© Alexander et Tamara Blanc 2009 www.om3.org © Traduction: Oleg Bogdashitch 2012 olegbogdashich@gmail.com
La préface du traducteur La Doctrine est donnée à tous les habitants de la Terre, mais en russe. En comprenant l’importance exclusive de la Doctrine, je tâche, suivant mes forces et mon jugement, à traduire en autres langues – en espagnol, en français, en italien, en lithuanien. Mais pour l’énoncer pleinement et joliment, il faut que mes traductions soient corrigées par les locuteurs natifs de la langue concrète. C'est pourquoi je vous prie d’excuser mes erreurs grammaticales qui sont inévitables et me les communiquer. Mes adresses sont suivantes : olegbogdashich@mail.ru olegbogdashich@gmail.com Skype - olegbogd Je fais mille salutations et respects à tous les lecteurs de la Doctrine, Oleg Bogdashitch
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Chapitre 1 L'Univers est un hologramme
Pour l’être humain, qu’est-ce que la perte de l’Univers ? La pourpre stellaire du ciel peut s'obscurcir, Mais autre dépérissement doit nous effrayer – L'obscurité de la raison est plus terrible que l'obscurité du monde! A. Chizhevsky1 Cher lecteur, comme vous vous rappelez, notre premier livre commençait par l'aperçu des découvertes des savants du monde dans le domaine du cerveau et de la Consciences de la personne. En vérité, ces découvertes sont remarquables, mais aussi leur dissimulation par les médias est remarquable qu’on observe pendant ces années. Et voici maintenant nous avons décidé de commencer le quatrième livre par la publication des découvertes encore plus fondamentales des savants sur lesquelles dans les médias durant dix ans nous n’avons pas rencontré de mention. O sagesse ! aimable chimère! Douce illusion de nos cœurs! C'est sous ton divin caractère Que nous encensons nos erreurs. Chaque homme t'habille à sa mode, Sous le masque le plus commode A leur propre félicité ; Ils déguisent tous leur foiblesse, Et donnent le nom de sagesse Au penchant qu'ils ont adopte. Tel , chez la Jeunesse étourdie, Le Vice instruit par la folie, Et d'un faux titre revêtu, Sous le nom de philosophie. Jean-Jacques Rousseau En 1982, un événement remarquable s’est produit. A l’Université de Paris une équipe de recherche dirigée par le physicien Alain Aspect, a accompli ce qui pourrait être l’une des expériences les plus importante du 20ème siècle. Vous n’avez pas dû entendre parler de ça aux informations. En fait, à moins que vous n’ayez l’habitude de lire des magazines scientifiques vous n’avez probablement jamais entendu parler du nom d’Aspect, sachant aussi que certains pensent que sa découverte pourrait changer le visage de la science. 1
Alexander Léonidovitch Chizhevsky (1897 – 1964) est un biophysicien soviétique, le fondateur de la héliobiologie, de l’aéroionification et de l'électrohémodynamique, un poète, un peintre, un philosophe, est connu pour ses recherches sur l’influence de l’ionisation de l’air sur les êtres vivants et pour sa théorie d’une corrélation entre l’activité solaire et l’activité humaine – notamment les événements historiques tels que guerres ou révolutions.
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L’expérience d’Aspect est apparentée à celle de l’EPR, expérience sur la conscience élaborée par Albert Einstein et ses collègues Poldsky et Rosen, qui avait pour but de contre-dire la mécanique quantique du principe d’exclusion de Pauli, contre-disant lui la relativité spéciale. Aspect et son équipe ont découvert que pour une certaine raison, les particules subatomiques tel que les électrons, sont instantanément capablent de communiquer entre eux, même s’il y a une distance qui les sépare. Peu importe s’ils sont à 10 ou 10 milliards de miles. Il semble que chaque particule ait la possibilité de savoir ce que l’autre est en train de faire. Le problème avec cet exploit, est qu’il viole le principe longtemps gardé d’Einstein, disant qu’aucune communication ne peut se faire plus vite que la lumière. Comme voyager plus vite que la lumière équivaudrait à casser la barrière du temps, cette espoir décourageant a amené quelques physiciens à élaborer des manières pour expliquer les découvertes d’Aspect. Mais cela en a amené d’autres à trouver des explications plus radicales. Le physicien David Bohm de l’Université de Londres, par exemple, croit que les découvertes d’Aspect impliquent que la réalité objective n’existe pas, que malgrès son apparente solidité, l’univers est au coeur d’un fantasme, un gigantesque et détaillé splendide hologramme. Pour comprendre pourquoi Bohm fait ces saisissantes déclarations, vous devez d’abord en savoir un peu plus sur les hologrammes. Un hologramme est une photo en trois dimensions faite à l’aide d’un laser. Pour faire un hologramme, l’objet photographié doit baigner premièrement dans la lumière d’un rayon laser. Ensuite, un second rayon laser est rebondi sur la lumière reflétée du premier rayon et le résultat de l’interférence du motif (la partie où les deux rayons du laser se rejoignent) est capturée sur un film. Quand le film est développé, il a l’air d’un tourbillon de lumière et de lignes noires sans significations. Mais dès qu’il est éclairé par un autre rayon laser, une image en trois dimension de l’objet original apparaît. La trois-dimensionalité de telles images, n’est pas le seul aspect remarquable des hologrammes. Si l’hologramme d’une rose est coupé en deux et ensuite éclairé par un laser, chaque partie comportera l’image entière de la rose. En effet, même si les parties sont encore divisées, chaque fragment du film comportera toujours une version plus petite mais intacte de l’image originale. Contrairement aux photos normales, chaque partie d’un hologramme contiendra l’information de la totalité. La nature de « la totalité de chaque partie » d’un hologramme nous apporte une toute nouvelle façon de comprendre l’ordre et l’organisation. Pendant toute son histoire, la science occidentale a expérimenté avec l’idée que la meilleure façon de comprendre un phénomène physique, qu’il s’agisse d’un atome ou d’une grenouille, était la dissection et l’étude des parties représentatives. Un hologramme nous apprend que quelque chose dans l’univers n’en viendra pas luimême à cette approche. Si nous essayons de séparer quelque chose construit holographiquemment, nous nous retrouverons pas avec une partie de ce quelque chose, mais avec la totalité de la chose en plus petit. Cet aperçu a fait suggérer à Bohm une autre façon de voir la découverte d’Aspect. Bohm croit que la raison pour laquelle les particules subatomiques sont capablent de rester en contact avec d’autres peu importe la distance qui les séparent, © Alexander et Tamara Blanc 2011
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n’est pas parce qu’elles envoient une sorte de mystérieux signal en partant et en y revenant, mais parce que leur séparation est une illusion. Il soutient qu’à un niveau plus profond de réalité, de telles particules ne sont pas des entités individuelles mais sont en fait des extensions de la même base. Cette connexité de base corrélerait avec le 5ème élément et prouverait mathématiquement que tous les aspects de l’univers sont énergétiquement reliés – ce que déclare Hal Puthoff dans ses travaux sur l’énergie Zero-Point disant que toutes les charges de l’univers sont connectées et que l’idée d’une masse n’est en fait qu’une illusion – et que ces deux théories actuelles de la physique sont en accord avec les anciennes traditions et philosophies, lesquelles revendiquent la même connexité des diverses parties de l’univers. Pour permettre aux gens de mieux visualiser ce qu’il veut dire, Bohm utilise l’illustration suivante. Imaginez un aquarium dans lequel il y a un poisson. Imaginez aussi que vous n’êtes pas capable de voir l’aquarium directement et que votre connaissance de ce qu’il contient vient de deux téléviseurs, l’un directement connecté sur l’avant de l’aquarium et l’autre sur son côté. En regardant ces deux écrans, vous supposeriez que le poisson sur chaque écran est une entité séparée. Après tout, comme les appareils sont placés à des angles différents, chacune des images sera légèrement différente. Mais quand vous continuez à regarder les deux poissons, vous prendrez finalement conscience qu’il y a une certaine relation entre eux. Quand l’une tourne, l’autre fait de même légèrement en correspondance ; quand l’une est dirigée vers le devant, l’autre se dirige toujours vers le côté. Si vous n’êtes plus conscient de la totalité du champs de la situation, vous concluerez même que les poissons communiquent instantanément l’un avec l’autre, mais ce n’est évidemment pas le cas. Cela, dit Bohm, est précisément ce qu’il se passe entre les particules subatomiques de l’expérience d’Aspect. Selon Bohm, le lien apparent allant plus vite que la lumière entre les particules subatomiques nous dit clairement qu’il y a un niveau de réalité plus profond dont nous ne sommes pas au courant, une dimension plus complexe au delà de la nôtre analoguée à l’aquarium. Et, il ajoute, nous percevons des objets tel que les particules subatomiques comme séparées car nous n’apercevons seulement qu’une partie de leur réalité. De telles particules ne sont pas des « parties » séparées, mais des aspects d’une plus profonde et plus sous-jacente unité qui est en fin de compte aussi holographique et indivisible que la rose mentionnée au-dessus. Et comme tout dans la réalité physique comprend ces « eidolons », l’univers est lui-même une projection, un hologramme. En plus de sa nature fantomatique, un tel univers posséderait plutôt d’autres aspects similaires. Si la séparation apparente des particules subatomiques sont illusoires, cela veut dire qu’à un niveau plus profond de réalité toutes les choses dans l’univers sont interconnectées à l’infini. Les électrons d’un atome de carbone dans le cerveau humain sont reliés aux particules subatomiques dont est composé chaque poisson qui nage, chaque coeur qui bat, et chaque étoile qui brille dans le ciel. Toute chose interpénètre toute chose, et bien que la nature humaine puisse chercher à catégoriser, cataloguer et subdiviser les divers phénomènes de l’univers, toutes les répartitions sont en fait artificielles et tout de la nature est finalement une toile continue. © Alexander et Tamara Blanc 2011
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Dans un univers holographique, même l’espace et le temps ne pourraient plus être vus en tant que fondements. Parce que des concepts tels qu’un endroit qui se décompose dans un univers dans lequel rien n’est vraiment séparé d’une chose, le temps et l’espace trois-dimensionel, comme les images du poisson sur les téléviseurs, devraient aussi être vus comme des projections de cet ordre plus profond. Dans son niveau plus profond, la réalité est une sorte de superhologramme dans lequel le passé, le présent et le future existent tous simultanément. Ceci suggère que cela fournirait les instruments appropriés, avec lesquels il serait possible un jour de pouvoir accéder au super niveau holographique de réalité et y prendre des images d’un lointain passé oublié. Ce que contient d’autre le superhologramme reste une question ouverte. Acceptant, à titre d’exemple, que le superhologramme est la matrice qui a donné naissance à toute chose dans notre univers, il contiendrait au moins chaque particule subatomique qui a été ou va être – toute configuration de matière et d’énergie dont il est possible, du flocon de neige au quasar, des baleines bleues aux rayons gamma. Ce doit être une sorte d’entrepôt cosmique de « Tout Ce Qui Est ». Bien que Bohm reconnaît que nous n’ayons aucun indice qui nous permette de savoir ce qui se cache dans le superhologramme, il s’aventure à dire que nous n’avons aucune raison d’affirmer qu’il ne contient rien de plus. Et de la façon dont il le dit, peut-être que le niveau de réalité superholographique est seulement un étage, au delà duquel se trouve une infinité plus vaste de développement. Bohm n’est pas le seul chercheur ayant trouvé évident que l’univers est un hologramme. Travaillant indépendamment dans la recherche sur le cerveau, le neurophysiologiste Karl Pribram de Standfold s’est lui aussi trouvé persuadé de la nature holographique de la réalité. Pribram s’est penché sur le casse-tête d’un modèle holographique, mettant en question où et comment les souvenirs sont stockés dans le cerveau. Les nombreuses études des dernières décennies ont montré que plutôt d’être confinées dans un endroit spécifique, les souvenirs étaient dispersés à travers le cerveau. Dans une series d’expérimentations décisives dans les années 1920, le scientifique du cerveau Karl Lashley a découvert que peu importe la partie du cerveau d’un rat qui lui était enlevée, il était incapable d’effacer sa mémoire de ce qu’il avait appris à faire juste avant. Le seul problème est que personne n’était capable d’expliquer un mécanisme qui approfondirait ce curieux « tout dans chaque partie » de la nature du stockage des souvenirs. Ensuite, dans les années 1960, Pribram a eu connaissance du concept de l’holographie et a réalisé qu’il avait trouvé l’explication que les scientifiques du cerveau recherchaient. Pribram croit que les souvenirs ne sont pas enregistrés dans les neurones ou petit groupe de ceux-ci, mais dans les modèles de l’influx nerveux qui croisent la totalité du cerveau, de la même façon que l’interférence de la lumière du laser croise la totalité de la partie du morceau du film contenant l’image holographique. En d’autres mots, Pribram croit que le cerveau est lui-même un hologramme. La théorie de Pribram explique aussi comment le cerveau humain peut stocker autant de souvenirs dans un si petit espace. Il a été estimé que le cerveau humain a la capacité de mémoriser quelque chose de l’ordre de 10 milliards de bits d’informations durant une vie (ou approximativement la même quantité d’information contenue dans cinq encyclopédies Britannica). © Alexander et Tamara Blanc 2011
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Similairement, il a été découvert qu’en plus de leurs autres capacités, les hologrammes possèdent une incroyable capacité à stocker l’information – simplement en changeant l’angle sur lequel les deux lasers sont dirigés sur le morceau de film photographique, il est possible d’enregistrer plusieurs images différentes sur la même surface. Il a été démontré que ce centimètre cube de film peut stocker autant que ces 10 milliards de bits d’informations. Notre étrange habileté à retrouver rapidement n’importe quelle information que nous voulons dans l’amas de nos souvenirs, devient plus compréhensible si le cerveau fonctionne tel que les principes holographiques. Si un ami vous demande de lui dire ce qui vous vient à l’esprit quand il vous dit le mot « zèbre », vous n’avez pas grossièrement à fouiller dans un giganstesque et cérébrale fichier alphabétique pour en arriver à une réponse. Plutôt, des associations tel que « bandes », « familier au cheval » et « animal natif d’Afrique » vous viennent tous instantanément à l’esprit. En effet, une des choses les plus incroyable dans la façon de penser de l’humain, est que chaque partie de l’information semble instantanément être croissée avec toutes les autres parties de l’information – encore un autre trait intrinsèque aux hologrammes. Parce que chaque partie d’un hologramme est interconnecté à l’infinie avec chaque autre partie, il est peut-être l’exemple suprême de la nature d’un système croisé. Le stockage de la mémoire n’est pas le seul casse-tête neurophysique qui devient le plus soluble, dans l’éclairage qu’apporte Pribram avec son modèle holographique du cerveau. Un autre est comment le cerveau est capable de traduire l’avalanche de fréquences qu’il reçoit via les sens (fréquences de lumière, de son, etc.) dans le monde concret de nos perceptions. Encoder et décoder les fréquences est précisément ce qu’un hologramme fait le mieux. Juste comme un hologramme fonctionnant tel une lentille, un appareil de traduction est capable de convertir un flou de fréquences sans importance en une image cohérente, Pribram croit aussi que le cerveau comprend une lentille et utilise des principes holographiques pour convertir mathématiquement les fréquences qu’il reçoit de la façon dont il ressent le monde avec nos perceptions intérieur. De vastes preuves impressionnantes indiquent que le cerveau utilise des principes holographiques pour fonctionner. La théorie de Pribram, en fait, a gagné en estime chez les neurophysiologistes. Le chercheur Argentin-Italien Hugo Zucarelli a récemment étendu le modèle holographique dans le monde du phénomène acoustique. Déconcerté par le fait que les humains puissent localiser d’où proviennent les sons sans bouger la tête, même s’ils ne peuvent entendre que d’une oreille, il a découvert que les principes holographiques peuvent expliquer cette habileté. Zucarelli a aussi développé la technologie du son holophonique, une technique d’enregistrement capable de reproduire des situations acoustiques avec un incroyable réalisme. La conviction de Pribram que nos cerveau construisent mathématiquement une réalité « solide » en ayant recourt au domaine de la fréquence, a aussi bien été acceptée comme support expérimental. Il a aussi été découvert que chacun de nos sens est sensible à une plus grande variété de fréquences qu’on ne suspectait auparavant. Les chercheurs ont découvert, par exemple, que nos systèmes visuels sont sensibles à entendre les fréquences, que notre odorat est en partie dépendant de ce que nous appelons maintenant « les fréquences cosmiques », et que mêmes les cellules de notre corps sont sensibles à © Alexander et Tamara Blanc 2011
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une grande variété de fréquences. De telles découvertes suggèrent que c’est seulement dans le domaine de l’holographie de la conscience que de telles fréquences sont rangées où dérangées en des perceptions conformes. Mais l’aspect le plus stupéfiant de Pribram sur le modèle holographique du cerveau, est ce qui se passe quand il est assemblé à la théorie de Bohm. Pour ce qui est que le monde concret n’est qu’une réalité secondaire, et que ce qui est « là » n’est en fait qu’une holographie floue de fréquences, et si le cerveau est aussi un hologramme et choisit seulement certaines sortes de fréquences de ce flou et les transforme mathématiquement en des perceptions sensorielles, qu’advient-il de la réalité objective ? Dites-le vous simplement, elle cesse d’exister. Comme les religions de l’Est l’ont longtemps affirmé, le monde matériel n’est que Maya, une illusion, et bien que nous pourrions penser que nous sommes des êtres physiques dans un monde physique, est aussi une illusion. En fait, nous sommes récepteurs à travers une mer de fréquences kaléidoscopique flottante, et ce que nous extrayons de cette mer et le transformons en réalité physique n’est qu’un canal des nombreuses extractions faites du superhologramme. Cette nouvelle perception que l’on a de la réalité, la synthèse de la vision de Bohm et de Pribram, en est venue à se faire appeler le Paradigme Holographique, et bien que pas mal de scientifiques l’aient accueilli avec scepticisme, cela en a galvanisé d’autres. Un petit mais grandissant groupe de chercheurs croient que cela pourrait être le plus précis modèle de la réalité avec lequel la science soit arrivée aussi loin. Plus même, certains pensent que cela résoudrait des mystères qui n’ont jamais été explicables avant par la science, et même de dire que le paranormal fait partie de la nature. De nombreux chercheurs, dont Bohm et Pribram, ont remarqué que pas mal de phénomènes para-psychologiques deviennent compréhensibles avec les conditions du paradigme holographique. Dans un univers dans lequel des cerveaux d’individus sont en fait des parties indivisibles du plus grand hologramme, et que tout est infiniment interconnecté, la télépathie pourrait être simplement l’accès au niveau holographique. Il est manifestement plus facile de comprendre comment l’information peut voyager de l’esprit d’une personne « A » à une personne « B », d’une grande distance et aide à comprendre de nombreux casse-têtes non résolus de la psychologie. En particulier, Stansilov Grof pense que le paradigme holographique offre un modèle de compréhension à pas mal de phénomènes déroutants, dont certains individus en ont fait l’expérience durant des états modifiés de conscience. Dans les années 1950, pendant qu’il dirigeait une recherche fondée sur les convictions que le LSD pouvait être un outil psychothérapeutique, Grof eut une patiente qui devint subitement convaincue qu’elle était une femelle reptile d’une espèce préhistorique. Pendant le court de son hallucination, elle n’a pas seulement donné une riche description de ce qu’on pourrait ressentir dans une telle forme, mais a noté que la partie mâle de l’anatomie de l’espèce était une partie d’étendues colorées sur le côté de sa tête. Ce qui était saisissant pour Grof était que, bien que la femme n’avait aucune connaissance préalable de telles choses, une conversation avec un zoologiste confirma plus tard que chez certaines espèces de reptiles, les parties colorées sur la tête jouaient un grand rôle dans l’excitation sexuelle. © Alexander et Tamara Blanc 2011
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L’expérience de cette femme n’était pas unique. Durant le court de ses recherches, Grof a rencontré plusieurs exemples de patients ayant régressé et s’identifiant virtuellement avec toutes les espèces de l’arbre de l’évolution (les découvertes de la recherche qui ont influencé la scène de l’homme singe dans le film, au-delà du réel). Qui plus est, il a découvert que de telles expériences contenaient fréquemment d’obscures détails zoologiques qui à la fin s’avéraient êtres corrects. Régresser à l’état d’animal n’était pas le seul mystère psychologique que Grof ait rencontré. Il a aussi eu des patients qui avait l’air de taper d’une façon collective ou racial inconsciente. Des individus avec peu, ou pas d’éducation donnaient subitement des descriptions détaillées sur les pratiques funéraires du Zoroatrisme et des scènes de la mythologie Hindu. Dans d’autres catégories d’expériences, des individus ont rapporté des compte-rendus persuasifs d’expériences hors du corps, d’aperçus sur le futur, de régressions en tant qu’apparentes anciennes incarnations. Dans ces dernières recherches, Grof a découvert le même éventail de phénomènes qui se sont manifestés dans des séances de thérapie qui n’avaient pas impliqué l’usage de drogues. Parce que l’élément commun dans de telles expériences paraissait être la transcendance de la conscience de l’individu, au delà des limites habituelles de l’ego ou des limitations de l’espace et du temps, Grof a nommé ces manifestions d’expériences transpersonnelles, et vers la fin des années 60 il a aidé à la découverte d’un domaine de psychologie appelé psychologie transpersonnelle, dévouée entièrement à l’étude de ces cas. Bien que Grof découvrit que l’Association de la Psychologie Transpersonnelle avait rapidement recueilli un grandissant groupe de salariés ayant le même centre d’intérêt et soit devenue un domaine respecté de la psychologie, pendant des années ni même Grof ou l’un de ses collègues était capable d’offrir un mécanisme pour expliquer le bizarre phénomène psychologique dont ils étaient témoins. Mais ceci a changé avec l’arrivée du paradigme holographique. Comme Grof l’avait fait remarquer, si l’esprit fait en fait partie d’un continuum, un labyrinthe étant connecté non pas seulement à tous les autres esprits qui existent ou qui ont existé, mais à chaque atome, organisme, et région dans l’immensité de l’espace et du temps lui-même, le fait qu’il soit occasionnellement capable de faire des incursions dans le labyrinthe et avoir des expériences transpersonnelles ne paraît plus être étrange. Peut-être, en créant la réalité, nous sommes déjà devenus – comme dans Star Trek, La Génération Suivante – un Q du Continuum ou nous faisons partie d’une expérience virtuelle de la réalité. Le paradigme holographique a aussi des implications dans les sciences dites de solides, tel que la biologie. Keith Floyd, psychologue à la faculté Intermont de Virginie, a fait remarquer que si le concret de la réalité n’est autre qu’une illusion holographique, il ne serait plus vrai de dire que le cerveau produit la conscience. Plutôt, c’est la conscience qui peut créer aussi bien l’apparence du cerveau que celle du corps et de tout ce qu’il a autour de nous que nous interprétons comme physique. Un tel revirement de la façon dont nous voyons la structure biologique, a fait dire aux chercheurs que même la médecine et notre compréhension du processus de guérison pourrait aussi être transformé par le paradigme holographique. Si la structure apparente du corps n’est autre que la projection holographique de la conscience, il devient clair que chacun de nous est plus responsable de sa santé que la médecine actuelle le laisserait croire. Ce que nous voyons maintenant comme guérisons miraculeuses d’une maladie peut en fait être dû à des changements dans la conscience, lesquels prennent effet par des changements dans le corps © Alexander et Tamara Blanc 2011
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holographique. Similairement, les nouvelles techniques controversées de guérison tel que la visualisation, pourrait bien marcher parce que dans le domaine de pensée holographique les images sont en fin de compte aussi réelles que la réalité. Même les visions et les expériences impliquants une réalité non-ordinaire deviennent explicables avec le paradigme holographique. Dans son livre « Cadeaux de choses inconnues », le biologiste Lyall Watson décrit sa rencontre avec une shamane Indonésienne qui, en faisant une danse rituelle, était capable de faire s’évaporer un bosquet d’arbres tout entier dans l’air. Watson raconte que quand lui et un autre observateur étonné regardaient la femme, elle a fait réapparaître les arbres, et ensuite refaire ces bruits encore plusieurs fois successivement. Bien que la compréhension de ce scientifique ne puisse expliquer de tels événements, des expériences comme ça deviennent plus défendables si la réalité solide est seulement une projection holographique. Peut-être acceptons-nous ce qui est « là » ou « ne l’est pas» parce que ce que nous appelons réalité, est un consensus formulé ou ratifié au niveau de l’inconscient humain dans lequel tous les esprits sont interconnectés infiniment. Si ceci est vrai, c’est l’implication la plus profonde de toutes du paradigme holographique, cela veut dire que des expériences telles que celles de Watson ne paraissent pas communes simplement parce que nous n’avons pas programmé nos esprit avec la conviction que ça pourrait l’être. Dans un univers holographique, il n’y a pas de limites d’extension dans lequel nous pouvons altérer la fabrication de la réalité. Ce que nous percevons comme la réalité, n’est qu’une toile qui attend que nous lui dessinions dessus l’image que nous voulons. Tout est possible, de tordre des cuillères avec le force de l’esprit à des expériences faites par Carlos Castaneda pendant ses rencontres avec Yaqui brujo don Juan, pour qui la Magie est notre droit, est ni plus ni moins miraculeux que notre habileté à calculer la réalité que nous désirons lorsque nous rêvons. En effet, même nos notions les plus fondamentales de la réalité deviennent suspectes, pour un univers holographique, comme Pribram l’a dit, même des événements au hasard doivent être observés comme basés sur des principes holographiques et donc déterminés. Les synchonicités ou coïncidences significatives prennent soudainement du sens, et tout dans la réalité devrait être observé comme une métaphore. Même la situation la plus banale exprimerait une symétrie cachée. Si le paradigme holographique de Bohm et Pribram se fait accepter dans la science ou meurt d’une façon ignoble, il restera à voir, mais il est plus rassurant de dire qu’il a déjà eu de l’influence dans la façon de voir de pas mal de scientifiques. Et même si on découvrait que le modèle holographique ne fournirait pas la meilleure explication pour les communications instantanées, du moins, comme l’a dit Basil Hiley, un physicien de la faculté de Birbeck à Londres, les découvertes d’Aspect indiquent que nous devons nous préparer à radicalement envisager de nouveaux aperçus de la réalité. La génétique ondulatoire Les investigateurs de tout le monde tentent de déchiffrer la « parole » qui a aspiré la vie à la matière vivante et à l’être humain. Ce sont des efforts vains. Il est © Alexander et Tamara Blanc 2011
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supposé qu'il est inscrit dans le texte du code génétique caché dans les molécules de l'ADN. Dans le cadre du programme « Génome de l’homme » les savants pendant 10 ans ont réussi à établir la succession de trois milliards de « lettres » dans notre texte génétique. C’est un succès énorme! Apparemment, maintenant il reste seulement lire … Hélas! De trois milliards de lettres on réussit à lire seulement 2 %. Les autres 98 % tous sont aussi incompréhensibles. Petr Garyaev
Il y a principalement autre manière d'aborder un problème de la lecture du texte génétique, laquelle est proposée par le docteur en biologie, l'académicien de l'Académie russe des sciences naturelles Petr Garyaev. Il n'affirme pas qu'il est proche de la résolution désirée, mais dit, en se référant à l'académicien D. Likhachiov, qu'au cours de la traduction de l'Évangile on a commis l'erreur de principe. La traduction exacte de ses premiers mots est suivante : « Au commencement était la Pensé ». Seulement puis la Pensé – quelque chose impalpable – s'est incarnée dans la lumière et dans le son, c'est-à-dire dans l'onde. Elle est devenue la Parole sonnante – la structure ondulatoire qui porte l'image et le sens. Et le programme de la vie à tous les organismes de la Terre, y compris à l’être humain. Et les molécules de l'ADN le réalisent, elles portent le texte et l’image. Puisqu'elles émettent la lumière et le son, il faut chercher le projet du Créateur au niveau d'onde. Notre destin est inscrit dans l'ADN Dès le milieu des années quatre-vingt P. Garyaev élabore la théorie personnelle des fonctions ondulatoires de l'appareil génétique. Ses expériences sensationnelles confirment la nature double des gènes : ce sont la substance et le champ simultanément. Le champ est acoustique et photonique. P. Garyaev est assuré : c’est justement la forme de champ des chromosomes (des conservateurs des gènes) qui dirige le développement de l'organisme. D'abord elle « marque » sa structure spatiale temporaire. À l'intérieur de l'ovule il y a des images d'onde des parties du futur organisme. Ici s'inscrit partiellement son programme social, autrement – son destin. Et seulement puis, d’un mode multicouche, se réalise la réalisation matérielle de l'embryon en développement. Un tel méthode de Garyaev et de ses collègues provoque la critique sévère du côté des biologistes et des généticiens classiques moléculaires qui examinent les gènes strictement des positions matérialistes – comme la substance. Et pas plus. Pour que de la cellule minuscule soit construit l'organisme complexe, il doit absolument être le programme principal, Garyaev considère. Dans la partie étudiée du génome (les mêmes deux pour-cent) elle est simplement absente. Là, il y a « des gènes qui répondent pour … » Pour la couleur des cheveu, pour la forme du nez, des yeux. Ils « estampent » la protéine nécessaire, codent les ferments. C’est tout. Mais ces processus dans les trillions de nos cellules doivent être coordonnés et être réglés dans l'espace et dans le temps de l'organisme selon le plan commun. S'il est violé, il y a des mutations, des déformités, le cancer … Mais où exactement ce principal programme est-il inscrit ? P. Garyaev affirme : il se trouve dans la partie inexplorée, principale, du génome. © Alexander et Tamara Blanc 2011
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Les molécules de l’âme et du corps Les généticiens classiques sont assurés : les molécules de l'hérédité de l'ADN, c’est cette matrice matérielle dans laquelle on inscrit la « parole » – notre programme du développement, le code génétique. P. Garyaev trouve que ce n’est pas du tout ainsi. « Des positions de la génétique ondulatoire, ou quantique, les molécules de l’ADN fonctionnent non seulement comme la substance, mais aussi comme la source des champs électromagnétiques et sonores. Ce sont justement elles où il faut chercher, dit-il. On peut comparer cela à l'enregistrement audio. Nous mettons le disque compact, nous entendons ce qui est enregistré sur lui et cet enregistrement nous influence d'une manière ou d'une autre. Mais en effet, la substance du disque n’influence pas, mais la lumière et le son enregistrés sur lui. Les ADN fonctionnent aussi de la même manière. Ces molécules émettent le champ informatique et justement dans ce champ, en la langue ondulatoire est enregistré tout le plan de l'organisme, de son corps physique et spirituel. C'est-à-dire – du corps et de l’Âme. Pour la première fois l'idée d'un tel champ informatique des molécules de l'ADN était avancée encore dans les années 20 du siècle dernier par les savants russes A. Gurwitsch2, Alexandre Liubischev, Vladimir Beklemishev. P. Garyaev est allé plus loin. « Nous nous sommes persuadés que les 98 % inexplorés du génome – c’est l'hologramme. L'hologramme mobile, pulsatif, mésomorphe, qui fonctionne grâce aux propriétés laser de l'ADN. Grâce à leur capacité d’émettre les ondes des différentes longueurs, de créer les images lumineuses et sonores et de les lire, – dit le savant. – Dans cet hologramme, dans l'aspect roulé, sont enregistrés tous les textes et les plans géométriques de l'organisme. Ils sont enregistrés en différente couleur et en différent son, comme sur bande, seulement holographique, en relief (à trois dimensions). Pour réaliser cette information, il faut lire le texte, écouter et voir les images graphiques. Et l'appareil génétique est comme un bioordinateur pensant – il lit, écoute, voit et amorce les programmes nécessaires de la synthèse des albumines et d'autres substances ». ... De sorte que l'hologramme en relief du génome est le principal plan de la construction de l'organisme. Mais comment peut-on le lire ? Le livre qui se lit à lui-même « Notre travail avec les linguistes et avec les mathématiciens de l'Université de Moscou et de l'institut Mathématique de l'Académie des Sciences de la Russie a montré que la structure des successions des lettres des textes humains – que ce soit la parole ou le livre –sont proches du point de vue des mathématiques, – dit Petr Garyaev. – Mais si nous lisons le livre ordinaire ligne par ligne, on peut lire l’hologramme du génome de n’importe quel point dans n'importe quelle direction. Et cela donne les variantes innombrables de la lecture. Et de plus le texte dans lui n’est pas stationnaire – il bat constamment, change, scintille, en engendrant la quantité immense de nouvelles images et textes. (C'est pourquoi nous nous développons, nous évoluons, comme tout le vivant sur la Terre). 2
Alexander Gurwitsch (1874 – 1654) est un biologiste russe à l'origine de la théorie des champs morphogénétiques et de la découverte du biophoton.
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On peut les lire, comprendre le sens qui met en marche n'importe quel processus, seulement en ayant éclairé chaque texte par la même couleur par quel il est inscrit. C'est-à-dire par l'onde de la longueur extérieure. Et le bioordinateur de notre génome fait cela correctement, en choisissant du nombre infini des variantes notamment ce texte qui lui est nécessaire. Il y a finalement des images lumineuses et acoustiques – les structures ondulatoires de toutes les microparties du futur organisme. Puis elles sont remplissent de la matière – des protéines, des hydrates de carbone, des matières graisses, etc. Et nous retrouvons la chair. Pour que le nez apparaisse, il faut d'abord modeler sa structure ondulatoire. Et seulement puis lui remplir de la substance … Tout l’organisme se crée de cette manière ». Mais comment les cellules coordonnent-elles leurs actions ? Comment l'analyse instantané, en un temps, et la transmission d'information aux trillions des cellules sont-ils possibles en général ? En effet, pour cela il ne suffira aucunes vitesses supraluminiques. De l’avis de Garyaev, c'est possible seulement dans le cas où tous les cellules sont liées par la commune conscience instantanée et indissoluble. Alors l'information n'est pas remise d'une cellule à l’autre, mais quoi que « est étalée » sur tout l'organisme. Telle est la propriété de l'hologramme qui contient l'entier dans chaque particule. Pour le moment, il est impossible de comprendre en détail comment tout cela se passe, mais il est impossible d'expliquer autrement ce principe capital, d'onde, de l'action de nos chromosomes. Il est aussi impossible d’imaginer ce que dans chaque notre cellule on cache entièrement chacun de nous. Sous forme d’un dossier roulé. La formule commune de tout l’être Les conclusions de Garyaev rejoignent directement une des idées les plus sensationnelles de notre temps – la théorie de l'anglais la physique David Bohm3 sur le monde comme sur le Superhologramme. Dans lui, chaque particule est une copie de l'entier, porte l'information sur elle-même et sur le monde dans son ensemble. Sait ce qui se passe à cet instant avec n'importe quelle autre particule, même si celle-là se trouve à des millions de kilomètres d'elle. Et la vitesse n'y est pour rien, car le monde est un tissu commun. Avec le lien instantané. Le Superhologramme, comme le supermarché universel, comprend tout le monde. Les images ondulatoires, énergétiques et informatiques, du passé, du présent et du futur. De toute la matière, de toutes les dimensions et de tous les événements. De tout l’être. Et tout est lié à tout dans le tissu commun – les gens, les événements, les arbres, les grains, la mort de quelqu'un et la naissance de quelqu'un, les cris des mouettes et la goutte de la pluie, l’Adagio d’Albinoni et le 11 septembre à New York, la pensée qui traversa l'esprit de quelqu'un en Australie et s’alluma dans votre cerveau … Tout pénètre tout le monde. Il n’y a pas de hier, pas de demain, il y a le maintenant, il y a un tissu commun du temps et de l'espace dans lequel tout existe ici et maintenant. En d'autres termes, l'Univers est raisonnable. Et nous, ses fragments, résonnons avec lui. Car notre conscience – c’est seulement la particule de sa raison indissolublement liée à l'entier. 3
David Joseph Bohm (1917 – 1992) est un physicien américain, qui a effectué d'importantes contributions en physique quantique, physique théorique, philosophie et neuropsychologie. Il a participé au Projet Manhattan et conduit de célèbres entretiens filmés avec le philosophe indien Krishnamurti.
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N'est-ce pas le champ commun de la conscience sur lequel V. Vernadski4 écrivait-il ? Peut-être que toutes nos illuminations, explosions des souvenirs brillants des événements qui avaient lieu non avec nous, non ici, non maintenant, dérivent-elles de la même source ? Les souvenirs des places où nous n'étions jamais allés, des gens qui ne nous rencontrions jamais. Tout est lié à tout dans un tissu unique – les gens, les événements, une mort de quelqu'un et la naissance de quelqu'un, les cris des mouettes et la goutte de la pluie, le tsunami en Indonésie et le 11 septembre à New York. Est-ce que pour cette raison, même en partant, nous continuons à vivre dans la conscience d'autrui à titre des images vives sonnants. Volumineuses. Comme il faut dans l'hologramme. Dans le monde, il y a une multitude de vérités. Mais la supérieur est sur l'unité de tout l’être. Voilà est sa formule : « J'existe en tous et tous existent en moi ». Cette formule qui s’est inscrite dans l’ancien livre « Zohar », a pas moins quatre mille années. Sur quoi crient les fantômes ? « L'Univers est une chose sémantique, c'est-à-dire, comme un texte, il est plein des sens qui peuvent être exprimés dans les images ondulatoires et dans les sons. Il faut apprendre à les lire pour apprendre les lois selon suivant lesquelles nous existons dans ce monde, – dit Petr Garyaev. – C’est justement cela que nous tentons de faire, mais au niveau d’une cellule. Le bioordinateur laser créé par nous est capable de modeler les processus ondulatoires de texte holographiques dans les cellules et de lire leur information. En irradiant les cellules du faisceau lumineux laser, nous voyons leur réaction. Et puisque la lumière et le son correspondent exactement l'un à l'autre, selon le spectre de la dispersion lumineuse on peut juger sur les sons qui sont produits par les molécules de l'ADN. La mélodie de l'ADN signale leur état. Si elles se sentent bien, elles sonnent dans les fréquences graves. Si elles se sentent mal – les fréquences augmentent. Pour exemple, au chaud de 40°C à 45°C les cellules commencent à « crier », en communiquant qu'elles se sentent mal, car les cristaux liquides des chromosomes (où dans l'ADN est inscrite l'information héréditaire) fondent. S’effacent les codes supérieurs ondulatoires du développement de l'organisme ». Ces mots de Garyaev se confirment par les données américaines. Jim Gimzewski, l'investigateur de l'Université de Californie à Los Angeles, qui a découvert les vibrations sonores des membranes des cellules vivants, affirme que dans un divers état les cellules émettent les sons de la tonalité et de la hauteur définies. Cela signifie que l'on peut entendre la maladie selon le son des cellules. Il est opportun de se rappeler ici que le groupe du Garyaev a reçu les premiers résultats sensationnels il y a 20 ans. Et justement alors, en expérimentant encore avec les noyaux des cellules et avec les chromosomes, ils ont entendu pour la première fois les « cris » acharnés des molécules périssantes de l'hérédité. Certes que les « cris », c’est une métaphore. En terme de la science, c’est un changement brusque du spectre des oscillations acoustiques. 4
Vladimir Ivanovitch Vernadski (1863 – 1945) est un savant éminent russe et soviétique du XXme siècle, un naturaliste, un penseur et un homme publique; le créateur de plusieurs écoles scientifiques. Un des représentants du cosmisme russe ; le créateur de la biogéochimie.
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Mais il y avait quelque autre chose, frappante! … Une fois, par hasard les savants ont mesuré le spectre d’une place vide où auparavant il y avait des molécules de l'ADN. Le spectre a été presque le même, comme si les molécules étaient toujours là. La place vide non seulement diffusait le rayon du laser comme une barrière, mais aussi sonnait par les voix « émues » des molécules, comme si elles rugissaient de douleur provoquée par la destruction des noyaux. Mais seulement le signal était plus faible. D’une façon inexplicable, au moment de leur perte il y avait une notation de cette information dans l'espace. À l'avis du Garyaev, ici, est restée « une carcasse ondulatoire » du génome. Et maintenant les fantômes des ADN mourant faisaient entendre la voix. Après cinq ans les résultats analogues étaient reçus à l'université Stanford aux États-Unis, mais les explications réelles de cela n'étaient pas trouvées. Et tout à fait récemment le groupe du Garyaev a réussit à faire venir le fantôme par un autre moyen aussi efficace, en irradiant l'ADN par les champs électromagnétiques définis. « Le spectacle était charmant! », dit le savant. Il est admirable : le spectromètre enregistrait le fantôme pendent environ 40 jours! C’est justement autant de temps, selon les notions religieuses (et non seulement des chrétiens), pendent qui l'Ame reste à côté du mort. Dans 40 jours, le fantôme s'est désagrégé. Mais Garyaev est persuadé qu'après ce terme il y a encore quelque « carcasse ondulatoire » des particules ultra-légères. Ce fantôme est pratiquement éternel, comme la l’Ame de la personne, mais pour son enregistrement physique des appareils plus sensibles sont nécessaires. D'ailleurs, pas toujours. Ce n'est pas par un effet du hasard que de siècle en siècle on passe les récits des témoins sur les fantômes. Au fond, sur les fantômes ondulatoires qui peuvent être vus dans les conditions physiques ou dans les états psychophysiques définis par quelques-uns. Mais cela est déjà du domaine de « l'autre monde ». Et voilà la conclusion totale des études de la savante de réputation universelle, de l'académicienne Nathalie Bekhtereva : « Quelque pour-cent des gens continue à subsister sous l’autre forme, à titre de quelque chose que se sépare du corps, à quoi je ne voudrais pas donner d'autre nome que “l’âme”. En effet, dans l'organisme il y a quelque chose que peut s'en séparer et même survivre à la personne. » C’est un cas rare quand il est impossible de prouver, mais on peut se persuader. Le clone ondulatoire est reçu ? Tout cela est très intéressant, le sceptique dira, mais quoi, excepté la foi en la vie éternelle, donne une telle connaissance de la nature ondulatoire du génome ? Y at-il dans cela un sens pratique ? Tout est simple. Garyaev a réussit à prouver : le fantôme ondulatoire de l'ADN conserve l'activité biologique et est capable d'influencer l'organisme vivant. Il peut endommager la protection de champs des molécules saines, changer le sens des textes génétiques inscrits dans lui. Et cela mène aux maladies graves. Mais si le fantôme est capable d'influencer l'ADN sain, peut-il influencer le malade ? Ne pas tuer, mais ranimer. Et quand son groupe pour la première fois a fait cela à Moscou, eux-mêmes n'ont pas cru en les résultats. Cela a été estimé comme hasard. Mais les autres n'ont pas estimé ainsi. Sans tarder, les avaient invités au © Alexander et Tamara Blanc 2011
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Canada. À Toronto, ils ont créé la Corporation de la génétique ondulatoire et ont trouvé l'application pratique de leur théorie. « Nous avons fait une chose simple, tous ceux qui s'occupent du clonage en rêvent, – explique Garyaev. – Nous avons pris le pancréas d’un raton nouveau-né et nous l'avons utilisé comme une matrice. C'est-à-dire nous avons « photographié » et nous avons « mémorisé » l'information génétique de ce pancréas. Les miroirs du laser ont gardé son texte photonique. Le bioordinateur a lu cette information ondulatoire génétique et l'a remis aux rats mourants du diabète le pancréas desquels était artificiellement éloigné. Finalement, il est arrivé ce que n'avaient jamais réussi à faire les biologistes et les médecins, pendant les décennies passées, – chez les rats le nouveau pancréas s’est régénéré et tous ils ont survécu! Et les rats malades, de contrôle, sans telle influence, ils ont péri. Cela signifie que dans le corps des animaux a été cloné le pancréas normal. Que nous sommes trouvé le moyen ondulatoire de la gestion des cellules souches, car ce sont elles seulement qui sont capables de donner les clones des cellules qui forment le pancréas ». Si tout est comme Garyaev dit, les perspectives sont improbables. Qui ne consentira pas à remplacer, sans chirurgie, ses organes intérieurs, vieux et malades, par les nouveaux et jeunes?! Certes, il faudra faire encore pas mal de choses. Mais, au dire de Garyaev, on a fait l'essentiel : on a prouvé la possibilité importante d’un tel remplacement. « Nous faisions cela à distance aussi, ayant converti le rayon laser en ondes radio, et en transmettant au moyen d’elles l’information aux rats dans le local voisin ». Et nous touchions exactement au but. Comment est-il possible cela ? Où est la garantie que le rat, et non l'assistant ou quelqu'un autre, recevra cette information ondulatoire ? En effet, c’est la même ingénierie transgénique, mais ondulatoire. Est-ce que peut-être obtenu l'hybride du rat et de l’homme ? Cette information sera perçue et assimilée seulement par l'organisme apparenté, et seulement le biosystème qui est orienté vers elle, qui a besoin d'elle. Pour les autre c’est rien. Nos expériences à distance sont devenues la plus grande sensation au Canada. Les Canadiens mettent les rats aux voitures et voiturent à 1520 kilomètres. Nous transmettons là-bas l'information ondulatoire. Tous les rats condamnés survivent. Tous sont sains. Les pancréas de tous les rats ce sont régénérés. Et ainsi – 4 séries par 15 animaux. Les Canadiens étaient en état de choc. Le millionnaire qui nous avait invité là-bas, il est parti d'urgence à New York, avec les données reçues. Dans un jour, à son retour, on nous a proposé de partir à Moscou. Pourquoi – nous pouvons seulement soupçonner. Probablement, nous avons dépassé un peu le temps et nous empêchons bien des personnes … L'an passé, avec le concours des médecins de Nijni Novgorod nous non seulement avons répété entièrement les résultats canadiens, mais nous sommes partis beaucoup plus loin. Il s’est trouvé que si selon notre méthode traiter les rats avant l'introduction du poison tuant le pancréas, ils acquièrent la résistance à lui. Une sorte d'une immunité ondulatoire surgit. Il en résulte que nous avons trouvé le principe d'un certain antidote ondulatoire. Je suis persuadé – en provoquant chez l'homme « l'immunité ondulatoire », ainsi qu'en appliquant d'autres modifications de nos technologies, on peut lutter effectivement contre les maladies graves virulentes, contre la grippe, contre le SIDA, contre la tuberculose, etc. Nous avons compris le principe, c’est l'essentiel. Et nous avons appris à se servir. © Alexander et Tamara Blanc 2011
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Vous parlez sur l'application pratique de la génétique ondulatoire ? Justement. Si nous avons réussi pour la première fois dans le monde à régénérer le pancréas directement dans l'organisme, cela signifie que nous avons programmé, pratiquement par la voie ondulatoire, ses cellules souches. C'est-à-dire, les médecins se donnent du mal pour résoudre ce problème, mais nous avons fait cela. Et bien que maintenant il y ait déjà certains succès, en particulier, à l'étranger où on a réussi à cultiver, des cellules souches, la ressemblance du myocarde, quand même c’est une voie très longue. On peut la raccourcir essentiellement, parce que la voie principale du fonctionnement du génome est ondulatoire. Est-ce que vous appliquiez la méthode aux gens ? Oui, nous faisions cela. Certainement, aux engagés volontaires et par les mains des médecins. Elle fonctionne. Et quels sont les résultats ? Ils impressionnent. Il est prématuré de déclarer les succès, mais les résultats négatifs nous ont étourdi. Nous avons placé sur le verre la matière biologique prise à notre collaborateur (le sperme) et nous l’avons « lu » par notre bioordinateur, c'est-àdire nous avons copié l'information ondulatoire. Puis elle est revenue au collaborateur. Il est au plus mal. Pendant 10 jours il était dans l’état critique, il a manqué de périr. Je pensais beaucoup à cela et puis j’ai deviné : il a donné sur lui-même l'information personnelle embryonnaire. Extrême! L'information qui déforme l'hologramme actuel de son génome par l'exigence absurde de transformer le vieillard en l’adolescent. Plus exactement – en l'embryon. Mais le mécanisme s'était embrayé et dans l'organisme la casse a commencé, tout s’est délabré … À propos, j'étais à côté de lui, mais il n'y avait presque aucune influence sur moi. Voilà quelle est la puissance et le danger de telles technologies! Avez vous le sentiment que vous avez dépassé la ligne interdite ? Je suis dans le doute tout le temps. Un de nos collaborateurs a dit récemment : « Je ne participe plus à cela. Je crains. Dieu ne nous a pas puni, mais Il nous a prévenu ». Je pense quand même – il faut connaître Son projet. Mais connaître très exactement et ponctuellement. Pourquoi est-il nécessaire ? Il y-a beaucoup de mal sur la Terre et il faut lui dépasser par la connaissance. Si quelqu’un veut faire la génétique ondulatoire comme l'arme offensive, nous devons connaître comment se défendre. Pour cela, il faut être en avant. Etes-vous assurés qu'elle n'existe pas encore ? Elle existe et il y a longtemps qu’on l’applique. Mais à un autre niveau – verbal. Rappelez-vous la programmation neuro-linguistique (PNL). C'est la même génétique ondulatoire de laquelle on se serve largement et sans contrôle. En effet, certains mots et textes « explosent » au niveau mental dans le génome de la personne, déchirent les chromosomes, déforment les programmes héréditaires, en provoquant les maladies. Enfin, ils nous font un instrument obéissant dans les mains étrangères. D'ailleurs, c'est un sujet séparé.
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L'interdiction Non seulement séparé, mais aussi sans issue. Car il nous fait revenir à l’énigme inconcevable du mot. A la force matérielle cachée dans lui qui est capable de créer l'impossible. Les malédictions qui vouent à la maladie et à la mort. Les formules magiques qui arrêtent le sang. Les prières qui donnent la guérison. Mais on pourrait penser que c’est seulement le fatras de sons et de paroles échelonnées! À vrai dire, comme s'est révélé plus tard, chaque mot aussi « est peint » en couleur définie du spectre … Mais qu'est-ce que cela explique véritablement ? Pourquoi les vibrations sonores des mots sont-elles capables de provoquer tels changements dans l'organisme – fatals et salutaires ? En n'importe quelle langue! Il résulte qu’il y a une certaine langue universelle et claire pour tout ce qui vit. Elle est claire pour nos cellules, pour les plantes. Mais non pour nous. Comme si quelqu'un a interdit. Et il est peu probablement que c'est accidentel. Le lauréat Nobel (en 1964 pour la découverte du laser), le physicien américain Charles Hard Townes affirme : « Il y a une grande force spirituelle dans l'Univers, les sciences devront en tenir compte davantage pour comprendre la signification de la vie, et évoluer inévitablement vers une compréhension mutuelle ». (Vladimir Kuchar'jants) « L'homme a découvert depuis longtemps que toute matière provient d'une substance primordiale, un champ subtil et vaste, au-delà de toute imagination, l'Akasha ou éther photophore, sur lequel agit le Prâna avec l'énergie créative, qui donne vie à toutes les choses et tous les phénomènes dans un cycle éternel. Si on accélère cette matière primordiale dans d'infinis tourbillons, elle se transforme en matière brute ; si la force diminue, le mouvement disparaît et la matière retourne à son état originel. » Nikola Tesla, qui a écrit cette phrase, prétendait que cette force, appelée éther en Occident, pouvait être utilisée. Il en fit la preuve de façon expérimentale. Il inventa des générateurs fonctionnant à l'éther, qui ne servaient pas seulement à faire marcher des automobiles, mais qui étaient capables de provoquer des tremblements de terre et des tempêtes ; il inventa des moyens pour transmettre l'électricité sans fil et sans ligne à haute tension. En un mot, il utilisa l'Akasha à des fins industrielles. D'après lui, il était impossible de manquer d'énergie, si on savait exploiter l'énergie cosmique universelle. Pour faire une comparaison, c'est comme si quelqu'un se trouvant assis au fond de la mer, une tasse à la main, se demandait comment la remplir avec de l'eau. Comme cette personne assise au fond de la mer, l'homme ne semble pas être conscient de l'omniprésence de l'énergie cosmique. Il n'est pas surprenant que la physique officielle tourne l'œuvre de Tesla en ridicule, que les monopoles de l'énergie aient acheté ses brevets et les aient mis dans un coffre-fort, que les militaires américains et russes aient étudié ces procédés de manière intensive pour développer des armes sophistiquées. Malgré toutes les campagnes de désinformation sur l'énergie libre, la vision des possibilités qu'elle permet, ne se sont jamais arrêtées. Un autre scientifique occidental supposait que l'espace n'était pas vide, mais rempli d'éther, et qu'il n'y avait, en fait, pas de différence entre l'espace et l'éther. Cet homme s'appelait Albert Einstein. Pour lui, l'espace représentait « quelque chose », il n'était pas « rien ». A l'âge de 15 ans Einstein pensait, comme beaucoup de scientifiques de son © Alexander et Tamara Blanc 2011
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époque, qu'il existait bel et bien un éther. il abandonna cette idée plus tard, la réfuta pendant 11 ans, de 1905 à 1916. C'est à ce moment qu'il développa la théorie de la relativité, qui devait avoir une influence prépondérante sur la physique. Cette théorie s'imposa comme credo officiel ; on ignora tout ce qu'il dit plus tard au sujet de l'éther. Il s'exprimait ainsi en 1934 : « L'espace physique et l'éther sont des dénominations différentes pour le même concept ; les champs sont les états physiques de l'espace. » Il alla jusqu'à dire que l'espace ne pouvait être vide, que l'espace est un médium dynamique et qu'il produit des particules élémentaires - ce qui le rapproche de la culture ancienne de l'Inde et de sa notion d'Akasha. Et voilà l'opinion de Dieu à cet égard
Le monde où nous vivons est simplement une visualisation collective, on nous apprenne à la faire de naissance. À proprement parler, c'est la seule chose qui passe d’une génération à l'autre. V. Pelevine5 1. L'illusion ou la réalité ? Tout dépend du contenu de la Conscience Dans l'article, on dit que l'Univers est le fantasme et n'est pas la réalité objective. Nous essaierons comprendre à quel point c’est juste. D'abord nous devons définir ce que les gens comprennent d'habitude comme le fantasme (l’illusion) et que comme la réalité objective. Le fantasme est l'antipode de la réalité objective. Les deux notions sont relatives et se manifestent en fonction du moyen de la perception. À proprement parler, le monde où nous vivons, pour nous est tout à fait objectif et réel. La seule chose qui ne nous suffit pas, ce sont les connaissances sur la coopération avec ce monde, pour que nos rêves d’une belle vie deviennent réalité. La manifestation du Monde en forme de l’hologramme, pour notre Conscience responsable de la vie dans le monde physique, n'a aucune importance. Peut être, estil important de prendre en considération le caractère holographique du monde dans le monde des idées et des images mentales ? Alors il faut tirer au clair cet aspect, étudier et apprendre à l’utiliser dans les intérêts personnels. En percevant la réalité ambiante avec l'aide des organes de sens, la personne reflète l'information reçue dans sa Conscience et crée son image qui puis s'explique. À la fin de ce procès, la Conscience forme la Connaissance de la Vie qui reste dans la mémoire. « Le monde est un miroir qui renvoie à chacun le secret de sa propre image » (W. Thackeray6). L'image créée dans la Conscience a l'air d’un hologramme. Est-ce qu’elle aura réelle ou illusoire ? Cela dépend de nous, de notre conception du monde et à quel point est réaliste l'image de la réalité créée par nous. Les connaissances reçues au 5
Viktor Olegovitch Pelevine (n. 1963) est un écrivain russe. William Makepeace Thackeray (1811 –1863) est l'un des romanciers britanniques les plus importants de l'époque victorienne.
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cours de la compréhension, elles sont objectives, si la personne peut les utiliser dans l'activité, pratiquement. «…Chaque vérité doit être vérifiée par la pratique » (Karl Marx). La Conscience est directement liée à l'activité professionnelle et se développe grâce à elle. Il suit de là que la personne connaît la Vie seulement en conséquence de l'activité pratique consciente et intelligente. La Conscience ne perçoit pas et ne voit pas toutes les autres connaissances comme pondérables et significatives. Même si ces connaissances actuelles concernent les bases de l'Univers et sont reçues par la personne des bouches du Créateur même, au fond en étant les vérités absolues. Rappelez-vous, comme il était difficile d'apprendre les leçons à l'école, particulièrement, quand il n'y avait pas application pratique aux connaissances reçues. Oui, les disciplines étudiées augmentaient notre érudition, mais elles aussi s'oubliaient facilement, n'étant pas réclamées. C’est justement pour cette raison (pour l'augmentation du rendement scolaire) qu’on conseille d’étudier les disciplines d'école avec l'intérêt, trouver l'application nécessaire pratique pour le matériel éducatif, quand même à titre des soirées, des olympiades, des compétitions de toute sorte. Si l’organisation de telles activités est impossible, il faut bachoter le matériel et répéter plusieurs fois, en retracent de temps en temps dans la mémoire. Certes, les fonctions de la Conscience sont beaucoup plus larges que la compréhension de son activité pratique dans le monde physique. La Conscience est liée à tout le processus mental et est appelée à faire la classification des connaissances : quelles connaissances participeront à ce processus et quelles pas. Naturellement, elle admet à la participation au processus seulement celles-là qui ont de l’importance vitale pour la personne et bloque les autres. C'est pourquoi si tout l'intérêt vital (le sens de la vie) de la personne se borne à son activité concrète, par exemple, professionnelle, la Conscience ne débordera pas les limites de cet intérêt sans orientation spéciale. Il est naturel que dans un tel cas se limitent les processus de cognition et de la pensée. Au manque des connaissances sur la Vie, se limitera la compréhension de la vie personnelle, ainsi que de l'activité personnelle (de la réalisations dans elle). Voilà l'exemple type : un homme, ayant reçu la profession de musicien, n'accepte rien d'autre que la réalisation de soi-même dans cet aspect de l'activité. Sa Conscience est attachée à l'habitude acquise, voit dans elle le moyen de la satisfaction des nécessités de la vie, c'est pourquoi n’importe quelle information sur le changement possible de la profession bloque au cours de l’interprétation et de la compréhension. Analogiquement la personne se comporte non seulement dans le choix de la profession, mais aussi dans n'importe quel aspect de la coopération avec le processus vital. Elle peut être obsédée par n'importe quelle idée. L'idée semblable sera perçue par la Conscience comme vitale, c'est pourquoi pour sa réalisation sera dépensée toute la ressource mentale et psychique de la personne. Naturellement, la Conscience bloque tout ce que déborde le cadre de cette idée et la grande partie du processus vital pour la personne reste en dehors de la réalité, est perçu comme le fantasme (la zone « aveugle »). La propriété semblable de la Conscience est représentée vivement dans le travail avec l’information différente. Très souvent, la personne passe devant celle-là qui peut changer sa vie essentiellement et qualitativement. En s'adressant constamment à Dieu sur l'amélioration des conditions de la vie, par cela même en © Alexander et Tamara Blanc 2011
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adressent la demande à l'Univers, avec cela la personne refuse l'information nécessaire, parce que sa Conscience n’est pas capable de la voir et l’accepter. Le diamant Koh-i-Nor (la parabole indienne) Une fois, un paysan trouva la pierre sur sa parcelle de terrain. La pierre était très belle et le paysan pensa qu'il pourrait plaire à ses enfants, c'est pourquoi il apporta la pierre à la maison. Les enfants jouaient avec la pierre jusqu'à ce qu'il ennuya, après quoi ils le laissèrent sur la fenêtre et l’oublièrent. Un Sannyasin, un moine errant, en passant par les montagnes, cherchait un abri pour la nuit et le paysan l’invita à la maison. Le Sannyasin accepta la nourriture qui lui fut offerte, après quoi ils firent un bout de conversation, puisque le Sannyasin était le voyageur et connaissait la multitude de nouvelles. Et quoi qu'entre autres, le Sannyasin dit : – Qu’est-ce que tu fais ici ? Je connais la place où on peut trouver les diamants directement au bord de la rivière. Tu pourrais faire fortune très rapidement. Le lendemain matin, le Sannyasin partit, et le paysan décida de se mettre en campagne. Sans savoir où est cette rivière, il vendit son terrain et dit adieu à sa femme et à ses enfants : – Vous devez m'attendre, pendant tout au plus cinq ans, et je reviendrai riche! Il travaillait assidûment, mais aussi dans cinq ans il ne trouva pas cette place où il y aurait beaucoup de diamants. Cependant durant ces cinq années il apprit nettement qu'est-ce que c'est le diamant. Et voici, quand il revint chez soi et s'approcha de sa hutte, il ne put pas en croire ses yeux – le diamant le plus grand et le plus rare se trouvait sur l'appui de la fenêtre de sa maison, oublié par tout. Et alors il se rappela comme l’eus trouvé. Les bornes créées par la Conscience dans la perception et dans la coopération avec la réalité (avec la Vie) influencent aussi l'activité de la personne, bloquent la possibilité de la vision de la perspective de son développement. « Les convictions sont des ennemis de la Vérité plus dangereuses que les mensonges » (Friedrich Wilhelm Nietzsche). Il est naturel que souvent cela empêche d’obtenir de bons résultats dans la vie. C'est pourquoi, ayant acquis les habitudes définies, la personne est capable de mettre tous ses efforts dans la qualité du travail, mais avec cela ne pas voir ces perspectives qui se trouvent au-delà de ses bornes. Le phénomène semblable est le résultat de la Conscience limitée. La personne peut être le travailleur consciencieux, capable d’accomplir vite et qualitativement le travail mécanique, mais elle ne deviendra jamais in inventeur, un novateur ou un créateur de son affaire, parce que n'importe quels changements possibles de son activité pratique se trouvent en dehors de sa Conscience limitée. Il n’y a rien de surprenant dans cela. La Conscience a limité la vie de la personne par les bornes définis et par l'algorithme des actions qui se répètent. Pour elle, ces efforts pour la réalisation du conçu sont bien assez suffisantes. Outre cela, il © Alexander et Tamara Blanc 2011
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n'y a pas de nécessité aiguë pour apporter quelques innovations dans la pratique existante, c'est pourquoi il n'y a aucune nécessité de changer ce qu'elle possède déjà. Cette propriété de la Conscience se manifeste toujours et dans tout le monde. Elle limite constamment la perception de la Vie, en économisant la ressource psychique et énergétique de la personne. C’est seulement la nécessité aiguë vitale qui peut Changer la propriété semblable de la Conscience. Il s'ensuit que si la personne est tout à fait contente de sa vie et trouve que possède tout le nécessaire, la Conscience n'élargira jamais les bornes de la réalité pour recevoir les biens vitaux supplémentaires. La personne reçoit de la Vie exactement autant de biens que la Conscience lui permet. Les connaissances sur la Vie qui sont reçues par la personne se bornent aussi à cette activité qui est nécessaire à la satisfaction de ses besoins de la vie. N'importe quelle autre connaissance se trouve en dehors de la Conscience limitée, c'est pourquoi la personne ne voit pas le sens dans elle. N'importe quelle réalité se trouvant en dehors de la Conscience est perçue comme un fantasme. Pour cette raison la personne perçoit beaucoup de choses dans la connaissance de la réalité ou à titre d’hypothèse (la supposition) ou en forme d’un miracle, d’un super-phénomène. Acceptez qu’il est simplement impossible de soutirer quelque chose à titre des connaissances compatibles avec la réalité de ce domaine de l'ignorance qui ne peut pas être perçu par la Conscience. C’est pourquoi beaucoup de connaissances acquises par la personne ne trouvent pas l'application pratique et existent seulement dans la théorie, en reflétant dans la Conscience la réalité en forme des images fantastiques. Vous avez en droit de poser la question : « Pourquoi tout se passe-t-il ainsi ? » Oui, c’est en effet la propriété de la perception de la réalité par la Conscience. Si la personne s'est enfoncée dans l’inconnu, pour sa Conscience c’est une impulsion pour la connaissance, pour la compréhension ou pour la protection contre l’inconnu. Si la personne ne crée pas la demande de la connaissance de la nécessité vitale, la Conscience bloque l'accès de l'inconnu au processus mental, et la personne s'en défend par tous les moyens bons ou mauvais. Cette propriété de la Conscience est particulièrement évidente dans le business de réseau, quand un novice tente de porter l’importante information à vos proches et à vos amis. Avec cela il ne prend pas du tout en considération l'état de leur Conscience. À la différence de lui-même, ses amis n'ont pas le but de changer le mode de leur vie, son état et sa qualité, c'est pourquoi ils ne perçoivent pas l’information d’un tel novice. La conclusion est simple : avant de donner l'information élargie à l'interlocuteur il faut estimer ses prétentions réelles de vie et de l'état de sa Conscience. Donc, la Conscience est l’outil naturel donné à la personne pour la synchronisation de ses idées (de ses pensées, de ses désirs) et de ses actions avec la réalité (avec les conditions réelles de la vie). Puisque la perception de la réalité et l’étendue de la coopération avec elle se limitent à la Conscience, un grand nombre de moyens de la résolution des problèmes de la personne restent en dehors de leur interprétation et de leur compréhension. La Conscience limitée crée pour le processus mental les pièges psychiques, les soi-disant zones aveugles. © Alexander et Tamara Blanc 2011
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A la collision avec l'inconnu, elle dirige la pensée à un des pièges psychiques qu'engendre dans son porteur la multitude de peurs et le désir de se défendre de l'information ou de la situation inconnue. Cet inconnu est potentiellement capable d'apporter à la personne la résolution attendue de ses problèmes, mais elle n’est pas capable d’examiner la possibilité semblable, puisque la pensée qui s'est trouvée dans la zone « aveugle » n'est pas capable de dessiner dans sa Conscience l'image concrète de la réalité. En fin de compte, la personne prend une décision incorrecte, fait une action erronée et après tout va aux cerises. « Les bons managers non seulement font l'argent, mais aussi créent le sens de l'existence pour les gens » (T. Peters, R. Waterman). Certes, dans nous on met les qualités, le développement de qui est capable d'éliminer ce manque, mais la complexité consiste en ce que la personne doit se rendre compte de la nécessité d'un tel pas. « Dieu aide ceux qui s'aident eux-mêmes; mais le gouvernement aide tous les autres » (le proverbe américain). Si les pensées et les actions ne sont pas synchronisées avec la manifestation réelle de la Vie, quand la personne n'a pas des buts objectifs d'une importance vitale, sa Conscience est loin de la compréhension de la nécessité de perfectionner quelque chose dans soi-même. Une telle personne est capable de faire la seule chose, c’est se concentrer sur elle-même et chercher le sens de la vie dans ses convictions (stéréotypes), dans ses émotions et dans ses épreuves. C'est pourquoi la personne ordinaire doit comprendre l’inconnu par les données indirectes qui se sont données par les différents dispositifs et appareils mécaniques. Nous ne pouvons pas juger autant ces dispositifs sont exacts, mais dans l’usage pratique, ils n’élargissent pas la gamme de la perception de la réalité. C’est justement pour cette raison que plusieurs aspects de la Vie restent toujours inaccessibles pour la compréhension et pour l’interprétation. La seule confirmation de l'authenticité des hypothèses et des suppositions est la pratique (la vérification de la théorie dans la coopération avec la réalité), mais l’étendue de la réalité à qui beaucoup de gens coopèrent est beaucoup limitée. Il suit de là que la Vie existe tout à fait isolément de leurs besoins. Simplement, elle n’est pas capable de leur donner ce qu’il est nécessaire en réalité. La personne est obligée de connaître et de comprendre d'elle-même la réalité, en s’appuyant sur ses capacités intérieures – pour la plupart des gens, il faudra encore les découvrir. Mais autrefois il faut élargir l’étendue de la perception de la Vie, sa compréhension et son interprétation. Dans ce cas, le néocortex prend part au travail, il permet de développer les connaissances pratiques sur la réalité, qui donnent la possibilité de les appliquer dans l’activité journalière, cela change qualitativement tout le mode de vie. Par exemple, la personne avec la Conscience limitée ne sait pas travailler avec l’information. Admettrons qu’elle a lu sur les soi-disant champs de torsion, mais ne trouve pas d’application pratique de l’information donnée. L'utilisera seulement pour augmenter le niveau d’information ou de l'érudition personnelle et pas plus. La personne avec la Conscience élargie et avec le néocortex actif se posera absolument la question : « Quelles perspectives sont-elles possibles grâce à la reconnaissance de la présence des champs de torsion ? » La connaissance de cette question, sa compréhension et son interprétation permettent de trouver la réponse pratique : « À la différence des champs physiques ordinaires, ce champ est créé par la pensée et il est capable de la matérialiser. Et si le © Alexander et Tamara Blanc 2011
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champ de torsion remplit tout l'espace de l'Univers, la pensée est réellement omniprésente et est à la base de la Création de la Vie. Mais alors les gens, comme les porteurs des diverses pensées, peuvent diriger, avec leur aide, toutes les forces de la nature, ses phénomènes et la conduite l'un de l'autre, à notre siècle d'information cela se passe considérablement vite. Avec l'aide de l'idée la personne est capable de changer toute la vie. » Il est probable que, ayant compris cela, les gens apprendront à contrôler leurs pensées et ne pas se tuer par elles les uns les autres. « On peut parler et écrire tout ce que tu penses, mais il faut penser prudemment» (Nora von Eltz). La nature est réglée avec sagesse. Ayant observé les gens, on peut en venir à la conclusion que l'état de la Conscience changée à titre du développement du processus de la pensée et de l’amorçage du néocortex, est acquis par ceux-là dans qui l’égoïsme entièrement manque. À sa présence, même les efforts actifs de la personne afin d’acquérir les connaissances sur la Vie et comprendre la conception du Créateur ne mènent pas au résultat souhaité. Dans ce cas, il perd la principale composante du processus de cognition – la généralisation des connaissances reçues dans leur application pratique, c'est pourquoi dans la Conscience ne se crée pas le tableau général de la représentation volumineuse holographique de la réalité et de l)Idée de la Vie de Dieu. La passion pour le processus de la connaissance acquiert dans ce cas la coloration karmique, il y a une illusion de l'omniscience et la personne elle-même ressemble à « l'âne chargé des livres. » La personne dont la Conscience est libre des connaissances pratiques, la remplit par les perceptions sensuelles, par les habitudes et par les émotions, qui créent à priori l'effet de « l'invisibilité » pour la Conscience dans la perception du monde réel, comme pour le monde dans la perception d'une telle personne. « Les chaînes de l'habitude sont trop faibles pour être senties jusqu'à ce qu'elles soient trop fortes pour être cassées. » (Samuel Johnson). L'absence des connaissances a créé l'effet de « l'invisibilité » pour le pauvre de la parabole et il n'a pas vu les diamants au nez. Mais les sentiments et les émotions l’ont forcé à partir de la maison et chercher la réalité dans le monde des illusions. C’est justement la personne sous l'empire des émotions qui sans hésiter avale n'importe quelle amorce, ayant oublié ce qu'elle possède déjà. Est-ce que pour cette raison les gens n'ayant pas de vraie représentation (connaissances) sur leur place et sur leur rôle dans la vie, sur les relations possibles avec Dieu, comment elles se forment dans la réalité et se concrétisent, est-ce que pour cette raison elles se passionnent facilement pour le fieffé mensonge de divers « maîtres », se proposent du succès facile et rapide et se dépêchent dans les écoles et les sectes organisées par ces « maîtres », « avalent » tout ce que la publicité omniprésente leur donne ? Dès nos jours, les gens sont remplis des peurs de toute sorte de l'arme psychotrope, de la zombination, de l'hypnose massive, de l'intervention des extraterrestres dans les affaires des habitants de la Terre et d'autres sottises. Pour se garder dans la nature, En écrasent et en cassant, La peur elle-même se reproduit, Elle se cultive et se nourrit. I. Gubermanne © Alexander et Tamara Blanc 2011
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Il ne vaut pas la peine de craindre tous les moyens de la manipulation de la Conscience, il faut craindre soi-même, l’incompétence et les actions inconscientes. On peut désarmer la Conscience, l-ayant privé de ses connaissances véritables. Seulement ces connaissances doivent devenir votre essentiel et répondre à l’Idée (au projet) du Créateur, qui a été mise par Lui dans les bases de l'Univers. Cherchez et étudiez les connaissances sur vous-même et sur la coopération avec Dieu dans la vie réelle, mais pas dans la rétrospective bimillénaire, dans qui vous n'étiez pas encore. Développez l’interprétation et la compréhension de la réalité et vous serez protégé! En parlant sur le phénomène de « l'invisibilité », nous ne réinventons pas. L'effet semblable assiste dans plusieurs aspects de l’être humain. Nous citions plus d'une fois les exemples liés à la musique. La musique pour les animaux et pour le 5 % des gens existe en forme d'impersonnel, sur rien des bruits ne parlant pas. La majorité des gens est capable de saisir dans la musique seulement les figures rythmiques et la mélodie la plus simple. Pour eux, le spectre principal de la palette musicale reste en dehors du champ de la perception du cerveau. Puisque la jeunesse, la partie active de l'Humanité, fait partie de cette catégorie des « mélomanes », l’industrie divertissante moderne lui donne les directions les « plus récentes » de la musique, dans lesquelles il n’y a rien que le rythme importun et le vrombissement assourdissant des haut-parleurs électrodynamiques. Le témoignage de la dégradation des goûts et des penchants musicaux est le fait de la disparition graduelle de la classique musicale dans les programmes de radio et de télé, et pour la majorité écrasante de la population, comme qui dirait elle déjà n'existe pas et nous rappelle par les mélodies frivoles des téléphones portables. Mais en effet, c'est le 99 % des ressources fondamentales musicales de l'Humanité et la possibilité de percevoir le Monde dans son harmonie. Il en est de même pour toutes les autres obtentions modernes dans le domaine de la culture de masse. Ou, par exemple, le problème du changement du climat sur la Terre, on mène la lutte contre cela aux niveaux gouvernemental et international. On appelle les raisons de ces changements « les trous de la couche d'ozone », les émissions industrielles du fluor et du carbone, sans prendre en considération ce que la Terre s'est approchée au plus près du Soleil au 20 % de la distance habituelle. Ce fait fondamental et criant jusqu’ici reste invisible et passe « inaperçu ». Pour nous, la profondeur des siècles lointains Est déjà visible comme un détail indiscernable, Et c’est seulement le scientifique Qui peut mentir à l’aide des statistiques ! I. Gubermanne Les prédictions paniques sur la montée catastrophique du niveau de l’océan mondial servent de l'exemple de tels bobards. Pardonnez, mais comment peut-on appeler l’action quand, en prédisant le déluge, on déclare ce que sur la planète un bon tiers des calottes polaires et des glaciers. Et avec cela, il n'y a aucune information sur les chiffres concrets de la montée du niveau de l’océan mondial qui, comme de raison, devait s’augmenter déjà d’un demi-mètre. Sans entrer dans les détails, nous déclarons avec le sens des responsabilités que le deuxième déluge n'aura pas lieu, © Alexander et Tamara Blanc 2011
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plût au ciel que nous supportions l’énergétique! À la dernière décennie est observé le changement catastrophique de la santé des gens selon tous les paramètres. La multitude des aspects liés à la détérioration de l’écologie, au changement de la ration de l’alimentation, l'influence des facteurs techniques, etc., c'est ce que l'on appelle la raison de ce changement. Avec cela, on ne voit pas l’influence ruineuse sur l'organisme de la personne au niveau génétique (d'information) des fréquences ultrasonores. Il y a longtemps que quelques savants du monde disent que l’examen des fétus humains, aux premières semaines de la grossesse, à l’aide de l'appareil de l’échographie, a un effet funeste sur le développement du cerveau de l'enfant. Premièrement, l’ultrason peut interrompre la grossesse, deuxièmement, les cellules du cerveau que se développent retiennent son influence nuisible, en changeant leur structure et leurs fonctions. On sait que tous les liens d’information et fonctionnels de l’organisme (qui à la fonction insuffisante sont troublés) dépendent de l’activité du cerveau. La gamme des maladies provoquées par une telle dysfonction est assez large. Elle commence par les délabrements fonctionnels « insignifiants » de n’importe quel organe, se fait sentir sur la qualité des signaux nerveux, se manifeste en forme des maladies mentales et de l’incapacité de la personne à s'adapter aux conditions de la vie variables, en frappant avec cela la volonté et l’intérêt à la Vie. Nous ajouterons ici l'influence pernicieuse des appareils ultrasonores que bénéficient d’une grande publicité, ainsi que des appareils physiothérapeutiques d’une puissante irradiation ultrasonore, sur la molécule de l'ADN. Par le contact, la situation a été commentée ainsi : avoir dans la maison les appareils semblables, c'est comme si garder un morceau d’uranium sous la baignoire. Notez bien que l’on présente tout cela comme des fruits et des acquisitions de la révolution scientifique et technique, malgré qu’il y a longtemps que les hommes sagaces préviennent : « C'est regrettable que le plus dernier mot de la technique sera dit une minute avant la fin du monde » (Don Aminando7). Après cela une conclusion peu réconfortante s'impose – que le progrès technologique n’est pas du tout le précurseur de l’âge d’or … « Si vous voulez faire rire Dieu, racontez-lui vos plans » (Woody Allen8). Tombez malade de la pneumonie! (la parabole moderne) Une femme prit froid et aucun médicament ne l’aidait. – Eh bien, docteur, faites quelque chose, – implora-t-elle. – Il y a une idée, – répondit le médecin. Allez à la maison, prenez une douche chaude et, avant de vous essuyer, restez nue au milieu des courants d’air. – Est-ce que cela m’aidera ? – demanda la femme avec étonnement. – Non, mais vous aurez une pneumonie, et moi, je connais comment la traiter. Nous vous avons cité seulement trois exemples les plus expressifs du nombre du 95-98 % des aspects invisibles pour l’Humanité de ses conditions de vie. Tout témoigne que le Monde Subtil et Dieu sur la Terre ont de grands problèmes créés 7
Don Aminando est le pseudonyme d'Aminand Shpolansky (1888 –1957), un journaliste, écrivain, poète et dramaturge russe. Après le 1920 il vivait en France. 8 Woody Allen, de son vrai nom Allen Stewart Königsberg, (né 1935) est un réalisateur, scénariste et acteur américain.
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personnellement par l’homme à cause de son manque de réflexion, mais on peut les résoudre seulement dans l’union avec le Monde Subtil et avec Dieu. « La seule véritable issue se trouve là où il n'y a pas d’issue selon le jugement humain. Sinon, à quoi Dieu nous aurait-il servi ? Nous ne nous adressons à Dieu que pour obtenir l’impossible. Pour le possible, les hommes suffisent » (Léon Chestov9). Ce que jusqu'à nous aucune source n'abordait ce problème et ne le mentionnait dit qu'il, avec le Monde Subtil et avec Dieu réels, jusqu'à présent restait hors du champ visuel de l’Humanité. Le secret de l'invisibilité par l’homme consiste en ce que le processus de la Création commencé aux temps immémoriaux par le Créateur – par Dieu le Père Sabaoth, selon la Loi de la Triplicité ne pouvait pas être terminé sans participation du Deuxième Pôle – de l’homme du monde réel. La conception de la création du monde avancée par l’homme exclut n’importe quelle possibilité de la participation à la Création, puisque est exceptionnellement comptée pour la réception des dividendes des travaux du Créateur. Cela se manifeste nettement dans la théorie de la naissance de l’Univers à l’aide du Big Bang, comme, d'ailleurs, et dans la création biblique du monde par le Créateur qui acheva en sept jours. L’homme perçoit la création du monde comme le processus réalisé, tout à fait terminé. Mais alors, il y a une question – pourquoi l’homme du monde réel perçoit par sa Conscience seulement 2–5 % de ce monde et peut se servir des biens de ce monde à un tel degré ? La cause d'une telle absurdité consiste en ce que le Monde matérialisé par le Créateur doit être manifesté d’abord par la Conscience au moins d’une personne qui doit réussir à embrasser entièrement avec l’esprit l'Idée de la Vie de Dieu, en forme de l’espace vital entier qu’unit deux mondes – le Monde de l'Esprit (le Monde Subtil) et le monde physique, matériel. Sans oublier de voir soi-même dans lui. Et seulement après cette manifestation universelle chaque personne douée de la Raison et de la Conscience manifeste la Création de Dieu dans l’activité pratique, au moyen de qui la personne matérialise cette Création au plan de l'Esprit (les relations des gens et la sensation du milieu ambiant). Mais la manifestation véritable est une telle activité dans qui la personne respecte les intérêts de trois niveaux (les intérêts de celui-là qui tu suis, les intérêts personnels et les intérêts de celui-là à qui tu mènes à ta suite), ainsi qu’assemble trois niveaux de la Raison. Cela sous-entend la Raison Supérieure, la Raison de l’Homme (de l'Individu) et la Bioraison de la cellule (des cellules de l'organisme, ainsi que de la personne (de l'attribut de la Noosphère, de la cellule de l'organisme de la biosphère). Seulement après cette manifestation chaque personne du monde physique, séparément, peut et doit s'identifier comme l'Individu dans le tableau commun de l'Univers pour qu'après cela déjà identifier l'Individu de Dieu même. La religion pour cela se sert du travail de ces gens qui ont réussit à réaliser l'identification semblable. Elle tente de présenter déjà l'Individu achevé de Dieu à ceux-là qui doivent encore réaliser l’autoidentification … Les gens ordinaires avec la Conscience fermée, concentrés sur les problèmes personnels (c'est pourquoi ils sont des consommateurs des ressources vitaux de Dieu et de l’Univers), nous imputent que dans les livres nous faisons la propagande de nous-mêmes, en indiquant notre priorité. ils voient dans cela notre aspiration à nous magnifier nous-mêmes et à nous distinguer. 9
Léon Issaakovitch Chestov (1866 – 1938), est un philosophe russe juif.
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Cependant, que faire, si en effet nous les premiers avons dessiné le tableau général de l’Univers, ayant brossé un tableau des questions pratiques et des problèmes irrésolus qui se trouvent devant l'Humanité, devant l’Univers et devant Dieu ? Par cela même, nous avons accepté la participation active à Ses affaires, non en paroles mais en actes. Quand la terreur mortelle s’élève en nuages Et l’aboiement méchant de la poursuite perce l'obscurité, Heureux ceux qui ont osé ne pas souffler le feu dans l’âme. I. Gubermanne Mais alors il faut reconnaître que toutes les sources qui donnent l'information sur Dieu comme sur l’objet (sur l’absolu) préoccupé de porter jusqu’aux gens l’idée unique sur son amour, à vrai dire – « céleste et divin », induisent en erreur. Après cela, croyez-vouz que le Monde Subtil et Dieu, doivent-ils se rapporter sérieusement à nos assurances de la fidélité à Eux-mêmes et à la cause de l’Évolution, ensemble avec l’attirance pathologique vers « la perfection spirituelle », si l’homme, comme Il y a quelques milles ans, se guide dans la Vie par les émotions, mais non par « l’appareil de la pensée » ? Ils répondent : « Avec compréhension, avec sens de l’humour et avec longanimité », mais à parler franchement – aucunement. Les lois de l’Univers sont égales pour tous, personne n’a droit de les violer – ni le Monde Subtil ni Dieu ni l’homme, dans le cas contraire le violateur sera jeté du cours de vie. S’il y a beaucoup de telles violations, le processus vital lui-même s'arrêtera et la Source de la Vie tarira. Le seul secours que le Monde Subtil peut accorder à l'Humanité irraisonnable est indiquer la voie pour sortir du monde des émotions au monde de la réalité objective. A proprement parler, déjà pendant plusieurs milles d’années Il dépense pour cela ses ressources. La vie sur la Terre continue seulement grâce aux efforts du Monde Subtil et des gens qui ont obtenu dans le développement évolutif les possibilités phénoménales justement au plan de la compréhension et de la conception de la réalité. Et pour le moment la couche invisible de l'Être reste la source intarissable des miracles comme des tentatives visant aux « hommes justes » malheureux du flot ininterrompu des « forces sombres». 2. À quel point l’Univers est-il irréel et le fantasme ? Comment pensez-vous, à quel point votre pensée est-elle réelle ? Vous ne pouvez pas affirmer qu'elle est réelle, puisque l’on ne peut pas la voir, peser, exprimer par la formule mathématique et expliquer par les lois physiques. Néanmoins elle existe, vous pouvez la percevoir, définir son contenu, sentir l’importance pour le présent et l’avenir, après tout la comprendre. Cela signifie que vous n'affirmerez pas que la pensée n'existe pas, n'est pas réelle. N’importe quelle pensée peut donner naissance à un certain processus en forme d’une Idée (d’un projet) et c'est pourquoi peut être statique, concentrée, mais peut être dynamique (dans l’état de fonctionnement), donner la direction et les 27 © Alexander et Tamara Blanc 2011
moyens de la réalisation personnelle, en formant par cela même le champ (l’espace) pour sa réalisation. Le plus important, c’est ce que tous les points de cet espace sont remplis d’un contenu (de l’Idée) et des possibilités (des forces) communes pour la réalisation, donc, tous les points de l’espace créé par la pensée sont homogènes et isomorphes, en possédant les mêmes propriétés et les directions identiques (les moyens de la réalisation de l’Idée). Si vous connaissez la physique de l’espace, vous pouvez noter que l’espace physique en qui nous vivons, a les mêmes propriétés que l’espace créé par la pensée pour la réalisation de l’Idée. D’où la conclusion : l'espace qui est occupé par l'Univers est mental, créé par Dieu (par la Raison Supérieure) pour la réalisation de Son Idée (projet) de la Vie. Il est tridimensionnel (chaque point se caractérise par trois caractéristiques spatiales), possède le volume rempli d'énergie psychique qui est créée par la pensée active dynamique de Dieu. Et cet espace est réel, comme est réelle la pensée elle-même de la Vie du Créateur. Cet espace est la place de la vie de la personne qui est capable de l’influencer, de se servir de ses propriétés pour résoudre les tâches vitales et le changer plutôt que par toutes les actions physiques possibles n’à l'aide de Sa pensée. L’influence sur l'Espace de la Vie et sur ces processus naturels qui passent dans lui avec l'aide de la pensée, ne sont autre chose que la coopération spirituelle avec l’Idée de la Vie de Dieu, avec Sa pensée. À la suite de cette coopération, la personne forme l’espace vital virtuel. Et en outre cet espace de la Vie devient la réalité pour la personne si tant est qu’elle perçoive et comprenne l’Idée de Dieu qui l’a engendré. Mais l’Idée de la Vie de Dieu est perçue par les gens dans la gamme étroite qui est limitée par elle-même, par leur activité, par les recherches scientifiques et par les dogmes religieux. C'est pourquoi la personne se perçoit réellement seulement ellemême, ses problèmes, mais la Vie même et l’espace vital restent pour la personne une illusion (un fantasme). Il ne faut pas aller bien loin pour trouver des exemples. Tous connaissent que la Vie est le plus réel trésor que la nature puisse nous donner. Mais prêtez attention, comment nous employons ce Don ? Uns, en sacrifiant à la mode, fument, en empoisonnant leur organisme, leur corps, de la santé de qui dépend le succès dans n'importe quelle activité. Les autres ne peuvent pas se refuser aux désirs d’acquérir des « jouets » de toute sorte pour les adultes : la grande masse de l’argent, des résidences secondaires, des voitures, des yachts, des îles, des comptes bancaires, etc. Les troisièmes, trop égoïstes, aspirent à forcer les gens environnants réaliser leurs intérêts et vengent sans recevoir cela. Au total les ressources de vie se dépensent par la personne en vain, pour le tapage éhonté autour de l'idée inventée (subjective) de la vie, mais en réalité pour la satisfaction des intérêts égoïstes qui se réalisent dans la vanité journalière et dans les chamailleries interpersonnelles. « Il est plus facile de mourir pour l'idée que vivre conformément à elle » (Alfred Adler10). Vous rappelez-vous comment est-il écrit dans la Bible ? « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au 10
Alfred Adler (1870 – 1937), était un médecin et psychothérapeute autrichien d’origine juive, le fondateur de la psychologie individuelle.
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commencement avec Dieu »11. Pour beaucoup de gens cette phrase est un fatras de paroles, une bouillie pour les chats, mais en effet, tout le sens de la Création et de l’Être est mis dans cette phrase. Nous comprenons son idée. D'abord nous définirons, qu’est-ce que c’est la parole ? L’homme se distingue des animaux par ce qu'il est doué de la faculté de penser qui dépasse de beaucoup ses intérêts personnels et il peut exprimer toutes ses pensées par les paroles. Chaque parole est liée à la pensée concrète et l’exprime partiellement ou entièrement. C'est pourquoi quand on dit qu'au « commencement était la Parole », cela indique qu'il y avait en premier lieu une Idée. À la base de n'importe quelle Création se trouve une certaine Idée (la pensée originelle). La vie, ayant commencé par cette Idée, continue seulement grâce à ce que l’Idée est saisie par les autres êtres pensants, ils s’en remplissent, la réalisent et du même coup l’augmentent. La phrase « la Parole était avec Dieu » indique que la pensée ne peut pas exister en soi. Il y a toujours son porteur matériel. À cause de notre modicité, nous ne pouvons pas percevoir et comprendre le projet de la Vie, son Idée, ainsi nous non plus pouvons voir directement le Créateur, car nous nous trouvons à l’intérieur de Son projet (par exemple, les cellules se trouvent à l’intérieur de nous, c'est pourquoi elles nous perçoivent indirectement, par la pensée et par le système nerveux). Nous pouvons Le percevoir en forme de la Source de la Vie, qui sait toutes les particularités de ce processus et sont entièrement de ressort du Créateur. C'est pourquoi nous l'appelons « Dieu »! Eh bien, la dernière partie de la phrase – « et la Parole était Dieu. » Elle dit que la pensée est omniprésente. Avec son aide, on peut créer la Vie, mais on peut détruire tout ce qui vit. C’est justement la pensée qui possède toutes les particularités et les forces du processus vital. Elle est Dieu, le Créateur. C'est pourquoi l’homme, comme l’être pensant, doit comprendre, se rendre compte de toutes les particularités du travail de la pensée et apprendre à la diriger, en créant la vie et en transformant la face de l’espace vital. La pensée est douée de la puissance universelle, c'est pourquoi l’homme sera autorisé à la gestion de la pensée seulement au degré défini de son développement conscient, quand il est entièrement libre de l’égoïsme, pour ne pas nuire à l’Idée Vitale du Créateur. Au fond, la pensée est ce rayon laser qui est capable de vitaliser la Matrice de l’Univers, la ranimer. Il faut comprendre la Matrice de l’Univers comme l’Image universelle de la matérialisation de l'Être, la naissance de l’espace vital et du processus même de la Vie. C’est seulement la pensée possédant la capacité immense pénétrant qui est capable d’accomplir une telle tâche. La pensée d'une telle force appartient seulement au Créateur. Tous les autres êtres vivants doués du processus de la pensée, ils sont seulement capables de la percevoir à l’aide du néocortex et refléter dans leur Conscience développée (changée). Il faut comprendre la Conscience développée comme la perception changée de la Vie (la perception qu’assure la possibilité d’accepter et de traiter, par la mentalité, tout l’ensemble des fréquences holographiques créées par la Pensée Vitale de Dieu). Les fréquences holographiques mises dans l'Espace Mondial de la Vie ne sont rien d’autre que l’ensemble des énergies de toute sorte au moyen de qui la Vie est Créée. Seulement la Conscience changée de l’Homme est capable d'accepter et de coopérer avec l’ensemble complet des fréquences holographiques, en apportant la 11
Jean, 1 : 1.
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correction à l’Idée originelle divine de la Vie. Ce que l’homme est doué des fonctions du Créateur – c’est aussi le projet du Créateur. Il n'y a rien d’étonnant à cela. L’homme est créé à l’image des mêmes processus qui se passent dans l'Univers. Ils se manifestent constamment autour de lui et dans lui, il faut seulement vouloir les voir. Ainsi, le corps se compose des milliards de diverses cellules – des êtres vivants. Toutes elles ont le « cerveau » individuel de la gestion (la molécule de l'ADN), dépendent de la qualité des pensées de la personne générées par son cerveau qui est le Dieu pour les cellules. La pensée de la personne peut avoir aussi la capacité pénétrante, en embrassant par le champ de son influence tous les cellules qui se trouvent dans l’organisme, la pensée porte à eux son contenu (l'idée qu’elle contient). En reflétant l’idée de la pensée, la cellule est capable de changer son appareil de programme en forme du contenu d'information des molécules de l’ADN. Avec cela changent le travail de la cellule elle-même, le caractère de sa coopération avec les cellules environnantes et avec le milieu ambiant en général. Comme vous savez du cours de la physique, la capacité pénétrante au rayon laser est donnée par la qualité monochrome à titre de la directivité étroite concentrée sur une fréquence du spectre. Les pensées de Dieu qui portent la pénétrante puissance créatrice, aussi la qualité monochrome donne la force, en forme de concentration sur l’Idée unique – sur l’Idée de la Vie. La pensée de la personne possède la même capacité, c'est pourquoi si elle est concentrée sur la même idée (l’Idée de la Vie), avec son aide on peut assainir soi-même et guérir n’importe quelle maladie, même qu’elle soit incurable. La pensée capable de créer la Vie, transmet la particule de l’Idée de la Vie à chaque sa création, la doue d’une certaine fonction vitale. Cependant pour l'Évolution, il ne suffit pas de donner vie à l’Univers, en le peuplant. Ce sera un monde unipolaire, peu intéressant pour elle, avec le deuxième Pôle – l’être humain qui erre comme une âme en peine. Pour lui, tout l’Univers reste un mirage, un fantasme. Cela signifierait que la Création bien faite ne s'est pas passé. Pour que le Créateur puisse accomplir son projet, la personne, comme la créature la plus active et la plus créatrice dans le monde holographique, doit se manifester comme un tout unique avec lui. Pour cela la personne dans le monde physique, matériel doit connaître la propriété pénétrante et exploratrice de la pensée et apprendre à se servir d’elle. Comme il est déjà noté, telles propriétés de la pensée (l’exploration et la pénétration à n'importe quel point de l’espace vital) sont données par la concentration sur l’Idée Vitale de Dieu qui est synchrone à la réalité objective environnante de la personne. Pour expliquer cette idée simple, il faut se rappeler que tout le mode de vie dans la société, les lois écrites et non-écrites (morales), les saintes écritures, les doctrines et les sciences apprennent la personne à correspondre à leur étalon qui semble à titre du messager de Dieu – Jésus-Christ. Cependant la vie réelle et la personne dans elle, elles ne veulent pas correspondre aux Dix Commandements du Sermon sur la montagne, on pourrait penser que tels simples et clairs. Il en résulte que le choix de l’étalon est incorrect, de l’étalon selon qui on construit la vie de la personne concrète. Pour l’exemple nous suivrons le processus de la création du tableau par le peintre. S'il a créé le tableau magnifique sur lequel il reflète la réalité telle comme il © Alexander et Tamara Blanc 2011
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veut voir, peut-être ce sera une belle œuvre, mais tout à fait arrachée à la réalité, sans aucune relation à la vie. Dans le cas où le peintre souhaiterait refléter la vie réelle, il choisit la nature pour le tableau et commence à la peindre, en vérifiant chaque touche avec l'image existant, à tout coup embrasse entièrement tout l’objet. Ainsi pour le peintre, le standard ne sont pas ses fantaisies et son aptitude à peindre les tableaux en général, mais le savoir-faire de refléter l’image réelle sur la toile. C’est seulement ainsi que les maîtres créent de grandes toiles. Dans notre vie, tout se passe au contraire. On apprend à la personne à correspondre certain étalon mythique, idéal, créé par quelqu'un d'autre, mais cet étalon s'unit mal avec la réalité, et donc est incorrect, faux. Le paradoxe consiste en ce que Jésus-Christ se trouva un tel étalon. Puisque tout le processus de la construction de la personne (comme l’individu) est incorrect, tous ses grands buts restent inaccessibles – on peut observer cela dans la réalité. En fait, il n’a aucun paradoxe, puisque l’étalon, avec toute l’adoration devant Jésus-Christ, est statique et ne s'unit aucunement avec les réalités de la Vie moderne dynamique. Le problème consiste en ce que l’image de Jésus-Christ créée dans la Conscience de la personne par la société, elle est apportée du dehors et en réalité imposée, étrangère. Et puisque à la Conscience fermée la personne n’est pas capable de développer cette image et de créer sur sa base la propre Idée de la Vie, l’Évolution de la Conscience de la personne, ainsi que l’Évolution de l’Univers en général, avec cela s'achèvent « avec succès ». Ainsi, l’étalon lui-même comme tel n’y est pour rien, mais la faute de JésusChrist consiste seulement en ce qu’on tente de l’imposer à la Conscience fermée comme l’étalon. La société et la Noosphère sont coupables, elles empêchent par tous les moyens possibles même l’apparition de la pensée sur l’imperfection de la Conscience fermée de la personne. La cause est l’incapacité de travailler avec la pensée monochrome qui porte une Idée (qui est remplie de la demande extrêmement nécessaire) et ce n’est pas du tout la même chose que le savoir-faire de penser en général. Dans notre cas, l’idée sur l’imperfection de la Conscience serait monochrome et salutaire, comme le point de départ de l’Évolution de l’être humain. Cependant, en les derniers cinq mille ans, une telle pensée n'apparaissait pas dans les têtes des gens. Dans une telle situation, pour la Conscience fermée de la personne sûre de sa perfection et de son infaillibilité, l’image de Jésus-Christ est réclamée comme la touche finale, mais non comme le point de départ de l'Évolution. Cela signifie qu'il n'est pas employé à titre de l’étalon en principe! Si revenir au principe d’action du laser, le rayon se fait monochrome par un certain filtre (par l’agent moteur du laser) transmettant le rayon lumineux seulement d’une fréquence (d’une couleur). Dans notre cas, un tel filtre pour la pensée est l’Idée de la Vie de Dieu, et quand la raison de la personne devient son porteur, la personne reçoit la capacité de pénétrer profondément non seulement dans le fond des choses, mais aussi dans la Matrice de l’Univers. C’est justement la formation du Rayon de la Raison actif, peint individuellement (de l’aire de sensation), qui est, au fond, le fait de la réception de la Carte d’Identité de l'Univers. « Aussitôt que le sujet connaît l'idée, il n’est déjà plus l'individu, mais la Personnalité » (Arthur Schopenhauer12). Seulement ayant synchronisé la Conscience avec l'Idée de la Vie de Dieu, la personne reçoit l'accès au 12
Arthur Schopenhauer (1788 – 1860) est un philosophe allemand.
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Champ énergétique et informatique universel – à la Conscience de Dieu. Cependant, en réalité, ce n’est pas si facile et simple. D'abord, il faut apprendre à comprendre non les matières hautes, mais la personne doit modifier l’interprétation et de nouveau dessiner dans sa Conscience les images du monde environnant, en le scannant par le rayon limité de la pensée active qui est synchrone à l'Idée de la Vie de Dieu. Il faut de nouveau recopier la conception illusoire du monde, en vérifiant à tout moment chaque touche du nouveau tableau avec la réalité. C’est justement ainsi que le néocortex s'embraye et la Matrice de la Conscience se forme, et au fond – l'Univers Virtuel de la personne qui corresponde au tableau réel de la Vie. Si prendre en considération que 99 % des gens ne sont pas appris à faire ces pratiques, en travaillant avec le rayon dispersé de la pensée, ils ne peuvent pas créer les images réelles et concrètes de la Vie dans la Conscience. Donc, en reflétant la réalité dans un large spectre de sa manifestation, ils ne peuvent pas concrétiser leurs actions, choisir leur tendance élective et réaliser le besoin défini de la vie. C’est analogiquement que le rayon lumineux. Le rayon lumineux comprend sept couleurs de l’arc-en-ciel qui ont leur fréquence et leur gamme de la manifestation. L'ensemble de ces couleurs-spectres est le rayon blanc qui éclaire tout le spectre de la réalité (de l’espace) vue par la personne. C'est ainsi que le rayon dispersé de la pensée de la personne embrasse un large spectre de ses besoins qui règnent entièrement sur sa Conscience, mais ce rayon ne sait pas choisir parmi eux les besoins les plus importants et les plus primordiales pour la réalisation. Finalement, la Conscience devient distraite, non concentrée, et la personne perdre de l’œil les objets, on pourrait penser que les plus simples et les plus élémentaires pour la compréhension, en les faisant invisibles pour elle-même. Il suit de là que la divergence des réalités avec les désirs surgit. La personne réagit à cela d‘une manière émotionnelle, en créant pour elle-même le stress permanent, le déséquilibre avec la vie et l’incompréhension fatale de la vie. La vie bien réussie se transforme en cauchemar. La personne cherche la cause de ces échecs n'importe où, mais seulement non dans elle-même. Tout changera, si apprendre à diriger les désirs, en choisissant les primordiales et d’une importance vitale. Par cela même, la pensée est concrétisée, en se distinguant des autres. C’est justement elle qui devient de travail, active, demandant sa matérialisation. En d’autres termes, elle devient pour la personne l'idée (l’image) synchrone à son véritable besoin de la vie, et par conséquent, à la réalité de la Vie. La réalisation de l’idée dépend ensuite de l’habileté à vérifier constamment, dans chaque action, le degré de sa réalisation avec les situations actuelles des conditions de vie (avec les événements). Naturellement, la conformité donne le succès et la manifestation tranquille des émotions et la non-conformité provoque les émotions négatives et conduit à l’insuccès. C'est le signal pour que la personne change ces actions, les corrige et restaure la conformité perdue. Pour l'évidence, nous expliquerons le principe du travail de la Conscience par l’exemple du fonctionnement d’une invention humaine – par l’écran cathodique (le cinescope de la télé ou de l’ordinateur). Nous voyons l’image sur l’écran grâce au travail du balayage de lignes qui ne cesse pas une seconde. Son rayon 24 fois par seconde parcourt la multitude de lignes de l’écran. Sur chacune des lignes, sont disposés les groupes des points (des pixels) phosphorescents de trois coloré – bleu, rouge et vert. Le rayon du balayage, en parcourant ces points, les force à briller avec © Alexander et Tamara Blanc 2011
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un différent degré d’éclat, grâce à quoi il y a une image colorée de mosaïque. Pour que l’image soit vivante, chaque mouvement doit se diviser en 24 pas (cadre) par seconde. Dans notre cas, le balayage doit parcourir l’écran 24 fois par seconde. Nous noterons qu'elle 24 fois par seconde renouvelle toute l’image entièrement, sans la diviser en objets de l’avant-plan et de l’arrière-plan, ainsi qu’en objets mobiliers et immobiliers. Au fond, le schéma du travail du tube cathodique copie au juste le principe de l’action du Rayon de la Pensée de Dieu, avec cette différence que l’Univers n’est pas plat et statique, mais tridimensionnel et vivant. Plus vers cela le balayage du Rayon de la Pensée de Dieu non seulement remet l’impulsion de la Vie, mais aussi reçoit de chaque point de l’Univers l'information inverse, grâce à quoi il a la possibilité de se développer et d’évoluer. Puisque la tâche principale de l'Évolution et du Créateur même est non simplement la garantie de la vie heureuse et aisée de la personne dans le monde réel, mais aussi l’aspiration à la forcer à développer et à évoluer, le cinéma gratuit n’aura pas lieu. Le trésor supérieur de la vie Est l’esprit des doutes entretenus, L’invariabilité est un trait distinctif pour le bas, Et pour Dieu – la constance des variabilités! I. Gubermanne Pour que la personne puisse voir et comprendre le panorama volumineux tridimensionnel de la Vie de l’Univers, d’abord il doit quand même apprendre à scanner par son Rayon de la Raison qui encore doit être créé. Tous les pas ultérieurs de l'Évolution de la personne seront dirigés vers le développement des capacités du Créateur au plan de la gestion du balayage de la Vie de l’Univers. La complexité d’une croissance consiste en ce que le balayage du Rayon de la Raison de la personne avec la Conscience se réveillant ne se concentre pas sur tout le volume de « l'écran » de la Vie, mais aspire à tirer les aspects les plus importants de son être, à son avis. Tout l’arrière-plan (l’Univers) s’avère invisible. Pour mieux vous faire comprendre, imaginez-vous que vous voyez le cinéma où l’action se passe sur un fond vide blanc, sans natures, sans intérieurs et sans héros du second plan. C’est justement une telle confusion avec la multitude de blancs qui se dessine dans la Conscience de la personne moderne. L'apparition des blancs est liée à l’absence des connaissances ordonnées qui jouent le rôle des groupes alternant des points colorés sur les lignes du balayage, et avec la passivité de la pensée – du Rayon de la Raison lequel active les certaines connaissances (les points) ou ne les concerne pas en général. Ce sont justement les connaissances désordonnées et irrégulières (non compris et en réserve) et certes, les émotions superflues, qui font grand obstacle au fonctionnement du Rayon de la Raison. Ainsi, le critère de la Personne Raisonnable est non simplement l’aptitude à penser et à travailler avec l’information, mais le savoirfaire de créer toutes les fois les images concrètes (l’analogue des groupes ordonnés des points colorés – des pixels), en remplissant d’eux-mêmes les blancs de l’écran de sa Conscience. Seulement ainsi on construit l’Univers Virtuel (la conception du monde) de la © Alexander et Tamara Blanc 2011
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personne et on forme la Matrice de sa Conscience. Avec cela, toutes les images sont tirées par elle du Vide de la subconscience, sans laisser dans elle la place pour les programmes négatifs et pour les peurs. Pour comprendre tout ce qui est dit et le mettre en pratique directement pour soi-même, dans la situation concrète de vie, nous marquerons la limite entre la Conscience et la subconscience, ainsi que nous tenterons de comprendre leur interaction. Qu'est-ce que c'est la Conscience ? Rappelez-vous, comment la philosophie explique-t-elle ? Nous connaissons le monde à l'aide des organes de sens, en forme des sensations (la chaleur, le froid, les sons, la lumière reflétée, l’égalité ou la rugosité de la surface et, certes, les émotions). Tous ces sentiments de la perception (les sensations) par les récepteurs nerveux se dirigent au cerveau, sont traitées là et sont remis à notre « écran » intérieur, en dessinant sur lui le tableau de la réalité. Cet écran intérieur est la Conscience. Nous-mêmes formons les tableaux de la réalité dans lui ou sur lui, dès l’enfance. Personne le fera pour nous. Comment nous percevrons ce monde, un tel tableau sera créé par nous dans notre Conscience. Si ne le percevrons en aucune manière (si nous resterons indifférents aux manifestations de la réalité), il n'y aura pas son image dans la Conscience. À cette place il y aura une tache blanche (vide). Si prendre en considération que nous connaissons ce monde par notre Conscience, le blanc dans elle se manifestera tôt ou tard en forme de l’absence de la connaissance. Pendent toute la vie, nous sommes occupés à ce que, en acquérant les connaissances sur la réalité, nous dessinons dans la Conscience, comme sur la toile propre (sur l’écran), le tableau de la vie. Si pour quelques raisons nous ne faisons pas cela, « l'écran » reste propre (vide) et notre coopération avec la réalité sera remplie des peurs superstitieuses, des tendances parasitiques et des émotions. Imaginez-vous quel tableau sera dessiné dans la Conscience, si nos connaissances sont erronées (sont statiques) et ne correspondent pas à la réalité dynamique ! Ce sera le tableau faux, l'illusion. C’est justement pour cette raison qu’il faut les vérifier en pratique, pour mettre les connaissances en accord avec la réalité. Toutes les connaissances qui ne sont pas confirmées par la pratique, elles sont l’illusion. Pensez, par quoi se distingue le bébé de l’adulte ? Chez le bébé, tous les processus physiologique comme psychiques sont dans l’aspect non réalisé et chez l’adulte – dans l’aspect réalisé. Le bébé a la Conscience comme une feuille blanche sur laquelle il lui faudra dessiner le tableau de la vie, en la connaissant. L'adulte a déjà un tel tableau. Il a été dit plus haut sur les peintres qui représentent différemment la réalité. Un peintre tâche de rendre la représentation réelle de la réalité, l’autre – comme son imagination suggère. C’est pareillement que la personne dessine le tableau de la vie dans la Conscience. Un homme, en connaissant la vie, acquiert les connaissances sur elle, reflète dans la Conscience son tableau réel, l’autre, sans se déranger pour la réception des connaissances, dessine le tableau des états affectifs, en laissant la toile pur. Dans ce cas, nous avons affaire à la Conscience subjective. Quel tableau résultera avec cela ? Probablement, il correspondra au soi-disant abstractionnisme qui plutôt reflète le chaos, l’affolement, mais pas l’ordre et l’état de l'harmonie. Il est © Alexander et Tamara Blanc 2011
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naturel que la vie d’une telle personne sera inconfortable, remplie des événements (des faits) désordonnés et chaotiques, qui ne sont liés aucunement l’un avec l'autre par le processus commun. C’est une autre affaire quand la personne acquiert les connaissances sur la Vie et avec leur aide dessine dans la Conscience son tableau réel dynamique. Certes, en lisant nos livres, vous posez la question sur les connaissances – qu’est-ce que sont ces connaissances, où peut-on les prendre et comment se servir de elles pour créer l'image réelle de la réalité. Les plus véritables sont les connaissances que nous prenons de la réalité, de la vie. Vous rappelez-vous dans l’enfance ? Comment connaissiez-vous ce monde ? Ayant touché quelque chose chaude, ayant reçu la brûlure, la douleur, vous avez acquis la sensation intérieure du chaud et vous connaissiez qu’il ne vaut pas la peine de se heurter à un tel phénomène, il faut se garder. C’est exactement ainsi que vous receviez les connaissances sur les autres manifestations du monde extérieur. Ce sont les connaissances les plus élémentaires et véritables sur le monde environnant. Par la suite, quand votre horizon intellectuel a commencé à s’élargir, les connaissances sur ce monde ont commencé à s'élargir. L'étude de l’abc des diverses sciences à l’école concrétisait et expliquait plusieurs moments incompréhensibles dans la vie, c’est-àdire elle a fait vos connaissances plus profondes et pleines, sans changer ce tableau de la perception de la réalité que vous avez déjà fait dans la Conscience. Si vous voulez acquérir la Sagesse, retenez : les sciences ne donnent pas les connaissances sur la réalité sous son véritable jour. Vous-même acquérez toutes les connaissances nécessaires sur elle, de votre activité pratique et de vos observations. Votre attention fixée sur l’objet de l’observation crée la coopération psychique avec lui, dont le résultat sera la sensation née en vous. Comme les amateurs de l’ésotérisme disent, les fluides de l'objet de l'observation seront transmis à vous. À parler franchement, votre mentalité se disposera à l’échange énergétique et informatique avec cet objet qui pourra être capté par votre encéphale, en dirigeant sur lui le rayon mental de la connaissance (qui dans ce cas sera monochrome, choisi et concentré). Cela sera le rayon laser de la pensée. Avec son aide, vous étudiez l’objet de l’observation et recevez directement de l’objet même toute l’information nécessaire pour sa connaissance. Sur sa base, vous bâtirez les connaissances sur l’objet naturel et les fixerez dans la Conscience. La sensation que vous avez, en percevant l’objet de l’observation, s’appelle « la finesse ». C’est justement la finesse qui permet d’entrer en échange énergétique et informatique avec n'importe quel objet de la nature vivante ainsi que du règne minéral, en le percevant et en le sentant. On peut développer la finesse, en activant toutes les qualités de cognition de la mentalité et du cerveau. La seule chose qu’il faut se rappeler c’est qu’il n’y a pas de finesse là où il y a une place pour l’égoïsme. La finesse et l’égoïsme sont des notions incompatibles. C’est justement pour cette raison que l’Humanité jamais connut la Vie et Dieu. L’égoïste lui-même ne peut pas recevoir les connaissances sur l’organisation du Monde, au sens complet du terme, puisqu’il ne peut pas établir l’échange d’information entre lui-même et l’objet de l'observation. Beaucoup de gens aiment parler des tous les phénomènes extraordinaires dans la perception des objets environnants, par exemple, du savoir-faire de percevoir l’information des arbres, des planètes, du même Champ énergétique et informatique, © Alexander et Tamara Blanc 2011
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etc. Avec cela ils ne soupçonnent pas du tout que la présence du contact énergétique et informatique avec n'importe quel objet de l'Univers, même avec Dieu, il est naturel pour la personne, c’est sa partie intégrante, seulement une telle qualité se manifeste en présence de la finesse de la perception de l’objet et chacun peut la développer en soi-même. La seule condition de l’acquisition de cette qualité est le refus complet des connaissances (des orientations) subjectives et de l’égoïsme. Avec cela la condition concomitante doit être l’orientation psychique vers la perception de la Vie, la sensation et l’union avec elle comme avec un flux. En d’autres termes, il faut sentir la Joie de la Vie et le besoin d'elle, parce que n'importe quel objet de la nature, excepté la personne, est dénué des émotions, et par conséquent, du subjectivisme. Pour lui, il y a seulement un processus lui-même de la Vie (la sensation « moi, je suis », c'est-à-dire « je suis matérialisé, j’existe, donc je vis »). Une telle sensation de la Vie n’est rien d'autre que la perception de l’Idée de la Vie de Dieu. Pour comprendre l'état semblable, la personne doit apprendre à évaluer la Vie dans son essence naturelle, et pas dans sa perception égoïste. La perception de l'Idée de la Vie de Dieu (l'accord avec elle) ne dit pas du tout que vous avez connu la Vie et son Créateur. Pour l’amorçage de ce processus, il faut déchiffrer l’Idée, en la divisant en multitude des traits menus qui expriment votre connaissance de la Vie dans chaque événement concret, et former sur l’écran de la Conscience un tel tableau de la réalité, dans lequel vous-mêmes êtes le protagoniste (le Créateur). Il est naturel que le tableau créé par vous doive être identique à la naturelle (réelle). Comment comprendre cela ? C'est un sujet assez vaste et dans le Système de l’Harmonisation de l'Individu il s'agit de cela. Ici, il vous faut seulement contracter que, en percevant l’Idée de la Vie de Dieu, vous recevez la chance pour vous former comme la Personne Raisonnable (comme l’Individu Créateur). En dehors de la génération de la pensée qui acquiert les propriétés du laser (et cela donne la possibilité de recevoir l’image volumineuse de l’objet et la composition complète de ses qualités et de ses propriétés), le cerveau possède encore une propriété surprenante – la logique qui permet d’établir la corrélation entre les touches (les connaissances) dans le fond de tableau de l'Être et les porter sur l’écran de la Conscience dans la corrélation pour que le tableau dessiné de la réalité revête un caractère concret et accompli. Si vous observez la Vie, la séquence du remplacement des événements par les autres, vous apercevrez qu’ils changent précisément ainsi que vous receviez les connaissances qui compléteront logiquement celles-là qui déjà existent, en faisant avec elles une image commune et entière. Dans le cas où vous réagiriez à l’événement d'une manière émotionnelle, vous n’acquérez pas des connaissances, un blanc se forme à la place de l’image qui est créée, alors la vie vous rendra vers les événements du même type jusqu'à ce que vous terminiez la construction de l’image du processus vital. C’est justement la logique de la mentalité qui permet de comparer les événements, définir leurs qualités et leurs propriétés communes, établir la corrélation entre elles, analyser, généraliser, en bâtissant d’eux la connaissance entière sur un certain processus vital. Cette qualité du cerveau peut se développer aussi. On peut la développer à l’aide de l’étude des mathématiques et à l’aide des observations de la © Alexander et Tamara Blanc 2011
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vie, de ses événements. Ainsi, en effet le rayon de balayage de la pensée active, en passant successivement l’écran de la Conscience, couche les traits sur lui, crée le tableau complet de l'événement ou du processus vital. Et en outre chaque tel trait se trouve à sa place et dans la corrélation qui crée l’harmonie de l’image de la réalité. Ce qui est dit plus haut est juste seulement pour la Conscience qui coopère avec la Raison. Si elle coopère avec les émotions, dans elle se forment des touches dépareillées qui reflètent la perception subjective de la réalité et qui n'ont rien de commun avec la réalité. C'est pourquoi, au lieu du tableau commun du monde, dans elle se dessine l’abstraction, chacune sa touche est plus semblable aux monstres du film d’épouvante. Il est ridicule, comme des penseurs s'efforcent – En annonçant publiquement ou sans bruit – Mais ils oublient que la raison est nulle et non avenue Quand la réalité est insensée ! I. Gubermanne Il est naturel que la personne perçoive le monde agressivement, avec la peur, et cherchera constamment les moyens de protection contre lui. Il faut se rappeler que ce qui est dit n’est pas un arrêt. On peut changer tout, il faut comprendre et comprendre ce que se passe avec vous de fait et cesser de chercher dans l’information de toute sorte quelque chose particulière que changera magiquement votre vie. Il est nécessaire de prendre en main l’initiative, il faut transférer l'information reçue dans le plan pratique pour de nouveau bâtir un tableau mosaïque de la réalité. Tout dépend seulement de la personne. Il n'est point de recette toute faite, nous devons prendre toutes les connaissances de la vie, pour qu’avec leur aide, nous comprenions la Vie elle-même et définissions notre place dans elle. Avec cela il importe de nous souvenir constamment qu’il n’y a pas de bonheur et de prospérité en dehors de vous-même. Ces notions sont étroitement liées avec vous, et si vous voulez avoir le bonheur et la prospérité, il faut prendre soin pour que dans votre Conscience soient créées les images qui reflètent les événements réels de la vie, mais non la fantaisie, non votre relation à eux-mêmes. Seulement alors la Vie cessera d'être l’illusion et le fantasme. 3. Comment la personne inexpérimentée et non qualifiée qui, comme à toutes les époques, tente de connaître ce monde et la Vie dans lui, comment peut-elle ne pas s'embrouiller et ne pas tomber dans l'illusion des fantaisies personnelles ? La réponse est simple, il faut apprendre à coopérer avec la réalité, mais comprendre les connaissances sur elle conformément à soi-même (laisser passer à travers soi-même), en étant devenu le participant actif de tous les processus de la réalité. Vous reflétez la réalité dans la Conscience, c'est pourquoi vous pouvez observer tous les processus à l’intérieur de vous-même aussi bien qu’en étant devenu le personnage dans eux, en connaissant leur essentiel. En d’autres termes, vous devez comprendre que la Vie se manifeste pour vous par la succession des diverses situations et divers événements. 37 © Alexander et Tamara Blanc 2011
La coopération avec eux se manifeste par l’état psychique (par les émotions). Vous pouvez limiter votre connaissance par la manifestation des émotions, mais vous pouvez aussi développer, en pensant à ce que la Vie veut vous apprendre. La personne est toujours devant le Choix : vivre avec les émotions ou avec la Raison. Il est naturel que l’Univers désire que la personne vive avec la Raison, parce que seulement dans ce cas elle pourra faire sa pensée identique à la pensée (à l’Idée de la Vie) du Créateur. « La raison est le regard de l’âme par lequel elle voit directement la vérité sans l’intermédiaire du corps ; ou bien elle est la contemplation même du vrai » (Augustin d’Hippone). C’est justement pour cette raison que la Vie corrige toujours par ses événements. Celui qui veut recevoir du bien de la Vie, il doit se trouver constamment dans la pose d’élève et être donné par la question : « Qu’est-ce que c’est la chose particulière qui est trouvée par elle dans ma perception, qui ne s’est pas joint à sa manifestation dans l'événement donné ? » La recherche de la réponse à cette question vous fera le participant direct de l’événement et vous le connaîtrez conformément à vous-même. L’étendue de la perception de la Vie joue le rôle important dans un tel processus de la connaissance. Imaginez que vous êtes placé à la chambre tout à fait inconnue, non-éclairée, avec les objets inconnus. N’importe quel déplacement dans elle est lié au danger de la collision avec quelque objet. Il est naturel que pour le déplacement libre, au moins quelque éclairage soit nécessaire. Vous pouvez vous servir d’une bougie. Sa lumière agit dans la petite gamme et permet d’examiner les objets dans la proximité directe de vous-même. Les objets éloignés se dessinent dans les contours obscurs, mais les lointains sont toujours cachés dans l’obscurité. Vous pouvez remplacer la bougie par la lampe de poche. Mais comme auparavant vous verrez seulement ces objets qui se trouvent dans le champ d’action du rayon lumineux. Malgré le fait que la gamme de la partie éclairée de la chambre soit élargie, vous ne pouvez pas voir la chambre entièrement, vous ne serez pas capable d’étudier la situation pleinement. Pour faire cela, l’éclairage complet est nécessaire. Et en branchant l’éclairage électrique, vous pouvez voir toute la situation de la chambre aussi bien que la changer, régler, faire confortable pour la déplacement et pour l’usage de ces objets. Notre Conscience fonctionne par le moyen analogue. Elle peut arracher de la réalité le spectre étroit des problèmes de vie, mais elle peut aussi embrasser entièrement tous les processus de vie. Comment pensez-vous, quel moyen de la perception est plus effectif ? Qu’est-ce que vous choisissez pour vous-même ? La personne vit dans le monde inconnu, non éclairé par la connaissance pratique, dans le monde qui renferme les dangers ; il faudra l’éclairer pour se servir entièrement de ses largesses. Mais où peut-elle prendre le rayon de la lumière qui aidera à éclairer tout le monde caché de sa perception ? La personne est douée d’une telle possibilité. Ce rayon est la Raison, avec ses qualités dérivées : la Conscience, la compréhension et l’aspiration à la connaissance. La pensée éclaire le monde inconnu, sombre, environnant (le scanne). La Conscience permet de se rendre compte des objets de ce monde (les examiner). Les connaissances pratiques augmentent la gamme de « l'éclairage », jusqu'à la perception complète universelle du Monde. Elles permettent de comprendre la destination des particularités (régularités) de ce Monde, © Alexander et Tamara Blanc 2011
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en les redistribuant en ordre confortable pour l’usage. Comment ouvrir telles capacités qui potentiellement se trouvent dans chacun de nous, mais de qui pas chacun peut se servir ? Il n’y a rien surprenant en cela. Personne ne nous apprenait à cela. On nous apprenait à vivre dans le monde réel et lutter pour la création et pour la réception des biens matériels. Mais personne n'a jamais dit que tout dans ce Monde est lié mutuellement. Le monde de l’Esprit et des pensées est lié au monde réel en qui nous vivons. La réception des biens matériels dépend entièrement de ce que nous représentons dans le Monde de l’Esprit, quelles pensées nous avons inscrit à lui, quels programmes nous avons créé dans lui, comment nous avons bâti la conformité entre lui et cette réalité en qui nous vivons, c'est-à-dire comment nous avons reflété la réalité dans le Monde de l'Esprit et ce Monde dans le monde de la réalité. Le Monde de l’Esprit et la réalité reflétée dans notre Conscience, ils existent dans l’unité et se manifestent « ici » et « maintenant », chaque seconde en se reflétant mutuellement l’un dans l’autre. Le Monde réel se reflète dans le Monde de l'Esprit par la compréhension et par l’interprétation, mais le Monde de l'Esprit se reflète dans le monde réel par l'activité pratique et par les actes. Ne pensez pas que le Monde de l’Esprit se trouve quelque part là-haut, il est à côté de nous, dans nous et nous coopérons avec lui chaque seconde. Toute notre vie, la vie de nos proches parents et de nos descendants dépend de notre état psychique, du processus de la pensée et de la compréhension. Cependant notre Monde personnel de l'Esprit est caché de la perception seulement pour cette raison que les intérêts égoïstes liés à l'affirmation dans le monde réel, ils nous semblent plus importants et signifiants. Par nos actions, nous violons l’unité de deux mondes qui font notre base énergétique et informatique, en réalité nous scions la branche sur laquelle nous sommes assis. Au total, le monde immense inconnu de la mentalité tombe du processus vital, en limitant considérablement notre Conscience et le reflet de la Vie dans elle. Ce n'est pas assez dire : ayant rompu l’unité des mondes dans nous-mêmes, nous souffrons et nous sommes malades. Pour percevoir le monde intégralement, il faut comprendre que le succès dans le monde réel dépend du logiciel du Monde de l'Esprit qui est créé et formé par nous. La complexité de la perception de la réalité consiste en ce que chaque personne coopère avec elle à l’aide du logiciel d’information « cousu » à son Âme, à un soi-disant état d'étalon de l’Âme. En se reflétant dans le monde holographique (matériel), l'Âme se manifeste dans le corps physique indirectement, à titre de l'état psychique spécial (« la voix intérieure ») et de la Conscience liée à lui. Justement de l'état de la Conscience dépend la corrélation de la personne avec le logiciel de l’Âme et avec le monde réel. Les véritables programmes spirituels d’étalon (si concentrer l’attention intérieure sur eux), ils se manifestent en forme de repères vitaux inconscients et de barrières qui ne peuvent pas être franchies par la personne dans ses actes. Si pour quelques raisons que ce soit, elle franchit ces barrières intérieures, l’Âme n’a pas de repos, la personne souffre, ne sait pas où se mettre. On ne peut pas assoupir cette douleur spirituelle. La guérison peut être apportée seulement par le repentir ou par la © Alexander et Tamara Blanc 2011
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reconnaissance consciente de son tort et de la dérogation aux Lois de la Moralité. C'est pourquoi, pour éviter les douleurs morales, il faut orienter initialement la Conscience vers la perception des repères (« appareils d'arrêt ») subconscients intérieurs, en se guidant sur eux dans les actes. Le malheur et le problème de l’individu séparé, et pratiquement de toute l’Humanité, consistent en ce que seulement les unités possèdent une telle Conscience, mais une grande partie du homo sapiens préfère étouffer les douleurs morales de l’Âme par le nouveau logiciel (le contenu et les orientations) qui est plus compatible avec les conditions sociales de la vie. Mais ce logiciel ne tombe pas d’accord sur les programmes d'étalon de l’Âme, grâce à qui la personne peut établir la corrélation avec l’Idée de la Vie de Dieu et former son attitude envers la Vie, raisonnant avec l'Idée divine de la Vie. Pour se justifier, la personne affirme que « tous font ainsi, tous vivent ainsi ». Au total, sur le plan énergétique et informatique, il y a une démarcation entre le monde de l'Esprit et le monde réel. La subconscience, comme le moyen de la manifestation du monde de l'Esprit, elle est étouffée et se neutralise, mais la Conscience, comme l'outil réel pour la perception, pour la compréhension du monde réel et pour adapter à lui-même, elle se remplit activement des nouveaux programmes de l'être holographique (de la société), en devenant le principal repère vital de l'Humanité. Pour elle, seulement le monde réel est signifiant. « Nous connaissons plus que nous comprenons » (Alfred Adler13). Dès lors, le Monde de l'Esprit existe par lui-même et le monde de la Conscience (ou le monde réel avec ses lois) – par lui-même. Cela signifie que le Monde à lequel appartiennent les sources de la personne et son Âme, il est parallèle à sa Conscience. Il n’y a pas des points de contact avec lui. Le lien d’information des deux mondes est violé et la personne perd la corrélation avec Dieu Vivant, avec le Moi Supérieur ou avec elle-même, en restant pour toujours attachée au monde des illusions. À une telle disproportion évidente dans l'importance du Monde de l'Esprit et le monde réel pour la personne, il est plus difficile de percevoir la réalité et de garder le lien avec elle. Certes, il y a un petit nombre de gens qui par la voie empirique ont développé dans eux-mêmes les capacités pour coopérer activement avec les régularités de l’Univers et par cela ils assurent le succès de vie. Mais ils ne se servent pas de « l’éclairage complet » du monde inconnu, c'est pourquoi ils n'ont pas pu régler le succès dans tous les aspects de l’Être. En effet, regardez autour de vous, si la personne est riche, elle est privée d’autre chose (de la santé, du bonheur personnel, etc.). Et peut-on appeler fructueuse l’affaire qui produit le revenu, si la personne gaspille ses forces pour son développement et pour son maintien, sans avoir la possibilité de laisser quand même le repos de courte durée ? En vivant dans un tel dépotoir matériel, nous nous sommes habitués à envier 13
Alfred Adler (1870 – 1937), était un médecin et psychothérapeute autrichien d’origine juive (il se convertit au protestantisme). Il est le fondateur de la psychologie individuelle. Schön (1983) : « Souvent, nous ne pouvons pas dire ce que nous savons » et corrélativement, « nous connaissons plus que nous pouvons le dire ».
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ceux qui ont ce que nous n’avons pas. Nous envions les riches qui vivent dans l’abondance, les gens heureux, sains, etc., et nous tâchons de les dépouiller de ce que nous avons besoin, parce que nous ne connaissons pas comment acquérir le nécessaire par un autre moyen. Mais en effet, il n'y a rien plus facile. Simplement, il faut dépasser les limites de « l'éclairement » (de la conscience), dans qui nous nous débattons et prendre ce qui est nécessaire pour la vie. À vrai dire, pour cela sont nécessaires des connaissances, mais, ici, nous avons des problèmes aussi. Il y a beaucoup de connaissances, beaucoup de professeurs, mais seulement ils sont arrachés à la vie. Chaque personne est individuelle et exceptionnelle. Dans le Monde de l'Esprit, il a le logiciel spécial, le monde spécial des idées. Les connaissances et les doctrines qui d’habitude sont diffusées chez nous, elles ont l’air moyen, sont destinées au grand public (à la masse des auditeurs, à la foule), c'est pourquoi chaque personne séparée ne peut pas s'en servir sans concrète rédaction intellectuelle. Il est possible que ce moment soit le plus grippé pour chacun. C’est notamment dans ce cas qu’il faut montrer l'individualité, la foi en ses forces, la maîtrise de soi, l’obstination et le courage. « Pourquoi ? » – vous demanderez. – «Est-ce qu'il y a quelque chose difficile dans cela? » Pour la plupart – oui. Nous rompons l'unité de deux mondes individuellement, mais nous voulons la restaurer selon les règles universellement admises et absolument dans la foule. C’est notamment dans ce point de vue de la Vie et de sa connaissance qu’on cache le problème des échecs du rétablissement de la santé comme de la réception du succès. Tous nous sommes représentants de la société, otages des traditions et des règles de la vie quotidienne. Nous vérifions notre conduite et nos actes aux règles universellement admises. Nous sommes communs et nous sommes liés l’un avec l’autre par les orientations sociales qui, par leur essentiel, sont appelées à neutraliser l’individualité, à nous homogénéiser. Néanmoins il est possible de changer la situation. Pour cela, il faut vouloir coopérer avec une partie infime et à peine perceptible de la réalité, se tourner vers l'Âme (vers son réservoir), reconnaître sa présence et tenter de comprendre sa douleur et ses tourments. Puis il faut libérer la Conscience du bagage d'information qui contredit les besoins de votre Âme et qui est mis par vous-mêmes, sous l'influence de la société et de la Noosphère (des orientations généralement reçues comme « tous agissent ainsi »). La Conscience ne peut pas être vide, c'est pourquoi il faut la remplir par les programmes correspondant aux programmes de la réalité ou aux programmes de l’Âme. Le remplissage de la Conscience par un tel contenu est la voie véritable de la coopération avec la Vie (avec l'Être, avec Dieu). L'Âme, en étant venu au monde réel, est douée de toutes les qualités nécessaires pour s'établir (pour se fixer), comprendre et se rendre compte du sens de la vie dans lui, et, naturellement, réaliser le projet pour qui elle est venue sur la Terre. Pour que le monde holographique soit pour l'Âme attrayant et pour qu’il contribue à sa fixation dans lui, il y a une coopération des fréquences fondamentales de l’Univers (des «substances primaires », comme on les appelle à l’Orient), directement liées à l’Idée universelle de la Vie de Dieu (à Dieu). © Alexander et Tamara Blanc 2011
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L’assortiment de ces fréquences fondamentales crée l’espace de la vie et les conditions du séjour dans lui (matérialise diverses formes de la nature vivante et du règne minéral, en soutenant leur existence dans le temps et dans l’espace). L'Âme qui est venue au monde préparé pour sa vie, elle se fixe dans lui grâce à l’assortiment des fréquences qui créent des images la charmant – les sentiments, le monde sensuel. C’est pourquoi à la période initiale de la coopération de l’Âme avec le monde réel, la force motrice de son établissement, sont les sentiments et les émotions liées à eux. Si vous observez vous-mêmes et les gens environnants, vous noterez la réaction commune pour tous les gens à quelque chose nouveau. Cette réaction sans faute aura le caractère émotionnel sensuel, c’est-à-dire elle établit la coopération avec n’importe quel phénomène nouveau pour l’Âme avec l’aide des sentiments. La raison (l‘énergie psychique qui assure le dynamisme de l’Âme et qui appartient à elle-même hâtivement, par nature, tente d’indiquer la perspective du développement d’une telle coopération, en créant par cela même les images sensuelles. Sans connaissances sur la nature du phénomène qui ensorcelle l’Âme, sans leur compréhension, les images sensuelles créées peuvent ne pas correspondre aux conditions réelles de l’existence de l’espace de la vie, et cela crée dans lui les conditions non confortables du séjour de l’Âme. Il est naturel que dans telles conditions, l’Âme commence à se démener en quête des moyens de la réconciliation de ses intérêts et des conditions de la résidence. Les images sensuelles pour elle sont un certain logiciel fixé dans la mémoire, c'est pourquoi elle ne peut pas s'en libérer et nécessite des conditions que contribueraient à la réalisation des images désirées. Dans ce cas, l’Âme dicte aux fréquences fondamentales (à Dieu) les exigences pour la création des conditions de la vie. Mais les fréquences fondamentales ne peuvent pas coopérer avec les Âmes individuelles, avec leurs caprices. Elles se soumettent seulement au Créateur (à Dieu). Leur tâche est de créer les conditions de la vie à la base des Lois communes, fondamentales de l’Univers. Dans un tel cas, la tâche de l’Âme est le savoir-faire de s'adapter aux conditions concrètes, en réalisant les buts, en éludant l’influence des images sensuelles sur elle. On peut faire cela seulement en effaçant de sa mémoire les programmes qui sont déjà créés par la Conscience sensuelle. À son tour, cela devient possible, si la Conscience et la Raison agissent conjointement. La Conscience aide à définir les programmes qui ne sont pas en harmonie avec la réalité, donne le contenu des programmes futurs et la Raison crée à leur base des nouvelles images (programmes) et la perspective de leur coopération avec la réalité. Mais ici, il y a certains obstacles. Dieu, en créant l’Univers, se fondait sur Ses buts personnels et intérêts (ou sur les intérêts des gens du Monde de Dieu). En ce qui nous concerne, c’est Son Idée subjective qui reflète les intérêts du Monde Subtil, et donc, l’homme peut percevoir l’Idée de la Vie de Dieu comme étrangère pour lui, comme une idée subjective. C'est justement cela qui se passe avec 99 % des gens. L'Âme individuelle remplie de la conscience, mais sans connaissances et résignation, au niveau sensuel se perçoit dépendante de la Création subjective de Dieu. En étant tombé de la sensation de l'unité de ce monde, elle examine le fait de © Alexander et Tamara Blanc 2011
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sa dépendance comme la restriction de ses droits et libertés personnelles, mais cela engendre le caractère rebelle et la résistance. Par exemple, en entrant dans le monde des gens, l'Âme est obligée de limiter ses libertés et intérêts pour l’exécution et pour l’observation des intérêts de la société. Elle possède pareillement certains degrés de la liberté au plan du perfectionnement spirituel, en restant cantonnée à l’exécution et à l’observation des intérêts de Dieu et des plans l'Évolution du Monde qui sont mis par Lui. La dépendance semblable a ses avantages – l'Âme apprend ainsi à connaître la Loi de l’Union (de la Conservation) et à sauvegarder sa liberté en parfaite conformité avec son observation. La miséricorde et l’amour de Dieu à l’homme consistent en ce qu’Il a permis de refuser la dépendance par voie de l’acquisition des connaissances (par l’apprentissage) et par voie de la transformation de soi-même conformément à elles. Mais, en étant devenu raisonnable (en acquérant la Raison développée), l’homme ne peut plus ignorer la coopération avec les Idées de Dieu. Les traces dans le sable (la parabole chrétienne) Une nuit, un homme fit un rêve. Il rêva qu'il marchait au bord de la mer en compagnie du Seigneur. Sur le fond du ciel, il voyait se dérouler les scènes de sa vie. Il remarquait, dans chaque scène, deux traces parallèles de pas dans le sable. L'une était la sienne; l'autre celle du Seigneur. À la dernière scène, il se retourna pour voir ces empreintes sur la grève. Il s'aperçut alors qu'à divers moments de sa vie, il n'y avait qu'une trace de pas. Et que ces moments de marche solitaire correspondaient aux heures les plus tristes et les plus sombres de sa vie. Intrigué, il dit à son compagnon; « Seigneur, tu m'as assuré de toujours marcher à mes côtés si j'acceptais de me joindre à Toi. Mais je m'aperçois qu'aux périodes les plus dures de ma vie, il n'y a plus qu'une empreinte dans le sable. Pourquoi m'as-tu abandonné au moment où j'avais le plus besoin de Toi? ». Le Seigneur se tourne alors vers lui et lui répond: "Mon enfant, mon très cher enfant, tu sais que Je t'aime et que je ne saurais t'abandonner. Il faut que tu comprennes ceci : si tu ne vois qu'une trace de pas aux moments les plus difficiles de ton existence, c'est qu'alors, tout simplement, Je te portais dans mes bras... La personne reçoit la liberté seulement par voie de la création, à la base de l’Idée du Créateur, de son Idée personnelle de la Vie (la succession de la transmission des connaissances en forme de la succession de la Vie). Une telle succession dans le monde holographique, et dans le Monde de Dieu, n’est rien d’autre que l'espace de la vie qui possède l’homogénéité et l’isomorphisme (l’unité), quand tous ses points sont identiques et équivalents. L’homme, avec sa perception sensuelle et avec sa compréhension correspondante de la position dans le monde holographique (subjectif à l’égard de Dieu), est obligé d’acquérir les qualités qui lui aideraient à percevoir ce monde comme objectif à l’égard de lui-même. © Alexander et Tamara Blanc 2011
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Toutefois, pour beaucoup de gens reconnaître la nécessité du changement de et le refus des règles courantes – est comme une mort. Les gens sont prêts à refuser la perspective de la vie heureuse et bien réussie, pourvu qu’ils ne violent pas les liens habituels sociaux. Une fois de plus, nous soulignons que la raison d’une telle conduite est l’absence des connaissances sur la Vie qui peuvent être acquises seulement en présence de la finesse et en absence complète de l’égoïsme. L'absence des connaissances fait naître des peurs de toute sorte, y compris la peur de la nouveauté. La personne tombe du temps et tente de se faire enregistrer dans le présent à l’aide de l’idéologie canonisée par la société, à l’aide des règles qui agissent dans lui conformément à l'idéologie. En raison de ce que tout le Monde dont les processus sont fondamentaux se trouve en dehors de leur perception limitée, les changements concernent les liens sociaux des gens, leurs conditions habituelles de vie. Cependant les gens liés par les avoirs sociaux homogénéisés, ils ne peuvent pas s'adresser à leur individualité et profiter des connaissances qui sont gardées dans eux-mêmes. Cette absence des connaissances dans le domaine de la psychologie ne leur permet pas de faire cela. La science « psychologie » a fait beaucoup de choses inconnues dans ce domaine connues et claires. Toutefois, il n'est pas permis à tout le monde de profiter de ses services, mais chacun doit savoir, comprendre et diriger sa mentalité, puisque la qualité de la vie dépend notamment de ces habitudes. C’est justement la psychologie qui doit aider à la personne à construire la voie au Monde personnel de l’Esprit, pour en retirer la couverture des secrets, des illusions et des fantaisies, en donnant les connaissances sur ce monde. Le monde de l’Esprit est perçu par chaque personne comme un espace sombre, non éclairé par les connaissances, en général, se trouvant en dehors de nous, quelque part là-bas, dans le ciel. Pourquoi notamment dans le ciel ? Parce que, en percevant le monde environnant, la personne établit involontairement des analogies avec elle-même. L’encéphale est maître et roi de tout le corps, il se trouve dans sa partie supérieure, c'est pourquoi, à la perception plane de l’Univers, Dieu et le Monde de l’Esprit se trouvent quelque part « en haut ». Puisque Dieu est invisible comme la Personnalité, le Monde de l'Esprit (à qui Il appartient), se trouve dans la place inaccessible pour la perception. Mais réfléchissez, si la perception de l'Univers par la personne était volumineuse et sphérique (la forme d’un globe), où, alors, pourraient-ils se trouver, à son sens, le Monde de l'Esprit et Dieu ? La nature est sagement arrangée. La personne ne peut pas voir, avec l’aide des organes de sens, l’Univers dans son ensemble, évidemment, elle n'a pas besoin de cela pour la vie. Pourquoi alors faut-il aspirer à ce que ne sera jamais nécessaire en praticien ? La raison consiste en ce que la personne, sans se connaître elle-même, cherche les secrets de l'Univers et de la Vie hors de soi. Et c’est sa plus grande erreur. C'est vraiment étonnant que les gens ne s’aperçoivent pas des objets simples et élémentaires ?! Les amateurs de la philosophie orientale connaissent l’expression « Ce qui est 'en haut, est en bas » et les admirateurs de la Bible affirment que l’homme est créé à © Alexander et Tamara Blanc 2011
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l'image de Dieu. La sagesse mise dans ces énonciations, elle indique univoquement l’Homme, la nécessité de la connaissance de lui-même, et non de quelque idole inventée ou d’un martien. Mais alors, pourquoi toute l'attention des gens est fixée sur l'espace extérieur, sur la recherche des secrets de la vie dans lui ? C’est une tromperie de la perception, une illusion! Depuis des temps immémoriaux l’homme cherche le secret de l'Être, il créa diverses explications de ce phénomène en forme de la multitude de courants philosophiques et religieux. Ces courants, écoles et directions interprètent leurs représentations sur l’organisation du Monde à sa guise, discutent, se battent, déclarent l’un à l’autre qu’ils sont injustes, mais jusqu'ici ils n'ont pas compris qu’ils cherchent les secrets là où ils n'étaient jamais. Ils les cherchent en dehors de l’homme. L’homme est la Couronne de la Création, comprend tous les secrets de l’organisation du Monde (ce qui est 'en haut, est en bas, autrement dit ce qui est dans le monde extérieur est à l'intérieur de l’homme). Quelques instruments de précision que ce soit créés, ils ne pourront pas donner la notion complète sur l’espace de la Vie. Comme autrefois, nous jugerons toujours du monde extérieur indirectement, puisque le point de départ est choisi relativement. Le tableau de l'Univers sera expliqué tout autrement, si l’homme devient le point de départ dans lui, c’est-à-dire si tu veux apprendre l’organisation du Monde, étudie toi-même comme la Couronne de la Création! En connaissant le monde extérieur, en cherchant dans lui les moyens du dévoilement des secrets de l’Être, les philosophes et les théologues débattent sans discontinuer. Une série de questions est à leur base. L’une d’elles – l’Esprit existe-il ? La deuxième – qu'est-ce que le primaire, l'Esprit (la Conscience) ou la matière ? C'est-à-dire – l’Esprit (la Conscience) force la substance à se matérialiser ou la matière engendre la Conscience (l’Esprit) ? Il n'y aura pas place à ces discussions, si les sciences fixaient le point juste de référence, en choisissant la personne et en orientant la recherche des réponses notamment vers elle, mais non vers le monde extérieur. Pourquoi ? Tout est très simple. Pour l’existence de l’espace de la Vie, pour la réalisation du processus même de la Vie, tout dans le monde extérieur doit être en accord et aspirer à l’équilibre. On ne peut pas atteindre l’équilibre parce qu'alors les pôles opposés de n'importe quel processus se réuniront et le dynamisme du processus s'arrêtera. Mais le processus lui-même disparaîtra, se dématérialisera. La déclinaison considérable de l’équilibre diminue l’unité de tous les processus, leur interdépendance et la corrélation, puisque les caractéristiques de champs qui accompagnent n'importe quelle coopération, elles diminuent avec la déclinaison du point de l’équilibre. Les processus se séparent, mais ils ne se réunissent pas. Ainsi, le processus lui-même de la matérialisation et de la Création de la Vie passe dans la gamme étroite près du point d’équilibre. Outre cela, tous les points de l'espace dans qui se réalise le processus de la matérialisation et de la Vie, ils possèdent les propriétés d’homogénéité et d’isomorphisme qui indiquent que n'importe quel point de l'espace peut devenir la source de la Vie et de la création de la matière. Mais ici il y a un problème lié à la relativité de ce monde – qu'est-ce que peut être accepté comme le point ? © Alexander et Tamara Blanc 2011
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La théorie de la limite de suite a montré qu'il est impossible à atteindre le point concret marqué pour les processus continus (lesquels sont tous les processus de la nature). À un beau moment, leur continuité disparaît et le processus devient entrecoupé (discontinu, discret), cela décèle complètement autres propriétés et qualités. Donc, on ne peut pas se concentrer sur l'étude de la source de tous les processus, en effet, comme la religion dit, il est impossible de la connaître et la voir. Cependant, il y a une possibilité d'étudier les processus dans un certain volume, mais alors les dimensions de ce volume n'ont aucune importance, puisque tous les processus dans n'importe quel volume passent avec l’observation des Lois de la Conservation (de l’équilibre) et avec la corrélation étroite entre l’un et l’autre. À vrai dire, la science tente de diviser les processus, en les séparant l’un de l'autre, d’étudier leurs qualités et leurs propriétés séparément, mais il est problématique de les unir ensemble de manière que les Lois de la Conservation soient respectées. La raison de cette chose inachevée dans l’étude des processus de leur coopération, est l’ignorance de leurs qualités spéciales individuelles, « personnelles », qui incitent les processus à la coopération et à l’union. Le domaine de l’existence de tels paramètres appartient aux propriétés intérieures de n'importe quel objet et de n'importe quel processus qui jusqu'ici ne sont pas étudiées par la science, en raison de la relativité du monde. En s'adressant à l'étude des qualités intérieures de l’objet, il faut simplifier le modèle de l’étude jusqu'au point dans qui tout le matériel disparaît et naît. Le cercle s'est refermé. Ici, on peut se rappeler le fondateur du marxismeléninisme qui indique à l’éternité des processus de la connaissance et de l’étude de l’inconnu ? Mais la religion indique à la même chose – Dieu (la Vie) est inconnaissable et infini dans Sa manifestation. Mais la science et la théologie, pourquoi ne peuventelles pas trouver les points de contact ? La pomme de discorde est le Monde de l’Esprit. La science ne voit pas l’Esprit dans le monde extérieur, en l’attribuant seulement à l’homme et à la classe supérieure des animaux. La religion indique que l’Esprit appartient à tout ce qui nous environne. Leurs ambitions sont non conditionnées, puisque le jeu de mots est une base pour elles et pas plus. C’est justement l’homme qui donne le nom à tous les processus, objets et événements. Qu’unit-il tous ces mots avec l'aide de qui on appelle le processus ? L'essentiel lui-même du processus (son image ou son idée, l’individualité). Chez l’homme, son individualité, sa particularité, son idée se compose de la mentalité (la particularité de l’état émotionnel sensuel et du moyen de la pensée). Si s'absorber dans ses particularités, tâcher de comprendre que force les gens à s'unir et à coopérer l’un avec l’autre, cette propriété se trouveront absolument les traits individuels. Donc, il y a des traits communs entre la manifestation des qualités individuelles des gens et les qualités de n'importe quels objets et processus de la nature. Mais alors, en éliminant tout jeu de mots, on peut appeler les qualités qui incitent tous les objets, les milieux et les processus de l'Univers à la coopération avec Son Esprit ou au Monde de l'Esprit. Où se trouve-t-il ? Dans chaque objet concret, dans chaque personne ou processus. C’est justement cela qu’indique à la circonstance que Dieu (le Monde de l'Esprit de l’univers) est dilué dans chaque objet matériel et dans la personne aussi. Et © Alexander et Tamara Blanc 2011
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si vous aspirez à la connaissance de Dieu de l’univers, on peut le connaître seulement par la connaissance de Dieu dans soi-même. Qu'est-ce que c'est Dieu dans vous ? Ce sont toutes vos qualités intérieures grâce à qui votre vie sera harmonieuse, réussie et heureuse, et le corps se trouve dans l’état sain, florissant. Créez-vous vous-même tel pour que les processus (psychiques ainsi que biochimiques) suivent leurs cours dans vous avec l'observation des Lois de Conservation, alors vous recevrez tout ce que vous cherchez pendant beaucoup des années – la Voie du Tao, ou la Voie vers Dieu! Il n’y a rien étrange à celui, en effet, vous cherchez cette voie pour recevoir de Dieu le bonheur, la prospérité et la santé ?! Dieu est caché dans chaque homme, c'est pourquoi est individuel et accessible pour la connaissance seulement à celui dans qui Il est caché. Votre insuccès est lié à ce que vous cherchez non là, et pour Dieu vous prenez l’illusion, le mirage que vous sont présentés par différentes écoles, doctrines et religions. Elles-mêmes ne connaissent pas où il faut chercher Dieu, puisque ne peuvent pas s'accorder et s'unir. Sans unification, Dieu restera inconnu et inconnaissable. Il se manifeste seulement là où il y a une unité, où les Lois de Conservation fonctionnent. C’est justement pour cette raison que l’homme ne viendra pas isolément au solitaire vers Dieu, à lui tout seul, et ne le connaîtra pas. Il doivent exister quand même deux personnes qui ont construit entre elles-mêmes les relations harmonieuses. Vous pouvez demander : « Est-ce que pour connaître Dieu, faut-il connaître l’Union par le savoir-faire de construire les relations harmonieuses avec les gens ? Est-ce que l’on ne peut pas se passer de cela ? Est-ce que je peux connaître, si mes proches et mes connaissances veulent s'engager dans la voie de la connaissance de Dieu ? » Vous avez raison, personne ne parle que pour la connaissance de l’Union, vous devez forcer par la force vos proches, vos parents et vos connaissances reconnaître et connaître Dieu. L’union est possible seulement avec ceux qui accepteront cette idée et la suivront. Les autres doivent rester en dehors de la construction du processus de l’Union, quelle que soit leur signification pour vous, quels que soient vos liens. Et l’importance de la connaissance de ce processus est liée à ce que Dieu est unique dans Sa manifestation, en se manifestant comme l’Unité, comme la Personnalité. Jugez vous-mêmes : Dieu, en se dissolvant dans le monde matériel holographique, remplit de lui-même chaque particule de ce monde. Il est aussi dilué dans la personne (nous parlions déjà sur cela). Donc, tous les gens, toutes les particules de Sa Création, sont liés par les liens invisibles de la coopération, et dans cette unité, ils reproduisent Dieu comme l’unité, la Personnalité, en le reflétant dans la Conscience totale (généralisée). Probablement, de là part l’aspiration intuitive des gens à la formation des divers collectifs dans la connaissance de Dieu. Mais n’oubliez pas que dans n'importe quel collectif se perd l’individualité et les caractéristiques moyennes statistiques prennent la relève. C'est pourquoi, si vous êtes entrés dans le collectif qui connaît Dieu, sans vos obtentions individuelles, sans l’assurance d’elles, c’est-à-dire sans les repères intérieurs qui conduisent à Dieu, votre individualité dans le collectif des gens se dissoudra assez bientôt parmi les canons moyens pris comme base par ce collectif, et © Alexander et Tamara Blanc 2011
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la Conscience, avec une grande part de probabilité, peut se trouver sous l'influence de l’idéologie non propre à vous : La sagesse de Dieu a pris en considération d'avance Le profit de l’union éternelle : Où le dragon de la connaissance est au comble du bonheur, Là le ver rongeur fait rage! I. Gubermanne La recherche et la création des collectifs des adhérents doivent se réaliser en conformité rigoureuse de l’identité des qualités spirituelles des gens et des repères du choix des pas concrets qui conduisent à Dieu. Cela signifie que si les gens dans le développement individuel ont connu les mêmes vérités, ont reçu le même résultat pratique, dans le développement spirituel ainsi que dans la coopération avec le processus de vie, ils chercheront les adhérents avec lesquels par la suite pourront avoir les objectifs communs dans la recherche des voies vers Dieu. S’il n'y a pas d'unité semblable, Dieu (le Tout Unique) se déchire en les parties séparées et non liées entre elles. L’homme (la particule isolée de tout l’Être) peut tenter de connaître Dieu et se réunir avec Lui par le perfectionnement spirituel et par le développement de l'érudition sur la structure de l'Univers, mais tous ses travaux seront vains : s’il n'y a pas d'unité, il n'y a pas de Dieu!!! Dans l'Orient, on dit que tout l’Être se soumet à la loi de la coopération sous le nom de Wuxing14, c’est-à-dire à la Loi de Conservation. Cette loi se manifeste aussi dans la coopération des organes intérieurs de l’homme. Sa manifestation s'exprime dans ce que quand un organe fait mal, l’autre, qui est lié avec le premier par les liens de la coopération, il commence à avoir mal. Par exemple, quand le foie, comme tombe malade, il y a ici des accrocs dans le cœur et dans les reins, et puis dans les autres organes. Si nous perfectionnons seulement l'organe malade (le foie, dans notre exemple), et la médecine moderne s’occupe de cela, les résultats seront peu réconfortants, puisque le perfectionnement d’un organe se réalise grâce aux ressources des autres selon la même loi de la coopération des Wuxing (autant on a augmenté dans un organe, autant on est mis dans les autres). C'est pourquoi « le médecin guérit la maladie et tue le malade » (Francis Bacon15). Il s'ensuit qu’il faut perfectionner simultanément tous les organes, alors l’unité de leur coopération sera gardée. La nature demande la stricte exécution des lois fondamentales aussi dans la société des gens, dans leurs relations. L’unité est possible seulement là où quelques personnes aspirent simultanément à elle et comprennent que seulement dans l’unité elles pourront créer le fragment de l’Image entière de Dieu. 14
Les wuxing ou Cinq Phases, désignent le bois, le feu, la terre, le métal et l'eau dans la cosmologie chinoise traditionnelle. Ces notions apparues sous les Royaumes Combattants (Ve – IIIe siècle av. JC), ont servi à construire un vaste système de classification et de correspondances qui une fois unifié avec le système Yinyang et la notion de Qi aura un impact considérable sur toute l'histoire de la pensée chinoise. 15 Francis Bacon (1561 – 1626), baron de Verulam, vicomte de St Albans, homme d'État et philosophe anglais, est un des pionniers de la pensée scientifique moderne.
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La personne connaît Dieu par ses affaires, à l’aide de la création. Quand la création de la communauté commune des gens reflétera le fragment de l'Image entière de Dieu, alors cette communauté connaîtra Dieu et recevra la possibilité de coopérer avec Lui (autrement dit – avec le processus de la Vie). Seulement alors les gens qui ont réussi à créer la communauté qui assure leur unité, connaissent l’Univers et le sens complet de l’Idée de la Vie, par laquelle Dieu se manifeste Lui-même. Nous avons éclairci : pour connaître Dieu et Sa Création en forme de l'Univers, il faut connaître la Loi d’Union, refléter cette connaissance dans la Conscience, en créant par cela même l’image entière de la Vie. « À chaque moment du temps, le monde est créé par chaque personne à nouveau ». Probablement, il serait facile de faire cela si la Conscience pouvait initialement percevoir la Vie en totalité. Mais cela ne se passe pas, puisque la Conscience manie seulement les notions habituelles pour la personne. Tout ce que se trouve en dehors de ses connaissances, est perçu par la Conscience comme une menace, en créant la sensation d’angoisse dans le porteur. Donc la Conscience est capable de diriger l'Esprit de la personne, et alors il résulte que l’Esprit dépend de la Conscience ? Dans une certaine mesure, tout cela se passe ainsi. Combien de fois dans votre tête naissait l’idée qui pourrait être réalisée par l'Esprit, améliorer vos conditions de la vie, et où ces idées ont-elles disparu ? Elles se sont dissipées comme fumée au vent, parce que la Conscience les a pris pour la fantaisie, votre bêtise suivante. L’Esprit a résulté plus faible que la Conscience. Pourquoi cela s'est passé ainsi ? Pourquoi la personne, en étant le porteur de l’idée pour la réaliser, pour devenir le créateur d’une particule du fragment de l’image entière de la Vie, pourquoi a-t-elle tué son idée, ayant détruit, par cela même, l’aspiration à la Vie et Dieu dans elle-même ? Pourquoi l'Esprit de la personne est-il si faible ? Très souvent nous faisons attention à l’opinion des gens, particulièrement des gens proches, qui ont leur point de vue et leurs idées. Si votre idée et vos moyens de sa réalisation ne se joignent pas au désir des proches, les derniers sont capables de vous influencer, dissuader de la réalisation de cette entreprise. La flexibilité spirituelle est liée, dans ce cas, à l’ignorance de la vie, à l’incompréhension de la psychologie de l’autre personne, l’état de son Âme. Vous craignez de risquer, puisqu’en cas d’erreur, les proches vous accuseront de l’aggravation des conditions de leur vie. Après que réfléchir à cela, votre Conscience a engendré la peur dans l’Âme et vous avez refusé l'idée – peut-être une minute avant le succès. Très souvent notamment les proches nous freinent, bien que nous comptions sur leur soutien. La racine de tous les problèmes semblables est cachée dans l'absence de l'harmonie dans les relations humaines, et le plus souvent – dans les relations avec vos proches. Mais l’Esprit est capable de donner la résistance active à la Conscience, si la personne apprend à observer, à connaître et à penser, en remplissant la Conscience des connaissances. Un tel Esprit deviendra fort, solide et sûr de lui. À vrai dire, la divergence des opinions du porteur d’un tel Esprit et des membres de sa famille, elle peut provoquer l’incompréhension l’un de l’autre et même les scandales, mais l’issue dépend entièrement de votre savoir-faire de régler les relations avec les gens et de porter votre idée. Néanmoins on peut améliorer les conditions de la vie, y compris la © Alexander et Tamara Blanc 2011
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santé, seulement dans le cas où la personne amorcerait le développement du processus de la pensée personnel, de la Consciences, de la réception des connaissances et chercherait une voie personnelle au monde du bonheur et la prospérité. C'est pourquoi, toutes les connaissances et les doctrines porteront le succès seulement alors, quand vous deviendrez l’être pensant. La personne capable de penser devient l'Individu. Votre tâche est de devenir un tel Individu. Cette voie est indiquée dans nos livres et dans le Système de l'Harmonisation de l'Individu. Personne d’autre ne vous proposait jamais cela et ne proposera jamais ! La voie vers la formation de soi-même en qualité de l'Individu commence par la connaissance du monde dans qui vous vivez. Avant tout, il faut éclaircir la perspective du développement individuel vous donnée par l’Univers. Qu'est-ce que, cette perspective ? Vous savez que le Monde de l’Esprit est primaire par rapport au monde réel, au moins par l’homme. Cela signifie que la perspective du développement de la vie est mise d’abord par vous en forme de l’Idée (de l’ensemble des idées sur la vie) dans le Monde de l'Esprit. D'abord, dans votre tête il y a une idée comme « il serait bien d'avoir une vie plus fructueuse que la vie de mes parents. » Si vous revenez à cette idée non une fois, elle se concentre, prend la force et harcèle votre Raison, en le forçant à amorcer le processus mental de la considération de l’Idée, des moyens de sa réalisation. L'Idée de la Vie peut être donnée par l’ensemble des idées, c'est-à-dire non par une, mais par quelques idées, tout dépend de la gamme d’envergure des aspects de vos conditions de vie. Vous pouvez limiter cette gamme par l’idée de la perspective du bonheur familial. Vous pouvez élargir cette perspective par les idées de la prospérité matérielle, de l’affermissement de la santé, de la croissance de carrière, de l’achat de la maisonnette près de la mer, de la guérison des gens, etc. Toutes ces idées sont liées par l'idée principale donnée par vous primordialement – par l'Idée de la Vie. En comprenant chacune d’elles (pour réaliser vos plans), vous projetez l’Idée de la Vie au monde réel (vous créez un hologramme de l’Idée) qui est le milieu de votre habitat. Il s’est établi ainsi un lien de votre Idée avec le monde réel. Sa réalisation se réalise dans la rigueur des idées (des programmes) qui ont été créées par vous-mêmes. À quel point vous avez compris votre vie (l’Idée de la Vie), à quel point vous avez étudié à fond dans l’esprit cette question ? Le résultat dépend de cela. Si chez vous l’Idée n’est pas concrétisée et le processus de votre vie vous semble comme un fatras des hasards chaotiques qui ne dépendent pas de vous, dans ce cas, vous recevrez la vie chaotique, avec l’alternance des lignes noires et claires. 4. L'influence de la relativité sur notre Vie. Maintenant, pensez, qu’est-ce que c’est pour vous le monde de vos idées, de l’Esprit, de l’idée qui crée votre Vie, et qu’est-ce que c’est le monde réel dans qui vous vivez ? Votre vie dans le monde réel est l'image précise de votre monde des idées! Lequel de ces mondes est réel et lequel n’est pas réel ? Il est naturel que le monde de l'Esprit, le Monde de vos idées n’est pas moins réaliste que le monde physique. Dans la Vie, il est assigné un important rôle à ce Monde, mais les gens ne © Alexander et Tamara Blanc 2011
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le comprennent pas, parce qu’il il manque des connaissances sur lui. Mais en effet, c’est justement le Monde de l'Esprit (le Monde de vos idées) qui jette les bases et la perspective du développement de votre vie dans le monde réel. Cela signifie-t-il qu'il faut être bien disposé délicatement envers ce monde, avec soin, avec la compréhension ? Est-ce que cela que l’Univers nécessite de nous ? Si vous ne connaissez pas le monde créé par vous-même et ne voulez rien connaître sur lui, alors qu’est-ce que c’est votre vie ? Que succès, bonheur et prospérité voulez-vous en tirer ? Conformément à la philosophie orientale l’homme est un microcosme – la copie précise, en miniature, du monde extérieur, environnant. Donc, si le monde de l’Esprit de l’homme est primaire par rapport à lui et le monde physique avec tout l’ensemble d’instruments pour la réalisation de l’Idée de la Vie est secondaire, alors dans le monde extérieur, environnant, tout va ainsi, et pas autrement. Par rapport à l’Univers, le Monde de Dieu, le Monde de Ses Idées, le Monde de l'Esprit est primaire. Ce Monde donne l'Idée commune de la Vie. Pour l'Univers, il est réaliste exactement ainsi qu'est réaliste le monde dans qui se matérialisent tous les processus donnés par l’Idée de la Vie de Dieu. Pour Lui, le monde réel est l’image holographique. Et ce Monde de Dieu en attendant reste encore caché pour la personne, non connu, l'inconnu, ainsi que son monde personnel de l’Esprit. Le monde des gens est la partie du Monde extérieur immense. On sait que la partie est toujours insérée dans quelque chose commune et se soumet à ses lois. Pour construire le monde individuel de l’Esprit à titre de la conception du monde indépendante de la Noosphère, l’homme doit se soumettre et vivre conformément aux rythmes de l’Univers. Pour résoudre cette tâche, l’homme devra élargir la Conscience, pour qu’elle devienne universelle. À la première étape de l’Évolution, cette tâche est le plus actuelle et principale. Donc, le monde réel (nous l’appellerons « holographique ») existe comme l’image du Monde des Idées. C’est une propriété principale de l’Univers qui est juste pour le Monde de Dieu ainsi que pour le monde des gens. La destination principale du monde holographique (matériel) est la réalisation des Idées de Dieu et de l’homme. L'identité des Mondes (du Monde de Dieu et du monde des gens) indique à leur unité manifestée dans la coopération constante. En d’autres termes, si dans le Monde de Dieu il y a une Idée, elle est remise pour la réalisation aux gens au monde holographique. Ce que les gens réalisent, est remis au Monde de Dieu. Le monde de Dieu et le monde des gens échangent constamment les données entre eux-mêmes. Quelle est la chose particulière qui peut-être donnée par le monde holographique des gens ? Et il peut donner seulement la Raison parfaite, la Conscience capable de se rendre compte de l’Idée de la Vie de Dieu, et, naturellement, le porteur de la Raison et de la Conscience parfaites – l’homme. Le trait d’union entre deux mondes est l’Idée de la Vie de Dieu, remise à chaque particule du monde holographique, à chaque processus dans lui. Il suit de là que l’unité et la coopération de tout l’Être dans le monde matériel (holographique) se réalisent seulement à l’aide de la perception par toutes ses parties (par les particules de l’Être) de l’Idée divine de la Vie. Cela est possible seulement alors quand les particules sont unies et l’Idée de la Vie est dissoute dans elles. © Alexander et Tamara Blanc 2011
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La continuité du processus de la vie est possible seulement dans le cas où toutes les particules, les participants du processus, seraient unies entre elles-mêmes comme les porteurs de l’Idée. Ainsi, la particule qui appartient au monde holographique, elle ne perd pas la corrélation avec Dieu, avec l'Univers et avec la Vie seulement dans le cas où aurait perçu l’Idée de la Vie de Dieu. Dans le cas contraire, la corrélation se perd, et avec elle se perd le sens de l’existence de cette particule, elle part simplement au Non-être, et si ce n’est non dans le monde réel, c’est sans faute dans le Monde de l'Esprit. Les gens à titre des « fantômes vivants » viennent à l’appui de cela. Faites attention combien des gens autour de vous sont arrachés à la vie réelle, comme s'ils se trouvent dans « le monde des ombres ». Il y a une impression qu'ils sont privés des qualités principales humaines : de la Conscience, de la mentalité et de l’Âme. La chose plus terrible est que « le monde des ombres inanimées », en majeure partie, est fait par la jeunesse moderne. Certes, on peut accuser de tout la « mode » moderne aux drogues, à l’alcool, les mauvaises conditions de la vie. Mais la raison ne se trouve pas dans l’adversité de la population. Si la personne a une aspiration à la Vie, elle se tira de n'importe quelle affaire, seulement il faut avoir la tête aux épaules. La dégradation de la jeunesse a commencé à cette époque de la vie de la société, quand tous vivaient dans l’aisance relative. L'aisance des biens matériels ou le manque ne se fait pas sentir aux processus de dégradation de la Conscience. La dégradation de la population est liée à l’absence dans leur Conscience de l’Idée de la Vie. Sans avoir telle, les gens remplacent le vide spirituel par les divers penchants, à l’aide de qui réduisent la durée de vie. Que les disciples du matérialisme ne soient pas troublés par le fait que dans nos livres on observe le fil des raisonnements indiquant à ce que l'Esprit est primaire par rapport à la matière. Il n’y a pas des divergences avec la science qui affirme la priorité de la matière sur l’Esprit, simplement, c’est la relativité qui ne manquera pas de s'affirmer. La science accepte le monde réel comme point de départ, mais nous – le Monde de l’Esprit. Outre cela, et la science, et nous examinons le monde en statique, quand on ne prend pas en considération la coopération des deux mondes. Mais si observer le tableau de la coopération du monde matériel et du Monde de l’Esprit, il est clair que les deux mondes engendrent l’un l’autre : le Monde spirituel engendre le monde de la matière, à son tour, le monde de la matière engendre le Monde de l’Esprit. En effet, rien ne peut se réaliser sans présence de quelque idée dans le monde réel. Si votre Esprit n'est pas saisi d’une idée, vous ne la réaliserez pas. L'exemple le plus banal : si votre Esprit n’a pas tenu à boire la bière, vous ne ferez pas cela. Mais quand une telle idée apparaît, vous vous mettrez à sa réalisation. Donc votre Esprit a engendré la nécessité de la matérialisation de l’idée qui est présente en vous. D’autre part, les idées ne viennent pas comme ça, elles naissent des demandes de votre corps (des besoins intérieurs et extérieurs). Si le corps sent le besoin des substances nutritives, dans la tête (dans le Monde de l’Esprit) naît l’idée de manger. Le choix des produits est aussi soufflé par le corps. Ainsi le monde réel influence le Monde de l’Esprit. À la compréhension juste des deux ces Mondes, on peut observer que leur © Alexander et Tamara Blanc 2011
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coopération se soumet aux Lois de Conservation (les lois de Wuxing). Nous vous laissons comprendre cela par vous-même. Ou un autre exemple. À présent ce n'est pas un secret pour personne que la structure de notre corps est hétérogène. Il comprend deux corps : le physique et l’énergétique. Les partisans de la statique perçoivent le corps physique séparément de l’énergétique : le corps physique est seulement physique; l’énergétique est seulement énergétique. A partir de là, il y a une incompréhension de l’essence de ces corps et de leur coopération. En cas de la maladie on traite ou seulement le corps physique (c’est un trait distinctif de la médecine), ou seulement l’énergétique (comme les extralucides, les guérisseurs, les prophétesses, etc.). Outre cela, entre les partisans de n’importe quelles méthodes de l’influence sur le corps de l’homme, il y a une discussion : « Quelle chose est plus importante – le corps physique ou énergétique ? » Il y a ainsi une division d’un seul tout (en ce cas – du corps) en parties qui existent indépendamment en théorie. Les partisans d’un courant affirment que la santé du corps physique dépend de la santé énergétique. Grâce à cette opinion il y a des écoles qui apprennent les pratiques de « l’injection » de l'énergie extérieure au corps énergétique, par cela même en le libérant des zones problématiques où on viole la circulation de l’énergie. Leurs adversaires affirment que la santé du corps physique dépend de la pureté de ses cellules, de leur capacité à recevoir l’oxygène, les substances nutritives, etc. Grâce à cette opinion, apparaissent diverses procédures épuratoires, les régimes, les moyens d’entraînement, etc. Il faut noter que les partisans des deux courants ont raison, puisque la physique de l’homme et son énergétique se trouvent dans la constante coopération dynamique, en s'unissant, composent l’image entière et concrète – nous-mêmes. Dans ce dynamisme, ni l'énergétique ni la physique n’existent séparément, elles sont liées et interdépendantes, quand le corps physique engendre le corps énergétique et l’énergétique engendre le physique. Si attribuer la physique au monde réel et l’énergétique – au spirituel, nous recevons le postulat : « Le Monde de l'Esprit engendre le monde de la matière et le monde de la matière engendre le Monde de l'Esprit, de même qu’un point mort de l'amplitude du pendule engendre l'autre ». Dans notre exemple : dans le Monde de notre Esprit, à qui le corps énergétique appartient, naissent nos idées influençant le corps physique qui appartient au monde réel, à la suite de quoi il y a des changements correspondants aux idées, et puis le corps physique, avec l’altération adéquate, il crée le corps énergétique. Ensuite le corps énergétique déformé engendre les nouvelles altérations dans le corps physique, et le dernier, à son tour, produit le corps énergétique encore plus déformé, etc. Comme vous le voyez, tout est évident et simple. Dans quoi et où faut-il chercher la providence du destin sinon dans soimême, dans la démarche d'esprit ? Pourquoi personne ne le voit ni ne le comprend ? Uniquement parce que la Conscience n'est pas orientée vers la perception de l’idée semblable. Elle accepte et dépouille seulement ce que la personne est prête à voir. La plupart des gens privés de l’Idée de la Vie limitent la Conscience à dessein, en craignant n’importe quels changements et amendements. Ils ont créé dans la Conscience le monde, assez confortable pour l’existence, c'est pourquoi, il est terrible de sortir de lui, de se heurter à la réalité. Quand il est froid dehors et vous vous © Alexander et Tamara Blanc 2011
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trouvez dans le local chaud, que vous force-t-il à descendre dans la rue ? Seulement la nécessité aiguë. C’est cela même dans la vie. Jusqu'à ce que la personne se sente confortable, personne et rien ne pourra la forcer à sortir volontairement au monde de la réalité, le voir et le connaître, parce que pour elle c’est une illusion. On peut forcer à voir la réalité seulement en créant pour elle des correspondantes conditions insupportables : par la maladie, par la perte de la prospérité financière, par l'isolement des personnes, etc. Cependant les fonctions adaptatives de l’homme sont tellement grandes, que même la destruction de tout l’espace vital ne le forcera pas à commencer à voir clair et sortir de sa zone de confort de la prospérité dans le monde réel. Mais en effet, c’est justement cette obstination qui interrompt la coopération du personnel Monde de l’Esprit et de la réalité (de la vie personnelle dans le monde réel), et cela amène à l’arrêt du processus de la Vie dans soi-même. Et ensuite nous demandons : « Où peut-on prendre la santé, la stabilité financière, le succès dans les affaires ? » Est-ce que vous pouvez savoir de quoi avez-vous besoin pour la vie, si vous n’êtes aucunement lié avec elle, elle est absente en vous ? 5. Dieu et l’homme participent ensemble au processus de la réalisation de l’Idée de la Vie. Dieu est la Raison Supérieure du Monde des Idées (du Monde de l'Esprit) et l’homme est la Raison Supérieure du monde holographique dans qui se passe la Vie. L'univers ne fait pas une distinction entre le Monde de Dieu et le monde des gens. Pour lui, ces deux Mondes sont un tout unique et selon leurs propriétés naturelles exercent les fonctions de deux Pôles de la Vie lesquels, en coopérant activement l'un avec l'autre, Créent la Vie. Dans le corps humain, cette coopération aussi trouve sa réflexion (ce qui est en haut est comme ce qui est en bas; ce qui est dans le monde extérieur, est comme ce qui est dans l’intérieur). Si observer attentivement et comprendre à la structure énergétique et physique du corps, on peut noter la présence dans lui de la coopération du Monde de l’Esprit et du monde de la matière. Cette coopération est caractéristique pour toutes les structures du corps. On sait que tous les processus dans le corps énergétique de la personne sont construits strictement selon le principe de la coopération du Yin et du Yang (de la Dualité). La partie gauche du corps correspond au Yin (c’est un pôle), la droite – au Yang (c’est deuxième pôle); la partie supérieure du corps est le Yang, l’inférieur – le Yin. De la coopération de ces parties dépend la santé de la personne et son succès dans les affaires. La partie supérieure du corps (le Yang) correspond au Monde des Idées, des plans, des intentions ou des rêves. La partie inférieure (le Yin) est le monde réel dans lequel se réalise la réalisation de tout ce que naît dans la tête de la personne (le Monde du Yang). Comment la personne réalise ses idées, de cela dépend la réalisation de la coopération de son Monde de l'Esprit et du monde de la matière. Si elle vit dans les rêves, quand une idée non réalisée change l’autre, aussi non réalisé, la coopération de deux Mondes dans le corps se trouble. © Alexander et Tamara Blanc 2011
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On peut dire la même chose de la santé. La personne veut être saine (n’importe quel désir se rapporte au Monde du Yang), mais sans faire jamais une panse d’a et sans connaître les moyens du rétablissement de la santé, la coopération des Mondes se trouble, et il est impossible de rétablir la santé, les rêves resteront des rêves. Dans ce cas, n’aident ni les appels à Dieu ni les prières, parce que la personne de nouveau s’adresse au Monde du Yang (au Monde de l'Esprit), mais la santé se matérialise dans le Monde du Yin (dans le Monde de la Matière). Le déséquilibre semblable des Mondes se matérialise dans le corps de la personne par la douleur. Suivant les sujets du déséquilibre, les blocages psychoémotionnels (accompagnés par les douleurs) se déposent sur différentes parties du corps. Les affaires courantes et les problèmes non réalisés bloquent les épaules, la septième vertèbre cervicale, la partie supérieure et aussi toute la région des omoplates. À cause du blocage semblable, les épaules, les vertèbres cervicales et thoraciques peuvent être malades. La mauvaise volonté d’accepter la Vie sous cette forme comme elle s'est manifestée crée le blocage dans le flanc droit inférieur du corps (la région de l’appendice). Les médecins prennent cette douleur pour les maladies de l’intestin, du foie, des organes génitaux et, en général, diagnostiquent « l'appendicite ». À vrai dire, ces blocages peuvent se matérialiser en forme des maladies énumérées, mais si un homme connaît et comprend son corps, sa corrélation avec la mentalité, avec la pensée, elle peut se guérir de n’importe quelle maladie, en éliminant les blocages. La partie inférieure du corps reflète le savoir-faire de la personne de s’installer dans le monde réel et le degré de la réalisation d’elle-même dans lui. La partie supérieure caractérise les plans, les idées et les tâches qui se sont données par la personne pour tâche pour améliorer les conditions de la vie et le degré de la correction personnelle. Si la personne vit dans les illusions, n’a aucuns buts et n'aspire pas à leur réalisation, la coopération des parties extérieure et inférieure du corps manque que se matérialise en forme de spasme du diaphragme. Sa destination principale est mettre en dynamique (en activité) les organes intérieurs du corps et grâce à cette activité les nettoyer des toxines, en assurant leur respiration, l'affluence des substances nutritives (des matériaux de construction) etc. Il ne réussit pas à rétablir l’activité de ce muscle ni à l’aide des exercices respiratoires, ni à l’aide de quelques autres pratiques. Vous avez le droit de ne pas partager notre opinion, en déclarant que c'est du délire. Mais pensez, dans les processus énergétiques du corps, il y a un puissant flux qui à l’Orient a reçu le nom de « l'Appareil triple de chauffage », pourquoi ce flux est nécessaire, il accomplit la fonction dans l’organisme, et quelle ? Sa fonction est unir les parties inférieure et supérieure du corps, le Monde de l'Esprit et le monde de la matière, ainsi que la partie droite et la partie gauche. Comment cela se passe-t-il ? Le fait est qu’un flux de l’appareil de chauffage se meut dans la partie droite du corps et assure le travail des organes de cette partie, et le deuxième dans la gauche, en assurant le travail des organes qui se trouvent dans elle. Le troisième flux unit le Monde de l’Esprit et le monde de la physique (la tête et le corps), ainsi que les parties gauche et droite du corps comme l'organisme commun et entier. Si dans ce flux quelque chose est violée, on viole l'unité et l'intégrité de l'organisme. Il est facile de © Alexander et Tamara Blanc 2011
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deviner ce que suivra plus tard. Une autre école de l'Orient indique aussi les flux énergétiques qui assurent l’intégrité de l'organisme. Elle parle des flux « Vata », « Kapha » et « Pita ». Vata appartient au Monde de l’Esprit, Kapha – au monde de la matière, Pita est le feu qui unisse les deux flux et met en marche tout le monde. La place de sa concentration est la région du plexus solaire.
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