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L’HEBDO GRATUIT DES SPECTACLES N°786 DU 18.02 AU 24.02.15 www.petit-bulletin.fr —
À LA UNE — EXPOSITION — RIDEAUX / BLINDS À L’IAC
À quelque chose malheur est bon, on peut d'ores et déjà soutenir, compte tenu des débats plus ou moins sanglants qui agitent le monde depuis le début de l'année, que les prochaines épreuves de philosophie du baccalauréat seront des variations sur le fameux «tout n'est-il qu’interprétation ?» – assorties d'une dissertation sur le potentiel érotique des moustaches nietzschéennes dans le cas des BP coiffure. Vaste question à laquelle nous sommes tentés de répondre par l'affirmative, exemple à l'appui : aucun des Charlie autoproclamés au lendemain des attentats de Paris n'aurait pu imaginer que les applaudissements qui ont rythmé la marche du 11 janvier puissent s'apparenter à une demande de rappel, et pourtant, c'est malheureusement ainsi qu'un jeune Danois désœuvré les a interprétés le week-end dernier. En conséquence de quoi, nous voici dans l'obligation de prendre des précautions en d'autres temps inutiles, en vous signalant que le geste exécuté par l'artiste new-yorkais Ron Amstutz ci-dessus n'est en aucun cas une quenelle revisitée. Le contenu de ce numéro par ailleurs œcuménique ne saurait donc justifier la profanation de quelque lieux de culte judaïques – rien ne la justifie de toute façon. Qu'il vous conforte dans l'idée que, malgré tout, «la vérité est dans l’imaginaire» (Ionesco), c'est en revanche un risque que nous sommes prêts à courir. BENJAMIN MIALOT
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RÉALITÉ
P 04 Lynch est mort, vive Dupieux ?
AMERICAN SNIPER
P 04
Clint Eastwood sur le pied de guerre
ALLAH-LAS
P 13
Au zénith du rock psyché Breakdancing with light de Ron Amstutz - DR
ÉDITO
P 02_03
P02_03 — LE PETIT BULLETIN N°786 — DU 18.02 AU 24.02.15
Set for spectral analysis de William Leavitt © Brian Forrest
À LA UNE
«Il n’y a rien derrière le rideau » — EXPOSITION — MARIE DE BRUGEROLLE A RÉUNI À L'INSTITUT D'ART CONTEMPORAIN UNE TRENTAINE D'ARTISTES INTERNATIONAUX AUTOUR DU THÈME DU RIDEAU. UN THÈME EN TROMPE-L’ŒIL QUI DÉCLINE MOINS LE MOTIF DU RIDEAU QU'IL N'OUVRE LE REGARD DU SPECTATEUR SUR CE QUI L'EMPÊCHE DE VOIR, SUR CE QUI ATTISE SON DÉSIR DE VOIR, ET SUR UN "RÉEL" DÉVOILÉ QUI N'A RIEN DE SPECTACULAIRE MAIS RELÈVE PLUTÔT DE L'ORDRE DU TÉNU, DU SENSIBLE ET DU POÉTIQUE. ENTRETIEN ET CRITIQUE. PROPOS RECUEILLIS PAR JEAN-EMMANUEL DENAVE
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rofesseur à l'École Nationale des Beaux-Arts de Lyon et à la Haute École d'art et de design de Genève, Marie de Brugerolle est historienne d'art, commissaire d'expositions et dramaturge. Depuis 1994, elle a notamment travaillé sur l'histoire de la performance des années 1960 à son absorption dans la société du spectacle du XXIe siècle. Elle a contribué à faire connaître en France la scène artistique californienne : Paul Mc Carthy, Allen Ruppersberg, John Baldessari, Guy de Cointet... Les éditions des Presses du Réel ont fait paraître en 2010 ses Premières critiques (une anthologie d'une vingtaines de textes et d'entretiens avec des artistes).
Que recouvre ce titre un peu étrange, quelle(s) idée(s) résume-t-il ? Marie de Brugerolle : C’est une sorte de fausse traduction du terme français “rideau” – celui qu’on met devant une scène ou une fenêtre pour cacher, avant de dévoiler – dans l’anglais “blind” qui signifie à la fois “store vénitien” et “aveugle”. Ce titre désigne donc en même temps ce qui permet de mieux voir et ce qui cache, ce qui empêche de voir ; il met en jeu et en ambiguïté notre désir de voir. Aujourd’hui, nous avons un nouveau rapport aux images. Nous les faisons glisser avec nos doigts sur nos téléphones ou sur nos tablettes, nous en avons une appréhension par glissements successifs sur des écrans. On dit que nous sommes dans une civilisation de l’image, mais je crois plutôt que nous baignons parmi des stimuli visuels qui ne sont pas forcément des images. Cette exposition collective interroge les modes d’apparition des images, leurs qualités, leurs textures. Et aussi : est-ce qu’une image ne fait pas écran ou voile, plus qu’elle ne montre quelque chose ? Pourriez-vous donner quelques exemples concrets ? L’installation de William Leavitt consiste simplement en un canapé, une télévision, un lustre bon marché et des rideaux éclairés par des projecteurs de salle de spectacle... L’artiste se demande à partir de quel moment la banalité quotidienne peut soudain basculer du côté de la scène théâtrale, à partir de quand on peut faire un pas de côté et regarder le monde autrement. Ce changement de point de vue qui fait basculer le regard est présent dans nombre d’œuvres exposées. Autre exemple : l’œuvre de Brandon Lattu qui, via des capteurs, transforme
l’ombre du visiteur en “sculpture” lumineuse. Je me demande même si le capteur ne serait pas le readymade du XXIe siècle. Bien des artistes l’utilisent, créent des vidéos en réaction à la vidéo-surveillance. Dans l’exposition, c’est le capteur et aussi le miroir, le rideau kitsch, l’objet banal que les artistes détournent de ses fonctions habituelles pour ouvrir d’autres espaces à la fois poétiques et critiques. Et vous ne montrez aucune image qui glisse sur un écran justement... Non, je joue sur le visible et l’invisible, parfois sur “l’infra-mince”, mais les images sont toujours en lien avec une certaine matérialité. Le visiteur passe des seuils, entre “dans” la peinture, il est invité à percevoir les choses différemment. Ce qui lui est révélé souvent, c’est le réel, “l’épiphanie du réel” : il n’y a rien derrière le rideau. Comment se sont déroulés le montage et la sélection des artistes ? Nathalie Ergino, directrice de l'IAC, a eu la gentillesse de me donner une véritable carte blanche pour disposer de ce lieu que j'aime beaucoup. À l'origine, j'avais l'idée de réaliser une exposition sur le motif du rideau, mais je l'ai abandonnée et élargie aux thèmes du statut de l'image, de ce qui nous aveugle, du passage et du seuil, etc. L'exposition est née concrètement d'un travail de recherche et d'un dialogue avec chaque artiste. Certains se sont déplacés pour découvrir les espaces d'exposition et tous savaient qui et quoi seraient présentés à leurs côtés. Il y a vraiment, par conséquent, un dialogue qui se poursuit de salle en salle et d’œuvre en œuvre. Beaucoup d'artistes ont produit une pièce spécialement pour l'exposition, d'autres ont adapté et réaménagé des œuvres existantes pour l'occasion. Au final c'est une exposition d'artistes et d’œuvres qui ne cherche pas l'attrait d'une "affiche de célébrités", ce qui n'empêche pas, par ailleurs, la présence de plasticiens très connus. Vous citez dans votre texte de présentation l’écrivain suisse Robert Walser... Oui, il dit dans un récit qu’il voudrait être un chiffon de poussière et se faire oublier ! Cela m’a fait penser à ces poussières qui tourbillonnent dans un rai de lumière, à cette fameuse épiphanie du réel. L’appréhension du réel et du quotidien est … / …
La première salle est consacrée à la modernité artistique... En 1915, c’est le Carré noir sur fond blanc de Malevitch, quelques années avant, le premier readymade de Marcel Duchamp [Roue de bicyclette, 1913, NdlR]... Avec quelques artistes, je me demande ici : qu’avons-nous fait de la modernité depuis un siècle, c’est-à-dire de la reproductibilité technique des œuvres d’art, de la fin d’une certaine peinture et la naissance de l’abstraction, de la mise en doute généralisée de la représentation et de notre rapport à l’objet (via le ready-made) ? Je me suis basée entre autres sur un texte de la critique d’art américaine Rosalind Krauss sur le «post-médium». Après avoir beaucoup défendu la modernité, la spécificité de chaque médium artistique, Rosalind Krauss revient à une certaine simplicité des pratiques artistiques traversant, dépassant, la division en différentes catégories de médiums (peinture, photographie, vidéo...). Qu’est-ce qui est commun, alors, à la création, au-delà des divisions en disciplines ? Quels en sont les gestes pertinents ?
notre responsabilité. À partir de la modernité, il n’y a plus de promesse d’un au-delà, d’un sens caché dans une œuvre d’art qui attendrait sa révélation. Toutes les informations sont disponibles. Personne, nul dieu ou autre entité mystérieuse, ne viendra changer les choses hormis le sujet humain moderne responsable. Le visiteur est donc un être agissant, sa sensorialité, ses sens sont convoqués en co-présence des œuvres : par le son, les formes, les couleurs, l’odeur parfois de caoutchouc... Les artistes jouent sur des rapports d’échelle ou sur des reflets du visiteur qui activent des formes, sur des œuvres qui ne sont pas immédiatement visibles. Il y a aussi des échos formels entre des pièces qui ne fonctionnent pourtant pas dans le même sens... Rien n’est caché, rien n’est abscons, il n’y a pas de secret pour initiés. En mettant peu d’informations et de cartels, je fais confiance à l’intelligence du visiteur. > RIDEAUX / blinds À l’Institut d’Art Contemporain de Villeurbanne jusqu’au 3 mai
Sea Painting de Jessica Warboys © Blaise Adilon
L’exposition questionne plus qu’elle ne donne de réponses. Et surtout, elle n’est pas immédiatement séduisante ou attractive, et semble plutôt inviter le visiteur à la curiosité... J’aimerais susciter une expérience chez le visiteur. C’est une exposition que l’on peut parcourir dans un premier temps très vite, et j’aimerais qu’ensuite les gens fassent des retours, des boucles dans son parcours... La modernité pose aussi la question de
Free association de Terence Gower - DR
… / … rendue plus aimable quand on a conscience de sa présence. Les artistes nous permettent de percevoir ce réel parfois ténu de cette manière en le rendant plus poétique, plus présent, plus ancré dans l’espace. Ce n’est ni romantique ni supra-naturel, il s’agit plus simplement d’une attention au monde. L’exposition ne demande pas pourquoi c’est fait ou qu’est-ce que ça cache, mais elle interroge le «comment c’est fait ?».
— CRITIQUE — Il y a 25 siècles,
à Athènes, d’après Pline, deux grands peintres s’affrontèrent dans un concours. Zeuxis peignit des grappes de raisin tellement réalistes que des oiseaux essayèrent de les picorer. Il pensait avoir gagné quand son rival Parrhasios l’invita à découvrir son propre tableau. Zeuxis tenta alors d’écarter ce qu’il croyait être un rideau cachant la peinture. Il fut en fait lui-même leurré et battu : le tableau n’était autre que le rideau qu’il voulait écarter ! Au-delà de ce challenge en trompe-l’œil et en virtuosité technique, cette histoire nous enseigne aussi sur notre désir de voir dans et au-delà des images : d’autres images, du sens, une narration, une représentation “vraie” de la “réalité”, etc. La modernité, depuis au moins Manet, rabroue et frustre ce désir : il n’y a rien à voir d’autre que la peinture elle-même, voire sa seule matérialité. Et Steven Parrino aura beau casser, en 2003, des mono-
chromes noirs, il n’y verra rien derrière, montrant seulement la violence de son geste et sa colère contre une certaine abstraction trop formaliste... Dans la salle inaugurale de RIDEAUX / blinds, Marie de Brugerolle réinterroge en quelques œuvres les destins actuels de la modernité. Mais son exposition, très vite, nous entraîne au-delà. Vers des rideaux noirs en caoutchouc à franchir, vers des bifurcations où l’on hésite, vers des choix à effectuer : découvrir ou non une image, la laisser intact ou marcher dessus et provoquer sa destruction (avec Gustav Metzger)... Dans une belle expression, la commissaire écrit : «Le rideau, c’est nous.» À nous donc de décider si l’on veut ouvrir notre “rideau” (perceptif, émotionnel, intellectuel) ou non. Le danger réside moins dans un risque physique que dans un risque “existentiel” : les artistes “post-post-modernes” réunis à l’IAC ne nous fourniront nulle illusion transcen-
dantale ou attraction spectaculaire. Leurs rideaux s’ouvrent sur des «épiphanies du réel», sur du vide (Charlotte Moth), des écrans blancs (Jennifer Bolande), des murs mélancoliques (Sophie BonnetPourpet), sur une banalité du réel rendue simplement ici plus poétique et plus présente. Les artistes nous volent jusqu’à notre propre image rassurante (Brandon Lattu), en l’occurrence notre ombre, pour la transformer, paradoxalement, en globules de lumière. Et à la question enfantine «pourquoi ?» que nous pourrions, naïfs et un peu déboussolés, adresser à l’art, le peintre Marc Desgrandchamps de nous répondre à travers un magistral polyptyque au titre tout trouvé : Parce que. JED
UN PEU DE POÉSIE En écho à l’exposition, un court extrait de Dans le leurre du seuil d’Yves Bonnefoy : «Je t’écoute / Vibrer dans le rien de l’œuvre / Qui peine de par le monde. Je perçois le piétinement / D’appels / Dont le pacage est l’ampoule qui brûle. / Je prends la terre à poignées / Dans cet évasement aux parois lisses / Où il n’est pas de fond / Avant le jour. / Je t’écoute, je prends / Dans ton panier de corde / Toute la terre. Dehors, / C’est encore le temps de la douleur / Avant l’image. / Dans la main de dehors, fermée, / A commencé à germer / Le blé des choses du monde.»
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CINÉMA
Réalité UN CAMÉRAMAN QUI VEUT TOURNER SON PREMIER FILM D’HORREUR, UN PRODUCTEUR INSTABLE, UN ANIMATEUR ATTEINT D’UN ECZÉMA IMAGINAIRE, UNE PETITE FILLE NOMMÉE RÉALITÉ… AVEC CE FILM SOMME ET LABYRINTHIQUE, AUSSI DRÔLE QUE FASCINANT, QUENTIN DUPIEUX PROPULSE SON CINÉMA VERS DES HAUTEURS QUE SEUL UN DAVID LYNCH A PU ATTEINDRE CES DERNIÈRES ANNÉES. CHRISTOPHE CHABERT
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ient toujours un moment, dans la carrière d’un cinéaste digne de ce nom, l’envie de tourner son Huit et demi, c’est-à-dire un grand film réflexif sur la manière dont il aborde le cinéma : Truffaut avec La Nuit américaine, Almodovar avec Étreintes brisées, David Lynch avec Mulholland Drive… Quentin Dupieux, qui avait déjà approché la question dans Rubber à travers des spectateurs regardant avec des jumelles le film en train de se dérouler sans caméra, ni équipe, ni projection, en fait le cœur de Réalité. Le titre lui-même est un leurre sublime : ici, la réalité est sans doute ce qu’il y a de plus incertain et fluctuant, toujours contaminée et reformulée par le cinéma et la fiction. En fait, ce n’est pas la réalité que le film cherche à capturer, mais une petite fille prénommée Réalité, que l’on filme en train de dormir et dont on veut atteindre le subconscient – autrement dit, la capacité à produire de l’imaginaire. Dans la boucle folle que le scénario finira par créer, on comprendra que cet imaginaire-là n’est rien d’autre que celui de Dupieux lui-même ; dans les rêves de Réalité, il y avait ce long rêve éveillé qu’est Réalité, le film.
dont le génie bordure l’escroquerie… Impossible de ne pas penser, dans cette structure chorale dont les charnières restent invisibles, au travail de Lynch dans Mulholland Drive : même plaisir de tourner des séquences d’anthologie, même sourde tonalité des ambiances – il faut dire que Dupieux, à rebours de ses films précédents, n’a recours qu’à une seule source musicale, un morceau de Philip Glass tiré de Music with Changing Parts dont la répétition entêtante participe au climat mélancolique général – et, surtout, même envie de faire exploser le scénario en cours de route pour en offrir une nouvelle configuration, dont la cohérence échappe à toute logique classique. MAGNÉTO DÉTRAQUÉ Le film se détraque alors dans tous les sens, les séquences se dupliquent de manière folle, les mêmes scènes se répètent dans des décors différents, la temporalité est soumise à des tsunamis inexpliqués, les personnages deviennent à la fois eux-mêmes et un autre… Tout converge cependant vers la fameuse Réalité qui semble seule détenir le plan de ce labyrinthe cinématographique dont l’idée la plus démente est sans doute celle d’un film qui existe déjà avant même d’avoir été tourné. Dans une des premières séquences, elle voit sortir des entrailles d’un sanglier tué par son père une antique VHS – comment cette cassette est arrivée là, évidemment, cela relève encore du «no reason»… Son contenu reste le mystère le plus longuement décalé par Dupieux, mais ce n’est pas tant sa révélation que son existence même qui donne la clé du film. La réalité comme une bande-vidéo que l’on pourrait copier, effacer, ralentir, accélérer ou rembobiner à l’infini, dont chaque lecture produirait à la fois de l’identique et de la différence – à l’inverse d’un numérique “inusable” dont Dupieux est pourtant un pionnier et un des meilleurs ambassadeurs – voilà l’idée du monde que nous propose Réalité. Un monde ludique, libre et innocent, pas encore pollué par le besoin de rationalité, proche de l’art brut, de l’écriture spontanée ou des jeux de l’enfance. Ce film somme est donc autant un pur plaisir de spectateur qu’un magnifique manifeste de son auteur : la rencontre entre Buñuel et Lynch dans un magnétoscope détraqué.
Ce film somme est autant un pur plaisir de spectateur qu’un manifeste : la rencontre entre Buñuel et Lynch dans un magnétoscope détraqué.
CRI ET CHUCHOTEMENTS Pour en arriver là, Dupieux multiplie les personnages ayant leur propre problème à résoudre : au centre, Jason, un cameraman timide qui cherche à tourner son premier long métrage, un film d’horreur où les télévisions émettent des ondes capables d’abrutir puis de tuer ceux qui les regardent. Il propose son projet à un producteur instable qui accepte de lui confier un budget, à une condition : lui ramener sous quarante-huit heures le cri le plus terrifiant de l’histoire du cinéma. C’est la partie la plus hilarante de Réalité et c’est aussi pour Dupieux l’occasion de renouer avec la langue française qu’il avait abandonnée depuis Steak. Le film se déroule à Los Angeles, transformée en un paysage ordinaire fait de collines, de routes et de pavillons, nimbé de smog, loin de toute représentation hollywoodienne glamour et on y parle aussi bien français qu’anglais, sans aucune raison scénaristique – le «no reason» théorisé dans Rubber est plus que jamais mis à profit. Cela donne donc un fabuleux affrontement entre un Alain Chabat parfait d’hébétude lunaire et un Jonathan Lambert prodigieux de précision dans ses innombrables ruptures d’humeur et de concentration. Débarquent aussi dans le récit un animateur télé persuadé, malgré les apparences, de souffrir de crises d’eczéma aiguës, un directeur d’école qui aime se travestir, un cinéaste
> Réalité De Quentin Dupieux (Fr-ÉU, 1h28) avec Alain Chabat, Jonathan Lambert, Jon Heder, Élodie Bouchez…
«Tu es un redneck» dit sa future femme à Chris Kyle – massif et impressionnant Bradley Cooper – lors de leur première rencontre. «Non, je suis Texan» lui répond-il. Et il précise : «Les Texans montent sur des chevaux, les rednecks se montent entre eux». Avec cette (rare) respiration au milieu de la tension qui règne dans American Sniper, Clint Eastwood met déjà les choses au clair sur son personnage : Chris Kyle est un pur produit de l’americana sudiste, élevé dans le culte de la Bible (qu’il transporte avec lui mais qu’il n’ouvre jamais), des armes (son père lui apprend tout jeune à chasser) et de la Patrie. Il semble n’avoir aucune vie intérieure, suivant un autre précepte édité par son paternel : il ne sera ni une brebis, ni un loup, mais un chien de berger, veillant presque par
© Keith Bernstein - Village Roadshow / Warner Bros
EN RETRAÇANT L’HISTOIRE DE CHRIS KYLE, LE SNIPER LE PLUS REDOUTABLE DE TOUTE L’HISTOIRE AMÉRICAINE, CLINT EASTWOOD SIGNE UN FILM DE GUERRE IMPLACABLE OÙ LA MISE EN SCÈNE, AUSSI SPECTACULAIRE QU’ARIDE, CRÉE UNE DIALECTIQUE CHÈRE AU CINÉASTE POUR RENDRE LA COMPLEXITÉ DE CE HÉROS AMBIGU. CC
instinct sur les siens. Or, une fois engagé sur le terrain irakien en tant que sniper d’élite au sein des Navy SEALs, Kyle va faire l’expérience du trouble, même si sa carapace de machine de guerre texane ne se fissure pas si facilement.
précis et un découpage sobre, et une méditation sur la vie d’un soldat dont la “mission”, au départ claire, devient de plus en plus brouillée. La plus belle idée reste ce double syrien de Kyle, sniper lui aussi, ancien champion olympique de tir, “héros” à sa manière devenu, du point de vue américain, un ennemi diabolique. Eastwood réfléchit depuis longtemps à cette dialectique de l’héroïsme, toujours réversible, différente selon qu’on l’aborde d’un point de vue patriotique ou individuel. American Sniper vient nourrir magnifiquement cette réflexion, Kyle refusant cette étiquette que tous, soldats comme citoyens, lui accoleront jusqu’au bout. Eastwood fait de même : passées les trompettes finales, le générique défile dans un silence oppressant, et c’est cet hommagelà, pas l’officiel, qui dit le mieux la position du cinéaste.
SNIPER PAS SANS REPROCHE En définitive, c’est bien le regard de Eastwood qui, progressivement, fait apparaître cette fêlure. Le premier sang versé par Kyle est celui d’une femme et d’un enfant : choix difficile sur le moment, décisif pour la suite, et séquence magistrale où se joue le double mouvement d’American Sniper. D’un côté, le suspense – tirera ? tirera pas ? – de l’autre, le moment où la caméra s’attarde longuement sur le visage de Kyle, comme si elle traquait le tremblement intime qui va ébranler ce héros ambivalent. Admirable, la mise en scène permet au film d’être à la fois un incroyable film de guerre, implacable, d’une densité d’autant plus spectaculaire qu’Eastwood travaille avec une grammaire classique, des plans
> American Sniper De Clint Eastwood (ÉU, 2h12) avec Bradley Cooper, Sienna Miller…
© Laurent Thurin-Nal
© Realitism films
American Sniper
Vincent n’a pas d’écailles DEVANT ET DERRIÈRE LA CAMÉRA, THOMAS SALVADOR RELÈVE LE DÉFI D’INVENTER UN SUPER-HÉROS FRANÇAIS SANS PERDRE DE VUE LES RIVES DU CINÉMA HEXAGONAL, RÉALISTES ET INTIMISTES. ET ÇA MARCHE ! CC Vincent apparaît au spectateur comme un parfait quidam, sorti de nulle part, débarquant dans les gorges du Verdon après avoir quitté – fui ? – l’urbanité. Est-il venu se ressourcer, dans tous les sens du mot, en piquant une petite tête dans les eaux tranquilles et désertes de ce paysage rural ? Ce corps-là n’est, au départ, pas très éloigné de ceux qui hantent le cinéma d’auteur français : discret, transparent, mutique… Cet effacement est renforcé par le fait que c’est le réalisateur lui-même, Thomas Salvador, qui l’incarne : un visage inconnu pour jouer un inconnu, il y a là une logique parfaitement respectée. Mais Vincent n’a pas
d’écailles va chercher à faire de ce corps ordinaire un héros extraordinaire, doté de pouvoirs physiques hors du commun une fois mis au contact d’un élément liquide. Le fleuve, donc, qui lui permet d’effectuer d’impressionnants sauts de dauphin ou de rester longuement en apnée sous l’eau ; mais aussi une simple bassine qu’il se vide sur la tête et qui l’autorise à détruire un mur à mains nues – pratique, car Vincent trouve un job comme ouvrier du bâtiment. AQUAMAN MADE IN FRANCE Voilà donc le pari de Salvador : inventer un super-héros français sans jouer la surenchère avec les blockbusters américains. S’il
montre, à travers le trajet de son personnage, qu’il a retenu les leçons d’efficacité hollywoodiennes – l’histoire d’amour, la défense de l’innocent, la poursuite avec la police… – il ne perd jamais de vue la nécessaire crédibilité de son film et son inscription stricte dans la réalité hexagonale – donc dans un certain réalisme à la française. Sa rencontre avec Lucie – l’étonnante Vimala Pons – jeune femme aussi libre dans son corps que bien dans sa tête, débouche sur une romance légère que ses super-pouvoirs viennent épicer d’un soupçon d’exotisme – et d’érotisme. Quant à la représentation des forces de l’ordre, elle contourne habilement l’écueil de la mauvaise télévision en les montrant dépassées et maladroites – sans mépris ni ironie, juste par souci de vraisemblance. D’où la sensation étrange et plaisante que procure la vision du film : Salvador ne cherche pas tant à bousculer les habitudes de ce type de cinéma qu’à en élargir l’horizon, à travers une approche plus ludique que théorique, où les effets spéciaux artisanaux se fonderaient naturellement dans un récit intimiste, où la fantaisie s’intégrerait parfaitement à la petite musique du quotidien amoureux. > Vincent n’a pas d’écailles De et avec Thomas Salvador (Fr, 1h18) avec Vimala Pons…
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De Dominique Farrugia (Fr, 1h38) avec Franck Dubosc, Kad Merad…
Taxi de Jafar Panahi, Ours d’or de la 65e Berlinale
Un Taxi pour Berlin LA TRÈS BELLE ÉDITION 2015 DE LA BERLINALE S’EST TERMINÉE PAR LE SACRE D’UNE CHAISE VIDE, CELLE DE JAFAR PANAHI, OURS D’OR AVEC SON FORMIDABLE TAXI, FILM HORS-LA-LOI D’UN CINÉASTE RÉSISTANT, TANDIS QUE PABLO LARRAÍN, TERRENCE MALICK ET UN NOUVEAU VENU, JAYRO BUSTAMANTE, ILLUMINAIENT LA COMPÉTITION. COMPTE-RENDU ENTHOUSIASTE. CC
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lus grand festival de cinéma européen, ne serait-ce que par l’affluence phénoménale qu’elle engendre – 310 000 tickets vendus – la Berlinale a confirmé en 2015 son regain de forme après une édition 2014 déjà marquante. Partie en trombe, sa compétition s’est certes un peu essoufflée sur la fin, mais le bilan reste extrêmement positif et le palmarès concocté par un jury emmené par Darren Aronofsky en atteste de belle manière. C’est donc Jafar Panahi qui repart avec l’Ours d’or pour son formidable Taxi, récompense qui pourrait n’être que symbolique si, justement, il n’y avait derrière un sacré film, à la fois passionnant théoriquement et totalement accessible. Panahi est astreint à résidence par les autorités iraniennes suite à sa participation aux manifestations contre le régime et interdit d’exercer son métier jusqu’en 2030. Et pourtant, il tourne… Et cette privation de liberté agit sur son cinéma comme une forme de libération. Taxi est donc un film hors-la-loi, l’œuvre d’un résistant mais d’un résistant joyeux, que rien ne semble abattre dans tous les sens du terme. Parti sur un dispositif assez proche de celui de Ten de son compatriote Kiarostami – Panahi au volant d’un taxi équipé d’une caméra qui enregistre les conversations des clients – le film, sans pour autant quitter cet habitacle, réussit à le déborder en permanence, en y faisant entrer des personnages hauts en couleurs, puis en les transformant en autant de micro-fictions qui dessinent peu à peu un état de lieux de l’Iran aujourd’hui. Ou plus exactement, de son rapport aux images et à la représentation : dans Taxi, on peut tout filmer mais on ne peut rien montrer ; cette source jaillissante d’images captées au téléphone portable, à l’appareil photo ou à la Go-Pro ne peuvent devenir publiques qu’une fois passée au filtre de règles ubuesques. Avec un humour jamais désespéré, Panahi viole ces règles les unes après les autres et son taxi ne charrie qu’une seule idée : le cinéma, en Iran, est plus que jamais une contrebande nécessaire que le film célèbre avec une fougue réjouissante. LE CLUB DES PRÊTRES DÉFROQUÉS Deuxième choc de la compétition, El Club de Pablo Larraín est reparti avec l’Ours d’argent. Mérité là aussi : le cinéaste chilien confirme le virage pris par son œuvre après No, plus ouverte, moins formaliste et radicale. Sans parler du sujet du film : comment une bande de prêtres défroqués reclus dans une maison au bout du monde et passionnés de courses de lévriers vont voir leur routine dérangée par l’irruption d’un nouveau “membre”, mais aussi du lourd passé qui le suit comme une ombre. Larraín ne masque pas la charge anticléricale de son film, mais l’habileté de son écriture et la puissance de sa mise en scène – culmi-
nant dans un climax inoubliable – créent des abîmes de subtilité, interrogeant à la fois la mémoire enfouie du Chili à l’époque Pinochet et celle d’une Église dont la loi prévaut sur la loi des hommes, au risque de l’injustice. À ce film splendide faisait écho le docu de Patricio Guzman, El Boton de Nacar – Ours d’argent du meilleur scénario – qui à sa manière sortait des profondeurs (de l’océan) les spectres de la mémoire chilienne. Parfois un peu lourd dans sa métaphore et son utilisation de la voix off, Guzman réussit en revanche à saisir le spectateur dans la deuxième partie où le massacre des natifs indiens et celui des opposants à Pinochet sont évoqués par le présent des rescapés et la reconstitution des moyens employés pour les éliminer. Suivent deux révélations venues, elles aussi, d’Amérique latine : Jayro Bustamante et son très beau Ixcanul – Prix Alfred-Bauer – conte cruel autour d’une famille d’Indiens Mayas dont la fille, promise à un propriétaire terrien hispanophone, tombe enceinte d’un jeune Indien parti en exil aux États-Unis. À travers une mise en scène et un scénario parfaitement maîtrisés, Bustamante souligne les conflits sociaux du Guatémala contemporain, sans perdre de vue la singularité de ses personnages principaux, bouleversants ; et Gabriel Ripstein avec 600 Miles – Ours d’argent du meilleur premier film – où un agent de l’ATM américain poursuit un gamin mexicain trafiquant des armes pour le compte de son oncle, avant de se retrouver otage de l’adolescent de l’autre côté de la frontière. Produit par le cinéaste Michel Franco, dont on sent l’influence dans des plans-séquences sous tension constante, 600 Miles ne tombe presque jamais – sauf à la fin, ratée – dans l’overdose de noirceur qui caractérise son travail, car Ripstein croit vraiment dans la relation entre le flic et son ravisseur (un formidable Tim Roth et le jeune Krystian Ferrer). MALICK, EN MAJESTÉ Dans tout palmarès, il faut un absent. Celui-ci est de taille : Terrence Malick dont le Knight of Cups a provoqué autant d’admiration que de sifflets. On ne se lasse pourtant pas de son cinéma, tant il s’affirme de plus en plus pur, libre et loin du commun des cinéastes d’aujourd’hui… Knight of Cups est d’ailleurs son film sur la «liberté», celle d’un acteur hollywoodien (Christian Bale) qui voit défiler son existence – son père devenu fou, son frère impulsif, les femmes de sa vie – pour essayer de retrouver un chemin perdu, et ainsi son être profond. Les visions de Malick sont sublimes, sa manière de filmer notre monde contemporain – ses excès, ses fosses et ses secousses – absolument singulière et ce chef-d’œuvre romanesque, poétique et métaphysique valait à lui seul le déplacement à cette superbe Berlinale.
C’est un cas d’école : comment le succès d’un film d’auteur français – Camille redouble – conduit à un dérivé opportuniste et commercial qui en reprend exactement la même formule – ce Bis signé Dominique Farrugia. Impossible d’oublier cette donnée pendant qu’on regarde cette comédie, pourtant pas la plus nulle engendrée par le cinoche français ces derniers temps. Il y a certes les éternels jeux de mots foireux qu’affectionne l’ex-Nul et qui nous donnent plutôt envie de chialer de dépit ; et une fin d’un conservatisme tellement inouï et assumé qu’on se demande si Farrugia ne fait pas déjà campagne pour la réélection de Sarkozy en 2017. Ceci mis à part, dans le foutoir ambiant, il y a quelques bonnes idées, notamment celle qui montre ces deux vieuxjeunes tenter de convaincre la secrétaire de Claude Berri de produire les futurs succès du box office hexagonal. Voir Kad Merad voler l’idée des Ch’tis à Dany Boon est assez amusant, mais la réaction sceptique de la secrétaire l’est plus encore, venant corroborer l’idée qu’un succès est avant tout contextuel et pas universel. De même, si les deux acteurs principaux font le strict minimum, les seconds rôles sont bien vus et surtout bien incarnés par des acteurs excellents (Boisselier, Darmon, Anthony Sonigo ou Anne Girouard). Qu’on se fasse bien comprendre : Bis n’est pas un bon film ; mais ce n’est pas une honte non plus. CC
Things People Do De Saar Klein (ÉU, 1h50) avec Wes Bentley, Jason Isaacs… Premier film d’un ancien collaborateur de Terrence Malick, Things People Do mérite d’abord qu’on évacue la comparaison, écrasante, avec le maître, même si Saar Klein en a manifestement gardé quelques
influences dans sa mise en scène. Car il ne suffit pas de filmer des enfants avec une caméra en apesanteur et faire des contre-jours sur des visages silencieux avec de la musique en fond pour faire du Malick… Things People Do est bien plus proche d’une certaine idée du film indé / Sundance, et cette histoire d’un agent immobilier effacé qui, après avoir perdu son job, se lance dans le banditisme pour sauver sa maison et faire vivre sa famille, est avant tout une fable sur la chute d’une certaine classe moyenne touchée par la crise financière. Klein a manifestement une empathie particulière pour son personnage, dont il révèle la complexité en cours de film, notamment son étrange épanouissement au contact du crime, sexualité incluse. Ce troublelà, le cinéaste a beaucoup plus de mal à l’appliquer aux personnages secondaires, trop schématiques, notamment ce flic désabusé qui va sympathiser avec le héros jusqu’à excuser ses actes. C’est ce qui rend Things People Do un peu bancal et, soyons honnêtes, assez mineur. CC
Kingsman : services secrets De Matthew Vaughn (Ang, 2h09) avec Colin Firth, Taron Egerton, Samuel L. Jackson… Drôle de film raté que ce Kingsman, antipathique à force de chercher la connivence et le deuxième degré avec le spectateur. L’idée est de créer une sorte de James Bond 2.0 qui connaîtrait par cœur les codes de son modèle et se plairait à les pasticher en multipliant clins d’œil et références décalées. Une sorte de Scream de l’espionnage que Matthew Vaughn, tentant de reprendre la formule déjà contestable de son Kick-Ass, plonge dans une esthétique de comic book où la violence, pourtant extrême – corps coupés en deux, têtes qui explosent – serait dans le même temps totalement déréalisée. Même le propos politique, plutôt judicieux sur le papier – comment un nerd félé, incarné par un Samuel L. Jackson s’amusant manifestement à jouer avec son cheveu sur la langue, utilise le consumérisme ambiant pour pratiquer une ségrégation radicale entre les élites et le peuple, promis à l’autodestruction – ne va
finalement pas plus loin qu’une grosse baston dans une église et des décapitations en série transformées en feux d’artifices multicolores. Des idées toutes mieux exploitées – et mieux mises en scène – dans le sous-estimé Le Dernier pub avant la fin du monde, qui avait le mérite de réfléchir sur l’abrutissement ambiant pour en tirer un joyeux fuck off très british. Vaughn, lui, cherche avant tout à produire un spectacle aussi décérébré et irresponsable que ce qu’il fait mine de condamner. CC
Max et Lenny De Fred Nicolas (Fr, 1h25) avec Camelia Pand’or, Jisca Kalvanda… Co-écrit par François Bégaudeau, ce banlieue-film tombe sous le coup de toutes les critiques, injustes, reçues par Céline Sciamma pour son très beau Bande de filles : on est face à une vision totalement fantasmée de la vie dans les quartiers, qui accumule les clichés et charge la barque d’un misérabilisme filmé, comme il se doit, caméra à l’épaule et avec une image moche. Lenny vit dans les quartiers nord de Marseille, joue la guetteuse pour ses frangins dealers, a été mère très tôt – le père est peutêtre son oncle ! – mais son enfant lui a été enlevée, et elle rêve de faire du rap pour s’en sortir et récupérer la garde. Max est une jeune Congolaise sans papiers qui s’occupe de ses nombreux frères et sœurs en redoutant l’expulsion. Leur rencontre est une affaire d’amitié dont les ressorts sont prévisibles, le trouble érotique étant assez vite évacué. Le film déroule de manière parfaitement monotone ses situations, sans aucune poussée fictionnelle ou dramatique, comme s’il n’avait dans le fond rien à dire de nouveau sur son sujet, et surtout, s’il n’avait rien à offrir à ses personnages que l’horizon, plutôt triste, d’un naturalisme asphyxiant. CC
ET AUSSI… Une fois n’est pas coutume, on a presque fait le tour des sorties de la semaine… Si, il en reste une, et pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agit du retour de Bob l’éponge sur grand écran. Pour les enfants, les adultes régressifs et les passionnés de trip à l’acide, ça peut faire son petit effet.
P06_07 — LE PETIT BULLETIN N°786 — DU 18.02 AU 24.02.15
CINÉMA FILMS À L’AFFICHE AMERICAN SNIPER De Clint Eastwood (ÉU, 2h12) avec Bradley Cooper, Sienna Miller, Luke Grimes... Cinéma CGR, Comœdia (vo), Les Alizés (vf + vo), Pathé Bellecour (vo), Pathé Carré de soie, Pathé Cordeliers, Pathé Vaise (vf + vo), UGC Astoria (vo), UGC Ciné-Cité Confluence (vo), UGC Ciné-Cité Internationale (vo), UGC Part-Dieu
BIS De Dominique Farrugia (Fr, 1h40) avec Franck Dubosc, Kad Merad... Ciné-Meyzieu, Cinéma CGR, Pathé Bellecour, Pathé Carré de soie, Pathé Vaise, UGC Ciné-Cité Confluence, UGC Ciné-Cité Internationale, UGC Part-Dieu
BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU De Paul Tibbitt (ÉU-Sud Cor, 1h33) animation Cinéma CGR (3D), Cinéma Gérard Philipe (2D + 3D), Le Scénario (2D + 3D), Pathé Carré de soie (2D + 3D), Pathé Cordeliers (2D + 3D), Pathé Vaise (2D + 3D), UGC Ciné-Cité Internationale, UGC Part-Dieu
BONS À RIEN De Gianni Di gregorio (It, 1h27) avec Gianni Di Gregorio, Marco Marzocca... UGC Ciné-Cité Internationale
KINGSMAN : SERVICES SECRETS De Matthew Vaughn (Angl, 2h09) avec Colin Firth, Samuel L. Jackson... Ciné-Meyzieu, Cinéma CGR, Cinéma Gérard Philipe, Le Scénario, Pathé Bellecour (vf + vo), Pathé Carré de soie (IMAX), Pathé Vaise (vf + vo), UGC Ciné-Cité Confluence (vo), UGC Ciné-Cité Internationale (vf + vo), UGC Part-Dieu
PRÊTE À TOUT De Gus Van Sant (1995, Angl-EU, 1h46) avec Nicole Kidman, Matt Dillon... UGC Ciné-Cité Confluence (vo), UGC Ciné-Cité Internationale (vo)
RÉALITÉ De Quentin Dupieux (Fr-Bel, 1h27) avec Alain Chabat, Jonathan Lambert... Comœdia, UGC Ciné-Cité Confluence
VINCENT N’A PAS D’ÉCAILLES De Thomas Salvador (Fr, 1h18) avec Thomas Salvador, Vimala Pons Comœdia
LES CHOIX DE LA RÉDACTION L’AFFAIRE SK1 De Frédéric Tellier (Fr, 2h) avec Raphaël Personnaz, Nathalie Baye... Même s’il souffre de quelques scories inhérentes aux films français tirés de faits réels – un Raphaël Personnaz un peu trop immédiatement torturé, des dialogues qui manquent de quotidienneté – L’Affaire SK1 surprend par l’urgence de sa mise en scène et surtout par l’humanisme de son propos, loin de tout désir de vengeance, cherchant l’homme derrière le monstre Guy Georges. Ciné Mourguet, Écully Cinéma
L’ENQUÊTE De Vincent Garenq (Fr-Belg-Lux, 1h46) avec Gilles Lellouche, Charles Berling... Le combat solitaire et inégal de Denis Robert contre la “banque des banques” luxembourgeoise Clearstream débouche sur un film-dossier qui, s’il n’évite pas certains écueils du genre, emporte le morceau par l’efficacité de son récit et la conviction de ses comédiens, tous excellents – même Gilles Lellouche ! Comœdia, Pathé Bellecour, Pathé Vaise, UGC Astoria, UGC Ciné-Cité Confluence
IMITATION GAME De Morten Tyldum (Angl-EU, 1h55) avec Benedict Cumberbatch, Keira Knightley... Dans le cadre étroit du biopic visant
les oscars, cette évocation de la vie complexe d’Alan Turing, mathématicien génial, inventeur de l’ordinateur, artisan de la victoire anglaise contre les nazis et homosexuel planqué puis persécuté, surprend par l’habileté de sa construction dramatique et l’incarnation puissante de Benedict Cumberbatch. Cinéma CGR, Comœdia (vo), Le Meliès (vf + vo), Le Scénario (vf + vo), Les Alizés (vo), Pathé Bellecour (vo), Pathé Carré de soie, Pathé Vaise, UGC Astoria (vo), UGC Ciné-Cité Confluence (vo), UGC Ciné-Cité Internationale (vo), UGC Part-Dieu
LOIN DES HOMMES De David Oelhoffen (Fr, 1h41) avec Viggo Mortensen, Reda Kateb... David Oelhoffen réunit Viggo Mortensen et Reda Kateb pour une adaptation d’Albert Camus transformée en western humaniste situé pendant la guerre d’Algérie. Une œuvre au classicisme bienvenu, dont la mise en scène, aussi belle que sobre, cherche à mettre en valeur son duo de comédiens et la profondeur de leurs personnages. Ciné-Rillieux
MONSIEUR KLEIN De Joseph Losey (1976, Angl-It-Fr, 2h03) avec Alain Delon, Jeanne Moreau... Reprise en copie restaurée du chefd’œuvre de Joseph Losey, où Alain Delon déambule à la recherche de son double juif dans un Paris fantomatique, occupé par les Allemands et en pleine préparation de la rafle du Vel d’hiv’. Comme si un personnage de Kafka évoluait dans un roman de Modiano… Ciné Duchère, Ciné La Mouche, Ciné-Rillieux, Le Lem
PHOENIX De Christian Petzold (All, 1h38) avec Nina Hoss, Ronald Zehrfeld... Christian Petzold filme un drame hitchcockien où une rescapée des camps de la mort au visage reconstruit tente de reconquérir un mari qui la prend pour son sosie. En filigrane, le cinéaste interroge la capacité d’oubli des individus mais aussi de tout un pays face à l’horreur, dans une œuvre forte et entêtante où explose une fois encore le talent de Nina Hoss. Écully Cinéma (vo), Le Zola (vo), UGC Ciné-Cité Internationale (vo)
SPARTACUS & CASSANDRA D’Ioanis Nuguet (Fr, 1h20) documentaire Un documentaire exceptionnel, naviguant entre réalisme et poésie, pour raconter la vie de deux enfants Roms écartelés entre leur famille naturelle – et irresponsable – et un avenir possible en France, sous la houlette bienveillante d’une acrobate de cirque. Un miracle qui évite le didactisme et la démagogie et leur préfère l’universalité. Ciné Mourguet, Comœdia
TIMBUKTU D’Abderrahmane Sissako (Fr-Mau, 1h37) avec Ibrahim Ahmed dit Pino, Toulou Kiki, Abel Jafri... En posant un regard tragi-comique sur l’absurdité dangereuse du djihadisme au Mali, Abderrahmane Sissako trouve la bonne distance pour parler d’un sujet brûlant, sans pour autant sombrer dans le film officiel. Et, à défaut de dépasser l’académisme d’un certain world cinéma, il sait ménager de sidérants instants de poésie. Comœdia (vo), UGC Ciné-Cité Confluence (vo)
WHIPLASH De Damien Chazelle (EU, 1h45) avec Miles Teller, J.K. Simmons... “Coup de fouet” mais surtout coup d’essai et coup de maître pour Damien Chazelle : sa première œuvre, qui raconte la relation toxique entre un apprenti batteur et son prof obsédé par le dépassement de soi, est un film de guerre musical haletant, impeccablement rythmé et interprété. Pathé Cordeliers (vo), UGC Ciné-Cité Confluence (vo)
SALLES CINÉMA BELLECOMBE 61 rue d’Inkerman - Lyon 6e - 04 78 52 40 31
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Avant-première : • La Vie des gens : lun 20h45* CINÉ-BRUNCH Dim 10h45 AMERICAN SNIPER V.O. 11h sf lun, mar - 14h - 17h - 20h15 RÉALITÉ 13h35 - 17h45 - 19h45 - 21h35 VINCENT N’A PAS D’ÉCAILLES 13h30 - 17h20 - 19h10 - 20h55 IMITATION GAME V.O. 11h15 sf lun, mar - 15h30 - 19h SNOW THERAPY V.O. 10h50 sf mer, lun, mar - 13h40 - 16h15 20h30 sf lun L’ENQUÊTE 11h05 sf dim, lun, mar - 14h sf jeu - 16h30 21h15 LES MERVEILLES V.O. 15h45 - 18h05 - 20h40 + jeu, lun, mar 13h30 FÉLIX ET MEIRA V.O. Mer, jeu, ven 11h15 LE PETIT MONDE DE LÉO Mer, jeu, sam 10h45 LES MOOMINS SUR LA RIVIERA 14h sf lun, mar LES NOUVELLES AVENTURES DE GROS POIS ET PETIT POINT Mer, ven, dim 10h45 SPARTACUS & CASSANDRA 18h35 sf lun TIMBUKTU V.O. 15h15 UNE HISTOIRE AMÉRICAINE V.O. Sam 11h15 IL EST DIFFICILE D’ÊTRE UN DIEU V.O. Dim 10h45
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LA PROPHÉTIE DES GRENOUILLES Mer 14h30 LA BÊTE HUMAINE Mer, ven 19h - dim 16h30 - mar 14h30 LA BALLADE DU SOLDAT V.O. Jeu 21h** - sam 16h - mar 17h LA DOLCE VITA V.O. Ven 14h30 - sam 20h30 KIRIKOU ET LA SORCIÈRE Sam 14h30 BAAL V.O. Dim 14h30 - mar 19h** RÉTROSPECTIVE WERNER HERZOG LE PAYS DU SILENCE ET DE L’OBSCURITÉ V.O. Mer 17h FITZCARRALDO V.O. Mer 21h - sam 17h45 - dim 18h30 GRIZZLY MAN V.O. Jeu 14h30 - ven 21h COBRA VERDE V.O. Jeu 17h INVINCIBLE (HERZOG) V.O. Mar 21h
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Avant-première : • Le Dernier loup : dim 11h BIS 10h45 - 13h05 - 15h20 - 17h35 - 20h05 22h20 KINGSMAN : SERVICES SECRETS 16h40 - 22h10 KINGSMAN : SERVICES SECRETS V.O. 11h10 - 14h - 19h30 AMERICAN SNIPER V.O. 11h15 - 13h55 - 16h40 - 19h25 - 22h10 CINQUANTE NUANCES DE GREY V.O. (int - 12 ans) 10h40 - 13h30 - 16h20 - 19h10 - 21h45 CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) 11h - 14h - 16h45 - 19h50 - 22h - 22h20 LES NOUVEAUX HÉROS 3D 10h50 - 15h15 - 17h30 LES NOUVEAUX HÉROS 13h05 - 20h PAPA OU MAMAN 11h - 13h - 14h50 - 16h40 - 18h30 20h30 - 22h30 L’ENQUÊTE 11h sf dim - 13h35 - 15h50 - 18h05 20h20 - 22h35 IMITATION GAME V.O. 10h40 - 13h10 - 15h35 - 18h - 20h15 22h35 GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE 10h55 sf lun, mar LA FAMILLE BÉLIER 13h - 15h20 - 17h40 - 19h45 - 22h20 + lun, mar 10h45
PATHÉ CORDELIERS 20 rue Thomassin - Lyon 2e
Avant-première : • Projet Almanac : mar 19h30 AMERICAN SNIPER 13h15 - 16h - 18h40 - 21h20 + sam, dim 10h40 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 16h15 + sam, dim 11h30 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 3D 14h - 18h30 LES NOUVEAUX HÉROS 3D 16h + sam, dim 11h15 LES NOUVEAUX HÉROS 13h30 - 18h30 CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) 13h20 - 16h - 18h40 - 21h20 + sam, dim 10h40 LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS 13h10 - 15h15 - 17h20 - 19h25 + sam, dim 10h50 LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE 13h10 sf lun, mar - 15h05 sf lun, mar + sam, dim 11h TAKEN 3 17h - 19h20 - 21h40 + lun, mar 14h10 LES NOUVEAUX SAUVAGES 21h30 UN VILLAGE PRESQUE PARFAIT 13h20 - 17h30 - 21h40 + sam, dim 11h10 TOUTE PREMIÈRE FOIS 15h25 - 19h40 sf mar WHIPLASH V.O. 21h JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS 21h
PATHÉ VAISE 43 rue des Docks - Lyon 9e
Avant-première : • Le Dernier loup, 3D : dim 10h35 BIS 10h45 sf lun, mar - 13h - 15h20 - 17h55 20h20 - 22h35
LES NOUVEAUX HÉROS 3D 11h05 sf lun, mar - 13h30 - 15h50 - 19h50 - 22h10 LES NOUVEAUX HÉROS 10h30 sf lun, mar - 12h50 - 15h10 - 17h30 PAPA OU MAMAN 10h55 sf lun, mar - 13h05 - 15h15 - 17h35 - 19h55 - 22h05 CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) 10h40 sf dim, lun, mar - 11h sf lun, mar 13h25 - 13h55 - 16h15 - 16h45 - 18h15 19h30 - 21h10 - 22h15 JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS 18h30 - 21h30 KINGSMAN : SERVICES SECRETS 10h45 sf lun, mar - 13h30 - 16h20 - 19h05 sf jeu - 21h50 KINGSMAN : SERVICES SECRETS V.O. Jeu 19h05 AMERICAN SNIPER 10h25 sf lun, mar - 13h15 - 16h - 18h45 21h35 sf jeu AMERICAN SNIPER V.O. Jeu 21h35 LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS 10h35 sf lun, mar - 13h10 - 15h25 - 17h45 - 19h55 - 22h20 UN VILLAGE PRESQUE PARFAIT 17h40 - 20h05 - 22h30 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 3D 11h sf lun, mar - 17h50 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 13h20 - 15h40 - 19h55 - 21h55 L’ENQUÊTE 10h15 sf lun, mar - 15h10 - 20h TAKEN 3 19h05 - 21h40 IMITATION GAME 12h40 - 17h30 - 22h25 LA FAMILLE BÉLIER 10h40 sf lun, mar - 13h05 - 15h30 - 17h50 20h10 - 22h30 LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE 11h20 sf lun, mar - 13h30 - 15h35 LES PINGOUINS DE MADAGASCAR 11h10 sf lun, mar - 13h45 - 16h
UGC ASTORIA 31 cours Vitton - Lyon 6e
Avant-première : • Le Dernier loup, vo : dim 19h15 AMERICAN SNIPER V.O. 11h - 13h40 - 16h20 - 19h - 21h40 CINQUANTE NUANCES DE GREY V.O. (int - 12 ans) 11h - 13h50 - 16h30 - 19h30 - 22h IMITATION GAME V.O. 11h20 - 13h45 - 16h10 - 19h20 sf dim 21h50 PAPA OU MAMAN 11h15 - 14h - 15h55 - 18h - 20h05 22h05 L’ENQUÊTE 11h05 - 13h30 - 15h40 - 17h50 - 20h 22h10
UGC CINÉ-CITÉ INTERNATIONALE 80 quai Charles de Gaulle - Lyon 6e
Avant-premières : • L’Art de la fugue : mar 20h* • Le Dernier loup : dim 16h • Projet Almanac, vo : lun 20h AMERICAN SNIPER V.O. 10h50 - 13h40 - 16h20 - 20h10 - 21h45 BIS 10h40 - 13h35 - 15h45 - 17h55 - 20h05 22h15 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 10h45 - 13h50 - 15h55 - 18h - 20h05 BONS À RIEN 10h50 - 15h35 - 20h KINGSMAN : SERVICES SECRETS 10h55 - 13h45 - 16h25 KINGSMAN : SERVICES SECRETS V.O. 19h10 - 21h45 PHOENIX V.O. 17h50 - 20h - 22h10 PRÊTE À TOUT V.O. Ven 20h10 - dim 16h35 - lun 18h CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) 11h - 14h05 - 17h45 - 20h20 CINQUANTE NUANCES DE GREY V.O. (int - 12 ans) 13h30 - 16h10 - 21h50 IMITATION GAME V.O. 11h - 19h35 - 22h JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS 13h55 - 16h30 sf dim JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS V.O. 19h15 - 21h50 sf mar LA FAMILLE BÉLIER 10h45 sf mar - 15h15 - 19h50 LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS 11h - 13h15 - 15h25 - 17h30 LES NOUVEAUX HÉROS 10h50 - 13h35 - 15h45 - 17h55 - 20h05 LES NOUVEAUX HÉROS V.O. 22h15 LES NOUVEAUX SAUVAGES V.O. 13h05 - 17h30 - 21h55 LES SOUVENIRS 11h MON FILS V.O. 19h30
PAPA OU MAMAN 11h10 - 13h45 - 15h35 - 17h25 - 19h45 sf mar - 22h20 sf mar TAKEN 3 13h - 17h30 TAKEN 3 V.O. 22h05 UN VILLAGE PRESQUE PARFAIT 10h45 - 13h50 - 15h55 sf dim - 18h05 sf dim, lun - 20h10 sf ven WILD V.O. 22h05 LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE 10h55 - 13h50 - 15h45
UGC CINÉ-CITÉ CONFLUENCE 121 cours Charlemagne - Lyon 2e
Avant-première : • Le Dernier loup : dim 10h50 AMERICAN SNIPER V.O. 10h40 - 13h30 - 16h15 - 19h05 - 21h50 BIS 10h55 - 13h15 - 15h30 - 17h50 - 20h 22h15 KINGSMAN : SERVICES SECRETS V.O. 10h50 - 13h35 - 16h15 - 19h15 - 21h55 PRÊTE À TOUT V.O. Jeu 20h15 - dim 18h15 - mar 16h15 RÉALITÉ 11h05 - 14h05 - 16h10 - 18h10 - 20h05 22h05 CINQUANTE NUANCES DE GREY V.O. (int - 12 ans) 11h - 13h45 - 16h30 - 18h - 19h20 20h35 - 21h55 FOXCATCHER V.O. Mer, ven, sam, dim 20h30 - lun, mar 10h40, 19h, 21h50 GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE 11h sf lun, mar - 13h50 sf lun, mar IMITATION GAME V.O. 16h30 - 19h40 - 22h05 + lun, mar 10h45, 14h IT FOLLOWS V.O. (int - 12 ans) 22h15 JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS V.O. 10h40 sf dim - 13h20 - 20h30 sf jeu L’ENQUÊTE 10h40 - 13h - 15h20 - 17h35 - 19h50 22h15 LA FAMILLE BÉLIER 10h45 - 13h15 - 15h30 - 17h45 - 20h LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS 10h40 - 13h40 - 15h50 LE SEL DE LA TERRE V.O. Dim 10h50 LES MERVEILLES 10h40 - 13h05 - 15h20 - 17h40 - 19h55 22h15 LES NOUVEAUX HÉROS 10h50 - 13h15 - 15h30 - 17h40 LES NOUVEAUX HÉROS V.O. 22h15 LES PINGOUINS DE MADAGASCAR 10h50 sf lun, mar - 14h sf lun, mar PADDINGTON 15h55 sf jeu, lun, mar PAPA OU MAMAN 11h - 14h - 16h - 17h55 - 20h05 - 22h SNOW THERAPY V.O. 19h50 TIMBUKTU V.O. Mer, ven, sam, dim 18h - jeu 16h30 - lun 14h, 16h30 - mar 14h LE PRIX À PAYER V.O. 18h15 sf dim WHIPLASH V.O. 16h
UGC PART-DIEU CC Part-Dieu niveaux 2 & 4 - Lyon 3e
Avant-premières : • Projet Almanac : mar 19h50 • Le Dernier loup : dim 14h AMERICAN SNIPER 11h20 - 13h55 - 16h35 - 19h15 - 21h55 BIS 11h25 - 13h35 - 15h45 - 17h55 - 20h05 22h15 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 11h30 - 13h45 - 15h45 - 17h45 - 19h45 CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) 11h25 - 13h05 - 14h - 15h35 - 16h30 18h05 - 19h30 - 20h35 - 22h KINGSMAN : SERVICES SECRETS 11h25 - 13h55 - 16h30 - 19h10 - 21h50 GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE Mer, jeu, ven, sam, dim 11h30, 13h45, 15h45, 17h45 IMITATION GAME 19h45 sf mar - 22h05 + lun, mar 11h30, 13h50, 16h10 INTO THE WOODS, PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS 11h30 INVINCIBLE 21h45 JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS 14h sf dim - 16h30 - 19h30 - 22h LA FAMILLE BÉLIER 13h35 - 15h45 - 17h55 - 20h05 - 22h15 + lun, mar 11h25 LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE 11h30 sf lun, mar, 13h45 sf lun, mar LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS 11h30 - 13h50 - 15h55 - 18h05 - 20h10
LES NOUVEAUX HÉROS 11h25 - 13h35 - 15h45 - 17h55 - 20h05 22h15 LES PINGOUINS DE MADAGASCAR 11h30 sf lun, mar TAKEN 3 15h40 - 17h50 - 20h - 22h15 + lun, mar 11h20, 13h30 TOUTE PREMIÈRE FOIS 22h15 UN VILLAGE PRESQUE PARFAIT 11h20 - 13h25 - 15h30 - 17h35 - 19h40 LE HOBBIT : LA BATAILLE DES CINQ ARMÉES 21h40 PADDINGTON 11h30 PAPA OU MAMAN 11h20 - 14h - 16h - 18h - 20h - 22h
LES AMPHIS 12 rue Pierre Cot - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 17 29
RENDEZ-VOUS À ATLIT Mer 20h - ven 18h - sam 19h - dim 14h DISCOUNT Mer, dim 18h - ven 20h - sam 17h - mar 14h ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LE CHANT DE LA MER Mer, jeu, ven 14h30 - sam 15h - dim 16h
LES ALIZÉS 214 avenue Franklin Roosevelt - Bron - 04 78 41 05 55
AMERICAN SNIPER Mer, dim 16h, 18h30 - jeu 21h - ven 18h30 sam 16h, 21h - lun 14h30, 18h - mar 20h45 AMERICAN SNIPER V.O. Mer, ven 21h - jeu, sam 18h30 - lun 20h45 - mar 18h LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE 14h sf lun, mar IMITATION GAME V.O. Mer, jeu, ven, sam 20h45 - lun, mar 18h15 LES JOURS VENUS 18h45 sf lun, mar - lun 14h30, 20h30 - mar 20h30 LES NOUVEAUX HÉROS 14h sf lun, mar - 16h30 sf lun, mar ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LES MOOMINS SUR LA RIVIERA Jeu, ven 16h
ALPHA 24 avenue Lamartine - Charbonnières - 04 78 87 64 65
TAKEN 3 Mer 20h45 - jeu, sam 18h30 - ven 16h15 dim 20h30 CHARLIE MORTDECAI Mer 18h30 - jeu 16h15, 20h45 - ven 18h45, 21h - sam 21h - dim 16h, 18h15 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LES MOOMINS SUR LA RIVIERA Mer 16h - sam 15h GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE Sam 17h
CINÉ-AQUEDUC Aqueduc, chemin de la liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03
DISCOUNT Mer 20h30 LES NOUVEAUX SAUVAGES Ven 20h30 PAPA OU MAMAN Dim 18h HOPE V.O. Mar 19h* ON CARTOON DANS LE GRAND LYON BON VOYAGE DIMITRI Mer 16h GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE Jeu 15h30
CINÉ-CALUIRE 36 avenue Général de Gaulle - Caluire-et-Cuire
PAPA OU MAMAN Mer, ven 20h30 - jeu 10h, 20h30 - sam 16h30, 20h30 - dim 14h30 - lun 14h30, 20h30 HOPE V.O. Sam, dim 18h30 - mar 14h30, 20h30 LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE Mer, ven, dim 16h30 - jeu, sam 14h30 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LE CHANT DE LA MER Mer 10h, 14h30 LES MOOMINS SUR LA RIVIERA Ven 10h, 14h30
CINÉ LA MOUCHE 8 rue des Écoles - Saint-Genis-Laval - 04 78 86 82 60
MONSIEUR KLEIN Mer 20h30** SOUVENIRS DE MARNIE Ven, sam, dim 18h DISCOUNT Mer 18h - ven, sam 20h30 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LES MOOMINS SUR LA RIVIERA Mer, dim 15h30 LES AVENTURES D’ÉMILE À LA FERME Jeu, ven 15h30 PANIQUE CHEZ LES JOUETS Sam 15h30
CINÉ-MEYZIEU
CINÉMA CGR
LE LEM
PATHÉ CARRÉ DE SOIE
LE SCÉNARIO
27 rue Louis Saulnier - Meyzieu - 04 37 44 11 02
Rue de l’Industrie - Brignais - 04 72 31 91 50
62 avenue du 8 mai 1945 - Tassin-la-Demi-Lune
2 rue Jacquard - Vaulx-en-Velin
Place Charles Ottina - Saint-Priest - 04 72 23 60 40
Avant-première : • Le Dernier loup : dim 15h CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) Mer, lun, mar 20h30 - jeu, ven 15h, 20h30 sam 15h, 18h, 21h - dim 15h, 18h BIS Mer 15h, 18h, 20h30 - jeu 18h, 20h30 ven 15h, 20h30 - sam 15h, 18h, 21h - dim 10h30, 18h - lun, mar 20h30 KINGSMAN : SERVICES SECRETS Mer 15h, 20h30 - jeu 15h - ven 18h, 20h30 sam 21h - dim 10h30, 20h30 - lun 18h mar 20h30 LES NOUVEAUX HÉROS Mer 15h - jeu, sam 15h, 18h - ven 9h30, 15h - dim 10h30, 15h - mar 18h UN VILLAGE PRESQUE PARFAIT Mer, jeu, ven, mar 18h - dim, lun 18h, 20h30 LES NUITS D’ÉTÉ Mer, ven, lun, mar 18h - jeu, dim 20h30 LES AVENTURES D’ÉMILE À LA FERME Ven 9h30
Avant-premières : • Annie : dim 11h • Le Dernier loup, 3D : dim 11h • Projet Almanac : mar 20h, 22h15 • Tracers : lun 19h45 AMERICAN SNIPER 11h - 14h - 16h40 - 19h40 - 22h15 BIS 11h - 14h - 16h - 18h - 20h20 - 22h20 + ven, sam 00h15 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 3D 11h - 14h - 16h - 17h50 - 20h05 - 22h CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) 11h - 14h - 15h15 - 16h - 16h40 - 17h50 19h - 19h40 - 20h30 - 21h25 - 22h15 + ven, sam 23h COPS - LES FORCES DU DÉSORDRE 22h25 sf mar + lun, mar 11h, 14h GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE 11h sf dim, lun, mar - 13h25 - 17h10 IMITATION GAME 20h10 sf mar INVINCIBLE 21h35 JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS 3D 17h30 - 20h sf lun, mar - 22h25 + lun, mar 11h KINGSMAN : SERVICES SECRETS 11h - 13h40 - 16h05 - 19h45 - 22h15 LA FAMILLE BÉLIER 11h - 13h45 - 15h55 - 18h - 20h15 22h15 + ven, sam 00h15 LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE 3D 11h sf lun, mar - 14h sf lun, mar - 15h45 18h25 LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS 11h - 14h - 16h - 18h - 20h - 22h15 + ven, sam 00h15 LES NOUVEAUX HÉROS 3D 11h - 14h - 15h10 - 16h - 18h - 20h10 22h15 sf mar + ven, sam 00h15 LES PINGOUINS DE MADAGASCAR 3D 11h sf lun, mar - 14h sf lun, mar LES SOUVENIRS 17h45 + lun, mar 11h PADDINGTON 13h20 - 18h30 PAPA OU MAMAN 11h - 14h - 16h - 17h50 - 20h15 - 22h15 + ven, sam 00h05 TAKEN 3 11h - 13h45 - 15h50 - 18h - 20h - 22h20 TOUTE PREMIÈRE FOIS 11h sf dim + lun, mar 13h45 UN VILLAGE PRESQUE PARFAIT 11h - 13h45 - 15h45 - 19h40 + ven, sam 00h10
MONSIEUR KLEIN Lun 21h LES NOUVEAUX HÉROS Mer, ven, dim 14h30 - jeu 18h45 - sam 16h30 LES NOUVEAUX HÉROS 3D Mer 18h45 - jeu 16h30 - ven 16h45 - sam 14h30 LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS Mer 16h45, 21h - jeu 14h30 - ven, lun 19h sam 21h - dim 16h45 UNE MERVEILLEUSE HISTOIRE DU TEMPS V.O. Jeu 21h - dim 18h45 UNE MERVEILLEUSE HISTOIRE DU TEMPS Ven 21h - sam 18h30
Avant-premières : • Annie : dim 15h • Projet Almanac : mar 20h KINGSMAN : SERVICES SECRETS IMAX 11h30 - 14h05 - 16h40 - 19h20 - 21h55 AMERICAN SNIPER 10h50 - 13h35 - 16h15 - 18h15 - 20h55 21h40 BIS 11h05 - 13h15 - 15h25 - 17h35 - 20h15 22h25 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 3D 19h35 - 21h35 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 10h10 - 12h10 - 14h10 - 16h10 - 18h10 CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) 10h30 - 11h15 - 13h05 - 13h55 - 15h40 16h30 - 18h15 - 19h05 - 19h45 - 20h50 21h25 - 21h50 LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS 11h15 - 13h20 - 15h25 - 17h30 - 19h35 21h40 LA FAMILLE BÉLIER 17h20 - 18h55 - 21h10 PAPA OU MAMAN 10h25 - 12h15 - 14h15 - 16h05 - 17h55 19h50 - 21h20 LES NOUVEAUX HÉROS 10h50 - 13h40 - 15h55 LES NOUVEAUX HÉROS 3D 10h15 - 12h30 - 14h45 - 17h - 19h10 22h15 JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS 3D 11h35 - 14h15 - 16h50 - 19h25 - 22h LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE 11h10 - 13h05 - 15h05 - 17h TAKEN 3 10h35 - 12h50 - 15h10 - 17h35 - 19h50 sf mar - 22h20 UN VILLAGE PRESQUE PARFAIT 13h05 - 15h10 - 17h55 - 20h05 GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE 11h IMITATION GAME 18h55 - 22h05 LES PINGOUINS DE MADAGASCAR 11h45 - 13h45 - 15h50
KINGSMAN : SERVICES SECRETS Mer 14h, 18h, 20h30 - jeu, sam 16h, 20h30 ven, dim 18h, 20h30 - lun 16h15, 20h45 mar 14h, 18h30 IMITATION GAME Mer, sam 20h30 - jeu 20h45 - ven 18h - lun 14h, 18h30 - mar 16h15 IMITATION GAME V.O. Jeu 12h - dim 18h - mar 20h45 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU Mer, ven, dim 14h - jeu 12h15, 18h15 sam, mar 18h30 - lun 16h30 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 3D Mer, ven, dim 16h - jeu, sam 14h LES NOUVEAUX HÉROS Mer 16h15, 18h15 - jeu 10h, 16h30 - ven, sam, dim 14h, 16h - lun 18h30 - mar 16h30 UNE MERVEILLEUSE HISTOIRE DU TEMPS Jeu 18h30 - ven, dim 20h30 - sam 18h lun, mar 14h, 20h30 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LE CHANT DE LA MER Jeu 14h
CINÉ MOURGUET 15 rue Deshay - Sainte-Foy-lès-Lyon - 04 78 59 01 46
PAPA OU MAMAN Mer, jeu, mar 20h - ven 14h30, 20h30 - sam 20h30 - dim 20h15 FOXCATCHER V.O. Mer, jeu 20h - ven, lun, mar 17h - sam 20h30 - dim 14h30 LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS Mer 14h30 - jeu, ven 17h - sam 14h30, 18h INTO THE WOODS, PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS Mer, lun 17h INTO THE WOODS, PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS V.O. Jeu, mar 17h SPARTACUS & CASSANDRA Dim 17h15* SWING Dim 20h** HOPE Lun 20h* LES MERVEILLES V.O. Ven 20h L’AFFAIRE SK1 Jeu 14h30 - dim 17h30 - lun 20h15 - mar 20h ON CARTOON DANS LE GRAND LYON GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE Mer 17h - sam 18h LES AVENTURES D’ÉMILE À LA FERME Mer 15h LES NOUVELLES AVENTURES DE GROS POIS ET PETIT POINT Jeu 15h 108 ROIS-DÉMONS Ven 14h30 ASTÉRIX - LE DOMAINE DES DIEUX Sam 14h30 LE CHANT DE LA MER Dim 14h30
CINÉ-RILLIEUX Espace Beaudelaire - Rillieux-la-Pape - 04 37 85 01 50
LOIN DES HOMMES Ven 18h HOPE Ven 20h30 - lun 18h LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE Dim 15h DISCOUNT Dim 17h30 LES SOUVENIRS Lun 14h30 WILD Lun 18h MONSIEUR KLEIN Lun 20h30 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LES NOUVELLES AVENTURES DE GROS POIS ET PETIT POINT Jeu 10h30 LES MOOMINS SUR LA RIVIERA Jeu 14h30 GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE Ven 14h30
CINÉ-TOBOGGAN 14 avenue Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 00
LA NUIT AU MUSÉE 3 : LE SECRET DES PHARAONS Mer 16h30 - jeu 17h45 - ven 18h - sam 20h30 - dim 16h SNOW THERAPY V.O. Mer 18h30 - ven, mar 20h30 - dim 18h THE CUT V.O. Jeu 20h* LE PROCÈS DE VIVIANE AMSALEM V.O. Sam 17h30* FÉLIX ET MEIRA V.O. Mer 20h45 - dim 20h15 - mar 18h30 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LA GRANDE AVENTURE DE MAYA L’ABEILLE Mer 10h30 - jeu 14h30 - ven, sam 15h45 dim 14h LE CHANT DE LA MER Mer 14h GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE Jeu 16h - ven, sam 14h
CINÉMA G. PHILIPE 12 avenue Jean Cagne - Vénissieux - 04 78 70 40 47
KINGSMAN : SERVICES SECRETS Mer 14h30, 16h15, 20h30 - jeu 16h15, 18h30, 20h45 - ven 18h15, 20h30 - sam, mar 18h, 20h30 - dim 16h, 18h30 - lun 14h30, 18h, 20h30 CINQUANTE NUANCES DE GREY (int - 12 ans) Mer 18h30, 20h30 - jeu, sam 16h30, 20h30 ven 16h30, 18h30, 20h30 - dim 16h30, 18h30 - lun, mar 14h30, 20h30 CINQUANTE NUANCES DE GREY V.O. (int - 12 ans) Jeu, lun 18h30 LES NOUVEAUX HÉROS 3D Mer 16h30 - ven 16h15 - sam 16h LES NOUVEAUX HÉROS Mer, jeu, ven 10h, 14h30 - sam, dim 14h LA FAMILLE BÉLIER Mer, sam 18h30 - ven 18h15 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU Mer, jeu 10h, 14h30 - ven 10h, 16h30 - sam 16h30 - dim 14h30 BOB L’ÉPONGE UN HÉROS SORT DE L’EAU 3D Mer 16h45 - jeu 16h30 - ven, sam 14h30 JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS Mer 18h30 - jeu 20h30 - sam, mar 18h15 dim 16h15 - lun 18h LES MERVEILLES V.O. Mer 20h45 - jeu, dim 18h30 - ven, sam 20h30 - lun, mar 14h30, 20h30 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON 108 ROIS-DÉMONS Mer 10h - jeu, ven 10h, 14h30 - sam, dim 14h30
ÉCULLY CINÉMA 21 avenue E. Aynard - Écully - 04 78 33 64 33
LES SOUVENIRS Mer, sam 14h - ven 20h L’AFFAIRE SK1 Mer 17h30 - sam 20h30 - lun 14h LA FAMILLE BÉLIER Ven 17h30 - sam 18h - dim 14h PHOENIX V.O. Mer 20h - ven 14h - dim 18h ON CARTOON DANS LE GRAND LYON LES NOUVELLES AVENTURES DE GROS POIS ET PETIT POINT Mer 16h EN SORTANT DE L’ÉCOLE Ven 16h LES MOOMINS SUR LA RIVIERA Sam, dim 16h15
MAISON DU PEUPLE 4 place Jean Jaurès - Pierre-Bénite - 04 78 86 62 92
FOXCATCHER V.O. Mer 17h30 - jeu, sam 20h - ven, mar 18h HOPE V.O. Mer, dim 20h30 - sam 18h LES SOUVENIRS Mer 14h - jeu 18h - ven, mar 20h30 - dim 18h15 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON GUS PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE Jeu, sam 14h - ven 16h10 - dim 16h30 BON VOYAGE DIMITRI Mer, jeu, sam 16h - ven 15h - dim 15h15
LE MELIÈS 67 chemin de Vassieux - Caluire-et-Cuire02 07
UNE MERVEILLEUSE HISTOIRE DU TEMPS V.O. Mer 21h - jeu, lun 20h30 UNE MERVEILLEUSE HISTOIRE DU TEMPS Sam 21h - dim 16h45 DISCOUNT Mer, ven, sam 19h - dim 14h30 IMITATION GAME Ven 21h IMITATION GAME V.O. Dim 19h LES SOUVENIRS Jeu 14h30 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON 108 ROIS-DÉMONS 16h30 sf dim, lun, mar
LE ZOLA 117 cours Émile Zola - Villeurbanne - 04 78 93 42 65
L’HOMME QUI AIMAIT LES FEMMES Lun 18h30** HOPE V.O. Mer 20h45 - jeu 18h45 - ven 16h30 - sam 21h - dim 19h - mar 18h30 RENDEZ-VOUS À ATLIT Mer 16h30 - jeu 14h15 - ven 21h - sam 18h45 - dim 16h45 PHOENIX V.O. Mer 18h30 - jeu 21h - ven 18h45 - sam 16h30 - dim 14h30 - mar 20h45 ON CARTOON DANS LE GRAND LYON 108 ROIS-DÉMONS Mer, ven, sam 14h15 - jeu 16h30
(*) en présence de l’équipe (**) suivie d’un débat
P08_09 — LE PETIT BULLETIN N°786 — DU 18.02 AU 24.02.15
© Jean-Robert Chauvin
EXPOSITIONS
Ouvrier, nom commun
Il s’appelle Abdel, il a 46 ans. Au départ, son truc à lui, «c’était la BD, pas des Mickey hein, des bandes dessinées avec des scénarios et tout». Oui mais voilà, autodidacte, il a senti qu’il devait progresser et «les Beaux-Arts, ça coûtait une brique, et encore fallait acheter le matériel ; pour un fils d’ouvrier c’est pas possible». Ouvrier. Le mot est lâché. Abdel est nettoyeur dans le réseau TCL. Des équipes du Rize ont recueilli son témoignage, comme bien d’autres, en allant à sa rencontre avec de grandes pancartes à la main sur lesquelles était crayonnée cette question, titre de l’exposition : «Et ils sont où les ouvriers ?». Dans ce centre dédié à la mémoire et aux sociétés – il
abrite d’ailleurs les archives municipales – Villeurbanne se penche une fois de plus sur son histoire contemporaine avec une acuité qui force le respect. Ville industrielle par excellence – 60% de la population était ouvrière en 1930, les deux tiers dans les années 60 – c’est ici également que le déclin du secteur, des crises des années 70 à l’inexorable montée du chômage qui a suivi, a été le plus ardu à vivre. Aujourd’hui, seuls 18% des Villeurbannais sont ouvriers, trois points en dessous de la moyenne nationale. DÉCHAÎNÉS Cela, l’exposition le raconte sur de grands panneaux à lire, mais pas
> Et ils sont où les ouvriers ? Au Rize jusqu’au 20 septembre
Des images se trament —CENTRE D’ART — XAVIER ANTIN PRÉSENTE À LA BF 15 DEUX DISPOSITIFS SINGULIERS QUI, AU-DELÀ DE LEUR ASPECT SÉDUISANT, INTERROGENT LE PASSÉ ET L’AVENIR DES IMAGES. JEAN-EMMANUEL DENAVE
L’exposition du jeune artiste Xavier Antin (né en 1981, il vit et travaille à Paris) à la BF15 résonne avec celle de l’Institut d’Art Contemporain de Villeurbanne (dont nous vous parlons en Une de ce numéro) : des renvois historiques à la modernité artistique et une même interrogation sur les conditions de possibilité, les conditions d’apparition des images. L+T (Leger und Träger) fait directement référence à une exposition de l’artiste et architecte avant-gardiste Frederick Kiesler à Vienne en 1924. Celui-ci présentait des images de scénographies de théâtre moderne sur une structure modulaire et autoportante. «Voilà l’exposition, soudain “réduite” au seul support et aux objets exposés, flottant dans un espace nocturne et dilaté à l’infini. Les visiteurs circulent parmi les objets exposés et sont en même temps enveloppés, submergés et entourés par le support d’exposition» déclarait Kiesler à propos de son dispositif original. Xavier Antin reproduit le même type de dispositif mais pour y placer non des représentations mais divers éléments plats de son atelier : des plaques de bois ou de plexiglas, des toiles vierges, etc. Sur chaque élément, l’artiste a imprimé une trame discrète. ENTRE MÉLANCOLIE ET UTOPIE Entre l’effacement d’une exposition passée et la possibilité de la naissance de nouvelles images (dont ici on ne perçoit encore que la trame), Xavier Antin propose deux installations séduisantes et un peu énigmatiques. Il fait partie de ces nombreux artistes
DR
www.bureau205.fr
—RIZE — LE RIZE POURSUIT SON EXPLORATION DE LA MÉMOIRE VIVE VILLEURBANNAISE, À LA RENCONTRE DES OUVRIERS DE LA VILLE ET DE LEUR CONDITION. UN BEAU TRAVAIL QUI DONNE À ENTENDRE DES VOIX EN DANGER D’EXTINCTION. NADJA POBEL
seulement. Comme à chaque fois au Rize, c’est la scénographie qui rend le propos non seulement digeste mais aussi passionnant et lumineux, quatre couleurs guidant le visiteur vers des albums photos (ceux du personnel de la maison Dognin, entreprise de dentelle mondialement réputée au début du XXe siècle), des histoires à écouter casque vissé aux oreilles, des activités manuelles (coloriage d’un manifestant pancarte à la main par exemple) ou une bibliothèque ne demandant qu’à être remplies de fragments de sa propre mémoire ouvrière. Ce travail de transmission, fondamental, réaffirme l’ambition du Rize d’être un lieu pour tous, quand bien même ces ouvriers ne représentent qu’1% des visiteurs. C’est ce que précise avec une grande honnêteté cette expo forcément politique, notamment dans sa façon d’expliquer comment le vocabulaire a changé pour gommer la singularité de l’ouvrier, devenu un «opérateur» tandis que la grève se transformait en «mouvement social». Si demain son fils lui annonce qu’il devient ouvrier, «alors je ferai quelque chose pour lui car j’ai peur de l’avenir» continue Abdel. «Mes rêves se sont envolés» avoue-t-il sans acrimonie, se souvenant malgré tout avec émotion de sa première paire de Nastase, payée «avec le travail d’un mois».
qui semblent travailler à la fois sur la disparition des images, leur usure, leur fragilité, mais aussi sur leurs conditions de réapparition, les supports qui pourraient les recevoir à nouveau. Un art entre mélancolie et espérances utopiques où l’image, aussi, échapperait quelque peu à son créateur, lui glisserait entre les doigts. Graphiste de formation (il a étudié aux Arts Déco à Paris et au Royal College of Arts de Londres) et ancien musicien, Xavier Antin a beaucoup travaillé autour de l’objet livre et, plus récemment, sur des imprimantes d’édition, des chaînes de production graphique et l’histoire du graphisme. A la BF15, il se détourne momentanément du monde de l’entreprise et de son exploration des industries graphiques ou autres pour revenir à quelques fondamentaux : le passé, l’atelier, l’image précaire. > Xavier Antin À la BF15 jusqu’au 28 mars
MUSÉES
EDNA Peintures GALERIE DETTINGER-MAYER
MUSÉE DES BEAUX-ARTS 20 place des Terreaux, Lyon 1er (04 72 10 17 40)
RAYMOND GRANDJEAN Le Musée des Beaux-Arts consacre une mini rétrospective au peintre lyonnais Raymond Grandjean (19292006). Un artiste qui ne cessa, dans ses toiles abstraites à partir des années 1960, de faire varier ses petits motifs géométriques comme des éléments de jeu de société. Cela pourrait sembler rébarbatif mais s’avère au contraire hypnotique et poignant.
Jusqu’au 30 mars, mer, jeu, sam, dim, lun de 10h à 18h, ven de 10h30 à 18h (fermeture les mar et jours fériés) ; 0€/6€/9€ INSTITUT D’ART CONTEMPORAIN
4 place Gailleton, Lyon 2e (04 72 41 07 80)
Jusqu’au 28 fév NADIA GUERROUI, PERRINE LACROIX, NINAKARLIN PRINZ La galerie Snap réunit trois héritières du minimalisme : la Lyonnaise Perrine Lacroix, la Belge Nadia Guerraoui et l'Allemande Ninakarlin Prinz. Chacune présente trois œuvres qui jouent discrètement des rapports du visible et de l'invisible, de la présence et de la trace... Une découverte à prolonger sur Internet. SNAP 4 rue de la Thibaudière, Lyon 7e
Jusqu’au 28 fév AURÉLIEN DURIER Peintures
11 rue Docteur Dolard, Villeurbanne (04 78 03 47 00)
GALERIE JEAN-LOUIS MANDON
RIDEAUX / BLINDS Jusqu’au 3 mai, du mer au ven de 14h à 18h, sam et dim de 13h à 19h ; de 4€ à 6€ : articles en page 2 et 3
Jusqu’au 28 fév ANNE MICHAUD Peintures
MUSÉE DE L’IMPRIMERIE 13 rue de la Poulaillerie, Lyon 2e (04 78 37 65 98)
50 ANS DE CHANGEMENTS Le Musée de l’Imprimerie fête son demi-siècle en remettant au goût du jour non seulement sa muséographie, mais aussi son objet d’étude. De la belle ouvrage, y compris en ce qui concerne cette expo-hommage à ses donateurs, qui présente de manière ludique des objets parmi les plus étonnants des collections. Jusqu’au 1er mars, du mer au dim de 10h30 à 18h ; 0€/3€/5€ PLANÉTARIUM Place de la Nation, Vaulx-en-Velin (04 78 79 50 13)
INVENTERRE Regards sur un vaisseau planétaire Jusqu’au 9 août, mer de 13h30 à 17h, sam, dim de 10h30 à 18h ; 6€/7€/9€ MUSÉE DES CONFLUENCES 86 Quai Perrache, Lyon 2e (04 72 69 05 00)
À LA CONQUÊTE DU PÔLE SUD
3 rue Vaubecour, Lyon 2e (06 30 87 47 55)
LA GALERIE 33 rue Auguste Comte, Lyon 2e (04 78 37 95 61)
Jusqu’au 28 fév HANIEH DELECROIX Peinture et vidéo GALERIE REGARD SUD 1-3 rue des Pierres Plantées, Lyon 1er (04 78 27 44 67)
Jusqu’au 28 fév NICOLAS FAVRE Peintures GALERIE CATHERINE MAINGUY 130 montée de la Grande Côte, Lyon 1er (06 23 84 37 71)
Jusqu’au 28 fév AUTOUR DU BOL À THÉ Boire du thé dans des œuvres d’art GALERIE ATELIER 28 28 rue Burdeau, Lyon 1er (04 78 28 07 72)
Jusqu’au 28 fév AWENA COZANNET “Corps entre ciel”, dessins et estampes GALERIE FRANÇOISE BESSON 10 rue de Crimée, Lyon 1er (04 78 30 54 75)
Jusqu’au 1er mars NOURIT MASSON-SEKINE + TANG + MARIE BUCCERI “Regards vers l’Orient” GALERIE GILBERT RIOU 1 place d’Ainay, Lyon 2e (04 26 64 12 54)
Jusqu’au 5 mars SCANREIGH Dessins, pentures
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EN BREF —
GADAGNE RETROUVE UNE DIRECTION Jusque-là directeur du précieux Rize de Villeurbanne (voir article ci-contre), Xavier de la Selle, 49 ans, sera à compter du 1er mai le nouveau pilote des Musées Gadagne (Maria-Anne PrivatSavigny ayant quitté ses fonctions cet été). Mais il sera également à la tête du Musée de l’Imprimerie et du musée Malartre dédié à l’automobile (situé à Rochetaillé mais dont la ville de Lyon est propriétaire depuis 1972), conformément au souhait de la Ville d’opérer un rapprochement entre ces trois lieux. «Chaque musée conservera ses collections, son projet scientifique et culturel, son budget et ses moyens spécifiques en termes de ressources humaines» a précisé dans un communiqué Georges Képénékian, 1er adjoint de Gérard Collomb. «Les équipes pourront créer plus de liens, partager leurs expériences et mettre en place des projets communs afin de valoriser l’histoire de notre cité,» — CLAIRE CHEVRIER “Des mondes qui passent”, photos LE BLEU DU CIEL 12 rue des Fantasques, Lyon 1er (04 72 07 84 31)
Jusqu’au 21 mars EXTRACTION
Expo à l’américaine (diorama, immersion…) pour un duel européen. Celui, parallèle, rude et mortel, que se sont livrés Norvégiens et Britanniques en 1911-1912 pour toucher les premiers le pôle Sud. Racontée comme une épopée sportive avec objets d’époque et reconstitutions, cette 3e expo temporaire du Musée des Confluences est un haletant hommage aux pionniers du siècle dernier.
GALERIE IMAG’IN
Huit artistes exposent à l’URDLA le fruit de leurs résidences 2014. L’accrochage, clair voire épuré, passe de lithographies paysagères ou figuratives à d’autres plus formelles et abstraites. Autant d’univers que l’expo invite aussi à explorer à travers des publications, des catalogues et une série de rencontres.
14 rue des Pierres plantées, Lyon 1er
URDLA
Jusqu’au 28 juin, du mar au ven de 11h à 19h (nocturne jeu jusqu’à 22h), sam, dim et jrs fériés de 10h à 19h ; jusqu’à 9€ DANS LA CHAMBRE DES MERVEILLES Une réinterprétation du cabinet de curiosités
Jusqu’au 13 mars FRÉDÉRIC RIGAULT + FRÉDÉRIC MONTÉGU
GALERIE L’ANTILOPE 99 rue Bossuet, Lyon 6e (04 78 42 50 61)
Jusqu’au 6 mars ODILE GASQUET + ROMAIN LAMBERET “Fil conducteur”, gravures sur cuivre et conceptions “slow design”
Oui, il a coûté cher ; certes, son architecture est discutable. Sur le contenu en revanche, le Musée des Confluences est à la hauteur des attentes, donnant à voir toute la richesse de l'aventure humaine en un parcours aussi esthétique que méthodique. Une double visée que synthétise à merveille, c'est le cas de le dire, cette foisonnante expo.
Jusqu’au 26 juil, du mar au ven de 11h à 19h (nocturne jeu jusqu’à 22h), sam, dim et jrs fériés de 10h à 19h ; jusqu’à 9€ LES TRÉSORS D’ÉMILE GUIMET Novateur dans sa vision sociale et dans son intuition muséale, Émile Guimet reste d’une grande actualité. Jusqu’au 26 juil, du mar au ven de 11h à 19h (nocturne jeu jusqu’à 22h), sam, dim de 10h à 19h ; jusqu’à 9€
Du 23 fév au 7 mars HÉLÈNE KATZ “Ici ou ailleurs”, photos UBIK
Jusqu’au 28 mars : article ci-contre DAVID WOLLE “Le Pan, La Pente”, peintures
48 rue Burdeau, Lyon 1er (04 78 39 72 19)
23-25 rue Valentin Haüy, Villeurbanne (04 37 57 17 17)
ET ILS SONT OÙ LES OUVRIERS ? Jusqu’au 20 septembre ; du mar au sam de 12h à 19h sf jeu de 17h à 21h ; entrée libre : article ci-contre
GALERIES MICHEL MICHLMAYR “Passé composé”, photos Dans ses différentes séries photographiques l'Autrichien Michael Michlmayr reconstruit des images à partir d'une multitude de points de vue... Et crée ainsi de drôles de façades d'immeubles, de scènes urbaines ou même de paysages balnéaires. Une exposition étonnante fortement influencée par le cinéma et le goût du récit énigmatique.
AUTRES LIEUX
GALERIE ELIZABETH COUTURIER 25 rue Burdeau, Lyon 1er (04 27 78 82 32)
Jusqu’au 14 mars KAOUTHER BAHRI-DARGOUTH + JAN DEMEULEMEESTER “Mediterranée II”, céramique GALERIE ATELIER 28 28 rue Burdeau, Lyon 1er (04 78 28 07 72)
Jusqu’au 14 mars MALLE + JACOTTET Peintures + sculptures GALERIE MICHEL ESTADES
Jusqu’au 14 mars LA DOUBLE VIE DES IMAGES Exposition collective GALERIE LE RÉVERBÈRE 38 rue Burdeau, Lyon 1er (04 72 00 06 72)
Jusqu’au 28 mars KVM (JU HYUN LEE & LUDOVIC BUREL) GALERIE ROGER TATOR 36 rue d’Anvers, Lyon 7e (04 78 58 83 12)
Jusqu’au 17 avril
CENTRES D’ART MÉLANIE SCHEURER + THOMAS DUREL Dessins / sculptures, installations MAPRA 9 rue Paul Chenavard, Lyon 1er (04 78 29 53 13)
GALERIE VRAIS RÊVES
Jusqu’au 28 fév NOÉMIE HUARD + DANIELA ZUÑIGA Dessins et installations
6 rue Dumenge, Lyon 4e (04 78 30 65 42)
L’ATTRAPE-COULEURS
Jusqu’au 21 fév CAMILLE MARIE BIEBER “Chimères”, photos ATELIER/GALERIE VISIOSFEIR
Jusqu’au 28 mars FABIEN BONZI
GALERIE POME TURBIL
61 quai Saint-Vincent, Lyon 1er (04 78 28 65 92)
LE RIZE
Espace Léon Blum - Rue de la Rochette, Saint-Fons (04 72 09 20 27)
SPACEJUNK
Jusqu’au 14 mars GILBERT COQALANE “Contenant contenu”, sculptures, photos, vidéos, dessins, installations...
16 rue des Capucins, Lyon 1er (04 78 72 64 02)
Jusqu’au 4 avril
BERLIN WONDERLAND Derniers jours pour voir à quoi ressemblait Berlin juste après la chute du Mur, quand tout le quartier de Mitte était un squat géant, les immeubles de l’Est n’avaient pas de propriétaires et la Potsdamer platz, côté ouest, ne disposait pas encore de son rutilant Sony Center – théâtre des opérations de la toute dernière Berlinale. Etonnant. BLITZ
L’ATTRAPE-COULEURS
26 rue René Leynaud, Lyon 1er (04 78 27 74 85)
Place Henri Barbusse, Lyon 9e (04 72 19 73 86)
Jusqu’au 28 fév
Jusqu’au 19 mars
CONSTRUCTION NEUVE, RÉNOVATION, EXTENSION… POUR LA QUALITÉ DE VOTRE PROJET
4 rue Louis Vitet, Lyon 1er
Jusqu’au 26 fév GOETHE-INSTITUT 18 rue François Dauphin, Lyon 2e (04 72 77 08 88)
UN CONSEIL GRATUIT ET INDÉPENDANT
Jusqu’au 26 fév LE CDJC (1943-2013) : DOCUMENTER LA SHOAH ARCHIVES DÉPARTEMENTALES 34 rue Général Mouton-Duvernet, Lyon 3e (04 72 35 35 00)
Jusqu’au 6 mars PARALLEL CITIES + DIGITAL WHEELBARROW De Lien-Cheng Wang + Félix Lachaize CAUE DU RHÔNE 6 bis quai Saint-Vincent, Lyon 1er (04 72 07 44 55)
Du 20 fév au 14 mars STAR WARS IDENTITIES Une belle expo “à la canadienne” où le fan service (plus de 200 costumes, croquis et autres maquettes sont présentés) le dispute à la vulgarisation psychologique (via un parcours interactif sur la construction de soi). Bonus : un prix d’entrée qui accrédite la nécessité du soutien public à la culture. LA SUCRIÈRE Les Docks, 49-50 quai Rambaud, Lyon 2e (04 27 82 69 40)
Jusqu’au 19 avril ; de 17€ à 22€
Place Henri Barbusse, Lyon 9e (04 72 19 73 86)
Jusqu’au 15 mars ANTOINE PALMIER-REYNAUD
www.rue89lyon.fr
CENTRE D’ARTS PLASTIQUES DE SAINT-FONS
Jusqu’au 14 mars ALEXANDRE HOLLAN “Arbres - vies silencieuses”, photos 48 rue Burdeau, Lyon 1er
> MODALITÉS SUR PETIT-BULLETIN.FR
LA BF15 11 quai de la Pêcherie, Lyon 1er (04 78 28 66 63)
GALERIE MATHIEU
vous invitent à participer à un concours d'écriture sur le thème de l’édition : Qu’est-ce qu’on a en commun ?
Jusqu’au 28 mars XAVIER ANTIN
Jusqu’au 12 mars PIERRE LABAT 15 bis rue de la Thibaudière, Lyon 7e
DU 6 AU 8 MARS, LA FÊTE DU LIVRE DE BRON ET LE PETIT BULLETIN
207 rue Francis de Pressensé, Villeurbanne (04 72 65 33 34)
20 rue Burdeau, Lyon 1er (0664707311)
BIKINI
À L’OCCASION DE SA 29e ÉDITION,
Recommandé par la rédaction Retrouvez l’intégralité des programmes et des articles sur www.petit-bulletin.fr/lyon
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P10_11 — LE PETIT BULLETIN N°786 — DU 18.02 AU 24.02.15
THÉÂTRE - DANSE
À DÉCOUVRIR EN CE MOMENT
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sam. 28 fév. 17h00 - GIACOMO PUCCINI - CIE L’OPÉRA THÉÂTRE - ANDRÉ FORNIER - OPÉRA -
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LADY GREY de Alain Choquartous suivie d’une rencontre animée par Pierre Murat, journaliste à Télérama avec le réalisateur Alain Choquart, l’écrivain Hubert Mingarelli et le comédien Jérémie Renier.
theatretheoargence-saint-priest.fr INFOS ET BILLETTERIE EN LIGNE 04 78 20 02 50
LE 6/03 À 20H30 AUX ALIZÉS > MODALITÉS SUR PETIT-BULLETIN.FR
— THÉÂTRE — Plongées dans un espace-temps indéfini, enveloppées dans la pénombre, deux silhouettes se dessinent sur scène, accompagnée par une voix off et une lumière diffuse qui envahit peu à peu le plateau. Esther Gottman, interprétée par Anne-Shlomit Deonna, a «uploadé» son esprit dans un serveur, tandis que certains humains, en partie interprétés par Roberto Molo, tentent de lutter contre cette virtualisation de l’homme. Créature(s), la dernière création de la compagnie Les Moteurs Multiples, fait sienne les codes de la science-fiction avec un minimalisme inhabituel. Un écart de genre qui permet à ses auteurs d’aborder simplement cette épineuse question de l’individu qui s’informatise dans une société encline à basculer irrémédiablement dans l’ère du réseau. Récurrent ces dernières années, ce discours trouve
THÉÂTRE THÉÂTRE DE L’UCHRONIE 19 rue de Marseille, Lyon 7e (04 37 65 81 61)
LA TRILOGIE DES AVENTURES DE JOSEPH PETITBON Épisode 2 : flânerie risquée au shogunat immergé de la petite île d’Okinawa. Par le Mac Guffin Kollectif, ms Manuel Liminiana Du 18 au 21 fév à 20h30 ; 9€/14€ THÉÂTRE DE LUNE Passage Mermet, Lyon 1er (06 08 10 52 03)
MAYDAY D’Arnaud Guitton, Cie Générale, ms Frédéric Guittet. Un commandant de bord et une hôtesse de l’air confrontent leur mal de vivre Ven 20 et sam 21 fév à 20h30, dim 22 à 17h ; 5€/10€ THÉÂTRE DE L’ÉLYSÉE 14 rue Basse-Combalot, Lyon 7e (04 78 58 88 25)
FEU JEANNE
une nouvelle portée avec cette fable virtuelle où, par le biais de mots inventés, les deux acteurs semblent s’adresser directement à la génération Y. Paradoxalement, le choix de réinterpréter les bases du théâtre grec à la lampe torche et avec seulement deux comédiens pour l’ensemble des rôles rend toutefois complexe l’identification du personnage en action et laborieux le démêlement de la trame. Si ces problématiques qui nous dépassent sont d’actualité, elles devraient donc cependant rester compliquées à assimiler pour des non initiés, tant la forme de Créature(s) déroute autant qu’elle charme. CHARLINE CORUBOLO > Créature(s) Au Théâtre Les Ateliers du mardi 24 au vendredi 27 février
THÉÂTRE DES MARRONNIERS
THÉÂTRE DU POINT DU JOUR
7 rue des Marronniers, Lyon 2e (04 78 37 98 17)
7 rue des Aqueducs, Lyon 5e (04 72 38 72 50)
À DOMICILE Écrit et ms Mathilde Monfray, Cie Emelthée. Immersion dans le quotidien très mesuré d’une chanteuse et d’un accordéoniste Jusqu’au 22 fév, mer, jeu, ven, sam à 20h30, dim à 17h ; 8€/12€/15€ Balises : 1 place achetée = 1 place offerte
LE SOULIER DE SATIN De Paul Claudel, ms Kathleen Dol. En épisodes Du mar au sam à 20h ; 5€
THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE
CÉLESTINS, THÉÂTRE DE LYON 4 rue Charles Dullin, Lyon 2e (04 72 77 40 00)
CANDIDE
Place des Arts, Villefranche-sur-Saône (04 74 68 02 89)
SAINTE DANS L’INCENDIE Écrit et ms Laurent Fréchuret, 1h05. Destin de Jeanne la Pucelle Du 23 au 25 fév, lun, mar à 20h30, mer à 19h30 ; 15€/18€/24€ THÉÂTRE LES ATELIERS 5 rue Petit David, Lyon 2e (04 78 37 46 30)
CRÉATURES Par Lise Ardaillon et Sylvain Milliot, Cie Les Moteurs multiples Du 24 au 27 fév à 20h ; 12€/15€/20€ : article ci-dessus PETIT JEU DE PAUME
D’après Voltaire, ms Maëlle Poésy Du 24 au 28 fév à 20h ; de 9€ à 35€
DANSE
10 rue Juiverie, Lyon 5e (04 72 07 08 99)
LA MAISON DE BERNARDA ALBA De Federico García Lorca, ms Nicolas Musilli Mar 24 fév à 19h30 ; 10€ THÉÂTRE INSTANT T. 35 rue Imbert Colomès, Lyon 1er (04 78 39 45 83)
ŒIL POUR ŒIL D’après Feydeau, ms Claude Monteil Jusqu’au 28 fév, du mer au sam à 20h30 ; 11€ D’Adèle Gascuel, par la Cie Sans Trêve Du 19 au 27 fév à 19h30 (sf sam 21 et dim 22) ; de 10€ à 12€ CARRÉ 30 12 rue Pizay, Lyon 1er (04 78 39 74 61)
CHARLES BAUDELAIRE, FLEURS DU MAL, SPLEEN DE PARIS ET AUTRES POÈMES… Par Quentin Ripoll, cie L’artisteraie Du 19 au 22 fév à 20h30 sf dim à 17h30 ; 11€/15€ SORTEZ-NOUS DE L’AFFICHE ! D’Emilie Druet, ms Gaëtan Fauchoix, 1h. Huis clos absurde entre deux femmes Les sam à 18h ; 11€/15€ THÉÂTRE DU GAI SAVOIR 94 rue des Charmettes, Lyon 6e (04 78 24 34 31)
PROJET Y Par la Cie Diazoma. Lendemain d’élections, les femmes sont au pouvoir Sam 21 fév à 20h30 et dim 22 fév à 17h ; de 7€ à 12€
ESPACE 44
MAISON DE LA DANSE 8 avenue Jean Mermoz, Lyon 8e (04 72 78 18 00)
CENDRILLON Chor Thierry Malandain, 1h40, dès 8 ans. Pièce pour 20 danseurs Du 23 au 28 fév, lun, mer à 19h30, mar, jeu, ven à 20h30, sam à 15h et 20h30 ; de 17€ à 29€
CAFÉ-THÉÂTRE
44 rue Burdeau, Lyon 1er (04 78 39 79 71)
L’ÉTRANGER D’après Albert Camus, ms Benjamin Ziziemsky, Cie Théâtre de l’horizon. Meursault tente de faire face à la disparition de sa mère Du 24 au 28 fév, mar, jeu à 21h, mer, sam à 19h15 ; 10€/11€/15€ LA CHUTE De Camus, ms Régis Gayrard, Cie du Loup, 1h Du 24 fév au 1er mars, mar, ven à 19h15, mer à 21h, dim à 17h ; 11,50€/15€
L’EMBROUILLE Jusqu’au 22 fév, du jeu au sam à 21h15, dim à 17h ; 10€/15€/17€ BANZAÏ Impro Jusqu’au 22 fév, du jeu au sam à 19h30 ; 10€/15€/17€
THÉÂTRE NATIONAL POPULAIRE
COMÉDIE ODÉON
8 place Lazare-Goujon, Villeurbanne (04 78 03 30 00)
6 rue Grolée, Lyon 2e (04 72 05 10 00)
JUAN D’après Molière, Byron et d’autres, ms David Mambouch Du 24 fév au 8 mars, du mar au sam à 20h ; de 8€ à 24€
SMILE LYON COMEDY CLUB Lun 23 fév à 20h ; 10€/15€ INÉDITH PIAF De Bruno Fougniès, ms Rubia Matignon. Théâtre musical Les dim à 16h50 ; 19€/24€ UN COUPLE (PRESQUE) PARFAIT De David Pagliaroli Les dim à 18h30 ; 20€/25€
THÉÂTRE TÊTE D’OR 60 avenue Maréchal de Saxe, Lyon 3e (04 78 62 96 73)
LE CHARLATAN De Robert Lamoureux, ms Jean Martinez Du 24 fév au 29 mars ; de 28€ à 45€
LE NOMBRIL DU MONDE 1 place Chardonnet, Lyon 1er (04 72 07 04 44)
LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS Ms Sébastien Azzopardi Du mar au sam à 19h45 ; 20€/25€ SI JE T’ATTRAPE, JE TE MORT Ms Olivier Maille Les sam à 18h ; 20€/25€ J’AIME BEAUCOUP CE QUE VOUS FAITES De Carole Greep, ms Stéphane Casez Du mar au sam à 21h30 ; 20€/25€
LES VEDETTES THÉÂTRE
LE REPAIRE DE LA COMÉDIE
11 rue de l’Annonciade, Lyon 1er (04 78 30 49 02)
2 place des Capucins, Lyon 1er (04 82 31 68 02 )
LE CASTING DE MA VIE Ven et sam à 21h30 PLUS VRAI QUE NATURE Du mer au sam à 20h ; 11€/14€/17€ FLUIDE Impro par la Lilyade Les lun à 20h30 ; 9€/11€/14€
LILOU ET LA PORTE KIVAHOU De et par Charlotte Robin et Benoit Bornier, à partir de 3 ans. Progression de Lilou, de sa vie de marionnette à celle de petite fille Jusqu’au 20 fév à 10h30 et 15h30 ; 8€
LES TONTONS FLINGUEURS
IMPRO’MINOTS Improvisation théâtrale pour enfants Jusqu’au 20 fév, du mer au ven à 15h30 ; 8€
THÉÂTRE LA MAISON DE GUIGNOL
12 rue Romarin, Lyon 1er (06 29 85 51 50)
2 montée du Gourguillon, Lyon 5e (04 72 40 26 61)
KARIM DUVAL
LE COMPLEXE DU RIRE 7 rue des Capucins, Lyon 1er (04 78 27 23 59)
CHASSEZ LE NATURISTE, IL REVIENT AU BUNGALOW ! De Patrice Sandeau Jusqu’au 28 fév, jeu, ven, sam à 21h30 ; 15€/18€
LE CROISEUR
I LOVE BARRY Jeu, ven, sam à 21h ; 15€/18€
LE NEUTRINO
DÉLIT DE GROSSESSE Par Ariane Echallier et Vanessa Defasque Jeu, ven, sam à 19h30 ; 15€/18€
LINAMALOU, LE SECRET DE LA SORCIÈRE RATATOUILLA Par la cie Al di là, 45 min, dès 4 ans. Lina et Malou sont deux jumelles séparées à la naissance Ven 20 fév à 10h30 ; de 5,40€ à 16,20€
LE BOUI BOUI 7 rue Mourguet, Lyon 5e (04 20 10 04 23)
COUIC De Jocelyn Flipo avec Mathieu Coniglio et Léon Vitale Comédie noire confrontant un tueur en série débutant à sa première victime, Couic est un pur exercice de style dont le minimalisme est contrebalancé par quantité d’effets de style et trouvailles scénographiques. Ainsi, une fois n’est pas coutume avec Flipo, un casting irréprochable! Du mar au sam à 21h30 ; 14€/17€ YANN GUILLARME
4 rue Croix-Barret, Lyon 7e (04 72 71 42 26)
DANSER NOS LANGUES Jusqu’au 20 fév à 19h30 ; 4€/8€ Place du Général de Gaulle, Genas (04 72 47 11 69)
Encore un de ces stand-uppers communautaires tels que le Jamel Comedy Club en usine à la douzaine chaque semaine ? Et bien non. Chez cet ex-ingénieur franco-sino-marocain la question des origines ne se résout pas via un humour de repli (mal) camouflé en autocritique, mais avec un sens du récit, une rigueur d’écriture et un souci d’équilibre entre spontanéité et mordant tels qu’ils paraissent inscrits dans son ADN.
Du jeu au sam à 19h30 ; 13€/17€ LE PLUS BEAU JOUR DE LEUR VIE De et avec Joëlle Dollat et Didier Nathan Du jeu au sam à 19h30 ; 13€/17€ ÇA TOURNE ! Par Joëlle Dollat et Didier Nathan Mer à 20h30, sam, dim à 17h30 ; 13€/17€ LE RIDEAU ROUGE 1 place Bertone, Lyon 4e (04 72 05 10 00)
“On n’est pas à l’abri d’un succès” En s’inspirant de son expérience de la paternité, Yann Guillarme signe un one-man-show doucement mélancolique, furieusement outrancier, et confirme, par sa générosité scénique et sa capacité à s’adapter à tous les registres (du métahumour au trash), qu’il est l’un des comédiens les plus doués de sa génération. Du mar au sam à 19h45 ; 14€/17€ DU PLAISIR ET DES MÉDOCS De Delphine Lacouque et Noémie Delattre, ms Stéphane Casez Les sam à 18h ; 14€/17€ HOMME / FEMME MODE D’EMPLOI: LE GARS De Patrice Lemercier, ms Stéphane Casez Les lun à 19h45 ; 14€/17€
LES PARENTS VIENNENT DE MARS, LES ENFANTS DU MACDO De Rodolphe Le Corre Les sam à 16h ; 15€/20€ J’ACHÈTE ENCORE PLUS Par Florence Bardon et Simon Leblond, ms Renato Ribeiro Du mar au sam à 19h45 ; 15€/20€ SOIS PARFAITE ET T’ES TOI ! Les sam à 18h ; 15€/20€ THÉÂTRE DE LULU SUR LA COLLINE 60 rue Victor Lagrange, Lyon 7e (04 72 98 36 28)
ILS SE SONT AIMÉS De Muriel Robin et Pierre Palmade Les dim à 16h ; de 10€ à 20€ NUIT D’IVRESSE De Josiane Balasko Les dim à 18h, lun à 19h30 ; de 10€ à 20€ LE CLAN DES DIVORCÉES D’Alil Vardar Les sam à 18h ; de 10€ à 20€ 10 ANS DE MARIAGE D’Alil Vardar Du mar au ven à 19h30, sam à 20h ; de 10€ à 20€
LE COMPLEXE DU RIRE 7 rue des Capucins, Lyon 1er (04 78 27 23 59)
CÉCILE GIROUD ET YANN STOTZ - LE DUO Lui, poseur et impertinent, est taillé pour le music-hall. Elle, forte en gueule et un brin nympho, a fait ses débuts aux côtés de Florence Foresti. Ensemble, ils composent un “couple” joyeusement déjanté et indécent. Tellement décalé qu’au dernier festival de Gerson, ils ont éclipsé les candidats du tremplin comme les têtes d’affiche. Jusqu’au 14 mars, mer, jeu, ven à 20h30, sam à 20h et 22h ; 15€/18€ HORS-PISTE Impro par la Lily Les mar à 20h30 ; 13€/15€ MARDI DÉCOUVERTE Les mar à 20h30 ; 5€ LE REPAIRE DE LA COMÉDIE
IMPROVISATION IMPROVIDENCE
UNITED COLOC Ven, sam à 20h ; 12€/16€ TOUT VA BIEN Ven, sam à 21h30, dim à 17h ; 12€/16€
LOLPITHAL Mer 18 fév à 20h30 ; 6€/12€ DUELS Par la Lily Jeu 19 fév à 20h30 ; 9€/16€ UN POING C’EST TOUT ! Ven 20 et sam 21 fév à 20h30 ; 9€/16€ CARTE BLANCHE À CHARLES PERUT Sam 21 fév à 19h ; 9€/16€ CATCH IMPRO TOURNOI RÉGIONAL Dim 22 fév à 20h30 ; 6€/12€ LE CANAPÉ Par Pièces en stock Mar 24 fév à 20h30 ; 6€/12€ THÉÂTRE DU GAI SAVOIR 94 rue des Charmettes, Lyon 6e (04 78 24 34 31)
JUMBLE CRAFT Par la Cie Le cri du chameau Ven 20 fév à 20h30 ; de 7€ à 12€ CARRÉ 30 12 rue Pizay, Lyon 1er (04 78 39 74 61)
ESPACE GERSON 1 place Gerson, Lyon 5e (04 78 27 96 99)
38 rue Camille Roy, Lyon 7e (04 78 58 73 10)
MADEMOISELLE PRINCESSE JULIE Spectacle clownesque, dès 6 ans. Princesse Julie est enfermée dans la tour du château, mais a plein d’idées pour passer le temps Sam 21 fév à 16h ; 3€/6€/10€ ACTE 2 THÉÂTRE
IMPRO AVEC LA TILT Mar 24 fév à 20h30 ; 8€
AYMERIC LOMPRET LA BELLE ÉQUIPE 32 rue des Tables Claudiennes, Lyon 1er (06 52 57 53 30)
LES DESTINATIONS IMPROBABLES Par les Guily Mer 18 fév à 20h30 ; 5€
EN BREF —
NOUVEL ARRIVANT Pour son atterrissage à Lyon, la compagnie SPINA de l’Italien Silvano Voltolina pose ses bagages au théâtre des Ateliers vendredi 20 février à 18h avec Art pour rien (entrée libre sur réservation uniquement). Cette présentation publique faite suite à des ateliers menés dans la semaine avec des enfants autour d’une installation du plasticien Francesco Bocchini. Ce sera ’occasion de faire connaissance avec le travail sensible et onirique du metteur en scène, bientôt à l’affiche également du théâtre de l’Élysée avec Indra, d’après Un songe de Strindberg (du 11 au 14 mars). —
32 bis quai Arloing, Lyon 9e (04 78 83 21 71)
MADEMOISELLE RODOGUNE De Claudine Van Beneden, par la Cie Nosferatu, 40 min, dès 2 ans. Une cantatrice clownesque vit dans une grande robe rouge Jusqu’au 21 fév à 10h30 ; 8€/10€ LA BELLE ET LA BÊTE 50 min, dès 3 ans Jusqu’au 21 fév à 14h30 ; 8€/10€ LA FÉE LILOO ET LA COCCINELLE 45 min, dès 3 ans Jusqu’au 22 fév, du mer au sam à 10h30 et 16h30, dim à 15h CARRÉ 30 12 rue Pizay, Lyon 1er (04 78 39 74 61)
LES AVENTURES DE PINOCCHIO D’après Carlo Lorenzini, ms Willy Play, Cie Après le déluge, 50 min, dès 5 ans Jusqu’au 22 fév, du mer au ven à 14h30 et 16h30, sam, dim à 14h30 ; 5€/10€ ÉTOILE ROYALE THÉÂTRE
NOUVEAU CIRQUE POLARIS 5 avenue de Corbetta, Corbas (04 72 51 45 55)
KLAXON Sous chapiteau. Par la Cie Akoreacro, 1h15, dès 5 ans Jusqu’au 20 fév, mar, ven à 20h30, mer à 15h, jeu à 19h30 : article sur www.petit-bulletin.fr/lyon RADIANT-BELLEVUE 1 rue Jean Moulin, Caluire (04 72 10 22 10)
CIRCUS INCOGNITUS De Jamie Adkins, 1h Dim 22 fév à 17h ; 16,50€/21€/22€ ESPACE ALBERT CAMUS 1 rue Maryse Bastié, Bron (04 72 14 63 40)
KNEE DEEP
17 rue Royale, Lyon 1er (04 78 39 21 68)
THAVMATA De Catherine Veltchéva, ms Aude Carpintieri Jusqu’au 22 fév à 15h ; 8€/10€/12€ PATA’DÔME THÉÂTRE 62 route d’Yvours, Irigny (04 78 51 48 87)
LE ROI DES SABLES Par le Collectif Terron, 45 min, dès 4 ans. Théâtre d’ombres Du 18 au 22 fév, mer, ven à 10h30 et 15h, sam à 17h, dim à 11h et 16h30 ; 8€/10€/12€ RADIANT-BELLEVUE 1 rue Jean Moulin, Caluire (04 72 10 22 10)
LA BARBE BLEUE
6 rue Chaponnay, Lyon 3e
2 place des Capucins, Lyon 1er (04 82 31 68 02 )
JEUDIMPRO Jeu 26 fév à 20h15 ; 12€/16€
MJC JEAN MACÉ
—
Par la Cie Casus, 1h, dès 9 ans Scandale, infamie, honte, nous n'avons toujours pas vu ce spectacle, pourtant présenté à plusieurs reprises dans la région. Mais parce qu'il est le fait d'ex-Circa (la compagnie australienne qui a enchanté les Nuits de Fourvière avec Opus en 2013 et Beyond en 2014), on se permet de vous le conseiller en toute méconnaissance de cause. Mar 24 fév à 20h30 ; 10€/15€/18€
SPECTACLES LA BOÎTE À GANTS De Jean-Michel Rabeux d’après Charles Perrault, ms Jean-Michel Rabeux, 1h, dès 8 ans Mar 24 fév à 19h30 ; 14€/21€/22€ Balises : 1 place achetée = 1 place offerte GUIGNOL, UN GONE DE LYON
6 rue Pierre Blanc, Lyon 1er (06 80 85 08 27)
13 OBJETS D’Howard Barker, par la Cie L’envol du K-nard. Sur le thème de la servitude Ven 20 et sam 21 fév à 20h30, dim 22 à 18h30 ; 4€/8€
65 boulevard des Canuts, Lyon 4e (04 72 32 11 55)
MAISON DES PASSAGES
GUIGNOL ET LE DRAGON Cie Daniel Streble Tlj des vacances scolaires + mer 25 à 15h30 ; 7,50€/9,50€
44 rue Saint-Georges, Lyon 5e (06 95 49 00 98)
THÉÂTRE DES CLOCHARDS CÉLESTES 51 rue des Tables Claudiennes, Lyon 1er (04 78 28 34 43)
QUAND JE SERAI GRAND… De Cécile Lopez et Arno Plaveret, Cie Contropie, 45 min, dès 4 ans. Duo de clowns Jusqu’au 28 fév, mer, jeu, ven, mar à 10h et 15h sf ven 27 à 10h et 17h30, sam et dim à 11h et 17h ; 8€/10€
HUMOUR
INCONNU À CETTE ADRESSE De Kressmann Taylor, ms et jeu Nadia Larbiouene et Franck Adrien, Cie Novecento. Correspondance entre deux amis à l’heure de la montée du nazisme Sam 21 fév à 21h30 et dim 22 à 17h30 ; 11€/13€ MATIN BRUN + SOPHIE SCHOLL, RÉSISTANCE D’UNE JEUNESSE Par la Cie Novecento Sam 21 fév à 19h et dim 22 à 15h ; 11€/13€ STATION DU TRAM T1 GASTON-BERGER INSA de Lyon, avenue Gaston Berger, Villeurbanne
JEUNE PUBLIC
LE KARAVAN THÉÂTRE
LE FOU
ANTOINE DULÉRY FAIT SON CINÉMA Mar 24 fév à 20h ; 13€/19€
2 rue Fernand Rey, Lyon 1er (09 54 09 23 93)
Nouveau spectacle “Présent” Du 18 au 21 fév, mer, jeu, ven à 20h30, sam à 19h et 21h ; 12€/16€ STORY BOARD Impro par Et Compagnie Les mar à 20h30 ; 12€/16€
KOUMBA De Thierno Diallo, conte africain Jeu 19 fév à 18h30 ; 9€/12€/14€ LES FEMMES DE WAALOO De Thierno Diallo, conte africain Mer 18 et ven 20 fév à 20h30 ; 9€/12€/14€
50 rue de la République, Chassieu (04 78 90 88 21)
SOUS LE CAILLOU 23 rue d’Austerlitz, Lyon 4e (04 27 44 34 38)
LE TEST Être enceinte ou ne pas l’être ? Du 18 fév au 1er mars, du mer au sam à 20h30 et dim 1er mars à 17h ; 10€/13€
LES IMPROMPTUS Par la Cie KompleXKapharnaüM Du 23 au 25 fév, à midi + mer 25 à 19h ; entrée libre Recommandé par la rédaction Retrouvez l’intégralité des programmes et des articles sur www.petit-bulletin.fr/lyon
P12_13 — LE PETIT BULLETIN N°786 — DU 18.02 AU 24.02.15
MUSIQUE - SOIRÉES
5e édition 13 – 15 mai 2015
© Philippe Lebruman
FORUM
Lyon, Confluence
Kids return
Programme sur www. europeanlab .com
nuits sonores 1 3 —1 7 mai 2015 Jon Ho pki n s • Jo h n Tal abot • Ben Klock • Jamie XX Ta l e of Us • C ar l C rai g feat . Mad M ike Banks • Rone T h e Sof t Mo o n • Dan i el Aver y • Factory Floor • Moody mann Re c on d ite • Ki n k • F l o at i n g Po i n t s • Nils Frahm • Brodinski C l inic • Fo rever Pavot • Et i en n e Jaumet • The O rb • Barnt Ag o r i a B2B Man o Le To u gh • Joy O rbison Ha l awella ( Zei d Hamdan & Mar yam Saleh) • G hostpoet P ub l ic Ser vi ce Bro adcast i n g • Goldie • Baris K • The Saints Je s s ic a 93 • Vo i ces f ro m t h e Lake • M itch & M itch • Baaba Idr i s Ackamo o r & Th e P yramids • Piotr Kurek Va ud ou Game • D j Ten n i s • How ling • Low Jack • Kelela • N iños du Brasi l • Lauren t Gar nier and many more...
Confluence — Lyon
W W W. N U I T S - S O N O R E S . C O M
— POP — LORRAIN EXILÉ À PARIS, ON A CONNU FURTIVEMENT KIDSAREDEAD SUR SES TERRES IL Y A BIEN LONGTEMPS, PRESQUE DANS UNE AUTRE VIE. LE PLAISIR DE RETROUVER CE JEUNE GARS BOURRÉ DE POP POUR UN ALBUM ET UN CONCERT LYONNAIS, NOUS NE POUVIONS QUE TENTER DE LE PARTAGER. STÉPHANE DUCHÊNE
Un jour de l’été 2000, en convalescence chez papamaman à Clouange, Moselle, pour cause d’explosion du coude consécutive à une bagarre molle sur le parvis du mythique McDo Guillotière, votre serviteur s’est retrouvé dans la cave d’une maison de la vallée sidérurgique dite de l’Orne, à écouter les bandes enregistrées chez lui par un tout frais bachelier, ami du frère d’un ami d’enfance. Là, on découvrait déjà l’influence criante de Pavement, des Beach Boys, de Stevie Wonder, de Neil Young, de Fleetwood Mac. Et pas mal de génie aussi – faisant regretter que le dénommé Vincent Mougel, que l’on avait déjà perçu fasciné par la figure du loser magnifique, ne s’en aille suivre quelque prépa, littéraire si on se souvient bien, à Strasbourg. Après quoi on ne l’a plus jamais revu. Pas autrement du moins qu’en suivant à distance et bien plus tard sa progression de musicien toucheà-tout finalement débarqué à Paris, aux côtés notamment du Variety Lab de Thierry Bellia – comme sur l’excellent Team Up ! – Orval Carlos Sibelius, Herman Düne ou Zombie Zombie. Quelles étaient les chances de se retrouver un jour à écrire sur cette rencontre et ce musicien qui sort (enfin !) son premier album ? Elles étaient nulles et pourtant nous y voilà.
de Kidsaredead, n’a non seulement rien perdu de son timide mojo, mais surtout l’a fait éclore comme une orchidée géante et un peu monstrueuse, à l’image de la créature très danieljohnstonienne de la pochette de The Other Side of Town, ce fameux premier album. Un disque foisonnant de tonnes de références magnifiquement digérées parce que fruit d’une longue gestation, celle d’une vie quasiment, où il a laissé le champ libre à ses élans atavico-nostalgiques – des disques de papa à l’idée de l’enfance perdue après laquelle on court toujours un peu, certains plus que d’autres. Cerise nostalgique sur le gâteau, le clip de l’excellent Typical Captain Achab est tourné à Clouange, une ville moche mais belle, de celles dont on dit, comme on l’a fait pour Zlatan et son quartier d’origine Rosengård, qu’on peut en sortir mais qu’à l’inverse on ne peut les sortir tout à fait de soi. Et votre serviteur, qui s’excuse pour ce débordement, est à peu près aussi fier de ça que du moment où, même s’il ne s’en souvient pas très clairement, cette petite cité millénaire remporta en 1979 le titre de ville de moins de 10000 habitants la plus sportive de France. Présentement, Kidsaredead fait un peu figure de deuxième trophée.
TYPICAL CAPTAIN ACHAB Or, en 15 ans, Vincent Mougel, qui officie sous le nom
> Kidsaredead [+ Morning Star] Au Café du Rhône jeudi 19 février
À la lettre — HIP-HOP — La politesse commande que l’on tourne sept fois sa langue dans sa bouche avant de s’exprimer. Thimothy Parker, The Gift of Gab de son nom de scène, doit faire accomplir à la sienne au moins deux fois plus de rotations. Pas tellement pour réfléchir à la pertinence et à la tenue mélodique de ses rimes – encore qu’elles sont en ces matières des plus exemplaires. Plutôt pour l’échauffer, comme un minigun effectue quelques tours à vide avant de défourailler à 4000 cartouches par minute. Question cadence de tir, ce natif de Sacramento compte en effet parmi les plus rapides gâchettes vocales de la West Coast, et ses exploits sont de ceux dont on fait des chansons pour (grands) enfants. En l’occurrence Alphabet Aerobics, comptine lexicale à rapidité croissante qu’on enseigne
DR
Imagine la culture de demain
jusque dans les pensionnats pour jeunes sorciers – Daniel Radcliffe l’a impeccablement récitée pour le Tonight Show, CQFD. Ce morceau, s’il est le plus célèbre de Blackalicious, le duo qu’il forme depuis plus de vingt ans avec le beatmaker Chief Xcel, n’est pour autant pas le plus représentatif. Car chez Blackalicious, le rap n’est pas un simple exercice de style : il est un geste d’intégrité, fut-elle émotionnelle – à l’instar de ceux d’A Tribe Called Quest, ses albums
témoignent d’une vraie sensibilité soul – ou musicale – comme chez les Roots, ils pulsent de la chaleur de “vrais” instruments. La démarche n’est pas sans péril, les deux compères n’ayant jamais renoué avec la classe et le toupet de leur premier album Nia. Mais elle est la seule qui vaille, on vous le dit sans faille. BENJAMIN MIALOT > Blackalicious [+ Lifesavas] À l’Épicerie Moderne mercredi 18 février
GAGNEZ VOTRE PASS POUR LA SOIRÉE
L'ENFANCE TSIGANE En présence du réalisateur Ioanis Nuguet
LE 22 FÉVRIER À PARTIR DE 17H15
AU CINÉ MOURGUET
DR
> MODALITÉS SUR PETIT-BULLETIN.FR
Le désordre du Temple Solaire — ROCK — AVEC L’ALBUM WORSHIP THE SUN, LEUR DEUXIÈME, EMPREINT D’UNE NOSTALGIE
QUASIMENT PROGRAMMATIQUE, LES ALLAH-LAS REVIENNENT À L’ÉPICERIE MODERNE EN TÊTE D’AFFICHE POUR NOUS PERSUADER QUE L’ÉTÉ OÙ NOTRE ÉPOQUE A GRANDI NE FINIRA JAMAIS. OU DU MOINS QU’ON PEUT FAIRE COMME SI. SD garage option psyché option surf option etc. – barrez la mention inutile – c’est l’évidence : le soleil que les Allah-Las vénèrent sur leur deuxième album Worship the Sun n’est pas prêt de s’éteindre. Et ce sont eux qui semblent, si ce n’est avoir ses faveurs, du moins lui vouer le culte le plus fervent. INSTANT ÉTERNEL Car Allah-Las est, plus que les autres, le fruit d’une joyeuse nostalgie où l’on passe son temps à se rouler dans le sable et les vieux riffs à la langueur monotone. Et si l’on parle de sable, d’été, de surf, de 60’s ingénues, alors il faut parler de plages. Celles sur lesquelles évoluent Allah-Las, loin de constituer un minuscule pré-carré revivaliste, sont immenses et en vrac, désordonnées, bien et mal foutues, flirtent avec la ballade country, le garage psyché seedien, le pastiche tubesque newcombien, la flower pop in Love – intro de
— HIP-HOP — Question marginalité, Oddateee a de la suite dans les idées : alors que la tendance serait à la conversion à l’islam, l’ex-protégé de Dälek a choisi de s’abandonner à une religion nettement moins médiatique, le vaudou, le temps d’une collaboration avec le duo batteriesax baryton Mombu. Entre le rappeur du New Jersey aux phrasés impérieux de houngan – un prêtre, dans le jargon des sacrificateurs de poulet – et les improvisateurs italiens nommés d’après un lwa – un esprit – s’offrant au regard des adeptes sous les nippes d’un faiseur de pluie bègue, cela ne pouvait effectivement que coller façon rite de communion. Leur split à paraître à la fin du mois chez Subsound ne (psalmo)dit pas autre chose. Voyant le trio d’un tour y passer en une révulsion d’œil de l’afro-jazz le plus funeste (Kill Guns, tout en volutes à l’octave inférieure ; la procession rythmique The Chant) à des soliloques à hauteur de block d’une inquiétante opacité (Shooter, rongé par le bourdonnement d’un drone ; Devil’s Card et son final cacophonique et tourmenté), il est même d’une puissance hypnotique à dépeupler les fiefs du Baron Samedi. Oddateee est cependant celui qui
De Vida Voz, jumelle d’Alone Again Or – embrassant en quelques titres toute la geste d’une quête nostalgique également visible dans les désormais nombreux clips du groupe. Quête d’un âge d’or qu’on ne voudrait pas voir révolu et donc d’un instant éternel, celui du souvenir. Or quand il s’agit d’immuabilité ou de sensation d’éternité, il n’y a guère que le soleil vers qui se tourner comme éternel témoin, toujours là, même caché, et qui quand il disparaît pour quelques heures, revient toujours. Du moins pour l’instant. C’est probablement ce qu’essaie de nous dire Allah-Las. Au beau milieu de son hiver nucléaire, Diabologum parvenait d’ailleurs à la même conclusion : «il faut en profiter». > Allah-Las [+ Eerie Wanda] À l’Epicerie Moderne vendredi 20 février
LOVE I OBEY Rosemary Standley - La voix de Moriarty
Oddateee - DR
«De la neige en été», chantait il y a dix huit ans, dans un élan plus ou moins prophétique, Diabologum dont on se réjouit de la réédition du troisième album, ce chefd’œuvre. Sauf que non, bien sûr : non seulement il ne neige plus en été mais en plus, il neige de moins en moins en hiver. Nous voilà vivant dans une sorte d’été perpétuel induit à parts égales par le réchauffement climatique – le fameux – et la nostalgie d’un âge d’or qui réchauffe d’autant plus qu’on ne l’a pas connu et qu’on a tendance nous-mêmes à vouloir le réchauffer pour le revivre. Or, en matière de rock et de bien d’autres choses, tout se passe comme si l’Endless Summer était revenu et entendait bien cette fois-ci ne jamais finir. Les Allah-Las, de Californie, là où le soleil est une quasi-divinité, n’en sont pas la plus négligeable incarnation, loin de là. Car à voir se multiplier les avatars rock vintage option
et l’ensemble de Bruno Helstroffer ressort le plus transfiguré de l’expérience. Car bien que ne portant pas aussi beau que le gardien des cimetières haïtiens, il en partage ici la prestance hallucinée, surgissant des atmosphères neurotoxiques concoctées par ses acolytes tel un détraqué fendant la vapeur d’un égout. À se demander si le titre de “maître de cérémonie” n’a pas été inventé pour lui. BM > Mombu vs. Oddateee Au Sonic mardi 24 février
Dimanche 8 mars | 19h | Chapelle de la Trinité
Réservations : 04 78 38 09 09 www.lesgrandsconcerts.com et points habituels
P14 — LE PETIT BULLETIN N°786 — DU 18.02 AU 24.02.15
MUSIQUE - SOIRÉES CLASSIQUE
FOOLISH SKA JAZZ ORCHESTRA LE SIRIUS
GEORGETTE WANTS TO DANCE Rock
En face du 4 quai Augagneur, Lyon 3e (04 78 71 78 71)
NINKASI SAINT-PAUL
Jeu 19 fév à 21h30 ; entrée libre WHAT’S UP DOCS ? Swing vocal 40’
5 rue Octavio Mey, Lyon 5e
Jeu 19 fév à 21h30 ; entrée libre POPPY
Jeu 19 fév à 20h ; 8€/11€/16€ LES JOURS PLUVIEUX Hélène de Montgeroult, Mel Bonis, Marie Jaelle par Nicolas Stavy
HOT CLUB
6 avenue Henri Barbusse, Villeurbanne (04 78 03 97 23)
SALLE EDOUARD HERRIOT
JAZZCLUB SAINT-GEORGES
CONCERT JEUNE ORGANISTE Par Octavian Saunier (orgue) et Dimitri Papadopoulos (piano) AUDITORIUM DE LYON 149 rue Garibaldi, Lyon 3e (04 78 95 95 95)
1 place Antonin Jutard, Lyon 3e (0478950906)
Ven 20 fév à 20h ; 7€/22€/32€ LACHRIMÆ DE GREGOR AICHINGER Musique allemande du XVIIème siècle par l’ensemble Agamemnon ÉGLISE SAINT-POLYCARPE 25 rue René Leynaud, Lyon 1er
Ven 20 fév à 20h30 ; prix libre ÉGLISE SAINT-GEORGES Quai Fulchiron, Lyon 5e
Sam 21 fév à 20h30 ; prix libre GRANADOS / GOUNOD / DONIZZETTI... Par G.Brenier (chant) et R.Geoffroy (piano) LE SALON DE MUSIQUE
26 rue Lanterne, Lyon 1er (04 78 39 54 74)
Ven 20 fév à 21h30 ; 7€/10€ DUO MIRAL Jazz vocal 4 rue Saint-Georges, Lyon 5e (04 78 03 88 71)
Ven 20 fév à 19h45 ; 10€ THE FOOLISH SKA JAZZ ORCHESTRA Roots, rocksteady, jazz AUX BONS SAUVAGES Quai des Etroits, Lyon 5e (09 83 46 20 56)
Ven 20 fév à 20h ; 5€ LA CLEF DE VOÛTE 1 place Chardonnet, Lyon 1er (04 78 28 51 95)
Sam 21 fév à 21h ; 7€/10€ LE GRAND CHAMBARDEMENT Avec Captain Stambolov et Hugo Charpentier du collectif Mauvaise foi
THÉÂTRE ASTRÉE Campus de la Doua, 6 avenue Gaston Berger, Villeurbanne (04 72 44 79 45)
Lun 23 fév à 20h20 ; 6€/12€ LA VOIE DU SOUFFLE Par le Quatuor Habanera
20 quai Augagneur, Lyon 3e (04 72 61 92 92)
Ven 20 fév à 19h45 ; entrée libre BIRMINGHAM + VIETNAM Hardcore LE TROKSON 110 montée de la grande côte, Lyon 1er (04 78 28 52 43)
Ven 20 fév à 20h45 ; entrée libre HEART OF WOLVES + MY IMAGINARY LOVES + PRESQUE ÇA
ABSINTHE 22 rue de Flesselles, Lyon 1er (04 72 00 20 44)
Jeu 19 fév à 22h ; entrée libre SUPER PARQUET Musique traditionnelle électrique LE PÉRISCOPE 13 rue Delandine, Lyon 2e (04 78 42 63 59)
Ven 20 fév à 21h ; 6€/8€ TAR’TARAF La fanfare des Balkans de la Guillotière
Ven 20 fév à 21h ; 3€/5€ BAYILMA NO
22 rue Imbert Colomès, Lyon 1er
LA FOURMILIÈRE
4 rue de Belfort, Lyon 4e (09 51 62 58 77)
Du 20 au 22 fév, ven et sam à 20h, dim à 18h ; 5€/10€ LES BRASSE-SENS
Ven 20 fév à 20h30 ; entrée libre MILKY CHANCE Ven 20 fév à 20h ; 27,50€ THE KOOKS + BLEACHERS + NAT JENKINS
De et avec Simon Abkarian, 1h20. Théâtre musical LE TOBOGGAN 14 avenue Jean Macé, Décines (04 72 93 30 14)
1 place Chardonnet, Lyon 1er (04 78 28 51 95)
Lun 23 fév à 21h ; entrée libre
DANY BRILLANT
ROCK & POP FAIK Rock NINKASI GUILLOTIÈRE 2 place Antoine Jutard, Lyon 3e
Mer 18 fév à 20h30 ; entrée libre SYLVAN ESSO + ALEXIS & THE BRAINBOW
Jeu 19 fév à 21h30 ; 10€/15€
TRANSBORDEUR
Mer 18 fév à 20h ; de 45€ à 60€ LIONEL PERRIN
3 boulevard Stalingrad, Villeurbanne (04 78 93 08 33)
KOTOPO
Sam 21 fév à 19h30 ; 35€ APPALOOSA Post rock transe
14 rue Leynaud, Lyon 1er (04 72 07 75 49)
Ven 20 fév à 20h30 ; entrée libre KATY PERRY
LE TROKSON 110 montée de la grande côte, Lyon 1er (04 78 28 52 43)
TERMINAL 3 rue Terme, Lyon 1er
Ven 20 fév à minuit ; 8€ MIDNIGHT DISCO Horse Meat Disco + Labat
SOIRÉES DJ SNOOP EAT THE FU**IN’ BEAT ABSINTHE 22 rue de Flesselles, Lyon 1er (04 72 00 20 44)
20 quai Augagneur, Lyon 3e (04 72 61 92 92)
Ven 20 fév à 23h ; entrée libre DARK 80’S PARTY Post punk & dark new wave dance floor SONIC En face du 4 quai des Étroits, Lyon 5e (04 78 38 27 40)
Ven 20 fév à 23h ; entrée libre DJ SPIK
LE SUCRE
ABSINTHE
49-50 quai Rambaud, Lyon 2e
22 rue de Flesselles, Lyon 1er (04 72 00 20 44)
Sam 21 fév à 23h ; 10€/14€ : article ci-contre BABY SHOWER Michel Mystère + Jurgen Douglass + Seg fault + Crocus
Sam 21 fév à 22h ; entrée libre JUN MATSUOKA Club DJ set
CAFÉ DU RHÔNE
Sam 21 fév à 23h ; entrée libre BLUE CAT CLUB
23 quai Augagneur, Lyon 3e (06 17 44 14 55)
Sam 21 fév à 21h ; 3€ RYAN CROSSON + AXELLE ROCH DV1
LA MARQUISE 20 quai Augagneur, Lyon 3e (04 72 61 92 92)
BOMP ! 1 place Croix-Paquet, Lyon 1er (09 73 18 78 43)
Sam 21 fév à 20h ; entrée libre
6 rue Violi, Lyon 1er (04 72 07 72 62)
Sam 21 fév à minuit ; 8€ JONAS KOPP + ALEX.DO + MY THUD UNITE AREA + THEORIST OFC TRANSBORDEUR 3 boulevard Stalingrad, Villeurbanne (04 78 93 08 33)
Sam 21 fév à 23h30 ; 13€
Recommandé par la rédaction Retrouvez l’intégralité des programmes et des articles sur www.petit-bulletin.fr/lyon
20 montée Saint-Sébastien, Lyon 1er (04 69 60 49 29)
Sam 21 fév à 20h30 ; 6€ SUN SCREAMIN’WOLF + PURPLE LORDS
ANIMATIONS
LA MARQUISE 20 quai Augagneur, Lyon 3e (04 72 61 92 92)
LA CLEF DE VOÛTE
26 rue Lanterne, Lyon 1er (04 78 39 54 74)
205 place Guichard, Lyon 3e
KRASPEK MYZIK
Mer 18 fév à 19h45 ; prix libre THE MONEY MAKERS
HOT CLUB
BOURSE DU TRAVAIL
Sam 21 fév à 20h45 ; entrée libre SWEAT LIKE AN APE + ZERO BRANCO
4 rue Saint-Georges, Lyon 5e (04 78 03 88 71)
Jeu 19 fév à 21h ; entrée libre ZHENYA STRIGALEV 6TET SMILING ORGANIZM
Dim 22 fév de 15h30 à 22h30 ; 24€/28€
Ven 20 fév à 23h ; 11€/15€ TUNNEL VISION Intergalactic Gary + Emeline XII & LB aka Labat
TRANSBORDEUR
LA CLEF DE VOÛTE
JAZZCLUB SAINT-GEORGES
9 montée des Carmélites, Lyon 1er (04 26 00 93 77)
49-50 quai Rambaud, Lyon 2e
AGEND’ARTS
JAM SESSION JAZZ
ATMO
LE SUCRE
3 boulevard Stalingrad, Villeurbanne (04 78 93 08 33)
JAZZ & BLUES
Mer 18 fév à 21h30 ; 7€/10€ JEAN-LOUIS ALMOSNINO + STÉPHANE RIVERO + KARIM BALHOUL
Sam 21 fév à 23h30 WE ARE REALITY : DJ KICKS Nina Kraviz + Luke Hess + Spencer Parker + Dor
LA MARQUISE
Mar 24 fév à 20h ; de 10€ à 26€
26 rue Lanterne, Lyon 1er (04 78 39 54 74)
Sam 21 fév à minuit ; 8€ LES OISEAUX DE NUIT Hito + Dolfeels + Teets
Ven 20 fév à 22h ; entrée libre DJ HARRY COVER
Place Joannès Ambre, Lyon 4e (04 72 07 49 49)
HOT CLUB
3 rue Terme, Lyon 1er
49-50 quai Rambaud, Lyon 2e
26 rue Lanterne, Lyon 1er (04 78 39 54 74)
Ven 20 fév à 20h30 ; de 9€ à 13€ : article en page 13 YOGAN DE DIVA FAUNE Rock
VARIÉTÉS
Mer 18 fév à 21h ; 7€/10€ FOOLISH SKA JAZZ ORCHESTRA Rocksteady
TERMINAL
LE SUCRE
HOT CLUB
Place René Lescot, Feyzin (04 72 89 98 70)
En face du 4 quai Augagneur, Lyon 3e (04 78 71 78 71)
1 place Chardonnet, Lyon 1er (04 78 28 51 95)
Sam 21 fév à 23h30 ; 10€/12€ ATA + JACQUES TERRASSE & LAURENT CALIGARIS
26 cours Albert Thomas, Lyon 8e (04 78 01 78 12)
Ven 20 fév à 21h ; 7€/10€ JONATHAN KREISBERG 4TET
ÉPICERIE MODERNE
Mar 24 fév à 20h30 ; de 10€ à 20€ CHANT D’HIVER Schubert, texte Tanguy Viel, ms Samuel Sighicelli
THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE
Rue Paul Duvivier, Lyon 7e
Rive droite du Rhône / Pont Pasteur, Lyon 2e
15 rue Salomon Reinach, Lyon 7e
Sam 21 fév à 20h30 ; entrée libre NUITS GRECQUES - MÉNÉLAS REBÉTIKO RAPSODIE
LE PETIT SALON
BATEAU BELLONA
51 rue Saint-Michel, Lyon 7e (04 37 28 98 71)
4 rue Chantelouve, Vienne (04 74 85 00 05)
Mar 24 fév à 20h ; 11€/18€ ROMÉO & JULIETTE Comp Boris Blacher, ms Jean Lacornerie, dir mus Philippe Forget, par l’Orchestre et studio de l’Opéra de Lyon
Ven 20 fév à 21h ; entrée libre OPTIMO + SYRACUSE + SACHA MAMBO
6E CONTINENT
LE SIRIUS
7 rue Orsel, Oullins (04 72 39 74 91)
14 rue Bonald, Lyon 7e (06 89 36 55 33)
Ven 20 fév à 20h30 ; 3€/5€/8€ ZOULOUZBEK
Sam 21 et dim 22 fév à 15h ; 14€/22€/25€
THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE
LIVE STATION DIY
25 cours Gambetta, Lyon 3e (04 78 95 14 93)
Dim 22 fév à 17h ; 7€/10€ MAGNETIC ORCHESTRA
THÉÂTRE DE VIENNE
Ven 20 fév à minuit ; 10€ : article ci-contre DJ LILLY
DE L’AUTRE CÔTÉ DU PONT
LA TRIPERIE
Ven 20 fév à 20h ; prix libre ALLAH-LAS + EERIE WANDA
6 rue Violi, Lyon 1er (04 72 07 72 62)
ESCAPE Villanova + Hit the Curb + Freddypogo + Hoodrat + Kuna Maze + D.Last + Asco
NINKASI SANS-SOUCI
1 place Chardonnet, Lyon 1er (04 78 28 51 95)
Dim 22 fév à 16h ; 8€/11€/16€ HOMMAGE À FRANK ZAPPA
LA MARQUISE
RENAUD BILOMBO Balades folk et funk congolais
DV1
Sam 21 fév à 21h30 ; 10€/15€ JACK BON Conférence-concert. Jack Bon remonte la route du blues
LA CLEF DE VOÛTE
Dim 22 fév à 17h ; 10€ REJOICE 330e anniversaire de la naissance de Haendel par les chœurs “À voix et à vapeur”, ENS Lyon, ENM Villeurbanne et Romantico ; Octavian Saunier (orgue), Philippe Forget et Philippe Bergère (dir mus). Concert participatif 149 rue Garibaldi, Lyon 3e (04 78 95 95 95)
Jeu 19 fév à 20h30 ; entrée libre RAPHAËL HERRERIAS Rock
THE DRIVER AKA MANU LE MALIN + AlexK + Digital Session + Vincent Hiest
Le clubbing se conjugue au futur antérieur au Sucre, avec d'un côté un souvenir de Nuits Sonores 2014 – les passeurs house d'Optimo, from Glasgow – et de l'autre un avant-goût de l'édition 2015 – les plagistes discopop de Syracuse, de Paris. Perso, on répond présent (poum-doum-tshee !).
88 rue Saint-Georges, Lyon 5e (04 72 40 22 46)
AUDITORIUM DE LYON
NINKASI GRATTE-CIEL
WORLD
Transfuge d'un indie folk somme toute atavique dans leurs Appalaches d'origines, Amelia Meath (Mountain Man), que l'on a beaucoup comparé à Feist ou Au Revoir Simone (filles un peu flottantes donc) et Nick Sanborn, bassiste de Megafaun, se sont acoquiné et, ô surprise, c'est de l'électronica qui ressort de cette union. Douce, sensuelle, et pour tout dire presque pastorale. ÉPICERIE MODERNE Place René Lescot, Feyzin (04 72 89 98 70)
Jeu 19 fév à 20h30 ; 9€/13€ KIDSAREDEAD + MORNING STAR CAFÉ DU RHÔNE 23 quai Augagneur, Lyon 3e (06 17 44 14 55)
Jeu 19 fév à 20h ; 5€ : article en page 12
Sam 21 fév à 19h45 ; entrée libre : article ci-contre FOLK YOU ATMO 9 montée des Carmélites, Lyon 1er (04 26 00 93 77)
Sam 21 fév à 21h30 ; entrée libre AMOUR FOU + MUTTERLEIN + FATHER MURPHY Pop folk AUX BONS SAUVAGES Quai des Etroits, Lyon 5e (09 83 46 20 56)
Sam 21 fév à 20h ; 7€ NINKA TOUR : FOXEAGLE Rock NINKASI SANS-SOUCI 26 cours Albert Thomas, Lyon 8e (04 78 01 78 12)
Sam 21 fév à 20h30 ; entrée libre MUSIC NET AWARDS LE KAO Ninkasi Gerland, 267 rue Mérieux, Lyon 7e (04 72 76 89 00)
Sam 21 fév à 19h ; 15€ CAUSE Rock electro
COUP D’ŒIL ROCK
KRASPEK MYZIK 20 montée Saint-Sébastien, Lyon 1er (04 69 60 49 29)
PURPLE REIGNS
Dim 22 fév à 20h30 ; 6€ RICK THUNDER
—
110 montée de la grande côte, Lyon 1er (04 78 28 52 43)
DR
C’est devenu une tradition dans nos pages, permise par la rareté – et la qualité toujours renouvelée, il faut bien le dire – de leurs concerts : quand les Purple Lords sont programmés, cette fois-ci à la Marquise, le 21 février, on se sent un peu obligé – moralement obligé – d’en parler. Déjà, comme on l’expliquait, parce que ça n’arrive pas tous les jours ; parce qu’on a fait une croix sur l’idée qu’ils feraient un jour carrière puisque eux-mêmes semblent y avoir renoncé non sans un certain panache – mais quand on est un Lord, on ne fait pas carrière – et qu’on les retrouve donc avec d’autant plus de plaisir désintéressé. Et aussi parce que voir ceux qui s’appelaient jadis The Purple Lords of the Sonic Church relève un peu du pèlerinage – surtout quand on y retrouve à la basse une autre figure d’un petit âge d’or lyonnais : Sébastien Goguey alias Selar. Et que s’assurer qu’ils sont toujours là quelque part, en capacité de dégainer leurs Black Rider ou Real Cowboys Wear Mascara suffit à nous persuader que ce groupe écraserait d’un coup de talon n’importe quelle concurrence, et que le fait de ne pas s’en donner la peine vaut tous les triomphes. STÉPHANE DUCHÊNE
LE TROKSON
HALLE TONY GARNIER Place des Docteurs Charles et Christophe Mérieux, Lyon 7e (04 72 76 85 85)
Ven 20 fév à 20h ; 51€/58,70€/95€
REGGAE BLACKO LE KAO
SALLE LÉO FERRÉ 5 place Saint-Jean, Lyon 5e (04 78 42 48 71)
AGEND’ARTS
267 rue Marcel Mérieux, Lyon 7e (04 72 76 89 00)
4 rue de Belfort, Lyon 4e (09 51 62 58 77)
Ven 20 fév à 22h ; entrée libre VINTAGE CARIBBEAN PARTY
Mer 18 et jeu 19 fév à 10h30 et 15h30 ; 5€/10€ VEILLÉE DE CONTES PARTICIPATIVE Scène ouverte aux conteurs amateurs
TOÏ TOÏ LE ZINC 17-19 rue Marcel Dutartre, Villeurbanne (04 37 48 90 15)
Ven 20 fév à 20h ; 5€ LYON DUB STATION #10 Kanka + Weeding Dub + Blackboard Jungle Sound System DOUBLE MIXTE 19 rue Gaston Berger, Villeurbanne
Ven 20 fév à 22h ; 16€/20€
HIP-HOP & R’N’B Place René Lescot, Feyzin (04 72 89 98 70)
ÉPICERIE MODERNE
Mar 24 fév à 20h30 ; 10€/13€ NINKA TOUR : JONFEN Pop
Mer 18 fév à 20h30 ; de 10€ à 14€ : article en page 12 TRANCHE DE LIVE AVEC MONKEY THEOREM
NINKASI SAINT-PAUL
LES ABATTOIRS
CHANSON
LE SUCRE
NINKASI KAFÉ
SOUS LE CAILLOU
Jusqu’au 17 mars, à 20h30 ; entrée libre
SOUVENIR D’ÉTOILES Conte musical par la Cie Puka, dès 3 ans, 45 min
Mer 18 fév à 10h30 et 15h ; 6€ CONTES ET ROMANCES RUSSES Par Elise Moussion, Cie la Belle Étoile
BLACKALICIOUS + LIFESAVAS
5 rue Octavio Mey, Lyon 5e
causer architecture et futur. Immanquable, forcément.
Ven 20 fév à 19h ; 16€ TIME FI BOUNCE
Ninkasi Gerland, 267 rue Mérieux, Lyon 7e (04 72 76 89 00)
Lun 23 fév à 20h45 ; entrée libre PEPPERMINT + NAZCA 23 rue d’Austerlitz, Lyon 4e (04 27 44 34 38)
CONTES
18 route de l’Isle d’Abeau, Bourgoin-Jallieu (04 74 19 14 20)
Jeu 19 fév à 20h30 ; entrée libre MOMBU VS ODDATEE SONIC
ATMO 9 montée des Carmélites, Lyon 1er (04 26 00 93 77)
Ven 20 fév à 21h30 ; entrée libre TREMPLIN “ET EN PLUS ELLES CHANTENT” KRASPEK MYZIK 20 montée Saint-Sébastien, Lyon 1er (04 69 60 49 29)
Jeu 19 et ven 20 fév à 20h30 ; 6€ PHILIPPE GUILLARD CHANTE FERRÉ AGEND’ARTS 4 rue de Belfort, Lyon 4e (09 51 62 58 77)
Dim 22 fév à 18h ; 8€/13€ EMILIE SOUILLOT ET LÉO VARNET LE RASPOUTINE 35 rue Imbert Colomès, Lyon 1er (04 78 61 74 59)
Dim 22 fév à 20h30 ; 6€/8€ MICHELE BERNARD THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX 8 boulevard Laurent-Gérin, Vénissieux (04 72 90 86 68)
Du 22 fév au 22 mai, à 20h ; 4€
Ninkasi Gerland, 267 rue Mérieux, Lyon 7e (04 72 76 89 00)
Ven 20 fév ; 15€/18€ : article ci-contre
THOMY VON KUMMANT
EUREXPO 1 avenue Louis Blériot, Chassieu (04 72 22 33 44)
Du 20 au 22 fév
Pour "Gung Ho" LIBRAIRIE EXPÉRIENCE
CONFÉRENCES UNIPOP - L’OREILLE EN COIN “Le Free-Jazz aux États-Unis” par Jean Cohen LE PÉRISCOPE 13 rue Delandine, Lyon 2e (04 78 42 63 59)
Jeu 19 fév à 19h ; entrée libre URBS #3 IMAGINE LE FUTUR DE LA VILLE
5 place Antonin Poncet, Lyon 2e (04 72 41 84 14)
Jeu 19 fév à 18h ; entrée libre CAROLE FIVES Pour son livre “C’est dimanche et je n’y suis pour rien” LIBRAIRIE PASSAGES 11 rue de Brest, Lyon 2e (04 72 56 34 84)
Jeu 19 fév à 19h ; entrée libre ILIOS KOTSOU Pour son ouvrage “Éloge de la lucidité” FNAC BELLECOUR 85 rue de la République, Lyon 2e (08 25 02 00 20)
Ven 20 fév à 18h ; entrée libre BÉATRICE CORON Pour sa BD “Excentricity” LIBRAIRIE PASSAGES 11 rue de Brest, Lyon 2e (04 72 56 34 84)
Sam 21 fév à 11h ; entrée libre GRADIMIR SMUDJA Pour sa BD “Au fil de l’art” t.2
4 rue Stella, Lyon 2e (04 78 42 23 23)
LE KAO
RENCONTRES
PRIMEVÈRE 29e salon-rencontres de l’alter-écologie
L’AMBASSADE
Jeu 19 fév à minuit ; 3€ ENCORE X PAPAMAMAN Octave One + Ripperton + Mush
Mar 24 fév à 15h ; 2€/9,50€
SALON
CON LECHE Berny + Thomas Villard + Vincent Vidal
3 rue Terme, Lyon 1er
39 bis rue de Marseille, Lyon 7e (04 72 43 92 30)
Sam 21 fév à 20h ; entrée libre
ÉLECTRO
TERMINAL
MOZARTEUM DE FRANCE
126 montée de la Grande Côte, Lyon 1er (06 68 38 24 98)
Mar 24 fév à 21h ; 9€ : article en page 13
Jeu 19 fév à 23h55 ; entrée libre FREDDYPOGO + EIDN + MATHESON
Lun 23 fév à 19h ; 6€/8€ LA MUSIQUE DE FILM Conférence musicale par Martin Barnier, professeur à Lyon 2
MAOG
En face du 4 quai des Étroits, Lyon 5e (04 78 38 27 40)
LUC BOX
49-50 quai Rambaud, Lyon 2e
“Villes de papier”. Avec Benoit Peeters, scénariste des BD “Les Cités obscures” et “Revoir Paris” Deux mois après que la galerie Pallade a rappelé la prescience urbanistique de Luc et François Schuiten (voir la Une de notre n°779), voilà que c'est au tour du plus vieux complice du second (en sa qualité de scénariste des Cités obscures) de venir
LIBRAIRIE EXPÉRIENCE 5 place Antonin Poncet, Lyon 2e (04 72 41 84 14)
Sam 21 fév à 14h30 ; entrée libre Recommandé par la rédaction Retrouvez l’intégralité des programmes et des articles sur www.petit-bulletin.fr/lyon
P15 — LE PETIT BULLETIN N°786 — DU 18.02 AU 24.02.15
INSOMNIAQUE 3 R DV n o c t u r n e s à n e p a s m a n q u e r ce t t e s e m a i n e B E N JA M I N M I A LOT
DR
20.02.15 ENCORE Ils auraient pu s’appeler les Burden Five, ils ont opté pour un plus harmonieux Octave One. Ils, ce sont Lenny, Lawrence, Lorne, Lynell et Lance Burden (L5, ça marchait aussi), fratrie à géométrie variable qui contribua à faire de la deuxième houle techno une vague digne de ce nom. 25 ans après la parution du définitif I Believe, Lenny et Lawrence sont les deux seuls maîtres à bord de ce «vaisseau-mère» (le surnom de leur setup) de la black music post-industrielle. Son prochain atterrissage (au Kao) n’en sera pas moins aussi marquant que celui filmé par Spielberg en 1977.
DR
20.02.15 THE DRIVER C’est une toute autre rencontre du 3e type qui vous attend au DV1. Car Manu Le Malin ne vient pas en paix. À l’instar du xénomorphe de H.R. Giger – dont il a décliné l’esthétique Biomecanik sur une trilogie de disques sauvages et oppressants – c’est en prédateur affamé de décharges pulsionnelles que le vétéran de la techno hardcore écume raves, clubs et festivals depuis vingt ans. Tenez-vous le donc pour dit : quand bien même il se produira ici en sa qualité de Driver – le pseudo réservé à ses mixes plus “traditionnels” – et non de huitième passager, vous allez prendre cher.
DR
21.02.15 MIDNIGHT DISCO Nul extraterrestre à signaler du côté du Sucre cette semaine. Des tickets pour l’espace en revanche, le collectif britannique Horse Meat Disco en distribuera plus que vous ne pourrez en faire valoir. Et pour cause : cela fait près d’une décennie que ces quatre bears bien léchés s’efforcent de ramener au firmament cette musique débridée, le temps de soirées qui n’auraient pas dépareillé dans les ballrooms du Harlem 80’s et via des compilations où classiques oubliés et mutations en tous genres (house, dance-punk, italo...) se fondent telles des chairs lubrifiées. Inutile de vous faire un dessin.
PLUS LOIN
FÊTE DU LIVRE FLORENCE JEUNESSE FORESTI Fête du livre de Bron, Printemps des poètes, Quais du polar… et puis quoi encore ? La fête du livre jeunesse de Villeurbanne ! Parce que si nos minots ne prennent pas dès aujourd'hui le goût de lire, il n’y aura plus de visiteurs dans les salons pour les grands demain. 32 auteurs et illustrateurs (dont Delphine Perret, invitée d’honneur) œuvreront dans ce sens du 25 au 29 mars.
Depuis quelques semaines, Lyon bruissait d'incompréhensions quant à l'absence de Florence Foresti des programmations de la Halle Tony Garnier et autres lieux capables d'accueillir une showwoman de son calibre. On sait désormais de quoi il retourne : c'est exclusivement aux Nuits de Fourvière qu'elle présentera son nouveau spectacle, Madame Foresti, du 6 au 12 juillet.
© Delphine Perret
PIERRE LAPOINTE
— L’HEBDO GRATUIT DES SPECTACLES — LE PETIT BULLETIN LYON | www.petit-bulletin.fr/lyon SARL de presse au capital de 131 106,14 €- RCS LYON 413 611 500 16 rue du Garet - BP 1130 - 69203 Lyon cedex 01 Tél. : 04 72 00 10 20 | Fax : 04 72 00 08 60 Tirage moyen : 50 000 exemplaires | Impression : Rotimpress
Après le grand n'importe quoi faussement hédonistocul mais véritablement romantique Punkt, Pierre Lapointe s'est remis au piano avec Paris Tristesse, où il revient une énième fois sur son répertoire, mais aussi sur celui de grands noms de la chanson triste (Ferré, Barbara, Aznavour...). Car Lapointe, le 29 avril à l’Épicerie Moderne, est taillé aussi bien pour les tristesses abyssales que pour les jouissances les plus sonores. Ce qui à vrai dire va rarement l'un sans l'autre.
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