloppa ensuite une pierre dans ses langes. Sa déception fut complète quand Saturne l'avala, pensant que c'était l'enfant. Quand il eut grandi, Jupiter obtint le poste d'échanson de son père. Avec l'aide de Gaïa, sa grand-mère, il fit prendre à son père une potion qui l'obligea à vomir les cinq frères et soeurs de Jupiter, Vesta (Hestia), Cérès (Déméter), Junon (Héra), Pluton (Hadès) et Neptune (Poséidon). » Wikipédia, Saturne (mythologie) Saturne a toujours une connotation négative, si ce n'est maléfique. Dans les temps anciens on le nommait « le grand maléfique », qui s'opposait à Jupiter, « le grand bénéfique ». Saturne est associé sur le plan ésotérique aux limitations humaines, aux restrictions, à la mort et au délabrement. Son nom grec, Kronos, le maître du temps, ce temps qui est le principal facteur inévitable de la mort et de la décrépitude. Des représentations traditionnelles de la « grande faucheuse » ont pour origine les attributs du dieu Saturne, qui tient la faux avec laquelle il tua son père.

Giorgio Vasari, La mutilation d'Uranus par Saturne, XVIème siècle, Palazzo Vecchio Saturne et Satan Saturne a également été associé à Satan et ce pour de nombreuses raisons. D'abord plusieurs auteurs affirment que le mot Satan est dérivé du mot Saturne. Ensuite Saturne est associé à la couleur noire comme Satan. Enfin, les Anciens considéraient Saturne comme la planète la plus loin du soleil, ce dernier étant associé au principe du Bien. (notez que Pluton n'a jamais été considéré comme une planète). Saturne est donc le corps céleste qui est le moins exposé à la lumière divine du soleil et par le fait assimilé avec le principe glacé du Mal. Pour finir, le « grand dieu Pan », divinité à cornes, représentait Saturne dans l'ancien paganisme. Cette créature moitié homme-moitié chèvre est considérée comme l'ancêtre de nos représentations modernes de Satan. « Pan était une créature composite, la partie supérieure - à l'exeption des cornes, était humaine et la partie inférieure avait la forme d'une chèvre. (...) La flûte de Pan signifie l'harmonie naturelle des sphères, et le dieu lui-même est un symbole de Saturne, parce que cette planète gouverne le Capricorne, dont l'emblême est une chèvre »

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Manly P. Hall, Enseignements Secrets de tous les âges Pan fut donc dépeint avec des cornes car il représentait Saturne, le maître de la maison du Capricorne dont le symbole est une chèvre : Pan était l'esprit contrôleur des mondes inférieurs. Il a été dépeint parcourant les forêts, pénis en érection, ivre et lascif, s'ébattant avec des nymphes et jouant de la flûte dans la nature sauvage. On pourrait dire qu'il gouvernait la nature inférieure de l'homme, son côté animal, un peu comme Satan. Bien qu'elles reconnaissent son association avec le Mal, les sociétés secrètes estiment la vénération de Saturne nécessaire pour obtenir l'illumination.Il est la contrepartie nécessaire au principe du Bien. Les auteurs francs-maçons associent clairement Saturne à Satan : « Saturne est l'opposé de Jupiter; son symbole est la croix au-dessus du signe de la Lune ♄ . Il est le Satan, le Tentateur ou plutôt le Testeur. Sa fonction est de châtier et de dompter les passions désordonnées de l'homme primitif. » JS Ward, Franc-Maçonnerie et Anciens Dieux L'exemple probablement le plus extrême d'une société secrète adorant le principe du Mal saturnien est la « Fraternité de Saturne ». Cette organisation occulte est basée en Allemagne et incarne ouvertement la face cachée du culte de Saturne. « La fraternité de Saturne, devint connue des lecteurs anglais grâce aux descriptions fragmentaires qui soulignent les aspects sensationnels, magico-sexuels de l'activité de cette loge ou plutôt son côté plus sombre, plus satanique. C'est compréhensible à la lumière du fait que la fraternité de Saturne est (ou fut) l'organisation luciférienne ayant le moins de retenue dans la renaissance occulte occidentale moderne et ses pratiques d'occultisme sexuel sont peut-être les plus richement détaillées de toute autre loge du même style. La fraternité de Saturne représente un mélange unique de cosmologie astrologique, de démonologie néo-gnostique, d'occultisme sexuel, et de principes franc-maçonniques organisés. Cette grande synthèse fut à l'origine la vision d'un homme, celle du Grand Maître de longue date de la fraternité de Saturne, Gregor A. Gregorius ». Source : Stephen E. Flowers, Feu et Glace : l'histoire, la structure et les rituels du plus grand ordre de magie moderne allemande : la fraternité de Saturne. Aujourd’hui Une Fraternité hermétique pratiquant des rites occultes saturniens et sataniques s'appelle "Mother of Darkness" Pour conclure L'humanité à représentée Saturne à travers les âges sous différents aspects. La somme de symboles associée à cette déité obscure ne fait qu'augmenter son importance dans l'histoire humaine. L'avènement des religions monothéistes du christianisme, judaïsme et islam confina le culte de Saturne aux cercles occultes. Comme nous l'avons vu ici, le Seigneur des Anneaux est toujours omniprésent dans la culture populaire, reconnu seulement par ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre.

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B) Saturne : le soleil noir Le Soleil Noir (associé à Capricorne / Décembre) représente l’équinoxe vernale, quand le soleil est au plus bas dans l’hémisphère nord, et donc qu’un « ennemi » cherche à détruire le soleil. Puis finalement il ressuscite 3 jours plus tard, et le 22 Mars (322), voila le retour du printemps où de la nouvelle aube L’aube arrive après l’obscuration de la conscience. Sans obscuration il ne peut y avoir d’aube ! L’éclipse représente cette phase de la « loi », car saturne représente la justice dans cet ancien système. Voici une référence concrète à Satan durant l'eurovision 2015 en Autriche :

Le candidat Azéri faisant un 666 avec ses doigts

Le gagnant de l'eurovision 2015, le suédois Måns Zelmerlöw avec le titre "Heroes"

Extrait des paroles de Heroes de M. Zelmerlöw : "We are the heroes of our time Heroes, oh whoa… But we’re dancing with the demons in our minds Heroes, oh whoa…" Heroes 2015

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C'est aussi une allusion à la série américaine du même nom qui comporte une lune obstruant le soleil

El/Baal et la KAABA El,Dieu dans le langage sémitique, Dieu du ciel et créateur, dans les religions des anciens Sémites occidentaux. Il apparaît notamment dans les poèmes d'Ougarit, ou il est le père des Dieux (Anat, Baal)- Dans la Bible, El est un des noms du dieu d’Israël ; il entre fréquemment dans la composition des noms propres hébraïques (Béthel, Samuel) Dieu. La Kaaba fut construite, selon la croyance musulmane, par Abraham comme sanctuaire pour le culte de Dieu. Mais du temps de Mahomet elle abritait de nombreuses divinités arabes. Après la conquête de la Mecque, Mahomet fit abattre toutes ces divinités, à l'exception de la pierre noire, un météorite que les Arabes adoraient mais que les musulmans prennent pour un don de l'ange Gabriel à Abraham. La Kaaba constitue l'objet le plus sacré chez les musulmans après le Coran, et fait l'objet de différents normes : le musulman doit tourner sept fois autour d'elle dans son pèlerinage, se diriger vers elle dans sa prière, et éviter d'avoir le séant ou le visage orientés dans sa direction et éviter d’être orientés dans sa direction lorsque le pratiquant à envie de pisser. Cette conception anthropomorphique de la divinité, héritée des juifs et des polythéistes arabes, se heurte à une autre 7


conception coranique selon laquelle Dieu est omniprésent et que la religiosité ne dépend pas de la direction mais de la foi et des bonnes œuvres

New York

Manhattan

Danemark

Le cube noir est une ancienne réminiscence de l'ancien culte de EL Le nom Israël lui-même, loin d’être une dénomination juive, est probablement formé de la combinaison de trois noms distincts de divinités: Isis, la déesse de la terre vénérée dans tout le monde antique; Ra, le dieu-soleil égyptien; et El, le dieu sémitique, dont la figure nous a été transmise sous la forme de Saturne – Walker, op. cit. -. El/Saturne était l’un des noms les plus anciens pour le dieu des anciens Hébreux (d’où Emmanu-El, Micha-El, Gabri-El, Samu-El, etc.), et son culte transparaît dans le fait que les juifs font encore aujourd’hui du samedi le jour consacré au sabbat. Le fait même que les chrétiens vénèrent leur dieu le dimanche [Sun-day en langue anglaise] en trahirait les origines véritables. Leur « sauveur » est effectivement le 8


Soleil, la « lumière du monde que chaque œil peut voir ». Le soleil a été universellement désigné à travers l’histoire en tant que sauveur de l’humanité pour une raison évidente: sans le soleil la vie sur la planète ne durerait pas une journée. Source : www.webnietzsche.fr/etymo.htm

Cette pierre dit on, fragment de la statue de Saturne, placée sur la Kaaba même, et qui fut brisée, ainsi que toutes les autres figures emblématiques des astres, par ordre de Mahomet. On sait que Saturne était la principale divinité des Arabes. Le catholique Alain Pascal s’est fait connaître dans les années 90 et 2000 par une série d’articles (dans le Libre Journal de Serge de Beketch) et d’ouvrages originaux, s’évertuant à dévoiler la face cachée de grands phénomènes historiques. Il met en lumière dans ses divers livres des liens relativement étonnants entre des événements et des courants d’idées « novateurs » d’un côté et la gnose, la kabbale, la franc-maçonnerie et les ésotérismes de l’autre. Ses livres regorgent d’informations et peuvent susciter d’utiles débats. Introuvable depuis des années, son livre politiquement incorrect Islam et kabbale contre l’Occident chrétien, 2e volume de sa Guerre des gnoses, vient d’être réédité pour le plus grand bonheur des afficionados d’Alain Pascal. Éditions des Cimes, 442 p. Index des noms et des mots-clés, table des matières détaillée. 4e de couverture : « L’islam est une religion golem dont l’ésotérisme véhicule la gnose anti-chrétienne codifiée par le Talmud. A partir de ce constat anticonformiste, Alain Pascal montre que l’islam a toujours servi d’instrument aux forces occultes pour détruire l’Occident chrétien, la civilisation qui sanctifie par la foi le passé païen européen. De tout temps, la guerre est politique, mais aussi culturelle. Aux Temps féodaux, l’islam est contenu par les Carolingiens et la gnose rejetée par la tradition chrétienne. Tandis que les rois d’Europe s’unissent dans les guerres défensives que sont les Croisades, l’Église écarte le nominalisme dans la querelle des Universaux. Tout change après le XIIe siècle, c’est-à-dire avec l’existence officielle de la Kabbale, mouvement ésotérique, mais aussi complot politico-financier. Dans un premier temps, la France et l’Église résistent à la Kabbale. La croisade contre les Albigeois et l’Inquisition sauvent la civilisation occidentale menacée par la révolution cathare. L’Occident peut connaître l’apogée du XIIIe siècle. Les cathédrales sont dressées vers le ciel et la grande scolastique offre la Raison à l’humanité parce que le Talmud qui inspire la philosophie judéo-musulmane est condamné. 9


Malheureusement, la Kabbale a déjà des complices : les ésotéristes qui ont infiltré les mouvements littéraires avant les universités et certains monastères. La théosophie juive du Zohar séduit les premiers « illuminés ». Un cabalisme « chrétien » ouvre la voie à l’ésotérisme cosmopolite de la Renaissance, c’est-à-dire à la Révolution moderne. La subversion des mentalités a préparé la nouvelle conquête. De nos jours, la gnose triomphe dans la philosophie maçonnique et, par le biais de l’immigration, l’islam achève l’œuvre de la Révolution, faire table rase de l’Occident chrétien. Telle est l’actualité de la Guerre des gnoses. » (source Roy XXIII) L'origine de la Kaaba selon diverses sources.

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Au Moyen-Orient, le dieu de la lune est Ilah. Il ne s’agit pas du nom propre d’un dieu spécifique mais d’une appellation générique pour " le dieu ". Chaque tribu arabe locale se rapportait à son propre dieu tribal local en le nommant Al-Ilah qui est devenu plus tard Allah. Le Al-lât, féminin de Allah est une divinité adorée à la Mecque bien avant la venue de Mahomet qui est envoyé pour détruire la Mecque dans le cadre de l'instauration du nouveau culte. Ilah (ou Allah) est adoré sur une longue période pré-islamique, parfois sous d’autres appellations de Allah que nous connaissons aujourd’hui, et donc que Allah ne trouve pas son origine dans la Bible, comme essaient de le faire croire les musulmans, mais du paganisme païen qui plus tard est utilisé dans la Bible, puis dans le Coran. Des érudits arabes le reconnaissent puisque Al-Kindi a précisé que l’Islam et son dieu Allah ne sont pas venus de la Bible mais du paganisme des Sabéens. Les arabes païens de la Mecque adoraient le Al-llah, dieu de la lune qu’ils appelaient Hubal. Ce dieu est présenté par ces habitants de la Mecque comme le seigneur le plus élevé des 360 dieux de kabba , tout comme Allah. Mais Hubal est le dieu auquel les arabes païens adressaient leur prières pour Allah, c'est à dire que Allah était Hubal dieu de la lune et ce Allah était un dieu païen vénéré à la Kabba bien avant la venue de Mahomet. Cela explique pourquoi le croissant de lune est le symbole universel de l’Islam mais en réalité cela représente le cercle de la précession des Equinoxes, cela n'a jamais été un symbole de la lune avec l'étoile à 5 branches centrale.

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Dans le hadithde Sahîh de Bukhari , il est rapporté, au moment où Muhammad reconquit la Mecque

en 630, qu’il y avait 360 statuettes représentant autant de divinités. Parmi ces divinités, il y avait Baal, le seigneur et maître de tous les autres dieux, souvent assimilé au Marduk des mésopotamien, il est un avatar de Jupiter-Zeus mais pas seulement. Les dévots du dieu se sont battus contre les adeptes du Prophète Muhammad au cours de la bataille de Badr en 624. En 630, après sa victoire, Muhammad a enlevé la statue de Hubal de la Kaaba avec les idoles de tous les autres dieux païens. Ce Baal sémitique que l'on retrouve aussi à Carthage, en Syrie et en Phénicie est difficile à identifier car il est multiforme. Selon Karen Armstrong , le sanctuaire a été consacrée à Hubal, qui était adoré comme le plus grand des 360 idoles de la Kaaba contenait, ce qui représente probablement les jours de l'année. Les Egyptiens utilisent les astres pour leurs divinités, il y a le culte du soleil de la journée avec le soleil au Zenith, le soleil dans l'année et le soleil sur l'écliptique en relation avec le Zodiaque et le point vernal ou gamma sur le plan. Mais les Egyptiens utilisent aussi les cycles lunaires en relation avec le cycle des menstruations de la femme, c'est à dire 28 jours !

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Selon l'Encyclopaedia Britannica, la Kaaba a 360 images. Les descriptions traditionnelles mentionner que l'une des divinités parmi les 360 détruits lorsque le lieu a été pris d'assaut, était celui de Saturne, l'autre était de la Lune et un autre encore a été l'un appelé Allah. Cela montre que dans la Kaaba les Arabes adoraient les neuf planètes de pré-islamiques jours. En Inde, la pratique de la «Navagraha 'puja, qui est le culte des neuf planètes, est toujours en vogue. Deux de ces neuf sont Saturne et la Lune.

En réalité, Allah est le nom de la divinité païenne, le dieu lune Allat. A l'époque de Mahomet une statue de la déesse était au centre de la KAABA avec 360 autre divinités adorées dans le sanctuaire. Aujourd'hui la Ka'ba est un édifice cubique au centre de la grande mosquée à arcades en quadrilatère, formé suivant le plan primitif. Dans sa paroi est scellée la Pierre noire vénérée par les Musulmans. Dans sa lutte contre les mecquois, Mahomet aurait détruit leur temple de Al-uzza. Donc, quand ces trois déesses furent détruites, Allah (dieu lune) régna d'une façon suprême en Arabie.

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Mahomet proscrit en son temps toute idolâtrie de La Mecque. La Mecque est un nom syrien, qui signifie, en araméen, ville basse, désignant à l’origine la ville basse de Madian ou de Damas, où sont nés le Coran et l’islam. Aujourd’hui l’opinion la plus répandue chez les chercheurs est que La Mecque, en Arabie, n’existait pas à l’époque, puisque nulle ville ne peut naître dans un désert sans eau. Des fouilles le démontreraient en quelques jours. Il est bon de savoir que dans les premiers temps de l’islam, l’orientation de la prière n’était pas en direction de la pierre-fétiche, mais vers Jerusalem, entre le soleil levant, Sichem, ville que Mahomet nommait parfois " Bayt al-Maqdis " (maison de la sainteté). Jérusalem demeure d’ailleurs la troisième grande ville sainte de l’islam (avec La Mekke et Médine). Ce n'est que lorsque Mahomet décida d'en finir avec les Juifs, qui se moquaient de lui et refusaient de se soumettre malgré sa compromission envers leur ville Sainte, qu'il décida, en représailles, au mois de février 624 (peu après la bataille de Badr), d'ignorer désormais Jérusalem et exhorta ses disciples à prier en direction de La Mecque. La symbolique est complètement marteau ! La déesse Allat (Allah) un avatar de ISIS (Demeter / Athéna) est enfermée dans le centre du zodiaque (voilée). Les fidèles font 7 fois le tour (ce sont les 7 planètes de la création) formant une spirale (la spirale du Zodiaque) et viennent finalement toucher le sexe de la déesse Mère Allat en prison dans son cube. Quand le culte a été modifié, c'est l'ensemble des religions qui sont touchée. La femme est écarté du culte, elle est symboliquement enfermée dans un cube, que représente la constellation Pegaze. La déesse sémitique Ishtar / Innana est une déesse originaire d'Egypte. Elle est l'OEUF de la création, c'est la mère de toutes les Déesses, Neith. pourtant dite sans sexe, c'est ça vulve que viennent toucher les fidèles avec la pierre noire.

Les déesses du temps du prophète Mahomet - AI-Lat (Allat), était la "Dame du temple" au Panthéon sémitique de Palmyre, souvent mentionnée dans les sources anciennes. Elle était la déesse mère (al-Ilahal), représentant le soleil, et faisant figure de mère parmi les dieux et les déesses, la Grande Mère Terre dans la mythologie ancienne et l'Astarté des Arabes. De Palmyre elle fut introduite dans la région du Hedjaz. Si Allah ( dieu lune ) signifiait "le dieu", de même AI-Lat signifiait "la déesse", et elle était adorée à Ta'if, ville proche de la Mecque et les Mu-Attib en étaient les prêtres. C'est sous la forme d'une grande pierre de granit blanc qu'elle était adorée. 15


- Manat, peut-être la déesse d'origine arabe, apparaît avant al-Lat et al-Uzza. Il semble qu'elle soit arrivée en Arabie de Palmyre, ou elle était adorée à côté de Baal. Son sanctuaire se trouvait proche de Yathrib, à Kudaid. Cette déesse du destin, s'occupait des naissances, mariages et de la mort. A la venue de Mahomet sa popularité déclinait, et il fut relativement aisé aux Arabes de l'abandonner pour Allah ( dieu lune ). - AI-Uzza (la Forte), était la divinité la plus populaire de la Mecque, à l'époque de Mahomet, outre Hubal. Les Arabes sacrifiaient des garçons et des filles à cette déesse. La tradition mentionne que Mahomet dans sa jeunesse lui a offert en sacrifice un agneau blanc. Est-ce sur le mont Hira que Mahomet lui a offert cet agneau ? Dans sa lutte contre les mecquois, Mahomet aurait détruit leur temple de AI-Uzza. Donc, quand ces trois déesses furent détruites, Allah ( dieu lune ) régna d'une façon suprême en Arabie http://ostervald.free.fr/muslim/allah/dieuluneallah.htm L'Islam une imitation de la religion hindou ? En Inde, le croissant de lune est toujours peint sur le front du symbole de Shiva. Depuis que le symbole a été associé à l'emblème de Shiva au niveau de la Kaaba il est venu se greffer sur le drapeau de l'Islam. Une autre tradition hindoue associée à la Kaaba est celle du flux sacré du fleuve du Gange matérialisé la déesse Ganga (eaux sacrées du Gange). Selon la tradition hindoue Ganga est également indissociable de l'emblème de Shiva comme le croissant de lune. Partout où il est un emblème de Shiva, Ganga doit co-exister. Fidèle à cette association une fontaine sacrée existe près de la Kaaba. Son eau est considéré comme sacré parce qu'il a été traditionnellement considéré comme Ganga depuis l'époque préislamique (Zam-Zam eau). La déesse Hindou Ganga [Remarque: Même aujourd'hui, les pèlerins musulmans qui se rendent à la Kaaba pour le Hajj considèrent cette eau de Zam-Zam, avec révérence et prendre de l'eau en bouteille avec eux comme l'eau sacrée.] Les Pèlerins musulmans voulant sacraliser la Kaaba doivent en faire sept fois le tour. Les Hindous pratiquent toujours la circumambulation (tourner autour d'un objet) autour de leurs divinités. C'est encore une autre preuve que le sanctuaire Kaaba est un temple pré-islamique indien Shiva où la pratique hindoue de la circumambulation est toujours méticuleusement observée. La pratique des sept étapes connues comme la"saptapadi" en sanskrit, est associé à la cérémonie de mariage hindoue et au culte du feu sacrée. Le rite culminant dans un mariage hindou enjoint la mariée et le marié à faire le tour du feu sacré quatre fois (mais incompris par beaucoup comme sept fois). Depuis "Makha" désigne le feu, les sept circumambulations également prouver que la Mecque était le siège des Affaires indiennes, le culte du feu répendu dans la région d'Asie de l'Ouest. En langue sanskrite Allah, Akka et Amba sont synonymes. Ils signifient une déesse ou de la mère. Le terme «Allah» formes du sanskrit des chants invoquant la déesse Durga, 16


également connu sous le nom Bhavani, Chandi et Mahishasurmardini.. Par conséquent, continué par l'Islam, Allah signifie la mère, la déesse ou la déesse mère. Source : prophetie biblique.com « C'était du temps d'Assuérus, de cet Assuérus qui régnait depuis l'Inde jusqu'en Ethiopie sur cent vingt-sept provinces »; Esther 1,1 « Les secrétaires du roi furent appelés en ce temps, le vingt-troisième jour du troisième mois, qui est le mois de Sivan, et l'on écrivit, suivant tout ce qui fut ordonné par Mardochée, aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des cent vingt-sept provinces situées de l'Inde à l'Ethiopie, à chaque province selon son écriture, à chaque peuple selon sa langue, et aux Juifs selon leur écriture et selon leur langue. » Esther 8:9 Selon André Wautier, Ialdabaôth (fils du chaos) ou Sabaoth (dieu des armées) est le nom du mauvais démiurge . Ceci figure dans la doctrine de nombreuses sectes gnostiques , telles que les Nicolaïtes ou les Séthiens. Il a été assimilé au Jéhova hébreu, au Chronos grec, à l'Allah de l'Islam. Pour certains gnostiques, c'est l'archonte maître de l'orbite de la planète Saturne.

On à retrouver Allah, il n'est pas très beau finalement !! Il n'est pas à confondre avec le principe qui lui est opposé et donc libérateur de ce point de vue gnostique, assimilé au Satan hébreu, au Prométhée grec, à l'Iblis de l'Islam, etc.

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Durant le Moyen-âge jusqu’à l’époque contemporaine, on a représenté l’Étoile du Soir au Proche-Orient par une étoile à huit pointes ou par une fleur à huit pétales. Pourquoi huit ? Tout d’abord, souvenons-nous que Vénus-Ishtar est visible sous ses deux cycles de 245 ou 247 jours ce qui équivaut à 8 cycles lunaires. On pouvait apercevoir l’étoile du matin avec la nouvelle lune huit fois avant qu’elle ne soit « avalée » par le soleil, c’est-à-dire rendue invisible par la lumière du soleil. Ensuite, il faut 8 années pour que Vénus accomplisse son cycle complet autour du zodiaque. C’est ainsi que cette étoile à huit pointes a été associée à Inanna-Ishtar, la planète Vénus autrement dit, en Mésopotamie.source :EzoOccult Etoiles d'Ishtar

Porte d'Ishtar à Hollywood

On retrouve la même chose au Vatican et à Washington avec son obélisque

Lingam Hindou

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L'obélisque est une référence au dieu Baal L'octogone, l'étoile à huit branche est une référence à Ishtar

Représentation du Dieu Baal et son étoile

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Baal associé au taureau Moloch


Ishtar /Ashera / Astarté dans la bible Le Pentateuque en parle quatre fois comme des idoles à détruire.(Ex 34,13, Dt 7,5 ; 12,3 ;16,21) Et le roi Josias, vers 630 av. J.-C., « ordonna [...] de retirer du sanctuaire de Yahvé tous les objets de culte qui avaient été faits pour Baal, pour Ashera et pour toute l'armée du ciel [...]. Il supprima les faux prêtres que les rois de Juda avaient installés et qui sacrifiaient [...] à Baal, au soleil, à la lune, aux constellations et à toute l'armée du ciel. [...] Il démolit la demeure des

Ishtar avec ses chouettes, la déesse harpie

prostitués sacrés[Rois II 23, 4-7] qui était dans le temple de YahvéElle est également appelé Elat (Déesse féminine de El)comparé à Allat et Qodesh. Appelé Athirat dans les textes Akkadiens, la femme d'Anu, le Dieu du Ciel. Par contraste elle est connue pour être liées à la déesse Mésopotamienne Ishtar qui est parfois décrite comme la fille de Anu dans la mythologie Ougarit. Ishtar est une des filles de El, elle est connus pour ses 70 fils , les mêmes que ceux de El.

Orientation de la Kaaba En Egypte, la ville de Canope était le principal port avant la fondation d'Alexandrie. Hérodote rapporte que Canope était un port antique. La principale fête annuelle de Osiris et le lancement de son bateau sur le Nil était le 5 Mars au début du printemps avec l'étoile Canopus dans le ciel. Canopus est la Grande Étoile du Sud et la deuxième plus brillante étoile du ciel après Sirius. Selon l'historien romain Tacite, la ville 20


de Canope aurait été fondée par des Spartiates de retour de Troie. Leur navire aurait été déporté et Canopos, le pilote du navire du Roi Ménélas, aurait été enterré là. Canope est aussi la ville où Antinoüs, amant d'Hadrien, se serait noyé. Hadrien a construit le Canope de la villa d'Hadrien en souvenir de l'antique canal qui reliait les deux villes égyptiennes d'Alexandrie et de Canope. L'historien grec Hérodote nous parle d’un grand temple qui avait été construit à l’endroit où le fameux héros Héraklès / Hercule, un avatar de l'Egyptien Somtous fils de Herichef (avatar de Hercule / Heracles), avait débarqué en Égypte. Il rapporte aussi la visite d’Hélène à Héracléion avec son amant Pâris avant la guerre de Troie. Canopus est aussi dans l'ancienne constellation Argo navis, expliquant l'atterrissage de l'arche (ou d'un navire) sur Terre, elle marque le gouvernail de l'ancien navire Argo, une constellation maintenant coupée en trois dans le ciel. Canopus se trouve à peu près au sud de Sirius, elle arrive au méridien environ 20 minutes avant Sirius. Quand Sirius atteint son point culminant dans le sud, Canopus brille environ 40 degrés au-dessous; malheureusement elle est hors de vue pour l'Europe, le Canada et la moitié nord des États-Unis, elle représente les profondeurs de la Terre (les enfers).

Canopus est la deuxième étoile la plus brillante dans le ciel après Sirius. L'étoile est importante dans le cycle de la précession des équinoxes dans l'hémisphère Sud car l'étoile de la Carene est un ancien élément de Argo navi que l'on a coupé en 3 morceaux, Beta carinae est connectée en inversion (Nord-Sud) avec Polaris, notre l'étoile polaire. En 4420 Av. J-C, Canopus apparaît pour la première fois depuis le site de Gizeh en Egypte sur l'horizon sud et plein sud, cela correspond à l'époque de la construction des pyramides. Elle a été utilisée par Posidonios pour évaluer la 21


longueur du méridien. Depuis la Mecque, l'étoile Canopus est aligné avec le soleil le 21 Juin, le jour du solstice d'été Canopus est également alignée avec le soleil et l'étoile polaire au niveau des pôles.

Le 21 décembre jour du solstice d'hiver, Canopus est à son Zénith plein sud (au moment ou la course du soleil est la plus basse) L'origine du croissant et de l'étoile comme symboles date des temps de Babylone et de l'Égypte ancienne. Il a été suggéré que les tribus turques, durant leurs migrations d'Asie centrale vers la Turquie aux alentours de 800 après J.-C., ont adopté ce symbole des tribus et états locaux dans la zone du Moyen-Orient actuel, qui a adopté à son tour ces symboles. On retrouve aussi trace de ce symbole dans les cultes pré-islamiques du Proche-Orient aux côtés d'autres symboles et rituels païens adoptés par l'islam. Il est à noter que le symbole lunaire accompagné de l'étoile a également été adopté par d'autres trinités, pour Artémis chez les Grecs, Diane chez les Romains. Dans l'iconographie chrétienne, la Vierge Marie est souvent représentée avec la lune sous ses pieds, en référence à un verset de l'Apocalypse, et couronnées de 12 étoiles. Plusieurs significations sont attachées à ces deux symboles : L'étoile à cinq branches peut représenter les cinq piliers de l'islam. 22


Drapeau de l'Algérie

le croissant peut symboliser le dernier croissant de Lune, qui marque la fin du mois de ramadan. Le 21 Juin on voit un croissant formé par la ligne d'écliptique et l'équateur stellaire avec en plein sud l'étoile Canopus. A l'époque Babylonienne, si l'on se trouvait à Bagdad (Babylone)

c'était l'étoile Sirius qui est en plein sud.

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En Franc-Maçonnerie Le Degré de l’Arche Royale (le 13è degré du Rite Ecossais ou le 7é degré du Rite de York) est aussi connu en tant que le FrancMaçon du Secret. Dans ce degré, l’initié est dit recevoir de grandes vérités Maçonniques. C’est dans ce degré que l’initié apprend le nom sacré de Dieu. Un degré indescriptiblement plus auguste, sublime, et important que n’importe lequel qui lui a précédé, en fait, le summum et la perfection de l’ancienne Maçonnerie. Il imprime dans nos esprits une croyance en l’existence de Dieu, sans commencement de jours ni de fin d’années, le grand et incompréhensible Alpha et Oméga, et nous rappelle la vénération qui est due à son NOM Sacré. » – George Oliver, Historical Landmarks Le nom sacré est Jahbulon, une combinaison des mots voulant dire « dieu » en Syrien, Chaldéen et Égyptien. « JEHOVAH. Parmi les variétés de ce nom sacré en usage à travers les différentes nations de la terre, trois méritent particulièrement l’attention des Francs-Maçons de l’Arche Royale:

Napoléon Bonaparte l'initié

1. JAH. Ce nom de Dieu est trouvé dans le 68è Psaume, v. 4. 2. BAAL OU BEL. Ce mot signifie un seigneur, maitre, ou possesseur, et donc il a été appliqué par la plupart des nations de l’Est pour désigner le Seigneur de toutes choses, et le Maître du monde. 3. EON. C’était le nom par lequel JEHOVAH était adoré parmi les Égyptiens. » – Malcolm C. Duncan, Duncan’s Masonic Ritual and Monitor Le rituel d’initiation de ce degré réordonne le retour à Jérusalem de trois des plus Excellents Maçons qui étaient tenus en captivité à Babylone. Je ne vais pas passer toute la cérémonie et le symbolisme en revue, mais à un moment donné, l’initié est demandé d’apprendre un mot de passe secret et un signe de la main afin de passer par une série de voiles. L’image suivante illustre le signe de la main requit afin de passer par le second voile, tel qu’il est documenté dans Duncan’s Masonic Ritual and Monitor: On comprend mieux pourquoi les "Témoins de Jéhovah" sont de véritable hérétiques car ils adorent le nom caché de Baal.

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Dans le Judaïsme L’Encyclopédie Juive («Adonaï et Baal») révèle: "Le nom de Baal, apparemment comme un équivalent de Yhwh." Depuis l’époque de Jérémie, les Juifs ont oublié le nom de leur dieu et l’ont remplacé par le titre "Baal" ou "YHVH": Les prophètes menteurs "Qui pensent avoir occulté mon nom [Dieu] auprès de mon peuple … tout comme leurs pères ont substitué mon nom pour Baal ". (Jer 23:27). En 1976, Walter White Jr., «un patriote inquiet» a mené une entrevue avec un jeune Juif nommé Harold Rosenthal, qui fut l’assistant du sénateur Javits de New York. Dans l’interview, publiée plus tard sous le titre «La Tyrannie Cachée» l’arrogant Rosenthal se vante (sur bande) que le peuple juif a fabriqué certains «mensonges qui servent à dissimuler leur nature et à protéger leur statut et leur pouvoir.» Rosenthal démystifie le mensonge communément admis que «les Juifs sont des Israélites, et donc le peuple élu de Dieu.» Rosenthal a dit en partie : «La plupart des juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer – alors je ne mentais pas – et nous sommes son peuple élu. Lucifer est bien vivant. (http://www.biblebelievers.org.au/tyranny1.htm) L’objectif de Lucifer est «d’être comme le Très-Haut» (Isa. 14:14) et d’usurper le rôle de Dieu (Mat. 4:9). Le but de Lucifer est de tromper le monde entier (Ap. 12:9) en se transformant en ange de lumière (2Co. 11:4). Ceci est bien illustré par les Francs-maçons. Leur mot d’ordre de «rendre les hommes bons meilleurs» produit une image beaucoup plus favorable aux yeux du public que l’alternative la plus précise : «comment devenir démoniaque en 33 étapes faciles.» Les religions juive et francmaçonne adorent toute deux le même dieu. (Source Whatsupic.com)

Conclusion Le culte de Saturne s'est donc retrouvé sous différente formes dans diverses religions à travers l'histoire ; Beaucoup de croyant croient prier Dieu mais il n'y a que le nom de « Jésus » (Yeshua) qui sauve !

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