n u m é r o
120 AVRIL 2014
DÉFIS MONDIAUX : Matières premières
GÉOGRAPHIES : Inde
• Commerce inéquitable :
• L’Inde contemporaine
le roman noir des matières premières
Appui à la gestion des connaissances (AGC) Département de la Recherche Direction de la Stratégie 5, rue Roland Barthes 75012 Paris / France www.afd.fr
• Droit, économie et
marchés de matières premières agricoles
• La financiarisation des matières premières
DÉBATS SUR L’AIDE
A NE PAS MANQUER
• Le monde peut-il nourrir
• Les pays en développement
• From poverty to
tout le monde ? Sécuriser l’alimentation de la planète
• Le nouveau modèle empowerment : India’s coopératif dans l’espace imperative for jobs, growth, OHADA : un outil pour la and effective basic services professionnalisation des organisations paysannes ? • L’Inde et sa projection comme puissance globale • Les défis du du XXIe siècle développement après
à l’ère de l’e-learning
• Méthodologie GAIN :
diagnostic et conception des processus de changement au sein des organisations de producteurs
• Dynamiques foncières,
2015 : quelles implications pour l’aide publique au développement ?
investissements et modèles de production pour l’irrigation en Afrique de l’Ouest
E V E N E M E N T
“
Journée mondiale contre le paludisme ONU/OMS 25 avril 2014
“
http://www.who.int/campaigns/malariaday/2013/fr/
© IRD - Valérie Briand
5 - 11 avril 2014
L
a journée mondiale de lutte contre le paludisme est célébrée chaque année le 25 avril. Le thème adopté pour 2013 et les années suivantes est : « Investir dans l’avenir, vaincre le paludisme ». Cette journée a été instituée par les États membres de l’OMS lors de l’Assemblée mondiale de la Santé de 2007. Elle est l’occasion de rappeler que la prévention du paludisme et la lutte contre cette maladie nécessitent un investissement sur la durée et un engagement politique sans cesse renouvelé. C’est aussi une opportunité pour les nouveaux donateurs de rejoindre le partenariat mondial contre le paludisme.
28 avril 2014
7e Forum Urbain Mondial ONU Habitat, Medellin (Colombie)
Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail 2014
7 avril 2014
28 - 29 avril 2014
Journée mondiale de la santé ONU/OMS 7 avril 2014
Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda UNESCO - Paris (France) 10 Avril 2014
Conférence « L’eau abordable pour tous dans les pays en développement : Quelle réalité ? Quels résultats ? » Collège des Bernardins - Paris 5 (France) 11 - 13 avril 2014
Réunions de printemps du Fonds Monétaire International et du Groupe de la Banque Mondiale Washington (Etats-Unis) 22 avril 2014
Journée internationale de la terre nourricière - ONU
La justice globale, l’éradication de la pauvreté et le Programme de développement pour l’après-2015 UNESCO - Paris (France) 2 - 5 mai 2014
47th Annual Meeting of the Asian Development Bank ADB - Astana (Kazakhstan) 4 - 8 mai 2014
3e conférence internationale sur la résilience des systèmes écologiques et sociaux - CIRAD, CNRS, IRSTEA Montpellier (France) 5 - 6 mai 2014
Forum de l’OCDE 2014 OCDE - Paris (France)
Matières premières L’ouvrage Commerce inéquitable : le roman noir des matières premières BORIS, J.-P., FAYARD, 2013, 188 p Cote C3.011
L
a croissance mondiale ne profite pas à tout le monde. De la Côte-d’Ivoire au Guatemala, du Vietnam au Brésil, les paysans ne luttent pas à armes égales avec les multinationales qui leur achètent leur production pour alimenter les rayons de nos supermarchés. Cacao, café, coton, riz, poivre sont devenus des ingrédients si anodins de nos vies quotidiennes que nous en venons à oublier les circuits commerciaux qui les ont amenés sur nos étagères, Oubliée aussi l’importance économique et donc politique de ces denrées pour les pays qui les produisent et n’ont souvent guère d’autres richesses. Jean-Pierre Boris nous entraîne à la manière d’un romancier sur les traces de ces matières premières, des champs des paysans aux bureaux des grands patrons, en passant par les écrans des traders, pour illustrer les enjeux de la mondialisation. L’Afrique peut-elle profiter de l’ouverture des marchés pour amorcer son décollage économique ? Comment les agriculteurs latino-américains résisteront-ils au choc des réformes libérales ? Le commerce équitable est-il une solution ou un alibi commode pour des consommateurs et des décideurs en panne d’idées et de volonté politique ?
© IRD - Marie-Noëlle Favier
rapport LeLe RAPPORT WEB
L’ARTICLE
Droit, économie et marchés de matières premières agricoles
La financiarisation des matières premières
COLLART DUTILLEUL, F., LE DOLLEY, E., LGDJ, 2013, 300 p
BICCHETTI, D., MAYSTRE, N., LA DOCUMENTATION FRANCAISE, PROBLEMES ECONOMIQUES n° 3067, Mai 2013, p. 46-50
L
a spéculation sur les matières premières agricoles constitue aujourd’hui un thème à la fois méconnu et d’une actualité brûlante. Si les denrées alimentaires sont des biens essentiels à l’alimentation humaine, leur accessibilité dépend en partie du prix auquel elles sont échangées sur les marchés. À ce titre, il est essentiel de comprendre précisément quels sont les mécanismes juridiques, financiers et économiques qui participent à la détermination de celui-ci. C’est pourquoi, à l’occasion d’un colloque qui s’est tenu à Paris les 20 et 21 mars 2013 dans le cadre du programme Lascaux, juristes et économistes ont ainsi décidé de croiser leurs regards et de réfléchir ensemble aux relations qu’entretiennent le droit, l’économie et les marchés de matières premières agricoles. Leurs différentes contributions rassemblées dans cet ouvrage permettent d’appréhender d’une façon originale les questions liées à la sécurité alimentaire mondiale.
L
es cours des matières premières sont régulièrement soumis à des variations très fortes. Depuis une dizaine d’années environ, les fluctuations des prix des produits de base - à la hausse mais aussi à la baisse - ont cependant été plus fortes qu’auparavant par leur ampleur, leur durée, leur portée. De nombreux experts ont tenté d’expliquer ce phénomène. Deux écoles s’opposent : pour les uns, ces évolutions s’expliquent surtout par les profondes modifications des relations fondamentales entre l’offre et la demande ; pour les autres, l’intérêt des investisseurs financiers pour le négoce des matières premières conduit à des fluctations plus importantes. Quoi qu’il en soit, il est aujourd’hui avéré que les marchés des produits de base obéissent de plus en plus à la logique des marchés financiers.
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AFD - RCH / AGC • Kaléidoscope n° 120 • AVRIL 2014
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Inde L’OUVRAGE L’Inde contemporaine
JAFFRELOT, C., PLURIEL, 2014, 352 p Cote PIN.040
© IRD - Daina Rechner
A
vec une décennie d’avance, l’Inde a fait une entrée remarquée dans le XXIe siècle. Depuis 1990 en effet, le renforcement du fédéralisme, de nouvelles alliances internationales, la libéralisation économique, une politique de discrimination positive en faveur des basses castes et une polarisation religieuse grandissante ont transformé le visage du pays. À ces phénomènes qui conditionnent aujourd’hui encore la trajectoire indienne s’en ajoutent d’autres, à la temporalité plus lente : transition démographique, urbanisation croissante et effort de défense nationale accru. Autant de facteurs qui, analysés dans cet ouvrage par quelques-uns des plus éminents spécialistes, font de l’Inde une grande puissance émergente avec laquelle il faut désormais compter.
a lire également
From poverty to empowerment : India’s imperative for jobs, growth, and effective basic services
MCKINSEY GLOBAL INSTITUTE, 2014, 248 p
B
ien que l’extrême pauvreté recule en Inde depuis vingt ans, elle touche encore aujourd’hui 270 millions de personnes, soit 22 % de la population, contre 45 % en 1994. Dans son rapport, le cabinet McKinsey Global Institute se propose d’étudier la situation du pays selon un nouvel indicateur appelé “Empowerment line” (« seuil d’émancipation ») qui permettra d’établir le niveau de consommation nécessaire pour atteindre un standard de vie acceptable dans l’éducation, l’alimentation, le logement, la santé, l’eau potable, l’énergie et les installations sanitaires. Près de 680 millions d’Indiens (soit 56 % de la population) se situent actuellement en dessous de ce seuil.
L’Inde et sa projection comme puissance globale du XXIe siècle
BOILLOT, J.-J., CHOISEUL, GEOECONOMIE, n° 67, p. 93 - 101
A
vec 1,2 milliards d’habitants, l’Inde est aujourd’hui un géant démographique. C’est également un géant économique puisqu’elle est la troisième masse économique du monde par son PIB exprimé en parité de pouvoir d’achat, devant le Japon et l’Allemagne. Mais chacun s’accorde à reconnaître que l’Inde n’est pas une puissance globale au sens où elle ne réunit pas les conditions qui lui permettraient d’influencer véritablement les destinées du monde. Or, l’Inde veut se projeter comme une puissance globale du XXIe siècle. Sur quels domaines l’Inde apparaît-elle en retard dans cette ambition et quelles sont les orientations politiques visant à les combler ?
a lire également
Environnement-Inde : vers une deuxième révolution verte ?
L’Inde, en quête d’un nouveau souffle
PACHAURI, R.-K., NARAIN, S., POUYET, J., L’HARMATTAN, NOUVELLE REVUE DE L’INDE, 2013, n° 7, 167 p
PROBLEMES ECONOMIQUES, 2013, n° 3060, p. 2-45
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L’article
LE rapport
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Le rapport web
L’OUVRAGE Le monde peut-il nourrir tout le monde ? Sécuriser l’alimentation de la planète
HUBERT B., QUAE, 2013, 160 p Cote : en cours
D
eux milliards de personnes dans le monde souffrent aujourd’hui de carences alimentaires graves, dont les trois quarts sont des paysans, et plus de 800 millions d’individus sont encore sousalimentés. Pourtant, l’agriculture mondiale n’a jamais autant produit et la production moyenne suffirait à couvrir les besoins de la planète. Ce contexte, paradoxal et préoccupant, est de plus complexe car les situations de malnutrition ne se superposent plus au simple clivage entre pays riches et pays pauvres. Pour rendre compte du fait alimentaire dans sa dimension globale et dans toute sa complexité, cet ouvrage collectif ouvre la réflexion à divers champs disciplinaires. Économistes, sociologues, anthropologues, géographes, nutritionnistes et écologues y décrivent l’alimentation comme un fait structurant des sociétés que les crises alimentaires contribuent à déstabiliser, tant au Sud qu’au Nord. Les textes explorent des voies peu empruntées et rarement rassemblées dans un même ouvrage. La mise en oeuvre d’une véritable politique alimentaire y apparaît comme un des volets indispensables à la cohérence des politiques agricoles et agro-alimentaires, afin de satisfaire les besoins des quelque neuf milliards d’hommes qui pourraient peupler notre planète en 2050.
Le nouveau modèle coopératif dans l’espace OHADA : un outil pour la professionnalisation des organisations paysannes ?
FONDATION POUR L’AGRICULTURE ET LA RURALITE DANS LE MONDE, 2014, http://www.fondation-farm.org/zoe/doc/ farm_etude_ohada_complet.pdf
L
’Acte uniforme relatif au droit des sociétés coopératives est le neuvième instrument juridique adopté par l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA). Il vise à favoriser le développement économique des coopératives dans l’espace OHADA, grâce à l’uniformisation et à l’adaptation de leur statut juridique. Pour les organisations agricoles à vocation économique, qu’elles soient coopératives ou non, la mise en oeuvre de ce texte communautaire revêt un double enjeu. Le premier tient à la compréhension de ce dernier et à la marge de manoeuvre dont disposent les Etats parties dans l’application nationale du neuvième Acte uniforme. Le second enjeu concerne l’aptitude qu’ont les organisations de producteurs à intégrer et appliquer toutes les obligations juridiques découlant du nouveau texte. Dès lors, le succès de l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés coopératives reposera sur l’équilibre à trouver entre le renforcement des capacités socioéconomiques des organisations agricoles et le risque d’une plus grande fragilisation de ces dernières due à une transition juridique brutale.
a lire également
L’ARTICLE Les défis du développement après 2015 : quelles implications pour l’aide publique au développement ?
VOITURIEZ T., GIORDANO T., BOUSSICHAS M., IDDRI, 2014, Policy Briefs n° 7, 4 p. http://www.iddri.org/Publications/ Les-defis-du-developpement-apres-2015quelles-implications-pour-l-aide-publiqueau-developpement
L
’agenda du développement après 2015 offre l’opportunité de rassembler et traiter les nouveaux défis de la pauvreté, de la hausse des inégalités et de la durabilité environnementale dans un même cadre. Pour avoir très tôt insisté sur les problèmes soulevés par les inégalités et défendu avec constance l’intégration des agendas du développement et de l’environnement, la France peut y faire entendre une voix particulière et des arguments. Ce Policy Brief s’inscrit dans le cadre d’un projet coordonné par l’Iddri, en partenariat avec le Cirad et la Ferdi, avec le soutien de la Fondation Gates. Intitulé « L’aide publique au développement française et la mise en oeuvre de l’agenda post-2015 du développement : quelles priorités de recherche et d’actions ? », il regroupe dans une série de quatre ateliers les principaux acteurs de l’aide sous la règle Chatham House. Selon les précautions d’usage, ce Policy Brief n’engage que ses auteurs.
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L’Afrique n’attend pas BOURGES, H., 2013, ACTES SUD, 184 p
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LE RAPPORT WEB
L’ouvrage Les pays en développement à l’ère de l’e-learning
ORIVEL, F., DEPOVER, C., UNESCO, 2012, 97 p Cote H4.101
S
i la formation à distance (FAD) réduit l’éloignement géographique, elle permet aussi de contrôler la distance sociale ou économique, grâce à une structure de coûts plus favorable. Est-ce une aubaine pour les pays en développement (PED) ? L’avènement des technologies numériques, tout en rapprochant les populations éloignées, permet le développement de modèles pédagogiques adaptés et diversifiés, avec une approche économique qui ne vise plus seulement les économies d’échelle. Dans cet ouvrage, Christian Depover et François Orivel tentent de déterminer quels bénéfices les PED, et notamment les pays africains, peuvent tirer de la FAD, alors qu’ils ont des besoins très importants à satisfaire et des ressources limitées. Ils examinent particulièrement le cas du développement de l’enseignement supérieur, de sa qualité, de sa productivité et de la maîtrise de ses coûts.
Méthodologie GAIN : diagnostic et conception des processus de changement au sein des organisations de producteurs
L’ARTICLE Dynamiques foncières, investissements et modèles de production pour l’irrigation en Afrique de l’Ouest : logiques financières contre cohérences sociales ?
FAO, 2013, 120 p Cote A1.244
C
e rapport décrit une nouvelle méthodologie appelée GAIN (Gouvernance - Autonomie - Intégration et besoins endogènes) développée par la FAO afin de fournir un outil diagnostique efficace permettant d’amorcer un changement structurel et endogène au sein d’une organisation de producteurs et productrices. Cette méthodologie suit une approche participative et itérative, combinant un diagnostic interne de l’organisation avec une analyse de son environnement immédiat dans le but de lancer l’organisation dans un processus d’autonomisation économique progressive, de lui permettre de répondre aux besoins économiques de ses membres, de pouvoir jouer un rôle dynamique dans l’économie rurale locale et enfin de mieux s’insérer sur les marchés.
Au sommaire du prochain numéro GENRE, femmes
JAMIN, J-Y., SECK, S-M., LE GAL, P-Y., TONNEAU, J-Y., BELIERES J-F., ADAMCZEWSKI A., Cahiers agricultures, 2013, vol.22, n° 1, p. 61-66 http://www.jle.com/e-docs/00/04/83/29/ vers_alt/VersionPDF.pdf
L
e delta du fleuve Sénégal et l’Office du Niger au Mali disposent encore d’un potentiel important de terres aménageables qui attire des investisseurs privés, notamment depuis 2008. Après avoir soutenu le développement de l’agriculture familiale pour la mise en valeur des périmètres irrigués, les pouvoirs publics donnent aujourd’hui la priorité à l’installation d’entreprises privées en leur attribuant des terres à aménager. Cet article propose un cadre analytique décrivant les liens entre statut foncier et dynamiques d’aménagement, appliqué aux deux cas étudiés. Ceux-ci diffèrent du rôle joué par l’État dans la gestion du foncier, toujours très présent à l’Office du Niger, transféré aux collectivités locales au Sénégal. L’analyse comparée des deux cas montre que le statut foncier, en lien avec les politiques de crédit et les choix techniques réalisés, explique en partie les difficultés de l’agriculture familiale. L’allocation de terres à des compagnies privées est cependant trop récente pour que l’on puisse évaluer sa réelle contribution au développement de l’agriculture irriguée dans ces régions.
CENTRAFRIQUE
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C
ette revue mensuelle des publications sur le développement a pour ambition de donner chaque mois, de façon synthétique, un écho particulier aux contenus scientifiques et techniques des principales revues et
publications mondiales traitant les différentes dimensions du développement. Cette revue s’attache notamment à la restitution des contenus publiés par les éditeurs et revues suivantes
et n’engage donc pas la responsabilité de l’AFD.
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HADJ LAKHAL, aymard minguiama
Graphisme : F. TUAL / FERRARI CORPORATE Saisie/mise en page : denise perrin ISSN 1639-044X
Pour contacter RCH/AGC : 01 53 44 36 43
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