PROJETS
Nour Zeghib Master en Architecture // ENSAP Bordeaux 2012-2017
Le Pôle entrepreneurial Invetir la montagne pour reconstruire l’enfant PPP
Rotule
Shipwreck
Photographies
Table des matières
Table des matières
Ligne
Phylogénie
Projets ville
Le Lieu Commun
fleuve mer montagne 2
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Juin 2017 Projet de fin d’études
Investir la montagne pour reconstruire l’enfant
Maison d’enfants
Lorsque l’altitude permet de soigner
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Briançon, dans les Hautes Alpes, dispose d’un climat favorable au traitement d’affections respiratoires comme l’asthme. Aujourd’hui un constat s’impose, les enfants sont les personnes les plus touchées par cette maladie qui coupe celui qu’elle atteint d’une vie normale au sein de la cité. Le projet vise par sa forme et sa localisation à concevoir le lieu d’accueil le plus approprié aux enfants et adolescents asthmatiques, pour les guérir tout en les maintenant en contact avec des populations sans problème particulier de santé. C’est au sein d’un bâtiment gigantesque, unique symbole du patrimoine industriel local détruit par un incendie, mais ainsi réhabilité que se joue le traitement des corps et des esprits. Le squelette d’une industrie de retraitement de déchets de la soie trouve ici une nouvelle destination qui fait écho à son rôle passé. Le bâtiment est repensé comme le cocon abritant un être fragilisé destiné à renaître réparé et plus fort.
R+4
ENFANTS ASTHMATIQUES R+3
Maison d’enfants
R+2
ESPACES BRIANÇONNAIS R+1
RDC
ESPACES JEUNES
ESPACES FAMILLES
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FACE À LA VILLE, LA FAÇADE NOBLE DE L’USINE
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ENTRE DEUX MURS, LES BOITES SE DÉVELOPPENT AA’
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LA MAISON D’ENFANTS SE GLISSE À L’INTÉRIEUR DU BÂTIMENT CC’
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LA MAISON DES GRANDS BB’
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Petits et moyens 6-10 ans et 10-14 ans
Chambre 2 lits • Un espace nuit • Un espace jeu de chaque côté de l’arcade
Chambre 4 lits
Maison d’enfants
• Habiter l’arcade. • Un espace de jeux.
Chambre 4 lits • Un espace nuit • Un espace jeu de chaque côté de l’arcade. • Une cabane sous les lits.
Grands 14-18 ans
Chambre 1 lit • Un arrière : l’espace nuit • Un avant : l’espace de vie. • L’arcade comme seuil.
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Chambre 2 lits
Chambre 3 lits
• Donne sur l’extérieur • Favorise le contact.
• Une salle de bain • Une maison à l’échelle de la chambre. • L’arcade comme niche. Se poser sur l’arcade.
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Automne 2013 Travail individuel
Rotule
Rotule
Une nouvelle gare fluviale pour relier Québec à Lévis. Le site de la gare fluviale de Québec est un endroit stratégique et un centre de vie important pour la cité, un point de rencontre entre le quartier du Petit Champlain, de la Haute Ville et tout le secteur des quais. Il se situe à l’aboutissement d’une promenade portuaire puis fluviale, et bénéficie tout autant de vues sur la rive opposée et le lointain que sur le Vieux Québec, la falaise et l’imposant château Frontenac. C’est enfin une véritable porte d’entrée pour la ville et l’amorce d’un mouvement vers Lévis. L’espace du site de la gare est pensé à deux vitesses : si la question de la mobilité est primordiale - il faut pouvoir traverser le site sans entrave - la gare est aussi un lieu de réunion et de pause dans le tissu urbain, où plusieurs espaces extérieurs et int. érieurs permettent d’accueillir le public. 12
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Stratégie urbaine 1. Relier par la promenade
2. Créer une rotule
Agora
3. Composer de nouveaux espaces publics
4. Démêler les flux
5. Hierarchiser les accès
Zone portuaire
Haute Ville
Petit Champlain
Un seul accès
Zone de confusion Parc isolé
>
Continuité du site par l’espace public
>
Espace majeur
>
Promenade Champlain
>
>
Agora
Plusieurs accès
Rotule
Promenade Champlain
Intégration d’un parc au projet.
Accompagner le parcours par un jeu de bandes horizontales.
«Le spleen du cycliste»
Il faisait très beau ce matin-là. J’avais passé une semaine épouvantable et ressentais le besoin d’oublier pour quelques heures au moins ce quotidien pesant. Je décidais de sortir de chez moi, m’aérer l’esprit, et optais pour une balade à vélo. Mais comment faire pour s’évader quand on ne peut quitter la ville ? Aller voir le fleuve me parut comme une évidence. Je choisis de passer par la gare fluviale pour prendre de la hauteur. A mesure que j’avançais, le paysage de Lévis se précisait davantage. Arrivé au terme de mon ascension, je découvris cet horizon lointain que je ne pouvais atteindre. Je me laissais aller un instant à la mélancolie avant de redescendre, faire face à la réalité. Elévation ouest - De l’opacité à la transparence.
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Hiver 2014 Travail individuel
Shipwreck
Shipwreck
Un studio pour écrivain à Fogo Island
Les habitants de Fogo ont développé un grand projet de revitalisation pour sauver l’île après le déclin de la pêche à la morue. Celui-ci s’appuie notamment sur la promotion, la transmission et le métissage de savoir-faire locaux et culturels. Une vaste campagne de constructions de studios dans les différents villages a été menée ces dernières années de manière à pouvoir accueillir en résidence des artistes du monde entier. Shipwreck propose à son tour un nouveau studio, pour écrivain. Le projet tire son nom d’une chanson populaire sur le naufrage d’un bateau, le Lavengro. Il met en relation à la fois l’écriture, le site particulier (lieu où le Lavengro a coulé), l’implantation (3 parties pour 3 directions : le port de départ, le lieu du naufrage et le port d’arrivée) et la culture locale (utilisation de bois, de pilotis).
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Intentions Une petite habitation Un confort spartiate Un sentiment d’isolement Accessible uniquement par un sentier Provide a place where man succumbs to elements to stimulate the imagination
Espace couvert
Programme - Pour une ou deux personnes
Espace de vie
- Les écrivains se succèdent au fur et à mesure de l’année
Atelier
- Un abri, couvert mais ouvert sur l’extérieur pour protéger l’entrée du refuge en hiver. Il peut être utilisé comme une petite terrasse où l’on peut lire en été. - Un espace principal comprenant les différentes fonctions de vie (dormir, manger, se rencontrer) bénéficiant d’une vue sur la nature environnante et de vues sur l’espace suivant. Il peut être grand ouvert en été et est accessible depuis l’extérieur.
- L’entrée couverte du refuge avec un banc (qui peut servir à stocker des buches.
- La pièce de vie sur deux demi-niveaux : le coin cuisine et le coin repos.
- L’atelier avec un long bureau et un espace ménagé pour ranger des livres.
- Un atelier pour écrivain avec toujours le même intérêt pour l’extérieur.
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Automne 2014 Travail individuel
Phylogénie
Phylogénie
Une osmose métropolitaine: habiter Eysines Cantinolles, entre ville et campagne «Bordeaux métropole» : cette récente désignation de Bordeaux et sa périphérie est le signe d’un changement progressif de la Communauté de Communes de Bordeaux, pour ses habitants et dans l’organisation de son territoire. C’est précisément à une zone de périphérie que nous nous sommes intéressés afin de proposer une posture singulière et de questionner le processus de fabrication de ce territoire. Eysines est une commune périphérique de Bordeaux, marquée par le maraîchage, elle fait office de «porte d’entrée» au nord ouest de Bordeaux, entre la côte Atlantique et le centre-ville. D’ici quelques années, le tram devrait traverser Eysines, afin de rejoindre Bordeaux.
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Le territoire sur lequel nous nous sommes penchés est une zone d’activité complexe, entourée de friches naturelles, de zones maraîchères et de poches pavillonnaires. Partant du principe que l’arrivée du tram allait rendre Eysines Cantinolles plus attractif, le projet s’intéresse à la notion d’habiter à travers la définition de situations-types (méthode 50 000). Enfin et plus concrètement, un projet-prétexte est développé sur un territoire choisi. Phylogénie propose de traiter du processus de création d’un morceau de ville en portant une attention toute particulière à la notion de temps, de mutabilité et d’évolutivité, à l’échelle du quartier et de l’habitat.
21 Peter et Alison Smithson - Golden Lane
1. Prendre racine Investir les interstices à proximité du terminus de tramway, du Super U et des commerces. Y créer deux espaces publics piétons autour desquels s’organise l’habitat. Préfigurer la continuité des deux espaces publics sur le grand terrain, der-
5. Foisonner rière les hangars. Organiser l’habitat immédiat de telle manière qu’il puisse constituer l’amorce de futures opérations, figurer par son implantation les venelles ou voies à venir, après la démolition ou le réinvestissement des hangars.
2. Essaimer Les logements se développent cette fois -ci de l’autre côté de la route. Ils continuent par leur implantation les deux voies majeures amorcées précédemment. Là encore, ils préfigurent le futur
développement du quartier grâce à la distance entre leurs bâtiments et laissent passer des venelles, éventuellement accompagnées de noues ou de plantations.
3. Coloniser Les logements continuent à se développer sur les deux axes majeurs de manière à donner sur la végétation : on traverse la route et on peut se promener le long du talus pour rejoindre le parc Carès. Les logements de cette nouvelle opérations s’organisent encore pour configurer de
futures venelles, cette fois-ci à caracatère plus confidentiel. La création d’un axe transversal s’amorce de manière à connecter les deux espaces publics : il s’agit une voie à caractère plus urbain dans sa dimension. Celle-ci est accompagnée d’une noue et de plantations.
4. S’epanouir Les logements se développent maintenant autour de l’axe transversal de manière à l’étayer. Cet axe, par le traitement de sol, la noue et les plantations amorce un mouvement vers le parc de Carès. Une place se forme à l’est de cet axe et se tourne vers le terminus du tram et les commerces. Cela
permettra de connecter de manière plus solide dans le futur les logements présents et la nouvelle artère d’Eysines. Dans le même temps, des logements anciens s’accroissent d’extensions en hauteur. Ils augmentent ainsi leur superficie sans grignotter davantage le sol. Les logements se développent maintenant entre les deux axes majeurs. Ils sont desservis par un système de venelles et bénéficient de placettes plus privatives. La place accueille à présent un équipement public, une sorte de halle à l’air libre, faite d’une structure légère en bois, facilement modifiable. Elle peut également accueillir des jardins partagés sur son toit, des évènements... La densification du quartier peut elle aussi continuer à se faire en hauteur. D’autres logements augmentent leur superficie ou leurs terrasses par l’ajout de modules en bois.
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Phylogénie
Un espace public balisé...
...Pour une architecture modulable
Autonomie et cohérence
Tramage
Cohérence globale malgré une succession d’opérations. Les opérations fonctionnent en autonomie, elles s’accrochent au déjà-là mais ne sont pas autarciques pour autant. Elles sont conçues et délimitées pour permettre une extension future ou le raccrochement à une opération existante.
L’utilisation d’une structure poteaux-poutres en acier, permet de tirer parti à la fois de la préfabrication et d’une grande modularité. La trame proposée (4x4m) permet d’ajouter ou de retirer des modules immédiatement fonctionnels dans le cas d’une transformation des bâtiments.
Hierarchisation des voies
Passage du temps et conservation des traces
Routes Espaces piétons structurants Venelles Naturelles dans les cités-jardins, elle organisent la circulation piétonne autour mais aussi dans les bâtiments. Elles deviennent alors des passages couverts ouverts qui entremêlent discrètement espaces publics et espaces privés. Elles relient ainsi des espaces publics majeurs (place et mails) et desservent des logements qui sans elles seraient plus introvertis.
Un traitement pour se repérer Les venelles peuvent être minérales ou accompagnées de végétaux. Elles peuvent tout aussi bien être guidées par un système de noues faisant écho aux jalles toutes proches. La distinction espace public-espace privé est sans cesse rappelé par un code visuel simple appliqué sur les bâtiments. D’un regard, on sait où l’on est, on sait où l’on va.
Places tous publics - petits coins intimes L’espace public n’est pas uniquement le lieu du mouvement, des déplacements. Il est aussi endroit de pause, le lieu de convergence. Il se décline de la place grand ouverte plus publique au petit coin , plus confidentiel, où se retrouvent les riverains.
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Le choix d’un second type de matériau, le bois, permet dans le cas d’une extension en hauteur de marquer une différence, entre ancien et nouveau. Ce matériau, plus léger que la structure acier, permet de densifier en douceur et atténue l’effet de masse.
Flexibilité Les cloisons indépendantes de la structure permettent de partitionner l’espace selon les besoins. Les logements peuvent évoluer au cours du temps : modification, agrandissement, découpage...
Un mode de vie dedans-dehors L’habitat est organisé de manière à ce que des espaces intérieurs-extérieurs soient dégagés : balcons, coursives, terrasses... L’architecture est aussi relativement transparente de manière à créer une connivence entre l’intérieur de l’habitat et le cadre de vie environnant tout en faisant obstacle aux regards extérieurs.
Un habitat évolutif... Le projet induit une architecture proliférante tout autant qu’il en découle. Mais dans le cadre nécessaire de faire la ville sur la ville, le développement urbain se condense sur lui-même à terme et le développement des quartiers peut se faire en hauteur. Il est indispensable d’imaginer les logements comme modifiables, extensibles, agrégeable, dès le départ. Le logement exposé après est un prétexte pour montrer l’évolution du bâtiment, au cours du temps et son adaptation aux nouveaux usages.
... Pour une famille Ce logement primaire offre les commodités de base à la vie de famille (cuisine, salle de bain, deux chambres, salon). De plain pied, il s’ouvre sur un jardin et bénéficie d’une terrasse. Il est conçu de façon à ce que les toitures puissent devenir des planchers pour de futures extensions.
... Pour des colocataires Le logement précédant évolue en logement secondaire et prend de la hauteur. Deux modules de bois sont ajoutés sur le toit de la maison. Ces deux nouvelles pièces, en mezzanine, peuvent accueillir des chambres. Des espaces extérieurs leur sont offerts par la création d’une coursive.
... Pour une famille mono-parentale et un couple Le bâtiment continue sa croissance par l’ajout de nouveaux modules de bois. Un véritable niveau supplémentaire est alors créé. En modulant à nouveau la partition intérieure du premier appartement, deux logements peuvent alors être dégagés. L’habitat du dessus bénéficie de larges terrasses tandis que celui dessous conserve son jardin.
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Plan
Hiver 2014 Travail individuel
SERVICES
TRAMWAY
JARDINS ET BERGES
HABITATIONS
Le Lieu Commun prend place sur une parcelle communale inexploitée jusqu’alors à laquelle il redonne tout son sens.
A 2 minutes du terminus du tram B, sur les berges de la Garonne. Il permet de rejoindre le centre-ville en 15 minutes.
Les jardins partagés de Bordeaux Nord se situent à environ 10 minutes à pied du site. On trouve de nombreux carrelets le long de la berge.
Un tissu pavillonaire vient borner sans aucune perméabilité la zone d’activité dans sa limite sud.
Le Lieu Commun Le Lieu Commun
Un pôle de services à l’échelle de l’équipement
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un pôle mobilité, des espaces d’af- la ZAE. faires, des espaces d’opportunités... Dans l’optique d’une possible évoluLa zone d’activités économiques de tion de la zone, le bâtiment est conçu Bordeaux Nord où il prend place est de manière à pouvoir muter. Des une zone très peu fournie en terme éléments fixes assurent les besoins de services aux employés. Elle se primaires (points d’eau, sanitaires), situe au-delà de la rocade, à la sor- les autres éléments peuvent être motie du pont d’Aquitaine et permet dulés, supprimés, augmentés... selon de relier assez rapidement d’autres les besoins. zones économiques (Bordeaux Lac). Elle est aujourd’hui connectée au centre-ville par le tramway. Un tissu pavillonaire limitrophe permet d’envisager la mutualisation de services du Lieu Commun avec les habitants et de créer de nouvelles temporalités dans les usages comme l’utilisation du lieu le weekend. Cette zone bénéficie en outre d’une connexion Le Lieu Commun articule différents directe au Parc des Berges de la espaces de services : un espace inte- Garonne qui en fait un véritable rentreprises, un pôle restauration, contrepoint au paysage habituel de Le Lieu Commun est un bâtiment au service de tout individu susceptible de fréquenter la zone d’activité où il s’implante. Il est constitué de pôles de passages et de points d’arrêt potentiels. Il émerge légitimement de zones d’activités carencées ou monofonctionnelles qui offrent cependant un bassin d’emploi conséquent (une zone peut être vieillissante dans sa forme mais encore dynamique dans son économie). Il profite d’une disponibilité foncière stratégique dans sa géographie, publique ou privée, proposant une centralité et une accroche aux infrastructures de transport (rocades, transports en commun, pistes cyclables...) ainsi qu’à l’espace public.
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RDC
Aire d’influence
R+1
L’ambition du Lieu Commun n’est pas de limiter son pouvoir d’attraction à une seule ZAE mais d’attirerdes acteurs et des usagers dans un rayon beaucoup plus large, à l’échelle de la métropole.
zone d’influence
Deux pôles en synergie
Entreprise seule
Les deux bâtiments sont connectés par une rue intérieure et définissent un pôle de mobilité et un pôle de service.
Zone d’activité Plusieurs zones
m
m
j
v
s
d
A la disposition des jardiniers de Bordeaux Nord., ce local permet de wcommander du matériel, faire des réunions et stocker des machines, graines... On y trouve aussi une douche, pour se rincer après avoir jardiné. Cet espace en connexion directe avec l’espace public permet d’entreposer de jeunes plantes. Elle fait face à la crèche. Bien pour les enfants. Jardins thématiques.
PÔLE MOBILITE 1
Coopérative l
Commune / Métropole
2
Restaurant
pôle mobilité
accessibilité
l
Bâtiment ouvert, directement accessible de l’extérieur.
Marche
Location flotte véhicules
Transports en commun
Location vélos
Voiture
durée / type de la pause
Court (pause cigarette)
v
s
d
pôle de services Bâtiment enveloppant des blocs statiques et des espaces modulables.
Moyen (déjeuner)
PÔLE DE SERVICES
Long (coupure)
Crèche
Une conception bioclimatique
Espace de repos
Employés permanents
Espace d’opportunité
Visiteurs / intervenants
Coopérative
1
Restaurant Espace interentreprises
Habitants
Regroupement d’entreprises
Partenaires sociaux Financement
Ville - CUB
Parcelle Construction
Financement Partenaires sociaux
Le Lieu Commun
Restaurant
L’entrepôt révisé
Montage, gestion
Location locaux
Coopérative
Cuisine partagée
public visé
Clients de la Zone
Gestionnaire
Des volumes intérieurs importants sont dégagés grâce à un système de portiques en bois (trame de 19x6m) comme dans un entrepôt. L’espace peut être ainsi organisé et réorganisé selon les besoins. Il est aussi ramené à des dimensions humaines et des pôles plus pérennes sont créés en béton pour récupérer un peu d’inertie dans le bâtiment. Une double peau sur la façade sud du restaurant conserve un confort thermique acceptable et ventile le bâtiment de manière naturelle. Des coursives déportées et l’utilisation de protections solaires extérieures évitent les risques d’éblouissement à l’intérieur.
Eléments structurels Portiques en bois Murs et planchers béton Boites en CLT Double peau : éléments de serre fabriqués en série.
1. Profil en acier galvanisé IPE 300 2. Tube 3. Bardage en polycarbonate 4. Tôle de rive 5. Support de bac acier : pièce en acier galvanisé 6. Chassis vitré fixe : profil aluminium anodisé + vitrage clair 7. Profil en acier galvanisé 8. Etanchéité non circulable sur bac acier à fixations cachées. 9. Profil en acier galvanisé de support 10. Platelage en caillebotis. 11. Bac en polyéthylène pour plantes 12. Lisse de bardage en tôle pliée galvanisée. 13. Cadre en tubes d’acier galvanisé. 14. Ouvrant d’aération mécanisé. 15. Bavette de rejet d’eau en tôle pliée
15 2 3
4 5 6
14
13 12 11 10 9 8 7
De la rue à la berge, le programme s’égraine
Plan masse 1:500
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j
Maison du parc des Berges
3
4
m
Un restaurant à l’extremité du bâtiment avec une vue sur le parc des Berges. Sensation d’intérieur-extérieur. Se continue par une terrasse.
Covoiturage
Vélo
m
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Automne 2015 Travail individuel
Le pôle entrepreneurial Le pôle entrepreneurial
Vers un nouveau modèle de pépinière d’entreprises
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Il fonctionne comme une rotule entre monde du travail et habitat par la création d’une gradation d’espaces. Il permet et facilite la mixité d’activités (artisanat, PME...) dans un complexe de bâtiments au sein même de la Z.A.E. Les entreprises peuvent bénéficier, selon leurs besoins et leur stade de développement, d’une flexibilité spatiale tant au niveau de leurs locaux qu’au niveau de leurs stockages. Le pôle entrepreneurial est aussi le lieu de rencontre et de mixité de populations qui se frôlent mais ne se touchent pas d’ordinaire. Les riverains trouvent ici des locaux associatifs et des espaces partagés comme la caféteria ou la promenade arborée.
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PLAN RDC 1:200
B’
espaces partagés
LOCAUX ASSOCIATIFS
JARDINS
CAFÉ
SANITAIRES
ATELIERS
SPÉCIFICITÉ Z.A.E : LE MONDE DU TRAVAIL
espace de travail
STOCKAGE ESPACE DE COWORKING
SALLES DE RÉUNION
BUREAUX
services communs
REPROGRAPHIE ESPACE NUMÉRIQUE
SALLES DE PAUSE
CENTRE DE FORMATION
LE PÔLE LE PÔLE ENTREPRENEURIAL ENTREPRENEURIAL
ACCUEIL
DIRECTION PARKING
CAFÉTERIA
CONCIERGERIE
1. UN ESPACE DE TRAVAIL
ATTENTE COVOITURAGE
ABRIBUS
MAISON DE L’ENTREPRISE
DE L’HABITAT AU MONDE DU TRAVAIL PROMENADE ARBORÉE
COUR DE RÉUNION COUR DE TRAVAIL
COUPE AA’ 1:200
SPÉCIFICITÉ PAVILLONNAIRE : UNE INTERFACE FERTILE
B
UNE MIXITÉ DE POPULATIONS AU SEIN D’UN BÂTIMENT
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SPÉCIFICITÉ Z.A.E : LE MONDE DU TRAVAIL
PAROI OSSATURE BOIS INTÉRIEURE
PLANCHER COURANT
Fermacell 12.5 mm Ossature 60/120 Isolation phonique 120 mm Trilply contreventant 10 mm Fermacell 12.5 mm
Chape flottante 70 mm Résilient type Domisol 25 mm Panneau Duripanel 40 mm Solives BLC 120/480 Plafond plaques de plâtre et rails
PAROI OSSATURE BOIS EXTÉRIEURE BARDAGE BOIS VERTICAL Fermacell 12.5 mm et pare-vapeur Ossature 60/120 Isolation thermique 150 mm Trilply contreventant 10 mm Pare-pluie Vide ventilé 36 mm Planches mélèze 26/115
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Hiver 2014 Travail collectif
La forme de vague a été conçue grâce au logiciel Rhinocéros. Il a ensuite fallu créer un système de repérage pour positionner les boites (400) les unes par rapport aux autres dans le couloir du musée. L’installation a donc été divisée en plusieurs lignes.
PPP
PPP
Une installation au musée des Beaux-Arts de Québec
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L’installation Point Par Pouce est une intervention éphémère dans le corridor du musée dans le cadre des Nuits de la Création dont le thème cette année-là était les cinq éléments.
Les principes de tension de surface des liquides servent de guides pour l’organisation des cubes dans le but de générer une atmosphère fluide à l’endroit du musée qui est dédié à la circulation.
PPP est un acronyme souvent utilisé dans le domaine de l’architecture au Québec. L’une de ces utilisations signifie le nombre de points ou de pixels qui représenteront un pouce de distance dans l’interprétation numérique des images. Pour cet exercice, l’unité du pixel est agrandie à une échelle tactile et est aussi attribué un profil égal en profondeur. À cette échelle, le pixel devient une particule faisant part de la composition d’une surface.
La boite d’expédition se voyait le medium idéal; ces objets sont conçus pour circuler tout autour du monde. Ils représentent alors une certaine forme de fluidité et se pretent bien à notre interprétation du pixel pour cet exercice.
Un système de jeux de lumière (bleue et violette) et une installation sonore (bruits d’eau) est venue complétée l’assemblage de boites afin de solliciter davantage les sens du promeneur.
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Hiver 2014 Travail individuel
Ligne
Ligne
Un meuble-transition pour passer du dehors au dedans
Seuil : n. m. Ce qui constitue l’accès à un lieu, le début de ce lieu. Limite, point, moment au-delà desquels commence un état, se manifeste un phénomène. Conçevoir un meuble, c’est au-delà du dessin, une réflexion sur l’usage. Pour Ligne, je me suis demandé quelles étaient les premières choses que je faisais lorsque je rentrais chez moi. La réponse est simple : enlever mes chaussures, accrocher mon manteau, poser mes clefs, tout cela dans un espace de transition, entre le dehors et le dedans. La question du seuil m’est alors apparue comme cruciale. Cela s’est cristallisé dans un meuble, conçu comme un espace, une ligne qui se plie et se replie pour montrer la fluidité du mouvement, du passage, pour créer aussi plusieurs temps de pause.
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Plis et replis
Détail du porte-manteau Banc, vide-poche, porte-manteau
Trois espaces 1. Enlever ses chaussures
2. Poser ses clefs
3. Poser son manteau
Réalisation On utilise ici une seule plaque de contreplaqué de peuplier (2500x1220x18mm) pour réaliser l’ensemble du meuble-espace. La découpe des différentes pièces est faite dans le sens du fil du bois de façon à conserver une sensation de continuité dans la ligne. Les pièces sont ensuites collées et vissées. Les chutes de la plaque peuvent être ensuite utilisées - et peintes - pour créer des compartiments de rangement : une caisse pour ranger ses chaussures, un porte parapluie.
2,2m
0,45m 3m
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Photographies
2010-2017 Travail individuel
Portfolio complet : nourzeghib.wixsite.com/lmdn 40
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