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The Festival d’Avignon theatre of the world
from Private Skies 14
by O2C
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Le festival d’Avignon, le théâtre du monde
QUADRI + pantone
For its 76th edition, the mythical Festival d'Avignon places itself a fortiori in a troubled world. With a programme that embodies resistance for freedom. Pour sa 76ème édition, le mythique Festival d’Avignon se place plus que jamais au cœur d’un monde ébranlé. Une programmation en forme de résistance pour la liberté..
, 2019 - Graphisme : mine de rien Untitled © Kubra Khademi,
© Christophe Raynaud de Lage © Krafft Angerer
© Flavie Trichet-Lespagnol
Festival Director Olivier Py calls upon the force of «Once upon a time», this «opportunity to tell it again» that young people are taking to heart. The programme travels the world for «a narrative construct that saves» and illuminating moments in popular theatre: 46 performances, notably inspired by the «fairy tale» world.
Two Shakespeare plays – Richard II by Christophe Rauck and The
Tempest by Alessandro Serra; two adaptations of Grimm Brothers’ fairy tales – Gretel, Hansel and The Others by Igor Mendjisky and Little Red Riding Hood by the Das Plateau collective; not forgetting a first for young author-director Simon Falguières with his complete cycle of The Nest of Ashes, a marvellous 13-hour theatrical epic between realism and fantasy. Who will be the hero of the Cour d’Honneur du Palais des Papes? The Black Monk, a short story by Anton Chekhov, adapted by Russian director Kirill
Serebrennikov, an opponent of Vladimir Putin’s regime. And to close the Festival? Ukrainian punk cabaret band Dakh Daughters.
The tone is set: the stage is set for freedom. Son directeur Olivier Py en appelle à la force du « Il était une fois », cette « possibilité de raconter encore » que la jeunesse prend à bras le corps. Pour « la construction d’un récit qui sauve » et des moments de théâtre populaire éclairants, la programmation fait le tour du monde : 46 spectacles, notamment autour de l’univers du « conte ». On notera deux Shakespeare — Richard II par Christophe Rauck et La Tempesta par Alessandro Serra, deux adaptations des Frères Grimm — « Gretel, Hansel et les autres » par Igor Mendjisky et « Le Petit Chaperon rouge » par le collectif Das Plateau, sans oublier une première pour le jeune auteur-metteur en scène Simon Falguières avec son cycle intégral du « Nid de cendres », merveilleuse épopée théâtrale de treize heures entre réalisme et fantastique. En héros de la cour d’honneur du Palais des papes ? « Le Moine noir », une nouvelle d’Anton Tchekhov, adaptée par le metteur en scène russe Kirill Serebrennikov, opposant au régime de Vladimir Poutine. En clôture du festival ? Le groupe ukrainien de cabaret punk Dakh Daughters. Le ton est donné : la scène est à la liberté.