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TheBasisoftheKarateShiai
By Shuseki Shihan Frank Woon-A-Tai, 10th Dan
Karate Shiai (contests) are an important part of training that lead to the accomplishment of its objectives. In karate, the mind controls, and when used in combination with physical power that emanates from the seika-tanden, the mind and body produces the highest degree of kime. There are three methods of testing one’s technique in traditional karate: In actual real life self-defensive situations,; in karate rank examinations, and; in tournaments.
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In all three cases, the aim is to accomplish the objective with the highest degree of proficiency. This calls for mental clarity that is free from nervousness, fear, and anxiety. Moreover the “kara” in karate, not only means empty hand, but it also means one must strive to empty one’s mind of all emotions in order to clearly see impending attacks or to confront issues or challenges without distracting emotional input.
The International Karate Daigaku (IKD) Shiai is based on the work of Master Masatoshi Nakayama who pioneered karate competitions in 1957, when JKA held its first national championships in Tokyo, Japan. It was, and still is based on the traditional concept of the samurai’s doctrine of one blow – one cut – one kill.
Additionally, it is influenced by the work of Master Hidetaka Nishiyama, who pioneered the traditional judges’ attire, kata bunkai and enbu. Enbu, since the inception of the karate competition, was demonstrated by karate masters during events.
Today, IKD competition follows the tradition of karate as a budo martial art of self-defense and not exclusively as a sport. In this regard, it was, and still is essential to judge karate participants on the premise of that single decisive blow known as “ikken hisatsu”, which means “kill with one blow”. However, this terminology is not appropriate for obvious reasons. Thus, Master Hidetaka Nishiyama used “todome waza”, or a “finishing blow technique” that is more appropriate and universal.
Kata, kumite, bunkai, and enbu are judged by the degree of kime in the form of todome waza. Essential elements found in Niju Kun No 19: Correct application of power, speed of technique, and body expansion and contraction are the basis fore achieving total kime. However, this must be executed furthest with ki, which means mind, spirit, feeling and energy. The basis of evaluating kime are as follows:
Black Belt competitors:
D level kime (weak or inadequate kime) 7.0 to 7.1
C level kime (average kime) 7.2 to 7.3
B level kime (strong kime) 7.4 to 7.6
A level kime (very strong kime) 7.7 to 7.9
Brown Belt competitors start at 6.0
Intermediate competitors (sixth to fourth kyu) start at 5.0.
In the final matches, a full point will be added to each category. For example, black belt finalists will start from 8.0, brown belts 7.0, intermediate 6.0.
Moreover, penalties will be deducted for technical infractions and mistakes.
Karate Do means the Way of the Empty Hand.
Le Shiai (concours) de karaté est une partie importante de l'entraînement qui mène à l'accomplissement de ses objectifs. En karaté, c'est l'esprit qui contrôle, et lorsqu'il est utilisé en combinaison avec la puissance physique qui émane du seikatanden, l'esprit et le corps produisent le plus haut degré de kime. Il existe trois méthodes pour tester sa technique en karaté traditionnel : Dans des situations réelles d'autodéfense, dans les examens de grade de karaté et dans les tournois.
Dans les trois cas, le but est d'atteindre l'objectif avec le plus haut degré de compétence. Cela nécessite une clarté mentale exempte de nervosité, de peur et d'anxiété. De plus, le « kara » dans karaté signifie non seulement « main vide », mais aussi que l'on doit s'efforcer de vider son esprit de toutes les émotions afin de voir clairement les attaques imminentes ou de faire face aux problèmes ou aux défis sans se laisser distraire par les émotions.
Le Shiai de l'International Karate Daigaku (IKD) est basé sur le travail de Maître Masatoshi Nakayama qui a été le pionnier des compétitions de karaté en 1957, lorsque la JKA a organisé ses premiers championnats nationaux à Tokyo, au Japon. Il était, et est toujours basé sur le concept traditionnel de la doctrine des samouraïs : un coup, une coupe, une mise à mort.
De plus, il est influencé par le travail de Maître Hidetaka Nishiyama, qui a été le pionnier de la tenue traditionnelle des juges, du kata bunkai et de l'enbu. Depuis le début de la compétition de karaté, l'enbu a été démontré par des maîtres de karaté lors d'événements.
Aujourd'hui, la compétition IKD suit la tradition du karaté en tant qu'art martial budo d'autodéfense et non exclusivement en tant que sport. À cet égard, il était et est toujours essentiel de juger les participants au karaté sur la prémisse de ce seul coup décisif connu sous le nom de « ikken hisatsu », qui signifie « tuer d'un seul coup ». Cependant, cette terminologie n'est pas appropriée pour des raisons évidentes. Ainsi, Maître Hidetaka Nishiyama a utilisé le terme « todome waza », ou « technique de coup de grâce », qui est plus approprié et universel.
Kata, kumite, bunkai et enbu sont jugés par le degré de kime sous la forme de todome waza. Éléments essentiels trouvés dans le Niju Kun no 19 : L'application correcte de la puissance, la vitesse de la technique et l'expansion et la contraction du corps sont la base pour atteindre le kime total. Cependant, cela doit également être exécuté avec le ki, qui signifie le mental, l'esprit, le sentiment et l'énergie. Les bases de l'évaluation du kime sont les suivantes : Compétiteurs ceintures noires :
Kime de niveau D (kime faible ou inadéquat) 7.0 à 7.1
Kime de niveau C (kime moyen) 7.2 à 7.3
Kime de niveau B (kime fort) 7.4 à 7.6
Kime de niveau A (kime très fort) 7.7 à 7.9
Les compétiteurs ceintures brunes commencent à 6.0 Les compétiteurs intermédiaires (sixième à quatrième kyu) commencent à 5.0.
Dans les matchs finaux, un point complet sera ajouté à chaque catégorie. Par exemple, les finalistes ceintures noires commenceront à 8.0, ceintures brunes à 7.0, intermédiaires à 6.0.
De plus, des pénalités seront déduites pour les fautes techniques et les erreurs.
Karaté-do signifie la voie de la main vide.
ShihanGichin
Funakoshi’sfirstdojo wascalledthe Shotokan ,which meansPineWaves School.
Lepremierdojode ShihanGichin
Funakoshis'appelaitle Shotokan,cequi signifie«écoledes vaguesdepins».
KarateDo meansthe Wayofthe EmptyHand.
KaratéDo signifielavoie delamain vide.