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2015 RAPPORT D’ACTIVITÉ DES MÉTIERS DE L’ÉPICERIE ET DE LA NUTRITION SPÉCIALISÉE

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RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

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SOMMAIRE L’ALLIANCE 7

38 SYNDICAT DES APÉRITIFS À CROQUER 42 SYNDICAT FRANÇAIS DU CAFÉ 46 SYNDICAT FRANÇAIS DE LA NUTRITION SPÉCIALISÉE 48 SECTEUR FRANÇAIS DES ALIMENTS DE L’ENFANCE 50 SECTEUR DIÉTÉTIQUE 52 SECTEUR NUTRITION CLINIQUE 57 NOTRE ORGANISATION

4 LES SECTEURS DE L’ALLIANCE 7 EN CHIFFRES 5 L’ALLIANCE 7 EN 7 SECONDES 6 L’ALLIANCE 7 PAR FLORENCE PRADIER, DIRECTRICE GÉNÉRALE 8 PANORAMA 2015 11 NOS SYNDICATS EN 2015 12 SYNDICAT DU CHOCOLAT 16 SYNDICAT NATIONAL DE LA CONFISERIE 20 SYNDICAT FRANÇAIS DES MIELS 24 LES FABRICANTS DE BISCUITS ET GÂTEAUX DE FRANCE 28 SECTEUR DES FABRICANTS DE DESSERTS À PRÉPARER OU PRÊTS À CONSOMMER 30 SYNDICAT FRANÇAIS DES CÉRÉALES DU PETIT DÉJEUNER 34 SYNDICAT DE LA PANIFICATION CROUSTILLANTE ET MOELLEUSE

54 CHIFFRES CLÉS 2015 55 CARTE DES EMPLOIS DE NOS ENTREPRISES 57 NOTRE ORGANISATION 58 ORGANIGRAMME 60 NOS INSTANCES 61 NOS ASSOCIATIONS EUROPÉENNES 62 ALLIANCE 7 SERVICES

Conception : www.agence-maverick.com Rédaction : L’Alliance 7 Impression : Imprimatur - Imprimé en France

ISSN : 2407-0072 5

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

LES SECTEURS DE L’ALLIANCE 7

EN CHIFFRES

1 9 Syndicats

Fédération

Les syndicats de L’Alliance 7 représentent en moyenne

380

85%

entreprises

33% TPE 3% Grandes

10% ETI

du poids économique des secteurs

500

54% PME

Entreprises

sites de fabrication situés au cœur de nos régions

18,2 Mds € de CA

dont 27% à l’export

345

48 312

jours de formation dispensés en 2015.

Une dizaine de salariés formés par session.

emplois directs Source : L’Alliance 7 6

L’ALLIANCE 7

EN

L’ALLIANCE 7 EST UNE FÉDÉRATION PROFESSIONNELLE REGROUPANT NEUF SYNDICATS DE L’ÉPICERIE ET DE LA NUTRITION SPÉCIALISÉE. CHAQUE SYNDICAT EST GOUVERNÉ PAR UN CONSEIL D’ADMINISTRATION COMPOSÉ DE DIRIGEANTS D’ENTREPRISES DU SECTEUR D’ACTIVITÉ. TOUS LES SYNDICATS PARTAGENT UNE MÊME ÉQUIPE ET UN MÊME SERVICE ADHÉRENTS QUI DÉFENDENT AU QUOTIDIEN LES INTÉRÊTS DES ENTREPRISES.

UNE FÉDÉRATION QUI AGIT POUR SES ENTREPRISES

NOS SYNDICATS

Syndicat du Chocolat - Syndicat National de la Confiserie Syndicat Français des Miels - Les Fabricants de Biscuits et Gâteaux de France - Syndicat de la Panification Croustillante et Moelleuse - Syndicat Français des Céréales du Petit Déjeuner Syndicat des Apéritifs à Croquer - Syndicat Français du Café Syndicat Français de la Nutrition Spécialisée

s Être force de proposition pour lever les freins à la croissance ET ACCOMPAGNER NOS ENTREPRISES SUR LES ENJEUX ÏCONOMIQUES s Préserver et promouvoir le patrimoine ET LES SAVOIR FAIRE DE NOS PROFESSIONS

NOS VALEURS

s Agir en faveur de la réputation DE NOS PRODUITS ET DE NOS PROFESSIONS s Sécuriser juridiquement NOS ENTREPRISES EN &RANCE ET EN %UROPE

RESPONSABILITÉ, ENGAGEMENT, PERFORMANCE

s Négocier AVEC LES PARTENAIRES SOCIAUX s Accompagner nos entreprises AU QUOTIDIEN SERVICES RELATIONS SOCIALES QUALITÏ s Former POUR PRÏSERVER NOS SAVOIR FAIRE MÏTIERS 7

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

AGIR COLLECTIVEMENT : UNE RESPONSABILITÉ D’ENTREPRISE, UNE NÉCESSITÉ POUR PRÉPARER DEMAIN

N

OUS ÏVOLUONS DANS DES SOCIÏTÏS QUI AFFRONTENT COUP SUR COUP DES ÏPREUVES SOCIALES ÏCONOMIQUES ET ENVIRONNEMENTALES SANS PRÏCÏDENT ,EURS CONSÏQUENCES TOUCHENT LE MONDE DANS SA GLOBALITÏ ET BOUSCULENT LES ÏQUILIBRES SOCIÏTAUX POLITIQUES ET ÏCONOMIQUES QUI ONT FABRIQUÏ LES SOCIÏTÏS D AUJOURD HUI

#ES MUTATIONS TOUCHENT BIEN SßR LA SOCIÏTÏ FRAN AISE ET TOUS SES ACTEURS %LLES CONCERNENT DIRECTEMENT SES ENTREPRISES LA PETITE COMME LA GRANDE LA NATIONALE COMME LA MULTINATIONALE L ARTISANALE COMME L INDUSTRIELLE %T SI CES ENTREPRISES PRODUISENT DES BIENS DE CONSOMMATION COMME CELLES DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE CES MUTATIONS APPORTENT DE NOUVELLES EXIGENCES LA RESPONSABILITÏ SOCIÏTALE ET L i IRRÏPROCHABILITÏ w 8

LES ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES COMME LA NÔTRE ONT AUJOURD’HUI LE RÔLE PRIMORDIAL D’ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES VERS LES PROJETS COLLECTIFS.

,E POSITIONNEMENT DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES DANS L ACCOMPAGNEMENT DE CES MUTATIONS SERA DÏTERMINANT POUR LEUR AVENIR %LLES SORTIRONT DU RÙLE DE FABRICANT ET DE GESTIONNAIRE CAR ELLES SERONT ATTENDUES Ì UN NIVEAU D ENGAGEMENT QUI DÏPASSE LE SIMPLE PÏRIMÒTRE DE LEURS ACTIVITÏS PREMIÒRES 4OUT EN RESTANT DES ACTEURS ÏCONOMIQUES ELLES DEVRONT DEVENIR LÏGITIMES ET CRÏDIBLES POUR RELEVER LES DÏlS COLLECTIFS QUI S IMPOSENT Ì ELLES EN AFFRONTANT LES TENSIONS SOCIÏTALES NOTAMMENT ENTRE LES GÏNÏRATIONS AUTOUR DE LA DIVERSITÏ ET DE LA REDISTRIBUTION DES RICHESSES EN PARTICIPANT Ì LA RÏALISATION D UNE PLANÒTE PROPRE ET SAINE POUR SES HABITANTS

SIONNELS ET D ÏTABLIR COLLECTIVEMENT DES PONTS AVEC LES PARTIES PRENANTES POUR QUE LES ENGAGEMENTS AIENT DU SENS ET DEVIENNENT AUDIBLES ,ES ACTIONS COLLECTIVES ET LES ACTIONS INDIVIDUELLES DOIVENT POUVOIR S ARTICULER DANS UN PROJET D ENSEMBLE COMMUN EFlCACE ET CRÏDIBLE RECONNU PAR LA SOCIÏTÏ ET ADAPTÏ Ì SES MUTATIONS ,ES ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES COMME LA NÙTRE ONT AUJOURD HUI LE RÙLE PRIMORDIAL D ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES VERS LES PROJETS COLLECTIFS ET DE FAVORISER LEUR CONCEPTION EN IDENTIlANT LES BESOINS DE LA SOCIÏTÏ EN DÏCRYPTANT LES MUTATIONS EN COURS EN DIALOGUANT ET EN INTERAGISSANT AVEC LA SOCIÏTÏ CIVILE

0OUR UNE ENTREPRISE COMME POUR UN SECTEUR D ACTIVITÏ AGIR FACE Ì CES DÏlS DEVIENT UNE CONDITION MAJEURE POUR GARDER LA CONlANCE DE LA SOCIÏTÏ ET DONC UNE CONDITION INDISPENSABLE POUR DÏVELOPPER L INVESTISSEMENT ET LA CROISSANCE

, !LLIANCE S EST STRUCTURÏE EN POUR MIEUX ÏCOUTER ET INTERPRÏTER LES SIGNAUX FAIBLES DÏVELOPPER DE LA COHÏSION ET DU SENS AU TRAVERS DE PROJETS COLLECTIFS %NTREPRISES PARTIES PRENANTES ACTEURS DE LA SOCIÏTÏ DE CONSOMMATION INTERROGEZ NOUS SOLLICITEZ NOS ÏQUIPES 0LUS NOS ÏCHANGES SERONT RICHES ET NOMBREUX ET PLUS NOUS SERONS Ì MÐME D ACCOMPAGNER LES MUTATIONS ET LA RÏPONSE AUX EXIGENCES DE DEMAIN

,A TÊCHE EST ARDUE %T LES SOLUTIONS NE PEUVENT PAS SE RÏSUMER Ì DES ACTIONS INDIVIDUELLES VOLONTARISTES MAIS NÏCESSITENT AUSSI DE PENSER LA FA ON D AGIR ENSEMBLE ET DE MANIÒRE PROACTIVE 3EULE UNE ENTREPRISE NE PEUT PAS FAIRE PROGRESSER SON SECTEUR %LLE A BESOIN D AVANCER AVEC D AUTRES PROFES-

Florence Pradier, Directrice Générale 9

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

PANORAMA 2015 @

RETOUR SUR LES ÉVÉNEMENTS MARQUANTS QUI ONT RYTHMÉ LA VIE DE L’ALLIANCE 7 ET DE SES SYNDICATS TOUT AU LONG DE L’ANNÉE 2015.

RENDEZ-VOUS INCONTOURNABLES ER

DU 1 AU 4 FÉVRIER Salon ISM à Cologne

ENTREPRISES EXPORTATRICES FRAN AISES ONT EXPOSÏ Ì L )3- DONT SOUS LE 0AVILLON &RANCE DE LA 3OPEXA ,A &RANCE A D AILLEURS EU L HONNEUR D ÐTRE LE PAYS Ì L HONNEUR DE L )3-

DU 1ER MAI AU 31 OCTOBRE Exposition universelle "ISCUITS ET GÊTEAUX CONlSERIES CHOCOLATS

MIELS ALIMENTS DE L ENFANCE ONT CONTRIBUÏ Ì LA SCÏNOGRAPHIE DU 0AVILLON &RANCE

FAITS MARQUANTS

26 MARS Conférence de la commission Matières Premières sur le thème du marché européen du sucre #ET ÏVÏNEMENT A ÏTÏ UN SUCCÒS LES PARTICIPANTS SONT VENUS TRÒS NOMBREUX ET LES ÏCHANGES AVEC 2OBERT 'UICHARD 0RÏSIDENT DU #)53 #OMITÏ EUROPÏEN DES INDUSTRIES UTILISATRICES DE SUCRE ET &ABIENNE 0OINTIER ANALYSTE POUR 0LATTS +INGSMAN ONT PERMIS D ALIMENTER LE DÏBAT SUR LES SCÏNARIOS POSSIBLES POUR LE MARCHÏ EUROPÏEN DU SUCRE POST

27 FÉVRIER Table ronde organisée par le syndicat de la Nutrition Clinique sur le thème de la dénutrition #ET ÏVÏNEMENT A ÏTÏ L OCCASION D APPROFONDIR ET D ÏCHANGER SUR UN SUJET ENCORE TROP MÏCONNU ,ORS DE CETTE RENCONTRE

LES EXPERTS ONT ABORDÏ LES DIFFÏRENTS ASPECTS DE CETTE PATHOLOGIE LES CAUSES

LES CONSÏQUENCES LES PERSONNES Ì RISQUE ET LES SOLUTIONS QUI EXISTENT

1ER OCTOBRE Journée mondiale du cacao ,E SYNDICAT DU #HOCOLAT A ORGANISÏ LE ER OCTOBRE Ì L OCCASION DE LA JOURNÏE MONDIALE DU CACAO LA CONFÏRENCE DÏBAT « Créer de la valeur pour mieux la partager » #ETTE CONFÏRENCE S EST TENUE AU -INISTÒRE DES !FFAIRES %TRANGÒRES ET PLACÏE SOUS LE HAUT PATRONAGE DE -ONSIEUR ,AURENT &ABIUS

-INISTRE DES !FFAIRES %TRANGÒRES ET DU $ÏVELOPPEMENT )NTERNATIONAL

4 FÉVRIER Audition sur la fin des quotas sucriers $ANS LE CADRE DE LA MISSION MINISTÏRIELLE POUR ACCOMPAGNER LA lLIÒRE APRÒS LA lN DES QUOTAS , !LLIANCE A ÏTÏ AUDITIONNÏE PAR 3ERGE ,HERMITTE DÏLÏGUÏ MINISTÏRIEL POUR LES INDUSTRIES AGRO ALIMENTAIRES ET 4HIERRY "ERLIZOT MEMBRE DU #ONSEIL GÏNÏRAL DE L AGRICULTURE DE L ALIMENTATION ET DES ESPACES RURAUX

10

Le 4 juin dernier s’est tenue l’Assemblée Générale de L’Alliance 7 ET DE SES SYNDICATS SUR LE THÒME « Oser entreprendre, réinventer les codes pour créer de la croissance » DEVANT PLUS DE PERSONNES AVEC LA PARTICIPATION D %RICK /RSENNA ÏCONOMISTE ÏCRIVAIN ET MEMBRE DE L !CADÏMIE FRAN AISE DE *ULIEN 2ADIC &ONDATEUR DE ,A "ONNE "OX DE 'ARY 3WINDELLS 0RÏSIDENT DE #OSTCO &RANCE ET 8AVIER "EULIN 0RÏSIDENT DE LA &.3%! #E MOMENT DE RÏmEXION A PERMIS Ì NOS ADHÏRENTS D ÏCHANGER AUTOUR DE SOLUTIONS NOVATRICES PERMETTANT DE RENOUER AVEC LA CROISSANCE « Que faire pour que ces initiatives se développent de façon pérenne ? Comment agir pour qu’elles aboutissent à un partage équitable de la valeur au sein des filières ? »

POUR EN SAVOIR PLUS : WWW ALLIANCE COM 2 OCTOBRE 8ème édition de la Journée des Petits Plaisirs %N LA *OURNÏE DES 0ETITS 0LAISIRS S EST TRANSFORMÏE EN GRANDE CHASSE AU TRÏSOR PENDANT LAQUELLE DES TRIPORTEURS ONT SILLONÏ ,ILLE 0ARIS

.ANTES ,YON "ORDEAUX ET -ARSEILLE POUR DISTRIBUER DES SACHETS DE PETITS PLAISIRS EN ÏCHANGE D ENGAGEMENTS PETITS PLAISIRS ENVERS UN PROCHE DU 28 OCTOBRE AU 1ER NOVEMBRE Salon du Chocolat ! L OCCASION DU ÒME 3ALON DU #HOCOLAT LE 3YNDICAT DU #HOCOLAT A INVITÏ LES CHOCOLATIERS Ì UNE CONFÏRENCE SUR LE THÒME « Chocolatiers aujourd’hui, chocolatiers demain : évolutions et perspectives ».

Fibres et aliments céréaliers 0UBLICATION DES RÏSULTATS DE L ÏTUDE 4.3 3OFRES SUR LES lBRES ET LES ALIMENTS CÏRÏALIERS INITIÏE PAR LES ACTEURS DU SECTEUR DES ALIMENTS CÏRÏALIERS PAIN COURANT ET PAIN PRÏEMBALLÏ BISCOTTES ET PAINS GRILLÏS CÏRÏALES DU PETIT DÏJEUNER

BISCUITS GÊTEAUX PÊTES ALIMENTAIRES 6ISANT Ì IDENTIlER LES LEVIERS ET LES FREINS Ì LA CONSOMMATION ET AINSI AMÏLIORER L IMAGE ET LA CONSOMMATION DES ALIMENTS CÏRÏALIERS SOURCES ET RICHES EN lBRES AlN DE RÏPONDRE AUX RECOMMANDATION DE SANTÏ PUBLIQUE EN MATIÒRE DE CONSOMMATION DE lBRES CETTE ÏTUDE A ÏTÏ PARTAGÏE AVEC LA COMMUNAUTÏ SCIENTIlQUE ET A FAIT L OBJET DE PLUSIEURS PUBLICATIONS

,!LLIANCE

PUBLICATIONS

Brochure acrylamide , !LLIANCE A DÏVELOPPÏ EN COORDINATION AVEC L !.)! ET D AUTRES SECTEURS LA BROCHURE !CRYLAMIDE QUI S ATTACHE Ì PRÏSENTER DANS UNE PREMIÒRE PARTIE LE CONTEXTE RÏGLEMENTAIRE ET SCIENTIlQUE

PUIS DES lCHES DÏTAILLÏES PAR CATÏGORIES DE PRODUITS QUI PRÏCISENT POUR CHACUNE D ELLES LA VALEUR INDICATIVE APPLICABLE LES ÏTAPES Oá IL EST PERTINENT D AGIR ET LES OUTILS DISPONIBLES PRODUITS DE PANIlCATION PRODUITS CÏRÏALIERS CAFÏ ALIMENTS INFANTILESx Infographie « L’économie du chocolat en France » ! L OCCASION DU WEEK END DE 0ÊQUES LE GOUVERNEMENT A PUBLIÏ SUR SON SITE UNE INFOGRAPHIE DES CHIFFRES CLÏS DU SECTEUR DU #HOCOLAT EN &RANCE VENANT DU SYNDICATS DU #HOCOLAT #ES INFORMATIONS ONT ÏTÏ LARGEMENT RELAYÏES SUR LES COMPTES 4WITTER ET &ACEBOOK DU 'OUVERNEMENT Infographie « Le petit déjeuner, le réflexe oublié des écoliers » ,ES SYNDICATS CÏRÏALIERS DE , !LLIANCE SE SONT PENCHÏS SUR LES CONSÏQUENCES DE L ÏROSION DU PETIT DÏJEUNER CHEZ LES ÏCOLIERS DE #0 Ì #- ET LA VISION QUE PEUVENT EN AVOIR LES ENSEIGNANTS 5N CONSTAT ALARMANT A ÏTÏ ÏTABLI PAR UNE ÏTUDE DU #2%$/# PRÒS DE LA MOITIÏ DES ENSEIGNANTS IDENTIlENT LES ENFANTS ARRIVANT Ì L ÏCOLE LE VENTRE VIDE LE MATIN QUI SE MONTRENT PLUS FATIGUÏS MOINS CONCENTRÏS ET MOINS ATTENTIFS EN CLASSE 11

Eco-conception des emballages : le guide 0ARTENAIRES DEPUIS DE NOMBREUSES ANNÏES , !LLIANCE ET %CO %MBALLAGES ONT ÏLABORÏ %CO CONCEPTION DES EMBALLAGES

UN GUIDE PRATIQUE CONCRET ET OPÏRATIONNEL QUI ÏVOQUE LES DIFFÏRENTES DÏMARCHES D ÏCO CONCEPTION ET PARTAGE LES BONNES PRATIQUES EN LA MATIÒRE PAGES POUR TOUT COMPRENDRE SUR L ÏCO CONCEPTION L’instant goûter ,E GOßTER EST UN MOMENT DE COMPLICITÏ POUR LES PETITS MAIS AUSSI POUR LES GRANDS 0OUR TOUT SAVOIR DE CETTE PAUSE PLAISIR ET RÏCONFORT LES &ABRICANTS DE "ISCUITS ET 'ÊTEAUX ONT DÏVELOPPÏ UNE INFOGRAPHIE LUDIQUE ET PÏDAGOGIQUE #ETTE INFOGRAPHIE A ÏTÏ PROLONGÏE PAR UNE VIDÏO DISPONIBLE SUR 9OUTUBE Les céréales se dévoilent 0ORTIONS COMPOSITION NUTRITIONNELLE PETIT DÏJEUNER LE SYNDICAT DES #ÏRÏALES DU 0ETIT $ÏJEUNER RÏPOND AUX QUESTIONS ET IDÏES RE UES QUI CIRCULENT SOUVENT Ì TORT SUR LA CATÏGORIE

CÔTÉ POLITIQUE

-OBILISATION DES PROFESSIONS DE , !LLIANCE SUR LA THÏMATIQUE CENTRALE DE L ÏTIQUETAGE NUTRITIONNEL s -ISE EN CONFORMITÏ PAR NOS PROFESSIONS DES EMBALLAGES SUR LES DENRÏES ALIMENTAIRES 2ÒGLEMENT EUROPÏEN ).#/ s 3ENSIBILISATION DES PARLEMENTAIRES ET DES CABINETS MINISTÏRIELS DANS LE CADRE DE L EXAMEN DU PROJET DE LOI DE SANTÏ PUBLIQUE 3 FÉVRIER ET 7 AVRIL 2015 Participation au Club parlementaire sport #ETTE PLATEFORME DE RÏmEXION COLLECTIVE

DE RENCONTRE ET DE DIALOGUE VISE Ì RAPPROCHER LES POUVOIRS PUBLICS DES ACTEURS DU MONDE DU SPORT %LLE NOUS PERMET DE RENCONTRER ET DE FAIRE PASSER NOS MESSAGES AUPRÒS DES ÏLUS QUI S INTÏRESSENT DE PRÒS Ì NOS PROBLÏMATIQUES

ET AUSSI

$ÏMÏNAGEMENT DES ÏQUIPES DE , !LLIANCE ET REGROUPEMENT AU SEIN DE LA h-AISON DE L !LIMENTATIONv LOCALISÏE AU BOULEVARD -ALESHERBES DANS LE ÒME ARRONDISSEMENT

NOS SYNDICATS EN 2015 12

SYNDICAT DU CHOCOLAT

16

SYNDICAT NATIONAL DE LA CONFISERIE

20

SYNDICAT FRANÇAIS DES MIELS

24

38

SYNDICAT DES APÉRITIFS À CROQUER

42

SYNDICAT FRANÇAIS DU CAFÉ

46

SYNDICAT FRANÇAIS DE LA NUTRITION SPÉCIALISÉE

LES FABRICANTS DE BISCUITS ET GÂTEAUX DE FRANCE

SECTEUR FRANÇAIS DES ALIMENTS DE L’ENFANCE 48

SECTEUR DES FABRICANTS DE DESSERTS À PRÉPARER OU PRÊTS À CONSOMMER 28

SECTEUR DIÉTÉTIQUE 50

30

54

SYNDICAT FRANÇAIS DES CÉRÉALES DU PETIT DÉJEUNER

34

SYNDICAT DE LA PANIFICATION CROUSTILLANTE ET MOELLEUSE

SECTEUR NUTRITION CLINIQUE 52 CHIFFRES CLÉS

55

CARTE DES EMPLOIS DE NOS ENTREPRISES

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SYNDICAT DU

CHOCOLAT CARTE D’IDENTITÉ Président Patrick Poirrier (Cémoi) Vice-présidents Philippe Janvier (Barry Callebaut) Mauro Russo (Ferrero) Trésorier Alain Guermiquet (Lindt) Secrétaire Général Thierry Marchal-Beck

À MI-CHEMIN DU PLAN STRATÉGIQUE 2014-2016, L’ANNÉE A CONNU NOMBRE DE TEMPS FORTS. DÉSIREUX DE DEVENIR L’ACTEUR REFERENT DE LA FILIÈRE, LE SYNDICAT DU CHOCOLAT A ÉTÉ PRÉSENT SUR TOUS LES FRONTS DE DÉFENSE DU SECTEUR, DE LA CRÉATION DE LA NORME CACAO DURABLE À LA VALORISATION DES SAVOIR-FAIRE. Web : www.syndicatduchocolat.fr www.enviesdechocolat.com @chocolatFrance

UNE FILIÈRE ENGAGÉE ET RESPONSABLE ACTEUR DE LA CONSTRUCTION DE LA NORME CACAO DURABLE

L

E SYNDICAT DU #HOCOLAT S INVESTIT DEPUIS PLUSIEURS ANNÏES DANS LA CONSTRUCTION DE LA NORME #ACAO $URABLE %LLE PERMETTRA D ABOUTIR Ì LA CRÏATION D UN RÏFÏRENTIEL QUI PARTAGÏ AVEC LES PAYS PRODUCTEURS SERVIRA Ì LA STRUCTURATION ET AU DÏVELOPPEMENT DE LA lLIÒRE TOUT EN RÏPONDANT AUX FORTS ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX SOCIAUX ET ÏTHIQUES ,A NORME 14

ABORDERA L ENSEMBLE DES THÏMATIQUES CHÒRES AU CACAO L ENVIRONNEMENT LE DÏVELOPPEMENT ÏCONOMIQUE DES PRODUCTEURS LES CONDITIONS SOCIALES DE PRODUCTION AINSI QUE LA TRA ABILITÏ

DEUXIÈME JOURNÉE MONDIALE DU CACAO ,A DEUXIÒME *OURNÏE -ONDIALE DU #ACAO ORGANISÏE PAR LE 3YNDICAT DU #HOCOLAT ET LA #ONFÏDÏRATION DES #HOCOLATIERS #ONlSEURS DE &RANCE S EST TENUE LE ER OCTOBRE AU 1UAI D /RSAY SOUS LE PATRONAGE

MARCHÉ 2015 DU CHOCOLAT EN FRANCE

14 782 emplois directs

91 Entreprises

TOTAL VENTE GRANDE DISTRIBUTION FRANCE

30%

2 239

du chocolat consommé en FRANCE est du CHOCOLAT NOIR

MILLIONS € (261 128 TONNES)

(MOYENNE EUROPÏENNE

3OURCE )2) TOTAL HYPERS SUPERS M§ -$$ Y COMPRIS

LA CONSOMMATION DE CHOCOLAT (en volume)

Tablettes

33%

19% 13%

Confiserie de chocolat

26%

Pâte à tartiner

7,31 KG/HAB/AN 7éme RANG EUROPÉEN

Cacao en poudre

9%

Barres

3OURCE TOTAL DES VENTES &RANCE DES ENTREPRISES DU SECTEUR FABRICATION EXPORTATION IMPORTATIONS 3OURCE , !LLIANCE

3OURCE VENTES &RANCE POPULATION

VENTE DE NOËL

33 565

VENTE DE PÂQUES

15 179

Tonnes 3OURCE 0ANEL .IELSEN

VENTES À L’EXPORT

Tonnes

LA FRANCE EXPORTE ENVIRON

1 021

57%

MILLIONS € (252 492 tonnes)

de sa production

3OURCE $OUANES FRAN AISES

LES ENTREPRISES1 (en nombre d’entreprises)

ETI*

TPE*

40% 4RÒS 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMÏDIRAIRE '% 'RANDES %NTREPRISES %NTREPRISES ADHÏRENTES ET NON ADHÏRENTES AU 3YNDICAT 3OURCE , !LLIANCE 15

4%

40%

8%

GE*

48%

PME*

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

DE ,AURENT &ABIUS -INISTRE DES !FFAIRES ÏTRANGÒRES ET DU $ÏVELOPPEMENT INTERNATIONAL AUTOUR DE LA THÏMATIQUE «Créer de la valeur pour mieux la partager». %N &RANCE LE SECTEUR DU CHOCOLAT PARTICULIÒREMENT DYNAMIQUE EST ANCRÏ DANS UNE TRADITION GASTRONOMIQUE FORTE # EST DONC AVEC DÏTERMINATION QUE L ENSEMBLE DES FABRICANTS ET DES ARTISANS CHOCOLATIERS ONT SOUHAITÏ SE MOBILISER POUR CONTRIBUER AU DÏVELOPPEMENT ET AU RENFORCEMENT DE CETTE lLIÒRE D EXCEPTION #ONSCIENTS DE LEURS RESPONSABILITÏS VIS Ì VIS DES CONSOMMATEURS ET DES PRODUCTEURS DE CACAO LES PROFESSIONNELS DE LA lLIÒRE SOUTIENNENT UNE DÏMARCHE DE PRODUCTION DE CACAO PÏRENNE ET DURABLE EN #ÙTE D )VOIRE QUI EST AVEC SON VOISIN LE 'HANA LE FOURNISSEUR DE DU CACAO UTILISÏ PAR LES CHOCOLATIERS FRAN AIS

REGROUPE ENTREPRISES PRÏSENTES SUR L ENSEMBLE DE LA lLIÒRE PREMIÒRE DEUXIÒME ET TROISIÒME TRANSFORMATION

AINSI QUE LES CHAÔNES AYANT PLUS DE DIX MAGASINS #RÏÏ EN LE 3YNDICAT EST L ACTEUR PRIVILÏGIÏ DE TOUTE LA lLIÒRE ET SOUHAITE AINSI DEVENIR L INTERPROFESSION EN APPORTANT DES INFORMATIONS SUR LE CHOCOLAT Ì L ENSEMBLE DES PARTIES PRENANTES

…QUI VALORISE LA CULTURE ET LES PRODUITS DE LA PROFESSION PÉRENNISER NOS SAVOIR-FAIRE

#ES SAVOIR FAIRE CONSTITUENT LE FER DE LANCE DE L INDUSTRIE CHOCOLATIÒRE ET DE LA RECONNAISSANCE DE LA QUALITÏ DE SES PRODUITS ,A PROFESSION POSSÒDE SES PROPRES CYCLES DE FORMATION ET SES CERTIlCATS DE QUALIlCATIONS PROFESSIONNELLES %N UN IMPORTANT TRAVAIL A ÏTÏ ENTREPRIS …PIVOT DE LA FILIÈRE POUR REVOIR LES CYCLES DE FORMATION MÏTIER DES CHOCOLACHOCOLAT… TIERS ET LES RENDRE MODULABLES POUR MIEUX RÏPONDRE AUX ,E SECTEUR DU CHOCOLAT EN &RANCE COMPTE ENTREPRISES BESOINS ACTUELS ET FUTURS DES ENTREPRISES #ES NOUVEAUX ET EMPLOIS DIRECTS DONT LA MOITIÏ EN PRODUCTION CYCLES ONT ÏTÏ DÏPLOYÏS EN ,E 3YNDICAT DU #HOCOLAT REPRÏSENTE DU SECTEUR ET

PRÉSENT À L’EXPOSITION UNIVERSELLE DE MILAN

, %XPOSITION 5NIVERSELLE A OUVERT SES PORTES Ì -ILAN LE ER MAI SUR LE THÒME « Nourrir la planète, énergie pour la vie » 0ARTIE INTÏGRANTE DE LA SCÏNOGRAPHIE DU 0AVILLON &RANCE LES PRODUITS DE CHOCOLATERIE DE CONlSERIE LES BISCUITS ET GÊTEAUX LE MIEL ET LES ALIMENTS DE L ENFANCE ONT MIS EN VALEUR LA DIVERSITÏ DES PRODUITS ET LE SAVOIR FAIRE DES ENTREPRISES

LE SECTEUR DU CHOCOLAT, PARTICULIÈREMENT DYNAMIQUE, EST ANCRÉ DANS UNE TRADITION GASTRONOMIQUE FORTE.

16

Deux salons, l’un est Français et voyage dans de multiples pays chaque annĂŠe, l’autre se tient Ă Cologne et peut se vanter d’être le plus grand et le plus important salon professionnel de l’Êpicerie sucrĂŠe au monde. Le Syndicat du Chocolat du chocolat et ses entreprises participent au succès de chaque nouvelle ĂŠdition et dĂŠveloppent leur reconnaissance Ă l’international. Fait nouveau : les chocolatiers ont permis Ă la France d’être le pays Ă l’honneur de l’ISM en janvier 2016. AlliĂŠ avec 3 autres syndicats de L’Alliance 7, Sopexa, FranceAgriMer et quelques rĂŠgions, l’ISM a battu le pavillon France pendant 4 jours ďŹ n janvier.

FOCUS LE SALON DU CHOCOLAT ET L’INTERNATIONAL SWEET MARKET (ISM) DE COLOGNE FONT GAGNER DES PARTS DE MARCHÉ AUX CHOCOLATIERS

INTERVIEW Quel bilan faites-vous de 2015 ? , ANN�E A �T� FORTE EN �V�NEMENTS PERMETTANT DE METTRE EN AVANT LA DIVERSIT� DE NOS PRODUITS AVEC L %XPOSITION DE -ILAN ET LA DEUXIÒME *OURN�E -ONDIALE DU CACAO QUI S EST D�ROUL�E AU 1UAI D /RSAY 3UR LE PLAN R�GLEMENTAIRE NOUS AVONS AUSSI BEAUCOUP “UVR� 0AR EXEMPLE POUR �VITER L INTERDICTION DU CACAO D ORIGINE ³QUATEUR 1BUSJDL 1PJSSJFS PrÊsident EN IMPOSANT DES LIMITES MAXIMALES MOYENNES EN CADMIUM INAPPLICABLES ET INSENS�ES AU REGARD DE L ABSENCE DE RISQUE POUR LE CONSOMMATEUR DANS LE CHOCOLAT .OUS AVONS PROLONG�

NOTRE TRAVAIL AVEC LES AUTORITĂ?S IVOIRIENNES POUR DĂ?VELOPPER UN LABEL CACAO ORIGINE #Ă™TE D )VOIRE POUR GARANTIR UN CACAO DURABLE TRA ABLE ET DE QUALITĂ? , ENSEMBLE DE NOS ACTIONS VISENT ĂŒ AMĂ?LIORER LA COMPĂ?TITIVITĂ? DE NOS ENTREPRISES POUR

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

QU ELLES CONTINUENT D Ă?TRE DES PROCURATRICES DE PLAISIR AUX CONSOMMATEURS Comment avez-vous Ĺ“uvrĂŠ cette annĂŠe sur le sujet ÂŤ durabilitĂŠ Âť ?

4OUTE NOTRE lLIĂ’RE REPOSE SUR LA PRODUCTION DE CACAO ,A DURABILITĂ? COMMENCE PAR CELA Ă?TRE CONCERNĂ? PAR LES ENJEUX DE PĂ?RENNISATION DE LA PRODUCTION ET Ă?TRE IMPLIQUĂ?

AVEC LES PLANTEURS POUR EN RELEVER LES DĂ?lS #HAQUE ENTREPRISE AGIT ĂŒ SA FA ON ET AVEC SES MOYENS MAIS DEPUIS ANS NOUS AVONS DĂ?CIDĂ? DE TRAVAILLER SUR UNE NORME %UROPĂ?ENNE CACAO DURABLE AVEC TOUTES LES PARTIES PRENANTES /.'

PLANTEURS FABRICANTS DISTRIBUTEURSx A PERMIS DE FRANCHIR PLUSIEURS Ă?TAPES IMPORTANTES POUR ABOUTIR ĂŒ UNE PREMIĂ’RE VERSION DU CAHIER DES CHARGES ! TERME

CELA DEVIENDRA UN STANDARD POUR LE FABRICANT EUROPĂ?EN %T UNE GARANTIE POUR LE CONSOMMATEUR DE POUVOIR TOUJOURS CONTINUER ĂŒ SAVOURER DU CHOCOLAT

"#5&: $)0$0-"5&3*& t "5&-*&34 %6 7"- % *(/: t #"33: $"--&#"65 t #&-$0-"%& #&3/"3% $"45&-"*/ t #*4$0$)0$ $)0$0-"5&3*& %& /06.²" t $"3(*-- CACAO ET CHOCOLAT '3"/$& t $&.0* t $)&7"-*&34 % "3(06(&4 t $)0$.0% $)0$0-"5 %&4 13*/$&4 t $)0$0-"5 8&*44 t $)0$0-"5&3*& %& #0//&7"- t $)0$0-"5&3*& %& - 01&3" t $)0$0-"5&3*& %& /053& %".& %& -" 1"*9 t $)0$0-"5&3*& %6 1-&44*4 t $0/'*4&3*& 30)"/ t %"/*&- 450''&- t %& ."3-*&6 t %*$0.* ."/0/ t &9$&--&/$& t '&33&30 '3"/$& t '-03&/46$ t '03&5 %&4 -0(&4 t (6:"69 t )-3 13"-*/& t +&'' %& #36(&4 t -& 5&$) t -&0/*%"4 t -*/%5 ET 413Ăƒ/(-* t -655* t ."34 $)0$0-"5 '3"/$& t ."4$"3*/ t ."5)&; t .";&5 %& .0/5"3(*4 t .&%*$*4 t .*$)&- $-6*;&- t .0/#"/" t .0/%&-&; */5&3/"5*0/"- t /"53" t /&45-& '3"/$& t /06("-&5 t 1"3*4 $"3".&-4 t 1$# $3&"5*0/ t $)0$0-"5&3*& %6 1&$2 t 3&7*--0/ $)0$0-"5*&3 t 4"6/*0/ t 4$)""- 7"-3)0/" t 7*&*--"3% t -&4 7*0-&55&4 $0/'*4&3*& t 70*4*/ 17

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SYNDICAT NATIONAL DE LA

CONFI SERIE

CARTE D’IDENTITÉ Président Jean-Philippe André (Haribo) Vice-présidents Sébastien Berghe (Lutti) Bertrand Jacoberger (Solinest) Trésorier Luc-Pierre Verquin (Verquin) Secrétaire Générale Florence Pradier

LE SECTEUR DE LA CONFISERIE FRANÇAISE DISPOSE, AVEC SES ENTREPRISES, SES SALARIÉS ET SES SPÉCIALITÉS, D’UN CAPITAL UNIQUE. SON RÉCENT DÉVELOPPEMENT SUR LES MARCHÉS À L’INTERNATIONAL OUVRE DES PERSPECTIVES DE CROISSANCE POUR LES PROCHAINES ANNÉES QUI IMPLIQUENT UNE MOBILISATION POUR FAIRE CONNAÎTRE LES DIFFÉRENTES SPÉCIALITÉS, ET MIEUX RECONNAITRE LES COMPÉTENCES DES SALARIÉS. EN 2015, LES PRIORITÉS D’ACTIONS DU SYNDICAT ONT AINSI RÉPONDU À DEUX GRANDS OBJECTIFS : VALORISER LA DIVERSITÉ ET LA QUALITÉ DES PRODUITS DE CONFISERIE ET DÉVELOPPER LES SAVOIR-FAIRE MÉTIER. Web : www.confiserie.org www.facebook.com/unionnationaledespetitsplaisirs

FAIRE CONNAÎTRE LA QUALITÉ ET LA DIVERSITÉ DES BONBONS ET CONFISERIES CAP SUR L’EXPORT : UNE BANNIÈRE FRANCE À L’HONNEUR AU SALON MONDIAL DE L’ÉPICERIE SUCRÉE À COLOGNE

C

ONlSERIE BISCUITS ET GÊTEAUX CHOCOLAT MIELS

L )3- L )NTERNATIONAL 3WEET -ARKET EST LE PLUS GRAND ET LE PLUS IMPORTANT SALON PROFESSIONNEL DE L ÏPICERIE SUCRÏE DANS LE MONDE )L RÏUNIT CHAQUE ANNÏE PLUS DE EXPOSANTS VENUS DE PAYS %N LES EXPOSANTS ONT PU PROlTER DU NOUVEAU 18

0AVILLON FRAN AIS « Made in France, made with love » DÏVELOPPÏ PAR 3OPEXA ET VALORISER AUPRÒS DES CONSOMMATEURS ÏTRANGERS LA QUALITÏ DU SAVOIR FAIRE Ì LA FRAN AISE LE GOßT ET LE PLAISIR AINSI QUE L ENGAGEMENT QUI LES ANIME 'RACE Ì LA MOBILISATION DE , !LLIANCE LE 3YNDICAT DE LA #ONlSERIE A OBTENU LES SOUTIENS DU -INISTÒRE DE L !GRICULTURE &RANCE!GRI-ER ET DE PLUSIEURS RÏGIONS DE &RANCE 0!#!

"OURGOGNE !LSACEx POUR ORGANISER UNE ÏDITION « France Pays à l’honneur » EN PARTENARIAT AVEC 3OPEXA 0LUS DE DE NOUVELLES ENTREPRISES ONT AINSI PU EXPOSER LEURS SPÏCIALITÏS AUX ACHETEURS DU MONDE ENTIER

MARCHÉ 2015 DE LA CONFISERIE EN FRANCE

6 870 emplois directs

83 Entreprises

+ DE 20

TOTAL VENTE1 GRANDE DISTRIBUTION FRANCE

1 139

VARIÉTÉS DE BONBONS

600 SPÉCIALITÉS RÉGIONALES

MILLIONS â‚Ź (102 458 tonnes hors chewing-gums)

ET TRADITIONNELLES

LA CONSOMMATION DE CONFISERIE1 (en valeur)

SpĂŠcialitĂŠs Petites conďŹ series de sucre

7%

3,5 KG/HAB/AN 9Ême RANG EUROPÉEN

14% 52%

Bonbons et sucettes

27%

Chewing-gum

3OURCE )2) TOTAL HYPERS SUPERS M§

3OURCE VENTES &RANCE POPULATION

LA FRANCE EXPORTE ENVIRON

VENTES À L’EXPORT

185

27%

de sa production

MILLIONS â‚Ź (47 252 tonnes) 3OURCE $OUANES FRANÂ AISES

LES ENTREPRISES (en nombre d’entreprises)

ETI*

LE SYNDICAT REPRÉSENTE

90% du marchÊ français

PME*

40% 4RĂ’S 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMĂ?DIRAIRE '% 'RANDES %NTREPRISES 3OURCE , !LLIANCE 19

37%

5%

1%

GE* 57% 11%

TPE*

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES ET TRANSMETTRE LES SAVOIR-FAIRE

5NE lCHE SYNTHÏTIQUE SUR L ÏTAT DE SANTÏ DU SECTEUR A AINSI ÏTÏ MISE Ì JOUR EN -ETTANT EN AVANT UN MARCHÏ GLOBALEMENT STABLE CE DOCUMENT A PERMIS DE POINTER L IMPACT DES TENSIONS AVEC LA DISTRIBUTION QUI FRAGILISENT LES ENTREPRISES MAIS ÏGALEMENT LE DÏCLIN DE LA PRODUCTION SUR LE TERRITOIRE FRAN AIS ET SES CONSÏQUENCES SUR L EMPLOI ,E SECTEUR GARDE TOUTEFOIS DES PERSPECTIVES DE CROISSANCE Ì MOYEN TERME PORTÏES PAR LA DIVERSITÏ DE SES SPÏCIALITÏS ET LE DÏVELOPPEMENT DES MARCHÏS Ì L INTERNATIONAL

#YCLES MÏTIERS POUR LE PERSONNEL ENCADRANT CERTIlCATS DE QUALIlCATION PROFESSIONNELLE POUR LA PRODUCTION OUVRIER CONlSEUR CONDUCTEUR DE LIGNE DEPUIS ANS LE 3YNDICAT DE LA #ONlSERIE ÏLABORE ET PROPOSE DES FORMATIONS ADAPTÏES Ì CHAQUE ENTREPRISE %T POUR QUE CES FORMATIONS SOIENT RECONNUES ET PERMETTENT AUX SALARIÏS DE LES FAIRE VALOIR LE 3YNDICAT DE LA #ONlSERIE A DÏCIDÏ EN D ALLER PLUS LOIN RÉFLÉCHIR À DE NOUVELLES OPPORTUNITÉS

DE DISTRIBUTION

UN DIPLÔME DE CONFISEUR À L’ÉTUDE &AIRE RECONNAITRE LES SAVOIR FAIRE ET OFFRIR AUX SALARIÏS LA POSSIBILITÏ D OBTENIR UN DIPLÙME RECONNU PAR L %TAT EST UN PROJET DE LONGUE HALEINE ,E 3YNDICAT DE LA #ONlSERIE A ENTREPRIS L ÏTUDE DE FAISABILITÏ EN ET COMMENCÏ Ì DISCUTER AVEC L ÏDUCATION NATIONALE ,E PROJET SE POURSUIT EN

MESURER LA SANTÉ ÉCONOMIQUE DU SECTEUR 0OUR ACCOMPLIR SA MISSION DE REPRÏSENTATION ET DE DÏFENSE DES INTÏRÐTS COLLECTIFS IL EST PRIMORDIAL POUR UN SYNDICAT DE DISPOSER D ÏLÏMENTS ÏCONOMIQUES SOLIDES

NOUS AVONS LA CHANCE DE TRAVAILLER DANS UN SECTEUR DONT LES PRODUITS ONT UN VÉRITABLE ANCRAGE RÉGIONAL ET SONT CHARGÉS DE FORTES VALEURS POSITIVES DE PLAISIR, MAIS AUSSI DE SAVOIR-FAIRE.

20

° L HEURE Oá LE PRIX DES MÒTRES DE LINÏAIRES AUGMENTE

Oá LA GUERRE DU PRIX LE PLUS BAS CONSUME INDUSTRIE ET DISTRIBUTION ET Oá DE NOUVELLES FA ONS D ACHETER ÏMERGENT DRIVE E COMMERCEx LE 3YNDICAT DE LA #ONlSERIE A ENTAMÏ UNE RÏmEXION STRATÏGIQUE SUR L ÏVOLUTION DES CANAUX DE DISTRIBUTION ET LES TENDANCES Ì PRENDRE EN COMPTE 0OUR QUE L OFFRE DE LA CONlSERIE FRAN AISE RESTE L UNE DES PLUS DIVERSIlÏE AU MONDE

La 8ème JournĂŠe des petits plaisirs s’est dĂŠroulĂŠe le 2 octobre 2015 dans 6 grandes villes de France. Des triporteurs ont sillonnĂŠ les rues de Paris, Lille, Nantes, Marseille, Lyon et Bordeaux pour donner un ĂŠchantillon de spĂŠcialitĂŠs de bonbons contre des engagements ÂŤ petits plaisirs Âť permettant de rendre le quotidien de l’un de ses proches plus doux. Une opĂŠration bonne humeur qui a rencontrĂŠ cette annĂŠe encore un accueil très positif et un succès croissant auprès des mĂŠdias et du grand public. Cet ĂŠvènement a ĂŠtĂŠ Ă nouveau l’occasion de rappeler les valeurs de plaisir et de partage de la conďŹ serie, tout en valorisant son patrimoine et sa diversitĂŠ.

FOCUS JOURNÉE DES PETITS PLAISIRS : UN NOUVEAU SUCCĂˆS POUR LA 8ĂˆME ÉDITION

INTERVIEW Quel bilan faites-vous de 2015 ? %N PRĂ?AMBULE JE TIENS ĂŒ DIRE QUE JE SUIS TRĂ’S lER D Ă?TRE LE NOUVEAU 0RĂ?SIDENT DU SYNDICAT .ATIONAL DE LA #ONlSERIE ET DE REPRĂ?SENTER SES ENTREPRISES D ENTRE ELLES SONT DES 0-%

CULTIVENT UN PATRIMOINE VIVANT QUI FAIT LA lERTĂ? DE LA &RANCE ET SA RENOMMĂ?E ĂŒ L Ă?TRANGER .OUS AVONS LA CHANCE DE TRAVAILLER DANS UN SECTEUR DONT LES PRO+FBO 1IJMJQQF "OESĂ?

DUITS ONT UN VĂ?RITABLE ANCRAGE RĂ?GIONAL PrĂŠsident ET SONT CHARGĂ?S DE FORTES VALEURS POSITIVES DE PLAISIR BIEN SĂ&#x;R MAIS AUSSI DE SAVOIR FAIRE NOTAMMENT AVEC SES CENTAINES DE SPĂ?CIALITĂ?S TRADITIONNELLES #E SONT CES ASPECTS SUR LESQUELS NOUS AVONS CONCENTRĂ? NOS ACTIONS EN TOUT EN GARDANT UN REGARD ACTIF SUR LES ASPECTS RĂ?GLEMENTAIRES QUI POURRAIENT AFFECTER LE SECTEUR

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

Que fait le syndicat sur les dossiers rĂŠglementaires ? $ERRIĂ’RE NOS PRODUITS SE TROUVENT DES ENTREPRISES ET DONC DES EMPLOIS )L EST DE NOTRE RĂ™LE DE PRĂ?SERVER L UNE DES PLUS ANCIENNES INDUSTRIES DE &RANCE EN “UVRANT POUR QUE LES RĂ?GLEMENTATIONS SOIENT COHĂ?RENTES AVEC NOS PRODUITS ET APPLICABLES PAR NOS ENTREPRISES )L EST AUSSI DE NOTRE RESPONSABILITĂ? DE VEILLER ĂŒ CE QUE LES DISTORSIONS DE CONCURRENCE DISPARAISSENT ENTRE LES FABRICANTS EUROPĂ?ENS # EST ĂŒ DIRE QUE L USINE FRAN AISE N AIT PAS PLUS DE CONTRAINTES QUE L USINE ALLEMANDE OU ITALIENNE !VEC DE LA RAISON ET DU PRAGMATISME NOUS POUVONS GARDER NOS PRODUCTIONS EN &RANCE %T C EST LA SEULE FA ON DE PRĂ?SERVER NOTRE FORMIDABLE PATRIMOINE DE CENTAINES DE SPĂ?CIALITĂ?S DE BONBONS ET CONlSERIES

"/*4 %& - "##":& %& '-"7*(/: t "156/*0/ t "3/"6% 406#&:3"/ t #0/#0/4 #"3/*&3 t $"3".&-4 % *4*(/: t $)0$.0% t $-&.&/5 '"6(*&3 t $0/'*4&3*& "'$)"*/ t $0/'*4&3*& %&4 )"65&4 704(&4 t $0/'*4&3*& %6 13& $"5&-"/ t $0/'*4&3*& %6 30: 3&/& t $0/'*4&3*& (6.6$)& t $0/'*4&3*& 5)&3."-& t $36;*--&4 t %*$0.* ."/0/ t %3"(&&4 3&:/"6% t &6301" 48&&5 t '&33&30 '3"/$& t '&5& -"5*/& t '3"/$0*4 %06$&5 $0/'*4&63 t (&3 40/ 4"4 1*&3305 (063."/% t )"3*#0 3*$2-&4 ;"/ t *.#&35 ."330/4 (-"$&4 % "6#&/"4 t ,6#-* t -& 5&$) t -&0/"3% 1"3-* t -655* t ."''3&/ t ."*40/ %&4 '03&45*/&4 ."*40/ -&010-% ."3-*"(6&4 t .";&5 %& .0/5"3(*4 t .&%*$*4 t .*4"%& %*453*#65*0/ &6301&&//& t .0*/&5 7*$): 4"/5& t .0/%&-&; */5&3/"5*0/"- t /06("5 $)"#&35 &5 (6*--05 t 1"3*4 $"3".&-4 t 1&$06 05"3*& (063."/%& 4"#"50/ t 4"6/*0/ t 4$)""- t 40-*/&45 t 46$3"--*"/$& t 7&326*/ $0/'*4&63 t 7*&*--"3% t 83*(-&: 21

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SYNDICAT FRANÇAIS DES

MIELS Syndicat Français des Miels

CARTE D’IDENTITÉ Président Vincent Michaud (Famille Michaud Apiculteurs) Vice-présidents Joseph Benazra (La Compagnie Apicole - CAGEC) David Besacier (La Ruche Roannaise - Besacier) Benoit Mary (Famille Mary) Yves Peltier (Manoir des Abeilles) Trésorier Thomas Decombard (Apidis) Secrétaire Générale Virginie Freslon

L’ANNÉE 2015 A ÉTÉ PARTICULIÈREMENT MARQUÉE PAR LE SUIVI DE DOSSIERS RÉGLEMENTAIRES ET RELATIFS À LA QUALITÉ DU MIEL. LE SYNDICAT A ÉGALEMENT MENÉ DES ACTIONS DE SOUTIEN À LA FILIÈRE APICOLE ET S’EST IMPLIQUÉ DANS LES ÉCHANGES POUR LA CRÉATION DE L’INTERPROFESSION APICOLE. LE DÉVELOPPEMENT DE LA PRODUCTION NATIONALE DE MIEL EST PLUS QUE JAMAIS AU CŒUR DES ENJEUX DE LA PROFESSION. Web : www.syndicatfrancaisdesmiels.fr

LE MIEL : UN PRODUIT NATUREL À PRÉSERVER ,ES MIELS FRAN AIS SONT APPRÏCIÏS DANS NOS RÏGIONS ET BIEN AU DELÌ DE NOS FRONTIÒRES %N OUTRE LES MIELS VENANT D AUTRES PAYS PERMETTENT UNE GRANDE DIVERSITÏ DE GOßTS ET DE SAVEURS AU SERVICE DU CONSOMMATEUR #EPENDANT LA PRODUCTION FRAN AISE EN NETTE BAISSE DEPUIS DE NOMBREUSES ANNÏES IMPACTE LES ACTIVITÏS DES ENTREPRISES DU SECTEUR ET TRADUIT LES DIFlCULTÏS DE LA lLIÒRE APICOLE ,A &RANCE PEUT REDEVENIR L UN DES PREMIERS PAYS PRODUCTEUR DE MIEL EN %UROPE Ì CONDITION QUE DES MOYENS SOIENT ALLOUÏS Ì LA lLIÒRE APICOLE )L EST VITAL QUE LA PRATIQUE APICOLE REDEVIENNE RENTABLE ET QUE DE JEUNES APICULTEURS SOIENT FORMÏS POUR PRENDRE LA 22

RELÒVE DE LEURS AÔNÏS 0AR LEUR POLLINISATION LES ABEILLES AUGMENTENT DE FA ON TRÒS SIGNIlCATIVE LES RENDEMENTS AGRICOLES SANS UTILISATION DE SUBSTANCES CHIMIQUES , APICULTURE CRÏE DES RICHESSES ET LES ABEILLES AGISSENT EN FAVEUR DE LA BIODIVERSITÏ -ALHEUREUSEMENT DEPUIS QUELQUES ANNÏES DES PRATIQUES FRAUDULEUSES D ADULTÏRATION DES MIELS PAR AJOUT DE SUCRES ONT ÏTÏ RELEVÏES ET SONT VENUES TERNIR L IMAGE DU PRODUIT ,E 3YNDICAT &RAN AIS DES -IELS CONDAMNE FERMEMENT CETTE PRATIQUE )L UVRE ÏGALEMENT POUR ÏVITER LA DISCRIMINATION DE CERTAINS MIELS BASÏE SUR DES PRÏJUGÏS EN ENCOURAGEANT LA MISE EN PLACE DE MÏTHODES D ANALYSES ADAPTÏES ET INCONTESTABLES ,A PROFESSION NE PEUT ÏVOLUER DANS UN CLIMAT DE SUSPICION NÏFASTE POUR SON IMAGE ET POUR L ACTIVITÏ DE SES ENTREPRISES

MARCHÉ 2015 DES MIELS EN FRANCE

455

13

emplois directs

Entreprises

LA CONSOMMATION DE MIEL1 (en volume)

Miels crémeux

600 GR/HAB/AN

1%

Pollen

57%

42%

Miels liquides

3OURCE VENTES &RANCE POPULATION

VENTES À L’EXPORT2

TOTAL VENTE GRANDE DISTRIBUTION FRANCE1

29

180

MILLIONS € (5 155 tonnes)

MILLIONS € (17 067 tonnes)

3OURCE )2) TOTAL HYPERS SUPERS M§ -$$ ET ER PRIX Y COMPRIS

3OURCE $OUANES &RAN AISES

LES ENTREPRISES (en nombre d’entreprises)

ETI*

8% 15%

77%

TPE*

PME*

40% 4RÒS 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMÏDIRAIRE 3OURCE , !LLIANCE

2 23

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

SOUTIEN Ă€ LA FILIĂˆRE APICOLE ET AU DÉVELOPPEMENT DE LA PRODUCTION FRANÇAISE !PRĂ’S AVOIR ATTEINT UN NIVEAU CATASTROPHIQUE EN

LA PRODUCTION FRANÂ AISE DE MIEL A AUGMENTĂ? EN

PASSANT DE ĂŒ TONNES #ETTE AUGMENTATION RESTE TOUTEFOIS TRĂ’S INSUFlSANTE ET NETTEMENT PLUS FAIBLE QU IL Y A ANS $ANS CE CONTEXTE LE SYNDICAT SE MOBILISE POUR AGIR EN FAVEUR DE LA lLIĂ’RE APICOLE ,A PROFESSION A NOTAMMENT Ă?CHANGĂ? AVEC PLUSIEURS SYNDICATS APICOLES AVEC L INTENTION DE CONTRIBUER ĂŒ STRUCTURER LA lLIĂ’RE AU TRAVERS DE LA CRĂ?ATION D UNE INTERPROFESSION 0AR AILLEURS LE SYNDICAT A MAINTENU UNE PARTICIPATION ACTIVE AU #OMITĂ? 3TRATĂ?GIQUE !PICOLE ET DU #OMITĂ?

APICOLE DE &RANCE!GRI-ER

NOTRE RĂ”LE EST D’IMPULSER DES MÉTHODES ADAPTÉES PERMETTANT D’ANALYSER DE MANIĂˆRE INCONTESTABLE LA QUALITÉ DES MIELS.

UNE MOBILISATION CONSTANTE ET PÉRENNE SUR LA QUALITÉ DES MIELS ,E SYNDICAT &RAN AIS DES -IELS A �T� ACTIF SUR LE FRONT R�GLEMENTAIRE ET DE LA QUALIT� DES MIELS )L A ACCOMPAGN�

SES ENTREPRISES DANS L Ă?VOLUTION DES NOUVELLES DISPOSITIONS ET A PAR AILLEURS MAINTENU SA MOBILISATION SUR LE SUJET LA NORME )3/ POUR LA GELĂ?E ROYALE

L’ISM (l’International Sweet Market) est le plus grand et le plus important salon professionnel de l’Êpicerie sucrÊe dans le monde. Il se tient une fois par an à Cologne et rÊunit plus de 1 500 exposants venus de 70 pays. Une occasion unique de dÊcouvrir les dernières tendances de consommation, les nouveaux produits et les innovations du secteur. En 2015, l’ISM a inaugurÊ le nouveau concept du Pavillon français  Made in France, made with love  dÊveloppÊ par Sopexa.

Ce nouveau concept a fait l’unanimitÊ auprès des exposants français. Cette adhÊsion marque ainsi leur volontÊ de s’associer sous une même bannière pour valoriser auprès des consommateurs Êtrangers la qualitÊ du savoir-faire à la française, le goÝt et le plaisir, ainsi que l’engagement qui les anime.

FOCUS L’INTERNATIONAL SWEET MARKET (ISM)

24

En 2016, à l’initiative de L’Alliance 7 et grâce aux soutiens du Ministère de l’Agriculture, FranceAgriMer, et en partenariat avec Sopexa, la France a ÊtÊ le pays à l’honneur de la 46ème Êdition de l’ISM. Une centaine d’entreprises françaises Êtaient prÊsentes à Cologne avec une grande offre de produits sucrÊs. Pour les entreprises françaises participantes, dont des entreprises du secteur du miel, les enjeux Êtaient triples : t 3FOGPSDFS MB WJTJCJMJU� EFT QSPEVJUT GSBOÎBJT E �QJDFSJF sucrÊe auprès des distributeurs et importateurs internationaux. t *ODJUFS MFT FOUSFQSJTFT GSBOÎBJTFT Ë BTTVSFS MB reprÊsentativitÊ de la France en montrant la diversitÊ de son offre. t 7BMPSJTFS MFT BUPVUT FU MFT FOKFVY EFT TFDUFVST BVQSÒT des partenaires.

INTERVIEW Quel bilan faites-vous de 2015 ?

A �T� UNE ANN�E D INTENSE MOBILISATION DU SYNDICAT AUTOUR DES SUJETS DE R�GLEMENTATION ET DE QUALIT� DES MIELS D UNE PART ET DES SUJETS lLIÒRE D AUTRE PART , UN DES ENJEUX MAJEURS DE NOTRE PROFESSION EST INCONTESTABLEMENT LA PRODUCTION APICOLE FRAN AISE ET L AUTHENTICIT� DES MIELS .OUS NE POUVONS TOL�RER LES PRATIQUES FRAU7JODFOU .JDIBVE DULEUSES EN LA MATIÒRE PAS PLUS QUE PrÊsident NOUS NE POUVONS TOL�RER QUE CERTAINS MIELS SOIENT DISCRIMIN�S SUR LA BASE DE PR�JUG�S .OTRE RÙLE EST D IMPULSER DES M�THODES ADAPT�ES PERMETTANT D ANALYSER DE MANIÒRE INCONTESTABLE LA QUALIT� DES MIELS

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

Le syndicat a dĂť faire face Ă de nombreux dossiers rĂŠglementaires en 2015. Quelles sont vos relations avec l’administration ? , UNE DE NOS MISSIONS EN TANT QUE SYNDICAT PROFESSIONNEL EST D INFORMER ET DE FAIRE DE LA PĂ?DAGOGIE AUPRĂ’S DE NOS MEMBRES NOTAMMENT EN MATIĂ’RE D Ă?VOLUTION OU D INTERPRĂ?TATION DE LA RĂ?GLEMENTATION .OUS AVONS RENOUĂ? LE DIALOGUE AVEC LES AUTORITĂ?S IL EST CAPITAL DE NE PAS PĂ?NALISER DAVANTAGE UNE PROFESSION DONT LA lLIĂ’RE EST DĂ?JĂŒ EN DANGER MAIS Ă?GALEMENT D INFORMER CORRECTEMENT LE CONSOMMATEUR NOUS A OFFERT L OCCASION D Ă?CHANGER DE FA ON CONSTRUCTIVE AVEC LA $'##2& $ANS UNE PERSPECTIVE D EXCELLENCE PROFESSIONNELLE AU SERVICE DU CONSOMMATEUR NOUS NE POUVONS QU ENCOURAGER LE DIALOGUE

"1*%*4 t $)"*-"/ .*&-4 t$6-563& .*&- t '".*--& ."3: t '".*--& .*$)"6% "1*$6-5&634 t -" $0.1"(/*& "1*$0-& $"(&$ t -" ."*40/ %6 .*&- t -" 36$)& 30"//"*4& #&4"$*&3 t -& ."/0*3 %&4 "#&*--&4 t -"#03"50*3&4 -6453&- t -"#03"50*3&4 . - t /"563"-*. '3"/$& .*&- t 10--&/&3(*&

25

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

LES FABRICANTS DE BISCUITS ET

GÂTEAUX DE FRANCE

CARTE D’IDENTITÉ Président Catherine Petitjean (Mulot et Petitjean) Vice-présidents Marc Auclair (United Biscuits France) Mickaël Le Jossec (Pâtisseries Gourmandes) Trésorier Dominique Meillassoux (Le Père Craquant) Secrétaire Général Fabien Castanier

PARTIE INTÉGRANTE DE NOTRE PATRIMOINE ET DE NOTRE MODÈLE ALIMENTAIRE, LES BISCUITS ET GÂTEAUX JALONNENT NOTRE HISTOIRE ET RAVISSENT PETITS ET GRANDS DEPUIS TOUJOURS. ILS PARTICIPENT ÉGALEMENT AU RAYONNEMENT DE LA FRANCE À L’ÉTRANGER. 2015 A PERMIS AU SYNDICAT DE CONTINUER À CONFORTER ET À VALORISER CES ATOUTS, TOUT EN MILITANT POUR UN RENFORT DES ASPECTS SÉCURITÉ DE L’ENSEMBLE DE LA FILIÈRE. Web : www.biscuitsgateaux.com - Blog : www.biscuitsgateaux.com/blog www.facebook.com/biscuitsgateaux-

@biscuitsgateaux.com

CONFORTER ET VALORISER LES ATOUTS DES BISCUITS ET GÂTEAUX

A LA RECONQUÊTE DU PETIT DÉJEUNER

UN FORT ANCRAGE PATRIMONIAL

L

ES BISCUITS ET GÊTEAUX FONT PARTIE INTÏGRANTE DU PATRIMOINE CULTUREL DE LA &RANCE )SSUS D UN PRÏCIEUX SAVOIR FAIRE ET DE RECETTES TRADITIONNELLES PARFOIS ANCESTRALES LES BISCUITS ET GÊTEAUX SONT INDISSOCIABLES DES NOTIONS DE PLAISIR ET DE PARTAGE ,A PRÏSERVATION DE CES VALEURS EST AU C UR DES ACTIONS DU 3YNDICAT 26

$ÒS LE #2%$/# RÏVÏLAIT UNE DÏGRADATION GÏNÏRALISÏE DE LA PRISE QUOTIDIENNE DU PETIT DÏJEUNER AINSI QU UNE SIMPLIlCATION DE SA COMPOSITION ,ES CONSÏQUENCES SONT MALHEUREUSEMENT IMPORTANTES ET AFFECTENT FORTEMENT LES POPULATIONS LES PLUS JEUNES 5NE ÏTUDE DU #2%$/# RÏALISÏE EN JUIN AUPRÒS DE PLUS DE PROFESSEURS DES ÏCOLES MONTRE QUE ÏLÒVES PAR CLASSE ARRIVERAIENT LE VENTRE VIDE Ì L ÏCOLE #E TAUX MONTE Ì ÏLÒVES EN MOYENNE DANS LES SECTEURS LES PLUS DÏFAVORISÏS #ES ENFANTS SONT PLUS FATIGUÏS MOINS CONCENTRÏS ET PARTICIPENT MOINS EN CLASSE )LS SE PLAIGNENT ÏGALEMENT DE MAUX

MARCHÉ 2015 DES BISCUITS EN FRANCE

12 533 emplois directs

100 Entreprises

LA CONSOMMATION DE BISCUITS ET GĂ‚TEAUX1 (en volume)

Biscuits aux oeufs et gaufrettes Gâteaux moelleux et pain d’Êpices

8,82 KG/HAB/AN

4% 37%

23%

36%

Biscuits secs et goĂťters

7,31 BISCUITS/HAB/AN 1,51 GATEAUX KG/HAB/AN

Biscuits pâtissiers chocolatÊs et assortiments

7Ême RANG EUROPÉEN

3OURCE TOTAL DES VENTES &RANCE DES ENTREPRISES DU SECTEUR &ABRICATION EXPORTATION IMPORTATIONS 3OURCE , !LLIANCE

3OURCE VENTES &RANCE POPULATION

LA FRANCE EXPORTE

FAMILLES DE BISCUITS ET GĂ‚TEAUX

80

25%

de sa production de biscuits

3OURCE /QALI

TOTAL VENTE GRANDE DISTRIBUTION FRANCE

VENTES À L’EXPORT

MILLIONS â‚Ź (401 445 tonnes)

MILLIONS â‚Ź (217 972 tonnes)

3OURCE )2) (YPERMARCH�S 3UPERMARCH�S M§

3OURCE $OUANES &RANÂ AISES

(y compris viennoiserie)

751

2 567

LES IMPORTATIONS REPRÉSENTENT

LES ENTREPRISES

près de

(en nombre d’entreprises)

50%

ETI*

des ventes sur le MARCHÉ FRANÇAIS

8%

GE*

2%

54%

TPE*

36%

40% 4RĂ’S 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMĂ?DIRAIRE '% 'RANDES %NTREPRISES 3OURCE , !LLIANCE

27

PME*

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

DE VENTRE ET DE TÐTE &ACE Ì CE CONSTAT LES PROFESSIONS CÏRÏALIÒRES DE , !LLIANCE SE SONT MOBILISÏES POUR ALERTER ET AGIR EN FAVEUR DE LA PRÏSERVATION DU PETIT DÏJEUNER COMPLET ET ÏQUILIBRÏ

SÉCURITÉ : CONFORTER LES PRÉREQUIS INFORMER POUR MIEUX MAÎTRISER LA FORMATION D’ACRYLAMIDE DANS LES PRODUITS ,E SYNDICAT A CONTRIBUÏ Ì L ÏLABORATION DE LA BROCHURE « Acrylamide – des outils pratiques pour les entreprises » EN COLLABORATION AVEC D AUTRES PARTENAIRES ET DIFFUSÏE AUX ENTREPRISES )L S AGIT D UN OUTIL VOLONTAIREMENT PRAGMATIQUE ET OPÏRATIONNEL QUI VISE Ì SENSIBILISER ET ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES DANS LA MISE EN PLACE D OUTILS ADÏQUATS POUR MAÔTRISER LA FORMATION D ACRYLAMIDE DANS LEURS PRODUITS ET AU COURS DU PROCESSUS DE FABRICATION #ETTE ACTION NOVATRICE A ÏTÏ PRISE EN EXEMPLE PAR LA #OMMISSION %UROPÏENNE

AMÉLIORATION DU PLAN DE SURVEILLANCE DE LA FILIÈRE %N LE SYNDICAT A CONTRIBUÏ Ì LA RÏNOVATION DU PLAN DE SURVEILLANCE DE LA lLIÒRE CÏRÏALIÒRE QUI A POUR OBJECTIF DE RECENSER LES DONNÏES D AUTOCONTRÙLE ET D ÏVALUER LA QUALITÏ SANITAIRE DES CÏRÏALES ET DES ALIMENTS CÏRÏALIERS

TIONS DU SECTEUR %N L )3- A INAUGURÏ LE NOUVEAU CONCEPT DU 0AVILLON FRAN AIS i -ADE IN &RANCE MADE WITH LOVE w DÏVELOPPÏ PAR 3OPEXA #E NOUVEAU CONCEPT A FAIT L UNANIMITÏ AUPRÒS DES EXPOSANTS FRAN AIS #ETTE ADHÏSION MARQUE AINSI LEUR VOLONTÏ DE S ASSOCIER SOUS UNE MÐME BANNIÒRE POUR VALORISER AUPRÒS DES CONSOMMATEURS ÏTRANGERS LA QUALITÏ DU SAVOIR FAIRE Ì LA FRAN AISE LE GOßT ET LE PLAISIR AINSI QUE L ENGAGEMENT QUI LES ANIMENT %N Ì L INITIATIVE DE , !LLIANCE ET GRÊCE AU SOUTIEN DU -INISTÒRE DE L !GRICULTURE &RANCE!GRI-ER ET EN PARTENARIAT AVEC 3OPEXA LA &RANCE A ÏTÏ LE PAYS Ì L HONNEUR DE LA ÒME ÏDITION DE L )3- 5NE CENTAINE D ENTREPRISES FRAN AISES ÏTAIENT PRÏSENTES Ì #OLOGNE AVEC UNE GRANDE OFFRE DE PRODUITS SUCRÏS 0OUR LES ENTREPRISES FRAN AISES PARTICIPANTES DONT DES FABRICANTS DE BISCUITS ET GÊTEAUX LES ENJEUX ÏTAIENT TRIPLES s 2ENFORCER LA VISIBILITÏ DES PRODUITS FRAN AIS D ÏPICERIE SUCRÏE AUPRÒS DES DISTRIBUTEURS ET IMPORTATEURS INTERNATIONAUX s )NCITER LES ENTREPRISES FRAN AISES Ì ASSURER LA REPRÏSENTATIVITÏ DE LA &RANCE EN MONTRANT LA DIVERSITÏ DE SON OFFRE s 6ALORISER LES ATOUTS ET LES ENJEUX DES SECTEURS AUPRÒS DES PARTENAIRES 0OUR L OCCASION LE SYNDICAT A RÏALISÏ UNE 4OUR %IFFEL GÏANTE COMPOSÏE DE BISCUITS ET GÊTEAUX 5NE BELLE RÏALISATION QUI A PERMIS DE VALORISER LA DIVERSITÏ ET LE PATRIMOINE DES BISCUITS ET GÊTEAUX FRAN AIS

CAP SUR LES FIBRES $ANS LA CONTINUITÏ DES TRAVAUX DU GROUPE DE TRAVAIL i &IBRES w INITIÏ PAR 'UILLAUME 'AROT EN LES ACTEURS DU SECTEUR DES ALIMENTS CÏRÏALIERS PAIN COURANT ET PAIN PRÏEMBALLÏ BISCOTTES ET PAINS GRILLÏS CÏRÏALES DU PETIT DÏJEUNER BISCUITS GÊTEAUX PÊTES ALIMENTAIRES ONT MENÏ EN UNE VASTE ÏTUDE D IMAGE AUPRÒS DU GRAND PUBLIC #ETTE ÏTUDE A PERMIS D IDENTIlER LES LEVIERS ET LES FREINS Ì LA CONSOMMATION DES ALIMENTS CÏRÏALIERS SOURCES ET RICHES EN lBRES POUR EN AMÏLIORER L IMAGE ET ENCOURAGER LA CONSOMMATION ,ES CONCLUSIONS DE CES TRAVAUX ONT NOTAMMENT PU ÐTRE PARTAGÏES AVEC LA COMMUNAUTÏ SCIENTIlQUE

#ONlSERIE BISCUITS ET GÊTEAUX CHOCOLAT MIELS L )3- L )NTERNATIONAL 3WEET -ARKET EST LE PLUS GRAND ET LE PLUS IMPORTANT SALON PROFESSIONNEL DE L ÏPICERIE SUCRÏE DANS LE MONDE )L SE TIENT UNE FOIS PAR AN Ì #OLOGNE ET RÏUNIT PLUS DE EXPOSANTS VENUS DE PAYS 5NE OCCASION UNIQUE DE DÏCOUVRIR LES DERNIÒRES TENDANCES DE CONSOMMATION LES NOUVEAUX PRODUITS ET LES INNOVA28

© Photo Faust Favart

SALON ISM : LA FRANCE À L’HONNEUR

Le goÝter est le repas prÊfÊrÊ de 42% des enfants de moins de dix ans (sondage Opinion Way – juillet 2015) et 76% des adultes l’associent à une pause plaisir.

Le goÝter, à la fois pause plaisir et rÊconfort, reste un moment particulier dans la journÊe dans le cadre duquel les biscuits et gâteaux, accompagnÊs d’un fruit et d’un laitage, ont toute leur place. Pour encourager cette consommation structurÊe et le bon usage de ses produits, le syndicat a rÊalisÊ en 2015 une vidÊo pÊdagogique animÊe à destination du grand public. Elle retrace en une minute les bons conseils pour rÊussir un goÝter ÊquilibrÊ.

FOCUS SUR LE GOĂ›TER : LE 4ĂˆME REPAS

INTERVIEW Quel bilan faites-vous de 2015 ? , ANNĂ?E NOUS A PERMIS D AFlRMER NOS VALEURS ,ES BISCUITS ET GĂŠTEAUX SONT PLĂ?BISCITĂ?S POUR LE PLAISIR QU ILS PROCURENT ĂŒ TOUS LEUR GRANDE VARIĂ?TĂ?

LA GRANDE PALETTE DE GOĂ&#x;TS ET DE TEXTURES QU ILS PROPOSENT .OUS SOMMES GARANTS DE SAVOIR FAIRE ĂŒ LA FOIS TRADITIONNELS ET INNOVANTS .OUS $BUIFSJOF 1FUJUKFBO SOMMES Ă?GALEMENT DĂ?POSITAIRES PrĂŠsidente D UN VĂ?RITABLE PATRIMOINE INTERNATIONALEMENT RECONNU QUI TROUVE SA SOURCE AU C“UR DE NOS RĂ?GIONS %NSEMBLE NOUS NOUS ENGAGEONS CHAQUE JOUR POUR VALORISER ET FAIRE VIVRE NOTRE PATRIMOINE PROFESSIONNEL SERA L OCCASION POUR NOUS DE PARTAGER ĂŒ NOUVEAU CES VALEURS AVEC NOS

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

PUBLICS LORS DE L OP�RATION PORTES OUVERTES QUE NOUS ORGANISONS DANS NOS FABRIQUES EN OCTOBRE Comment la profession parvient-elle à allier tradition et modernitÊ ? ,A PROFESSION REPR�SENTE AUJOURD HUI PLUS DE EMPLOIS DANS UNE lLIÒRE RECONNUE POUR SON SAVOIR FAIRE S�CULAIRE ,A &RANCE COMPTE UNE CENTAINE DE FABRIQUES ANCR�ES DANS SES TERRITOIRES ET B�N�lCIE D UN MAILLAGE TISS� AVEC LES FOURNISSEURS DE FARINE DE SUCRE D “UFS DE BEURRE DE MATIÒRES GRASSES DE FRUITS OU ENCORE DE CHOCOLATx #HACUN ENRICHIT UN PATRIMOINE DE RECETTES QUI NOUS A �T� TRANSMIS PAR NOS AIN�S AlN DE SATISFAIRE LES NOUVELLES ATTENTES DES CONSOMMATEURS !UJOURD HUI CE SONT FAMILLES DE BISCUITS ET GÊTEAUX ET DES CENTAINES DE SP�CIALIT�S R�GIONALES QUI FONT NOTRE lERT� ET QUE NOUS DEVONS PR�SERVER

"-#*44&3 t "-1&4 #*4$6*54 t "4536$ t #*4$6*5&3*& %& - "##":& t #*4$6*5&3*& %6/,&3260*4& t #*4$6*5&3*& ' #&3306 t #*4$6*54 #067"3% t #*4$6*54 '044*&3 #3044"3% 4"7"/& t $"%*06 4"4 t $)0$0-"5&3*& 5"3/"*4& %& %*453*#65*0/ $0-*#3* 1"5*44&3*&4 t %&-*%&44 t %&:.*&3 t %650*5 #*4$6*5 t '&33&30 '3"/$& t '03$): 1"5*44*&3 t (0Â5&34 ."(*26&4 t -" $*("-& %03²& t -" ."*40/ %6 #*4$6*5 t -" 4"#-&4*&//& t -& %3&"/ t -& (-";*, t -& 1*7&35 øt -& 5&$) t -&."3*& 1"5*44*&3 t -&4 $3"26&-*/4 %& 4"*/5 ."-0 t -0$ ."3*" t ."%&-&*/&4 #*+06 t ."3*&#&- t ."34 $)0$0-"5 '3"/$& t .&3*/(6& &/ "7&:30/ t .0/%&-&; */5&3/"5*0/"- t .6-05 1&5*5+&"/ t /653*5*0/ 4"/5& t 1"5*44&3*& #&63-": t 1"5*44&3*&4 (063."/%&4 t 1&3& $3"26"/5 t 1*%: 130%6$5*0/ t (3061& 106-5 t 3*7";63 $",&4 t 30$ )&-06 t 45 .*$)&- t 5&33& &5 40-&*- #*4$6*5&3*& 4"*/5 #3*&6$ t 5*1*", &1*$&3*& 4"4 t 5*1*", 1"/*'*$"5*0/ t 6/*5&% #*4$6*54 '3"/$& t 7"/%&3 t :7&-*/ 29

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SECTEUR DES FABRICANTS DE

DESSERTS A PRÉPARER OU PRÊTS À CONSOMMER

CARTE D’IDENTITÉ Président Christophe David (Continental Foods) Trésorier Jérôme Fort (Tipiak Epicerie) Secrétaire Général Fabien Castanier

Les Fabricants de Desserts à Préparer ou Prêts à Consommer

2015 A ÉTÉ L’ANNÉE DE L’AUTONOMIE POUR LE SECTEUR DES FABRICANTS DE DESSERTS À PRÉPARER OU PRÊTS A CONSOMMER, QUI A ÉTÉ ACCUEILLI PAR LE SYNDICAT DES BISCUITS ET GÂTEAUX EN TANT QUE MEMBRE ASSOCIÉ. UNE ANNÉE DE CONSOLIDATION ET DE RÉFLEXION SUR LES ACTIVITÉS DU SECTEUR.

AFFIRMER LE NOUVEAU PÉRIMÈTRE D’ACTION DU SECTEUR

DES ACTIONS AU SERVICE DES ENTREPRISES

5N VIRAGE STRATÏGIQUE A ÏTÏ OPÏRÏ PAR LE 3ECTEUR EN LE TRANSFERT DES &ABRICANTS DE $ESSERTS Ì 0RÏPARER OU 0RÐTS Ì #ONSOMMER DU SYNDICAT DES )NDUSTRIES !LIMENTAIRES $IVERSES VERS LE SYNDICAT DES &ABRICANTS DE "ISCUITS 'ÊTEAUX DE &RANCE 5N RECENTRAGE ESSENTIEL QUI A PERMIS AU SECTEUR DE GAGNER EN COHÏRENCE ET EN PERTINENCE 30

5NE DES MISSIONS PREMIÒRES DE NOTRE SECTEUR EST DE CONTRIBUER Ì L ÏVOLUTION D UN ENVIRONNEMENT FAVORABLE AU DÏVELOPPEMENT DES ACTIVITÏS DES ENTREPRISES !CCOMPAGNER

INFORMER ET CONSEILLER LES ENTREPRISES ADHÏRENTES INFORMATIONS RÏGLEMENTAIRES NOTES DE CONJONCTURE ÏCONOMIQUES SUIVI DU COURS DES MATIÒRES PREMIÒRES RELATIONS COMMERCIALES 4ELLE EST LA FEUILLE DE ROUTE POURSUIVIE PAR LE 3ECTEUR EN AU SERVICE DE SES ENTREPRISES

MARCHÉ 2015 DES DESSERTS À PRÉPARER ET TAPIOCA EN FRANCE

2 205 emplois directs

17 Entreprises

TOTAL VENTE GRANDE DISTRIBUTION FRANCE

VENTE À L’EXPORT

21

100

MILLIONS â‚Ź (10 602 tonnes)

MILLIONS ₏ (13 792 tonnes) 3OURCE )2) (YPERMARCH�S 3UPERMARCH�S M§

3OURCE $OUANES &RANÂ AISES

LA CONSOMMATION DE BISCUITS ET GĂ‚TEAUX CONSOMMATION JOURNALIĂˆRE MOYENNE

38,3 G/JOUR (pour un adulte) 33,4 G/JOUR (pour un enfant)

(en volume)

Tapioca Entremets, ans, crèmes, pudding

2% 28% Farines à gâteaux et autres 50% desserts

3OURCE ENQUĂ?TE ##!& #2%$/#

INTERVIEW

Gâteaux de riz, semoule

6%

Flans pâtissiers

Quel bilan faites-vous 4% Mousses de 2015 ? et desserts aÊrÊs 5% 5% , ANN�E A �T� L ANN�E DE LA Crèmes anglaises, CONSOLIDATION POUR NOTRE SECTEUR crèmes pâtissières ,A CONCR�TISATION DE NOTRE PROJET DE REJOINDRE EN TANT QUE MEMBRE AS3OURCE TOTAL DES VENTES &RANCE DES ENTREPRISES DU SECTEUR FABRICATION SOCI�

DES &ABRICANTS DE "ISCUITS ET EXPORTATION IMPORTATIONS 3OURCE , !LLIANCE 'ĂŠTEAUX DE &RANCE NOUS A APPORTĂ?

DE LA COH�RENCE ET RASSEMBL� NOS ENTREPRISES AUTOUR D UN PROJET F�D�$ISJTUPQIF %BWJE RATEUR #E NOUVEAU D�PART VA NOUS PrÊsident LES ENTREPRISES PERMETTRE DE NOUS RECENTRER SUR LES (en nombre d’entreprises) ENJEUX DE LA PROFESSION ET DE D�VELOPPER DES ACTIONS CONCRÒTES EN LIEN AVEC LES PERSPECTIVES DE NOTRE M�TIER GE* 6%

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

35%

PME*

"(30-*4 t "-4" '3"/$& t $0/5*/&/5"- '00%4 t '-03&/46$ +0$, t .0/#"/" t /"563& "-*.&/54 t /&45-² '3"/$& t 40."130 t 5*1*", &1*$&3*& t :"#0/

59%

40% 4RĂ’S 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

'% 'RANDES %NTREPRISES 3OURCE , !LLIANCE

31

TPE*

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SYNDICAT FRANÇAIS DES

CÉRÉALES DU PETIT DÉJEUNER

CARTE D’IDENTITÉ Président François Rouilly (Kellogg’s) Vice-présidents Jean-Christophe Hélias (CPW France - Nestlé & General Mills) Serge Audinet (Dailycer) Trésorier Brooks Wallin (Favrichon et Vignon) Secrétaire Générale Audrey Dufour-de Carvalho

Syndicat Français des Céréales du Petit Déjeuner

POUR LE SYNDICAT DES CÉRÉALES DU PETIT DÉJEUNER, 2015 A ÉTÉ UNE ANNÉE DE RÉFLEXION, DE PÉDAGOGIE, MAIS AUSSI DE MOBILISATION SUR LES DOSSIERS RÉGLEMENTAIRES AUX CÔTÉS DES ASSOCIATIONS NATIONALES ET EUROPÉENNES. RÉFLEXION, PUISQUE LE SYNDICAT A DÉFINI SES AXES STRATÉGIQUES ET SA FEUILLE DE ROUTE POUR LES TROIS PROCHAINES ANNÉES. PÉDAGOGIE, À TRAVERS LA CRÉATION D’OUTILS SPÉCIFIQUES. À LA FOIS POUR RÉPONDRE AUX IDÉES REÇUES QUI CIRCULENT SUR LA CATÉGORIE, MAIS AUSSI POUR APPORTER DES CONSEILS DE CONSOMMATION AFIN DE PRÉSERVER LE BON USAGE DES PRODUITS Web : www.matinscereales.com @matinscereales.com

À LA RECONQUÊTE DU PETIT DÉJEUNER LE RITUEL DU MATIN OUBLIÉ DES ÉCOLIERS ,E PETIT DÏJEUNER EST LE PREMIER REPAS QUI STRUCTURE L ÏQUILIBRE ALIMENTAIRE DE LA JOURNÏE ET L UN DES PILIERS DE NOTRE MODÒLE ALIMENTAIRE $ÒS L ENQUÐTE ##!& DU #2%$/# A POURTANT MIS EN ÏVIDENCE UNE DÏGRADATION GÏNÏRALISÏE DE LA PRISE QUOTIDIENNE DU PETIT DÏJEUNER #E DÏCLIN EST PARADOXAL PUISQUE DES &RAN AIS ESTIMENT QUE CE REPAS EST INDISPENSABLE POUR L ÏQUILIBRE ALIMENTAIRE QUOTIDIEN ,ES CONSÏQUENCES SONT 32

MALHEUREUSEMENT IMPORTANTES ET AFFECTENT FORTEMENT LES POPULATIONS LES PLUS JEUNES 5NE ÏTUDE MENÏE PAR LE #2%$/# EN JUIN AUPRÒS DE PLUS DE PROFESSEURS DES ÏCOLES MONTRE EN EFFET QUE ÏLÒVES PAR CLASSE ARRIVERAIENT LE VENTRE VIDE Ì L ÏCOLE #E TAUX MONTE Ì

ÏLÒVES EN MOYENNE DANS LES SECTEURS LES PLUS DÏFAVORISÏS #ES ENFANTS SONT PLUS FATIGUÏS MOINS CONCENTRÏS ET PARTICIPENT MOINS EN CLASSE )LS SE PLAIGNENT ÏGALEMENT DE MAUX DE VENTRE ET DE TÐTE 5N CONSTAT ALARMANT FACE

MARCHÉ 2015 DES CÉRÉALES EN FRANCE

2 853 emplois directs

14 Entreprises

TOTAL VENTE FRANCE1 HORS HARD DISCOUNT ET HORS DOMICILE

+ de 50

610

VARIÉTÉS DE CÉRÉALES : pÊtales de blÊ, de maïs ou de riz, cÊrÊales soufÊes, cÊrÊales fourrÊes, muesli, ocons d’avoine

MILLIONS â‚Ź (112 109 tonnes)

LA CONSOMMATION DE CÉRÉALES1 (en volume)

CĂŠrĂŠales Ă prĂŠparer (avoine)1

CĂŠrĂŠales bio et diĂŠtĂŠtiques1

4% 4%

92%

CĂŠrĂŠales prĂŞtes Ă consommer (CPAC)1

1,9 KG/HAB/AN

3OURCE )2) TOTAL (YPERS 3UPERS M§ VIA FABRICANT

3OURCE VENTES &RANCE POPULATION

CÉRÉALES PRÊTES À CONSOMMER (CPAC) AVEC HARD DISCOUNT ET HORS DOMICILE2

VENTES À L’EXPORT

228

683

MILLIONS â‚Ź (103 857 tonnes)

MILLIONS â‚Ź 137 686 tonnes)

LES ENTREPRISES

3OURCE 4OTAL -ARCHĂ? &RANÂ AIS DES #0!# !VOINES TOUS CIRCUITS EXTRAPOLATION )2) 4.3 7ORLDPANEL INCLUANT (- 3- ($ PROXI % COMMERCE CIRCUITS SPĂ?CIALISĂ?S

(en nombre d’entreprises)

14%

GE* ETI*

7% 79%

PME*

66%

DES MÉNAGES ACHETEURS

6,5 KG/MÉNAGES ACHETEURS

0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMĂ?DIRAIRE '% 'RANDES %NTREPRISES 3OURCE , !LLIANCE

33

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

AUQUEL LES SYNDICAT D ALIMENTS CÏRÏALIERS DE , !LLIANCE CÏRÏALES DU PETIT DÏJEUNER BISCUITS GÊTEAUX ET PANIlCATION CROUSTILLANTE ET MOELLEUSE SE SONT MOBILISÏS POUR ALERTER ET AGIR EN FAVEUR DE LA PRÏSERVATION DU PETIT DÏJEUNER COMPLET ET ÏQUILIBRÏ

PROMOUVOIR LES BONS COMPORTEMENTS DE CONSOMMATION

1UELLE EST LA PORTION DE CÏRÏALES ADAPTÏE SELON SON ÊGE COMMENT COMPOSER UN PETIT DÏJEUNER ÏQUILIBRÏ %NFANTS ADOLESCENTS HOMMES FEMMES SPORTIFSx Ì CHAQUE PROlL SON PETIT DÏJEUNER #ELUI CI DOIT RÏPONDRE AUX BESOINS DE CHACUN SELON SON ACTIVITÏ SES GOßTS ET REMETTRE LE PETIT DÉJEUNER AU CŒUR SES ENVIES %N LE SYNDICAT S EST ATTACHÏ Ì FAIRE DE DES POLITIQUES ALIMENTAIRES )L EST URGENT DE REDONNER ENVIE AUX &RAN AIS DE PRENDRE LA PÏDAGOGIE SUR LA COMPOSITION DES PETITS DÏJEUNERS EN UN PETIT DÏJEUNER # EST LA RAISON POUR LAQUELLE LA PRO- APPORTANT CONSEILS ET RECOMMANDATIONS ÏLABORÏS PAR FESSION A UVRÏ AUX CÙTÏS DES AUTRES SYNDICATS CÏRÏA- UN MÏDECIN NUTRITIONNISTE AU TRAVERS DE lCHES PROLIERS DE , !LLIANCE POUR UNE MOBILISATION DE TOUS LES lLS DE PETIT DÏJEUNEURS 5N TRAVAIL QUI REJOINT LE C UR ACTEURS CONCERNÏS POUVOIRS PUBLICS DÏCIDEURS MAIS DE L ACTION DU SYNDICAT PRÏSERVER LE BON USAGE DES CÏAUSSI ENSEIGNANTS ÏDUCATEURS PROFESSIONNELS DE LA SAN- RÏALES DU PETIT DÏJEUNER TÏ ET MÐME CONSOMMATEURS 4OUS PEUVENT SE MOBILISER AU TRAVERS D ACTIONS CONCRÒTES ET CIBLÏES POUR REDONNER INFORMER POUR MIEUX MAÎTRISER L ENVIE ET LE GOßT DU PETIT DÏJEUNER AUX &RAN AIS ,E PETIT LA FORMATION D’ACRYLAMIDE DÏJEUNER DOIT RETROUVER SA PLACE DANS NOTRE QUOTIDIEN DANS LES PRODUITS ,E SYNDICAT A CONTRIBUÏ Ì L ÏLABORATION DE LA BROCHURE « Acrylamide – des outils pratiques pour les entreMISER SUR LA PÉDAGOGIE prises » EN COLLABORATION AVEC D AUTRES PARTENAIRES ET DIFFUSÏE AUPRÒS DES ENTREPRISES )L S AGIT D UN OUTIL VOTROP D’IDÉES REÇUES SUR LES CÉRÉALES LONTAIREMENT PRAGMATIQUE ET OPÏRATIONNEL QUI VISE Ì DU PETIT DÉJEUNER !LIMENTS CÏRÏALIERS APPORTANT DES NUTRIMENTS ESSENTIELS SENSIBILISER ET ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES DANS LA MISE AU PETIT DÏJEUNER PRATIQUES PROPOSANT UNE GRANDE DI- EN PLACE D OUTILS ADÏQUATS POUR MAÔTRISER LA FORMATION VERSITÏ DE GOßTS ET DE TEXTURES ALLIANT PLAISIR ET NUTRITION D ACRYLAMIDE DANS LEURS PRODUITS ET AU COURS DU PROCESLES CÏRÏALES DU PETIT DÏJEUNER SONT POURTANT FRÏQUEM- SUS DE FABRICATION #ETTE ACTION NOVATRICE A ÏTÏ PRISE EN MENT DÏNIGRÏES ET FONT L OBJET DE NOMBREUSES IDÏES EXEMPLE PAR LA #OMMISSION %UROPÏENNE RE UES ,E SYNDICAT A RÏALISÏ UNE INFOGRAPHIE AlN DE RÏPONDRE AUX PRINCIPAUX SUJETS D ATTAQUE AVEC PÏDAGOGIE ET DONNÏES CONCRÒTES

ENSEMBLE, NOUS POUVONS ET DEVONS AGIR POUR NOUS MOBILISER EN FAVEUR DE LA PRÉSERVATION DU PETIT DÉJEUNER, PILIER DE NOTRE MODÈLE ALIMENTAIRE. 34

Les français ne consomment pas sufďŹ samment de ďŹ bres  : tel est le constat des pouvoirs publics. Comment inciter les français Ă en consommer davantage  ? Dans la continuitĂŠ des travaux du groupe de travail ÂŤ Fibres Âť initiĂŠ par Guillaume Garot en 2013, les acteurs du secteur des aliments cĂŠrĂŠaliers (pain courant et pain prĂŠemballĂŠ, biscottes et pains grillĂŠs, cĂŠrĂŠales du petit dĂŠjeuner, biscuits & gâteaux, pâtes alimentaires) ont menĂŠ en 2014-2015 une vaste ĂŠtude d’image auprès du grand public. Cette ĂŠtude a permis d’identiďŹ er les leviers et les freins Ă la consommation des aliments cĂŠrĂŠaliers sources et riches en ďŹ bres pour en amĂŠliorer l’image et en encourager la consommation. Les conclusions de ces travaux ont notamment pu ĂŞtre partagĂŠes avec la communautĂŠ scientiďŹ que. Nous sommes ďŹ ers d’avoir pu contribuer Ă l’amĂŠlioration des connaissance sur cet enjeu important en matière de santĂŠ publique.

FOCUS CAP SUR LES FIBRES

INTERVIEW Quel bilan faites-vous de 2015 ?

A Ă?TĂ? UNE ANNĂ?E IMPORTANTE POUR NOTRE PROFESSION 'RĂŠCE ĂŒ LA FORTE IMPLICATION DES MEMBRES DU SYNDICAT NOUS AVONS DĂ?TERMINĂ? NOS PRIORITĂ?S POUR LES TROIS ANNĂ?ES ĂŒ VENIR , UNE D ENTRE ELLE CONCERNE DIRECTEMENT LA RĂ?PUTATION DE NOS PRODUITS DANS L OPINION PUBLIQUE &ORCE EST DE 'SBOĂŽPJT 3PVJMMZ PrĂŠsident CONSTATER QUE LES CĂ?RĂ?ALES DU PETIT DĂ?JEUNER SOUFFRENT D UNE MAUVAISE IMAGE AUPRĂ’S DES MĂ?DIAS ET DE CERTAINS PROFESSIONNELS DE SANTĂ?

QUI N HĂ?SITENT PAS ĂŒ S EXPRIMER LARGEMENT SUR LE SUJET 0OURTANT LES ARGUMENTS REPOSENT ESSENTIELLEMENT SUR DES IDĂ?ES RE UES #ELA VA DE LA TENEUR EN SUCRES DES CĂ?RĂ?ALES JUSQU AU VOLUME DES PORTIONS CONSOMMĂ?ES /R CES ATTAQUES SONT INFONDĂ?ES LES Ă?TUDES DE CONSOMMATION ET DE MESURE DE LA QUALITĂ? NUTRITIONNELLE DES PRODUITS MENĂ?ES PAR L /BSERVATOIRE DE LA 1UALITĂ?

DE L !LIMENTATION L ATTESTENT %N NOUS AVONS EU

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

LA VOLONTĂ? DE RĂ?ALISER UN IMPORTANT TRAVAIL DE PĂ?DAGOGIE D UNE PART POUR RĂ?PONDRE ĂŒ CES IDĂ?ES FAUSSES QUI CIRCULENT SUR LES CĂ?RĂ?ALES D AUTRE PART POUR APPORTER DES CONSEILS DE CONSOMMATION AlN DE PRĂ?SERVER LE BON USAGE DE NOS PRODUITS Pourquoi avoir menĂŠ des actions spĂŠciďŹ ques sur le petit dĂŠjeuner ? ,E PETIT DĂ?JEUNER EST UN REPAS ESSENTIEL EN PARTICULIER POUR LES ENFANTS , Ă?TUDE QUE NOUS AVONS MENĂ?E AVEC LE #2%$/# A DRESSĂ? UN CONSTAT PRĂ?OCCUPANT SUR L ABSENCE PRISE DE PETIT DĂ?JEUNER CHEZ LES ENFANTS NOTAMMENT LES PLUS DĂ?FAVORISĂ?S ,ES CONSĂ?QUENCES SUR LEUR COMPORTEMENT ĂŒ L Ă?COLE N EST PAS NEUTRE ET NOUS NE POUVONS L IGNORER .OUS AVONS TENTĂ? DE PORTER LE DĂ?BAT SUR LA PLACE PUBLIQUE AlN DE SENSIBILISER TOUS LES ACTEURS CONCERNĂ?S SUR LE SUJET %NSEMBLE NOUS POUVONS ET DEVONS AGIR POUR NOUS MOBILISER EN FAVEUR DE LA PRĂ?SERVATION DU PETIT DĂ?JEUNER QUI REPRĂ?SENTE NE L OUBLIONS PAS

L UN DES PILIERS DE NOTRE MODĂ’LE ALIMENTAIRE

"35&/": #"34 t #36&((&/ '3"/$& t $&3&$0 t $18 '3"/$& /&45-& (&/&3"- .*--4 t %"*-:$&3 t '"73*$)0/ ET 7*(/0/ t ,&--0(( 4 t 1&14*$0 '3"/$& 1*&5&3$*- */5&3$0 8&&5"#*9 '3"/$&

35

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SYNDICAT DE LA

PANIFICATION CROUSTILLANTE

CARTE D’IDENTITÉ Président Emmanuel Aimond (Jacquet Panification) Vice-présidents Miloud Benaouda (Barilla France) Pascal Pasquier (Pasquier) Trésorier Christophe Aillet (Pain Concept Services) Secrétaire Général Fabien Castanier

ET MOELLEUSE

Syndicat de la Panification Croustillante et Moelleuse

L’ANNÉE 2015 A ÉTÉ UNE NOUVELLE ANNÉE DE LUTTE CONTRE LA FORTE DÉFLATION DU SECTEUR. LE SYNDICAT A MOBILISÉ SES ÉNERGIES ET SES PARTENAIRES AFIN DE SENSIBILISER LES DISTRIBUTEURS SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE DU SECTEUR. IL A PAR AILLEURS CONTRIBUÉ À L’EFFORT DE RÉHABILITATION DU PETIT DÉJEUNER AUX CÔTÉS DU SYNDICAT DES CÉRÉALES ET DES FABRICANTS DE BISCUITS ET GÂTEAUX DE FRANCE. Web : www.panification.org

AGIR POUR SORTIR DE LA DÉFLATION

ENTRE UNE GUERRE DE PRIX DESTRUCTRICE DE VALEUR ET UNE AUGMENTATION CONTEXTUELLE DU PRIX DU BLÏ

C

ETTE ANNÏE ENCORE LE SYNDICAT S EST MOBILISÏ AUX CÙTÏS DE , !LLIANCE ET DE L !.)!

AlN DE SENSIBILISER LES POUVOIRS PUBLICS Ì LA NÏCESSITÏ D UNE MEILLEURE APPLICATION DE LA LOI SUR LES RELATIONS COMMERCIALES )L DEVIENT VITAL DE RÏÏQUILIBRER LES RELATIONS COMMERCIALES ,A PROFESSION A AINSI DIRECTEMENT SENSIBILISÏ LES DISTRIBUTEURS Ì LA SITUATION DÏmATIONNISTE DE LA CATÏGORIE PRISE EN ÏTAU 36

SENSIBILISER LES ACTEURS DE LA FILIÈRE À LA HAUSSE DU PRIX DU BLÉ -ALGRÏ DES VOLUMES IMPORTANTS DE BLÏ POUR LA CAMPAGNE LES FABRICANTS ONT ÏTÏ CONFRONTÏS Ì DES SURCOßTS POUR COMPENSER LA QUALITÏ MOINDRE DU BLÏ MEUNIER ,E SYNDICAT S EST ALORS ASSOCIÏ Ì LA &ÏDÏRATION DES %NTREPRENEURS DE "OULANGERIE &%" ET L !SSOCIATION .ATIONALE DE LA -EUNERIE &RAN AISE !.-& AlN DE SENSIBILISER

MARCHÉ 2015 DE LA PANIFICATION EN FRANCE

2 587 emplois directs

15 Entreprises

95%

TOTAL VENTE GRANDE DISTRIBUTION FRANCE1

916

DE BLÉ UTILISÉ PAR LE SECTEUR EST D’ORIGINE FRANÇAISE

MILLIONS â‚Ź (261 954 tonnes)

LA CONSOMMATION DE BISCOTTES ET PAINS DE MIE1 (en volume)

Toast

4%

Pains suĂŠdois

3%

Pains grillĂŠs

6,77KG/HAB/AN

18%

Autres pains

Pains de mie (industriels)

55%

6% 11%

Biscottes

3%

ExtrudĂŠs

3OURCE )2) TOTAL HYPERS SUPERS M§

3OURCE VENTES &RANCE POPULATION

VENTES Ă€ L’EXPORT (paniďŹ cation sèche uniquement)

51

MILLIONS â‚Ź (17 151 tonnes)

3OURCE $OUANES &RANÂ AISES

LES ENTREPRISES (en nombre d’entreprises)

TPE*

20%

PME*

47%

20%

13%

40% 4RĂ’S 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMĂ?DIRAIRE '% 'RANDES %NTREPRISES 3OURCE , !LLIANCE 37

ETI*

GE*

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

AMÉLIORATION DU PLAN DE SURVEILLANCE DE LA FILIĂˆRE

LA DISTRIBUTION SUR CETTE SITUATION PARADOXALE PĂ?NALISANTE POUR L ENSEMBLE DE LA lLIĂ’RE

%N LE SYNDICAT A CONTRIBUĂ? ĂŒ LA RĂ?NOVATION DU PLAN DE SURVEILLANCE DE LA lLIĂ’RE CĂ?RĂ?ALIĂ’RE QUI A POUR OBJECTIF DE RECENSER LES DONNĂ?ES D AUTOCONTRĂ™LE ET D Ă?VALUER LA %.

LE SYNDICAT A CONTINUĂ? DE LIER DES CONTACTS QUALITĂ? SANITAIRE DES CĂ?RĂ?ALES ET DES ALIMENTS CĂ?RĂ?ALIERS AVEC LES PROFESSIONS QUI LUI SONT PROCHES LES SYNDICATS CĂ?RĂ?ALIERS DE , !LLIANCE L !.-& !SSOCIATION .ATIONALE DE LA -EUNERIE &RANÂ AISE ET LA &%" &Ă?DĂ?RATION DES ENTREPRISES DE "OULANGERIE %N MUTUALISANT LES RESSOURCES

LA PROFESSION EN DONNANT PLUS DE POIDS AUX ACTIONS MENĂ?ES CES PARTENARIATS PERMETTENT ĂŒ LA PROFESSION DE DĂ?VELOPPER SON DOIT CONTINUER POTENTIEL D ACTIONS ET DE GAGNER EN EFlCACITĂ? AU SERVICE Ă€ CONDAMNER DE LA lLIĂ’RE

DÉVELOPPER LES SYNERGIES

FERMEMENT LA POLITIQUE DU PRIX LE PLUS BAS.

SÉCURITÉ : MIEUX MAĂŽTRISER LES RISQUES INFORMER POUR MIEUX MAĂŽTRISER LA FORMATION D’ACRYLAMIDE DANS LES PRODUITS ,E SYNDICAT A CONTRIBUĂ? ĂŒ L Ă?LABORATION DE LA BROCHURE ÂŤ Acrylamide - des outils pratiques pour les entreprises Âť EN COLLABORATION AVEC D AUTRES PARTENAIRES ET DIFFUSĂ?E AUX ENTREPRISES )L S AGIT D UN OUTIL VOLONTAIREMENT PRAGMATIQUE ET OPĂ?RATIONNEL QUI VISE ĂŒ SENSIBILISER ET ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES DANS LA MISE EN PLACE D OUTILS ADĂ?QUATS POUR LIMITER LA FORMATION D ACRYLAMIDE DANS LEURS PRODUITS ET AU COURS DU PROCESSUS DE FABRICATION #ETTE ACTION NOVATRICE A Ă?TĂ? PRISE EN EXEMPLE PAR LA #OMMISSION %UROPĂ?ENNE

Dans la continuitĂŠ des travaux du groupe de travail ÂŤ Fibres Âť initiĂŠ par Guillaume Garot en 2013, les acteurs du secteur des aliments cĂŠrĂŠaliers (pain courant et pain prĂŠemballĂŠ, biscottes et pains grillĂŠs, cĂŠrĂŠales du petit dĂŠjeuner, biscuits & gâteaux, pâtes alimentaires) ont menĂŠ en 2014-2015 une vaste ĂŠtude d’image auprès du grand public. Cette ĂŠtude a permis d’identiďŹ er les leviers et les freins Ă la consommation des aliments cĂŠrĂŠaliers sources et riches en ďŹ bres pour en amĂŠliorer l’image et en amĂŠliorer la consommation.

Les conclusions de ces travaux ont notamment pu ĂŞtre partagĂŠes avec la communautĂŠ scientiďŹ que.

FOCUS CAP SUR LES FIBRES

38

REDONNER SES LETTRES DE NOBLESSE AU PETIT DÉJEUNER Dès 2013, le CREDOC rĂŠvĂŠlait une dĂŠgradation gĂŠnĂŠralisĂŠe de la prise quotidienne du petit dĂŠjeuner ainsi qu’une simpliďŹ cation de sa composition. Les consĂŠquences sont malheureusement importantes et affectent fortement les populations les plus jeunes. Une ĂŠtude du CREDOC rĂŠalisĂŠe en juin 2015 auprès de plus de 500 professeurs des ĂŠcoles, montre que 3,4 ĂŠlèves par classe arriveraient le ventre vide Ă l’Êcole. Ce taux monte Ă 5,2 ĂŠlèves en moyenne dans les secteurs les plus dĂŠfavorisĂŠs. Ces enfants sont plus fatiguĂŠs, moins concentrĂŠs et participent moins en classe. Ils se plaignent ĂŠgalement de maux de ventre et de tĂŞte. Face Ă ce constat, les professions cĂŠrĂŠalières de L’Alliance 7 se sont mobilisĂŠes pour alerter et agir en faveur de la prĂŠservation du petit dĂŠjeuner complet et ĂŠquilibrĂŠ.

INTERVIEW Quel bilan faites-vous de 2015 ?

5NE ANNĂ?E ENCORE TRĂ’S MARQUĂ?E PAR NOTRE ENGAGEMENT ĂŒ LUTTER CONTRE LA GUERRE DES PRIX ET POUR UN RĂ?Ă?QUILIBRAGE DES RELATIONS COMMERCIALES *E CONSTATE EN EFFET QUE LA SITUATION NE S EST PAS AMĂ?LIORĂ?E EN ET QUE NOUS DEVONS POURSUIVRE NOS EFFORTS POUR LUTTER CONTRE LA DĂ?mATION ,A PROFESSION DOIT CONTINUER ĂŒ CONDAM&NNBOVFM "JNPOE NER FERMEMENT LA POLITIQUE DU PRIX LE PrĂŠsident PLUS BAS POUR QUE LUI SOIT SUBSTITUĂ?E LA POLITIQUE DU PRIX JUSTE ,A GUERRE DES PRIX QUE SE LIVRENT LES DISTRIBUTEURS A POUR CONSĂ?QUENCE

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

DE FRAGILISER LA lLIĂ’RE DANS UN CONTEXTE DĂ?JĂŒ PARTICULIĂ’REMENT TENDU DU FAIT DES mUCTUATIONS IMPORTANTES DU PRIX DU BLĂ?

CE QUI REPRĂ?SENTE UN FREIN ĂŒ L INNOVATION SUR UN MARCHĂ? OĂĄ LE CONSOMMATEUR EST TOUJOURS PLUS EXIGEANT Justement, comment rĂŠĂŠquilibrer les relations avec la grande distribution ? )L EST TOUT D ABORD PRIMORDIAL QUE LES AUTORITĂ?S FASSENT APPLIQUER STRICTEMENT LA RĂ?GLEMENTATION %NSUITE IL EST NĂ?CESSAIRE QU UN DIALOGUE S INSTAURE ENTRE DISTRIBUTEURS ET INDUSTRIELS POUR TROUVER UNE SOLUTION PARTAGĂ?E QUI METTE lN ĂŒ CETTE SPIRALE DESTRUCTRICE DE VALEUR ĂŒ TOUS LES MAILLONS DE LA CHAĂ”NE #ELA BIEN Ă?VIDEMMENT DANS UN STRICT RESPECT DES RĂ’GLES DE LA CONCURRENCE

#"3*--" '3"/$& t #-&%*/" t #*4$6*5&3*& % "(&/ t +"$26&5 1"/*'*$"5*0/ t -&4 #*4$055&4 30(&3 t .0/%&-&; */5&3/"5*0/"- t /653*5*0/ 4"/5& t 1"426*&3 t 1"6- )&6."// t 3&/& /&:."// t 1"*/ $0/$&15 4&37*$&4 t 5*1*", 1"/*'*$"5*0/

39

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SYNDICAT FRANÇAIS DES

APÉRITIFS À CROQUER

CARTE D’IDENTITÉ Présidence Anne-Sophie Carrier (Pepsico France) Vice-président Arnaud Cordelle (Intersnack France) Trésorier Stéphane Soulabail (Kellogg’s) Secrétaire Générale Nelly Bonnet

RÉORGANISATION DU SYNDICAT, NOUVELLE GOUVERNANCE, NOUVELLE IDENTITÉ ET DÉFINITION DES AXES STRATÉGIQUES DES 3 PROCHAINES ANNÉES : 2015 S’IMPOSE COMME L’ANNÉE DU RENOUVEAU SUR FOND DE CONSOLIDATION DU TRAVAIL ENTREPRIS DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES POUR CONFORTER LA PROFESSION COMME ACTEUR RESPONSABLE ET SPÉCIALISTE DU MOMENT APÉRITIF.

LE MOMENT APÉRITIF, VECTEUR DE LIEN SOCIAL L’APÉRITIF, SYNONYME DE PARTAGE ET DE CONVIVIALITÉ

D

EPUIS PLUS DE DIX ANS LE SYNDICAT S INTÏRESSE Ì CETTE SPÏCIlCITÏ FRAN AISE QU EST LE MOMENT APÏRITIF ET AUX VALEURS QUI Y SONT ATTACHÏS $ÒS

UNE ÏTUDE MENÏE PAR LE SYNDICAT EN COLLABORATION AVEC L INSTITUT #ONSOPOLE AVAIT PERMIS DE MIEUX COMPRENDRE LES USAGES ET HABITUDES DES &RAN AIS 40

AU MOMENT DE L APÏRITIF ET METTAIT EN LUMIÒRE LES NOUVELLES TENDANCES %N i L APÏRITIF Ì LA FRAN AISE w EST TOUJOURS UN MOMENT DE CONVIVIALITÏ PAR EXCELLENCE DONT LES APÏRITIFS Ì CROQUER RESTENT UNE VALEUR SßRE $ANS CETTE LIGNÏE LE SYNDICAT POURSUIT CES TRAVAUX ET PRÏPARE NOTAMMENT EN COLLABORATION AVEC DES SOCIOLOGUES ET CABINETS DE TENDANCES UNE VASTE ÏTUDE AlN DE DÏCRYPTER CE TEMPS FORT DE LIEN SOCIAL ET DE PARTAGE SI CHER AUX FRAN AIS

MARCHÉ 2015 DES APÉRITIFS EN FRANCE

2 048 emplois directs

26 Entreprises

250

VARIÉTÉS D’APÉRITIFS À CROQUER biscuits, crackers, bretzels, tuiles, tortillas, cacahuètes, pistaches, noix de cajou, amandes...

LA CONSOMMATION DES APÉRITIFS À CROQUER1 (en volume)

1,68 KG/HAB/AN 18E RANG EUROPÉEN

25%

Crackers

41%

Graines salĂŠes

34%

Tuiles

3OURCE VENTES &RANCE POPULATION

3OURCE )2) TOTAL (YPERS 3UPERS M§ VIA FABRICANT

TOTAL VENTE1 GRANDE DISTRIBUTION FRANCE

VENTES À L’EXPORT

250

1 126

MILLIONS â‚Ź (75 885 tonnes)

MILLIONS â‚Ź (118 967 tonnes)

3OURCE $OUANES &RANÂ AISES

LES ENTREPRISES (en nombre d’entreprises)

GE* ETI*

8% 12% 38%

TPE*

42%

40% 4RĂ’S 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMĂ?DIRAIRE '% 'RANDES %NTREPRISES 3OURCE , !LLIANCE

41

PME*

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

UNE PROFESSION RESPONSABLE

LE SYNDICAT DES !PÏRITIFS Ì #ROQUER SE SONT ENGAGÏES DÒS DÏBUT Ì CE QUE DE L HUILE DE PALME UTILISÏE SOIT DURABLE Ì lN ! CE TITRE , !LLIANCE ,ES APÏRITIFS Ì CROQUER SONT INDISSOCIABLES DU MO- PARTICIPE ACTIVEMENT AUX TRAVAUX DE L !LLIANCE POUR MENT APÏRITIF ,A DERNIÒRE ÏTUDE DE CONSOMMATION DU UNE (UILE DE 0ALME $URABLE #2%$/# ##!& MONTRE D AILLEURS QUE LES APÏRITIFS Ì CROQUER SONT DES PRODUITS FESTIFS CONSOMMÏS DE INFORMER POUR MIEUX MAÎTRISER MANIÒRE RAISONNABLE ET STRUCTURÏE ESSENTIELLEMENT Ì LA FORMATION D’ACRYLAMIDE DANS L OCCASION DU MOMENT DE L APÏRITIF ET CECI DANS UN ENVI- LES PRODUITS RONNEMENT CONVIVIAL 0RÒS DE DES CONSOMMATIONS ,E SYNDICAT A CONTRIBUÏ Ì L ÏLABORATION DE LA BROCHURE SE FONT LORS D UN MOMENT DE PARTAGE EN FAMILLE OU ENTRE i !CRYLAMIDE n DES OUTILS PRATIQUES POUR LES ENTREAMIS #ES BONNES PRATIQUES SONT AU CENTRE DU DISCOURS PRISES w EN COLLABORATION AVEC D AUTRES PARTENAIRES ET DU SYNDICAT QUI A Ì C UR DE PRÏSERVER LE BON USAGE DE DIFFUSÏE AUX ENTREPRISES )L S AGIT D UN OUTIL VOLONTAISES PRODUITS REMENT PRAGMATIQUE ET OPÏRATIONNEL QUI VISE Ì SENSIBILISER ET ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES DANS LA MISE EN PLACE D OUTILS ADÏQUATS POUR LIMITER LA FORMATION MOBILISATION SUR LES DÉMARCHES D ACRYLAMIDE DANS LEURS PRODUITS AU COURS DU PROCESSUS D’ÉCO-CONCEPTION ,E SYNDICAT A CONTRIBUÏ EN AVEC , !LLIANCE ET EN DE FABRICATION #ETTE ACTION S INSCRIT PLEINEMENT DANS COLLABORATION AVEC %CO %MBALLAGES Ì L ÏLABORATION D UN LES RECOMMANDATIONS DES AUTORITÏS SANITAIRES GUIDE SUR L ÏCO CONCEPTION DES EMBALLAGES #E GUIDE PRATIQUE CONCRET ET OPÏRATIONNEL ÏVOQUE LES DIFFÏRENTES CONTRIBUER AU RÉÉQUILIBRAGE DÏMARCHES D ÏCO CONCEPTION ET PARTAGE LES BONNES PRA- DES RELATIONS TIQUES EN LA MATIÒRE AlN DE RÏDUIRE L IMPACT DES EMBALAVEC LA DISTRIBUTION LAGES ET DE DIFFÏRENCIER LES PRODUITS ,E SYNDICAT EN COLLABORATION AVEC LES AUTRES PROFESSIONS DE , !LLIANCE A CONTRIBUÏ AU DÏBAT ET AUX ACSOUTENIR L’UTILISATION TIONS PORTÏES PAR , !LLIANCE ET L !.)! SUR LES EFFETS D’HUILE PALME DURABLE , HUILE DE PALME ÏTANT PARFOIS TECHNOLOGIQUEMENT OU DÏLÏTÒRES DE LA GUERRE DES PRIX QUI ONT UN IMPACT D UN POINT DE VUE ORGANOLEPTIQUE IRREMPLA ABLE LES EN- DIRECT SUR LES CAPACITÏS D INVESTISSEMENT DE NOS ENTREPRISES ADHÏRENTES AUX SYNDICAT DE , !LLIANCE DONT TREPRISES

PROMOUVOIR UNE CONSOMMATION RAISONNABLE ET STRUCTURÉE

Stylisme Laurence du Tilly © Philippe Vaures Santamaria

« L’APÉRITIF À LA FRANÇAISE » EST TOUJOURS UN MOMENT DE CONVIVIALITÉ PAR EXCELLENCE DONT LES APÉRITIFS À CROQUER RESTENT UNE VALEUR SÛRE.

42

Les Français apprÊcient l’apÊritif. La moitiÊ d’entre eux revèlent le prendre une fois par semaine entre amis, en famille, ou entre collègues. C’est avant tout le weekend que nos compatriotes se plient à ce petit rituel synonyme de plaisir, de partage et de retrouvailles en famille ou entre amis. Ce moment de convivialitÊ fait partie intÊgrante du modèle alimentaire de notre pays.

D’ailleurs,  l’apÊritif à la française  est même devenu une signature de l’image  France  à l’international, programme soutenu par les pouvoirs publics.

FOCUS LE MOMENT APÉRITIF : UNE COMPOSANTE FORTE DU MODĂˆLE ALIMENTAIRE FRANÇAIS

Stylisme Laurence du Tilly Š Philippe Vaures Santamaria

INTERVIEW

"OOF 4PQIJF $BSSJFS PrĂŠsidente

Quel bilan faites-vous de 2015 ?

A Ă?TĂ? L ANNĂ?E DU RENOUVEAU POUR LE SYNDICAT DES !PĂ?RITIFS ĂŒ #ROQUER UNE NOUVELLE IDENTITĂ?

UNE NOUVELLE ORGANISATION ET UN NOUVEAU CAP AVEC UNE AMBITION FORTE ET ENGAGEANTE QUE JE SUIS lĂ’RE DE REPRĂ?SENTER EN TANT QUE 0RĂ?SIDENTE , ANNĂ?E A PERMIS AU SYNDICAT DE SE RECENTRER SUR SES ENJEUX SECTORIELS TOUT EN PRĂ?PARANT LA FEUILLE DE ROUTE DES PROCHAINES ANNĂ?ES

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

Vous avez ĂŠtĂŠ ĂŠlue Ă la PrĂŠsidence du syndicat en 2015. Quelles ont ĂŠtĂŠ vos prioritĂŠs ? %N TANT QUE 0RĂ?SIDENTE MA PREMIĂ’RE PRIORITĂ? A Ă?TĂ? DE REDĂ?lNIR UN PROJET COLLECTIF AUTOUR DE TROIS GRANDS AXES STRATĂ?GIQUES VALORISER LE MOMENT APĂ?RITIF COMME VECTEUR DE LIEN SOCIAL AGIR EN PROFESSION RESPONSABLE POUR GARDER LA CONlANCE DE NOS CONSOMMATEURS EN S ASSURANT DE LA QUALITĂ? ET DE LA SĂ?CURITĂ? DE NOS PRODUITS ET ENlN CONTRIBUER ĂŒ L Ă?QUILIBRE DES RELATIONS AVEC LA DISTRIBUTION

#0&)-* t $03/6 4" '0/5"*/ t (&/&3"- .*--4 -"/%&4 t */5&34/"$, '3"/$& ,&--0(( 4 t -0$ ."3*" t .0/%&-&; */5&3/"5*0/"- t 1&14*$0 '3"/$& t 53"06 ."% t 6/*5&% #*4$6*54 '3"/$&

43

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SYNDICAT FRANÇAIS DU

CAFÉ

CARTE D’IDENTITÉ Président Nicolas Peyresblanques (Segafredo Zanetti France) Vice-présidents Olivier Bergère (Nestlé) Gérard Meauxsoone (Cafés Méo) Serge Merlet (Lavazza) Trésorierière Erika Le Noan (Illy) Secrétaire Générale Elodie Sebag

Syndicat

Français du Café

L’ANNÉE 2015 A ÉTÉ MARQUÉE POUR LE SYNDICAT PAR UNE MOBILISATION ACCRUE AUTOUR DES ENJEUX RÉGLEMENTAIRES ET DE VALORISATION DE L’IMAGE DU CAFÉ.

Web : www.toutsurlecafe.fr - www.santeetcafe.com

AGIR COLLECTIVEMENT POUR DÉFENDRE LA PROFESSION ET VALORISER LES PRODUITS DU SYNDICAT UNE NOUVELLE CIRCULAIRE SUR LA CONTRIBUTION DES BOISSONS CONTENANT DE LA CAFÉINE

2

A ÏTÏ UNE ANNÏE DE RÏmEXION STRATÏGIQUE POUR LE SYNDICAT QUI A PERMIS DE DÏlNIR SA FEUILLE DE ROUTE POUR LES ANNÏES Ì VENIR #ETTE ANNÏE A ÏGALEMENT ÏTÏ MARQUÏE PAR LES DISCUSSIONS CONCERNANT LA CONTRIBUTION VISANT LES BOISSONS ÏNERGISANTES #ETTE TAXE A ÏTÏ VOTÏE EN OCTOBRE DANS LE CADRE DU 0,&33 0ROJET DE LOI DE &INANCEMENT DE LA 3ÏCURITÏ SOCIALE AVEC UN OBJECTIF DE SANTÏ PUBLIQUE IL S AGISSAIT DE PRÏVENIR LES DANGERS D UNE CONSOMMATION 44

TROP IMPORTANTE DE BOISSONS ÏNERGISANTES ,A VOLONTÏ DE LÏGIFÏRER FAISAIT SUITE Ì UN RAPPORT DE L !.3%3 !GENCE NATIONALE DE SÏCURITÏ SANITAIRE DE L ALIMENTATION DE L ENVIRONNEMENT ET DU TRAVAIL ÏVALUANT LES EFFETS DE LA CONSOMMATION DE CES BOISSONS 3I L INTENTION INITIALE DU LÏGISLATEUR N ÏTAIT EN AUCUN CAS DE STIGMATISER LE CAFÏ

LE TEXTE VOTÏ PAR LES PARLEMENTAIRES S EST ÏLOIGNÏ DE SON OBJECTIF INITIAL #E SUJET A FORTEMENT MOBILISÏ LE SYNDICAT ET A ÏTÏ L OCCASION DE MENER DE NOMBREUSES RENCONTRES AVEC LES POUVOIRS PUBLICS POUR EXEMPTER NOS PRODUITS D UNE TAXE QUI N A PAS VOCATION Ì TOUCHER NOTRE SECTEUR %N JANVIER

UNE NOUVELLE CIRCULAIRE A PRÏCISÏ LES NOUVELLES MODALITÏS D APPLICATION DE CETTE TAXE 3I CELLE CI EXCLUT DU CHAMP DE LA TAXE LES BOISSONS AU CAFÏ Ì CONSOMMER SUR PLACE ET Ì EMPORTER LES BOISSONS AU CAFÏ EN BOUTEILLE SONT EN REVANCHE MISES Ì CONTRIBUTION Ì HAUTEUR DE € LITRE %N PARALLÒLE DE CES DISCUSSIONS LE SYNDICAT A ÏTÏ HEUREUX

MARCHÉ 2015 DU CAFÉ EN FRANCE

3 400

38

emplois directs

Entreprises

LA CONSOMMATION DU CAFÉ1 (en volume)

LA FRANCE EST LE

ème

94%

72%

des Français consomment du café

des Français consomment du café chaque jour

9

CONSOMMATEUR EN EUROPE Cafés

14% solubles Cafés torrefiés

44%

Cafés dosettes

25%

des Français consomment du café au petit-déjeuner

62%

3OURCE )2) TOTAL HYPERS SUPERS M§

3OURCE )#/ )NTERNATIONAL #OFFE #OCOA /RGANIZATION

VENTES À L’EXPORT

TOTAL VENTE1 GRANDE DISTRIBUTION FRANCE

MILLIONS € (46 165 tonnes)

MILLIONS € (161 627 tonnes)

812

2 114

3OURCE $OUANES &RAN AISES

LES ENTREPRISES (en nombre d’entreprises)

GE*

10%

ETI*

16%

PME*

53% 21%

TPE*

40% 4RÒS 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMÏDIRAIRE '% 'RANDES %NTREPRISES 3OURCE , !LLIANCE

45

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

DE L AVIS POSITIF DE L %&3! !GENCE %UROPÏENNE DE 3ÏCURITÏ DES !LIMENTS SUR LES EFFETS SANITAIRES DE LA CAFÏINE QUI REND D AUTANT PLUS PARADOXALE LA lSCALITÏ PUNITIVE DONT LES BOISSONS CONTENANT DE LA CAFÏINE FONT L OBJET

INFORMER ET SENSIBILISER SUR LA FORMATION D’ACRYLAMIDE ,E SYNDICAT A CONTRIBUÏ Ì L ÏLABORATION DE LA BROCHURE « Acrylamide – des outils pratiques pour les entreprises » EN COLLABORATION AVEC D AUTRES PARTENAIRES ET DIFFUSÏE AUPRÒS DES ENTREPRISES )L S AGIT D UN OUTIL VOLONTAIREMENT PRAGMATIQUE ET OPÏRATIONNEL QUI VISE Ì SENSIBILISER ET ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES DANS LA MISE EN PLACE D OUTILS ADÏQUATS POUR LIMITER LA FORMATION D ACRYLAMIDE DANS LEURS PRODUITS ET AU COURS DU PROCESSUS DE FABRICATION #ETTE ACTION S INSCRIT PLEINEMENT DANS LES RECOMMANDATIONS DES AUTORITÏS SANITAIRES

UNE COMMUNICATION SYNDICALE AXÉE SUR LA SANTÉ %N LE SYNDICAT &RAN AIS DU #AFÏ A POURSUIVI SES ACTIONS DE COMMUNICATION VERS LES MÏDECINS ET LA PRESSE MÏDICALE ET SANTÏ ,E SYNDICAT A POURSUIVI SON SOUTIEN AU PROGRAMME i 3ANTÏ ET #AFÏ w TRAVAIL DE VEILLE SCIENTIlQUE CONSACRÏ AUX LIENS ENTRE LE CAFÏ ET LA SANTÏ #ES INFORMATIONS SONT DIFFUSÏES PAR NEWSLETTERS AUX PROFESSIONNELS DE SANTÏ ET AUX JOURNALISTES SPÏCIALISÏS %LLES SONT DISPONIBLES SUR UN SITE INTERNET DÏDIÏ

46

LE SYNDICAT FRANÇAIS DU CAFÉ S’EST DOTÉ EN 2010 DE DEUX CHARTES : QUALITÉ ET DÉONTOLOGIE 0AR LES ENGAGEMENTS PRIS DANS CES CHARTES LES ADHÏRENTS DU SYNDICAT &RAN AIS DU #AFÏ ONT SOUHAITÏ TÏMOIGNER DE LEUR RESPECT LES UNS ENVERS LES AUTRES ET ÏGALEMENT VIS Ì VIS DES CONSOMMATEURS )LS ENCOURAGENT NOTAMMENT LES APPROVISIONNEMENTS RESPECTUEUX DES HOMMES ET DE LA TERRE ET S ENGAGENT SUR LA QUALITÏ L ADÏQUATION DE L EMBALLAGE AVEC LES RÒGLES ENVIRONNEMENTALES EN VIGUEUR LE SÏRIEUX ET LA TRANSPARENCE DES INFORMATIONS CONCERNANT LEURS PRODUITS %N ACCORD AVEC LES POUVOIRS PUBLICS AUXQUELS CES CHARTES ONT ÏTÏ PRÏSENTÏES LE SYNDICAT &RAN AIS DU #AFÏ S ENGAGE Ì PROMOUVOIR DES COMPORTEMENTS RESPONSABLES SUR LE MARCHÏ

EN 2015, LE SYNDICAT FRANÇAIS DU CAFÉ A POURSUIVI SES ACTIONS DE COMMUNICATION VERS LES MÉDECINS ET LA PRESSE MÉDICALE ET SANTÉ.

Le programme santĂŠ et cafĂŠ, initiĂŠ par le syndicat, a dĂŠbutĂŠ en 2000 alors que l’image du cafĂŠ ĂŠtait au plus bas. Ce travail, basĂŠ sur une veille scientiďŹ que consacrĂŠe aux ĂŠtudes sur le cafĂŠ et la santĂŠ, a permis au ďŹ l des annĂŠes de montrer les bienfaits du cafĂŠ sur la santĂŠ. Le cafĂŠ et la cafĂŠine font en effet l’objet de nombreuses ĂŠtudes. En 2014, on en dĂŠnombrait plus de 1800 sur Pubmed. De nombreux domaines sont ĂŠtudiĂŠs et notamment : cafĂŠ et cancer, cafĂŠ et diabète, cafĂŠ et cardiologie, cafĂŠ et sommeil, cafĂŠ et maladie de parkinson, d’Alzheimer‌ Ces ĂŠtudes sont, depuis la mise en place de ce programme, largement reprises dans les medias. Les retombĂŠes ont progressĂŠ de 16% entre 2001 et 2015, avec un nombre prĂŠpondĂŠrant d’articles positifs. Ce programme a permis de sensibiliser 625 journalistes de la presse santĂŠ, professionnelle et grand public et 50 000 mĂŠdecins gĂŠnĂŠralistes, spĂŠcialistes, pharmaciens et nutritionnistes grâce Ă l’envoi de newsletters, de webcasts audio et de vidĂŠos de spĂŠcialistes.

FOCUS PROGRAMME CAFÉ & SANTÉ

INTERVIEW Quel bilan faites-vous de 2015 ?

5NE ANNĂ?E QUI A Ă?TĂ? FORTEMENT CONCENTRĂ?E SUR LE SUJET DE LA TAXE SUR LA CAFĂ?INE #ERTES LES ADHĂ?RENTS DU SYNDICAT ET MOI MĂ?ME AURIONS PRĂ?FĂ?RĂ? QUE LE LĂ?GISLATEUR SUPPRIME CETTE TAXE DĂ?NIGRANTE ET INEFlCACE EN TERMES DE RENDEMENT EN

L %TAT A RĂ?COLTĂ? MOINS DE MILLIONS

D EUROS DE RECETTES QUI ONT Ă?TĂ? PAYĂ?ES QUASI UNIQUEMENT PAR DES ENTREPRISES QUI VENDENT DU CAFĂ? EN BRIQUES EN BOUTEILLES OU EN CANETTES CONTRE LES MILLIONS ANNONCĂ?S EN x .Ă?ANMOINS NOUS N ALLONS PAS BAISSER LES BRAS ET POURSUIVRE NOS EFFORTS POUR QUE SOIT RECONNUE L ABSURDITĂ? DE CETTE TAXE $ AUTANT PLUS QUE LE CAFĂ? JOUIT AUJOURD HUI D UNE RECONNAISSANCE SCIENTIlQUE EN TERMES DE BIENFAITS POUR LA SANTĂ?

CE DONT LE SYNDICAT SE FĂ?LICITE

/JDPMBT 1FZSFTCMBORVFT PrĂŠsident

ENTRE PRISES adhĂŠrentes

$"'& #3"4*-*" 50*505 ."35*/ t $"'&4 '0--*&5 t $"'&4 .&0 t $"'&4 3*$)"3% t )&/3: #-"/$ t *--: t +%& 53"%*/( t ++ %"3#07&/ '3"/$& t -"7";;" '3"/$& t ."*40/ %6 $"'& t ."-0/(0 t /&413&440 t /&45-& '3"/$& t 4"5* 4&("'3&%0 ;"/&55* '3"/$& t 45"3#6$,4 $0''&& '3"/$& t 7&3-&5 $"'²4 &5 5)²4

47

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

SYNDICAT FRANÇAIS DE LA

NUTRI TION SPÉCIALISÉE

CARTE D’IDENTITÉ Président Olivier Delamea (Blédina) Vice-présidents Didier Suberbielle (Nutrition et Santé) Michel Bégaud (Fresenius Kabi France) Muriel Koch (Nestlé France) Trésorier Didier Suberbielle (Nutrition et Santé) Secrétaire Générale Magali Bocquet

LE SYNDICAT FRANÇAIS DE LA NUTRITION SPÉCIALISÉE S’ATTACHE À CE QUE LES POPULATIONS SPÉCIFIQUES BÉNÉFICIENT D’UNE PROTECTION PARTICULIÈRE (NOURRISSONS ET ENFANTS EN BAS ÂGE, PERSONNES ÂGÉES, SPORTIFS, PERSONNES SOUHAITANT PERDRE DU POIDS, CONSOMMATEURS AVEC UNE PATHOLOGIE ALIMENTAIRE SPÉCIFIQUE...) VIA DES RÈGLES DISTINCTES DE LA LÉGISLATION ALIMENTAIRE GÉNÉRALE. AU CŒUR DES ACTIONS RÉALISÉES EN 2015, IL S’AGIT D’APPORTER DES GARANTIES SANITAIRES NUTRITIONNELLES ET DE BON USAGE DES PRODUITS SPÉCIFIQUEMENT DÉVELOPPÉS POUR LES POPULATIONS QUI ONT DES BESOINS PARTICULIERS.

FAIRE ÉMERGER LES ENJEUX DE LA NUTRITION SPÉCIALISÉE ET DE LA DÉNUTRITION AU SEIN DU DÉBAT PUBLIC

PERMIS DE MAINTENIR LES CONTACTS ÏTABLIS AU TRAVERS DE DIFFÏRENTES RENCONTRES DONT LE BUT ÏTAIT UNE PRÏSENTATION SIMPLIlÏE DES SECTEURS PRODUITS ENTREPRISES DU 3&.3 ET POPULATIONS CONCERNÏES

%N UN -ANIFESTE EUROPÏEN ET UN PLAN DE CONTACTS AVAIENT ÏTÏ RÏALISÏS EN COOPÏRATION AVEC L ASSOCIATION EUROPÏENNE 3.% 3PECIALISED .UTRITION %UROPE POUR FAIRE PARTAGER AUX CANDIDATS AUX ÏLECTIONS EUROPÏENNES ET AUX NOUVEAUX ÏLUS LES ENJEUX D UNE LÏGISLATION CONSTRUITE POUR ASSURER UN HAUT NIVEAU DE PROTECTION DES POPULATIONS AVEC DES BESOINS PARTICULIERS A

LA NUTRITION SPÉCIALISÉE, INTERFACE ENTRE LA SCIENCE, LA RÉGLEMENTATION ET LES POPULATIONS AVEC DES BESOINS PARTICULIERS

48

, INDUSTRIE DE LA NUTRITION SPÏCIALISÏE S APPUIE SUR LES CONNAISSANCES DES SCIENTIlQUES SPÏCIALISTES DE CES POPULATIONS POUR DÏVELOPPER LEURS PRODUITS AINSI QUE

SUR DES RÒGLES SPÏCIlQUES VISANT Ì FAIRE PRENDRE EN COMPTE LEURS SPÏCIlCITÏS DANS LA LÏGISLATION ALIMENTAIRE GÏNÏRALE ,ES PRODUITS DE NUTRITION SPÏCIALISÏE DESTINÏS Ì DES POPULATIONS AYANT DES BESOINS PARTICULIERS FONT L OBJET DE RÏGLEMENTATIONS SPÏCIlQUES ET DE POLITIQUES CIBLÏES #ETTE PRISE EN COMPTE DANS LES POLITIQUES DE SANTÏ PUBLIQUE A DES CONSÏQUENCES POSITIVES SUR LE BIEN ÐTRE DES POPULATIONS CONCERNÏES AINSI QUE SUR LE PLAN MÏDICO ÏCONOMIQUE

PÏEN 5% REPRÏSENTE UN DÏl MAJEUR PUISQU IL S AGIT DE REMETTRE Ì PLAT EN TROIS ANS UNE LÏGISLATION CONSTRUITE AU COURS DES TRENTE DERNIÒRES ANNÏES DANS UN NOUVEAU CONTEXTE POLITIQUE EN RAISON DE LA COMPOSITION DE LA NOUVELLE #OMMISSION EUROPÏENNE FORTE DU PRINCIPE DE iBETTER REGULATION w

DIALOGUER AVEC LES INSTANCES

!lN DE CONSERVER UN CADRE RÏGLEMENTAIRE STABLE LE SYNDICAT A MIS EN PLACE PLUSIEURS ACTIONS QUI SE SONT INSCRITES DANS LES DISCUSSIONS DU PROJET DE LOI DE MODERNISATION DE NOTRE SYSTÒME DE SANTÏ PUBLIQUE %LLES VISAIENT NOTAMMENT Ì OBTENIR L EXEMPTION DES PRODUITS DE NUTRITION SPÏCIALISÏE DU PROCESS D ÏTIQUETAGE NUTRITIONNEL COMPLÏMENTAIRE 0AR AILLEURS LE 3&.3 A ACCOMPAGNÏ SES ENTREPRISES ADHÏRENTES DANS L APPLICATION DU NOUVEAU CADRE RÏGLEMENTAIRE POUR LES ALIMENTS SANS GLUTEN

,A NUTRITION SPÏCIALISÏE SOUHAITE QUE CE MODÒLE CLÏ DU SUCCÒS PUISSE ÐTRE CONFORTÏ !U NIVEAU NATIONAL Ì L OCCASION DE L EXAMEN DU PROJET DE LOI DE MODERNISATION DE NOTRE SYSTÒME DE SANTÏ ET DE LA PRÏPARATION DU PROCHAIN 0..3 0ROGRAMME .ATIONAL .UTRITION 3ANTÏ LE SYNDICAT AGIT POUR INSCRIRE LES POPULATIONS AVEC DES BESOINS SPÏCIlQUES ET LA DÏNUTRITION DANS LES PRIORITÏS DE POLITIQUES PUBLIQUES !U NIVEAU EUROPÏEN LA RÏVISION DE LA RÏGLEMENTATION EUROPÏENNE SPÏCIlQUE INDUITE PAR LE 2ÒGLEMENT EURO-

CONSERVER UN CADRE RÉGLEMENTAIRE STABLE ET UNE PROTECTION MAXIMALE DES CONSOMMATEURS

LES ENTREPRISES

INTERVIEW

(en nombre d’entreprises)

Quel bilan faites-vous de 2015 ?

5NE ANNÏE ACTIVE AU SERVICE DES POPULATIONS AUX BESOINS SPÏCIlQUES ,A NUTRITION SPÏCIALISÏE EST AU CARREFOUR DE L ALIMENTATION ET DE LA SANTÏ ,ES PRODUITS DE LA NUTRITION SPÏCIALISÏE SONT DES ALIMENTS SPÏCIALEMENT FORMULÏS POUR RÏPONDRE AUX BESOINS PARTICULIERS DE CERTAINES POPULA0MJWJFS %FMBNFB TIONS ,ES POPULATIONS CONCERNÏES Président ONT DES BESOINS PARTICULIERS DU FAIT D UN MÏTABOLISME OU D UN PROCESSUS D ASSIMILATION PERTURBÏ OU ENCORE DE CONDITIONS PHYSIOLOGIQUES PARTICULIÒRES )L S AGIT DE POPULATIONS DONT L ALIMENTATION FAIT L OBJET DES PRÏOCCUPATIONS DES PROFESSIONNELS DE SANTÏ DEPUIS LONGTEMPS ,E 3YNDICAT EST PLUS QUE JAMAIS ENGAGÏ DANS LA REVENDICATION CELLE DE LA PRISE DE CONSCIENCE PAR SES PARTIES PRENANTES QUE L ALIMENTATION EST UN DÏTERMINANT DE SANTÏ ENCORE PLUS IMPORTANT POUR LES POPULATIONS AVEC DES BESOINS PARTICULIERS QUE POUR LA POPULATION GÏNÏRALE ,ES ACTEURS DE CE SECTEUR SONT PLUS QUE JAMAIS Ì L ÏCOUTE DE LEURS CONSOMMATEURS POUR DÏVELOPPER DES PRODUITS Ì FORTE VALEUR AJOUTÏE CAPABLES DE RÏPONDRE AVEC PRÏCISION Ì DES SITUATIONS NUTRITIONNELLES TRÒS PARTICULIÒRES 49

ETI*

TPE*

4%

GE*

9%

33% 54%

PME*

40% 4RÒS 0ETITES %NTREPRISES 0-% 0ETITES ET -OYENNES %NTREPRISES

%4) %NTREPRISES DE TAILLE INTERMÏDIRAIRE '% 'RANDES %NTREPRISES 3OURCE , !LLIANCE

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SECTEUR FRANÇAIS DES

ALIMENTS DE L’ENFANCE

CARTE D’IDENTITÉ Présidente Muriel Koch (Nestlé France) Secrétaire Générale Magali Bocquet

L’ANNÉE 2015 A ÉTÉ TRÈS ACTIVE POUR LE SECTEUR FRANÇAIS DES ALIMENTS DE L’ENFANCE, QUI A POURSUIVI SES EFFORTS POUR RAPPELER L’IMPORTANCE D’OFFRIR AUX MOINS DE 3 ANS DES ALIMENTS DONT LA COMPOSITION ET LE NIVEAU DE SÉCURITÉ RÉPONDENT TANT À LEURS BESOINS NUTRITIONNELS QU’À LEUR FRAGILITÉ.

ANALYSE DES NOUVEAUX TEXTES RÉGLEMENTAIRES

CAP SUR LA COMMUNICATION

A ÏTÏ MARQUÏE PAR DES ACTIONS D INFORMATION ET DE PÏDAGOGIE SUR LA SÏCURITÏ DES PRODUITS LA CONDUITE DE LA !UX CÙTÏS DE LA $'##2& LE 3ECTEUR A SUIVI LES DIFFÏRENTES DIVERSIlCATION ALIMENTAIRE ET L INTÏRÐT DU LAIT DE CROISSANCE VERSIONS DU FUTUR CADRE RÏGLEMENTAIRE UN ÏCHANGE IN- 2ÏSOLUMENT CONNECTÏ AVEC SES PUBLICS ET LES NOUVEAUX LIEUX DISPENSABLE Ì UNE ANTICIPATION ET Ì UNE COMPRÏHENSION D INFORMATION LE 3ECTEUR A ACCENTUÏ SES ACTIONS AUPRÒS DE LA SPHÒRE DIGITALE ,A SENSIBILISATION DES PARENTS BLOGUEURS COMMUNE DES FUTURS TEXTES EUROPÏENS ET DES INFOGRAPHIES PÏDAGOGIQUES ONT PERMIS DE PORTER UN DISCOURS PAR LA PREUVE AUPRÒS D UNE LARGE CIBLE LA DÉONTOLOGIE DU SECTEUR %N LE 3&!% A POURSUIVI LA MISE EN PLACE DE LA CHARTE DE DÏONTOLOGIE SUR LES LAITS PREMIER ÊGE #ETTE CHARTE LA SÉCURITÉ SUR LAQUELLE SE SONT ENGAGÏS LES ACTEURS DU 3ECTEUR 4OUT AU LONG DE L ANNÏE LE 3ECTEUR A ENTRE AUTRES DONNE UN CADRE POUR RESPECTER LA RÏGLEMENTATION SUR MENÏ DES TRAVAUX DE RECENSEMENT DES TAUX DE CHLOLES RESTRICTIONS DE PROMOTION POUR LES LAITS PREMIER ÊGE RATE DANS SES PRODUITS , OBJECTIF ÏTAIT CLAIR INFORET VISE Ì PROMOUVOIR AU REGARD DE LA RÏGLEMENTATION MER RÏGULIÒREMENT LES AUTORITÏS AlN DE METTRE EN DE BONS COMPORTEMENTS EN MATIÒRE DE COMMUNICATION PLACE DES MESURES QUI SOIENT JUSTES ET APPLICABLES

NOTAMMENT DANS LE CADRE DE LA RÏGLEMENTATION SUR LES ALIMENTS INFANTILES 50

MARCHÉ 2015 DES ALIMENTS DE L’ENFANCE EN FRANCE MARCHÉ DES LAITS INFANTILES TOTAL VENTE PHARMACIE FRANCE1

TOTAL VENTE GRANDE DISTRIBUTION FRANCE2

189

336

MILLIONS € (9 057 tonnes)

VENTES À L’EXPORT3

702

MILLIONS € (71 107 tonnes) MILLIONS € (124 256 tonnes)

3OURCE )MS (EALTH 3OURCE )RI (YPERMARCHÏS 3UPERMARCHÏS M§ 3OURCE $OUANES &RAN AISES

MARCHÉ AUTRES PRODUITS «ALIMENTS POUR BÉBÉ» TOTAL VENTE GRANDE DISTRIBUTION FRANCE

427

MILLIONS € (84 778 tonnes)

3OURCE )RI (YPERMARCHÏS 3UPERMARCHÏS M§

INTERVIEW Quel bilan faites-vous de 2015 ? ,ES DONNÏES SCIENTIlQUES SONT DE PLUS EN PLUS NOMBREUSES POUR DÏMONTRER QUE LES PREMIÒRES ANNÏES DE VIE SONT PRIMORDIALES POUR LA SANTÏ FUTURE DE L ENFANT #ONSCIENT DE SON RÙLE NOTRE 3ECTEUR S EST ENCORE FORTEMENT MOBILISÏ EN SUR LES ASPECTS Ì LA FOIS RÏGLEMENTAIRES ET .VSJFM ,PDI Présidente PÏDAGOGIQUES LIÏS Ì NOS PRODUITS .OUS POUVONS ÐTRE lERS DES RÏSULTATS CAR SUR LE SUJET DE L ALIMENTATION DES Ì ANS LE 3ECTEUR EST VÏRITABLEMENT DEVENU L INTERLOCUTEUR DE RÏFÏRENCE AUSSI BIEN DE L ADMINISTRATION QUE DE LA COMMUNAUTÏ SCIENTIlQUE MAIS ÏGALEMENT DES MÏDIAS ET DEPUIS PEU DES COMMUNAUTÏS DIGITALES Qu’en est-il de l’étude Nutri Bébé sur laquelle le secteur est référent ? .OTRE SECTEUR CONTRIBUE DEPUIS Ì ÏCLAIRER SUR LES COMPORTEMENTS ALIMENTAIRES EN &RANCE DES MOINS DE ANS .OTRE %TUDE .UTRI "ÏBÏ 3&!% DONT LA ÒME ÏDITION A ÏTÏ PUBLIÏE EN EN PARTENARIAT AVEC LES INSTITUTIONS 4.3 3OFRES ET #RÏDOC A PERMIS D OBTENIR UNE PHOTOGRAPHIE RÏCENTE DES APPORTS NUTRITIONNELS DES ENFANTS ÊGÏS DE JOURS Ì MOIS ET DE LES COMPARER AUX DERNIÒRES RECOMMANDATIONS #ES ÏLÏMENTS MONTRENT QUE NOTRE 3ECTEUR DOIT MAINTENIR SES EFFORTS D INFORMATION AUPRÒS DES PROFESSIONNELS DE SANTÏ ET DES MÏDIAS SPÏCIALISÏS # EST POURQUOI UNE SÏRIE D OUTILS Ì LA FOIS PRATIQUES ET MARQUANTS CONTINUENT Ì ÐTRE DÏVELOPPÏS Ì CET EFFET 51

ENTRE PRISES adhérentes #-&%*/" t $"/%*" 4" t $)"3-&4 "-*$& t &7&/ 4"/5& */%6453*& t (00% (065 t -"#03"50*3&4 (*-#&35 t -"$5"-*4 /653*5*0/ %*&5&5*26& t -"*5&3*& %& .0/5"*(6 t ."5&3/" t /&45-& '3"/$& t -"$5"-*4 /653*5*0/ 4"/5² t /653*#&/ t /653*#*0 /653*4&5 t 3&(*-"*5 t 40%*-"$ t 7*5"(&3.*/& t :"#0/ t :00+*

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SECTEUR

DIÉ TÉTIQUE

CARTE D’IDENTITÉ Président Didier Suberbielle (Nutrition & Santé) Secrétaire Générale Laure Laroche

AU-DELÀ DES ACTIONS DE COMMUNICATION ET DE SENSIBILISATION DE LA SPHÈRE PUBLIQUE, 2015 AURA ÉTÉ UNE ANNÉE DE COMBAT SUR LE TERRAIN RÉGLEMENTAIRE POUR LE SECTEUR DE LA DIÉTÉTIQUE.

RÉGLEMENTATION : DES CHANTIERS COMMUNS AVEC NOTRE ASSOCIATION EUROPÉENNE, SNE (SPECIALISED NUTRITION EUROPE)

ALIMENTS DESTINÉS À LA PERTE DE POIDS

,E RÒGLEMENT DISTINGUE LES ALIMENTS DESTINÏS Ì LA PERTE DE POIDS EN DEUX CATÏGORIES LES SUBSTITUTS DE ANS LE CADRE DE LA REFONTE DE LA RÏGLEMEN- LA RATION JOURNALIÒRE ET LES SUBSTITUTS DE REPAS ,ES SUBSTATION EUROPÏENNE QUI ENCADRE NOS PRO- TITUTS DE LA RATION JOURNALIÒRE CONSERVENT UN CADRE SPÏCIDUITS NOUS NOUS SOMMES MOBILISÏS CETTE lQUE ,ES SUBSTITUTS DE REPAS SERONT QUANT Ì EUX COUVERTS ANNÏE ENCORE AUX CÙTÏS DE NOTRE ASSOCIA- PAR LA RÏGLEMENTATION GÏNÏRALE AVEC UN AMÏNAGETION EUROPÏENNE ,A GRANDE IMPLICATION DE 0HILIPPE MENT AUTORISANT DEUX ALLÏGATIONS i PERTE DE POIDS w ET ,A $ROITTE EN TANT QUE 0RÏSIDENT DU GROUPE DE TRAVAIL i STABILISATION DU POIDS w i PRODUITS POUR SPORTIFS w ET DE $OMINIQUE 0ÏRIN #ALVAO

EN TANT QUE PRÏSIDENT DU GROUPE DE TRAVAIL i PRODUITS ALIMENTS SANS GLUTEN MINCEUR w A PERMIS D ANTICIPER AU MIEUX LES CHANGEMENTS ,ES TRAVAUX MENÏS AVEC 3.% ONT PERMIS D OBTENIR QUE RÏGLEMENTAIRES Ì VENIR $E NOMBREUX ÏCHANGES AVEC L %3- LES PRODUITS SPÏCIlQUEMENT FORMULÏS SANS GLUTEN SOIENT 3.! %UROPEAN 3PECIALIST 3PORTS .UTRITION !LLIANCE ET DIFFÏRENCIÏS DES PRODUITS NATURELLEMENT SANS GLUTEN

L 5.%3$! !SSOCIATION %UROPÏENNE DES &ABRICANTS DE GRÊCE Ì L ALLÏGATION i SPÏCIALEMENT FORMULÏ POUR LES 3ODA SONT VENUS RENFORCER NOS ACTIONS COMMUNES MALADES C LIAQUES INTOLÏRANTS AU GLUTEN w

D

52

ALIMENTS POUR SPORTIFS !lN D INFORMER LE SPORTIF DE L ÏCLAIRER DANS SES CHOIX !lN D INFORMER LE SPORTIF DE L ÏCLAIRER DANS SES CHOIX ET DE LE RASSURER SUR L ABSENCE DE SUBSTANCES DOPANTES ET DE LE RASSURER SUR L ABSENCE DE SUBSTANCES DOPANTES DANS LES PRODUITS CEUX CI DOIVENT BÏNÏlCIER D UN ENCADREMENT SPÏCIlQUE AU NIVEAU EUROPÏEN ,A #OMMISSION EUROPÏENNE DOIT SE PRONONCER AVANT LA lN DE L ANNÏE SUR L OPPORTUNITÏ D APPLIQUER UN CADRE SPÏCIlQUE AUX ALIMENTS POUR SPORTIFS .OS ENTREPRISES SPÏCIlQUE AUX ALIMENTS POUR SPORTIFS .OS ENTREPRISES SONT MOBILISÏES AUX CÙTÏS DE 3.% POUR ASSURER QUE LA TRANSITION RÏGLEMENTAIRE NE SE FERA PAS AU DÏTRIMENT TRANSITION RÏGLEMENTAIRE NE SE FERA PAS AU DÏTRIMENT DE L INFORMATION DU CONSOMMATEUR NI SANS RECONNAISSANCE DES BESOINS DES GRANDS SPORTIFS

SENSIBILISATION ET COMMUNICATION $U FAIT DE LA RÏVISION RÏGLEMENTAIRE MENÏE PAR LA LA #OMMISSION %UROPÏENNE DANS LE CADRE DE SA POLITIQUE DE i BETTER REGULATION w LE 3ECTEUR DE LA $IÏTÏTIQUE DE i BETTER REGULATION w LE 3ECTEUR DE LA $IÏTÏTIQUE A MENÏ DIVERSES ACTIONS DE SENSIBILISATION DES POUVOIRS PUBLICS FRAN AIS ET EUROPÏENS %N PARALLÒLE DES ACTIONS DE COMMUNICATION DESTINÏES AU GRAND PUBLIC

ONT VU LE JOUR DÒS TELLES QU UNE REVUE SUR LA NUTRITION DU SPORTIF ET L ORGANISATION D UN ATELIER POUR LA PRESSE SPÏCIALISÏE PRESSE SPÏCIALISÏE

MARCHÉ 2015 DE LA DIÉTÉTIQUE EN FRANCE LE MARCHÉ DE LA DIÉTÉTIQUE

TOTAL VENTE GRANDE DISTRIBUTION FRANCE

(en valeur)

300

2%

MILLIONS € (110 386 milliers d’unités)

Diététique minceur

Diététique de l’effort

24%

3OURCE )2) (YPERMARCHÏS 3UPERMARCHÏS M

INTERVIEW

Diététique

73% quotidienne

Quel bilan tirez-vous de 2015 ? $ANS UN CONTEXTE DE TRANSITION RÏL INSTAR GLEMENTAIRE A ÏTÏ Ì L INSTAR DE L ANNÏE UNE ANNÏE CHARNIÒRE POUR LA PROFESSION 0LUS QUE QUE JAMAIS NOUS SOUHAITONS AFlRMER AFlRMER NOTRE ENGAGEMENT Ì BIEN NOURRIR LES PERSONNES AYANT DES BESOINS NUTRITIONNELS SPÏCIlQUES #ES POPULATIONS SONT HÏTÏROGÒNES #ES POPULATIONS SONT HÏTÏROGÒNES %JEJFS 4VCFSCJFMMF PUISQU ELLES REPRÏSENTENT NOTAMPrésident AU MENT LES INTOLÏRANTS AU PRODUITS GLUTEN OU MALADES C LIAQUES GRÊCE AUX PRODUITS SPÏCIALEMENT FORMULÏS POUR ÐTRE EXEMPTS DE GLUTEN SPORTIFS )L EN VA DE MÐME POUR LES MILLIONS DE SPORTIFS FRAN AIS AVEC DES PRODUITS CALIBRÏS POUR RÏPONDRE Ì LEURS BESOINS NUTRITIONNELS AVANT PENDANT ET APRÒS L EFFORT ET LEUR GARANTISSANT L ABSENCE DE SUBSTANCES DOPANTES . OUBLIONS PAS NON PLUS LES MILLIONS DE NOUS PERSONNES SOUHAITANT PERDRE DU POIDS Ì QUI NOUS PROPOSONS LES SEULS PRODUITS DONT L INTÏRÐT DANS LA PERTE DE POIDS A ÏTÏ VALIDÏ PAR L %&3! OU !%3! !UTORITÏ EUROPÏENNE DE SÏCURITÏ DES ALIMENTS TORITÏ EUROPÏENNE DE SÏCURITÏ DES ALIMENTS 53

ENTRE PRISES RISE adhérentes "35&/": #"34 t %)$ /653*5*0/ t %*&5& 41035 '3"/$& '3"/$& %*453*#03( (3061& t &7&/ 4"/5& */%6453*& t )&3#"-*'& %*453*#03( (3061& t &7&/ 4"/5& */%6453*& t )&3#"-*'& */5&3/"5*0/"- '3"/$& t */&-%&" t */,0 '3"/$& t */46%*&5 t +-# %&7&-011&.&/5 t ,05 */5&3/"5*0/"- t -"#03"50*3&4 +67" 4"/5& t -"$5"-*4 /653*5*0/ %*&5&5*26& %*&5&5*26& -"*5&3*& %& 4"*/5 %&/*4 %& - )05&- t .0/#"/" t /"563&/7*& t /- */5&3/"5*0/"- '3"/$& t /653*#*0 t /653*5*0/ 4"/5& t 1*-&+& t 130 %*&5*$ t 130"-*. t 1305&*/ 53*5*0/ 4"/5& t 1*-&+& t 130 %*&5*$ t 130"-*. t 1305&*/ 4:45&. 4" t 1:$ -"#03"50*3& t 401"%*&5 4:45&. 4" t 1:$ -"#03"50*3& t 401"%*&5

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

SECTEUR

NU TRITION CLINIQUE CARTE D’IDENTITÉ Président Michel Bégaud (Fresenius Kabi France) Secrétaire Générale Elodie Sebag

Nutrition N Nutr Nu trit itio ionn Clin Cl Clinique iniq ique quee

L’ANNÉE 2015 A ÉTÉ POUR LES PROFESSIONNELS DE LA NUTRITION CLINIQUE CELLE DE LA MOBILISATION, AVEC EN LIGNE DE MIRE LE LANCEMENT D’UN DÉFI DE TAILLE : FAIRE CHANGER LE REGARD DES RESPONSABLES POLITIQUES ET DU GRAND PUBLIC SUR LA DÉNUTRITION.

FAIRE RECONNAÎTRE LE CARACTÈRE INCONTOURNABLE DE LA NUTRITION CLINIQUE DANS LA LUTTE CONTRE LA DÉNUTRITION

,ES ENTREPRISES DE LA .UTRITION CLINIQUE ONT ÏGALEMENT PRIS LA PAROLE Ì L OCCASION DU PROJET DE LOI RELATIF Ì LA SANTÏ

NOUVELLEMENT BAPTISÏ i PROJET DE LOI DE MODERNISATION DE NOTRE SYSTÒME DE SANTÏ w ,A DÏNUTRITION EST UN mÏAU MAL CONNU QUI DOIT DEVENIR UNE VÏRITABLE PRIORITÏ DE SANTÏ PUBLIQUE AVEC LES MESURES APPROPRIÏES DE DÏPISTAGE DES FRAGILITÏS DE PRÏVENTION AUPRÒS DES PERSONNES ÊGÏES ET DE A CRÏATION DU #OMITÏ DE lLIÒRE SILVER ÏCONOMIE LEURS AIDANTS ET DE PRISE EN CHARGE PAR LES PERSONNELS SOIA CRÏÏ UN TERRAIN FAVORABLE AU SUJET DU BIEN ÐTRE GNANTS DES PERSONNES ÊGÏES DONT L ALIMENTATION EST UNE COMPOSANTE ESSENTIELLE ,E PROJET DE LOI RELATIF Ì SENSIBILISER L’OPINION PUBLIQUE L ADAPTATION DE LA SOCIÏTÏ AU VIEILLISSEMENT A ÏTÏ L OCCASION ,ES ENTREPRISES DE LA .UTRITION CLINIQUE SONT CONVAINCUES DE MULTIPLIER LES RENCONTRES AVEC LES POUVOIRS PUBLICS POUR QU UNE MEILLEURE INFORMATION DE LA POPULATION EST NÏCESFAIRE PRENDRE CONSCIENCE DE L INTÏRÐT D UN MEILLEUR SUIVI SAIRE POUR ROMPRE AVEC LES IDÏES RE UES SUR LA DÏNUTRITION NUTRITIONNEL CHEZ LES PERSONNES ÊGÏES EN PARTICULIER POUR DES PERSONNES ÊGÏES OU DES MALADES 5N ATELIER RÏUNISSANT PRÏVENIR LA DÏNUTRITION ET SI BESOIN LA PRENDRE EN CHARGE DE DES EXPERTS DE LA DÏNUTRITION MEMBRES DE LA 3&.%0 3OCIÏTÏ &RANCOPHONE .UTRITION #LINIQUE ET -ÏTABOLISME MANIÒRE ADÏQUATE

L

54

ET LA PRESSE A ÏTÏ ORGANISÏ EN FÏVRIER AlN DE MIEUX FAIRE COMPRENDRE LES CAUSES DE LA DÏNUTRITION SES CONSÏQUENCES ET LES MOYENS D Y FAIRE FACE )L S AGIT D UN PROBLÒME SOCIÏTAL Oá L ALIMENTATION N EST PAS SEULE EN CAUSE , ISOLEMENT LE MANQUE D ACTIVITÏ PHYSIQUE SONT AUTANT DE FACTEURS Ì PRENDRE EN COMPTE DANS LE TRAITEMENT DE LA DÏNUTRITION %N PARALLÒLE DE CETTE ACTION UNE NEWSLETTER A ÏTÏ ADRESSÏE Ì DES MÏDECINS GÏNÏRALISTES #E PUBLIC RESTE EN EFFET INSUFlSAMMENT INFORMÏ SUR LA DÏNUTRITION ET A TRÒS BIEN ACCUEILLI L INITIATIVE

UN GROUPE DE TRAVAIL SUR L’ALIMENTATION EN MILIEU HOSPITALIER ,E 3YNDICAT A PARTICIPÏ AUX RÏUNIONS ORGANISÏES PAR LE #ONSEIL .ATIONAL DE L !LIMENTATION SUR L ALIMENTATION EN MILIEU HOSPITALIER #ES TRAVAUX ONT NOTAMMENT PERMIS AUX %NTREPRISES DE LA .UTRITION #LINIQUE DE PRÏSENTER LE RÙLE ET L INTÏRÐT DES PRODUITS DE NUTRITION CLINIQUE

UNE RÉVISION RÉGLEMENTAIRE BIENTÔT ACHEVÉE POUR LES ADFMS

UNE ÉTUDE MÉDICO-ÉCONOMIQUE POUR ÉVALUER LE COÛT DE LA DÉNUTRITION A VU SE CLÙTURER LE RECRUTEMENT DE PATIENTS Ì L OCCASION DU LANCEMENT D UNE ÏTUDE MÏDICO ÏCONOMIQUE AMBITIEUSE 3ON OBJECTIF EST DE COMPARER LE COßT POUR LE SYSTÒME DE SANTÏ D UNE PERSONNE DÏNUTRIE AYANT RECOURS AUX PRODUITS DE NUTRITION CLINIQUE Ì L INVERSE D UNE AUTRE QUI N EN PREND PAS ,ES RÏSULTATS DE CETTE ÏTUDE SONT ATTENDUS POUR

,A #OMMISSION EUROPÏENNE A ENGAGÏ DEPUIS UN IMPORTANT TRAVAIL DE RÏVISION DE LA RÏGLEMENTATION ENCADRANT LES PRODUITS LA NUTRITION SPÏCIALISÏE VIA LE RÒGLEMENT 5% 5N NOUVEAU TEXTE SPÏCIlQUE AUX ALIMENTS DESTINÏS Ì DES lNS MÏDICALES !$&-3 A ÏTÏ ADOPTÏ POUR APPLICATION EN ,ES ENTREPRISES POURSUIVENT LEUR DIALOGUE AVEC LES AUTORITÏS EUROPÏENNES ET FRAN AISES POUR ACHEVER CETTE TRANSITION RÏGLEMENTAIRE

MARCHÉ 2015 DE LA NUTRITION

EN FRANCE

3/4 DES VENTES SE FONT EN VILLE (PHARMACIES, SOCIETES DE MAINTIEN À DOMICILE…) 1/4 DES VENTES SE FONT À L’HÔPITAL (HÔPITAUX, CLINIQUES MAISONS DE RETRAITE…)

adhérentes

TOTAL VENTE DES ENTREPRISES DU SECTEUR1 : 297 MILLIONS € (51 848 tonnes)

&7&/ 4"/5& */%6453*& t '3&4&/*64 ,"#* '3"/$& t -"#03"50*3&4 (*-#&35 t -"$5"-*4 /653*5*0/ 4"/5² t .&"% +0)/40/ /653*5*0/ t /&45-& )&"-5) 4$*&/$& '3"/$& t /653*$*" /653*5*0/ $-*/*26& t 130"-*.

3OURCE ,ES %NTREPRISES DE LA .UTRITION #LINIQUE

INTERVIEW Quel bilan tirez-vous de 2015 ? , ANNÏE MARQUÏE PAR PLUSIEURS INITIATIVES GOUVERNEMENTALES MAJEURES DANS LE DOMAINE DE LA SANTÏ ET DU VIEILLISSEMENT NOUS A DONNÏ L OPPORTUNITÏ DE NOUS INTERROGER SUR L ÏVOLUTION DE LA PERCEPTION DE NOS PRODUITS !LORS QUE LA SPHÒRE PUBLIQUE TEND Ì FAIRE SIENNES LES QUESTIONS LIÏES Ì LA MA.JDIFM #ÏHBVE LADIE ET Ì LA lN DE VIE NOUS CONSTAPrésident TONS QUE LA DÏNUTRITION QUI TOUCHE PRÒS DE MILLIONS DE PERSONNES EN &RANCE ET ENTRE ET DES PERSONNES ÊGÏES RESTE LA GRANDE OUBLIÏE 55

DES POLITIQUES DE SANTÏ PUBLIQUE /R SONT OUBLIÏES

AVEC ELLE LES SOLUTIONS QUI EXISTENT POUR ACCOMPAGNER LE PATIENT DU POINT DE VUE NUTRITIONNEL .OS ENTREPRISES ONT RETIRÏ DE CETTE ANNÏE DE RÏmEXION L IDÏE QU IL Y A URGENCE Ì AGIR EN S ASSURANT QUE LA RÏVISION DE LA RÏGLEMENTATION EUROPÏENNE GARANTISSE LA PRISE EN COMPTE DE CEUX QUI ONT DES BESOINS MÏDICAUX SPÏCIlQUES EN SAUVEGARDANT L ACCÒS DES PATIENTS Ì DES PRODUITS REMBOURSÏS SANS IMPACT PRÏJUDICIABLE AU SYSTÒME DE SANTÏ EN NOUS MOBILISANT POUR QUE TOUTES LES PARTIES PRENANTES AU DÏBAT PUBLIC PRENNENT CONSCIENCE QUE LA LUTTE CONTRE LA DÏNUTRITION DOIT DEVENIR UN RÏmEXE COMMUN AUX PATIENTS Ì LEUR ENTOURAGE COMME AUX PROFESSIONNELS DE SANTÏ

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 L’ALLIANCE 7

CHIFFRES CLÉS 2015

Nombre Chiffre d’affaires Chiffres d’affaires Effectif au 31 Production d’Entreprises France Exportations décembre française (milliers de tonnes) (milliards d’Euros) (milliards d’Euros) industrielles (a) (b) (c) (d) (a) CHOCOLAT finis 91 CHOCOLAT semi finis

442,1

2,349

1,021

434,1

0,972

0,950

14 782

(1)

CONFISERIE

83

6 870

185,3

1,675

0,185

MIELS

13

455

NC

0,145

0,026

BISCUITS & GATEAUX

100

12 533

460,6

2,466

0,751

DESSERTS A PREPARER & TAPIOCA

17

2 205

44,2

0,118

0,021

CEREALES DU PETIT DEJEUNER

14

2 853

211,6

0,538

0,228

15

2 587

278,2

0,805

0,051 (4)

APERITIFS A CROQUER

26

2 048

67,5

0,306

0,172

CAFE - TORREFIE & SOLUBLE (5)

38

3 400

168,7

2,329

0,812

NUTRITION SPECIALISEE (6)

53

8 005

NC

1,549 (7)

0,702 (8)

L’ALLIANCE 7

379

48 312

2 191,4

13,252

4,919

PANIFICATION

(3)

Chiffre d’affaires total (France + Export) = 18,171 milliards d’euros

-ARCHÏ " TO " ,ES PRODUITS SEMI lNIS SONT NOTAMMENT UTILISÏS PAR D AUTRES INDUSTRIES BISCUITS GLACES CÏRÏALES DESSERTS x

9 COMPRIS VIENNOISERIE

0ANIlCATION SÒCHE ET MOELLEUSE

5NIQUEMENT PANIlCATION SÒCHE

³VALUÏ EN ÏQUIVALENT iCAFÏ VERTw

!LIMENTS DE L %NFANCE $IÏTÏTIQUE ET .UTRITION #LINIQUE

$IÏTÏTIQUE SOURCE )2) VENTES EN '-3 UNIQUEMENT

5NIQUEMENT ,AITS INFANTILES DOUANES

A #ONSOLIDATION UNE ENTREPRISE QUI EXERCE PLUSIEURS ACTIVITÏS N EST COMPTÏE QU UNE FOIS B &ABRICATION DES ENTREPRISES ENQUÐTÏES MARCHÏ &RANCE EXPORTATION C &ABRICATION DES ENTREPRISES ENQUÐTÏES EXPORTATIONS IMPORTATION DES $OUANES #! SORTIE USINE A B C %NQUÐTE SUR PÏRIMÐTRE ÏLARGI PAR L ).3%% A PARTIR DE D 3OURCE DOUANES FRAN AISES

56

CARTE DES EMPLOIS DE NOS ENTREPRISES

Haut-de-France

Normandie

Île-de-France

Alsace-Lorraine Champagne-Ardennes

Bretagne

Pays-de-la-Loire

Centre Val de Loire

Bourgogne Franche-Comté

Auvergne Rhône-Alpes

Aquitaine-Poitou Charentes-Limousin

Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon

0RODUCTION EN TONNES* %FFECTIFS .OMBRE D ÏTABLISSEMENTS

(Autres Corse et TOM : 1 334 tonnes, effectif = 203, nb d’Ets = 5) * Fabrication des entreprises enquêtées Source : enquête auprès des adhérents et des non adhérents 57

Provence-Alpes Côte d’Azur

NOTRE

ORGANISATION 58

ORGANIGRAMME

60

INSTANCE ET ASSOCIATIONS EUROPÉENNES

62

ALLIANCE 7 SERVICES

59

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

ORGANIGRAMME 2016 UNE ÉQUIPE À VOTRE SERVICE

DIRECTION GÉNÉRALE & SERVICES SUPPORTS

RELATIONS ADHÉRENTS

Magali Bocquet Florence Pradier

Céline Fajeau

Fabien Castanier

Peggy Benoit

Gérard Boizard

Sylvie Beretta

Christina Salas

Anne-Marie Cuillier

Fabien CASTANIER Directeur Secrétaire général des Fabricants de Biscuits et Gâteaux de France Secrétaire général du Syndicat de la Panification croustillante et moelleuse 01.44.77.85.51 - fcastanier@alliance7.com

Elisabeth Gacôgne

Peggy BENOIT Responsable adhérents & performance syndicale 01.44.77.85.84 - pbenoit@alliance7.com

Amara Diallo

Florence PRADIER Directrice Générale, Secrétaire générale du Syndicat de la Confiserie 01 44 77 85 78 - fpradier@alliance7.com

Christina SALAS Chargée de relations adhérents & performance syndicale 01.44.77.85.73 - csalas@alliance7.com

Céline FAJEAU Attachée de direction chargée des services généraux 01.44.77.85.78 - cfajeau@alliance7.com

Anne-Marie CUILLIER Responsable adhérents & administration du personnel 01.44.77.85.33 - amcuillier@alliance7.com

Magali BOCQUET Directrice des projets, Secrétaire générale du Syndicat de la Nutrition spécialisée, Secrétaire générale du Secteur des Aliments de l’enfance 01.44.77.85.72 - mbocquet@alliance7.com Gérard BOIZARD Directeur financier 01.44.77.85.46 - gboizard@alliance7.com Sylvie BERETTA Comptable 01.44.77.85.47 - sberetta@alliance7.com Elisabeth GACÔGNE Hôtesse d’accueil 01.44.77.85.85 - standard@alliance7.com Amara DIALLO Employé administratif 01.44.77.85.59 - adiallo@alliance7.com 60

RÉPUTATION & INFLUENCE

AFFAIRES SOCIALES & FORMATION

Audrey Dufour

Magali Lafleur

Marie-Thérèse Berling

Pascale Biasotto

Hélène Fraysse

Nathalie Tortora

Carole Tissier

Philippe Brunet

Geneviève Brahmy

Aline Lignoux

Audrey DUFOUR Directrice communication et réputation Secrétaire générale du Syndicat des Céréales du Petit Déjeuner 01.44.77.85.56 - adufour@alliance7.com

Marie-Thérèse BERLING Directrice 01.44.77.85.50 - mberling@alliance7.com

Magali LAFLEUR Responsable communication et réputation

Hélène FRAYSSE Chargée d’affaires sociales

01.44.77.85.42 - mlafleur@alliance7.com

Philippe BRUNET Responsable de l’ingénierie formation 01.44.77.85.80 - pbrunet@alliance7.com

Carole TISSIER Responsable veille et gestion de l’information

01.44.77.85.54 - ctissier@alliance7.com Nathalie TORTORA Chargée de communication et information grand public

01.44.77.85.36 - ntortora@alliance7.com

Pascale BIASOTTO Responsable des relations sociales

01.44.77.85.34 - pbiasotto@alliance7.com 01.44.77.85.87 - hfraysse@alliance7.com

Geneviève BRAHMY Responsable administrative formation

01.44.77.85.60 - gbrahmy@alliance7.com Aline LIGNOUX Conseillère formation

01.44.77.85.32- alignoux@alliance7.com

INFLUENCE

Thierry Marchal-Beck

RÉGLEMENTATION & QUALITÉ DES PRODUITS

Laure Laroche

Thierry MARCHAL-BECK Responsable affaires publiques Secrétaire général du Syndicat du Chocolat

Elodie Sebag

Virginie Freslon

Manon Vuong

Julie Avrillier

Laure Chauveau

01.44.77.85.30 - tmarchalbeck@alliance7.com Laure LAROCHE Chargée de missions affaires publiques Secrétaire générale du Secteur Diétetique

01.75.00.01.59 - llaroche@alliance7.com

ÉCONOMIE MARCHÉS & FILIÈRES Elodie SEBAG Directrice Secrétaire générale du Syndicat du Café Secrétaire générale du Secteur Nutrition Clinique 01.44.77.85.31 - esebag@alliance7.com Virginie FRESLON Responsable sécurité des aliments, Secrétaire générale du Syndicat Français des Miels

Nelly Bonnet

Catheirne Gentric

Nelly BONNET Responsable Marchés & Filières, Secrétaire générale du Syndicat des Apéritifs à croquer

01.44.77.85.57 - nbonnet@alliance7.com Catherine GENTRIC Chargée d’études statistiques (50%)

01.44.77.85.55 - cgentric@alliance7.com

01.44.77.85.40 - vfreslon@alliance7.com Laure CHAUVEAU Responsable des affaires réglementaires

01.75.00.01.58 - lchauveau@alliance7.com Manon VUONG Responsable nutrition 01.44.77.85.52 - mvuong@alliance7.com Julie AVRILLIER Chargée nutrition et règlementation pour la nutrition spécialisée 01.44.77.85.39 - javrillier@alliance7.com 61

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

NOS INSTANCES ORGANIGRAMME DES INSTANCES DE L’ALLIANCE 7

INSTANCES DIRIGEANTES CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’ALLIANCE 7

CONSEIL D’ADMINISTRATION DES 9 PROFESSIONS

BUREAU PRÉSIDENT, PRÉSIDENTS DES COMMISSIONS PRÉSIDENTS DES COMITÉS DE PILOTAGES

COMITÉS DE PILOTAGE STRATÉGIQUES COPIL PME Président : C.A. de Fourgeroux Pilote A7 : M.T. Berling

COPIL PERFORMANCE SYNDICALE & ETHIQUE Président : J. Torchia Pilote A7 : F. Castanier

COPIL POLITIQUE ALIMENTAIRE Président : F. Rouilly Pilote A7 : E. Sebag

COPIL CROISSANCE Président : M. Auclair Pilote A7 : F. Pradier

COPIL SOCIAL & FORMATION Président Pilote A7 : MT. Berling

COPIL RÉPUTATION & INFLUENCE Président : S. Berghe Pilote A7 : A. Dufour

COMMISSIONS ET GROUPES DE TRAVAIL COMMISSION QUALITÉ VICE PRÉSIDENTS: S. Chartron I. Schaller H. Lafforgue RAPPORTEUR: E. Sebag

COMMISSION MATIÈRES PREMIÈRES PRÉSIDENT: A. Germiquet RAPPORTEUR: N. Bonnet

GT SÉCURITÉ DES ALIMENTS H. Lafforgue RAPPORTEUR: V. Freslon

GT RÉGLEMENTATION I. Schaller RAPPORTEUR: L. Chauveau

COMMISSION SOCIALE MUTUALISÉE 5 BRANCHES FEDALIM LEVURE SFIG PRÉSIDENT: J. Rassat RAPPORTEUR: MT. Berling

GT NUTRITION S. Chartron RAPPORTEUR: M. Vuong

GT AD HOC

62

GT COMMUNICATION DES 9 PROFESSIONS PILOTES : A. Dufour/M. Lafleur

NOS ASSOCIATIONS EUROPÉENNES ASSOCIATIONS EUROPÉENNES DONT SONT MEMBRES LES SYNDICATS DE L’ALLIANCE 7

ICE N U EF ED M

A N IA

MIELS

CONFISERIE

FDE

ISDI

SN E

NUTRITION SPÉCIALISÉE PANIFICATION CROUTILLANTE ET MOELLEUSE

APÉRITIFS À CROQUER, DESSERTS ET TAPIOCA CÉRÉALES DU PETIT DÉJEUNER

CAFÉ

FD E

E

SA

ICA

BISCUITS ET GÂTEAUX

CAOB ISCO

FEED M

CHOCOLATERIE

CE E R EA L

ASSOCIATIONS NATIONALES

ANIA CAOBISCO

CEEREAL

ASSOCIATIONS EUROPÉENNES

ASSOCIATION NATIONALE DES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ASSOCIATION EUROPÉENNE DES INDUSTRIES DE LA CHOCOLATERIE, BISCUITERIE-BISCOTTERIE ET CONFISERIE ASSOCIATION EUROPÉENNE DES CÉRÉALES DU PETIT DÉJEUNER

ECF

ASSOCIATIONS INTERNATIONALES

ECF ESA FDE FEEDM ICA ISDI

EUROPEAN COFFEE FEDERATION EUROPEAN SNACKS ASSOCIATION FOOD DRINK EUROPE FÉDÉRATION EUROPÉENES DES EMBALLEURS ET DISTRIBUTEURS DE MIEL INTERNATIONAL CONFECTIONERY ASSOCIATION FÉDÉRATION INTERNATIONALE DES INDUSTRIES DES ALIMENTS DIÉTÉTIQUES (INCLUANT LES ALIMENTS DE L’ENFANCE.)

63

MEDEF SNE UNICE

MOUVEMENT DES ENTREPRISES DE FRANCE SPECIALISED NUTRITION EUROPE UNION DES INDUSTRIES DE LA COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DE L’ALLIANCE 7

ALLIANCE 7 SERVICES L’ORGANISME DE FORMATION CRÉÉ PAR VOS SYNDICATS

UNE ÉQUIPE DÉDIÉE AU SERVICE DE VOS PROJETS FORMATION. DU CLÉ EN MAIN AU PROGRAMME INDIVIDUALISÉ. UNE OFFRE RÉNOVÉE, FLEXIBLE ET CAPITALISABLE.

LES +

GAGNEZ EN COMPÉTITIVITÉ, SÉCURISEZ LES PARCOURS PROFESSIONNELS ET PÉRENNISEZ LES SAVOIR-FAIRE DE VOS SALARIÉS GRÂCE À :

D’ALLIANCE 7 SERVICES ACCÉDER À UNE OFFRE DE FORMATION CERTIlÏE PAR LA BRANCHE PROFESSIONNELLE

Des formations sur les métiers DE LA CHOCOLATERIE

LA CONlSERIE LA BISCUITERIE PÊTISSERIE LA PANIlCATION avec des formats à la carte

CAPITALISER SUR DES FORMATIONS MÉTIERS RECONNUES PAR UN GRAND NOMBRE D ENTREPRISES DE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE DEPUIS PLUS DE ANS

Des formations qualifiantes avec les Certificats de Qualification Professionnelle (CQP) POUR RECONNAITRE DES COMPÏTENCES ET GARANTIR LEUR ÏVOLUTION

CRÉER DE LA VALEUR EN DÉVELOPPANT LA COMPÏTENCE ET AUTONOMIE DE VOS ÏQUIPES SE PROFESSIONNALISER ENTRE PAIRS, AUPRÒS DE NOTRE ÏQUIPE DE FORMATEURS ET CONSULTANTS EXPERTS DANS LES DOMAINES TRAITÏS

Des formations aux différents secteurs, DANS LE DOMAINE DE L HYGIÒNE ET SÏCURITÏ DES ALIMENTS LA QUALITÏ LA RÒGLEMENTATION ALIMENTAIRE LE MANAGEMENT ET LA COMMUNICATION

METTRE À DISPOSITION DES OUTILS PÉDAGOGIQUES DE RÉFÉRENCE SUR LES MÏTIERS

LES CHIFFRES 2015 DE NOTRE ACTIVITÉ FORMATION :

345 100

16

ENSEMBLE

JOURS DE FORMATION ORGANISÉS POUR LES ENTREPRISES (INTER

Nous analysons votre demande, ÏLABORONS UN PROJET DE FORMATION SUR MESURE ET RÏALISONS LE DÏPLOIEMENT OPÏRATIONNEL

et INTRA) dont une dizaine de salariés formés par session

Nous adaptons toutes nos formations EN ).42!

AVEC MISE EN PLACE DE TRAVAUX PRATIQUES SUR LIGNE OU EN LABORATOIRE

ENTREPRISES AYANT PARTICIPÉES À DES ACTIONS DE FORMATION

Nous vous conseillons DANS LE CHOIX DES DISPOSITIFS ET DES lNANCEMENTS Nous vous accompagnons DE L IDENTIlCATION DU BESOIN Ì LA DÏLIVRANCE DU #ERTIlCAT DE 1UALIlCATION 0ROFESSIONNELLE #10 #10 OU TOUTE AUTRE FORMATION CERTIlANTE

FORMATEURS AU SERVICE DES ADHÉRENTS DE L’ ALLIANCE 7

LES MESURES PHARES DE LA RÉFORME DE LA FORMATION

,A CONTRIBUTION DEVIENT UNIQUE DE Ì SELON LA TAILLE DE L ENTREPRISE ,E #0& COMPTE PERSONNEL DE FORMATION SE SUBSTITUE AU $)& DROIT INDIVIDUEL DE FORMATION #ES DROITS SUIVRONT LE BÏNÏlCIAIRE TOUT AU LONG DE SA VIE ACTIVE MÐME EN CAS DE CHANGEMENT D EMPLOI OU DE PÏRIODE DE CHÙMAGE 3ONT ÏLIGIBLES LES FORMATIONS QUALIlANTES 5N ENTRETIEN PROFESSIONNEL OBLIGATOIRE TOUS LES ANS 5N CONSEIL EN ÏVOLUTION PROFESSIONNELLE CHARGÏ D ACCOMPAGNER LES SALARIÏS DANS L ÏLABORATION D UN PROJET PROFESSIONNEL ET D IDENTIlER LEURS APTITUDES ET COMPÏTENCES 64