PARMENTIER THIBAUD PORTFOLIO 2021 1
curriculum vitae Né à Reims, France 04_10_1996 47, rue de Valmy 59000_Lille_France parmentier.thibaud@outlook.fr +33 6 33 55 99 46
ÉDUCATION
EXPÉRIENCE
2019-2021
FEV - JUIL 2020
Architecte Diplômé d’État École Nationale Supérieure d’architecture et de Paysage, Lille
Saison Menu Architecte Conception, Design Graphique, Modélisation 3D, Faisa, APS, Concours
Master d’Architecture
Assistant projet, stage
2018-2019
MAR - JUIL 2018
Mobilité internationale École d’Architecture de l’Université de Laval, Québec
Saison Menu Architecte Conception, Design Graphique, Modélisation 3D, Faisa, APS, Concours
Master 1 d’Architecture
Assistant projet, stage
2014-2018
SEP - FEV 2017
Diplôme d’Études en Architecture École Nationale Supérieure d’architecture et de Paysage, Lille
Lemay Toulouse Architecte Conception, Design Graphique, Rendu 3D, Modélisation 3D, Faisa, APS, PC, DCE, Concours
Licence d’Architecture
2011-2014
Baccalauréat Scientifique
Mention Assez-bien Lycée Madame de Sévigné, CharlevilleMézières
Assistant architecte, stage
JUIL 2016
Assistant dessinateur, stage BCDE Architecture Modélisation 2D, visite de chantier.
AUTRES 2019 - MAINTENANT
Co-fondateur de
Compte Instagram. C art graphique et autre numérique.
Provenant d’une petite ville du Nord-Est de la France, j’ai grandi dans une famille qui ne me destinait pas au métier d’architecte en apparence. Pour autant, j’ai été initié à la culture, à l’art, et aux voyages par mes parents. Très tôt l’idée de devenir architecte a germé en moi. Mon parcours s’est orienté vers cette voie depuis mes années collège. Grâce à plusieurs expériences plus ou moins longue dans divers cabinets d’architecture j’ai pu observer et m’imprégner de l’expérience du métier d’architecte. Ces divers apprentissages n’ont fait que conforter mes premières envies. Les divers voyages que j’ai mené au travers de mes études m’ont fait découvrir plusieurs architectures et ont étoffé mon bagage architectural. L’architecture représente une part importante de mon quotidien, mais qui se partage avec d’autres passions : celle du graphisme, de l’illustration numérique, des sports extrêmes et de la petite reine.
«@Dupondpont»
Création d’illustrations, es essais de réalisation
LANGUES
LOGICIELS
FRANÇAIS
AUTOCAD
ANGLAIS
ARCHICAD
ALLEMAND
REVIT SKETCHUP
JUIL 2021
RHINO 3D
LILLE - FRANCE
VRAY
CLES
QGIS PHOTOSHOP ILLUSTRATOR INDESIGN
sommaire
projets d’école
01
CLIMBING HOUSE
02
GRIFFINTOWN
03
NECROCOSME
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LES ATELIERS DU LaM
Maison d’habitation, Paris ENSAPL _ prof. Karl Fredrik Svenstedt _ semestre de printemps _ 2017
Programme mixte, Montréal ULaval _ prof. Jonathan Bisson _ semestre d’automne _ 2018
Complexe de fin de vie, Vancouver ULaval _ prof. Jean Verville _ semestre de printemps _ 2019
Ateliers d’artistes, Lille ENSAPL _ prof. Véronique Patteuw, Mathieu Berteloot _ semestre de printemps _ 2021
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CLIMBING HOUSE Maison d’habitation pour des grimpeurs
Printemps 2017 Projet de S6 Professeur : Karl Fredrik Svenstedt Lieu : Paris Programme : Maison d’habitation
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Le projet de la climbing house naît d’un exercice collectif d’échange de programmes architecturaux. Ici, un couple de passionnés d’escalade souhaitent ouvrir un commerce spécialisé de la discipline. Le couple a à cœur de partager leur passion, c’est pourquoi ils souhaitent apporter leur savoir faire à l’initiation de la grimpe pour un nouveau public peu avisé. Le projet s’implante en plein Paris, à l’angle d’un carrefour dans un quartier résidentiel ou les immeubles de logements collectifs font nombre. Le projet a embrassé ces contraintes urbaines pour développer une architecture à l’image de ses futurs propriétaire et de leur passion débordante. La question de la dent creuse, de l’intégration urbaine dans un prospect atypique sont traité au travers de ce projet. La recherche de la hauteur a guidé le projet dans sa volumétrie et sa recherche formelle. L’adéquation des enjeux et du programme ont permis de développer une architecture à la fois utile et singulière dans un quartier urbain. La grimpe fait place dans le projet. Les parois intérieurs et extérieurs accompagnent des voies d’escalade pour un public de tout niveaux. Les parois extérieurs qui font place à un petit square permettent aux enfants de grimper librement, sous surveillance de leurs parents, s’inspirant des athlètes de haut niveau qui viennent s’essayer à la grimpe de cette architecture atypique. L’habitation se décompose en deux parties toujours en dialogue dans le projet. Une première partie en fond de parcelle représente le cœur ouvert au public, ou les initiés et les non initiés se retrouvent au sein d’un espace dégagé ou le public peut accéder à rez-de-chaussée et au premier niveau. Aux étages supérieurs, l’habitation se développe en hauteur et le couple grimpe aussi dans sa vie quotidienne. La verticalité se compose dans tout le bâtiment par sa forme, mais également par ses percements qui accompagnent la circulation côté sud-ouest et composent la façade avec des jeux de plein et de vide, avec des retraits pour créer des terrasses aux niveaux des espaces de nuit côté sud-est.
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02
GRIFFINTOWN Programme Mixte _ Projet Urbain
Automne 2018 Projet de M1 Professeur : Jonathan Bisson Équipe : Aymeric Bey Lieu : Montréal Programme : Mixte, Projet Urbain
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Le projet de Griffintown s’implante dans le quartier éponyme à Montréal, non loin du canal de Peel, ancien secteur portuaire de Montréal en pleine restructuration. L’enjeu à la fois urbain et architectural du projet et de définir une nouvelle forme urbaine au quartier pour s’intégrer à la dynamique de développement en cours tout en laissant place à des qualités urbaines importante. Le site se trouve en second plan par rapport à la berge du canal Peel. Des percées visuelles sont tout de même possible vers ce paysage.
stationnement, dans une ville comme Montréal qui donne la part belle à la voiture. Le second enjeux développé dans le projet prend le partie d’étendre une matrice tramé de 5 mètres par 5 mètres pour donner à l’architecture sa dimension, et sa fonction. Ainsi l’ensemble des bâtiments du projet se développent selon cette trame de 5x5.
Le projet se développe donc en deux parties qui s’entremêlent : un programme d’hôtel et un programme mixte de logements et de bureaux. L’hôtel dans le projet assume sa présence en prenant de la hauteur par rapport aux autres bâtiments qui eux s’intègrent dans le prospect général du quartier. L’hôtel joue le rôle de signal, et d’élément attractif à la vie du quartier. Le projet développe deux enjeux dans son développement : la part de l’espace négatif dans le projet, généré ici par le parc central et ses espaces verts qui surplombe le parking sousterrain qui s’étend sur une bonne moitié de la surface générale du site. Une des problématique du contexte était de résoudre la question du
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NÉCROCOSME Complexe de fin de vie _ Projet Urbain
Printemps 2019 Projet de M1 Professeur : Jean Verville Équipe : Achille Breysse, Adrien Geslin Lieu : Vancouver Programme : Complexe de fin de vie
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a mort comme seuil, et non pas comme L finalité. L’enjeu de notre projet ce situe en ce sens. Nous avons cherché au travers d’espaces architecturés à représenter, et accompagner à la fois l’individu et les groupes d’individus rassemblés dans le processus de recueillement comme dernier parcours avec le défunt. Par la spirale, les individus sont happés dans un mouvement rapide et continu dans les profondeurs de la berge du lac Coquitlam. L’eau qu’ils ont quitté en entrant dans la spirale les rejoint dans les profondeurs. Elle s’écoule doucement vers un vrombissement de plus en plus important en direction du cœur de l’édifice. L’eau nous indique le chemin et nous prend à son tour la main. Le cœur du projet est la rotule des cheminements de l’édifice. Il est comme un carrefour, un seuil ouvert et collectif dans une entité aux dimensions et à l’ambiance volontairement excessive. Le cœur du projet, le monolithe que l’on percevait, s’extirper de la surface de l’eau se veut alors épurer, un champ de pilastres nous accueille. Ces géants de béton sont présents, imposants, ils s’observent comme un tout, et comme un seul. La lumière zénithale les distingue, ils nous éclairent et nous guident à leur tour vers la suite.
Les individus entrent dans une faille qui au fur et à mesure qu’ils avancent au détour des directions que prend le chemin les sépare petit à petit. Ils arrivent dans les derniers instants avant de retrouver le défunt. S’en suit tout un processus douloureux de retrouver le défunt pour lui dire un dernier au revoir. Le choix est donné à chacun : accompagner le défunt jusqu’à sa dernière demeure, dans le monolithe central de l’édifice, par l’axe central opposé à l’entrée où alors prendre le chemin du retour vers le souvenir d’une vie passée mais pas disparue, qui donne le temps à l’individu en séparant les uns physiquement mais en les retrouvant les autres visuellement. Les groupes se reforment au cœur de la spirale par laquelle ils sont entrés. Des emmarchements leurs laissent le temps de comprendre, de se retrouver, d’attendre quelques minutes avant d’entamer l’ultime ascension dans cette seconde spirale qui enlace la première et longe la montée. Elle offre aux individus le temps nécessaire à entamer la dissipation des émotions qu’ils ont subis, avant de, une fois pour toute, reprendre le cours de leur vie, en ayant accepté l’abandon formel et non spirituel du défunt.
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LES ATELIERS DU LaM Extension du musée du LaM _ Ateliers d’artistes
Printemps 2021 Projet de fin d’études Professeur : Véronique Patteuw, Mathieu Berteloot Lieu : Lille Programme : Musée, Ateliers d’artiste
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Le projet des ateliers du LaM naît d’une réflexion sur la programmation même de l’établissement muséale. Le musée d’art contemporain aujourd’hui est un établissement qui expose des œuvres de sa collection, et d’autres collections externe qui viennent résider temporairement au musée. Il est une scène à la mise en orchestre des œuvres. L’espace muséale pour autant ne montre que rarement le rapport à la production des œuvres dans le musée. Nous n’avons souvent aucune connaissance, aucun contact avec le fait de produire l’art directement dans le musée. Dans le musée du LaM, une importante collection d’art brut expose la valeur de la production, de la composition de l’art, mais le visiteur lorsqu’il fait procession, il n’obtient que très peu d’indices sur la production de ces œuvres. Le musée d’aujourd’hui est étranger finalement à cet élément pionnier de l’art, celui de l’espace de sa production. L’espace de production de l’art est un lieu à part, mais qui est intimement lié au musée. Cet espace de la production qui s’apparente à la figure de l’atelier d’artiste ne peut pour autant se résumer qu’à une seule forme, qu’une seule architecture. Ce qui le rend si particulier c’est justement la notion d’appropriation de l’espace par l’artiste, qui rend unique l’atelier. Les ateliers du LaM se placent à l’interface entre différents lieux. L’avenue de Canteleu à l’ouest qui donne l’accès à la métropole pour la
logistique des ateliers. Le parc du Héron et le ponton qui amène à la rive opposée qui place les ateliers à proximité du grand paysage tout en gardant une respiration. Et bien sur le parc à sculpture du musée qui donne un contexte à la création des artistes. L’architecture de cette nouvelle extension s’introduit par la lecture personnel de l’architecture de Roland Simounet que j’ai analysé dans les prémisses du projet, et qui se résume ici en trois points. Le premier : l’assise au sol joue avec la topographie pour proposer des espaces hiérarchisés entre les programmes. Le second élément s’incarne par la trame tartan. Cette trame alterne un double rythme de largeurs de 3 et 5m dans le projet. Elle génère l’identité de l’architecture, elle donne les dimensions du bâtiment. La trame en relation avec l’assise au sol génère une seconde hiérarchie dans l’organisation des espaces d’ateliers. Finalement, le dernier élément est celui du shed. Ce système apporte aux ateliers une lumière douce et neutre. Une fois produite, les oeuvres émergent dans l’étagère de l’art et sont placées dans les réserves visible des ateliers ou dans la salle d’exposition aux derniers étages. Cette étagère qui joue de contraste avec la volumétrie horizontale du musée du LaM assume un statut différent à la fois dans l’architecture mais aussi dans le paysage du parc du LaM. Cette émergence défend la place de la production de l’art dans la procession du musée.
+22.0m
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sommaire
projets d’agence
01
LA VALLÉE IDÉALE
02
FJORDISM
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PONTAULT-COMBAULT
04
CORA FLERS
Concours Plan directeur, Amiens Saison Menu Architectes _ 2018
Concours International Musée du Design, Oslo Saison Menu Architectes _ 2021
Concours Projet Urbain, Pontault-Combault Saison Menu Architectes _ 2021
Faisabilité, Lille Saison Menu Architectes _ 2021
01
LA VALLÉE IDÉALE Concours projet urbain
Printemps 2018 Concours Équipe : Valentin Gouverneur, Jeanne Reda Lieu : Amiens Programme : Mixte
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FJORDISM Concours International musée du design, Oslo
Printemps 2021 Concours International Équipe : Saison Menu Lieu : Oslo Programme : Musée
03
PONTAULT-COMBAULT Concours Projet Urbain, Pontault-Combault
Printemps 2021 Concours Lieu : Pontault-Combault Programme : Mixte
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CORA FLERS Faisabilité, Villeneuve-d’Ascq
Printemps 2021 Faisabilité Équipe : Marie Teurlings Lieu : Villeneuve-d’Ascq Programme : Mixte
sommaire
projets perso
Face of a woman
WAVES 01 - 1/5000
60
WAVES 02 01 - 1/5000 1/500
WAVES 03 01 - 1/5000 02 1/500 1/50
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Duty of memory
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The young Girl in the memorial
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Scafolding 1
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Scafolding 2
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THIBAUD PARMENTIER ARCHITECTE
47, rue de Valmy 59000 Lille, France +33 6 33 55 99 46 parmentier.thibaud@outlook.fr
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