Portfolio de Nolwenn Sinou
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CV
Nolwenn Sinou 0032 472 33 90 80 nolwenn.sinou@laposte.net Wéry, 50, 1050 Ixelles (Belgique) Permis B
Profil Engagée dans des projets de développements, je conçois l’architecture comme un catalyseur urbain, mais aussi social, humain et culturel. La part sociale dans le processus de création est devenue l’une de mes principales préoccupations. A travers mon travail de fin d’études je me suis intéressée à l’architecture scolaire dans le cadre des pays en développement. Elle a affirmé ma vision de l’architecture qui a pour rôle de promouvoir et enrichir la société qui les engendre. Porteuse de l’identité des lieux, l’architecture devient un levier de développement. Parallèlement, c’est par les voyages et la découverte d’autres cultures que se développe ma vision et ma sensibilité à ce métier.
Formations Faculté d’architecture La Cambre Horta - ULB
Architecture 2009 - 2014
Expériences Mission au Burkina Faso traitant de l’architecture scolaire dans les milieux ruraux comme un facteur de développement, dans le cadre du TFE.
Bourse du CUIF
Avril 2014, Ouagadougou Participation au concours AfrikArchi Janvier 2014 Réalisation d’un préau pour le Daara de Malika en collaboration avec le Centre de Formation de l’YMCA 25 octobre 2013 au 4 novembre 2013, Dakar Stage dans l’association « Architectes Solidaires », esquisse pour une école malgache Juillet 2013, Paris Construction d’un module de jeu pour l’IBGE dans le cadre de l’atelier. Mars à juin 2012, Bruxelles Stage en menuiserie à l’atelier Savina Juillet 2012, Finistère
Logiciels Autocad 2d/3d, Archicad Indesign, Photoshop Quantum GIS
Projets 06
La Machine Sociale
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T-Kit
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L’école du village de Là
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Marché de Sandaga
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Daara de Malika
Logement
Logement
Enseignement
Commerce
Enseignement
Workshops Construction d’un préau
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Le Mur infernal
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La Grotte du Yeti
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Comment voyez-vous le Son ?
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Le Viaduc Fertile
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Aménagement urbain
Plaine de jeux
Plaine de jeux
Aménagement urbain
Aménagement urbain
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La Machine Sociale
En collaboration avec le ministère du logement Atelier Architecutre construite, Ba3
Notre réflexion s’est penchée sur la rénovation des grands ensembles d’habitats sociaux et plus précisément sur le re-logement de ses occupants lors des travaux. Deux lieux nous ont été proposés, la tour Brunfaut et le Peterbos. Nous sommes allés à la rencontre des habitants. Certains, méfiants, n’ont pas voulu échanger avec nous, mais la plupart se sont confiés, ils nous ont ouvert leur porte en toute simplicité. Rien n’étant mis en place pour favoriser le contact entre les habitants des grands ensembles, l’enjeu du projet est de recréer du lien social au sein des modules de relogement. Et de créer ainsi une véritable « machine sociale », où l’échange entre personnes serait le moteur. La cuisine, lieu important d’échange et de cohésion, tiendrait le rôle de catalyseur social. Travail élaboré avec : E.Dubray, N.Gilleman, K.Harfi et F.Houyoux
Implantation Brunfaut
Implantation Peterbos
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Plan d’un ensemble de logements et sa rue intérieure
La rue intérieure relie la cuisine aux logements, permettant une véritable vie en communauté. Cette rue se dilate, créant des cocons, propices aux activités en groupe ou pour se reposer. Entre l’extérieur et la sphère la plus privée, une échelle d’intimité comprenant cinq niveaux se crée, offrant une possibilité aux logements de s’ouvrir sur cette rue intérieure et la cuisine commune. Une interaction entre la vie dans les espaces communs et la vie de famille se et ainsi en place.
+1 +0 Plan d’un logement une chambre
Plan d’un logement quatre chambres
Chaque logement s’organise autour d’un noyau central dédié aux éléments techniques. Le salon, zone tampon entre la rue intérieure et le logement, peut s’ouvrir sur la cuisine commune.
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T-Kit
Collaboration avec le Foyer Ixellois Atelier Architecutre construite, Ma1
Face à la crise du logement et du grand nombre d’ensembles sociaux insalubres, la question des logements de transit se pose. Lors des interventions concernant des rénovations légères, notre préoccupation a été de diminuer au maximum les traumatismes et les coûts annexes liés aux déménagements. L’accent a été porté sur la proximité et l’autonomie des modules de relogement, allant jusqu’à s’intégrer dans différents contextes. La dimension d’une place de parking constitue un emplacement idéal pour répondre à ces enjeux. Différentes configurations permettent au module de s’intégrer dans son environnement et de s’adapter aux besoins, passant d’une configuration en hauteur à une de plain-pied, d’une famille nombreuse ou une personne. Travail élaboré avec : Noémie Gilleman, Manon Hanuise et Julien Salmon
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Plan des diffĂŠrentes configuration Configuration en hauteur
Configuration plain-pied
Configuration intermĂŠdiaire
Coupe d’une configuration en hauteur
Plan d’une configuration en hauteur
Chaque module possède un module technique comprenant une station d’épuration, un potabilisation d’eau, un boiler, des batteries de panneaux solaires et une citerne d’eau, leur offrant une autonomie et limitant les coûts d’installation.
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L’école du village de Là Mission au Burkina Faso Atelier Terrain d’Architecture, Ma2
Près d’un million de jeunes burkinabés ne sont pas scolarisés. L’éducation est souvent négligée bien qu’elle soit une aide indispensable dans la lutte contre la pauvreté. Au Burkina Faso, l’archétype de l’école se compose d’un ensemble standardisé de classes en parpaings et en tôles conçu sans réflexion sur le climat, l’environnement et la culture locale. Lors d’une mission au Burkina Faso, un travail d’expertise a consisté en l’élaboration d’un lieu consacré à l’éducation comme un facteur de développement humain et rural. Pour répondre aux conditions de vie, les aspects économiques, techniques, climatiques, ainsi que le bien-être des usagers, ne devaient pas être négligés. La culture, souvent dénigrée dans les projets de coopération, a été un moteur de cette recherche.
Plan du village et de ses principaux centres et axes de circulation
Plan d’implantation
La disposition des salles de classe suit la configuration spatiale des concessions avoisinantes. Construites autour d’une cour intérieure, les accès ne sont ni délimités ni réglementés, laissant une grande liberté de mouvement aux usagers.
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Plan et coupe d’une classe
Plan et coupe de la bibliothèque
L’arbre, lieu de rencontre et d’échanges, s’invite dans l’espace dédié à l’éducation pour offrir la possibilité d’ancrer l’école dans son environnement et encourager les échanges entre l’intérieur et l’extérieur des salles de classe.
Coupe de détails
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Marché de Sandaga
Concours AfrikArchi 2014 Option Architecture Développement et Patrimoine, Ma2
Dans le cadre du concours AfrikAchi 2014, nous nous sommes intéressés aux marchés africains et particulièrement du lieu emblématique du marché de Sandaga faisant polémique suite à son incendie. Lors d’une première approche, nous nous sommes imprégnés de l’atmosphère du lieu en nous déplaçant entre les cantines, construites devant la devanture de l’édifice patrimonial, considérées comme des éléments «parasites» déstructurant de l’urbain et entravent la mobilité quotidienne. Leur disposition anarchique empêche la visibilité de l’édifice. Nous avons donc souhaité travailler avant tout sur cette confrontation entre formel (la halle) et informel (les cantines). Travail élaboré avec : Maud Bostvironois et Serge Nkaka
Plan de situation
Situation existante
Circulation existante
Trame structurelle
Hybridation PrĂŠservation du patrimoine
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Plan du marché
La trame est donnée par la disposition des axes principaux, des poutres et colonnes appartenant à l’édifice. Une nouvelle ossature en acier vient consolider l’existant et se prolonger vers l’extérieur tel un exo-squelette.
Coupes
Elévations
L’entrée principale du marché est conservée et renforcée suivant son axe principal. Les cantines, revalorisées dans ce projet, viendront se développer autour du marché existant, suivant la trame élaborée.
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Daara de Malika
Dakar, Sénégal Atelier Terrain d’Architecture, Ma2
Le Daara, « Daar » signifiant foyer en arabe, est situé dans un quartier spontané dont l’espace n’obéit à aucune réglementation et se densifie rapidement. L’école, créée avant cette urbanisation, pâtie de l’absence de donation et de l’urbanisation croissante, provoquant un déclin dans la gestion et le fonctionnement de ce Daara. Durant notre séjour, nous avons vécu au sein du Daara et entrepris une enquête de terrains qui nous a amenée à rencontrer des chefs de villages, des responsables du daara et des familles d’enfants scolarisés. Sur base de nos observations, nous avons pu mieux comprendre l’organisation spatiale de ce Daara. Travail élaboré avec : Maud Bostvironois, Pierre Carteni, Manon Hanuise et Marie-AudreyPirs
Plan du quartier de Malika
24 Phase 1 (1900-1980)
Phase 2 (1980-2000)
Phase 3
(2000-2013)
Schéma d’évolution du quartier
Schéma d’exode de Dakar
Le quartier de Malika est apparu dans les années 80, suite à une exode urbaine additionnée à l’exode rurale. Le daara, installé près d’une décharge depuis les années 70, subit petit à petit cette densification impliquant une nouvelle pression foncière.
Densification
comme une menace mais comme un potentiel. Un centre de tri et de sensibilisation des enfants et des habitants vient intégrer le Daara. L’objectif de ce scénario est avant tout d’intégrer les enfants de la décharge, de leur offrir une scolarisation tout en se souciant des problèmes de leur famille.
les enfants iraient à l’école le matin, et l’après-midi à tour de rôle iraient récolter ou vendraient les biens récupérés à la décharges. Poursuivant ainsi leur contribution aux besoins de leurs familles.
Suite à cette analyse, nous avons formulé différents scénarii possibles pour ce site.
Dans ce scénario afin de laisser place à l’exode rural, le mur d’enceinte du daara disparait. ainsi Dans ce Amenant scénario, la à un processus de densification village décharge n’estdu plus vue de Malika. Lecomme daara une se divise deux parties, l’école menace,enmais est connectée directement au quartier, elle comme un potentiel. devient le centre ce n’est plus Un centre de tri duetvillage, de un espace cloturé et isolé. Ici, la zone de sensibilisation des enfants et jeux des enfants devient l’espace public, des même habitants vient intégrer voir la décharge.
le Daara. L’objectif est avant tout d’intégrer les jeunes de la décharge, de les scolariser tout en se souciant des problèmes familiaux.
Dans cette hypothèse, nous n demandé quel pourrait être la z Le lien avec la décharge pour le daara fonctionne l’internat comme la zone minimal du daara. Cette hypothèse évoque un retour dans le temps. Mais cela impliqu conséquences, car il n’y a pa en arrière possible. Il sera di la suite à l’internat de s’agr
Afin de laisser place à l’exode rural, le mur d’enceinte du P Remettre en avant le but premier du daara disparait. Ce scénario Daara Valorisation du cadre économique du et du quartier amène à un processus de Daara Diversifications des activités économiques densification du village. Revalorisation des déchets L’école, connectée au - Alternative à l’intervention de l’UNICEF quartier, devient le centre du village et non un espace clôturé et isolé. L’aire de jeux Scénario_ des enfants devient l’espace Micro intervention public. Dans cette hypothèse, nous avons défini une superficie minimale de survie. otentiels
Le projet qu’on essaie de mettre en place prend tout son intérêt lorsqu’on se rend compte que le Daara est aujourd’hui dans une phase de déclins mais que le potentiel qui nous permettra de revaloriser ce patrimoine est bien présent sur le site. En ayant étudié l’histoire du Daara, on peut se rendre compte que les besoins actuels ne sont plus les mêmes qu’auparavant. Avant, ils pouvaient se permettre de fonctionner sur base de dons car on les obtenait beaucoup plus facilement et il y avait moins de concurrence.
Ici, nous nous sommes inscrits dans un processus de longue durée qui nous permettra de revaloriser le potentiel du site. Ce scénario procède en micro-interventions qui permettront au Daara de pouvoir avoir un minimum Potentiels d’autonomie et d’émettre une possibilité d’essor une 4. - foisCréation de liens entre le Daara et le la gestion rétablie. quartier Apport d’espace à bâtir Développement du quartier Les atelier sont en relation avec le quartier, ça permettrait un apport commercial Potentiels plus important
Densification
Risques
Il faudrait un financement extérieure car ce sont des enfants qui iraient à l’internat Les enfants ne s’investissent pas dans leur scolarisation
Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Nous devons donc nous inscrire dans un processus de longue durée. Pour ce faire, nous avons imaginé un scénario qui consiste à procéder à des micro-interventions. Ces micro-interventions permettront de rester dans un premier temps dans echelle acceptable au niveau des interventions. Et cela permettra au Daara de pouvoir avoir un minimum d’autonomie afin de pouvoir continuer à se développer par lui-même.
Micro intervention 1.
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Risques 5.
3. Le quartier pourrait fair l’espace du Daara L’ouverture au quartier impliquer une baisse de la séc Le Daara perd le potent terrain remit à l’état Risques La zone de jeux des enfa
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Construction d’un préau
Daara de Malika, Dakar, Sénégal Option Architecture Développement et Patrimoine, Ma2
Dans le cadre de l’option Architecture, Développement et Patrimoine, nous sommes intervenus dans une école de la banlieue de Dakar pour y concevoir un préau. Un travail en amont sur les questions structurelles, économiques, techniques et de faisabilité a été apporté avant la réalisation de ce projet en collaboration avec les étudiants de l’YMCA (Ecole de soudure à Dakar). Cette expérience nous a amené à élaborer l’organisation de ce chantier pour son bon déroulement et surtout à échanger entre différents corps de métier. Travail dirigé par Oswald Dellicour Travail élaboré avec : Maud Bostvironois, Pierre Carteni, Manon Hanuise, Marie Pirs et Sara Tassi
Plan de la structure du préau
Une série de prototypes et de réflexion sur le montage ont permis l’élaboration de cette structure tridimensionnelle sans l’utilisation de techniques lourdes.
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Le Mur Infernal
Workshop + conception avec l’IBGE Atelier d’Architecture construite, Ba3
Dans le cadre d’un workshop avec l’IBGE et la cartonnerie de Saint-Etienne, qui consistait en l’élaboration d’un module de jeu nomade, destiné aux enfants entre trois et onze ans à travers la ville. Jouer s’est expérimenter, questionner, construire, détruire, reconstruire… A travers une série d’éléments en mousse de polyéthylène, laissés à la disposition des enfants et dont chacun pourra définir les usages. Créer un labyrinthe, grimper, glisser, construire, détruire..., seul ou en équipe, cette multitude de possibilités leur permettra de tester et dépasser leurs limites. Le projet est né d’un processus de création basé sur une analyse d’aires de jeux et par l’expérimentation et la participation de jeunes. Travail élaboré avec E. Dubray, N. Gilleman, K. Harfi, F. Houyoux, G. Longueville et M. Massaux
Cette idée a reçu la mention spéciale «coup de coeur» et a été retenue pour être réalisée et mis en place dans les fêtes de quartiers de la ville de Bruxelles.
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La grotte du Yéti
Conception d’un module de jeu pour l’IBGE Atelier d’Architecture Construite, Ba3
Dans le cadre d’un travail d’atelier et à la suite d’un workshop au sein de celui-ci, l’IBGE nous a confié la réalisation d’un module de jeu nomade. Le projet gagnant a été un labyrinthe en polystyrène, offrant aux enfants une aire de jeux contenue dans un volume de 5x2.5x2.5m creusé pour offrir un parcours rythmé par de cachettes, de toboggans et d’ouvertures. Le travail a consisté en l’élaboration de ce prototype au sein même de l’atelier. Cela a consisté à la planification du chantier et à la recherche de méthodes adaptées aux conditions de réalisation, pour aboutir à sa conception. Travail élaboré avec l’atelier d’Architecture Construite (La Cambre Horta)
La réflexion a été d‘apporter une réponse adaptée aux questions économiques, techniques, réglementaires et palier aux difficultés des conditions de transport.
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Comment Voyez-Vous le Son ? Square Breughel L’ancien, Bruxelles, Ba3
Lors d’une analyse du square Breughel l’ancien, un lieu de passage, où passants et enfants qui jouent, ne s’attardent pas sur leur environnement sonore, nous avons élaboré une intervention ludique pour rendre visible l’atmosphère sonore de cette place. Nous avons invité chaque passant à tendre l’oreille et représenter leur ressenti, dessiner le son selon leur sensibilité. Un paquet de craie à la main et avec l’aide de participation des passants, nous avons cartographié le son. Cette intervention éphémère a permis de prendre conscience de son environnement acoustique quotidien trop souvent omis et de sensibilise les usagers à l’univers sonore de cette entrée dans les Marolles. Travail élaboré avec : Martin Massaux
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Le Viaduc Fertile
Collaboration avec la Cartonnerie de Saint-Etienne Atelier d’Architecture Construite, Ma1
Lors d’un voyage à Saint-Etienne, il nous été demandé de revaloriser différentes zones aux alentours du viaduc. Nous avons eu à notre disposition un espace excentré, délaissé par les passants, n’ayant comme seule utilisation le parcage de véhicule. Nous avons souhaité renforcer cet espace de passage sans lui ajouter d’autres rôles, mais en valorisant ceux existant. Le viaduc offrant un pan de mur surplombant l’espace, nous l’avons utilisé pour y glisser la chouette de la biennale du design et ainsi interpeller les passants. Une valorisation des passages a été élaborer pour détourner et inviter les passants longeant la route pour les entrainer vers la chouette, devenue une cible géante. Travail de groupe
La chouette est née d’un travail similaire au tissage, profession artisanale emblématique de la ville de Saint Etienne.