PINBALL M
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www.pinball-magazine.com
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Maquette du No 1
Special
ROGER SHARPE
56 pages entretien de
Son histoire Son livre Ses créations de flipper Les droits de licence Les ligues de flipper
Comment gagner de l’argent en tant qu’exploitant de jeux automatiques
Plus: IFPA - Pinside.com Pacific Pinball Museum
Editorial Bienvenue sur la page de présentation de la première édition de votre nouveau magazine «Pinball Magazine». Un magazine imprimé sur papier glacé, entièrement dédié à notre passion: le flipper. Je m’appelle Jonathan Joosten et je suis, depuis ma plus tendre enfance, intéressé par le flipper. Bien plus qu’un joueur passionné, je me suis aussi penché très tôt sur tout ce qu’il y avait autour du flipper. J’ai eu l’occasion d’interviewer pour le magazine hollandais “Spinner magazine” différents «vétérans» du monde du flipper. Je suis ensuite devenu éditeur en chef de la publication pour ce magazine durant trois années. Créer un magazine est une aventure que j’ai déjà menée, et je renouvelle cette expérience en créant « Pinball magazine », où les fans de flipper pourront trouver d’intéressantes informations sur leur passion. Mais laissez-moi vous présenter comment va s’articuler Pinball Magazine. Chaque numéro aura pour thème principal une personne, un sujet, ou une marque liée au flipper. Le premier numéro sera dédié à Roger Sharpe, une légende dans l’industrie du flipper. Le flipper coule dans les veines de Roger qui a été longtemps impliqué dans le monde du flipper comme joueur, auteur, créateur de flippers mais aussi dans le marketing et d’autres domaines tous liés au flipper. La passion de Roger pour le flipper transparaît au-delà de ses anecdotes et idées, il a aussi des conseils sur comment les exploitants de jeux peuvent remettre aujourd’hui le flipper sur les rails. Je suis personnellement fasciné par ce que Roger peut nous apporter, ses conseils étant intéressants pour les exploitants, mais aussi pour les passionnés que nous sommes. Dans ce numéro UN de Pinball magazine, vous découvrirez aussi les expériences d’autres professionnels ayant évolué dans l’univers du jeu comme Roger Sharpe.
Au fil des différents numéros, nous vous ferons découvrir quelques-unes des plus belles collections de flipper à travers le monde. Dans ce premier numéro, nous visiterons le Pacific Pinball Museum et découvrirons qui sont ceux qui se cachent derrière www.Pinside.com l’un des sites regroupant la plus grande communauté liée au flipper. Et bien plus encore… Cette présentation de la première édition n’est qu’un descriptif succinct de l’intégralité du magazine. Si vous êtes intéressés par la découverte de ce nouveau magazine, commandez-le en ligne à cette adresse : www.pinball-magazine.com! A l’heure où nous écrivons ces quelques lignes, l’intégralité des thèmes que vous découvrirez dans la version papier du magazine est encore en cours d’écriture. De ce fait la table des matières peut encore évoluer et les pages que vous découvrirez également. Chaque numéro de Pinball Magazine comportera 112 pages, mais le premier numéro certainement plus! L’entretien que nous avons mené avec Roger Sharpe comporte à lui seul près de 56 pages. Si cela vous paraît beaucoup, vous vous rendrez vite compte que la vie de Roger et sa passion pour le flipper méritent à elles seules toutes ces pages que vous lirez avec passion. Enfin, je voudrais remercier les personnes qui m’ont aidé à créer « Pinball magazine ». Mes remerciements vont particulièrement à Roger Sharpe, Ellen Sharpe, Josh and Zach Sharpe, Erik J. Kos, Paul Rubens, Susanne Arnoldussen, Martin Ayub, Jeremy Fleitz et à toutes les autres personnes qui ont contribué à la naissance de ce magazine. Merci à tous ! Jonathan Joosten.
Contenu Interview de Roger Sharpe Roger nous parle de sa passion pour le flipper, comment il est entré dans ce monde, son livre, ses créations de flipper, L’IFPA (International Flipper Pinball Association), Steve Kordek, comment gagner de l’argent en tant qu’exploitant de jeux automatiques, et bien plus encore. Ce numéro comportera également des contributions de Steve Epstein, Larry DeMar, Greg Freres, Dennis Nordman.
NUM83R5 1N P1N84LL
IFPA 2.0 Josh and Zach Sharpe nous parlent du succès du nouvel IFPA.
www.Pinside.com Un entretien exclusif avec les frères fondateurs du site qui regroupe la plus grande communauté de passionnés de flipper au monde.
Découvrir le Pacific Pinball Museum Venez découvrir ce musée avec son fondateur Michael Schiess.
Et bien plus encore…
Photo credit: www.SpecialWhenLitmovie.com
Interview de Roger Sharpe Entretien mené par Jonathan Joosten auprès de Roger Sharpe, éditeur Paul Rubens.
Lorsque vous avez la chance de pouvoir interviewer une légende vivante du flipper comme Roger Sharpe, il peut être difficile de se focaliser uniquement sur un seul sujet. Roger Sharpe a officié dans l’industrie du flipper depuis plus de 30 ans et y a occupé différentes fonctions. En tant qu’auteur, Roger a écrit l’ouvrage de référence « Pinball » ainsi que de nombreux articles pour l’industrie du flipper mais aussi dans le New York Times. Roger a été rendu particulièrement célèbre pour son combat afin de faire reconnaître le flipper comme étant un jeu d’adresse et non de hasard. Il a notamment témoigné auprès de l’état de New York et démontré en 1976 que le flipper était un jeu d’adresse et non de hasard. Roger a créé de nombreux flippers pour différentes marques telles que Game Plan, Stern, et Williams. Il a aussi fondé le PAPA (Professionnel Amateur Pinball Association) avec Steve Epstein propriétaire à l’époque de la fameuse Broadway Arcade. Il est devenu chef du marketing chez Williams où il a travaillé sur les droits de licence, qui ont donné lieu à de nombreux nouveaux thèmes de jeu. La liste de ses
réalisations dans le monde du flipper est longue ! Aujourd’hui Roger se porte bien et reste actif dans l’industrie du jeu automatique. Josh et Zach, ses deux fils sont réciproquement en charge du WPPR et de l’IFPA, Roger s’occupe quant à lui toujours de nouveaux développements dans l’industrie du flipper. Pinball Magazine : Du point de vue d’un passionné du flipper, diriez-vous que vous êtes satisfait de ce que vous avez réalisé jusqu’à présent ? Roger Sharpe : Je n’ai pas à me plaindre ! Ce qui est amusant, c’est que contrairement à beaucoup de gens ayant cet hobby ou travaillant dans ce milieu, j’ai grandi sans flippers. Je n’ai rééllement découvert le flipper que lorsque j’étais au lycée. Dès lors, le flipper a été un fil directeur dans ma vie, ce que je trouve plus étonnant que toutes ces réalisations que j’ai pu faire. Tous ces objectifs que j’ai eu la chance d’accomplir n’étaient en définitive que des étapes, et non pas des buts que je m’étais fixés. PM : Cela a dû être une sacrée aventure ? RS :Et comment ! Je suis allé de surprise en surprise, je ne me suis jamais ennuyé !
PM : Ne trouvez-vous pas ironique qu’ayant grandi à Chicago, là où la plupart des fabricants de flipper étaient basés, vous n’ayez connu le flipper que lorsque vous étiez au lycée, le flipper étant illégal à cette époque? RS : Ne pas connaître le flipper en ayant grandi à Chicago reviendrait à vivre à Detroit et ne pas savoir que cette ville comporte les plus grandes firmes automobiles! Lorsque j’étais enfant, j’ai beaucoup joué au flipper, comme je le note dans mon livre. Lors de vacances en Californie, je me rappelle avoir joué au flipper debout sur une caisse de bières, et j’avais été vraiment fasciné par ce jeu. Puis de retour chez moi, j’avais oublié ce jeu jusqu’à ce qu’avec mes parents, nous rendions visite à ma sœur aînée, qui étudiait alors à l’université. Il y avait quelques flippers aux alentours, j’y avais joué tandis que ma famille déjeunait. Ce n’est que lorsque je suis moi-même entré à l’université du Wisconsin que je me suis rendu compte de ma vraie passion, là je pouvais jouer au flipper dans différents bars, bowling et d’autres endroits qui regorgeaient de flippers!
J’ai vraiment aimé apprendre par moi-même à maîtriser ces machines et ma passion n’a fait que s’accroître. Je prenais plaisir à regarder mon score monter, à l’améliorer, à appliquer des techniques que j’avais apprises en jouant sur d’autres jeux. Je me suis tant impliqué, et diversifié dans mes techniques de jeu, qu’au lieu de maîtriser parfaitement un seul et unique flipper, je suis devenu capable de jouer exceptionnellement bien sur plusieurs jeux. PM : A cette époque, vous recherchiez continuellement de nouveaux jeux sur lesquels jouer ? RS : A Madison dans le Wisconsin, il y avait plusieurs endroits où jouer au flipper, notamment par le biais du bureau des étudiants. Mais à cette époque, les jeux ne changeaient pas aussi souvent que ce à quoi nous sommes habitués de nos jours. Je pense même que certains jeux sont restés les mêmes durant mes 4 années d’études. Je n’étais pas à l’époque en recherche éperdue de nouveaux jeux. Je me contentais de ce qu’il y avait de disponible. La rareté des machines
PM : Quel était votre niveau de jeu ?
Après l’obtention de mes diplômes, j’ai déménagé à New York. J’ai très vite voulu reprendre pied avec ma passion, mais j’avais beau
RS : A cette époque, j’étais un joueur médiocre , je ne savais vraiment
regarder partout je ne trouvais pas de jeux sur lesquels jouer. Après 4
pas comment jouer. Je tirais le lanceur, envoyais la bille sur le plateau, et j’appuyais frénétiquement sur les boutons sans vraiment comprendre ce que je faisais ni devais faire. Petit à petit j’ai commencé à comprendre qu’il ne servait à rien d’actionner les batteurs si la balle n’était pas proche. De même, si la bille arrivait sur le coté droit, il ne servait à rien d’actionner les deux batteurs en même temps. Je découvrais vraiment les bases d’un jeu qui me dépassaient un peu à cette époque.
années passées à découvrir et apprécier ces machines, je me trouvais dans un état de «manque de flipper».
Ce qui a vraiment fait changer ma façon de jouer, c’est lorsque j’ai regardé un autre étudiant jouer. Nous étions dans un fast-food, il mangeait son hamburger et jouait en même temps! Je n’avais jamais vu personne réussir à bloquer la bille avec son batteur, je ne m’imaginais même pas que ce soit possible, ce jeu comportait donc bien une part importante d’adresse. A cette époque dans le Wisconsin, les jeux étaient réglés en 5 billes et sur « add a ball », qui donnait la possibilité de gagner des billes supplémentaires, lui en avait cumulé 10! Lorsqu’il arrivait à 7 ou 8 billes, il remontait jusqu’à 10 tout en mangeant son hamburger, ses frites, en buvant son soda, et il prenait même le temps d’allumer une cigarette.
Mais un jour, les jeux étaient en chandelle et confisqués par la police locale. La chose la plus troublante est que cet endroit abritait un peep-show et que l’objet du contrôle de police était les jeux qui s’y trouvaient !
A un moment il m’a demandé si je voulais jouer, car il devait retourner en classe et n’avait pas le temps de finir sa partie. Je crois que j’ai perdu les 10 billes alors qu’il n’était pas encore sorti du restaurant! Ou peut être n’avait-il parcouru qu’une centaine de mètres. Quoiqu’il en soit, ce fut un moment-clé dans ma passion pour le flipper : je venais de comprendre que c’était un jeu d’adresse. Je me rappelle que j’allais dans une salle de bowling où trônait un Gottlieb Hurdy Gurdy. J’ai passé des heures à jouer à ce jeu en tentant de travailler mon adresse et de contrôler au mieux la bille.
Mais un jour tout changea pour moi et le flipper. Alors que je marchais dans la rue, j’ai entendu ce son distinctif : celui des carillons et des bruits de billes de plusieurs flippers. J’ai immédiatement fait demitour et je suis entré dans cette librairie pour adultes et j’y ai joué tous les jours lorsque je rentrais du travail.
J’ai finalement trouvé un magasin dans Greenwich Village qui avait quelques machines, et qui devint un de mes points de chute régulier. Dans le même temps, je me suis mis à penser que j’aimerais acheter mon propre flipper pour pouvoir y jouer quand je voudrais. Lisez la suite de l’interview de Roger dans Pinball Magazine No.1!
Voici quelques exemples de pages de l’interview de Roger Sharpe
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Larry DeMar Directeur de département ingénierie, programmeur de flipper Lorsque j’étais au lycée à la fin des années 70, j’étais déjà un grand fan de flipper, un peu comme les collectionneurs que je rencontre aujourd’hui. A cette époque où l’internet n’existait pas, il était difficile de trouver des sources documentaires sur notre passion. Un jour de 1977 j’ai découvert dans une librairie universitaire un superbe livre en couleur dénommé « Pinball » J’ai lu chaque page de ce livre, regardé chaque image et ceci plusieurs fois. C’était fantastique ! Quelqu’un avait réussi à réunir dans un même ouvrage différents industriels du secteur et nous parlait de l’histoire du flipper. Qui plus est cette personne avait réussi à faire abroger la loi bannissant ces jeux qui étaient illégaux à Chicago à cette époque.
Nous avons tous aujourd’hui une passion bien plus riche grâce au travail de Roger!
Trois petites années après avoir lu ce livre, j’intégrais la firme Williams, et ma première mission a été de travailler avec Roger et Steve Epstein sur un jeu appelé Las Vegas. Ce jeu a d’ailleurs été rebaptisé deux fois en Jet Orbit puis Barracora avant d’être finalement lancé. Je me rappelle avoir été si impressionné de travailler avec ces légendes du flipper que lorsque nous sommes allé jouer ensemble pour la première fois à la salle Chicago Game Company, je n’étais pas capable de faire le moindre tir ou d’avoir un score correct, alors que j’étais habituellement un très bon joueur. J’ai travaillé avec Roger durant plus de 10 ans. Notamment durant les fantastiques années qu’ont été les années 90 chez Bally/Williams. J’ai réussi à rejouer normalement en sa présence, et au fil du temps nous avons participé à des compétitions l’un contre l’autre, mais aussi comme partenaires dans des tournois IFPA où notre équipe s’appelait « Hittin Rubber » (toucher les caoutchoucs). Roger a été très important dans l’avancé des compétitions liées au flipper avec notamment la création de l’IFPA et du PAPA ainsi que de différentes autres ligues. J’ai aussi travaillé en étroite collaboration avec Roger lorsqu’il était directeur en charge des contrats de licence pour les flippers « La famille Addams », « Twilight Zone » et « World Cup Soccer ». C’était nouveau pour moi de travailler avec Roger à ce poste, et pour être honnête, il m’a fallu un peu de temps pour m’y habituer. Créer un flipper sous licence implique des limitations, dues à l’utilisation de la marque, et cette fois c’est Roger qui était en charge de les faire respecter dans l’équipe. J’ai appris énormément au travers de Roger notamment sur la négociation entre les équipes de design et les représentants des marques, et j’ai pu admirer comment il parvenait à résoudre certaines de nos difficultés par son travail au quotidien avec ces derniers. Maintenant que Roger occupait également ces nouvelles fonctions, en plus de celles liées au design, il avait une vision encore plus globale de la création et pouvait ainsi y participer de façon plus directe. Je me rappelle qu’à la fin du développement du flipper La Famille Addams, nous avions amené le prototype à Los Angeles pour l’avant-première du film et la fête qui suivait. Pat (Lawlor) et moi-même étions frustrés de la place que «La Chose» occupait dans le jeu, qui était à ce moment du développement trop fréquente et pas assez en phase avec le résultat que nous souhaitions. Je me rappelle du rôle prépondérant que Roger a tenu dans l’équipe pour nous aider à résoudre ces problèmes. C’est grâce à lui que ce flipper est devenu ce qu’il est aujourd’hui. Au fil des années, il est apparu clairement que Roger a été un fidèle et incontournable ambassadeur pour l’industrie du flipper mais aussi pour les passionnés qui peuvent aujourd’hui jouer sur de belles machines grâce à lui. En tant qu’historien, écrivain, designer, critique, promoteur, gestionnaire de licence, partisan des compétitions, Roger a toujours trouvé une place pour faire du flipper un élément incontournable de sa vie et y est arrivé.
Insert photo credit: PinGameJournal.com
Cette page vous montre un aperçu d’entretiens que des proches de Roger Sharpe nous ont accordé. Ces extraits sont issus du numéro 1 de Pinball Magazine. Si vous voulez lire d’autres contributions et articles, commandez votre copie sur : www.pinball-magazine.com
Voici quelques exemples issus d’autres articles du magazine
<--Entretien avec Josh et Zach Sharpe, les fils de Roger Sharpe sur l’IFPA « International Flipper Pinball Association » et comment expliquer son incroyable succès.
<--Michael Schiess fondateur du Pacific Pinball Museum nous propose une visite guidée de son musée et nous parle du Pacific Pinball Expo.
---> Une interview de Robin et Martijn Van Mourik, les frères hollandais qui sont à l’origine de la création du site www.pinside.com qui est devenu en une dizaine d’années, la plus grande communauté en ligne dédiée aux amateurs de flipper. www.pinball-magazine.com
L’arrivée du nouveau magazine dédié au flipper, Pinball Magazine enfin annoncée. Martin Ayub
Jonathan Joosten est un homme avec une mission. Celle de porter la publication de magazine spécialement dédiée au flipper à un niveau jamais atteint jusqu’alors en créant un magazine de très haute qualité : Pinball Magazine. Pour cela Jonathan peut s’appuyer sur son expérience en tant qu’ancien éditeur de la revue hollandaise Dutch Spinner pinball magazine. Pinball Magazine sera différent de ce qui a été fait jusqu’à présent dans le monde de l’édition liée au flipper pour deux raisons principales : La première est le contenu qui se concentrera sur un seul sujet, mais qui l’explorera de fond en comble. Que cela soit une interview d’une personnalité du monde du flipper, l’étude d’une entreprise liée au flipper, ou encore sur les phases de création et de développement d’un flipper, le magazine comportera autant de pages que nécessaires pour traiter le sujet. La seconde différence sera la production du magazine en luimême qui sera de très haute qualité, un peu présenté comme le magazine Vogue, avec des photos de très haute qualité, imprimées sur papier glacé et une mise en page claire et irréprochable. En complément de chaque sujet principalement traité dans le magazine, une rubrique régulière présentera l’actualité du flipper, avec qui travaille sur quoi, quels sont les principaux évènements à venir … Pinball News a demandé à Jonathan Joosten en tant qu’éditeur et responsable de la publication de Pinball Magazine, pourquoi il avait choisi de s’intéresser maintenant au monde de la publication papier liée au flipper. « J’ai vu l’opportunité et je pense avoir la bonne dose d’énergie, d’enthousiasme et de créativité pour produire quelque chose que les gens vont aimer : un magazine sur papier glacé dédié au flipper comme personne n’en a jamais fait auparavant. Je suis arrivé avec ce format final de parution avec lequel je peux combiner nombre de choses que j’aime faire : interviewer les têtes pensantes du monde du flipper et en faire un magazine. De plus je pense que mon format de magazine sera si différent de ce qu’un magazine comme le Pingame journal fait que nous n’entrerons pas en compétition, ce que je ne souhaiterais par ailleurs pas. »
Pinball Magazine ne demandera pas à ses lecteurs de s’abonner. Au lieu de cela, chaque publication sera publiée lorsqu’elle sera prête et sera vendue au travers du site internet de notre magazine ou alors par le biais de quelques distributeurs. Jonathan a créé une newsletter sur le site internet de son magazine : www.pinball-magazine.com , la possibilité de commander le magazine en ligne va bientôt suivre. La newsletter informera de la date de parution du prochain magazine et de son contenu. A vous ensuite de choisir de commander le magazine ou pas si les sujets traités vous plaisent. Les entreprises désirant faire de la publicité dans le magazine recevront elles aussi un email avec le contenu du prochain numéro, libre à elles de faire de la pub dans le magazine si les sujets traités les intéressent. Ce sera à moi de trouver les bons sujets pour intéresser et les lecteurs et les annonceurs, mais je suis confiant dans ma capacité à réunir tout le monde autour d’un même magazine ;-) Vous pouvez suivre les derniers développements du magazine sur les pages Facebook et Twitter de Pinball Magazine, Pinball News proposera également dans les semaines à venir une interview complète avec Jonathan.
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