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Pop Philo, la Bellone et Passa porta PrĂŠsentent la

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Bruxelles 1495 C

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du 28 septembre au 02 octobre 2015

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« Un film américain, bête et naïf, peut, malgré toute sa bêtise, et même grâce à elle, nous apprendre quelque chose. [...] J’ai souvent tiré une leçon d’un film américain stupide. » Ludwig Wittgenstein, philosophe

« La pop philosophie n’est pas une philosophie forcément accessible d’emblée, mais une philosophie qui ne se fonde pas uniquement sur le savoir universitaire. » André Scala, philosophe

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LA POP PHILOSOPHIE Par Laurent de Sutter Qu’est-ce que la Pop Philosophie ? Lorsque Gilles Deleuze inventa le concept de « pop’ philosophie », ce n’était pas pour désigner une nouvelle forme de philosophie, qui ferait de la « pop culture » son objet ou son but. La pop’ philosophie que Deleuze avait en tête ne se voulait pas philosophie de tel ou tel objet, de tel ou tel moment, ou de tel ou tel phénomène puisé dans l’air du temps ou le flux de l’époque. Au contraire, il y avait quelque chose d’aristocratique, et en même temps d’un peu pervers, dans l’idée de « pop’ philosophie » : une manière d’être encore plus philosophique qu’avant, encore plus abstrait, encore plus conceptuel. La pop’ philosophie, pour Deleuze, c’était, plutôt qu’une question d’objet, une question d’intensité : est « pop »

une philosophie qui peut prétendre à l’intensité de la « pop », à son électricité, à sa puissance de fascination. Le fait que cette intensité, aujourd’hui, naît avec plus de facilité de la prise en considération de la musique électronique, du roman de science-fiction et du cinéma de blockbuster que des oeuvres tirées de la haute culture n’est qu’un hasard. Mais, un tel hasard est aussi celui d’une rencontre – et, pour Deleuze, une rencontre est quelque chose à cultiver en vue d’en tirer les plus belles, les plus riches et, oui, les plus intenses conséquences. Telle est donc la pop’ philosophie que nous défendons : l’art de tirer de la rencontre avec les objets les plus triviaux les conséquences les plus élevées – un art qui, s’il n’est pas excitant, n’est rien. Laurent de Sutter est directeur de la collection « Perspectives Critiques » aux PUF.

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Lundi 28 septembre 2015

La Bellone Rue de Flandre, 46 1000 Bruxelles

Entrée 7 / 5 euros

18h – PHILOSOPHER AVEC LES SÉRIES TÉLÉS… Avec Thibault de Saint Maurice, professeur de philosophie, chroniqueur sur France Inter pour « le philosophe du dimanche ». Depuis ses débuts, la philosophie a su identifier le divertissement comme son plus grand ennemi. Platon ne concevait une cité idéale que débarrassée des poètes qui pouvaient la ramollir, Pascal voyait dans les jeux et les spectacles le meilleur moyen de ne pas faire retour sur soi-même, Rousseau voulait fermer les théâtres, Arendt accuse le loisir de détruire la culture véritable et Adorno y voit la dernière ruse de l’industrie et du marché pour conquérir les derniers recoins de nos imaginaires. Une figure courante de ce mépris des philosophes pour le divertissement tourne autour de la critique de la télévision et de la délégitimation culturelle et esthétique de ses œuvres. Pour toutes ces raisons, il y a donc assez peu de chance que les séries

télés trouvent grâce aux yeux des philosophes. Et pourtant, depuis 5/6 ans, c’est un peu tout l’inverse qui semble se passer. Plusieurs essais sont parus, des universitaires unanimement reconnus et respectés participent à des colloques sur les séries télés et on croit même assister à la mise en place de nouveaux concepts originaux, en esthétique ou en morale par exemple, immédiatement issus de ces études. Que penser ? Est-ce une simple mode ou la découverte d’un nouveau territoire pour la philosophie ? Qu’y a-t-il de si important dans ces séries, qui puisse venir stimuler, rafraîchir voire renouveler la pensée philosophique ? 5


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Mardi 29 septembre 2015 Entrée 7 / 5 euros

La Bellone Rue de Flandre, 46 1000 Bruxelles

18h – Game of thrones Avec Mathieu Potte-Bonneville, philosophe Dragons et incestes, nains et prostituées, mouvements de troupes et montée de l’Hiver : créée en 2011 par la chaîne HBO à partir des romans de G.R.R. Martin, Game of Thrones décrit un univers d’intrigues et d’incertitudes. Épopée littéraire devenue succès télévisuel sans précédent, la série teinte son univers médiéval et fantastique d’une cruauté et d’un pessimisme neufs, pour raconter la lutte de grandes familles à la conquête du Trône de fer. Elle réserve de nombreuses surprises concernant à la fois les rapports entre réalisme et imaginaire, écrit et télévision, ou guerre et politique. Le philosophe Mathieu Potte Bonneville restitue Game of Thrones dans l’histoire de l’heroic fantasy, genre répu-

té mineur à la conquête d’une audience de masse, pour décrire sa matérialité visuelle et sonore, pour interroger, à travers les raisons qui font de cette série un événement, la manière dont elle éclaire l’état contemporain du monde et celui de la fiction.

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maison internationale des littératures à bruxelles à l’automne 2015, c’est … podium

lab

une conférence de Kitty Crowther sur comment parler de Dieu aux enfants le 8.10 | le club de lecture de Caroline Lamarche le 12.10 | une masterclasse avec Fatou Diome le 18.10 | la lecture d’un texte inédit par David Vann le 19.10 | un grand quiz littéraire le 25.11 | …

dans les coulisses de la maison des littératures, le Collectif de traducteurs travaille à une anthologie du Poète national Charles Ducal, tandis que le Collectif de poètes bruxellois poursuit sa recherche multilingue de poésie dans la ville …

auteurs en résidence

librairie

Davide Enia ITA, David Vann USA et Ece Temelkuran TUR, Ali Amar MAR.

plus de 24 000 titres en français, néerlandais, anglais et allemand dans les domaines littéraire, philosophique et artistique !

pour connaître le programme complet, consultez

passaporta.be et abonnez-vous à notre newsletter + likez notre page Facebook

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rue a. dansaertstraat 46 | b 1000 bruxelles | brussel


Passa Porta Rue Antoine Dansaert, 46 1000 Bruxelles

Mardi 29 septembre 2015 Entrée 7 / 5 euros

20h – ASTERIX CHEZ LES BELGES

Débats et des baffes: du conflit comme mode d’existence. Avec Pascal Taranto, philosophe, Martin Legros, rédacteur en chef de Philosophie Magazine La philosophie, paraît-il, parle grec et allemand. Il se pourrait bien, à propos du concept de combat, qu’elle parle aussi gaulois. Entre Héraclite, pour lequel « le conflit est le père de toutes choses » et Marx, qui voit dans la lutte des classes le moteur de l’histoire, une des analyses les plus complètes des idées de combat, de lutte, de bagarre, se trouve contenue dans les aventures d’Astérix le Gaulois. Certes, il serait hardi de supposer que "pif", "paf" ou "tchac" aient pu être des termes galliques, puisque la langue des Gaulois fut surtout parlée et très peu écrite. Mais loin des luttes d’érudition, il faut souligner que le combat possède surtout une valeur pratique, et que l’onomatopée traduit ici les valeurs de l’homme d’action. Loin d’une violence destructrice et négative, produisant le chaos à chaque éruption, la joyeuse sarabande des mandales et autres torgnoles fait surgir coup sur coup toute la positivité de l’opposition. Le combat suscite d’abord le sentiment de la

valeur individuelle, corps et âme. Dans la maîtrise comme dans la dépense, le défoulement ou le déferlement, on émerge plus joyeux et plus fier de soi de cet engagement et de cet essoufflement. Le combat soude ensuite la communauté dans une sorte de catharsis où le ressentiment, la colère recuite au fond du cœur, cède la place à la franche explication, à la force « très reconnaissable et sans dispute » qui liquide les tensions du village - à coup de poissons pas frais, s’il le faut. Enfin, figure éternelle de la résistance, les combattants qui se lèvent et disent « non » comme un seul homme à l’oppresseur incarnent la justice. La justice ne consiste pas à se battre à armes égales quand l’égalité n’est que formelle ; au contraire, c’est dans l’inégalité de l’engagement que le faible fait valoir à jamais contre le fort la vérité de son droit. On peut bien, alors, oublier Alésia : César ne saurait triompher de l’esprit gaulois irréductible. 9


LE SOIR, CURIEUX DE TOUTE LA CULTURE

CETTE CARTE-CADEAU COMPREND 2 MOIS D’ABONNEMENT AU JOURNAL PAPIER 3 JOURS/SEMAINE ( AU CHOIX ) + L’ACCÈS FULL NUMÉRIQUE ( *VALEUR 50 € )

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À commander : - Via l’adresse www.lesoir.be/cadeau - Par virement en payant 25 € au compte BE61 3100 7615 7517 en mentionnant en communication «Carte avantage».

OFFRE : 2 MOIS D’ABONNEMENT POUR 25€*


Mercredi 30 septembre 2015 Entrée libre

Jou rna l Le Soir Rue Royale, 100 100 0 Bru xel les

15h – Esquisses de blasphèmes Avec François de Smet, philosophe, Pierre Kroll, dessinateur et Béatrice Delvaux, éditorialiste en chef du Soir «On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde», attribue-t-on à Pierre Desproges. Le problème du 21e siècle est que tout locuteur, tout humoriste, tout dessinateur est en connexion directe avec la terre entière - on est d’emblée et définitivement «avec tout le monde».

C’est le temps de s’interroger sur le pouvoir troublant que peuvent produire trois traits sur une feuille, et sur un rappel curieusement refoulé: l’Occident, civilisation du visible, voit ses armes se retourner contre lui.

Une satire joyeuse et déjantée sur une religion du Livre qui peut, en trois clics de souris, devenir un ouragan identitaire. 11


La Bellone Rue de Flandre, 46 1000 Bruxelles

Mercredi 30 septembre 2015 Entrée 7 / 5 euros

18h – A MéCHANT, MéCHANT ET DEMI

La méchanceté dans trois séries américaines

Avec François Jost, professeur à la Sorbonne Nouvelle, sémiologue Parmi toutes les nouveautés qu’ont pu apporter les séries américaines depuis quelques années, il en est une qui ne laisse pas d’étonner les spectateurs français y compris les plus « sériephiles » : la présence dans les séries de « méchants » en position de héros, comme Al Swearengen dans Deadwood, Dexter dans la série éponyme ou Walt dans Breaking Bad.

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L’analyse de ces séries permet d’abord de construire une axiologie du mal récurrente, qui définit des degrés du mal, dont le moindre relève de la vengeance et le pire est l’infanticide. Au-delà de cette gradation, très vite se pose la question, non seulement de savoir ce qui définit la

méchanceté, mais qui la définit et quelle est la fonction sociale du mal. Juger cette fonction amène à interroger deux questions philosophiques posées par les trois séries étudiées : l’opposition entre la liberté et le déterminisme (« nul n’est méchant volontairement », disait Platon) et le paradigme moral à adopter pour juger les actes des personnages : doit-on opter pour un point de vue déontologique, une morale du devoir, ou une morale utilitariste ? Nul doute que, sur ce point, la façon dont sont regardées ces séries dépend très largement du contexte culturel de la réception et que l’appréciation de la villainy diffère aux USA et en France.


Mercredi 30 septembre 2015 Entrée 7 / 5 euros

Passa Porta Rue Antoine Dansaert, 46 1000 Bruxelles

20h – Magic philo : Protéger l’invisible Avec Guilhem Julia, juriste et magicien et Laurent de Sutter, Professeur de théorie du droit à la Vrije Universiteit Brussel Issue du spectacle vivant, l’œuvre de magie est une création mystérieuse qui ne ressemble à aucune autre. Cette création comprend deux parties : une visible et une invisible. La première réside dans ce que le magicien montre à son public et qui revêt l’apparence de l’impossible ; par exemple un poisson rouge vivant qui surgit des plis d’un billet de banque. La seconde partie – invisible – se situe dans ce que le public ne doit pas voir et qui permet au magicien d’arriver à ses fins ; ce sont les procédés secrets – parfois très sophistiqués – que le magicien met en œuvre à l’insu des spectateurs. Cette dualité visible / invisible offre un défi stimulant pour l’homme de droit.

Comment accueillir juridiquement une création qui offre à la fois un aspect apparent et un aspect dissimulé ? Estil nécessaire de légiférer pour un objet juridique qui ne ressemble à aucun autre ? Quid du secret du magicien ? Constitue-t-il un secret professionnel comparable à d’autres secrets réglementés ? Ces questionnements se révèlent essentiels tant les créations des magiciens sont aujourd’hui menacées. Les atteintes proviennent de la communauté des magiciens où des « vols » de créations ont lieu entre confrères ; elles existent également en dehors de cette communauté, à l’heure où Internet permet une diffusion sans précédent des révélations des secrets des magiciens contre leur gré.

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Jeudi 1 octobre 2015

t Lycée Français Jean Monne

Entrée libre

Salle Mounier, Avenue du Lycée Français, 9

sur réservation tel : 02 226 04 54

1180 Uccle

13h30 – Les lois et hors-la-loi des séries Avec Yannis Constantinidès, philosophe

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Nous vivons sans doute l’âge d’or des séries télés : elles sont de moins en moins manichéennes et rudimentaires, comparées aux séries pourtant « cultissimes » des années 1980. On se souvient des personnages caricaturaux de L’Agence tous risques : le cerveau, le beau gosse, le cinglé et le musclé. Magnum et MacGyver incarnaient le héros américain typique : séduisant, détendu mais d’une efficacité à toute épreuve. Seul Miami Vice mettait en scène des "gentils" attirés par le côté obscur, tout en restant très cools ! Bien sûr, la majorité des séries actuelles Lost, Les Experts, The Mentalist, Grey’s Anatomy, etc. est sans intérêt : dialogues insipides ou abscons, intrigues abracadabrantes. La distribution permet à tous de se reconnaître, à côté des premiers rôles (superbes étalons et belles plantes), on trouve l’habituel quota de mino-

rités visibles et quelques faire-valoir : geeks, vieux, obèses chauves, moches… Certaines séries House, The Shield, Bad, Dexter ont le mérite de délaisser les recettes rodées d’une production devenue industrielle et de créer un univers original tout en respectant scrupuleusement les codes du genre (durée, cliffhanger final, arc narratif pour chaque saison). Elles donnent à voir la complexité de la vie réelle, sans « messages inspirants » ni happy end obligatoire. Les « héros » de ces séries ne sont pas « les nouveaux méchants », mais des personnages moralement ambigus, qui se situent d’emblée par-delà bien et mal. C’est cela qui les rend intéressants d’un point de vue philosophique et fait d’un TV show plus qu’un divertissement ou un plaisir coupable.


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Jeudi 1 octobre 2015 Entrée 7 / 5 euros

La Bellone Rue de Flandre, 46 1000 Bruxelles

18h – RADIO OCCULTE Avec Philippe Baudouin, philosophe, chargé de réalisation à France Culture. Et si la radio était en mesure de nous faire entendre d’autres mondes ? Et si le simple fait de tourner le bouton de son transistor permettait de faire surgir des fantômes dans son salon ou bien de communiquer avec d’autres planètes ? La radio et les autres dispositifs destinés à électriser la parole sont des « machines à fantômes ». L’expression du philosophe Günther Anders est ici à prendre au pied de la lettre. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, les inventeurs du phonographe, du téléphone ou de la télégraphie sans fil qui deviendra plus tard la radio, ont, pour la plupart d’entre eux, pratiqué le spiritisme et mené, en parallèle de leurs travaux bien connus, des recherches

dans le domaine des sciences psychiques. Dès lors, il existerait une consanguinité originelle entre ces machines parlantes et les phénomènes dits occultes. Oliver Lodge parvint-il à réunir, par le biais des ondes, les conditions d’une transmission télépathique ? Thomas Edison réussit-il à enregistrer la voix des morts à l’aide de son nécrophone ? Nikola Tesla entendit-il grâce à son télégraphe des signaux venus de Mars ? À partir de certains récits d’expériences menées à l’aide de dispositifs de communication à distance, nous tenterons ainsi de faire entendre l’imaginaire porté par les spectres magnétiques de la « radio occulte ». 15


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Passa Porta Rue Antoine Dansaert, 46 1000 Bruxelles

jeudi 1 octobre 2015 Entrée 7 / 5 euros

20h – philosophie et Médias William Bourton essayiste, Robert Maggiori journaliste et philosophe et Laurent de Sutter, professeur de théorie du droit à la Vrije Universiteit Brussel La philosophie a-t-elle sa place dans les médias ? Le temps «long» de la réflexion philosophique peut-il se concilier avec la sommation de vitesse à laquelle sont soumis les grands médias ? Si les grands ou petits organes d’informations traduisent, forment ou déforment l’opinion, comment peuvent-ils accueillir la réflexion philosophique, qui, elle, depuis Platon, tente de s’extraire de l’opinion pour aller vers les savoirs ? 16

Les philosophes, et pas seulement ceux qu’on dit, avec mépris parfois, «médiatiques», sont très présents dans les journaux, à la radio, à la télévision. Les médias les convoquent, afin qu’ils éclairent, par une lumière venant de plus loin, les faits d’«actualité». Qu’est-ce que la philosophie gagne, ou perd, à être présente dans les médias ? Et les médias, que gagnent-ils, ou perdentils, à accueillir la parole philosophique ?


La Bellone Rue de Flandre, 46 1000 Bruxelles

Vendredi 2 octobre 2015 Entrée 7 / 5 euros

18h – Sexe et Philosophie Avec Francis Métivier, philosophe Le sexe est le plus grand des vides de la philosophie. Il est arrivé, dans certains textes notoires, de nous trouver à deux doigts du délit porno-philosophique. Mais les penseurs ont, à ce moment-là, fermé les volets de leur imaginaire.

Mais le sexe est avant tout une question de positions et de pratiques, possibles seulement parce que nous en avons une intelligence préalable et une conscience simultanée : « Je pense donc je jouis »

Pourtant, chaque position sexuelle, chaque pratique, chacun des états dans lequel le sexe nous met, pourrait bien correspondre à une conception philosophique de la chose… « Je baise donc je suis » : du point de vue du sujet sexuel en acte, la perspective de notre conscience pensante, dans son rapport au corps, nous fait exister. 17


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Semaine de la Pop Philosophie :

Les partenaires :

Les Rencontres Place Publique

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Ville de Bruxelles. Nous remercions tous les amis, les intellectuels, les professionnels, les associations et les partenaires qui ont soutenu cette aventure, ainsi que toute l’équipe de la semaine pop philosophie.. ASBL Pop philo : Laurent de Sutter, président, Gilles Collard, Pascal Thibaud, François de Smet et Jacques Serrano.

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Rue de Flandre, 46 - 1000 Bruxelles popphilosophie@yahoo.be www.semainedelapopphilosophie.fr


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