Portfolio Morgane DEWEERDT, septembre 2018 by Morgane Deweerdt

PORTFOLIO MORGANE DEWEERDT SELECTION DE PROJETS | 2013-2018

EXEMPLES DES SYSTÈMES AQUAPONIQUE ET AÉROPONIQUE UTILISÉS

MORGANE DEWEERDT INGENIEUR CIVIL ARCHITECTE deweerdt.morgane@gmail.com +32 484 67 60 79 Rue de la Limite 59 1950 Kraainem Motivée, avide d’apprendre, créative, perfectionniste, consciencieuse, travailleuse, sociable

EDUCATION 2016 - 2018 2013 - 2015 2006 - 2012

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Aout 2017 Stage professionnel, Jaspers-Eyers | Maitre de Stage: Eric Delgoffe Vacances 2016, 2015, 2014 Jobiste au rayon Traiteur, Carrefour Juillet 2013 Jobiste en réassortiment, Inno Aout 2012 Aide au bureau, CEGES-COGES EXPERIENCES SUPPLEMENTAIRES 2012 - 2018 Bénévole pour la revue des Ingénieurs : Construction des décors et Responsable d’une équipe 2010 - 2013 Scoutisme: Cheffe et Grande Cheffe : Animation d’enfants de 5 à 9 ans, gestion générale LOGICIELS Autodesk AutoCAD 2D et 3D Archicad Autodesk Revit Adobe Photoshop Adobe Illustrator Suite Office/ Microsoft Office

Feu et séisme: Excell, ACB+, Macs+, A3C, OZONE Calcul de structure: ISSD, Adina 2D Lumière : Velux Daylight Visualizer

LANGUES Français: Langue Natale Anglais: Connaissances approfondies Néerlandais: Connaissances passives

COMPETENCES Maquettisme Dessin à la main Multi-tâches, organisation Esprit critique Créativité MORGANE DEWEERDT

INGENIEUR CIVIL ARCHITECTE

SOMMAIRE

JARDIN GASTRONOMIQUE

INTIMITE ET OUVERTURE, UN CEFA AGRICOLE

Master 2 | Mémoire Septembre 2017 - Juin 2018 Une école d’art culinaire au Kirchberg, où se mêlent école et aménagements urbains

REVALORISATION D’UN PAYSAGE HUMIDE Master 1 | Urbanisme Février 2017 - Juin 2017 Revalorisation de la commune de Drogenbos par les espaces ouverts, le paysage, la culture et une gestion résiliente de l’eau Avec: Loriane Wilmet, Xatria Manzo et Laura Pirson

Master 1 | Détails Septembre 2016 - Décembre 2016 Centre d’éducation et de formation en alternance, un écrin de verdure contrastant avec les quais industriels d’Anderlecht

UNE NOUVELLE GARE POUR ETTERBEEK

STRUCTURE ET LUMIERE DANS LE MONDE VITICOLE HABITAT SUSPENDU, APPARTEMENTS TERRASSES Bac 3 | Logements Février 2016 - Juin 2016

Densification de l’habitat en plein coeur de Liège Proposition d’un programme mixte: commerces, habitat groupé et jardins suspendus Avec: Loriane Wilmet et Camie Eggermont

Bac 3 | Structure et lumière Septembre 2015 - Octobre 2015 Agrandissement d’une exploitation viticole en plein coeur de l’Espagne Recherches au CSTC et étude lumineuse Avec: Loriane Wilmet

ATELIERS D’ARTISTES ET CONSTRUCTION RECYCLEE Bac 2 | Dessin Avril 2015 - Juin 2015 Aménagement d’ateliers d’artistes et de lieux de rencontres à Forest à partir d’anciens containeurs recyclés

Bac 2 | Dessin Novembre 2014 - Décembre 2014 Proposition de réaménagement et d’agrandissement de la gare d’Etterbeek et prolongation du réseau cyclable bruxellois Avec: Laura Pirson

MEMOIRE | JARDIN GASTRONOMIQUE, OU SE MELENT ECOLE ET AMENAGEMENTS URBAINS KIRCHBERG, LUXEMBOURG Master 2 - Juin 2018

Pour notre mémoire, nous devions développer une institution reliée à l’enseignement et la faire vivre dans la ville de Luxembourg. Intéressée par le challenge et les techniques, je me suis lancée dans la réalisation d’une école en art culinaire dans un quartier en pleine évolution. Outre le fait de proposer différentes formations aux futurs cuisiniers et entrepreneurs, il était important de faire vivre le bâtiment autrement en proposant également des séminaires, master class et autres cours du soir afin d’ouvrir ce domaine technique à un public moins ou non initié. Cette école a donc pris également le statut de centre culinaire. Afin de faire cohabiter ces différents publics, il semblait important de proposer un bâtiment comprenant plusieurs ensembles d’espaces distincts tout en les reliant afin d’unir les protagonistes autour de la cuisine. Depuis le début du projet, je voulais proposer une ferme verticale intégrée à mon bâtiment afin que l’on cultive ce que l’on cuisine. Cela permet aussi de développer l’économie du quartier et de mettre le bâtiment en relation avec les habitants et d’autres professionnels, que ce soit pour la culture ou l’achat de ces produits. Le projet final est le suivant : un bâtiment en plusieurs parties qui tient sa cohésion par sa circulation. Au lieu d’être cloisonnée dans une serre, la ferme compose la circulation et accompagne les élèves et les visiteurs dans leur parcours au sein du bâtiment. Le bâtiment étant composé d’un triangle, cela m’a permis de définir trois ensembles différents en fonction de leur situation, distribués par la circulation plantée qui les relie les uns aux autres.

Après

Avant

Le Kirchberg est un quartier à l’ouverture international autant par la présence des grandes institutions que par son accessibilité. Mais c’est surtout un quartier en plein développement qui veut mettre fin à la division spatiale des fonctions (institutions européennes à gauche, banques à droite, écoles au milieu et logements en périphérie). Aujourd’hui, ce véritable laboratoire urbain met en place de nouveaux projets mixtes (voir plans avant/après ci-dessus). Une coulée verte reliant le plateau du Kirchberg au centre de la ville fait également son apparition. Le projet trouve son implantation à l’interface entre bâti et nature, entre université et parc. S’implanter au milieu de projets en pleine évolution m’a donné l’opportunité de retravailler ce noeud complexe et de proposer une solution par un projet. D’un côté, on dégage une place et on reconnecte le parc avec la coulée verte; de l’autre, on densifie le projet de l’université tout en améliorant sa relation avec le parc. Le bâtiment, lui, vient servir de lien entre les différents éléments. Ses façades suivent des axes forts : structure du parc, du boulevard ou de l’université, mais sa forme permet surtout de proposer une fin à la composition bâtie : préservation de l’ouverture créée, tout en proposant une série de qualités internes : lumière, espace, circulation.

Le triangle définit trois ensembles. Ils sont distribués par la circulation plantée qui fait le tour du bâtiment et qui les relie. La partie côté boulevard (en bas sur les plans) accueille le public avec une salle d’événements, des cuisines et un restaurant donnant vue sur le parc au dernier étage. C’est la partie du bâtiment toujours en mouvement et utilisée de jour comme de nuit. La ferme verticale (façade en haut à gauche) présente une image forte dans la ville. Elle fait également écho au flux de végétation de l’avenue. Elle permet enfin de servir de filtre lumineux et auditif entre la ville et les pièces intérieures. La partie de droite est en relation avec l’université et accueille les salles de classes, les auditoires et les laboratoires. Les plantes se font plus discrètes. Afin de donner plus de finesse et d’espaces de partage et de travail aux étudiants, une épaisseur entre le couloir et les classes se met soit au service des classes, soit au service des étudiants en élargissant les couloirs La lumière y est plus tamisée. Ici, les plantes créent de l’intimité et structurent des espaces de travail. Enfin, la 3e partie se met en relation avec le parc et le flux paysager et crée des espaces extérieurs. Différentes passerelles forment de grands balcons, viennent unifier le bâtiment et créent une cour semi-privée ombragée au centre de l’édifice. Ici, les plantes sont davantage laissées au naturel et elles créent une façade d’un nouvel ordre (photo en bas à gauche). La structure est en béton et acier et se compose d’un jeu de voiles et de colonnes permettant de structurer les espaces des différents étages : que ce soit les espaces ouverts ou justement les gaines accueillant les circulations rapides ou les techniques.

On peut distinguer les grandes passerelles/balcons formant le troisième bord du triangle que ce soit sur la grande coupe,partie publique ou la petite, partie école. Les images ci-dessous reprennent les différents systèmes d’agriculture (hydroponiques et aéroponiques) utilisés.

REVALORISATION ET RESTRUCTURATION D’UN PAYSAGE HUMIDE | DROGENBOS Master 1 - Juin 2017

Le but était ici de revaloriser la commune de Drogenbos et la ville de Bruxelles selon l’approche des espaces ouverts, du relief et de l’eau . Bruxelles ayant des problèmes d’inondations et Drogenbos se trouvant dans une zone fortement inondable; notre première approche a donc été la revalorisation du paysage humide tout en proposant une gestion résiliante des inondations à Bruxelles. Le paysage, pour l’instant délaissé, est transformé en zone de maraîchages et de cultures, structuré par une série de petits et de grands canaux inondables reliés à la Senne. Les bords de cette dernière sont retravaillés et des plantes filtrantes permettent de dépolluer en partie l’eau s’écoulant dans les canaux. Ce changement de paysage permet également la renaturation et la purification de certains terrains pollués. Le système est complété par un parc inondable par palier se raccrochant au domaine du château de Drogenbos. Le système complet d’inondation est présenté ci-après. Cet ensemble forme un grand parc extra- urbain, facilement accessible par les transports en commun ou par sa connection avec le maillage vert. Il propose une manière différente de cultiver et permet aux usagers et Bruxellois de venir visiter, de se promener ou simplement de traverser ce paysage unique.

Analyse de Bruxelles

Espaces ouverts de Bruxelles

Potentiel des espaces ouverts

Parcs, forĂŞts et maillage vert

Analyse de Drogenbos

Zones inondables

Espaces ouverts de Drogenbos

Zones inondables de Drogenbos

Le projet dans son ensemble

Différentes étapes qui composent le système d’inondation

Le système de parc agricole inondable est complété par une revalorisation économique et culturelle de la zone. Les différentes jonctions entre le parc et la ville forment des pôles culturels ou économiques: Zone du château de Drogenbos: (photo 1) Le parc, aujourd’hui privé, est réouvert au public; une grande esplanade reconnecte la ville et cette zone naturelle. Le château est alors une zone d’exposition et un lieu événementiel. De nouveaux chemins permettent de connecter différentes parties de la commune. Le parc inondable est facilement accessible et connecte les quartiers ensemble. (photo 2) Le bâtiment de l’ancienne imprimerie est retravaillé en école professionnelle: mécanique, sculpture, ébénisterie... Ce pôle culturel se finit par une grande galerie ouverte permettant aux élèves d’exposer leurs oeuvres et de les ouvrir au paysage.

De l’autre côté du paysage se dresse un pôle plus économique (photo 3). Les anciennes industries lourdes se transforment en une série de fermes urbaines, zones de recherches sur l’agriculture, bureaux et halls de distribution de marchandises. Ce pôle est relié à une ligne de tram de frais connectant Drogenbos au reste de Bruxelles. Une grande halle de marché termine cet ensemble et permet aux habitants de rencontrer directement les grossistes.

PĂ´le agricole et industriel | Tram de frais

INTIMITE ET OUVERTURE, UN CEFA AGRICOLE | ANDERLECHT Master 1 - Décembre 2016

Le projet a pour but d’implanter un CEFA d’agriculture et horticulture en bordure du Canal à Bruxelles. Le cahier de charges étant très précis et la parcelle petite, il convenait de maximiser l’espace disponible tout en proposant un projet agréable. Il me semblait important que les étudiants puissent cultiver sur place, dans la cour du bâtiment mais également sur sa toiture. Le bâtiment trouve son implantation grâce à différents facteurs. Il s’étend sur la quasi totalité de la parcelle et s’enroule autout d’une cour principale orientée sud-ouest, petit écrin de verdure ouvert au quartier. La toiture en pente permet non seulement de s’abaiser pour maximiser l’apport solaire et s’éléver vers le canal (présence marquée dans le quartier) mais permet aussi d’avoir facilement accès à davantage de surfaces de cultures. Enfin, en conservant une certaine distance avec le bâtiment voisin, elle offre au concierge sa propre entrée. La «spirale» est sumontée par une cafétéria surplombant le bâtiment et offrant une vue sur le quartier. Les classes se superposent du côté du canal, profitant de sa fraicheur. L’atelier, lui, bénéficie d’une hauteur plus importante en se positionnant au milieu du bâtiment. Il me semblait important de conserver une certaine intimité pour l’école tout en l’ouvrant au quartier. Le projet se couvre d’une double peau de bois massif dont les lattes sont positionnées parallèlement ou perpendiculairement aux parois. Ce bardage permet de privatiser l’intérieur de l’école. En effet, lorsque l’on marche dans la rue, on a l’image d’une façade opaque. Par contre, lorsqu’on se trouve à l’intérieur des pièces, la vue vers l’extérieure reste dégagée. Les couloirs, eux, s’ouvrent davantage vers la cour intérieure. L’étude de la lumière a pris une importance capitale dans l’élaboration de ce projet, que ce soit les besoins externes: besoins lumineux des plantes, ou internes: jeux d’ombre et de lumière dans les pièces.

Les détails et la finition ont eu une importance capitale dans ce projet, que ce soit pour les façades: finitions lisses de la première peau et différentes manières d’accrocher le bardage, pour la toiture: toiture verte par palier, chemin menant à la cafétéria, garde-corps, coupures thermiques, l’intérieur du bâtiment: sol lisse et faux plafond suspendu ou encore pour les terrasses de la cour intérieure.

HABITAT SUSPENDU, APPARTEMENTS TERRASSES | LIEGE BAC 3 - Juin 2016

Le défi proposé ici était de réussir à créer un minimum de 100 appartements ayant le plus de diversité possible en plein centre de Liège. Le terrain, un parking délaissé, s’est révélé être un emplacement clé dans la ville : finition d’une coulée verte parsemée de jardins suspendus (ci-après) et finition de l’arc constituant le Boulevard de la Sauvenière. La parcelle comprend également des traces de l’ancienne muraille de la ville. Nous avons donc commencé par mettre en place une série de terrasses suspendues ouvertes aux résidents, respectant ce contexte urbain. Le programme final propose 106 appartements, répartis en quatre tours, allant du deux-pièces aux kots de sept chambres comprenant tous un balcon traversant. A cela s’ajoute un rez-de-chaussée commercial et des parkings. Le rez permet de constituer un front bâti sur le boulevard. Les tours, elles, permettent d’apporter de la lumière jusqu’aux jardins et à l’intérieur des appartements. Malgré une structure assez stricle, la souplesse est apportée par les fenêtres s’ouvrant sur les terrasses et qui se replient entièrement dans les murs. L’appartement peut donc se transformer en immense terrasse et cela, au gré des envies des locataires. Enfin, le sol en bois imputrécible apporte un confort esthétique en plus de cette originalité.

Exemple d’étage (appartements 3 et 4 pièces): A partir du Rez+2, chaque étage acceuille 4 appartements. Les gaines de circulation et les techniques se trouvent le long de la «croix» structurelle principale. Les pièces de vie s’ouvrent, elles, vers l’extérieur et la terasse. Chaque appartement se compose d’une grande entrée aménageable, d’une série de chambres ou bureaux et enfin d’une grande pièce de vie s’ouvrant sur 2 façades. L’ensemble est couvert d’un même parquet imputrécible. Les fenêtres s’ouvrent et se replient entièrement dans les murs permettant de transformer l’appartement en terrasse.

STRUCTURE ET LUMIERE DANS LE MONDE VITICOLE | ELTZIEGO, ESPAGNE BAC 3 - Octobre 2015

Le projet consistait en l’agrandissement d’un domaine viticole: cave, restaurant, salle de dégustation, bureaux et cuves de fermentation. S’axant sur l’alliance entre structure et lumière, ce projet se place dans la continuité paysagère et l’alignement des vignes afin de s’ouvrir vers elles. Si les salles plus techniques se tournent vers la cour intérieure, les salles de dégustation, bureaux et restaurant se tournent, elles, vers les vignes. Les pans de toit sont supportés par de grands poteaux évasés. L’espace entre ces pans permet des jeux de lumière agrementant la visite. (voir page suivante). Dans la salle des cuves, il fallait limiter le Facteur de Lumière du Jour. Nous avons alors crée un système de diffusion supplémentaire s’inspirant de celui de L. Khan dans le Kimball Art Museum. Ce projet a été appuyé par une véritable recherche et analyse lumineuse que ce soit avec l’aide du logiciel «Velux Daylight Visualizer» permettant de calculer la luminance, le Facteur de Lumière du Jour et d’avoir un apercu des rayons lumineux entrant dans le bâtiment à différents moments de la journée et de l’année ou à l’aide de tests effectués au CSTC (Centre Scientifique et Technique de la construction). Nous avons créé une maquette spécifique proposant différentes alternatives structurelles et lumineuses afin de pouvoir effectuer deux types de tests : l’un sous soleil mécanique (rayonnement direct), l’autre sous ciel artificiel (ciel diffus). Cela nous a permis de vérifier l’adéquation de la lumière ainsi que des jeux de lumière désirés.

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Velux: Test d’évolution de la luminance au long de l’année (gauche) et simulation du trajet du soleil sur une journée (droite)

Soleil mécanique (gauche) et photos résultantes (droite)

Miror box: maquette et placement des capteurs (gauche) et photos résultantes (droite)

PROJET DE DESSIN | ATELIERS D’ARTISTES ET CONSTRUCTION RECYCLEE | FOREST BAC 2 - Juin 2015

Ce projet de dessin consistait en la reprise et l’amélioration d’un projet d’un autre étudiant. D’anciens containeurs recyclés sont renforcés et prennent la forme d’un ensemble de logements et d’ateliers d’artistes. Le projet, contenu dans un carré, propose de multiples trajets, terrasses et lieux de rencontres ou de travail. De grandes ouvertures sont percées dans certains côtés des containeurs. L’accent a été mis sur le recyclage et l’art avec peu de moyens. .

UNE NOUVELLE GARE POUR ETTERBEEK | BRUXELLES Bac 2 | Décembre 2014

Le projet était ici de proposer un nouveau bâtiment pour la gare d’Etterbeek, dans l’hypothèse où celle-ci devrait accueillir la ligne de RER. La gestion des flux de voitures, trains, piétons et transports en commun étant au coeur de la question. Nous avons pensé le bâtiment en deux parties afin de réduire le flux d’usagers affluant aux heures de pointe. Une partie s’adresse aux boulevards et aux usagers des transports en commun et l’autre propose une alternative plus rapide pour les étudiants et le personnel de l’ULB, de la VUB et des bureaux des alentours. Les bâtiments, minimalistes, se composent de grands auvents se répondant l’un lautre, scénarisant les flux présents et proposant un abri conséquant pour les usagers. Les trois piliers abritent bureaux, toilettes et commerces utiles à toutes gares. En plus de la gare, nous avons décidé d’étendre le réseau cycliste de la capitale en prolongeant la promenade du chemin de fer et en aménagant une promenade verte en hauteur le long des rails, facilitant ainsi la mobilité douce de la ville.

MORGANE DEWEERDT

INGENIEUR CIVIL ARCHITECTE

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