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Parc du Bois Jugan Saint-Lô Bilan ornithologique 2011-2013

Etude réalisée par le Groupe Ornithologique Normand 181, rue d'Auge 14000-Caen Tél : 02 31 43 52 56. Site internet : http//www.gonm.org/ Rédacteur : Philippe Gachet 1er janvier 2015

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Bilan d'un suivi des populations d'oiseaux fréquentant le site du Bois Jugan par le Groupe Ornithologique Normand Situation du site Le parc du Bois Jugan se situe au sud de la ville de Saint-Lô, à l'altitude de 75m. Etabli sur une ancienne exploitation agricole, il représente environ 8 ha .Il est constitué essentiellement de prairies bocagères autour de la ferme-musée, d'un verger, de vastes pelouses, de deux mares, de deux bassins (recueil des eaux de la piscine et des eaux pluviales) et d'un golf compact.

Verger conservatoire et prairie à fauche tardive.

Méthode suivie 46 visites ont été effectuées pendant 3 ans. En 2011, 9 visites, réparties de façon irrégulière, représentent 1/5 du total des visites. A partir de 2012, les visites étaient régulières et pour près de la moitié d'entre elles, effectuées dans le cadre de l'enquête « Tendances » menée en Normandie par le GONm. (30mn tous les deux mois sur le même parcours).

Parcours principal en rouge et variantes en vert La durée minimale d'une visite est de 30 mn et peut aller exceptionnellement jusqu'à 120 mn (60mn en moyenne). Finalement, plus d'une cinquantaine d'heures ont été consacrés au suivi du site. Le même parcours de base (parcours Tendances) était suivi à chaque fois avec, régulièrement, des écarts sur le golf, sur la partie basse du parc (bassin de recueil des eaux pluviales) et sur la ferme du Poirier du Haut, plus rarement. Le circuit suivi permettait d'être en contact avec toutes les zones particulières de ce site. A chaque visite, une liste complète des oiseaux observés est établie, précisée par des remarques sur le comportement des oiseaux (chant, construction de nid, nourrissage, etc) et aussi les effectifs.

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Répartition des visites par année

Année

2011

2012

2013

Total

Nombre de visites

9

16

21

46

Espèces les plus communes Les 46 visites ont permis l'observation de 78 espèces (voir annexe 1) auxquelles il faudrait ajouter quelques espèces observées en dehors des visites (bécasse des bois, chouette hulotte, chouette effraie, chevalier guignette et tarin des aulnes). Seul, l'aspect qualitatif (espèces rencontrées) est retenu pour cette étude.

Le site du Bois Jugan permet de noter plus de 62% des espèces saint-loises (référence : fichier du GONm) sur une superficie représentant 0,3% du territoire de la ville. Sur les trois années d'étude, 22 à 23 espèces, sont observées en moyenne par sortie. Pour les deux années plus prospectées 2012 et 2013, cette moyenne s'élève à 25,35.

Le rougegorge familier est très commun . Le tableau 1 renseigne sur la constance des espèces marquant la fidélité d'une espèce à un site. Une espèce aura une constance de 100 si elle est vue à chaque visite. 10 premières espèces

Constance

10 espèces suivantes

Constance

Mésange bleue

97,83

Geai des chênes

76,09

Rougegorge familier

93,48

Verdier d'Europe

71,74

Etourneau sansonnet

89,13

Pigeon biset

71,74

Mésange charbonnière

89,13

Accenteur mouchet

69,57

Pie bavarde

86,96

Chardonneret élégant

67,39

Pigeon ramier

86,96

Grive musicienne

63,04

Pinson des arbres

84,78

Pouillot véloce

60,87

Merle noir

82,61

Buse variable

56,52

Troglodyte mignon

80,43

Grive draine

56,52

Corneille noire

80,43

Fauvette à tête noire

54,35

Tableau 1: Constance des espèces en 2011, 2012 et 2013 : 20 premières espèces

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Les espèces les plus fréquemment rencontrées sont des espèces dites « sédentaires » caractéristiques du bocage : mésange bleue, rougegorge familier, étourneau sansonnet, mésange charbonnière, pigeon ramier, merle noir, troglodyte mignon, corneille noire, pinson des arbres et pie bavarde. 29 espèces sont « nicheurs certains » et 5 « nicheurs probables ». Ces oiseaux sont liés à l’arbre, à la haie, à la végétation basse ou arbustive des talus et des chemins que l'on observe autour du verger et des prairies permanentes. Les haies libres implantées à la création du parc composée d'espèces locales (viornes, troènes, fusains, prunellier, sureau, etc) constituent un autre facteur d'attraction pour les oiseaux, surtout pour la nourriture automnale. Les fauvettes, pouillots, merles et grives y circulent et peuvent y nicher en période nuptiale. En comparant les résultats des trois années d'étude avec les résultats de 2012 et 2013 (tableau 2) où le suivi a été plus régulier et important, on constate que les dix premières espèces sont les mêmes avec une remontée notable du merle sous-estimé en 2011. On peut penser que la prolongation du suivi arriverait aux mêmes résultats sans modification du milieu, bien sûr. 10 premières espèces

Constance

10 espèces suivantes

Constance

Mésange bleue

100

Pigeon biset (domestique)

89,19

Rougegorge familier

100

Geai des chênes

83,78

Pie bavarde

97,3

Verdier d'Europe

83,78

Merle noir

97,3

Accenteur mouchet

81,08

Mésange charbonnière

94,59

Chardonneret élégant

72,97

Pigeon ramier

94,59

Grive musicienne

72,97

Corneille noire

94,59

Buse variable

67,57

Etourneau sansonnet

91,89

Pouillot véloce

64,86

Pinson des arbres

91,89

Grive draine

64,86

Troglodyte mignon

89,19

Poule d'eau.

62,16

Tableau 2 : Constance par espèces en 2012 et 2013 : 20 premières espèces Dans les deux tableaux, la mésange bleue et le rougegorge familier ont chacun la constance la plus importante : en 2012 et 2013, ces deux espèces ont été observées à chaque visite. Elles sont en cela représentatives du milieu, arbres à cavité pour la mésange bleue et la basse végétation des talus pour le rougegorge. Le premier migrateur partiel, le pouillot véloce, apparaît avec une constance de 64,86 % : il est présent en période nuptiale et quelquefois en hiver (saules de la partie basse du site). Aucun migrateur « intégral » n'apparaît dans ces 20 premières espèces. Il faut se référer au tableau de l'annexe 2 pour trouver l'hirondelle de cheminée observée en vol en période nuptiale et la grive mauvis hivernante qui fréquente le verger et les prairies grasses. L'enquête « Tendances » 2012 qui regroupe 133 parcours en Normandie fait apparaître neuf espèces identiques à notre liste du tableau 1. Seule différence, la pie bavarde est placée parmi les 10 plus constantes, au Bois Jugan (86,96%) mais est plus lointaine sur la liste normande. Au Bois Jugan, on rencontre, sans surprise, donc les espèces dites du « socle des oiseaux communs de Normandie ».

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Importance du tissu bocager L'enquête « Tendances » est divisée en période de 5 minutes. Il est ainsi facile de mettre en relation période et milieu traversé. Le tableau suivant indique le nombre de contacts espèces dans les 20 premières minutes du circuit Tendances. Cette durée permet de traverser entièrement le secteur strictement bocager .

Nombre de contacts pendant les 20 premières minutes sur le parcours « Tendances » 2011-2012

2012-2013

112

107

Nombre de contacts 30 mn

139

141

Pourcentage de contacts espèces en 20mn

80,58

72,34

Nombre de contacts

20 mn

Le milieu bocager originel permet de contacter donc à peu près les ¾ des espèces. Les grandes pelouses et les parties humides attirent par contre peu d'espèces : la diversité y est moindre.

Les baies de la viorne attirent les merles, les grives , les fauvettes et le jaseur boréal (photo : P. Gachet)

Quelques espèces fragiles Le pic épeiche, familier du bocage, lié au bois âgé ou mort dans lequel il peut creuser des cavités pour nicher mais aussi trouver sa nourriture, n'est pas régulier. Des indices de présence (cavités, traces de martèlement) apparaissent sur un vieux charme, un acacia, les poiriers et les pommiers. Le pic vert est entendu sur les secteurs boisés du Poirier du Haut, situés à l'est du site. Le pic épeichette est vraiment occasionnel : l'espèce étant rapidement discrète en période nuptiale, elle est peut-être sous-détectée. Le tableau de présence des espèces relevées un mois sur deux dans l'enquête Tendances (annexe 4 : tableau « Tendances » de présence par période) montre que les picidés ne sont pas fréquents : une pression d'observation plus importante permet d'augmenter la constance de ces 3 espèces. On peut cependant considérer que les pics ne trouvent pas au Bois Jugan les conditions idéales d'installation. Le moineau domestique apparaît en 25ème position. Il est peu noté en période hivernale : il y a deux à trois couples nicheurs autour de la ferme-musée. Il semble eu abondant. La baisse des populations est aussi enregistrée par l'enquête normande « Tendances ». Cette raréfaction serait due en grande partie à la disparition des graines intéressant cette espèce. L'arrêt de l'activité agricole de la ferme a sûrement entraîné au long des années une baisse importante de fréquentation du site.

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Le bouvreuil pivoine est présent, dans un milieu favorable profitant de quelques haies denses avec arbustes épineux (aubépine, prunellier). Présent au printemps 2012 et 2013, il est malgré tout plus souvent vu pendant la période hivernale où il vient se nourrir de bourgeons naissants. Observé régulièrement en 2012, il est peu abondant (1 couple nicheur?). Le bouvreuil est sur la liste rouge des espèces menacées normandes. La linotte mélodieuse, consommatrice de petites graines, se raréfie. Elle trouve encore ici en bordure du site quelque haie pour abriter son nid. Observée le plus souvent en vol tout le printemps en 2012, elle est observée épisodiquement, 2 fois en 2013. Elle profite encore des abords des jardins des résidences et lotissements voisins. L'indice BON établi par le GONm montre un déclin net des espèces consommant des petites graines comme la linotte. Constance par année de ces trois espèces 2011

2012

2013

Moineau domestique

33,3

43,75

47,61

Bouvreuil pivoine

11,1

62,5

38,09

Linotte mélodieuse

22,2

56,25

9,5

La fragilité de ces trois dernières espèces apparaît bien dans ce tableau, constance moyenne ou très faible et très irrégulière, dûe à des très petites populations. Ces trois espèces consommatrices de graines trouvent de moins en moins les plantes qui constituent leur alimentation. Les rapaces diurnes Il convient d'évoquer les rapaces qui restent des espèces fragiles et très sensibles à l'évolution du milieu. La buse variable, observée un fois sur deux, est nicheuse dans les hauts arbres à l'arrière de la ferme-musée. Les espaces dégagés qui environnent le Bois Jugan lui servent de terrain de chasse. Les jeunes lapins de garenne abondants dans les talus doivent aussi servir de proie Le faucon crécerelle lui aussi est noté une fois sur deux le plus souvent en période de reproduction. Un couple occupe régulièrement un trou de boulin dans le mur Nord de la ferme musée : trois jeunes à l'envol en 2014. Des pelotes de réjection sont trouvées en hiver au pied d'un reposoir sur le bâtiment administratif du musée.

Buse variable (photo : Franck Letellier)

L'épervier d'Europe est observé quelquefois en chasse le long des haies.mais n'est pas nicheur sur le site.

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Espèces rares Le jaseur boréal est la première espèce qui vient à l'esprit parce que c'est elle qui a initié un suivi plus important du site. Cet oiseau nordique a été observé à l'hiver 2011-2012, se nourrissant dans les haies de baies de viorne obier : les deux individus observés ont séjourné deux semaines sur le site. Ce sont les plantations arbustives plus récentes en lisière du golf et de la piscine qui l'ont attiré. Cela a suscité une grande fréquentation du Bois Jugan par les ornithologues. Son apparition est rare dans notre région.

Jaseur boréal (Photo : Rémi Gautier) Grâce à sa position géographique et les caractéristiques du milieu, le site du Bois Jugan constitue une halte migratoire pour les passereaux : traquet motteux, tarier des prés, pouillot fitis, fauvette grisette et babillarde .Des oiseaux plus spécifiques des zones humides comme le phragmite des joncs peuvent apparaître momentanément au printemps ou à l'automne. Le rougequeue à front blanc, oiseau migrateur typique du bocage et du verger, est observé au passage : il pourrait avoir niché en 2012 où des juvéniles ont éte observés en septembre. Le verger et les vieux arbres à cavité des haies constituent un milieu attrayant pour l'espèce. Le grosbec casse-noyaux, gros passereau au bec puissant, est noté de temps à autre en hiver, on peut le repérer dans les hautes frondaisons. La découverte d'un cadavre de jeune volant en 2014 non loin de là peut laisser envisager une nidification.

Grosbec casse-noyaux (Photo : Denis76)

Malgré l’existence de trois petits plans d'eau (mare et bassins), l'aigrette garzette et le martin-pêcheur, familiers de la vallée de la Vire, sont assez peu observés. Le héron cendré est plus fréquent.

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La présence de limicoles est rare. Le chevalier culblanc a été observé une fois : il fréquentera le bassin de recueil des eaux pluviales uniquement si le niveau de l'eau est bas et libère des rives vaseuses, comme son compagnon habituel, le chevalier guignette. Le canard colvert présent en début d'étude a disparu du bassin de recueil des eaux pluviales. Les eaux stagnantes du site ne semblent pas convenir à la bergeronnette des ruisseaux. Le bruant jaune n'est mentionné qu'une fois. Cet oiseau gros mangeur de petites graines tombées au sol aime les zones élevées de prairies avec des haies dégarnies. Il est en forte régression en Europe sûrement à cause de pratiques culturales qui ne lui conviennent pas. Présent de façon dispersée dans des secteurs encore cultivés proches, il a pratiquement disparu du Bois Jugan.

Bruant jaune (Photo : Franck Letellier)

Conclusion Le site du Bois Jugan présente une importante richesse spécifique. Le tissu bocager permet de rencontrer plus de 60% du total des espèces connues sur Saint-Lô : quelques prairies, des haies sur talus, divers vieux arbres, un verger, une mare et des chemins creux maintiennent une certaine biodiversité qui offre aux oiseaux l'alimentation et les sites de nid indispensables. Le maintien et l'entretien de cette structure bocagère sont la garantie de cette richesse. La fauche tardive du verger est en ce sens positive : plantes et insectes peuvent s'y développer. Les vieux arbres à cavités et bois mort favorisent la présence d'espèces cavernicoles, surtout les mésanges et doivent être préservés.. Les bâtiments de la ferme-musée accueillent quelques espèces, notamment le faucon crécerelle , mais l'hirondelle de cheminée et le rougequeue noir n'y nichent plus. Les parties plus humides ont un certain impact sur la fréquentation des oiseaux mais il est malgré tout limité. La qualité de l'eau n'est peut-être pas satisfaisante et empêche la colonisation par les proies habituelles des oiseaux aquatiques. En outre, le faucardage précoce des phragmites autour du bassin de recueil des eaux de pluie ne permet pas la nidification de certaines espèces de passereaux. Les zones les plus riches en espèces sont celles qui sont les moins fréquentées par le public : la faune sauvage a besoin de tranquillité pour se reproduire et se nourrir. L'urbanisation autour du site est importante. Il paraît raisonnable de s'interroger sur l'évolution de l'avifaune et de la biodiversité si le bocage existant était touché. Des actions simples d'aménagement ou d'entretien peuvent favoriser l'installation ou le maintien de certaines espèces : fauches tardives des prairies, renforcement des talus, entretien des arbres têtards, installation de nichoirs dans et autour du verger.

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Ces actions, en favorisant, la biodiversité, permettront aux habitants de la ville de continuer à bénéficier près de chez eux d'un espace préservé où la vie sauvage est encore réalité.

Le cèdre du Liban au sud de la ferme permet d'observer le minuscule roitelet huppé, très lié aux résineux et la buse niche à proximité.

Remerciements : à Mesdames Françoise Herman et Myriam Gangloff, directrices de la Ferme Musée du Bois Jugan et Messieurs Jean Collette et Claude Lebouteiller qui ont collaboré à la rédaction de cette étude. Crédits photographiques : Philippe Gachet, Rémy Gautier, Franck Letellier

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Annexe 1 : Quelques photos du site du Bois Jugan

Pelouses peu fréquentées, zone de survol entre zones bocagères

Prairie à l'arrière de la ferme-musée. Le pignon de la ferme sert de reposoir au faucon crécerelle.

Vastes pelouses du golf compact fréquentées en hiver par le pipit farlouse et la bergeronnette grise ou Yarrell.

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Annexe 2 Liste complète des espèces observées entre 2011 et 2013 au Bois Jugan (78 espèces) Espèces

Nbre occurrence

Nbre visites

Constance

mésange bleue

45

46

97,83

rougegorge familier

43

46

93,48

mésange charbonnière

41

46

89,13

étourneau sansonnet

41

46

89,13

pigeon ramier

40

46

86,96

pie bavarde

40

46

86,96

pinson des arbres

39

46

84,78

merle noir

38

46

82,61

corneille noire

37

46

80,43

troglodyte mignon

37

46

80,43

geai des chênes

35

46

76,09

pigeon biset

33

46

71,74

verdier d'europe

33

46

71,74

accenteur mouchet

32

46

69,57

chardonneret élégant

31

46

67,39

grive musicienne

29

46

63,04

pouillot véloce

28

46

60,87

buse variable

26

46

56,52

grive draine

26

46

56,52

fauvette à tête noire

25

46

54,35

bergeronnette grise et yarell

24

46

52,17

poule d'eau

22

46

47,83

faucon crécerelle

22

46

47,83

pic épeiche

20

46

43,48

grive mauvis

18

46

39,13

hirondelle de cheminée

18

46

39,13

moineau domestique

18

46

39,13

grimpereau des jardins

17

46

36,96

bouvreuil pivoine

17

46

36,96

roitelet huppé

16

46

34,78

11


mouette rieuse

15

46

32,61

linotte mélodieuse

13

46

28,26

hirondelle de fenêtre

11

46

23,91

mésange à longue queue

11

46

23,91

sittelle torchepot

9

46

19,57

tourterelle turque

7

46

15,22

gobemouche gris

7

46

15,22

pic vert

7

46

15,22

martinet noir

6

46

13,04

pic épeichette

5

46

10,87

héron cendré

4

46

8,70

épervier d'europe

4

46

8,70

pipit farlouse

4

46

8,70

goéland argenté

4

46

8,70

pouillot fitis

4

46

8,70

grand cormoran

4

46

8,70

rougequeue noir

3

46

6,52

fauvette des jardins

3

46

6,52

serin cini

2

46

4,35

martin pêcheur d'Europe

2

46

4,35

goéland brun

2

46

4,35

choucas des tours

2

46

4,35

traquet motteux

2

46

4,35

rougequeue à front blanc

2

46

4,35

roitelet triple bandeau

2

46

4,35

grosbec casse-noyaux

2

46

4,35

grive litorne

2

46

4,35

fauvette babillarde

2

46

4,35

bruant zizi

2

46

4,35

goéland cendré

1

46

2,17

chevalier culblanc

1

46

2,17

corbeau freux

1

46

2,17

bondrée apivore

1

46

2,17

vanneau huppé

1

46

2,17

12


fauvette grisette

1

46

2,17

tarier des prĂŠs

1

46

2,17

pinson du nord

1

46

2,17

phragmite des joncs

1

46

2,17

mĂŠsange nonnette

1

46

2,17

jaseur borĂŠal

1

46

2,17

hirondelle de rivage

1

46

2,17

foulque macroule

1

46

2,17

cigogne blanche

1

46

2,17

canard colvert

1

46

2,17

bruant jaune

1

46

2,17

bergeronnette des ruisseaux

1

46

2,17

alouette des champs

1

46

2,17

aigrette garzette

1

46

2,17

13


Annexe 3

Le Bois Jugan, lieu d'animations du GONm Liste des animations du GONm au Bois Jugan de 2011 à 2014

9 et 10 avril 2011 : Expo nids et parcours de découverte naturaliste autour de la haie. 17 avril 2011 : Animation ornithologique « Oiseaux des espaces artiiciels » 7 octobre 2011 : Animation ornithologique « Oiseaux du bocage en automne » 22 avril 2012 : Animation ornithologique « Oiseaux des espaces protégés » (ill1) 22 septembre 2013 : Animation ornithologique « La migration des oiseaux » (ill2) 1er février 2014 : Atelier de fabrication de nichoirs.( ill3)

Illustration 1: Animation du 22 avril 2012 dans la Manche Libre

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Illustration 3 : Atelier de fabrication de nichoirs 15


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