P 505327/526 Afgiftekantoor : Gent X
profil N° 135 octobre/novembre/décembre 2015
PB- PP B- 729
BELGIE(N) - BELGIQUE
le trimestriel de la Mutualité Partena
CHAQUE ANNÉE CHEZ LE DENTISTE
Prendre soin de vos dents, ça rapporte
LA MÉMOIRE, OUTIL DE LA RÉUSSITE S’OCCUPER DE PERSONNES ATTEINTES DE DÉMENCE
CANCER DU SEIN l’utilité de la prévention
mutualité libre aide à domicile accueil des tout petits
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Pour Hospitalia et Dentalia Plus, la Mutualité Partena 526 (n° OCM 5006c) intervient en tant qu’intermédiaire d’assurances, pour la Société mutualiste d’assurance ‘Mutuelle Entraide Hospitalisation’ (n° OCM 750/01).
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N° 135
SOMMAIRE
Ont collaboré à la rédaction de ce numéro : Diane Diane Albert, Karima Amrous, Aude Clève, Annemie Coëme, Wim Coppieters, Eva De Geyter, Sharon De Neve, Regina De Paepe, Ellen De Vriese, Ilse D’hoker, Ilse Hens, Christian Horemans, Claire Huyghebaert, Pascale Janssens, Agnès Leclercq, Sarah Masschelein, Annemie Mathues, Nathalie Renna, Alain Servaes, Hellen Smeets, Joeri Staessen, Olivier Stoop, Frederic VandenBroucke, Lien Vanderlinden, Emilie Vanderstichelen, Katrien Vanderstraeten, Emilie Van Isterdael, Barbara Van Ransbeeck, Patricia Verstraete, Steven Vervaet Secrétariat de rédaction : Lynn Pellens, Pierre Lété Composition : Magelaan - Photographie : Reporters, Shutterstock Impression Roularta Editeur responsable : Stefaan Lauwers Sluisweg 2 - 9000 Gent - T. 02 201 42 42 Numéro d’entreprise : 0411.696.011 La Mutualité Partena OZV (n° OCM 5006c) intervient en tant qu’intermédiaire d’assurances pour la SMA Mutuelle Entraide Hospitalisation (n° OCM 750/01). Aucun article publié dans ce magazine ne peut être reproduit (totalement ou partiellement) sans l’autorisation préable de la rédaction. Affiliés à l’Union des Editeurs de la presse Périodique
2 Les échos de Profil 4 L’actu de la mutualité 6 S’occuper de personnes atteintes de démence 8 Achever son existence dans la dignité 9 Les gens de Partena 10 Les plus de Partena 12 Partena est toujours accessible 14 Les jeunes et le dentiste 16 Boutique santé Partena 20 ‘Mémoire, ma petite mémoire’ 21 Bébé est annoncé ? 22 Coin lecture Lannoo – Racine 23 Aide à domicile 24 La dépression chez les aînés 26 Cancer du sein, le dépistage précoce s’impose 28 La mémoire, outil de la réussite 30 TDA/H : une maladie invalidante 32 Vacances jeunes 33 Vacances Partena
Membre des
www. facebook. be/partena
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LES ÉCHOS DE PROFIL Boire plus de quatre expressos par jour est nuisible pour la santé Une étude de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) révèle que les risques de maladies cardiovasculaires sont plus élevés chez les personnes qui boivent plus de 400 milligrammes de caféine par jour… l’équivalent de 4 expressos environ.
PRINCIPALEMENT POUR LES FEMMES ENCEINTES ET LES MINEURS Selon l’EFSA, une consommation élevée de caféine n’est pas sans conséquences pour la santé. Elle induit notamment un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires. Un adulte peut ainsi consommer 400 mg maximum par jour. Cette quantité correspond à quatre expressos environ. Une femme enceinte doit cependant limiter sa consommation à 200 mg pour éviter les effets néfastes sur le fœtus. Pour les enfants et les adolescents, on compte un maximum de 3 mg par kilo de poids corporel. C’est vrai que s’ils boivent en général moins de café, ils ne sont pour autant pas à l’abri de la caféine, qu’ils ingèrent via les boissons énergisantes et les sodas.
EN BELGIQUE, 1 PERSONNE SUR 10 EST CONCERNÉE
Deux échographies par grossesse suffisent Une grossesse n’est pas une maladie. Selon une nouvelle étude du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE), deux échographies par grossesse suffisent d’un point de vue médical.
Dans notre pays, près de 10 % des adultes consommeraient plus de 400 mg de caféine par jour. C’est le Danemark qui occupe la première place de ce classement européen de la dépendance à la caféine, avec 33 % des adultes, suivi des Pays-Bas (17,6 %), de l’Allemagne (14,6 %) et de la Finlande (13,4 %). Selon l’EFSA, il est primordial que les consommateurs ne tiennent pas uniquement compte du café, mais aussi des autres sources de caféine. Plus d’info sur le site de l’EFSA www. efsa.europa.eu/fr.
DÉMÉDICALISER LA GROSSESSE Les avancées technologiques permettent aux médecins de déceler de plus en plus d’anomalies, ce qui débouche souvent sur des examens inutiles. Lors d’une grossesse normale, une troisième échographie n’est ainsi pas nécessaire. D’un point de vue médical, deux échographies suffisent : entre 11 et 13 semaines (pour déter miner l’âge de la grossesse) et entre 18 et 22 semaines (pour déceler d’éventuelles anomalies). À l’instar de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le KCE plaide pour une démédicalisation de la grossesse et pour l’approcher comme un phénomène naturel. Le KCE déconseille ainsi tout examen qui n’offre pas clairement plus d’avantages que de désavantages pour la mère et l’enfant.
CYTOMÉGALOVIRUS Autre exemple : le dépistage du cytomégalovirus (CMV). Une contamination in utero peut entraîner la surdité, des problèmes de vue ou un retard mental chez le bébé. Le KCE déconseille toutefois l’examen, car un résultat positif cause beaucoup d’angoisse et d’incertitude. Le test ne permet en outre pas d’établir si le bébé est touché et risque des conséquences nuisibles. Un résultat positif débouche en outre sur une série d’examens inutiles qui font plus de mal que de bien. Plus d’info sur le site du KCE https ://kce.fgov.be.
D’avantage de nouvelles sur www. partena-mutualite.be, sous Actu. 2 profil octobre 2015
LES ÉCHOS DE PROFIL Nous sous-estimons le style de vie en tant que facteur de risque du cancer Nous surestimons la pollution atmosphérique et les additifs alimentaires en tant que facteurs de risque du cancer. De nombreuses personnes considèrent que le cancer est une conséquence de ces facteurs externes, alors qu’en réalité, c’est notre style de vie qui provoque plus de la moitié des cancers. Ces constatations proviennent du Baromètre du cancer 2015 de la Fondation contre le Cancer.
RISQUES PERÇUS ET RISQUES RÉELS
Vitamines et minéraux : de trop fortes doses peuvent être dangereuses Mieux vaut ne pas abuser des vitamines et minéraux : des doses trop fortes ne sont souvent pas nécessaires et comportent certains risques. Une alimentation saine et équilibrée est amplement suffisante, selon une nouvelle recommandation du Conseil supérieur de la Santé (CSS) ! Selon les experts du Conseil supérieur de la Santé, une prise excessive de vitamines et minéraux peut être nocive pour la santé. Il n’est donc pas conseillé d’abuser des suppléments alimentaires. La vitamine E est ainsi associée au cancer de la prostate, trop de fer peut causer des problèmes hépatiques et une ‘overdose’ de vitamine D peut favoriser les calculs rénaux.
Il existe encore de fortes divergences entre les facteurs de risque perçus par la population et les véritables facteurs de risque du cancer. La pollution de l’air se classe ainsi en 3e position des facteurs de risque perçus, alors qu’elle ne serait en réalité liée qu’à 2 % à 4 % des cancers. Les idées reçues sur les additifs alimentaires sont encore plus étonnantes ! Pour 64 % de la population, ces additifs sont cancérigènes alors qu’il n’existe aucune preuve scientifique le démontrant. Ces suppositions erronées ne sont pas sans danger. En effet, nous sommes 78 % à estimer qu’un scanner complet du corps chaque année augmente les chances de guérison, alors que le risque lié à cet examen est plus important que son bénéfice. Une exposition répétée aux rayons X peut en effet être cancérigène.
CERTAINS RISQUES SONT MIEUX CONNUS
Selon le CSS, il est surtout important d’avoir une alimentation équilibrée. Des nutriments sont en outre déjà ajoutés lors de la production de produits comme le lait (vitamine D) et le pain (iode). Avec cette nouvelle recommandation, le CSS souhaite également demander à l’industrie alimentaire de ne pas exagérer avec ces nutriments. Dans une prochaine phase, le CSS souhaite également rédiger des recommandations pour les aliments. «Les gens souhaitent surtout savoir quelle quantité ils peuvent manger de certains aliments», explique le CSS.
Parmi les risques mieux connus, nous sommes quand même plus de 5 % à faire le lien entre alcool et cancer. Et 13 % des personnes qui boivent plus d’un verre d’alcool par jour sont conscientes qu’il s’agit d’un comportement à risque. Outre l’alcool, la consommation excessive de viande rouge constitue aussi un facteur de risque mieux intégré. Par rapport à 2013, nous sommes 6 % de plus à savoir que manger beaucoup de viande rouge entraîne un risque accru de cancer de l’intestin.
Plus d’info sur le site du Conseil supérieur de la Santé www. health.belgium.be.
Plus d’info sur le site de la Fondation contre le Cancer www. cancer.be
Maladies rares : Belgique et Pays-Bas négocieront avec le secteur pharmaceutique En 2016, les ministres de la Santé publique belge et néerlandais lanceront une négociation avec le secteur pharmaceutique sur le remboursement des médicaments pour les maladies rares. Le but étant d’obtenir des prix moins élevés pour ces médicaments onéreux.
AVANTAGEUX POUR LES PATIENTS ET LES ENTREPRISES Les maladies rares sont des maladies qui touchent moins de 5 personnes sur 100.000. Dans la mesure où les patients sont si peu nombreux, les sociétés pharmaceutiques ne peuvent vendre que peu de doses d’un médicament. Ce qui explique un prix souvent très élevé. Pour arriver à un prix plus abordable, les ministres de la Santé publique belge et néerlandais vont négocier de front avec le secteur pharmaceutique. C’est avantageux pour les patients eux-mêmes, mais aussi pour les entreprises pharmaceutiques. Elles ne devront en effet introduire qu’un seul dossier pour les deux pays et auront accès à un plus grand nombre de patients. Plusieurs entreprises souhaitent dès lors participer au projet pilote !
BIEN PLUS QU’UNE NÉGOCIATION COMMUNE Ce projet va plus loin qu’une négociation commune avec le secteur pharmaceutique. À terme, la Belgique et les Pays-Bas souhaitent en effet aussi échanger des données, partager des registres et harmoniser les méthodes d’évaluation. Ensemble, les deux pays analyseront aussi les médicaments innovants qui seront commercialisés dans les prochaines années et comment se préparer au mieux à leur apparition sur le marché. profil octobre 2015 3
L’ACTU DE LA MUTUALITÉ Tiers payant obligatoire le 1er octobre
Génériques ou originaux : aussi sûrs et efficaces pour votre santé ?
L’obligation du tiers payant pour les bénéficiaires de l’intervention majorée (BIM) est entrée en vigueur le 1er octobre 2015. S’ils disposent d’un Dossier médical global, ils ne payent ainsi plus qu’1 euro de ticket modérateur chez le médecin généraliste.
“Voyez-vous une différence entre les médicaments génériques et les originaux ? Ne cherchez pas. Pour votre santé, il n’y en a aucune !” C’est ce que souligne l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (AFMPS). Il faut dire que, par rapport à nos voisins, une certaine réticence demeure, alors que rien ne distingue génériques et originaux au niveau thérapeutique.
Depuis le 1er octobre, les logiciels de tous les géné ralistes doivent être prêts pour la facturation électro nique et l’application du tiers payant. Le patient reçoit une preuve de facturation électronique, mentionnant le ticket modérateur payé, la prestation effectuée, le montant facturé à l’assurance maladie, et les supplé ments éventuels.
Lorsqu’une entreprise pharmaceutique développe un nouveau médicament, elle est la seule à pouvoir le commercialiser pendant les 10 premières années. Passé ce délai, les autres entreprises pharmaceutiques sont autorisées à produire ce médicament et à le mettre sur le marché. C’est ce qu’on appelle un médicament générique. Les médicaments génériques contiennent les mêmes principes actifs et agissent de la même manière que les médicaments originaux.
Deux groupes de patients ont droit au bénéfice de l’intervention majorée (BIM) : 1 Octroi du BIM de manière automatique
aux bénéficiaires :
• d’un revenu d’intégration ou d’une aide équivalente du CPAS pendant 3 mois complets consécutifs • de la GRAPA (garantie de revenus aux personnes âgées) • d’une allocation aux personnes handicapées (de plus de 21 ans et de moins de 65 ans) - allocation de remplacement - allocation d’intégration - allocation pour l’aide aux personnes âgées • d’une allocation familiale majorée pour un enfant souffrant d’un handicap physique ou mental d’au moins 66 % • en cas d’inscription auprès de la mutualité en qualité de titulaire mineur étranger non accompagné • en cas d’inscription auprès de la mutualité en qualité de titulaire orphelin 2 Octroi du BIM sur base d’un examen de
revenus si vous êtes :
• veuf, veuve, pensionné • chômeur complet ou en incapacité de travail depuis au moins un an (les périodes de chômage et d’incapacité peuvent être additionnées) • handicapé reconnu ne percevant pas d’allocations • famille monoparentale (c’est-à-dire que vous vivez uniquement avec des enfants inscrits à votre charge) • militaire en retrait temporaire ou fonctionnaire mis en disponibilité pour raison de santé depuis 12 mois • famille disposant de faibles revenus
LES MÉDICAMENTS GÉNÉRIQUES SONT DE QUALITÉ ÉQUIVALENTE, SÛRS ET EFFICACES Les entreprises pharmaceutiques qui veulent mettre des médicaments sur le marché doivent d’abord prouver que leurs produits sont de qualité, sûrs et efficaces. Tant les médicaments génériques que les originaux doivent répondre aux mêmes exigences très strictes. Chez nous, l’autorité compétente pour garantir la qualité, la sécurité et l’efficacité d’un médicament est l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (AFMPS).
MAIS POURQUOI SONT-ILS MOINS CHERS ? Ils sont moins chers parce qu’ils sont les versions génériques de médicaments dont le brevet a expiré il y a plus de 10 ans. Du coup, les firmes doivent beaucoup moins investir dans la recherche et développement.
LES MÉDICAMENTS GÉNÉRIQUES SONT-ILS PARFAITEMENT IDENTIQUES AUX ORIGINAUX ? Bien qu’ils soient de qualité équivalente, aussi sûrs et efficaces que les médicaments originaux, ils ne sont pas identiques à 100 %. Ils peuvent en effet contenir d’autres excipients, c’est-à-dire d’autres substances qui peuvent influencer leur goût, leur couleur ou leur forme, mais pas leur principe actif. En cas d’allergie à un excipient, demandez toujours conseil à votre médecin ou votre pharmacien !
PEUT-ON PASSER SANS RISQUE D’UN MÉDICAMENT ORIGINAL À UN MÉDICAMENT GÉNÉRIQUE ? En principe, en cours de traitement, le passage d’un médicament original à sa version générique ne présente pas de risque. Toutefois, la vigilance est de mise pour certaines classes de médicaments tels que les antiépileptiques, les anti coagulants, les anti arythmiques et les médicaments qui inhibent le fonctionne ment du système immunitaire. Dans ces cas, c’est le médecin qui évalue les mesures de précautions à prendre s’il prévoit un changement éventuel. Plus d’info sur www. afmps.be et www. unmedicamentnestpasunbonbon.be.
Informez-vous auprès de la mutualité pour savoir si vous pouvez bénéficier de l’intervention majorée.
Un outil bien utile Découvrez s’il existe une alternative ‘meilleur marché’ pour un médicament quelconque, grâce à notre comparateur de prix, disponible sur notre site www. partena-mutualite.be, sous le bouton ‘Découvrez nos outils’, rubrique ‘Santé’. 4 profil octobre 2015
Chaque année chez le dentiste = moins de ticket modérateur
Du neuf au 1er janvier 2016 : le trajet de soins dentaires Dès le 1er janvier 2016, les assurés qui consultent un dentiste chaque année paieront un ticket modérateur moins élevé que les assurés qui ne consultent pas chaque année, ou moins régulièrement . Le ‘trajet de soins dentaires’ vise à encourager la population à faire contrôler sa dentition régulièrement. N’oubliez pas de rendre visite à votre dentiste cette année encore ! Dès le 1er janvier 2016, les personnes majeures non bénéficiaires de l’intervention majorée devront payer un ticket modérateur plus élevé si elles ne consultent pas un dentiste au moins une fois par an. Le ticket modérateur n’augmentera pas pour les personnes qui ont consulté un dentiste en 2015. Cette mesure ne concerne pas les soins préventifs, les consultations ni les prestations d’orthodontie, mais les visites chez le dentiste motivées par d’autres raisons. Exemple des conséquences de cette mesure : • Un assuré a été au moins une fois chez le dentiste en 2015 et y retourne en 2016 pour se faire enlever une dent, il paiera 9 euros de ticket modérateur. • Un assuré n’a pas été chez le dentiste en 2015 et se fait enlever une dent en 2016, il paiera 18 euros de ticket modérateur. Dès le 1er décembre 2016, cette mesure s’appliquera également aux bénéficiaires de l’inter vention majorée. Le trajet de soins dentaires doit surtout sensibiliser les assurés à l’importance d’une visite annuelle chez le dentiste. Pour garder une dentition saine, il est en effet essentiel de consulter un dentiste au moins une fois par an. Les enfants doivent idéalement voir un dentiste deux fois par an. Il peut ainsi dépister et traiter à temps des problèmes dentaires potentiels et éviter des traitements onéreux par la suite. Et profitez de votre visite de contrôle pour demander des conseils à votre dentiste. Découvrez les avantages de notre assurance soins dentaires sur www. assurezvotresourire.be.
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Dans notre pays, près de 150.000 personnes souffrent de démence, un chiffre qui devrait s’alourdir de 30% d’ici 2020. Assurer un encadrement efficace des patients et des personnes qui s’en occupent est donc indispensable. Les travailleurs sociaux de la Mutualité Partena proposent une aide adaptée à ces situations.
S’OCCUPER DES PERSONNE Respect pour le patient, attention La Mutualité Partena attache beaucoup d’importance à l’encadrement des patients souffrant de démence et des personnes qui s’en occupent. C’est pourquoi nos tra vailleurs sociaux ont reçu une formation de base pour la prise en charge de la démence. A cela s’ajoute la désignation d’une ‘per sonne de référence Démence’. Cette per sonne qui a suivi une formation spéciale en la matière, veille à assurer un bon suivi de toutes les questions en rapport avec la démence.
REGARDER LA PERSONNE DERRIÈRE LA MALADIE
“Nous regardons la personne derrière la maladie”
Annemie Van Hijfte, Assistante sociale et personne de référence pour la démence auprès de la Mutualité Partena
Annemie Van Hijfte est la personne de référence Démence auprès de la Mutualité Partena. Elle connaît les aspects médicaux, psychosociaux et juridiques de la démence, et est aussi capable de cerner les causes des problèmes de comportement et d’humeur chez les personnes atteintes de démence. Elle apprend ainsi aux soignants et aux proches comment réagir face à ces comportements. Annemie Van Hijfte : “Ma première mission est de former mes collègues assistants sociaux pour une prise en charge, à leur niveau, de la démence. Ils apprennent à aider les per sonnes souffrant de démence et leurs proches, tout en les respectant. Ils aident ainsi les gens atteints de démence à conserver le plus longtemps possible leur indépendance.”
Les soins aux personnes démentes s’inscri vent dans le cadre d’une action plus vaste soutenue par les autorités régionales et visant à mieux encadrer dans leur milieu de vie au domicile, les patients souffrant de démence et les personnes qui s’en occupent. Annemie Van Hijfte : “Nous regardons la personne derrière la maladie. Les personnes souffrant de démence deviennent lente ment mais sûrement dépendantes des soins apportés par des tiers. C’est ce qui fait de la démence une affection si émotionnelle et si prenante. Les problèmes de mémoire, d’expression orale et de contrôle du com por tement suscitent des sentiments d’angoisse, d’impuissance, de chagrin et de honte à la fois. Le sentiment de perte domine souvent. Nous nous efforçons d’exa miner les possibilités qui subsistent pour travailler ainsi à une bonne qualité de vie.”
UN POINT DE CONTACT QUI PARTI CIPE ACTIVEMENT À LA RÉFLEXION Les soins spécialisés aux patients souffrant de démence ne tiennent pas seulement compte du côté émotionnel de la maladie. Il existe aussi de nombreux problèmes con crets qui demandent des solutions. Annemie Van Hijfte : “Pour assurer la cohérence et la transparence, nous veillons à ce que les personnes souffrant de démence et leurs proches puissent s’adresser à un inter locuteur unique. Cette personne fournit des informations, et aide à la prise de décisions
Comment s’y prendre avec une personne souffrant de démence ? • Continuez à traiter la personne souffrant de démence comme une personne à part entière. • Parlez lentement, sur un ton mesuré et restez simple dans votre message. • Ne lui reprochez pas ses pertes de mémoire. Essayez de vous projeter dans son monde. • N’étouffez pas immédiatement une explosion de colère. Laissez ‘retomber’ et montrez votre compréhension. • La méfiance est une conséquence d’une mémoire défaillante. Essayez de rester calme. • Essayez de ne pas vous irriter si cela se passe difficilement. Abordez les problèmes ensemble. • S’occuper d’une personne souffrant de démence est une succession de hauts et de bas. Veillez à vous surveiller et à prendre soin de vous. Le cas échéant, faites-vous aider !
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ES SOUFFRANT DE DÉMENCE
pour la personne qui s’en occupe importantes. Souvent, c’est l’utilisation de l’argent qui devient problématique, d’autres personnes deviennent soupçonneuses ou commettent des erreurs, qu’elles cachent à leur entourage jusqu’à ce que la situation devienne intenable. Dans de tels cas, nous proposons des mesures juridiques, comme le système d’administration provisoire, qui permet à un proche du patient de gérer ses revenus et ses biens. Nos travailleurs sociaux expliquent les possibilités du système et aident à le mettre en œuvre.”
LE SOUCI DES PERSONNES QUI S’OCCUPENT DU PATIENT Vous vous occupez d’un proche atteint de démence ? Adressez-vous en confiance au Service Action Sociale de la Mutualité Partena. Un travailleur social examine la situation et si nécessaire, se déplace gracieusement au domicile pour proposer une aide. Cela peut aller des soins (à domicile) à l’accueil en structure spécialisée en passant par le soutien administratif ou psychosocial ou un accompagnement sur le long terme. Demander de l’aide, ce n’est pas renoncer pour la personne qui s’occupe du patient, dit Annemie Van Hijfte : “Il n’est peut-être pas agréable de faire appel à une aide extérieure mais ce n’est pas un luxe superflu si le proche impliqué auprès du patient veut garder des ressources. S’occu
per d’une personnes souffrant de démence, c’est très lourd, même pour les plus forts d’entre nous. Nos travailleurs sociaux participent à votre réflexion et formulent des propositions d’aide concrètes pour éviter une charge excessive aux proches du patient. Nos travailleurs sociaux vous informent des aides disponibles, comme les systèmes d’alarme personnels avec outils de détection. Une simple pression sur un bouton permet d’entrer en contact avec une centrale d’alarme. Outre un détecteur de chutes, l’appareil dispose aussi d’un système de traçage permettant de rechercher une personne qui se serait égarée. De tels instruments et aides supplémentaires peuvent constituer un monde de différence tant pour le patient que pour ses proches. Cet aspect fait aussi partie de notre mission.”
PLUS D’ INFO • Prenez contact avec le Service Action Sociale de la Mutualité Partena sur www. partena-mutualite.be/contact ou formez le T. 02 201 42 42. • Demandez la brochure gratuite ‘Vivre avec un proche atteint de démence’ en adressant un e-mail à promotionsante@mloz.be. • Surfez sur www. vivreavecunedemence.be.
En tant qu’intervenant auprès d’une personne souffrant de démence, vous pouvez prétendre à diverses mesures de soutien :
• Chaque année en Belgique, un diagnostic de ‘démence’ est posé chez 10.000 personnes.‘ • Plus de 15 % des patients ont moins de 65 ans.
• Congé thérapeutique ou congé palliatif : congés thématiques indépendants du crédit-temps. • Crédit-temps : 1 an de ‘crédit-temps sans motif’ + 36 mois de ‘crédit-temps motivé’ complémentaire pour porter assistance ou soins à un membre du ménage ou de la famille gravement malade (jusqu’au 2e degré) ou congé pour dispenser des soins palliatifs. • Allocation de l’Assurance dépendance (Zorgverzekering) : 130 euros par mois pour les frais non-médicaux. • Allocation pour aidant de proximité : certaines communes offrent une telle allocation. Le montant et les conditions d’octroi varient en fonction de la commune de résidence. • Soins à domicile : soins infirmiers à domicile, garde-malades en journée ou la nuit… Partena règle volontiers tout pour vous. profil octobre 2015 7
Choisir d’achever son existence dans la dignité Pensez-y quand tout va bien On n’y pense pas forcément quand on est en pleine santé, mais le cadre législatif existant en Belgique nous offre une occasion unique de préciser la manière dont nous souhaitons être soignés en fin de vie. Prenez le temps d’en parler en famille, afin que le moment venu, chacun sache quel sont vos souhaits précis.
Quelque 40% des patients en fin de vie ne sont plus en mesure d’exprimer leur volonté.
Quelque 40% des patients en fin de vie ne sont plus en mesure d’exprimer leur volonté. L’âge venant, vous vous préoccupez peut-être des difficultés que vous rencontrerez lorsque le corps ne pourra plus suivre. Mais entreprendre cette réflexion a aussi tout son sens pour de jeunes adultes. Ce faisant, vos proches, votre médecin généraliste et les professionnels de la santé que vous aurez choisis seront informés de vos volontés, si jamais vous deviez vous trouver un jour dans l’incapacité de communiquer.
AUTORISEZ-VOUS À PARLER DE VOTRE FIN DE VIE Il n’est pas facile de parler de la fin de son parcours et des soins qu’on est ou non disposé à recevoir. C’est ce qui explique que ce type de réflexion soit souvent reporté, quand il n’est carrément pas banni. Il est pourtant judicieux d’aborder le sujet avec votre entourage. Ce faisant, vous éviterez des difficultés supplémentaires à vos proches, si un jour ils devaient être amenés à prendre des décisions pour vous.
COUCHEZ VOS SOUHAITS SUR PAPIER En plus d’en parler, vous pouvez aussi exprimer vos volontés explicitement par écrit. Vous pouvez aussi désigner un représentant formel. Il s’agit d’une personne habilitée à prendre la décision pour vous, si vous n’étiez plus vous-même dans les conditions de pouvoir le faire. Grâce à une déclaration de volonté relative aux soins à apporter en fin de vie, vos proches pourront opposer officiellement vos souhaits aux équipes soignantes. A défaut d’une telle déclaration de volonté ou de représentant formel, ce sont les médecins qui décident de poursuivre ou d’interrompre les traitements en cours. Ils consultent bien évidemment les proches, mais en cas de divergences de vue, ce sont toujours les médecins qui prendront la décision en dernier ressort.
PENSEZ-Y QUAND TOUT VA BIEN Parler de vos souhaits par rapport à la fin de vie avec vos proches, votre médecin généraliste et éventuellement, d’autres professionnels de la santé n’est pas un luxe superflu. Si vous souhaitez les exprimer formellement, complétez les documents nécessaires afin que vos proches puissent y faire référence et s’appuyer sur eux, si cela devait un jour s’avérer nécessaire.
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE • Vous trouverez toutes les informations utiles et les documents de déclaration de volonté sur le portail www. belgium.be/sante/soins_de_sante. • Le Service Action Sociale de la mutualité peut vous apporter son aide si vous avez besoin de services quelconques. 8 profil octobre 2015
LES GENS DE PARTENA
“Nous n’oublions pas que nous travaillons avec et pour des gens.”
ID-KIT Qui Jan Raes Travaillant avec plaisir comme PMO Manager Parce que “Savoir que grâce à votre travail, la qualité du service rendu à nos clients est meilleure, procure une grande satisfaction.”
Derrière la large offre de services de soins, de confort et de santé proposée par Partena, des équipes de collaborateurs compétents et enthousiastes aux multiples facettes sont à l’œuvre. Nous sommes heureux de vous les présenter. “Je suis PMO manager. PMO, ce sont les initiales de Project Management Office. Nous lançons de nouveaux projets pour développer et améliorer les services offerts par Partena. Actuellement, nous travaillons, entre autres choses, à notre système téléphonique. Nous voulons que lorsqu’une communication est transférée, le client ne doive pas chaque fois réexpliquer la raison de son appel. Nous voulons par ailleurs accélérer nos remboursements et simplifier nos systèmes de paiement. En résumé, nous veillons à ce que nos clients se sentent les bienvenus chez Partena, et soient aidés rapidement et efficacement, sans pour autant perdre de vue que chaque situation mérite une approche personnalisée. Si nous plaçons la latte assez haut, c’est que nous voulons servir nos clients comme nous aimerions nous-mêmes être servis.” “J’aime relever des défis dans mon travail. Et ils ne manquent pas. Collaborer avec des gens, c’est aussi associer harmonieusement des visions et des caractères différents. A cela s’ajoutent des défis structurels. Nous devons être économes de nos moyens, tout en améliorant la qualité du service rendu. C’est souvent un travail d’équilibriste, mais j’apprécie la dynamique que cela apporte dans mon travail.” “J’aime mon travail parce qu’il est très diversifié : je collabore avec de nombreux collègues, à des projets très divers. Le secteur d’activité de l’assurance maladie me convient aussi parfaitement. Savoir que les efforts déployés améliorent la qualité du service rendu, procure une grande satisfaction. J’ai aussi travaillé dans des entreprises cotées en bourse. L’ambiance y est souvent plus froide et plus rude. Chez Partena, nous n’oublions pas que nous travaillons avec et pour des gens. Souvent, même pour des gens qui traversent une période difficile. Il est agréable de savoir que notre travail peut leur éviter des soucis administratifs. Le caractère chaleureux ressenti dans nos services réside aussi, selon moi, dans les gens qui travaillent chez Partena. Une atmosphère constructive et positive règne dans nos bureaux.” profil octobre 2015 9
LES PLUS DE PARTENA
Tarifs basse saison à Dunepanne! Notre centre de convalescence au Coq-surMer associe service hôtelier et cuisine de qualité, soins personnalisés et infra struc tures adaptées. De novembre à fin février inclus, vous profitez en plus des tarifs de basse saison ! Vous payez ainsi 83,80 euros en chambre individuelle, et 75,10 euros en chambre à 2 lits (au lieu de respectivement 89,15 et 79,90 euros). Ce tarif comprend non seule ment le logement et le séjour en pension complète, mais aussi les soins quotidiens assurés par les équipes soignantes, et l’animation !
Assurance dépendance (Zorgverzekering) : comptez sur Partena ! Toutes les personnes de plus de 25 ans habitant en Région flamande sont tenues de s’affilier auprès d’une caisse d’assurance et de payer une cotisation annuelle pour contribuer à l’Assurance dépendance. L’Assurance dépendance accorde une allocation mensuelle pour les dépenses non-médicales des personnes en perte d’autonomie sévère ou résidant en maison de repos. La cotisation annuelle obligatoire est fixée à 50 euros, montant réduit à 25 euros pour les personnes bénéficiant de l’intervention majorée (régime préférentiel) de l’assurance maladie (montants valables pour 2015). Si vous payez actuellement cette cotisation annuelle obligatoire auprès d’une autre caisse d’assurance, sachez que Partena peut aussi s’occuper de la gestion de votre dossier dans ce domaine.
3 BONNES RAISONS DE CHOISIR LA CAISSE D’ASSURANCE DE VOTRE MUTUALITÉ LIBRE 1. Pratique : 1 seul interlocuteur pour la mutualité et la caisse d’assurance. 2. Nos travailleurs sociaux vous aideront avec plaisir si vous deviez avoir besoin des prestations de l’Assurance dépendance. Ils sont ainsi habilités à réaliser des évaluations à domicile pour déterminer le droit éventuel à une allocation. 3. Si ce droit est établi, notre Service Action Sociale examine en parallèle le droit à d’autres avantages sociaux. En outre, il peut organiser une offre de soins sur mesure, comme une aide familiale, une aide-ménagère, les conseils d’une ergothérapeute, … > Confiez la gestion de votre dossier d’Assurance dépendance à la Mutualité Partena. Le transfert du dossier se fera sans peine ! Contactez-nous au T. 02 201 42 42 ou sur www. partena-mutualite.be/contact. Nous vous adresserons le document d’affiliation et règlerons tout avec votre caisse d’assurance actuelle. > Besoin d’aide ? Adressez-vous à notre Service Action Sociale au T. 02 201 42 42 ou sur www. partena-mutualite.be/contact.
10 profil octobre 2015
Important : vous pouvez profiter de tarifs encore plus avantageux si vous bénéficiez d’une intervention de la mutualité pour votre séjour à Dunepanne ! Plus d’info Adressez-vous au Service Action Sociale de la mutualité ou surfez sur www. dunepanne-mloz.be. Découvrez tous les atouts de Dunepanne dans un tout nouveau film de présentation !
LES PLUS DE PARTENA
Les courses faciles grâce à CaddyHome
Semaine santé : se rétablir d’un cancer à Dunepanne Le cancer chamboule la vie du patient et de son entourage. Une fois le traitement terminé, il n’est pas toujours évident de remettre sa vie sur les rails. C’est pourquoi la Mutualité Partena propose aux personnes qui se remettent d’un cancer de recharger leur batteries à la mer du Nord, lors d’une semaine santé ! Les semaines santé se déroulent dans le cadre idéal de Dunepanne, notre centre de séjour de soins au Coq-sur-Mer. Lors de ces semaines, un programme alliant activités en groupe et moments ‘bien-être’ individuels vous est proposé. Des partages d’expé riences, la détente du corps et de l’esprit, de la relaxation aquatique, des initiations à la marche nordique,… Le tout, encadré par une équipe de professionnels.
INFORMATIONS PRATIQUES La prochaine semaine santé aura lieu du 9 au 15 novembre 2015 inclus.
Désormais, faites vos courses de la semaine sans quitter votre domicile grâce à CaddyHome, le magasin en ligne de Delhaize. Plus de perte de temps ni de lourdes charges à trimballer : CaddyHome effectue la livraison chez vous. Et comme client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez en plus de 10 euros de réduction sur la livraison à domicile de commandes d’au moins 100 euros. Consultez le site caddyhome.be pour le détail des tournées et des régions desservies. > Passez commande sur www. caddyhome.be et mentionnez ‘Client Partena suivi de votre numéro d’affiliation’ dans le champ ‘Votre message’ à l’étape 4 du processus de commande. N’indiquez rien sous la rubrique ‘Code avantage’.. > Ou commandez par téléphone, et donnez le code à l’opérateur (T. 02 378 38 80 - du lundi au vendredi, de 9h à 15h30h).
Concours
PARTENA OFFRE 30 BONS DE RÉDUCTION D’UNE VALEUR DE 15 EUROS ! Tentez votre chance : adressez vite les réponses aux questions ci-dessous et vos coordonnées (nom et adresse), par e-mail à concours@partena-partners.be. Le concours sera clôturé le 31 octobre 2015. • Question : quelle est la signification du mot “Caddy” en anglais ? • Question subsidiaire : combien de personnes participerontelles à ce concours ?
Votre partenaire (ou aidant) est également le bienvenu lors de la semaine santé, et aura l’occasion de participer à certains ateliers. De plus, en tant que client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez d’une réduction sur les tarifs. Plus d’info Pour de plus amples informations sur les semaines santé ou pour une inscription, prenez contact avec le Service Action Sociale de la mutualité, ou envoyez un mail à info@semainesante.be !
! Etes-vous déjà allé chez le dentiste en 2015 ? A partir du 1er janvier 2016, vous devrez payer davantage pour votre visite chez le dentiste, si vous n’y allez pas au moins une fois par an. Celui qui ferait l’impasse sur cette visite court le risque de devoir payer un double ticket modérateur. Plus d’info à ce propos en page 5. Si vous êtes affilié à notre assurance soins dentaires Dentalia Plus, une visite annuelle chez le dentiste est nécessaire pour profiter de remboursements optimaux !
profil octobre 2015 11
SERVICE EN LIGNE
Partena est toujours accessible
Vous n’avez pas d’agence Partena tout près de chez vous ? Partena est plus proche que vous ne le pensez. Grâce à nos services en ligne, vous pouvez nous joindre où et quand vous le souhaitez Vous pouvez aussi prendre rendez-vous avec un de nos collaborateurs. Parce que le contact personnalisé avec nos clients reste une de nos priorités. Les applications numériques évoluent rapidement, et la Mutualité Partena accompagne le mouvement. A l’automne, nous lancerons un nouveau site, où vous trouverez encore plus facilement les infos que vous cherchez. Grâce à notre Guichet on-line, vous réglez vous-même vos formalités de mutuelle depuis votre pc. Et depuis peu, vous pouvez même le faire depuis votre téléphone mobile grâce à notre toute nouvelle app pour Smartphone. Naturellement, nous continuons à attacher une grande importance au contact personnalisé avec nos clients. Notre module de rendez-vous en ligne vous permet de prendre facilement rendez-vous pour un entretien personnalisé avec un de nos collaborateurs. Le temps gagné grâce à nos applications numériques peut ainsi être consacré à des rendez-vous où nous prenons tout le temps nécessaire pour ceux de nos clients qui ont besoin d’une aide spécifique.
12 profil octobre 2015
LES NOUVEAUX HABITS DE PARTENA-MUTUALITE.BE Fin 2015, la Mutualité Partena et Partena Aide à domicile lanceront un nouveau site. Plus de sites dispersés mais un ensemble pour vous informer clairement de la totalité des services que la Mutualité Partena propose. Vous n’y trouverez pas seulement des informations concrètes et précises, mais aussi de précieux renseignements sur les avantages supplé mentaires dont vous bénéficiez comme client. Partena vous invite à adopter le ‘réflexe sain’. Au fil du nouveau blog Partena et de ses articles étonnants et rafraîchissants, nous vous donnerons des conseils pour mener une existence équilibrée, et apprendre comment accroître la vitalité du corps et de l’esprit. Ce nouveau site vous est destiné à vous, nos clients. Il a aussi été conçu en partie grâce à vous. Notre panel de clientèle a collaboré au développement du site, ce qui nous a permis d’apprendre où et quand vous avez besoin de quel type d’informations. Nous espérons pour vous que la découverte de notre site vous inspirera et vous transportera dans un tout nouveau monde Partena sur la toile.
L’APP MOBILE PARTENA Grâce à notre app mobile pour Android et iPhone, vous pouvez vous connecter facilement depuis votre Smartphone ou votre tablette. Vous pouvez ainsi visualiser vos remboursements sur le Guichet on-line, commander des vignettes et consulter votre dossier. La géolocalisation vous permet de repérer une agence proche de l’endroit où vous vous trouvez, et l’app d‘en connaître les heures d’ouverture. Il vous suffit de passer un coup de fil ou de prendre rendez-vous grâce au module de rendez-vous en ligne. Besoin d’infos de notre Centre de Service ? L’ app vous permet de savoir quand nous sommes accessibles ce jour-là ou de nous adresser un e-mail grâce à notre formulaire de contact. L’ app est aussi précieuse en cas d’urgence : tous les numéros des services de secours y sont repris et sont disponibles à portée de main. Téléchargez l’application gratuite dans l’App Store, ou depuis Google Play (à partir du mois de novembre).
UN CLIC ET VOUS AVEZ PRIS RENDEZ-VOUS ! Pour les personnes souhaitant un conseil personnalisé, nous avons lancé voici peu un nouveau module de rendez-vous en ligne. Il vous permet de prendre un rendez-vous personnalisé en ligne avec un conseiller clientèle de votre agence Partena locale ou avec un travailleur social de notre service Action Sociale. Vous choisissez le lieu du rendez-vous et précisez la raison, par ex. parce que vous avez des questions à propos de votre assurance hospitalisation. Vous voyez directement quelles sont les disponibilités dans l’agenda, et choisissez le moment qui vous convient le mieux. Vous pouvez même joindre les documents dont vous souhaitez parler avec votre conseiller. Le nouveau module de rendez-vous vous offre la garantie d’un service personnalisé, au moment qui vous convient. Vous trouverez le module de rendez-vous sur notre site www. partena-mutualite.be.
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Se brosser les dents deux fois par jour, manger sain et aller chez le dentiste au moins une fois par an. Nous sommes nombreux à ignorer la dernière recommandation, mais ce sont surtout les jeunes enfants et les 25-34 ans qui sont les champions à ce petit jeu.
Les jeunes et le dentiste : des hauts et des bas! L’évolution des visites chez le dentiste, de l’enfance au début de l’âge adulte, connaît des hauts et des bas. Avec tous les risques qui s’ensuivent... Seraf Van Den bosch, dentiste, explique ce phénomène et met le doigt là où ça fait mal.
Seraf Van Den Bosch, vice-président et porte-parole de L’Association des Dentistes de Flandre
Pouvez-vous nous dresser un bref aperçu de l’évolution des visitez chez le dentiste chez les jeunes ? Seraf Van Den Bosch : “La visite chez le dentiste constitue déjà un point problématique dès le plus jeune âge. Seulement 28 % des enfants de trois ans sont déjà allés une fois chez le dentiste et à peine 29 % des enfants entre 5 et 7 ans y vont régulièrement. C’est vraiment très peu ! Surtout qu’à partir de 6 ans, les dents de lait commencent à laisser place à la denture définitive. C’est un moment crucial ! Il y a ensuite un pic de 65 % chez les adolescents de 12 à 14 ans. Puis une petite baisse à 56 % chez les 15-24 ans, mais elle n’est pas tellement significative. Le problème redevient alarmant chez les 25-34 ans, qui sont seulement 37 % à se rendre chez le dentiste. Bref, pour chaque tranche d’âge, le pourcentage de visites chez le dentiste est trop faible, mais les deux groupes problématiques sont d’une part les très jeunes enfants et d’autre part, les jeunes adultes de 25 à 34 ans.” Il s’agit donc d’amener les enfants le plus tôt possible chez le dentiste... Seraf Van Den Bosch : “C’est bien ça ! Car nous pouvons alors jouer pleinement notre rôle préventif et prodiguer des conseils. Les enfants peuvent s’habituer au dentiste, les diagnostics sont posés plus tôt, nous pouvons corriger les habitudes alimentaires et de brossage, etc. Si nous avons l’opportunité d’accompagner les enfants de cette manière, les chances qu’ils continuent à venir tout au long de leur vie sont beaucoup plus élevées. Et les bonnes habitudes acquises tôt perdurent! C’est là que le bât blesse : nous voyons les enfants beaucoup trop tard. Bien souvent, les parents ne viennent avec leurs enfants que lorsqu’un problème urgent survient. Et dans ce cas, le contact avec le dentiste est
14 profil octobre 2015
Pour Hospitalia et Dentalia Plus, la Mutualité Partena 526 (n° OCM 5006c) intervient en tant qu’intermédiaire d’assurances, pour la Société mutualiste d’assurance ‘Mutuelle Entraide Hospitalisation’ (n° OCM 750/01).
évidemment beaucoup moins agréable... Actuellement, la relation avec le dentiste se construit trop tard, pour ensuite culminer entre l’âge de 12 et 14 ans. Comment s’expliquent les pics de visites dans cette tranche d’âge ? Seraf Van Den Bosch : “Ils sont en grande partie liés à l’orthodontie. Les parents viennent avec leurs enfants pour des raisons esthétiques et parce qu’un appareil dentaire est nécessaire. Ils savent aussi qu’ils doivent introduire une demande auprès de la mutualité avant l’âge de 15 ans pour avoir droit à un remboursement. Il n’y a pas de mauvaise raison en soi d’aller chez le dentiste mais c’est un peu frustrant pour les praticiens que certains enfants n’arrivent qu’à ce moment-là. S’ils étaient venus plus tôt, il aurait sans doute été possible de prévenir ou de détecter bien avant un certain nombre de problèmes. Plus tôt nous pouvons intervenir, mieux c’est !” Quels sont les principaux dangers pour les enfants qui vont trop tard chez le dentiste ? Seraf Van Den Bosch : “Tout d’abord, les caries, bien évidemment. Nous devons parfois même soigner certains jeunes enfants sous narcose car leur bouche est pleine de trous. Ensuite, il y a l’érosion. L’émail disparaît lentement à cause des boissons présentant un degré élevé d’acidité. Citons aussi la chute précoce des dents de lait, qui peut entraîner des problèmes pour la percée des dents définitives. Et enfin, n’oublions pas les conséquences sociales : un enfant avec une mauvaise dentition est souvent raillé par ses camarades. Dans notre société actuelle, avec les médias sociaux, ce risque n’en est que plus important.” Passons maintenant au second groupe problématique : les 25-34 ans. Seraf Van Den Bosch : “Oui, au sein de ce groupe, la visite chez le dentiste retombe à 37 %. Plusieurs raisons expliquent ce pourcentage. Il s’agit souvent de jeunes adultes qui vont habiter seuls et qui ont d’autres choses en tête. Les parents ne sont plus là pour insister sur l’importance de la visite chez le dentiste. Beaucoup en ont peut-être aussi un peu marre du dentiste. Ils pensent que leur dentition est bien soignée et restent parfois jusqu’à dix ans sans aller chez le dentiste. Pendant toute cette période, ils mettent évidemment leur santé buccale en péril. Car à l’âge de 40 ans, la courbe des visites chez le dentiste remonte à nouveau.‘’ Parce que de nouveaux problèmes surviennent ? Seraf Van Den Bosch : “Absolument. Autour des 40 ans, surviennent les problèmes liés, par exemple, à la parodontite. Il s’agit de la dégradation de l’os et des tissus autour des dents. Un autre problème rencontré est l’érosion dentaire, dont j’ai déjà parlé. L’usure de l’émail n’est pas seulement provoquée par les sodas. Le degré d’acidité entre également en considération. Les jus de fruits aussi attaquent l’émail et constituent un danger à long terme. Mais on en parle beaucoup moins, même si le problème ne cesse de s’intensifier. Il est grand temps que le public soit davantage informé sur l’érosion dentaire et pas seulement sur les caries. Nous devons apprendre à être plus raisonnables, pas seulement avec les sodas mais aussi avec les jus d’orange, les jus de pomme ou les smoothies, ...” Tous ces problèmes dentaires ont un prix. Quels sont ceux pour lesquels les patients doivent le plus débourser ? Seraf Van Den Bosch : “En ce qui concerne la prévention et les soins de base, un plombage classique, par exemple, les patients déboursent relativement peu. Sur ce plan, le budget des remboursements est utilisé avec bon sens. Mais une fois que vous perdez vos dents, c’est une autre affaire ! Une prothèse synthétique est encore remboursée mais ce sont des solutions d’un autre temps. De plus en plus de patients préfèrent une couronne, un bridge ou des implants, qui sont très chers. Remplacer une dent par un implant peut coûter 2.000 euros au patient.” Profil remercie chaleureusement Seraf Van Den Bosch pour sa précieuse collaboration.
PLUS D’INFO Découvrez nos brochures ‘7 réflexes pour des dents saines !’ et ‘Deviens ceinture noire du brossage de dents !’, sur www. bonpourvous.be. Vous y trouverez aussi un chouette calendrier du brossage des dents, destiné aux plus petits.
65% 56%
37% 28%
29%
3 ans
5-7 ans
12-14 ans
15-24 ans
25-34 ans
Taux de visites régulières chez le dentiste entre 3 et 34 ans en Belgique
DENTALIA PLUS : JUSQU’À 1.025 EUROS EN PLUS, PAR AN ET PAR PERSONNE! Pour les jeunes de moins de 18 ans (en règle de cotisations auprès de la mutualité), une visite chez un dentiste (conventionné) est gratuite, à l’exception des traitements d’orthodontie. Dans de nombreux autres cas, l’assurance mala die n’intervient pas ou seulement partiellement dans les frais. Fort heureusement, la mutualité vous propose Dentalia Plus. Cette assurance soins dentaires vous rembourse jusqu’à 1.025 euros supplémentaires par an et par personne pour l’orthodontie, les prothèses, les implants, les soins préventifs et curatifs. Ce n’est pas du luxe, quand on sait qu’un traitement pour une prothèse coûte en moyenne 1.648 euros et que 10 % des patients paient plus de 3.432 euros. Pour un appareil dentaire, un assuré paiera jusqu’à 3.700 euros de sa poche. Vous pouvez vous affilier à Dentalia Plus jusqu’à l’âge de 64 ans accomplis. Plus d’info : surfez sur www. assurezvotresourire.be.
profil octobre 2015 15
BOUTIQUE SANTÉ
La recette d’un sommeil réparateur 1 LA RÉGULARITÉ
Levez-vous et allez dormir à des heures fixes. Vous développerez ainsi un schéma de sommeil et de réveil régulier, la meilleure manière de trouver rapidement et facilement le sommeil chaque soir. Evitez de dérégler votre horloge biologique en allant dormir beaucoup plus tard, le week-end. 2 UN BON ENVIRONNEMENT DE SOMMEIL
Faites de votre chambre à coucher un environnement de sommeil calme et sain. Veillez à avoir un bon lit et un matelas correct. Aérez régulièrement votre chambre à coucher, et faites en sorte que la température y soit comprise entre 16 et 20 degrés. 3 UNE ALIMENTATION CORRECTE
Faites attention à ce que vous mangez et buvez peu avant d’aller dormir. N’allez pas dormir en ayant faim, mais évitez les repas trop lourds et fortement épicés. Pour ce qui est des boissons, le café, les boissons au cola, le thé et l’alcool ne favorisent pas le repos nocturne. 4 L’ACTIVITÉ PHYSIQUE
Une activité suffisante en journée exerce un effet positif sur le relâchement et favorise la qualité du sommeil. Essayez de ne pas faire de sport juste avant d’aller dormir et prévoyez un moment de tranquillité entre activité physique et le moment du coucher.
16 profil octobre 2015
5 VIDEZ-VOUS LA TÊTE
Veillez à aller dormir en ayant l’esprit libéré. Si vous remarquez que vous êtes en train de ruminer parce que quelque chose vous préoccupe, levez-vous pour vous changer les idées et retournez dormir quand vous aurez retrouvé votre calme. 6 DÉBARRASSEZ-VOUS DE VOS APPAREILS
Téléphone portable, tablette ou portable. Aucun de ces objets n’a sa place sur votre table de nuit. Pour les insomniaques, il est même préférable que le réveil ne se trouve pas dans le champ de vision. Voir les heures défiler ne peut que renforcer la frustration. 7 PRENEZ LE TEMPS DE VOUS DÉTENDRE
Des exercices de relaxation peuvent vous aider à combattre le stress entourant le moment d’aller dormir. Un cours de mindfulness (pleine conscience) ou de yoga pourrait vous y aider. Les exercices de relaxation et les techniques respiratoires que vous y apprendrez, vous aideront si vous avez du mal à trouver le sommeil. De même une séance de sauna par infrarouge peut vous aider à vous détendre. 8 CHERCHEZ DE L’AIDE
Vous avez tout essayé mais les insomnies sont toujours là ? Consultez votre médecin. Objectivez les problèmes que vous rencontrez avant d’aller chez le médecin. Utilisez un agenda du sommeil où vous répertoriez jour après jour vos difficultés. Ces informations permettront de traiter plus efficacement vos insomnies. Téléchargez gratuitement votre agenda du sommeil sur www. bonpourvous.be.
BOUTIQUE SANTÉ EVITEZ LES DOULEURS CERVICALES CHRONIQUES GRÂCE À L’OREILLER SANAPUR®
La réduction pour les membres vaut en cas de paiement régulier des cotisations mutualistes au Package d’avantages. Le prix indiqué pour les clients de la Mutualité Partena comprend la réduction Partena de 10%. Toutes les promotions sont valables du 1er octobre 2015 au 30 novembre 2015 inclus, ou jusqu’à épuisement du stock.
• Une mauvaise position pendant le sommeil entraîne souvent des douleurs cervicales chroniques. Un bon oreiller helpt vous aidera à les éviter. L’oreiller Sanapur® Original soulage les symptômes de douleurs cervicales chroniques, et aide à combattre à long terme les tensions douloureuses dans la nuque. • L’oreiller Sanapur® exerce moins de pression sur l’arrière de la tête et sur les muscles de la nuque parce que la tête repose dans un petit creux. La nuque bénéficie pour ainsi dire d’un soutien flottant. • Adaptez la hauteur de l’oreiller à votre stature, à votre type de matelas et à vos préférences personnelles. Ainsi, la tête est alignée sur la colonne vertébrale, et vous avez la sensation que l’oreiller est ‘fait pour vous’. • Le renfoncement au milieu enlève la pression des oreilles : idéal pour les personnes souffrant d’acouphènes, du syndrome de Ménière, de migraine, ou portant un masque contre l’apnée du sommeil, des appareils auditifs, ou des bouchons d’oreilles... Ces renfoncements font en sorte que vos épaules reposent confortablement lorsque vous dormez sur le côté.
MIEUX DORMIR EN RONFLANT MOINS • Il n’existe pas vraiment de remèdes miracles contre le ronflement. Mais il existe en revanche des aides efficaces, comme l’oreiller anti-ronflement SISSEL® SILENCIUM. Un oreiller ‘intelligent’ équipé d’un senseur de pression, de chambres à air et de microphones. L’oreiller enregistre les bruits nocturnes et la position de la tête. Si vous commencez à ronfler, le coussin place doucement votre tête dans une autre position. Les voies respiratoires sont libérées et les ronflements diminuent. • Des tests ont démontré que l’oreiller anti-ronflement diminue les ronflements de 70 à 95% chez les personnes au ronflement léger ou sonore. Les personnes testées ont trouvé l’oreiller confortable et confirment qu’elles sont moins fatiguées au réveil. • Si vous ronflez bruyamment et de manière irrégulière, consultez d’abord un médecin, qui s’assurera que vous ne souffrez pas d’apnée du sommeil. Dans un tel cas, l’oreiller n’a pas d’effet.
Ce renfoncement garde la tête stable dans l’axe naturel de la colonne vertébrale.
SISSEL® SILENCIUM ORTHO PLUS : 595,00 euros. Prix promo : 506 euros. Prix membres de la Mutualité Partena : 455,18 euros.. Le creux fait en sorte que le conduit auditif ne soit pas fermé.
La douceur du soutien dans la nuque favorise l’irrigation de la tête.
OREILLER SANAPUR Original Med: 159 euros. Prix promo : 135,15 euros. Prix membres de la Mutualité Partena : 121,64 euros + housse de voyage gratuite d’une valeur de 19 euros. ®
Testez votre oreiller pendant 15 jours ! Il n’est pas évident de trouver ‘le bon oreiller’. Partena vous conseille pour trouver votre oreiller idéal. Et en plus, nous vous offrons l’opportunité d’essayer un coussin de test pendant 15 jours. Ainsi, vous saurez avec certitude si l’oreiller vous convient ! Si vous n’avez pas trouvé la solution idéale, vous pouvez le renvoyer après 2 semaines. Plus d’info sur www. partena-boutiquesante.be. RÉDUCTION
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Journée du sommeil à la Boutique santé Blue Towers - Sluisweg 2 à Gand Partena vous invite, le samedi 21 novembre de 10 à 18 heures, à découvrir la gamme des oreillers, matelas, lits et édredons des marques Tempur®, Sanapur®, Sissel® et Inatura®. Passez tester les oreillers et les matelas, et profitez de conseils professionnels.
Ou inscrivez-vous à l’avance à une de nos séances d’info : Programme 15.00 - 15.45h : initiation au yoga restaurateur et aux exercices respiratoires calmants 16.00 - 16.45h : les effets de l’alimentation sur le sommeil 16.00 - 16.45h : initiation au yoga restaurateur et aux exercices respiratoires calmants 17.00 - 17.45h : les effets de l’alimentation sur le sommeil
Inscriptions • sur www. partena-boutiquesante.be/activites • ou en formant le T. 09 269 32 70 Les séances d’information et les ateliers sont organisés en néerlandais, mais nos clients francophones sont les bienvenus, et nous répondrons avec plaisir en français à leurs questions.
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BOUTIQUE SANTÉ
Soulager la douleur sans médicaments Quelque 32% des adultes souffrent régulièrement ou constamment de douleurs. Et avalent beaucoup d’antidouleurs. Cela paraît anodin mais les antidouleurs affectent l’organisme. La Boutique santé vous invite à découvrir 2 produits qui combattent ces douleurs. Ils ne remplacent ni les médicaments, ni les traitements, mais ce sont de bons compléments qui soulagent la douleur.
La thérapie TENS chez vous
Cabine infrarouge Biozendo®
TENS, c’est l’acronyme de ‘Transcutanous Electronic Nerve Stimulation’, ou la stimula tion nerveuse par des impulsions électro niques au travers de petits électrodes placés sur la peau. TENS a un effet local là où les électrodes sont placés, et convient pour le traitement des douleurs chroniques et aiguës, et soulage les muscles raides.*
La chaleur infrarouge peut aider à soulager la dou leur et exerce un effet relaxant sur les muscles et les articulations. Dans une cabine infrarouge Biozendo®, le corps est chauffé en son sein, sans que l’air qui vous entoure dans la cabine ne se réchauffe.
• Les nerfs sensoriels de la peau sont stimulés pour que les sensations douloureuses ne soient plus envoyées vers le cerveau. • Les nerfs sont stimulés, ce qui entraîne une production d’endorphine, un antidouleur naturel. • L’intensification de la circulation sanguine entraîne une augmentation de la présence d’oxygène dans les muscles, ce qui réduit les raideurs musculaires. OMRON® E4 avec électrodes longue durée : 129,00 euros. Prix promo : 116,10 euros. Prix membres : 104,50 euros.
Le Docteur Alex Kloeck, chirurgien orthopédiste : “Je souffre du dos et d’une épaule douloureuse. Après une séance d’infrarouge, j’ai moins mal et mes muscles sont plus relâchés. L’effet relaxant est apporté par le parfum des huiles essentielles et la douce musique d’ambiance. En tant que médecin, je suis convaincu que cette chaleur pénétrante de l’infrarouge est bénéfique pour les affections des tissus mous, à savoir les inflammations musculaires et ligamentaires chroniques, mais aussi les troubles articulaires, l’arthrite rhumatoïde, la fibromyalgie et l’EM/SFC.” Cabine infrarouge Biozendo® à partir de 2.220 euros. En tant que client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez toujours, en plus d’éventuelles promos, d’une réduction supplémentaire de 100 euros à l’achat d’un modèle de cabine infrarouge Biozendo® (y compris les cabines sur mesure pour les personnes handicapées). Les achats réalisés chez Biozendo® ne sont pas pris en considération pour la réduction de 10% du Package d’avantages.
*Ne convient pas pour les personnes portant un pacemaker ou d’autres implants électroniques.
18 profil octobre 2015
Madame Criel, infirmière : “Pendant les mois plus froids, j’utilise la cabine quasi quotidiennement pour éliminer les raideurs dans mon cou et dans mon dos. Avant, je souffrais souvent de maux de tête, mais après une bonne séance d’infrarouge, il n’en est plus question.”
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Inscriptions : • sur www. partena-boutiquesante.be/activites • ou en formant le T. 09 269 32 70 Les séances d’information sont organisées en néerlandais, mais nos clients francophones sont les bienvenus, et nous répondrons avec plaisir en français à leurs questions.
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Classic 27x27cm
maux de dos, douleurs musculaires et liées aux règles, crampes abdominales
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Cervico 13x55cm
douleurs à la nuque et aux épaules
14,50 euros
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Picolo 13x26cm
préchauffage du lit/berceau
10,00 euros
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chauffer des pieds froids, préparation au massage ou à un traitement musculaire ou articulaire
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‘Mémoire, ma petite mémoire’ Inspiré d’une histoire vraie, le film ‘Still Alice’, sorti au printemps dernier, a valu à l’interprète féminine du rôle-titre, Julianne Moore de remporter à Hollywood l’Oscar de la meilleure actrice. Elle y incarnait le rôle d’une enseignante en lin guistique, rattrapée par la maladie d’Alzheimer. Plus près de nous, le récit poignant de l’ex périence que traverse Vicky Dubois, auteur de l’ouvrage ‘Mémoire, ma petite mémoire’, sous-titré Alzheimer vu de l’intérieur. Infirmière de formation, Vicky Dubois a été diagnostiquée voici 3 ans. Pas de surprise pour elle, qui était déjà intimement con vaincue d’avoir été touchée par la maladie, avant d’en recevoir la confirmation médi cale. Les premières ‘défaillances’ qu’elle avait constatées lui avaient déjà fait acquérir la certitude d’un mal pourtant débutant.
‘Mémoire, ma petite mémoire, Alzheimer vu de l’intérieur’ par Vicky Dubois (postface de M. Van der linden), chez Ker Editions www. kereditions.eu, 232 p., ISBN 9782875860941, 18 euros.
20 profil octobre 2015
A côté des souvenirs d’une vie bien remplie qui l’a notamment fait passer de la chaleur d’un de nos anciens bassins houillers à celle des régions de l’Equateur, c’est surtout un message d’espoir et d’optimisme raisonné que Vicky Dubois veut adresser au lecteur, et au-delà de lui, aux patients eux-mêmes, à leurs proches et à toute la communauté. Depuis l’évidence du diagnostic, Vicky Dubois a décidé, avec l’aide de son mari, d’affronter la maladie tout en ayant cons cience des difficultés et des renoncements qui l’accompagnent. Si elle est toujours
attentive à l’évolution de ses capacités et à définir ses limites, elle reste extrêmement active et met à profit tous les ‘bons moments’ que lui laisse la maladie. Participation à la préparation des repas, courses dans les grandes surfaces, mais aussi séances de natations, cours de fitness et ateliers de danse rythment son quotidien, que viennent égayer beaucoup de moments de bonheur familial, et depuis la sortie de son livre en avril dernier, de nombreuses sollicitations des médias, associations de patients et professionnels de la santé. Interviews, participations à des causeries, témoignages, interventions dans des exposés font désormais partie intégrante de son existence. Pour Vicky, pas question de forcer sa nature ! Le message est clair : elle ne fait que des choses qu’elle prend plaisir à faire, et refuse de s’enfermer dans ses échecs. Et lorsque l’épreuve est décidément trop difficile à surmonter, pas question de déprimer : les ‘autres’, même inconnus, rencontrés au détour d’une allée de supermarché sont là, étonnamment dis ponibles pour apporter leur aide, et permettre de poursuivre le chemin. Un chemin que vous pouvez partager en dévorant l’ouvrage rédigé par Vicky Dubois, mélange d’album aux souvenirs et de journal de bord, mais avant tout, message de vie et d’espoir.
Bébé est annoncé ? Partena vous offre un compte bébé ! Comme client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez de nombreux avantages. Et si vous devenez maman ou papa, Partena vous offre un petit plus sous la forme d’une prime de naissance de 400 euros, ou de notre tout nouveau compte bébé de 500 euros.
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Jusqu’ici, les jeunes parents avaient le choix entre une prime de naissance ou un compte couches pour bébé. La prime de naissance existe toujours, mais le compte couches pour bébé a laissé la place à un concept beaucoup plus flexible : le compte bébé. Grâce au compte bébé, vous bénéficiez d’un montant à valoir auprès de la Boutique santé Partena. Un montant que vous pouvez toujours consacrer à l’achat de couches pour bébé, mais plus exclusivement. Désormais, vous pouvez aussi y acheter des produits de soins, un vélo d’enfant ou des jouets issus de la filière durable. Grâce au compte bébé, vous choisissez vous-même à quoi vous souhaitez consacrer le montant mis à votre disposition. • Des cadeaux faciles à choisir : le système du compte bébé est facile à utiliser et tout simple. Vous passez commande sur le web shop de la Boutique santé Partena, ou sur le Guichet on-line. • Un plus grand choix de produits bébé : achetez des couches pour bébé, mais offrez-vous le temps de flâner sur notre boutique en ligne, pour trouver un siège pour enfant, des jouets, des biberons, des écharpes de portage, des produits de soins, de chouettes petits accessoires, un vélo d’enfant, du matériel éducatif, … Vous trouverez tout cela dans les catégories ‘Bébés et bambins’ et ‘Santé et Bien-être’. • Un compte bébé avec un montant à valoir de 500 euros : Contrairement à ce qui était d’usage auparavant, vous ne devez plus avancer le paiement de vos achats, avant d’en obtenir le remboursement. Le nouveau compte bébé est beaucoup plus facile à utiliser : vous bénéficiez d’un montant à valoir à votre nom auprès de la Boutique santé, que vous pouvez utiliser directement pour vos achats. Un compteur sur le Guichet on-line vous permet de consulter le solde de votre compte bébé.
Ruth, collaboratrice de Partena et maman de Nour (1,5), a fait le choix des pauses d’allaitement au travail “J’ai repris le travail après 4 mois de congé de maternité. Pour moi, il ne faisait aucun doute que j’allais continuer à allaiter. Nous voici un an plus tard et je continue à récolter mon lait. Je dois avouer que c’est parfois lourd de devoir chaque fois interrompre mon travail pour m’isoler. D’un autre côté, il est particulièrement agréable de pouvoir travailler pour un employeur qui accepte que je continue à allaiter, et qui m’offre toutes les facilités souhaitables pour m’aider à poursuivre sur cette voie.”
Nous sommes sûrs que comme jeunes parents, vous êtes les mieux placés pour savoir ce dont votre bébé a besoin. Le compte bébé vous permet désormais de choisir les articles les mieux adaptés à vos besoins, à ceux de votre bébé et de votre ménage.
Découvrez les plus chouettes articles pour bébé sur www.partena-boutiquesante.be. LA PAUSE D’ALLAITEMENT : UN DROIT POUR CHAQUE MAMAN Vous allaitez et devez reprendre le travail ? Inutile de devoir nécessairement arrêter l’allaitement. Les jeunes mamans actives dans le secteur privé ont droit à des pauses d’allaitement au travail. Une pause d’une demi-heure est octroyée à partir de 4 heures de travail sur la journée. A partir de 7 heures 30 de travail, les jeunes mamans ont droit à 2 pauses. L’employeur doit mettre un espace adapté à disposition de la travailleuse pour les pauses d’allaitement. Ces pauses ne sont pas rémunérées par l’employeur. C’est la mutualité qui indemnise la jeune maman pour ces moments. Vous aimeriez prendre des pauses d’allaitement ? Faites-en la demande 2 mois à l’avance, par courrier recommandé adressé à l’employeur. profil octobre 2015 21
COIN LECTURE
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DES RUES ET DES HOMMES À BRUXELLES Qui furent les personnages qui donnent leur nom aux rues de Bruxelles que nous parcourons si souvent ? Autrefois, on mentionnait sous le nom d’un grand homme la raison qui lui avait valu de donner son nom à une artère bruxelloise. Cette excellente habitude a pratiquement disparu et si personne ne se demande qui fut Michel-Ange ou le général de Gaulle, com bien de passants pourraient dire aujourd’hui quelle fut la pro fession de Louis Lepoutre ou quels furent les mérites de Monsieur Eggericx ? Des rues et des hommes à Bruxelles Georges Lebouc, 200 p. EAN : 9782873865740 8,50 € au lieu de 10 €
BELGIQUE - UNE ÉTONNANTE NATURE
Un patrimoine naturel aux richesses insoupçonnée. Pour chaque site naturel survolé par l’auteur et photographe Wouter Pattyn, vous trou verez un magnifique complément d’infor mations pratiques. Un guide-nature illustré de clichés à couper le souffle, pour vous conduire à travers les plus beaux sites naturels de Belgique. Belgique - une étonnante nature - Wouter Pattyn, 192 p. - EAN : 9789401416085 16,99 € au lieu de 19,99 €
CURIOSITÉS EN PROVINCE DE LIÈGE
Découvrez les pépites de notre patrimoine ! Au-delà du patrimoine majeur, connu et mis en valeur, bien des raretés, des vestiges d’un autre temps, des bizarreries ou curiosités jalonnent le paysage wallon, en ville ou dans les campagnes. La province de Liège en recèle un grand nombre. Les auteurs vous en révèlent les principaux et vous invitent à découvrir autrement un patrimoine qui vaut le détour. Curiosités en province de Liège - James Lohest, Monique Noé, Christian Robinet, 176 p. - EAN : 9782873862800 21,21 € au lieu de 24,95 €
CUISINER TER DUINEN. LE MANUEL
Ecole hôtelière Ter Duinen Cuisiner contient toutes les techniques de base (avec les photos étape par étape), quelque 600 mets, un index très fourni de termes culinaires et 100 menus avec les recettes correspondantes. L’École hôtelière Ter Duinen (Coxyde) fait partie des meilleures écoles de gastronomie européennes. Des chefs étoilés comme Geert Van Hecke (De Karmeliet) et Peter Goossens (Hof van Cleve) y ont fait leurs études. Cuisiner Ter Duinen. Le Manuel, 480 p. EAN : 9789401426312 51 € au lieu de 60 €
LE NOUVEAU DICTIONNAIRE DES NOMS DE LIEUX EN WALLONIE ET À BRUXELLES Fruit d’un travail de 20 ans, cette toute nouvelle version du dictionnaire – complè tement remaniée, avec 130 pages en plus recense quelque 10.000 lieux habités, sites naturels ou touristiques et institutions de Wallonie et de Bruxelles. Pour chaque nom, l’ouvrage fournit de nombreuses données étymologiques, mais aussi géographiques, historiques et patri moniales. Un trajet surprenant à travers la langue, le patri moine, les traditions et l’histoire de nos régions. Le nouveau dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles - Jean-Jacques Jespers, 752 p. - EAN : 9782873867331 29,71 € au lieu de 34,95 €
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22 profil octobre 2015
AIDE À DOMICILE Chez Partena Aide à domicile, nous sommes très attachés au fait de proposer à nos clients une aide-ménagère et du repassage fiable et de qualité. C’est pourquoi nous investissons continuellement dans la formation et le recyclage de nos aide-ménagères. Ainsi, nous pouvons procurer une aide-ménagère professionnelle et motivée à tous nos clients, chez qui notre personnel va travailler avec plaisir.
Investir dans l’enthousiasme
Journée de recyclage chez Partena Aide à domicile Chez Partena Aide à domicile, chaque aideménagère bénéficie d’une bonne formation et d’un coaching adapté. Nous n’oublions pas les personnes qui travaillent déjà depuis plus longtemps chez nous. Ainsi, nous organisons régulièrement une journée de formation pour aide-ménagères expéri mentées. C’est aussi l’occasion d’échanger des connaissances et de rencontrer des collègues. Et pour l’employeur, c’est le moment idéal pour recueillir les impressions des collaborateurs. Un aspect essentiel pour garantir la qualité du service offert, et pour l’améliorer là où c’est nécessaire.
Au cours d’une journée de formation bien remplie, nous organisons des ateliers au cours desquels différents thèmes de travail sont abordés. Un quizz ludique sur les tech niques de nettoyage, et l’atelier ‘nettoyer en toute sécurité’ sont l’occasion de rafraîchir les connaissances. Mais nous sommes aussi attentifs à la façon de gérer les réactions et à comment bien commu niquer avec les clients. Et en clôture, l’atelier de théâtre du stress sert à apprendre à nos collaborateurs comment doser sainement leur énergie, et conserver un équilibre entre travail et vie privée.
La grosse plus-value apportée par tous les ateliers vient du fait que nous partons de situations concrètes rencontrées au travail. Chaque aide-ménagère a bien un client avec lequel la communication est plus difficile, et il arrive à tout le monde de mal évaluer les attentes d’un client. Au départ de ces situations, nous échangeons les expériences et travaillons à trouver des solutions. A la fin de la journée, tous nos collaborateurs rentrent détendus chez eux
Isabelle travaille depuis 2010 pour Partena Aide à domicile à Alost et a participé à la journée de formation :
de nettoyage : une manière sympa et origi nale d’élargir ses connaissances. En finissant deuxième, notre équipe n’était pas loin d’avoir remporté la victoire...”
“L’après-midi a débuté par une session consacrée aux techniques de nettoyage. Une collègue enthousiaste nous a raconté comment elle utilise des cristaux de soude comme détergent écologique. Une décou verte très utile pour moi, que je testerai peut-être à l’occasion. A la fin, ce fut au tour de deux actrices, ou ‘aide-ménagères’, d’interpréter une petite pièce de théâtre. Des situations vécues et très drôles ! Une belle façon de clôturer une journée où j’ai beaucoup appris, et qui a été beaucoup plus agréable que je ne me l’étais imaginé.”
“Aller jusqu’à Gand pour une formation… sincèrement, je m’en serais bien passée. Mais dès mon arrivée, la journée a commencé directement de manière très détendue, avec un délicieux petit-déjeuner servi au dixième étage des Blue Towers à Gand, pendant lequel j’ai eu l’occasion d’échanger avec les collègues. Ensuite, nous avons participé à un quizz sur les techniques
“Puis, nous avons reçu des conseils de communication. Comment réagir si mon client se fâche ? Comment faire comprendre à un client que ce qu’il attend de moi est trop lourd ? Moins amusant que la première partie, mais des informations très inté ressantes. Après un lunch savoureux, nous avons pu profiter un peu du panorama offert depuis la terrasse du dixième étage.”
Vous avez besoin d’une aide-ménagère professionnelle ? Ou vous connaissez quelqu’un qui serait intéressé par un emploi d’aide-ménagère ? Contactez-nous sur www. partena-aideadomicile.be.
Nos aide-ménagères ne travailleront pas les 24, 25 et 31 décembre. Le 31 décem bre, nous ne serons pas accessibles pour des raisons d’ordre technique.
profil octobre 2015 23
La dépression chez les aînés…
Non, ce n’est pas normal !
L’avancée en âge amène avec elle un certain nombre de difficultés tant physiques que psychiques pouvant conduire la personne sur le chemin de la dépression. Cette évidence amène parfois à penser que le mal de vivre et la mauvaise estime de soi seraient un état naturel à la personne âgée. Une idée fausse à réévaluer.
“La dépression chez les personnes âgées est sous-diagnostiquée”
Chacun d’entre nous, au cours de sa vie, est susceptible de passer par la case dépression. Les raisons sont multiples, et s’il existe une certaine typologie de causes générales communes à tous, chaque cas doit être considéré en particulier. Parmi les catégories de personnes susceptibles d’être touchées par la dépression, les aînés ne sont pas épargnés, au contraire. Toutefois, pour cette tranche d’âge en particulier, il s’avère plus difficile de repérer et de prendre en con sidération un état dépressif. La dépression chez les personnes âgées serait ainsi sousdiagnostiquée, car souvent considérée comme un état normal, inhérent à leur âge. Une conception fausse que pointe le Docteur Thierry Lebrun, chef du service psy chiatrie du CHR Val de Sambre, spécialiste superviseur au sein de l’association ”Avec Nos Aînés” (ANA), à Namur. La dépression chez la personne âgée, une maladie sous-diagnostiquée ? Thierry Lebrun : ”La dépression dans cette tranche d’âge est clairement sous-diagnos tiquée, oui. Selon moi, le plus grand risque, c’est la banalisation des symptômes dépressifs chez les aînés. Il est essentiel
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d’être très attentif. Les propos dépressifs ne sont jamais normaux, peu importe l’âge. Dans notre société, on aurait tendance à considérer ce type de propos dans la bouche d’une personne âgée comme de l’ordre du compréhensible : « A son âge, c’est normal de se sentir comme cela. » Erreur ! C’est le signe d’une perte d’équilibre, d’une capacité d’adaptation dépassée. La preuve, certaines personnes très âgées vivent parfaitement en harmonie avec leur âge. Je sais que c’est facile à dire, mais l’aîné doit accepter son âge, faire un travail d’acceptation. Si ce travail ne se réalise pas, il tombera dans la dépression.” Quels sont les facteurs de dépression chez nos aînés ? Thierry Lebrun : ”Il est d’abord nécessaire de considérer que les causes qui conduisent un aîné vers la dépression peuvent être identiques à celles des autres tranches d’âge. Les facteurs ne changent pas subite ment d’un âge à l’autre. Cependant, il est vrai qu’il existe des causes plus spécifiques. Le départ à la retraite en fait partie. Un état dépressif est généralement la conséquence d’un changement important qui sollicite
chez la personne des capacités d’action et d’adaptation qu’elle ne parvient pas, ou plus, à mettre en œuvre. On parle alors de rupture d’adaptation. La cessation de l’activité professionnelle est certaine ment une étape cruciale, un changement radical par lequel une personne peut se sentir dépassée. Parmi les autres facteurs caractéristiques, on peut nommer les deuils, plus fréquents, la perte d’autonomie et les soucis de santé. Au risque de paraître caricatural, on pointe ici un âge marqué par les pertes : perte de ses forces, de ses capacités d’adaptation, d’êtres chers, etc. En cela, il s’agit bien d’une tranche d’âge fragilisée face à la dépression.” Peut-on considérer que l’entrée en maison de repos est un facteur de dépression ? Thierry Lebrun : ”Il ne faut surtout pas diaboliser les maisons de retraite. D’ailleurs, la question se pose de savoir si l’entrée dans ce type d’institution relève de la cause ou de la conséquence de la dépression. C’est comme l’histoire de l’œuf et de la poule : qui est arrivé le premier ? Plus les pertes s’accumulent à différents niveaux comme on l’a vu plus haut, plus les probabilités d’intégrer une maison de repos augmentent. Le passage vers la maison de repos est la conséquence d’une perte d’autonomie plus importante. Dans ce cas, la dépression peut être préexistante à l’entrée en home, et celle-ci interviendrait comme une solution. Mais effectivement, cette étape signe aussi le renoncement à une certaine indépendance qui peut con duire elle-même à la dépression, d’autant plus que l’effort d’acclimatation exigé dans ce cas est considérable à un moment de la vie où le processus d’adapta tion est justement altéré.” Quels sont les symptômes auxquels être attentif ? Thierry Lebrun : ”Comme pour les causes, on peut parler des symptômes classiques à toute dépression, quel que soit l’âge tels que les troubles du sommeil et de l’appétit, l’apathie… Cependant, il émerge des signes spécifiques qui peuvent mettre la puce à l’oreille. Je parlerais alors de l’agitation, de soudaines conduites oppositionnelles et agressives, ainsi que des troubles cognitifs. Moins spécifiques, mais cependant signifi catifs, je signalerais également les propos signalant un dégoût de vivre. C’est important pour les proches de pouvoir entendre et comprendre ce type de discours, sans passer outre en se disant que c’est l’âge, que c’est normal. Même à 85 ans, ce n’est pas naturel de dire « Je n’ai plus qu’à partir ».
Une attention particulière doit aussi être apportée aux personnes qui s’expriment peu. Par pudeur ou par résignation, certains aînés ne communiquent pas leurs senti ments dépressifs, estimant que c’est normal de ressentir un mal-être à leur âge. J’insiste : non, ce n’est pas normal ! Pour cette tranche d’âge, la plus grande spécificité, c’est la difficulté d’exprimer clairement leur mal de vivre. D’où la nécessité d’être attentif et de pousser au dialogue.” Quelle est l’aide que l’entourage peut apporter ? Thierry Lebrun : ”Il est nécessaire d’aider à verbaliser. Les proches doivent développer leur capacité d’écoute et d’empathie, aider la personne âgée à se raccrocher à une activité qui lui plaît, dans laquelle elle peut s’épanouir. En résumé, il faut être davantage présent, rattacher l’aîné à la vie active, lui prouver qu’il conserve bien sa place dans la famille, mais aussi dans la société. Bref, qu’il a toujours un rôle important à jouer. Pour aider dans la voie de la guérison, on trouve évidemment le médecin traitant, le psychologue ou le psychiatre, mais aussi les services de santé mentale, auxquels on ne pense peut-être pas assez souvent. ‘’ Profil remercie chaleureusement le Docteur Thierry Lebrun pour sa précieuse collaboration.
Dépression ou démence ? Quels sont les signes d’une dépression ou de démence ? Le Docteur Thierry Lebrun nous précise : “Ce sont deux états distincts qui ne se gèrent pas de la même manière. Afin de déterminer vers où penche la balance, après avoir éli miné toutes les causes organiques (par exemple, une déshydratation consécu tive à une canicule), il est nécessaire d’établir un diagnostic différent. L’épreuve diagnostique consistera notamment à prescrire des antidépresseurs. Si l’état du patient s’améliore, on parlera alors d’une pseudo-démence dépressive. Autre ment dit, les troubles cognitifs auront mimé un syndrome démentiel. C’est une note d’espoir : confusion n’im plique pas automatiquement démence. De manière pratique, pour différencier les deux états, je conseillerais aux proches d’évaluer depuis combien de temps la personne présente des troubles cognitifs. Si leur émergence est rela tivement subite, il y a de fortes chances qu’ils s’associent plus à la dépression qu’à la démence.”
“Même à 85 ans, ce n’est pas naturel de dire «Je n’ai plus qu’à partir»”
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PRÉVENTION DU CANCER DU SEIN Chaque année, plus de 10.000 femmes en Belgique apprennent qu’elles souffrent d’un cancer du sein. Chaque jour dans notre pays, 7 femmes en moyenne sont emportées par la maladie. La Belgique est leader mondial pour le cancer du sein, ce qui rend d’autant plus indispensables les initiatives de prévention et de sensibilisation. C’est la mission à laquelle s’attache Think-Pink, la campagne nationale contre le cancer du sein. Partena est heureuse d’y apporter son soutien.
Contre le cancer du sein, le dépistage précoce s’impose “Il faut avoir la conscience de ses seins”
Heidi Vansevenant, présidente de Think-Pink
La conscience du sein, c’est ainsi qu’on pourrait définir l’objectif poursuivi par Think-Pink. La campagne utilise le petit ruban rose à la renommée internationale et veut communiquer de manière aussi ouverte que possible sur le cancer du sein. “Notre mission est multiple”, nous confie la présidente Heidi Vansevenant. “Tout au long de l’année, nous organisons des événements sportifs, pour motiver les gens à rester en mouvement et pour récolter des fonds au profit de notre campagne. Nous investissons dans les traitements et les soins après traitements des personnes frappées par la maladie. Et ce qui n’est pas sans importance, nous participons au financement d’une enquête sur le cancer du sein en Belgique.” Les causes exactes d’un cancer du sein ne sont pas évidentes à définir. La maladie n’est pas liée à l’âge et peut même, dans des cas exceptionnels, toucher des messieurs. Des facteurs héréditaires peuvent parfois intervenir, mais le ‘déclencheur ultime’ du cancer du sein reste inconnu. C’est précisément pourquoi Think-Pink insiste sur l’importance de la prévention et de la sensibilisation. Heidi Vansevenant : “La campagne de dépistage pour les femmes de 50 à 69 ans est largement connue en Belgique, et pourtant, à peine 50% des femmes concernées répondent à l’invitation de se soumettre à une mammographie gratuite. L’objectif défini au niveau européen est fixé à 75% : il y a donc encore de la marge et du travail pour nous. Voilà pourquoi Think-Pink ne cesse de répéter à chaque occasion que le dépistage est utile, pour ne pas dire indispensable. Plus tôt un cancer du sein est dépisté, et plus grandes sont les chances de guérison : telle est la réalité.”
UNE ÉTUDE SCIENTIFIQUE Dépistage précoce, traitement efficace, tels sont les éléments par excellence qui augmentent les chances de survie pour les patientes frappées par un cancer du sein. Pendant le même temps, la recherche médicale ne connaît pas de répit. C’est ainsi que les équipes de recherche d’un hôpital limbourgeois ont développé des test d’haleine destinés à aider à découvrir des précurseurs de la maladie. Les chercheurs espèrent recueillir et pouvoir présenter les premiers résultats de leurs expériences d’ici deux ans. Think-Pink participe au financement de cette étude. “Il existe de nombreuses raisons pour expliquer que des femmes appartenant au groupe à risquer fassent quand même l’impasse sur le dépistage par mammographie. “Plus les méthodes de dépistage seront efficaces et fiables et moins
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elles seront perçues comme ‘lourdes’ pour les patientes, plus elles répondront à l’invitation de se faire dépister. C’est notre conviction profonde”, nous dit Heidi Vansevenant.
CE N’EST PAS LA FIN Le traitement et le regard porté sur le cancer du sein ont connu une très grande évolution au cours des dernières décennies. Les chances de survie augmentent grâce au dépistage et à la sensibilisation, et les méthodes thérapeutiques connaissent des progrès constants. Ainsi – lorsque les circonstances le permettent – le choix d’interventions préservant le sein est de plus en plus souvent privilégié. Souffrir d’un cancer du sein, ce n’est pas la fin. Les patientes peuvent s’informer auprès des centres de sénologie des hôpitaux de la manière dont se déroulera leur traitement, quelles sont les interventions prévues, la nécessité ou non de séances de radiothérapie et de chimiothérapie,… .
LA FORCE DE CELLES QUI PARTAGENT VOTRE SORT Parallèlement à ces initiatives scientifiques, Think-Pink continue à placer en permanence le cancer du sein au centre des préoccupations. Ces efforts sont largement soutenus et portés par des milliers de femmes qui souffrent ou ont souffert d’un cancer du sein, par leurs proches ainsi que par ceux de patientes qui nous ont quittés. Ce sont ces personnes qui aident à mener la lutte contre le cancer du sein et qui, à de nombreuses occasions, participent aux joggings, marches et randonnées cyclistes organisées par Think-Pink. “Même celles qui ‘guérissent’ de la maladie restent sur leurs gardes”, conclut Heidi Vansevenant, qui a ellemême souffert d’un cancer. “Les personnes qui ont été confrontées à l’épreuve d’un cancer (du sein) savent de quoi il retourne. Leur expérience constitue un enrichissement pour notre travail et nous aide à persévérer dans la voie que nous nous sommes tracée. La prévention reste utile, tout comme la sensibilisation ou encore le fait de développer la conscience du sein. Ce n’est qu’en agissant que nous pourrons faire reculer le cancer du sein.”
LES CAUSES ? Le cancer du sein est la forme de cancer la plus répandue chez les femmes. Ainsi, 1 femme sur 9 y sera confrontée à un moment ou l’autre de son existence. Ce sont surtout des implications hormo nales qui seraient déterminantes dans le développement d’un cancer du sein, comme l’utilisation de contraceptifs oraux, ou le fait d’avoir ou de ne pas avoir allaité, ou encore la prise d’hormo nes à la ménopause. De même, le surpoids, et le manque d’activité phy sique sont des facteurs de risque impor tants. L’hérédité ne joue un rôle que dans environ 5% des cas. La maladie peut aussi frapper les messieurs. C’est précisément parce que les causes exactes d’un cancer du sein ne sont pas toujours tout à fait évidentes à identifier que la découverte précoce de la maladie revêt une telle importance. Plus tôt un cancer du sein est dépisté, et plus grandes sont les chances de guérison.
Plus d’Info : www. think-pink.be
FAITES EXAMINER VOS SEINS ! Les différentes autorités du pays en charge des politiques de santé et de prévention invitent les femmes âgées de 50 à 69 ans à se faire dépister tous les deux ans. Le dépistage est effectué grâce à une mammographie gratuite (dans le seul cadre du programme de prévention et dans des centres de diagnostics agréés) interprétée par deux spécialistes différents. Environ la moitié des femmes concernées se soumettent à ce dépistage gratuit. A cela s’ajoutent encore 20% de femmes qui se font dépister à leurs frais. Pour les femmes de 40 à 49 ans (hors sujets à risques) en revanche, le bénéfice du dépistage est plus limité. Plus d’info à ce propos sur www. cancer.be. profil octobre 2015 27
La mémoire, l’outil
indispensable de la réussite ! Si la fin d’année évoque une période festive pour la majorité d’entre nous, pour les étudiants, elle correspond plutôt à des semaines de blocus intensif… Réussir un examen passe obligatoirement par une bonne mémorisation. Aussi, comment augmenter son potentiel de mémori sation ? Comment fonctionne la mémoire ? Réponses avec le Dr Adrian Ivanoiu, neurologue et responsable de la Clinique de la mémoire aux Cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles. COMMENT FONCTIONNE LA MÉMOIRE ?
”La mémoire résumée en 3 étapes : l’enregistrement de l’information, le stockage et la récupération”
28 profil octobre 2015
La mémoire repose sur des mécanismes relativement complexes que l’on a souvent tendance à résumer à 3 étapes : l’enregistre ment de l’information, le stockage et la récupération. “En réalité, il y plusieurs types de mémoire, précise le Dr Adrian Ivanoiu. Et pour chaque cas de figure, ces 3 étapes s’appliquent de manière différente.” • La mémoire procédurale : correspond à la plus ancienne des mémoires. Il s’agit de l’apprentissage par la pratique, les gestes que nous avons appris en les effectuant, jusqu’à ce qu’ils deviennent une habitude. Par exemple : rouler à vélo. • La mémoire de travail : traite et conserve l’information à très court terme, juste le temps d’avoir une image globale. Par exemple : c’est la mémoire qui agit lorsque vous retenez un numéro de téléphone pour le former immédiatement. Il s’agit d’une mémoire qui consomme beaucoup d’énergie et qui est très sensible à l’état de la personne : elle est moins efficace
lorsqu’on est fatigué, stressé ou si on a mal dormi. • La mémoire déclarative : concerne l’enregistrement, le stockage et la restitution des informations sur le long terme. C’est donc la mémoire utilisée par les étudiants pour retenir les matières. Elle est dite “déclarative”, car il s’agit d’une mémoire qu’on peut facilement mettre en paroles. Cette mémoire a une énorme capacité et n’est jamais vraiment saturée. “Mais elle a quand même ses limites, précise le Dr Ivanoiu. Stocker les informations demande du temps. De plus, nous n’avons qu’une maîtrise partielle sur cet apprentissage, car il s’effectue par association : nous créons des liens entre les informations. Ce qu’on récupère par la suite, ce ne sont que des bribes grâce auxquelles nous parvenons à, plus ou moins, reconstituer la matière. Il s’agit en effet d’une mémoire qui n’est pas parfaite et donc, des erreurs sont toujours possibles.”
10 CONSEILS POUR BOOSTER VOTRE MÉMOIRE PENDANT LES EXAMENS 1. Etudiez dans un endroit calme et silencieux afin de favoriser la concentration, un élément essentiel de la mémorisation. 2. Dormez suffisamment et surtout, la nuit avant votre examen. Le sommeil a, en effet, une influence sur la mémorisation. En passant une nuit blanche avant un examen, vous diminuez significativement vos capacités de récupération de l’information. Les heures de sommeil sont essentielles pour fixer l’information. 3. Ne buvez pas d’alcool. L’alcool a une influence très négative sur la mémoire. 4. Les excitants : avec modération ! Boire un café ou des boissons énergisantes vous permettra de rester éveillé lorsque vous sentez la fatigue. Mais attention à l’excès et au contrecoup… La concentration demande énormément d’énergie. 5. Oubliez les amphétamines ! De plus en plus d’étudiants succombent à la tentation de se passer sous le manteau des produits de type amphétamines. Ces produits, certes stimulants, peuvent également provoquer des effets secondaires tels que l’anxiété, des palpitations, des problèmes respiratoires ou cardiaques pour certains.
AVEC LE TEMPS, VA, TOUT S’EN VA… La mémoire déclarative permet donc de stocker les informations à long terme, voire définitivement, mais la récupération de ces informations n’est pas toujours aisée. Avec le temps, la trace de ces informations s’affaiblit tant et si bien qu’on ne parvient plus à la récupérer… Et pourtant, elle est bien là, inaccessible. Il suffit parfois d’un indice pour la faire rejaillir par surprise. En outre, personne n’ignore que la mémoire décline avec le temps. “La mémoire procédurale est celle qui résiste le mieux. Mais les deux autres mémoires sont très sensibles à l’âge, explique le Dr Ivanoiu. Passé un certain âge, les capacités de concentration diminuent, l’encodage des informations s’effectue plus difficilement et la récupération demande plus d’efforts.” Malgré ces quelques désagréments, rassu rez-vous, nous disposons quel que soit notre âge d’assez de mémoire pour pouvoir fonctionner normalement.
MISEZ SUR VOTRE EXPERTISE ! Les joueurs d’échecs sont souvent consi dérés comme des personnes ayant une mémoire exceptionnelle capable de retenir les mouvements des différentes pièces sur l’échiquier, etc. En réalité, il n’en est rien. Chacun dispose d’une meilleure mémoire dans les domaines où il est expert, c’est-àdire dans les domaines où il a déjà des connaissances et des expériences. “Nous avons effectué une expérience, la mémoire des joueurs d’échecs était comparée à celle de novices, explique le Dr Ivanoiu. Nous leur avons montré un plateau d’échecs avec une partie en cours ainsi qu’un échiquier où les pièces étaient disposées n’importe comment, sans logique. Visuellement, le rendu était
6. Pratiquez une activité physique. Ne dit-on pas “Mens sana in corpore sano” ? Pratiquer une activité physique entraîne des réactions chimiques et hormonales qui influencent le cerveau. En d’autres termes, faire du sport vous permettra de mieux vous concentrer et d’être plus efficace pour mémoriser. 7. Planifiez bien votre étude de manière à ne pas vous surcharger les jours avant l’examen. N’oubliez pas que cela demande du temps d’emmagasiner des informa tions à long terme dans votre mémoire déclarative. 8. Faites des liens ! Pour un encodage profond de la matière, il est conseillé de procéder à une lecture attentive en créant des liens entre les différentes informa tions que vous souhaitez mémoriser. Ces liens agiront comme des indices qui vous permettront de faire remonter l’information à la surface au moment voulu. Utilisez par exemple des fiches, des schémas, etc. 9. Identifiez la méthode qui vous convient ! Certains préfèrent répéter la matière à haute voix, d’autres prennent des notes alors que d’autres encore utilisent des codes couleurs … A chacun de trouver la méthode qui lui convient ou même d’en utiliser plusieurs. 10. Mangez sainement. La concentration demande beaucoup d’énergie. Ce n’est donc pas le moment idéal pour commencer un régime ! Même si vous n’avez que peu de temps à consacrer à la cuisine, évitez les repas du style fast food. Si votre alimentation est saine et équilibrée, les vitamines ne vous serviront à rien et ne vous aideront pas à mieux étudier.
similaire, sauf que dans un cas, une partie était en cours. Les résultats ont démontré que la mémoire des joueurs d’échecs était meilleure quand il s’agissait d’une vraie partie alors qu’elle était équivalente à celle des novices quand il s’agissait de retenir uniquement la place des pièces sur l’échiquier.”
”La mémoire décline avec le temps.”
Pas la peine non plus d’essayer d’entraîner ou de muscler votre mémoire afin qu’elle soit toujours au top de ses capacités, car cette capricieuse est très sélective. Si vous vous exercez à réciter des poèmes, vos capacités de mémorisation ne seront améliorées que dans ce domaine. Et vous n’aurez donc pas plus de facilité à retenir d’autres informations… Profil remercie chaleureusement le Docteur Adrian Ivanoiu pour sa précieuse collaboration.
profil octobre 2015 29
TDA/H : le point sur
une maladie invalidante
“Les principaux symptômes sont l’hyperactivité, l’impulsivité et des problèmes d’attention”
A la traîne en classe, turbulent à la maison, agité dans la cours de récré, … et si c’était un TDA/H ? Derrière ces quatre lettres énigmatiques se cache un trouble neuro-développemental invalidant pour les enfants qui en sont atteints. Comment le diagnostique-t-on ? Peut-on le traiter effi cacement ? Que penser du traitement médicamenteux ? Réponses avec le Docteur Alec Aeby, neuro-pédiatre à l’hôpital Erasme (Bruxelles). Lorsqu’on parle d’hyperactivité ou de TDA/H, de quoi s’agit-il exactement ? Al. Aeby : “ Le TDA/H est un trouble neurodéveloppemental, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un trouble neurologique qui apparaît au cours du développement de l’enfant. Les principaux symptômes sont l’hyperactivité, l’impulsivité et des problèmes d’attention. Il se peut qu’un enfant présente uniquement des problèmes d’attention ou uniquement de l’hyperactivité et de l’impulsivité, mais dans la plupart des cas, les enfants pré sentent les trois symptômes. Le TDA/H survient généralement avant l’âge de 12 ans et doit se prolonger sur plus de 6 mois. Il s’agit d’un trouble qui se manifeste dans plusieurs situations (à l’école et au domicile) et qui entrave sévèrement le développement normal et adaptatif de l’enfant. Un enfant qui est agité, mais qui n’a pas de problèmes d’intégration sociale ou d’apprentissage ne peut donc pas être considéré comme TDA/H. ”
TDA/H, ÇA VEUT DIRE QUOI ? C’est la définition-même de la maladie : Trouble déficitaire de l’attention avec/ sans hyperactivité
30 profil octobre 2015
Comment s’effectue le diagnostic du TDA/H ? Al. Aeby : “ Le diagnostic du TDA/H nécessite une évaluation pluridisciplinaire. Un bilan neurologique permet notamment d’exclure toute autre pathologie. Un neuropsycho logue va également effectuer une évaluation des fonctions atten tionnelles, c’est-à-dire de la capacité à rester attentif malgré les éléments susceptibles de le distraire ainsi que des fonctions exécutives qui correspondent à l’ensemble des processus de contrôle nécessaires pour différer ou inhiber une réponse. Ce bilan neuro psychologique doit être complété par une évaluation affective qui permet de déter miner dans quel environnement évolue l’enfant. Une évaluation par un logopède est effectuée si on suspecte des troubles d’apprentissages (dyslexie, dyscalculie, etc.). ” Il est donc essentiel de s’adresser au spécialiste adéquat ? Al. Aeby : “ La meilleure chose à faire lorsque les parents soupçonnent un TDA/H chez un enfant, c’est de consulter le médecin traitant ou le pédiatre afin qu’il renvoie vers le spécialiste adéquat. En effet, en tant que neuro-pédiatre, je suis amené à m’occuper
essentiellement des enfants qui rencontrent des problèmes d’attention. Les enfants qui présentent une hyperactivité avec des troubles du comportement doivent plutôt être adressés à un pédopsychiatre. ” Quelle est la fréquence du TDA/H ? Al. Aeby : “ On le rencontre chez 3 à 10 % des enfants en âge scolaire et chez 2 à 5 % des adultes, mais cela dépend de facteurs géographiques, démographiques et cul tu rels. Autrement dit, dans certaines sociétés, le fait d’avoir un comportement très agité sera mieux perçu que dans d’autres. ”
LE SAVIEZ-VOUS ? Il existe un CEB adapté pour les enfants atteints du TDA/H, mis en place par la Communauté française. Les évaluations scolaires minutées sont par exemple déconseillées pour les enfants TDA/H, ils ont besoin de plus de temps. La demande doit être introduite par les parents auprès de l’école.
existe plusieurs sortes de cette molécule qui agissent différemment, par exemple, à longue ou courte durée d’action. Ensuite, il faut savoir que le méthylphénidate est un médicament extrêmement efficace qui donne de bons résultats avec peu d’effets secondaires. Toutefois, ce n’est qu’un élé ment parmi d’autres dans l’arsenal thérapeutique du TDA/H et il n’est habi tuellement prescrit qu’en dernier recours. ” D’après vous, l’évolution de la société devenue plus permissive, imposant moins d’interdits, a-t-elle une influence sur le TDA/H ? Al. Aeby : “ Notre société actuelle impose d’être de plus en plus performant. La sco larité est une étape importante pour obtenir un travail et une place dans la société. En outre, auparavant, il n’y avait qu’un seul modèle éducatif qu’on appliquait depuis des générations. Dorénavant, les modèles éducatifs sont pluriels. Les parents peuvent se sentir perdus dans la manière d’éduquer leurs enfants. Cela peut avoir des con séquences, notamment sur les comorbidités du TDA/H. ”
“Il est exceptionnel que le TDA/H soit un diagnostic isolé”
QUELQUES CONSEILS
Quels sont les moyens de traiter le TDA/H ? Al. Aeby : “ Le traitement dépend de la sévérité du TDA/H. Si le TDA/H est léger à modéré, on privilégie une prise en charge psycho-sociale qui comprend des conseils éducatifs, des conseils pratiques pour minimiser les conséquences du TDA/H sur l’apprentissage scolaire, éventuellement, de la gestion mentale, une thérapie cognitivocomportementale (à partir d’un certain âge). Sans oublier d’offrir une rééducation ciblée en cas de troubles de l’apprentissage (dyslexie, dyscalculie, etc.) et une prise en charge psychologique en cas de troubles psychoaffectifs associés. Malheureusement, la majorité des prises en charge psychosociales ne sont pas remboursées. On se retrouve donc dans une situation d’inégalité dans la prise en charge du TDA/H en fonction du niveau socio-économique de la famille. Quant au traitement médicamen teux, il est réservé aux formes sévères, quand la prise en charge psycho-sociale n’est pas suffisante. ”
Quand vous parlez des comorbidités du TDA/H, de quoi s’agit-il ? Al. Aeby : “ Il est exceptionnel que le TDA/H soit un diagnostic isolé. On considère que dans 80 % des cas, il y a des comorbidités comme le trouble opposi tionnel avec provocation (des enfants qui ren con trent des difficultés avec la mise en place des limites, des crises de colère,…), des troubles de l’humeur (p. ex. dépression), de l’anxiété, … Il y a vraisemblablement une susceptibilité génétique à développer un TDAH, mais l’environnement qui entoure l’enfant au cours de son développement va également jouer un rôle : il peut aggraver ou améliorer cette situation. Il est donc impor tant de tenir compte de toutes ces composantes pour les intégrer dans la prise en charge de l’enfant TDAH et de se méfier des visions trop simplistes. ”
• Soyez clair et précis dans vos demandes. Evitez les consignes telles que “range ta chambre” et donnez de préférence à votre enfant des instruc tions plus précises, comme : “mets les jouets dans l’armoire”. Evitez égale ment de le submerger de tâches différentes : il est difficile pour un enfant atteint du TDA/H de les retenir toutes !
Profil remercie chaleureusement le Docteur Alec Aeby pour sa précieuse collaboration.
La Rilatine® a déjà fait couler beaucoup d’encre. Certains prétendent que ce médicament est trop prescrit, parfois même pour des enfants qui n’en ont pas véritablement besoin. En tant que spécialiste, qu’en pensez-vous ? Al. Aeby : “ Parlons plutôt de méthylphénidate qui est le nom de la molécule générique. Il
L’association TDA/H Belgique regorge d’informations pratiques et utiles pour toute personne intéressée de près ou de loin par la maladie. www. tdah.be
• En classe, demandez que votre enfant soit assis à côté du bureau du professeur. Cela peut contribuer à limiter la dérive mentale.
PLUS D’INFO
• Encouragez votre enfant lorsqu’ il parvient à modifier son comportement. • Pensez éventuellement à une petite récompense ! • Pour s’assurer que votre enfant a bien compris votre demande, regardez-le dans les yeux. Il est en effet bien possible que votre enfant réponde, sans avoir mémorisé, car son esprit est ailleurs.
• Evitez l’excès de stress : les enfants TDA/H y sont très sensibles ! Tâchez dans la mesure du possible de prévenir toute situation de changement et de stress en parlant avec votre enfant.
profil octobre 2015 31
VACANCES PARTENA PARC DE VACANCES MOLENHEIDE
Pour des vacances en famille réussies ! Passez des vacances inoubliables au Parc Molenheide, au cœur de la province de Limbourg. Le parc de vacances le plus accueillant du Benelux pour les enfants vous propose quelques promotions Partena très intéressantes. Vous y passerez un très agréable séjour où tous les rêves de vos enfants se réaliseront. Profitez du complexe aquatique couvert Aquapolis et de ses 4 toboggans spectaculaires, de la plaine de jeux couverte Kids Valley et de ses 7.500 m2. Voyez comment vos enfants s’amuseront dans cet univers spécialement créé pour eux. Ce sera certainement le cas quand vous passerez par le minigolf couvert “La Mine”.
Avantage Partena : Du 4/1/2016 au 21/3/2016, les clients de la Mutualité Partena bénéficient d’une réduction de 25 % sur les prix de location des logements des types Confort Plus, Greenhouse et Villa. Cette réduction n’est pas cumulable avec d’autres promotions ou avantages, et vaut pour toute réservation effectuée jusqu’au 15/12/2015.
RÉSERVATIONS ET INFORMATIONS Surfez sur http ://www. molenheide.be/fr/offres/code/259ar ou formez le T. 011 60 37 52 en mentionnant le code 259ar.
Participer à un camp de vacances quand on est diabétique… une possibilité offerte par Vacances Vivantes ! Envoyer un enfant diabétique en camp de vacances, voilà le genre de décision que les parents préfèrent ne pas prendre à la légère. C’est ce qui a conduit Vacances Vivantes à organiser, l’été dernier, un camp de vacances d’une semaine destiné à des enfants diabétiques. Le tout avec un encadrement médical professionnel et bien évidemment tous les ingrédients et la bonne humeur nécessaires au déroulement d’une semaine de jeux et de détente inoubliable ! Une semaine sans papa ni maman, mais une semaine de moments de plaisir et de rires partagés avec les copains rencontrés sur place. Une semaine qui constitue aussi un grand changement pour des enfants diabétiques. Il y a tout d’abord le fait de quitter la maison, et les soins attentifs apportés par les parents. D’un autre côté, partir une semaine avec de petits camarades qui partagent les mêmes problèmes de santé, cela crée vite des liens très forts entre les participants. Le soutien et la compréhension mutuels ont fait passer le diabète à l’arrière-plan et laissé la place aux moments de franche camaraderie et de complicité où se rejoignent tous les enfants dans de telles circonstances. Au programme, des activités et des jeux dans les dunes, des moments de plaisir à la plage, des activités manuelles, de la nage en mer, une excursion dans un parc d’attractions, et bien plus encore. Et grâce à l’encadrement médical présent sur place, aucun souci à se faire pour les parents. Une équipe médicale spécialisée composée d’un médecin, d’une diététicienne, d’infirmières et d’éducatrices était disponible en permanence pour veiller sur la santé des enfants, et apporter les correctifs voulus, si nécessaire. Au final, que des visages épanouis et exubérants d’un groupez d’enfants déjà en train de faire des projets pour leurs prochaines retrouvailles. Découvrez l’offre complète des séjours proposés sur www. vacancesvivantes.be.
32 profil octobre 2015
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