Centre d’Abidjan © AFP
Agence Française de Développement
CÔTE D’IVOIRE
AGENCE FRANÇAISE DE DÉVELOPPEMENT
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L a Côte d’Ivoire Donner une nouvelle ambition à sa politique de développement : tel est l’objectif du Plan national de développement (PND) 20122015 élaboré par le gouvernement de Côte d’Ivoire, axé sur la paix et la sécurité retrouvées, une croissance durable et inclusive, un accès amélioré aux services essentiels et un repositionnement sur la scène internationale. À ces fins, la Côte d’Ivoire dispose d’atouts certains : une population de plus de 20 millions d’habitants et jeune, un secteur agricole puissant et diversifié (notamment cacao, coton, sucre, hévéa, palmier à huile), une façade maritime et un grand potentiel de ressources minières. L’objectif est de faire de la Côte d’Ivoire une puissance émergente à l’horizon 2020. L’Agence Française de Développement (AFD) est présente en Côte d’Ivoire depuis 1954, avec pour mission de contribuer au développement économique et social du pays. L’AFD finance et accompagne des projets et programmes de développement mis en œuvre par l’État, les entreprises publiques et privées, les banques, les institutions de microfinance et les organisations non gou vernementales (ONG). Le soutien au secteur privé est principalement mis en œuvre par PROPARCO, filiale de l’AFD dédiée au financement de ce secteur. Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de cacao © Sia Kambo
Les outils de financement de l’AFD Le groupe AFD déploie en Côte d’Ivoire une large palette d’instruments financiers :
des subventions de plusieurs sources : C2D, subventions aux
ONG, facilités microfinance ou mésofinance, fonds d’études et de renforcement de capacités et subventions du Fonds français de l’environnement mondial (FFEM) pour des projets environnementaux ;
prêts
garanties aux banques (ARIZ) pour favoriser l’accès au
des
au bénéfice d’entreprises privées (PROPARCO) et publiques (AFD) ;
des
crédit des PME ;
Cette gamme d’instruments financiers est complétée par : les formations dispensées par le Centre d’études financières,
économiques et bancaires (CEFEB), masters professionnels ou formations courtes qui ont, depuis 1963, bénéficié à près de 200 cadres ivoiriens ;
la participation de l’AFD aux réflexions stratégiques secto-
rielles et transversales nationales ;
la participation de l’AFD dans les instances de coordination
de l’aide entre le gouvernement et les bailleurs de fonds (groupes de travail sectoriels notamment).
des prises de participation pour soutenir les fonds propres
des entreprises (PROPARCO).
Le partenariat avec les ONG en Côte d’Ivoire L’AFD finance des ONG françaises qui soutiennent les politiques sectorielles nationales, notamment dans trois secteurs :
Santé et protection sociale : Croix-Rouge française : restauration du système de santé dans l’ouest du pays ;
faveur des populations du secteur informel et agricole de la Région des Lacs.
Agriculture et sécurité alimentaire :
Sidaction : renforcement des services VIH pour les populations stigmatisées ;
organisations professionnelles agricoles d’anacarde ;
Centre international de développement et de recherche (CIDR) : promotion de mutuelles de santé en
CIDR : appui à la structuration et la montée en gamme des coopératives rizicoles ;
Rongead : appui aux
Secours catholique : amélioration de la sécurité alimentaire dans la Région des Montagnes.
Économie : IECD (Institut européen de coopération et de développement) : formations des agriculteurs et des entrepreneurs informels.
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Les financements C2D en Côte d’Ivoire Le contrat de désendettement et de développement (C2D) : un partenariat ambitieux entre la France et la Côte d’Ivoire
Le C2D permet aux deux pays d’instaurer un dialogue constructif sur les politiques de développement, auquel sont associées les sociétés civiles ivoiriennes et françaises.
Depuis 2012, le soutien de l’AFD à l’État ivoirien s’inscrit principalement dans le cadre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D). A travers ce mécanisme innovant, additionnel à la contribution de la France à l’initiative d’allégement de la dette des « Pays pauvres très endettés » (PPTE), la France a décidé en 2012 d’annuler un stock de dettes de 913 M € et de reverser à la Côte d’Ivoire, sous forme de dons, le solde des échéances dues au titre de prêts contractés dans le passé, pour un total de 2,89 Mds € (montant total du C2D). La Côte d’Ivoire et la France ont choisi d’affecter les ressources du C2D au financement des priorités du Plan national de développement (PND).
Classe du village de Lofre © AFD, Jacques Marchand
Appuyer le système éducatif ivoirien Composition du premier C2D 2012-2015 (630 M € – 413 Mds FCFA) Par secteur d’activités, en millions d’euros
49
19,1
Le programme (77 M €, 50,8 Mds FCFA), mis en œuvre par les trois ministères de l’Éducation nationale-enseignement technique (MENET), de l’Emploi-affaires sociales-formation professionnelle (MEMEASFP) et de l’Enseignement supérieur-recherche scientifique (MESRS), poursuit les objectifs suivants :
Renforcer l’éducation de base :
améliorer la formation des enseignants ;
construire 116 écoles primaires et 40 collèges de proximité en milieu rural, avec une attention particulière sur l’amélioration de la scolarisation des filles.
93
23
Rénover la formation professionnelle :
69,8
111,9
structurer les branches professionnelles ;
moderniser les filières de formation du bâtiment, de l’industrie agro-alimentaire et de la maintenance industrielle ; réhabiliter 2 lycées professionnels.
Réformer l’enseignement supérieur :
111,7 152,6 Éducation-formation-emploi
appuyer l’Institut national polytechnique Houphouët‑Boigny ; accompagner la mise en place du système licence-master-doctorat dans les 5 grandes universités du pays, en lien avec l’Agence universitaire de la francophonie et l’Agence inter-établissements pour la recherche et le développement.
Santé Agriculture, développement rural et biodiversité
Favoriser l’insertion des jeunes
Infrastructures de transport
Ce programme (15,5 M €, 10 Mds FCFA) est mis en œuvre par le MEMEASFP et a pour objectif d’accompagner plus de 18 000 jeunes vers l’emploi, par des stages, des travaux d’utilité publique, des programmes d’apprentissage ou un appui à la création d’entreprises et d’activités génératrices de revenus.
Développement urbain, eau et assainissement Justice Appuis budgétaires ciblés Fonctionnement des instances de pilotage, études, renforcement de capacités
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Pharmacie d’un hôpital d’Abidjan © UNICEF Côte d’Ivoire - Asselin
Renforcer l’accès pérenne des plus vulnérables à la santé
Relancer la production agricole et assurer la sécurité alimentaire du pays
Les deux programmes mis en œuvre par le ministère de la Santé et de la lutte contre le sida (MSLS) visent les objectifs suivants :
L’appui à la politique agricole du ministère de l’Agriculture (62,6 M €, 41 Mds FCFA) comprend :
Renforcer le système de santé ivoirien (62,2 M €,
Un programme d’appui au secteur agricole (PSAC) de Côte d’Ivoire, co-financé avec la Banque mondiale :
40,8 Mds FCFA) en : formant du personnel paramédical qualifié (appui à l’Institut national
de formation des agents de santé) ; rendant les médicaments disponibles (première commande de la Nouvelle pharmacie de santé publique de Côte d’Ivoire) ; améliorant les services de santé maternelle et infantile (réhabilitations d’établissements et appui aux directions régionales et départementales de la santé) ; renforçant les directions du ministère de la Santé.
Santé : un partenariat innovant Fruit d’une collaboration tripartite inédite entre la Côte d’Ivoire, l’Union européenne et la France, une délégation de fonds (18 M €, 11,8 Mds FCFA) a été approuvée entre la Côte d’Ivoire et le service d’aide humanitaire et de protection civile de l’Union européenne (ECHO) pour permettre l’accès à des services de santé de qualité à près d’un million d’enfants de moins de cinq ans et de femmes enceintes dans quatre régions de Côte d’Ivoire. Ce programme est mis en œuvre par quatre ONG internationales qui vont intensifier leur appui aux centres de santé de premier contact et aux administrations de santé locales.
réhabilitation des pistes agricoles bénéficiant à cinq filières
d’exportation : cacao, hévéa, palmier à huile, coton et anacarde ; appui à la filière coton : conseil aux producteurs et équipement. Un programme d’accélération de la relance des filières
agricole (PARFACI) : mise en œuvre de la loi sur le foncier rural : délimitation de territoires
villageois, délivrance de certificats fonciers et enregistrement des baux dans quinze départements ; appui à cinq filières vivrières : maïs, soja, maraîchage, porc et pisciculture, avec pour objectif notamment de promouvoir l’entreprenariat féminin.
Gérer durablement les ressources naturelles Le projet de conservation des ressources naturelles (CORENA) (16,4 M €, 10,8 Mds FCFA) du ministère de l’Environnement, de la salubrité urbaine et du développement durable et du ministère des Eaux et forêts, vise à mettre un terme à la déforestation et à protéger la diversité biologique de la Côte d’Ivoire, en restaurant l’autorité de l’État dans les forêts classées et les aires protégées, en améliorant le suivi et la protection des écosystèmes et en soutenant la production durable de produits ligneux.
Protéger les ressources naturelles par trois activités : La conservation des aires protégées
Réduire la mortalité maternelle en améliorant l’accès des femmes à des services de planification familiale de qualité (7,6 M €, 5 Mds FCFA) par un appui au Plan stratégique de la planification familiale 2013 -2016. L’Association ivoirienne pour le bien-être familial (AIBEF) et l’Agence ivoirienne de marketing social (AIMAS) sont chargées de la mise en œuvre.
appui aux parcs nationaux de la Comoé, Azagny et du Mont Sangbé à travers l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) et la Fondation pour les parcs et réserves de Côte d’Ivoire (FPRCI).
La lutte contre la déforestation appui au mécanisme REDD+ et suivi spatial des terres.
La gestion durable des forêts appui à la SODEFOR (Société de développement des forêts) sur 92 forêts classées.
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Promouvoir une meilleure circulation des biens et des personnes Le programme (152,6 M €, 100 Mds FCFA), est aligné sur la stratégie du ministère des Infrastructures économiques et vise à : sauvegarder le réseau revêtu : rendre les itinéraires praticables
et éviter la progression des dégradations par des travaux de pointà‑temps sur 800 km de routes nationales revêtues et de reprofilage sur 361 km de pistes agricoles dans la région de la Nawa ; consolider des tronçons structurants : route du Nord YamoussoukroFerkessédougou-Ouangolodougou et route de l’Est Adzopé-fleuve Comoé ; construire des ouvrages d’art en remplacement de bacs (pont de Béoumi) ; aménager des voiries urbaines, à Yopougon et Abobo, dans la ville d’Abidjan ; renforcer les capacités des principaux acteurs du secteur, dont le ministère des Infrastructures économiques, l’AGEROUTE et le Fonds d’entretien routier (FER).
Route du Nord © AFD, Oumar Sylla
Améliorer les conditions de vie dans des quartiers précaires d’Abidjan C’est une démarche de développement urbain intégré que promeut le MCLAU chargé de la mise en œuvre de ce projet qui sera décliné dans 5 quartiers précaires d’Abidjan.
Quartier d’Abobo Agoueto © AFD, Olivier Pannetier
Contribuer à un accès à l’eau potable et à l’assainissement L’appui au secteur de l’eau potable (69 M €, 45,2 Mds FCFA) est piloté par le ministère des Infrastructures économiques et vise à améliorer le taux d’accès à l’eau potable par : Les programmes d’urgence en eau potable à Abidjan et dans le
District des Montagnes ; L’aménagement du champ captant de Songon (ouest d’Abidjan) ; Des branchements sociaux pour les populations défavorisées. L’actualisation du schéma directeur d’assainissement et de drainage d’Abidjan (1,9 M €, 1,2 Md FCFA), piloté par le ministère de la Construction, du logement, de l’assainissement et de l’urbanisme (MCLAU), définira les travaux à réaliser à l’horizon 2030.
L’objectif du projet est de développer l’accès aux services de base et aux équipements publics (voiries, eau potable, assainissement, éclairage public, déchets) et d’améliorer les espaces publics (39,5 M €, 26 Mds FCFA).
Accompagner la décentralisation L’AFD accompagne la décentralisation à travers la mise en place d’instruments de renforcement des capacités des élus et personnels territoriaux et de financement des collectivités locales (1,5 M €, 1 Md FCFA).
Améliorer le fonctionnement de la justice L’appui à la mise en œuvre de la politique sectorielle du gouvernement en matière de justice est conduit par le ministère de la Justice, des droits de l’homme et des libertés publiques (22,9 M €, 15 Mds FCFA), avec pour objectifs de renforcer le système judiciaire et pénitentiaire, de promouvoir la protection des droits de l’homme et de l’enfant et d’améliorer l’environnement des affaires. Il est notamment prévu de construire et d’équiper les infrastructures judiciaires et d’apporter un appui à l’Institut national de formation judiciaire (INFJ).
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Le soutien au secteur privé PROPARCO La Côte d’Ivoire est le premier pays d’intervention de PROPARCO en Afrique de l’Ouest et parmi les premiers en Afrique sub-saharienne. En Côte d’Ivoire, PROPARCO est présent dans le secteur financier, l’agro-industrie et le financement des infrastructures, avec un portefeuille qui avoisine 200 M €.
PROPARCO soutient en dette et en fonds propres des banques (BICICI, groupes BOA, Ecobank, Oragroup), des institutions financières spécialisées dans la microfinance (Advans), le crédit bail (Alios) et l’assurance (NSIA). PROPARCO participe à la modernisation des infrastructures aéroportuaires (AERIA) et au développement
des infrastructures énergétiques (CIPREL, AZITO). PROPARCO a ainsi syndiqué une partie importante du financement de la centrale d’Azito auprès des bailleurs de fonds européens. PROPARCO soutient aussi le groupe SIFCA, acteur majeur de l’agro-industrie africaine, et participe au développement des PME à travers ses participations
dans plusieurs fonds d’investissement spécialisés (Cauris, Abraaj, I&P, Africinvest). Le bureau régional PROPARCO basé à Abidjan couvre tous les pays d’Afrique de l’Ouest à l’exception du Nigeria. Depuis 2010, 38 projets ont été approuvés dans la région, pour près de 600 M €.
L’AFD peut également intervenir en soutien au secteur privé : par des prêts directs à des entreprises
privées, notamment pour des projets caractérisés par une innovation sociale ou environnementale ; par des prêts à des opérateurs publics participant à des partenariats publicprivé (PPP). Aéroport international d’Abidjan © AERIA
Centrale AZITO © Édition Nathan
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Appui au secteur de la microfinance et de la mésofinance
une subvention de 1,5 M € à l’Association professionnelle des
systèmes financiers décentralisés de Côte d’Ivoire (APSFD-CI) ;
Le développement d’un secteur de microfinance pérenne et viable en Côte d’Ivoire constitue un enjeu majeur de croissance et de lutte contre la pauvreté.
un appui à la Direction de la microfinance du ministère de l’Eco-
Afin d’accompagner la professionnalisation des IMF ivoiriennes et de renforcer les capacités de supervision de l’État dans le secteur, l’AFD a octroyé les financements suivants :
pour les appuis aux PME : une subvention de 400 000 € a
des subventions aux IMF Microcred (0,25 M €) et Advans
(0,75 M €) ;
nomie et des Finances (formation, études, équipements) (0,5 M €) ; été octroyée à la société Investisseurs et Partenaires pour le Développement afin de permettre la création d’un véhicule de capital-risque à Abidjan dédié à la prise de participations dans des petites entreprises à fort potentiel.
ARIZ © Société SOTICI
Garanties ARIZ À travers son outil de garantie bancaire ARIZ, l’AFD accompagne le développement du tissu économique national, source de croissance et de création d’emplois. ARIZ garantit les crédits d’investissements octroyés par des banques à des petites et moyennes entreprises privées et des institutions de microfinance (IMF). ARIZ encourage ainsi les banques à financer des projets d’investissement de toutes tailles, et des projets considérés comme plus « risqués ». Il facilite le financement de projets de création ou de développement d’une entreprise, ainsi que le refinancement des IMF.
ARIZ © Société SIMAT
Depuis son lancement en 2008, le dispositif ARIZ représente : Plus de
Plus de
bénéficiaires
créés
300 PME et IMF
5 000 emplois
L’octroi de plus de
1 72 millions d’euros de crédits
5 banques
partenaires (BICICI, BOA, SGBCI, SIB et ALIOS FINANCE)
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Établissement public, l’Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser le développement dans les pays du Sud et dans les Outre-mer. Elle met en œuvre la politique définie par le Gouvernement français. Présente sur quatre continents où elle dispose d’un réseau de 70 agences et bureaux de représentation, dont 9 dans les Outre‑mer et 1 à Bruxelles, l’AFD finance et accompagne des projets qui améliorent les conditions de vie des populations, soutiennent la croissance économique et protègent la planète : scolarisation, santé maternelle, appui aux agriculteurs et aux petites entreprises, adduction d’eau, préservation de la forêt tropicale, lutte contre le réchauffement climatique… En 2012, l’AFD a consacré près de 7 milliards d’euros au financement d’actions dans les pays en développement et en faveur des Outre-mer. Ils contribueront notamment à la scolarisation de 10 millions d’enfants au niveau primaire et de 3 millions au niveau collège, et à l’amélioration de l’approvisionnement en eau potable pour 1,79 million de personnes. Les projets d’efficacité énergétique sur la même année permettront d’économiser près de 3,6 millions de tonnes d’équivalent CO2 par an.
Classe de collège © AFP
Cette publication a été imprimée dans le respect de l’environnement avec des encres végétales et sur du papier PEFC™ numéro chaîne de contrôle 19-32-319 (gestion durable des forêts).
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Filiale de l’AFD, Proparco a pour mission de favoriser les investissements privés en faveur de la croissance, du développement durable et de l’atteinte des objectifs du millénaire, dans les pays émergents et en développement. Elle propose des financements permettant de répondre aux besoins spécifiques des investisseurs dans le secteur productif, les systèmes financiers, les infrastructures et le capitalinvestissement.
www.proparco.fr
Le Fonds français pour l’environnement mondial est un fonds public bilatéral qui a été créé en 1994 par le Gouvernement français à la suite du Sommet de Rio. Il a pour objectif de favoriser la protection de l’environnement mondial dans des projets de développement durable dans les pays en développement. Le FFEM intervient en appui à des réalisations concrètes dans les pays bénéficiaires, avec une démarche d’apprentissage et en testant des approches novatrices ou exemplaires.
www.ffem.fr
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AFD ABIDJAN
5 rue Roland Barthes 75598 Paris Cedex 12 – France Tél. +33 1 53 44 31 31 Fax +33 1 44 87 99 39 www.afd.fr
Boulevard François Mitterrand 01 BP 1814 Abidjan 01 – Côte d’Ivoire Tél : (225) 22 40 70 40 Fax : (225) 22 44 21 78 afdabidjan@afd.fr cotedivoire.afd.fr
Exécution : Planet 7 – Février 2014
FFEM