LIRE ET COMPRENDRE LA BIBLE
Le tem mple de l’écriture (d’aaprès H.E. Alexan nder) Dee la qualité des matéériiau ux dép pend la soliditéé d’un n édifiice. Il est dit du templle con nstru uit par Salom mon : « Lorssqu’on bââtitt la maiiso on on se seervit dee pierrres toutes taillées, et nii marrteau, ni hache, ni aucu un in nstrum ment de fer ne fu uren nt enttendu us dan ns la maiison pendant qu’on la construiisait » (1 Ro ois 6/7). De laa carrrière de l’Anccien n Testament son nt tirééess les pierres du Nouveaau Testtam men nt, édiifice qui rep pose sur lee fondem ment de Moïïse,, des prroph hètes et des autres écritures. L’Ancien Testaament esst citéé plluss de neuf cents fois dans le Nouveeau Te T stament, ce qui étab blitt un faiit in ndééniaable : lees deux testtamentss son nt inséparables ; la structure de l’enseemble des deux T Teestameentts est un toutt. L’édificce a beesoin d’u une baase solid de : ce sont les cinq livres du pentateuque : Genèse, Exod de,, Lévittiqu ue, Nombres,, Deeutéronome.. Nouss y trrouvons : l’o orig gine du mon nde et de l’h homme. l’appel d’A Abraham m ett du peuple Hébreu u. En générral un temp ple a dess colo onnes, ellles so ont ici au u nombree de douze, ce so ont les livres historiq quess (de Josué à Estheer) retraaçan nt l’h hisstoire du peuple juif depuis l’entrée en Canaan jussqu’aau reetourr de laa cap ptivvité à Babylo one.
Sur ces colonnes se trouve un n fronton avec les ciinq livres poétiq quess (d de Job au u Cantiique dess can ntiiquees) puis less dix – sept livres proph hétiques (d d’Esaïe à Maalachie). Au – deessus de cela, une « nou uvellee basse : les quatre évvangiles (M Matthiieu, Marrc, Luc, Jeean)) avec un n enseemb ble de colonnes (les Actes et les Epitres) et, cou uronnant le toutt, le toitt : l’A Apocallypse Rappeelons – nous cee versett : « Vo V us avvez été édiffiés sur lee fondement des ap pôtres,, Jésuss – Chriistt lui – même étantt la pierre an ngulaire »(Ep phéssien ns 2/20). Ce que l’on n dit de l’’église peeut être diit de la Bib ble : « tout l’éédifice bien coo ordonné s’éélève pour être un tem mplle saiintt » (Eph hésiens 2/21) ; Davvid disaitt de Jéérussalem « tu ess bâtie commee une ville dont les parrtiees sontt liées ensemblee »(Psaumee 122/3 ; lire au ussi Psaume 488/3 et 13). Co ommee Jéru usalem reflétait la gloire de Dieu, ainsi le temple de la révvélatio on, la Bib blee, révvèle des trésorrs inssoupço onnéés à tous ceux qui l’étu udieent aveec un cœur humble et soumis.
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